chesnay%20fiche%20technique%20compr%c3%a9ss%c3%a9%2008 12 14
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CITE DES ENFANTS GEORGES GUYNEMER CRECHE LES HIRONDELLES
Le CHESNAY
SCPA Leclercq Leplat Architectes
RESTRUCTURATION, SURELEVATION et EXTENSION
DE DEUX ECOLES JUMELLES DES ANNEES 70
Localisation Rue du Hameau
78 150 LE CHESNAY
Maîtrise d'ouvrage Ville du Chesnay
9 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY
Tél. : 01 39 23 23 23 - Fax : 01 39 23 23 00
Maîtrise d'œuvre Scpa François-R. LECLERCQ - Véronique LEPLAT Architectes DPLG Urbanistes
79/81, rue Victor Hugo – 94200 Ivry-sur-Seine - Tél. : 01 46 72 34 15 – Fax : 01 46 71 95 91
E-Mail : [email protected]
- UBI BET Structures
- CAP’ingelec BET Fluides
- CAMEBAT Economiste
- CIAL Acousticien
- Conpas OPC
Projet -Opération Haute Qualité Environnementale :
-Restructuration lourde, surélévations et extension de deux écoles,
-Création d’un Centre d’accueil de loisirs
-Construction d’une crèche de 40 berceaux
Problématique
-Que faire des bâtiments des années 70 aujourd’hui obsolètes ? Sont-ils récupérables architecturalement ?
Cette opération de restructuration/extension a permis, par le biais de l’utilisation de la filière sèche dans le cadre
d’une démarche Haute Qualité Environnementale, de modifier radicalement l’image négative du bâtiment
d’origine et de vivre au quotidien une nouvelle architecture plus fluide et transparente
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DÉMARCHE
Requalification du bâtiment existant
L’organisation spatiale très typée du bâtiment, en deux écoles
juxtaposées, témoigne de la rapidité initiale de l’opération
d’urbanisme « Parly II » qui a vu les équipements publics, écoles
notamment, accompagner la réalisation, sur une part importante de
la commune du Chesnay, de l’opération phare de la promotion
immobilière et commerciale des années 70. Le batiment est un
témoin de l’architecture vernaculaire très en vogue à l’époque:
conçu initialement dans l’esprit d’une structure organique vivante, il
se déploie à travers de nombreuses « cellules » de 60 m2, modules de
base de la préfabrication initiale d’un batiment modulaire en béton
armé, fortement tramé, mais assez lourd.
Les deux écoles construites simultanément, bien orientées,
présentent cependant d’importants dysfonctionnements: elles sont
totalement séparées, leurs planchers sont à des niveaux différents,
l’ensemble est une véritable passoire thermique, pratiquement sans
isolation (2 cm de polystyrène entre deux voiles de béton)
PROGRAMME
Restructuration - Extension « HQE » de deux écoles primaires R+1 avec
sous-sol partiel, composée de :
- 16 classes.
- Activités mutualisées : Salle polyvalente, Arts plastiques,
Bibliothèques, Langue, Informatique, Restauration.
Centre de loisirs et accueil périscolaire
Construction en extension d’une crèche de 40 berceaux.
Surface globale : 3955 m2 SDO
Réhabilitation : 3211m² SDO
Surélévation : 208 m² SDO
Extension : 536 m² SDO
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Objectifs et programme
L’objectif architectural était de transformer radicalement ce
bâtiment en un outil pédagogique attractif pour les élèves,
performant au niveau énergétique, avec une acoustique nouvelle
permettant le développement d’activités simultanées différenciées,
d’y adjoindre de nouvelles fonctions pédagogiques inexistantes ou
peu adaptées: bibliothèques, enseignement numérique intégré dans
chaque classe (TNI), création de classes spécialisées, arts visuels,
enseignement des langues, nouvelle restauration ainsi qu’une
crèche de 40 berceaux et un Centre d’accueil de loisirs. Une école
maternelle existant déjà sur le site, une deuxième Cité des Enfants
pouvait voir le jour (1).
Contexte, système constructif et requalification architecturale
Notre pratique est issue de plusieurs projets de réhabilitation lourde de
batiments issus des « 30 glorieuses », avec expérimentation de la mise
en oeuvre de systèmes de préfabrication hors site de nouvelles
enveloppes architecturales, ces batiments combinant le plus souvent
restructuration des existants, extensions ou surélévations.
L’arrivée massive sur le marché de la réhabilitation de cette
génération de batiments des années 60/70, à bout de souffle sur le
plan des fluides et totalement obsolètes au plan thermique ouvre de
nouvelles perspectives : doit-on démolir ces batiments ? Ou
simplement les habiller pour l’hiver ? Est-il possible de les rendre
architecturalement digestes, c’est à dire aller plus loin, dépasser la
notion de « nouvelle peau thermique », les transformer radicalement,
c’est à dire les ré-architecturer ?
Les batiments de cette époque ont été
pensés et dessinés dans le cadre de la
politique de modélisation du cadre bâti
vigoureusement encouragée et financée
par l’Etat.
L’industrialisation des écoles, collèges,
lycées et universités et plus largement de
l’ensemble des batiments construits par les
différents ministères a été le pendant
indispensable de la politique de
modélisation massive du logement social
suite au Baby boom. Techniques et architecture 1969
Si ces batiments sont efficaces constructivement, ils sont souvent très
simplifiés au niveau du programme par utilisation récurrente de
modules constructifs identiques en nombre limité (2) pour des raisons
de coût, ils sont cependant de qualités trés diverses.
Se pose donc la question centrale de leurs capacités de
transformabilité fonctionnelle et climatique.
L’architecture de Marcel Lods, pionnier en la matière, étudiée de
manière approfondie lors de notre intervention à l’Université de
Champagne Ardennes, est la plus significative par sa grande créativité
architecturale et l’aboutissement de deux démarches conceptuelles :
la préfabrication de la construction et la coordination dimensionnelle
totale du dessin d’architecture.
Nous nous sommes inscrits dans les pas de ce précurseur en pensant le
principe de dessin tramé et modulaire comme un atout pour la
transformabilité du batiment (3). Il semblait que le design du batiment,
par sa trame initiale systématique, pouvait produire un nouveau dessin
coordonné dimensionnellement et donc une ré-industrialisation
possible de l’intervention en réhabilitation, par mise en place d’un
nouveau système de préfabrication par panneaux bois auto-porteurs
rapportés sur la façade.
Nous avons étendu ce principe aux surélévations et aux extensions en
réunissant dans un même système constructif réhabilitation et
construction neuve.
D’une part, l’intervention architecturale dépasse ici la notion de
« nouvelle enveloppe » pour s’inscrire dans un tout intégrant un
batiment existant, colonne vertébrale et embryon d’un nouvel
organisme vivant ré-architecturé, profondément transformé, devenu
autonome, plus spacieux en surface, en expansion avec de nouvelles
fonctions.
D’autre part la perspective de « ré-industrialisation » du chantier de
réhabilitation permet d’envisager pour cette génération de batiments,
une réponse technique de même ampleur et avec une efficacité
constructive équivalente à celle de l’époque de leur construction,
mais cette fois-ci dans le cadre d’une économie industrielle « verte ».
(1 )Projet de l’agence : Cité des Enfants Robert Doisneau à Serris (77)
(2) Pour les écoles : modules de 55m2 correspondant à une classe, pour les
logement : trame de 2.70m correspondant à une chambre de 9 m2 mais aussi
à la largeur d’une place de parking en sous sol.
(3) « Il faut ajouter maintenant aux notions traditionnelles de l’architecture,
celles de la démontabilité et de transformabilité » - Marcel LODS – Entretiens
1976.
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Deux surélévations :
Agrandir le bâtiment: 700 m² faisant défaut dans les existants.
L’analyse du bâtiment, dès la phase d’esquisse a montré qu’il était
possible de récupérer environ 200 m2 de terrasses inutilisées. Un
centre médical, une classe et une bibliothèque ont ainsi été
totalement crées par surélévations .
Le principe des panneaux bois autoporteurs est strictement le même
pour les parties en surélévation que ceux utilisés pour l’existant.
Une extension , la crèche des Hirondelles :
A rez de chaussée une crèche de 40 berceaux a été réalisée en
extension (500m2) et partiellement sous le batiment existant. Le gros
œuvre a été préfabriqué par la même entreprise de charpente,
l’entreprise Poulingue, et avec le même principe de panneaux bois
auto-porteurs utilisés pour le contreventement et la façade
AVANT
Surélévation d’une terrasse
Crèche glissée partiellement sous le batiment
APRES
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ASPECT ET FORME ARCHITECTURALE
Plan masse
Les principes énoncés, la configuration des batiments et la
morphologie du terrain ont conduit à promouvoir une ré-architecture
dynamique avec recherche d’une nouvelle légèreté. Orientations
climatiques, ensoleillement, usages pédagogiques et ludiques ont
déterminé l'architecture intérieure de l'ensemble.
Les façades ont été déclinées au regard des matériaux assez
homogènes du quartier
Cette architecture est visible, en 1er plan, le long du parvis, elle
ménage de nouvelles transparences en direction des espaces
extérieurs : démolition des allèges et poutres en béton à rez de
chaussée, mise en valeur des équipements les plus attractifs dès
l’accés : salle polyvalente traversante, salle de jeux, restaurant
Ces espaces, les plus ludiques largement vitrés, sont mis en "vitrine" et
augmentent l’attractivité de l’école.
Différents patios aèrent le bâtiment, apportant lumière et soleil au
cœur des espaces pédagogiques.
Une extensions et deux surélévations sont créées.
Conception de l’établissement
La conception de l’établissement s’inscrit dans une démarche
environnementale affirmée et fait une part importante à l’ossature
bois : extensions, préaux, charpente, et isolation par des murs
manteaux.
Orientation du bâtiment
La qualité de la lumière est une composante essentielle d'un
bâtiment d'enseignement.
L'éclairement des salles de classe est modulé par des brise-soleils
suspendus, réalisés à partir de caillebotis détournés de leur usage
industriel, leur contreventement est assuré par un système de câbles
horizontaux.
Les circulations intérieures sont toutes en lumière naturelle apportant
soleil et quiétude au sein des espaces scolaires
La réouverture des patios les a rendus plus transparents
A l'Est au Nord et au Sud, de larges vitrages éclairent le hall, les
espaces d'accueil et l'espace de jeux.
La pédagogie moteur du projet architectural:
La transformation du bâtiment grâce à l’utilisation de son « potentiel
caché » en fait un équipement fonctionnel en contact avec son
environnement, plus transparent, compact et fluide, ainsi qu’une
vitrine attractive pour les enfants:
-Diversification des espaces, décloisonnement des espaces
pédagogiques.
-Adaptation des vues intérieures et de la façade à l’échelle de
l’enfant (allèges surbaissées), lumière naturelle et transparences
crées.
-Le confort visuel des enfants : Le percement de fenêtres basses
permet aux enfants d’avoir une vue directe sur l’extérieur, les
éclairages zénithaux et patios complètent ce dispositif, toutes les
circulations sont baignées de lumière naturelle
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-La gestion optimale des énergies avec une sur-isolation du bâtiment
Avec 700 m2 d’extensions le batiment ne consomme pas plus
d’éléctricité. Les apports solaires ont été privilégiés
-Le choix de matériaux sains, l’élimination de l’usage des produits ou
matériaux générant des « COV » et autres composés organiques
volatiles ou nocifs présents notamment dans les colles, les isolants, les
revêtements de sol etc…
-Aucun traitement chimique ou de finition des bois n’a été réalisé,
toutes les essences choisies sont naturellement durables.
Concertation :
Enfin l’association des usagers dès les premières esquisses a permis
l’optimalisation de l’organisation des espaces. Cette concertation
très dynamique avec l’équipe pédagogique et le maître d’ouvrage
a été permanente pendant les études et le chantier :c’est la
garantie d’un bâtiment bien adapté à son nouvel usage.
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NOTE DE PRÉSENTATION PAYSAGÈRE
Paysage et environnement existant et dispositifs d’insertion
L'environnement proche du bâtiment est essentiellement composé
des éléments précédemment décrits (opération Parly II : résidences,
habitations collectives, Maternelle).
Une lisibilité nouvelle
La visibilité du bâtiment a été totalement transformée :
Cette lisibilité nouvelle est accentuée par la mise en évidence des
choix architecturaux :
- Continuité architecturale des façades existantes et crées
- Continuité entre intérieur et extérieur
- Bardages bois, panneaux de fibre ciment et briques associés
visuellement aux batiments environnants.
- Mise en évidence des parties surélevées par les bardages bois.
Un traitement soigné des espaces extérieurs
Contraintes principales du bâtiment existant : La localisation des
classes en étage a été compensée par le traitement d’un nouvel
accès à la cour depuis l’étage.
Compte tenu de l’effectif important, la cour, généreuse, est
diversifiée en plusieurs espaces autonomes
Les matériaux proposés : Béton blanc coffré, plafonds extérieurs bois,
béton désactivé ou caillebotis bois au sol créent une relation directe
entre l’intérieur et l’extérieur et participent par différentes textures à
l'apprentissage par l'enfant de son environnement.
Végétalisation
L'aspect paysagé du projet est très marqué.
L’implantation des extensions préaux et auvents des bâtiments ont
été réalisées au regard de l’état des végétaux ou de leur
positionnement par rapport au bâti.
La végétalisation du toit terrasse, assurant confort d’été et rétention
des eaux, procure une amélioration visuelle depuis les immeubles
collectifs dominants l’opération.
Les balcons et terrasses réaménagés sont utilisables pour le travail de
groupe en atelier extérieur, espaces de lecture, de dessin, pour
réaliser des éléments collectifs de grande dimension ou préparer des
expositions
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DESCRIPTIF ENVIRONNEMENTAL
L'opération s'inscrit dans une démarche Haute Qualité
Environnementale (HQE) avec les objectifs suivants :
Eco construction :
- Filière sèche : une étude poussée du système constructif de
préfabrication en filière sèche permettant un chantier propre et
rapide, l’absence de déchets de gros œuvre sur le site.
- Les matériaux ont été retenus pour leurs caractéristiques
environnementales : bilan carbone et la santé des usagers.
Maîtrise des consommations d'énergie :
Une exigence forte sur les niveaux performantiels des installations,
recherche de basse consommation en éclairage, économie
d’énergie.
- Sur-isolation du bâtiment.
- Gestion du chauffage par zone, chaudières gaz
- Eclairage de locaux et circulations commandés par détecteurs
de présence, luminaires économes en énergie.
Maîtrise du cycle de l'eau : Gestion des eaux d'orage : La rétention des eaux pluviales est
traitée par végétalisation de la toiture existante et des extensions.
L’objectif fixé étant de ramener le débit de fuite en aval de la
collecte de l’ensemble des eaux de pluie des espaces extérieurs
de l’école et des toitures à un niveau inférieur à l’existant, bien
que la surface imperméabilisée ait augmenté assez
considérablement (extension 500m2), un bassin de rétention
enterré a été créé sous la cour de l’école afin de satisfaire cet
objectif.
Confort et santé des usagers :
- Protections solaires, climatisation naturelle pour le Confort
d’été par ventilation naturelle traversante des circulations du
bâtiment.
- Confort visuel combinant éclairage par la façade et l’éclairage
zénithal. Optimisation des apports en lumière naturelle et des
vues pour les enfants à rdc, création de puits de lumière,
réouverture des patios.
- Confort acoustique : Etude systématique de la réverbération,
positionnement des locaux en tampon.
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STRUCTURE ET MATÉRIAUX
Principes constructifs et matériaux
- Fondations isolées par puit, autres fondations (crèche) par radier
- En soubassement : contre-mur rapporté en briques traditionnelles,
mulots 50x48x220, couleur anthracite, les soubassements isolants
sont ainsi protégés des chocs.
- Système de murs manteau réalisés en panneaux bois
autoporteurs rapportés sur les murs existants par des platines
réglables en nombre limité, ces murs présentaient initialement
une pathologie accentuée liée au décollement de la pâte de
verre, c’est une des raisons du choix du système constructif.
- Charpente des toitures des extensions, préaux et surélévations en
poutres lamellé-collé prenant appui sur la maçonnerie existantes ,
radier crée ou sur puits, panneaux bois porteurs ou poteaux.
- Contreventement de l'ensemble assuré par le volume originel à
structure béton. Contreventement des extensions par les
panneaux bois
- Toitures chaudes existantes et crées végétalisées.
- Toiture des sheds de la crèche en bac acier à joint debout, les
toit-terrasses neufs en étanchéité végétalisée sur bac acier isolé.
- Menuiseries extérieures en aluminium thermolaqué à isolation
renforcée, rupture de pont thermique, vitrages faiblement
émissifs.
Structure bois du bâtiment
La superstructure R+1 des surélévations est principalement conçue en
pans de bois pour les murs de façade porteurs et en lamellé-collé
pour les toitures.
Les usages du bois sont les suivants :
- Charpente bois lamellé-collé : système poteaux/poutres (crèche
toiture), couvertures des extensions.
- Façades : système à ossature bois auto-porteur pour le neuf et
l’existant.
- Panneaux bois ventilés en sous toiture, caillebotis bois
recomposé label PEFC en extérieur.
- Agencements et mobiliers intérieurs adaptés à la petite enfance.
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Matériaux bois entrants dans la composition des ouvrages
• Bois massifs : Sapin de pays, Catégorie II, Classe de risque 2 ou 3
selon localisation.
• Bois lamellé-collé, structure primaire : Abouté par entures
multiples et collage, Label ACERBOIS-GLULAM, non traité.
• Bardages en panneaux composite fibre ciment :
Plaques composites de fibres ciment et de fibre végétale
(cellulose) autoclavées et comprimées, teintées dans la masse par
des pigments minéraux
Pose avec fixations invisibles par pattes agrafes sur rail alu. Vide
d’air ventilé en sous-face,
Calepinage précis des façades.
• Bardages à claire voie
Tasseaux 45x45, pose à claire voie verticale ou horizontale,
Essence :Red Cedar label FSC, naturellement durable sans aucun
traitement,
Panneaux préfabriqués et assemblés en atelier,
Fixations vissées invisibles.
• Façades R+1 en panneaux préfabriqués ossature bois :
Panneaux d’ossatures composés de l’intérieur vers l’extérieur :
- Plaques de plâtre B.A. 13 + pare-vapeur
- CTBH 12 mm
- Ossature bois 120 x 36 sapin de pays, Label PEFC.
- Isolation par laine de roche entre montants bois 120 mm
- Pare-pluie micro-perforé type DELTA Vent
- Panneaux de bardage composite en fibre ciment ou
bardage bois Red Cedar non teinté.
• Tableaux des baies : Tableaux bois en Moabi 70 x 320 lasuré,
Label PEFC.
• Débords de toiture : Habillage des sous-faces en panneaux
préfabriqués suspendus, tasseaux 45x45.
• Caillebotis bois : Plancher extérieur bois en bois réconstitué
naturellement durable, rainuré, pose sur solivage, section 22 x 120
mm, assise en longrines ou plots BA. Label PEFC.
• Agencement : Panneaux acoustiques muraux en bois perforés.
Agencements en bois et Mdf. Label PEFC.
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Plan masse
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Plan d’étage
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ENTREPRISES CONTRACTANTES
Lot n°01 Démolition / Gros Œuvre LBC
Lot n°02 Charpente ossature bois / Bardage bois BALAS
Lot n°03 Couverture acier laqué / Étanchéité POULINGUE
Lot n°04 Menuiserie extérieures métalliques ATELIERS DE BEAUCE
Lot n°05 Métallerie / Serrurerie STRUKTURE ENVT
Lot n°06 Plâtrerie / Faux-plafonds VALLEE
Lot n°07 Menuiserie intérieure GOULLARD
Lot n°08 Chauffage / Ventilation / Plomberie SERT
Lot n°09 Electricité courants forts THEVENET
Lot n°10 Electricité courants faibles GED
Lot n°11 Revêtements de sols durs / Faïences murales DECOCK & CIE
Lot n°12 Peinture / Sols souples SOCAPE
Lot n°13 Appareils élévateurs OTIS
Lot n°14 Equipements de cuisine HURON
Lot n°15 VRD / Aménagements extérieurs JEAN LEFEBVRE
COÛTS OBSERVÉS
Marchés Entreprises Corps d’états séparés : 7.400 000 € TTC
Valeur juin 2014