Échos...2019/07/03 · 4 « si nous n’avions pas le débarcadère, nous n’aurions pas pu...
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Avec l’appui de :
ÉCHOSdu terrainProjet d’appui aux communautés de pêcheurs (PACP) de Toliara
Appui au programme national de recherche et de vulgarisation agricole (PNVRA)
Projet de réhabilitation des infrastructures d’appui à la sécurité alimentaire (PRIASA)
MADAGASCAR
CAMEROUN
SÃO TOMÉ-ET-PRINCIPE
TOGOProjet de réhabilitation de routes et de facilitation du transport sur le corridor CU9 Lomé-Cinkansé-Ouagadougou
Design by AfDB PCER 2019
Répondre aux besoins des plus pauvres et améliorer le futur de
millions d’Africains
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Promouvoir un développement durable de la pêche traditionnelle maritime à travers le renforcement des organisations des bénéficiaires et des services de l’État, une gestion concertée et responsable de la ressource halieutique et un équipement adéquat des pêcheurs.
Virginie Gorette Ratiarainandrasan, pêcheuse et revendeuse de produits de la mer
Antoine Mani Tonye, Entrepreneur agricole
OBJECTIF DU PROJET
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« J’ai commencé à acheter des produits à de petits pêcheurs et à les revendre à des sociétés en ville. On a ensuite sollicité un prêt auprès d’une entreprise de micro-crédit. Ce prêt nous a permis d’acheter du matériel et d’ouvrir d’autres points de vente. J’aimerais devenir exportatrice. Si le projet PACP n’existait pas, je n’aurais pas pu avoir une vision à long terme. » — Virginie Gorette Ratiarainandrasan, pêcheuse et revendeuse de produits de la mer
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« Si nous n’avions pas le débarcadère, nous n’aurions pas pu stocker nos produits. Nous aurions été obligés de les saler ou de les fumer. La construction du débarcadère et l’apport de la machine à glace ont été très utiles pour leur conservation. Beaucoup de pêcheurs peuvent désormais vendre leurs produits à Tuléar. C’est une amélioration appréciable. »
Naharesy Jule, marchand de poisson et gérant du débarcadère.
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Le projet PACP fournit des
équipements, des formations et des micro-crédits aux petits pêcheurs
souhaitant développer leur
activité.
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Le secteur de la pêche
représente environ 7 % de l’économie
de Madagascar, nourrit
+500 000
habitants et joue un rôle crucial dans les zones rurales.
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7 699kmréhabilités
2 188 km de routes
transfrontalières livrés
Entre 2014 et 2018N
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Contribuer à l’accroissement de la productivité agricole à travers l’amélioration des performances du dispositif national de recherche agricole.
Samba Mviena, président de la coopérative AKOM-COOP-CA, producteur de cacao
Antoine Mani Tonye, entrepreneur agricole
OBJECTIF DU PROJET
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« Avant, nos parents cultivaient la semence appelée “tout-venant”, mais de nos jours nous disposons de bonnes semences améliorées grâce aux progrès de la recherche »
— Samba Mviena, président de la coopérative AKOM-COOP-CA, producteur de cacao
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« Cette première année, ma pépinière a été la meilleure. Je devrais sortir de la pauvreté. Pour le moment ça va mieux, je ne mendie pas, je me bats au maximum, je m’en sors personnellement. L’agriculture va devenir ma passion. »
— Antoine Mani Tonye, entrepreneur
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Le Fonds africain de développement
soutient financièrement
l’Institut de Recherche Agricole pour le Développement
(l’IRAD) qui oeuvre à l’amélioration de la qualité des
semences de cacao au Cameroun.
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Production de cacao au Cameroun:
220 000 tonnes/an
Nombre de producteurs:
600 000
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Les pépinières améliorées permettent aux producteurs camerounais de disposer de plants de cacao de qualité pour une récolte rapide et abondante.
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206 MW denouvelles capacités
59 MWd’énergies renouvelables
dont
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Moderniser les infrastructures agricoles, rurales et artisanales, former des professionnels et aider les communautés afin d’améliorer la disponibilité et la qualité des produits agricoles et halieutiques.
Ineias Trindade, étudiant en agronomieCentre pour l’amélioration des techniques agricoles
Paulina Barbosa, poissonnière
Alfredo Rompão, agriculteur
OBJECTIFS DU PROJET
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« J’ai travaillé dans l’agriculture pendant six ou sept ans et je constate qu’à São Tomé-et-Principe l’agriculture est très bonne. Nous avons un climat favorable à l’agriculture et, grâce à cela, nous pourrons devenir moins dépendants des produits extérieurs. » — Ineias Trindade, étudiant en agronomiecentre pour l’amélioration des techniques agricoles
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« J’ai reçu une formation. J’ai appris à fumer le poisson, à le saler et à vendre du poisson frais de bonne qualité. Aujourd’hui, je vends le poisson dans de la glace, de bonne qualité. J’ai plus de clients et je gagne plus d’argent pour subvenir aux besoins de ma famille. » — Paulina Barbosa, poissonière (en robe noire)
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« Je suis agriculteur, je me sens heureux et j’aime ce que je fais. Avant, c’était difficile parce qu’il n’y avait pas de route, les chemins étaient difficiles à emprunter. Aujourd’hui, grâce au projet PRIASA, nous avons la route. Cette route m’aide beaucoup. Je peux produire plus, transporter mes produits et les vendre »
— Alfredo Rompão, agriculteur24
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Nombre total de bénéficiaires :
14 500
Population rurale formée / recrutée / utilisant une technologie améliorée :
1 205
Routes d’accès construites ou rénovées :
23,23 km
Centres de commercialisation et de production construits ou rénovés en zone rurale :
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Entre 2014 et 2018
82 000 ha avec une eau
mieux gérée
11 556routes rapprochent
les agriculteurs des marchés
71 millionsde personnes bénéficient
d’une agriculture améliorée
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Entre 2014 et 2018
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Accroissement du trafic de transit et des échanges, réduction des coûts généralisés du transport, amélioration de la sécurité routière et création d’emplois pour les jeunes et les femmes au Togo et au Burkina Faso.
Adoukonou Ekouya, entrepreneure
Tchede Tadjou, chauffeur routier
OBJECTIFS DU PROJET
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« Je produis et stocke des produits agricoles. Mes clients viennent du Ghana, du Bénin, du Burkina, même du Nigeria. Quand la route était mauvaise, il leur fallait de la volonté pour venir. Maintenant, ils font le déplacement avec le sourire. »
— Adoukonou Ekouya, entrepreneure
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Le projet de réhabilitation du corridor routier Lomé-Ouagadougou a eu un impact significatif sur l’emploi, les affaires et le commerce.
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« Le trafic sur le corridor Lomé-Ouagadougou est aujourd’hui plus aisé. La circulation est plus fluide. Avec la nouvelle route, nos camions sont en sécurité et nous connaissons un regain d’activité. »
— Tchede Tadjou, chauffeur routier
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Le corridor routierLomé-Ouagadougou s’étend sur
150 km au Togo et153 km au Burkina Faso.
Le projet du corridor routier Lomé-Ouagadougou a permis la réhabilitation
de plus de 300 km de routes entre le Togo et le Burkina Faso
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Le projet du corridor routier Lomé-Ouagadougou a permis la réhabilitation
de plus de 300 km de routes entre le Togo et le Burkina Faso
36Design by AfDB PCER JUNE 2019
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Le Fonds africain de développement est le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement œuvrant à la réduction de la pauvreté et au développement économique et social des 37 pays considérés comme les pays les plus vulnérables et les moins développés d’Afrique. Opérationnel depuis 1974, le Fonds africain de développement fournit des financements concessionnels pour des projets et des programmes de développement ainsi que de l’assistance technique pour des études et des activités de renforcement des capacités.
Le Fonds africain de développement regroupe 32 pays contributeurs et a investi 45 milliards de dollars américains au total dans ses opérations sur le continent africain. Les ressources du Fonds sont reconstituées tous les trois ans par les pays donateurs. Les opérations actuelles au titre de la 14e reconstitution des ressources du Fonds se poursuivent et les discussions pour la 15e reconstitution vont bon train.
Le Fonds africain de développement est essentiel
pour les pays les plus pauvres du continent dans la mesure où il contribue à construire des infrastructures vitales et à améliorer les capacités — aussi bien physiques qu’humaines. Le Fonds soutient des thématiques touchant plusieurs secteurs :
• égalité des sexes ;• changement climatique ;• intégration régionale ;• développement du secteur
privé ;• fragilité ;• création d’emploi ;• renforcement des
capacités institutionnelles.
Les priorités stratégiques et opérationnelles de la 15e reconstitution sont ancrées dans la stratégie décennale 2013-2022 du Groupe de la Bbanque africaine de développement et ses « High 5 » – Éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie, Nourrir l’Afrique, Industrialiser l’Afrique, Intégrer l’Afrique, et Améliorer la qualité de vie des populations africaines – autant d’initiatives qui appuient l’Agenda 2063 et les Objectifs de développement durable.
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Conception :Département de la Communication et des relations extérieures