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La newsletter pour dcideurs
[ 19 JANVIER 2012 N 19 ]
Les tnors politiques autrichiens Faymann et
Spindelegger ont qualifi dincomprhensi-
bles les derniers dclassements de Standard&
Poors.
Lagence de notation de son ct estime que
les dirigeants europens nont pas une
approche suffisante des risques. Elle redoute
un dangereux cocktail compos d'un octroi de
crdits plus difficile, de primes de risque le-
ves, d'un dmantlement de la dette qui
affecte la croissance et de discorde europen-
ne. S&P sinterroge sur la recapitalisation des
banques et craint que les pays les plus tou-
chs se lassent des rformes. juste titre.
L'agence de notation distribue aussi des bons
points, la BCE par exemple. Mais son prsi-
dent Mario Draghi ferait bien dtre prudent
car, mme pour les institutions europennes
de premier plan, le pas entre flicitations et
coup bas est vite franchi. Philippe Maystadt
en a fait lexprience lorsquil a t confront,
le 19 dcembre dernier, la dcision de Fitch
de placer sous surveillance ngative la note
AAA de la Banque europenne dinvestisse-
ment. Ce qui est totalement incomprhen-
sible, car il sagit dun des principaux et
meilleurs dispensateurs de crdits au monde,
dont les paiements en retard natteignent pas
mme 100.000 EUR
Il est agaant que les agences de notation
mettent en garde contre une spirale ngative,
alors qu'elles en sont elles-mmes un impor-
tant instigateur. O tout cela va-t-il finir ?
Comment, dans ces conditions, jeter des
bases saines en faveur dune nouvelle crois-
sance ? En raison du dclassement du FESF,
nos voisins de lest doivent choisir entre la
peste et le cholra. Il y aura appauvrissement
quelle que soit la solution retenue. Mahathir
Mohamad, Premier ministre de Malaisie pen-
dant plus de 20 ans, a dclar dans le
Financial Times du 11 janvier dernier que les
Europens nont pas encore admis leur appau-
vrissement collectif et quils doivent davanta-
ge revenir la plus-value de lconomie relle
et prendre leurs distances par rapport la cul-
ture des bonus la Wall Street et des grves.
Tant quune Union politique europenne ne
sera pas possible, il nous faudra procder en
concluant toute une srie de contrats compor-
tant des clauses pnales svres et avec laide
dun arbitre qui veille leur application rigou-
reuse. Cest ce que fait enfin la Commission
europenne. Rduire tout ceci une simple
source dinspiration, cest faire preuve de
bien peu de sens des ralits.
Des rumeurs tenaces circulent dailleurs tou-
jours au sujet dune scission potentielle entre
une zone euro septentrionale et une zone euro
mridionale. Cela semble peu raliste et ne
comporterait pas que des avantages pour laile
septentrionale En revanche, un tel scnario
catastrophe nest pas long nous faire com-
prendre que la Belgique ne doit pas prendre
de grands airs en mettant des critiques sur
un commissaire europen qui effectue srieu-
sement son travail et nous tend simplement
un miroir. Sil demeure un ministre qui doute-
rait du groupe auquel doit appartenir notre
pays dans ce scnario, dites-le nous !
Il importe maintenant de suivre notre bon
sens, de dvelopper nos forces et de combler
nos faiblesses. Les entreprises et surtout les
citoyens de notre pays sont relativement peu
endetts. Le taux dendettement des mnages
nest que de 84,2%, contre 99,3% pour la
zone euro. Nous ne connaissons pas de vri-
Il importe maintenant de suivrenotre bon sens, de dveloppernos forces et de combler nosfaiblesses.
Certaines notations doivent nous mobiliser
> DROIT DE LA CONCURRENCE > Publication des lignesdirectrices sur les amendes
ECO-CHQUES > La liste des produits et services estbien respecte
FISCALIT > TVA et voitures de socit : anciennesrgles dapplication pour 2011
HEBDOMADAIRE BUREAU DE DPT : SINT-NIKLAAS P409959
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE PINGLER
Acceptation correcte des co-chquesEn matire d'co-chques, desefforts ont t fournis par les com-merants. Ainsi, on constate uneconnaissance accrue de la listedes produits et services colo-giques et une acceptation correcte
des co-chques chez plus de 98% des commerants contrls.
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98%
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Instaurs par laccord interprofessionnel 2009-
2010, les co-chques sont destins lachat
des produits et services cologiques repris
dans la liste exhaustive annexe la conven-
tion collective n98 bis du Conseil national du
travail (CNT). Pour sassurer que le bnficiai-
re ne puisse acheter tout et nimporte quoi
avec ses co-chques, les partenaires sociaux
ont demand fin 2010 aux socits mettrices
de mettre en place un mcanisme dautorgu-
lation. Une campagne dinformation a t sui-vie de trois vagues de contrles effectus par
un organisme indpendant auprs dun chan-
tillon reprsentatif de commerants.
Fin 2011, le CNT a valu ce mcanisme dau-
torgulation (avis n 1787). La campagne din-
formation a manifestement port ses fruits.
Des efforts ont t fournis par les commer-
ants si bien quon constate sur le terrain une
connaissance accrue de la liste et une accep-
tation correcte des co-chques chez plus de
98% des commerants contrls. Lesquelques commerants contrls trois fois
ngativement ont, quant eux, t exclus du
rseau dacceptation.
La FEB continue de suivre ce dossier de
prs. Le respect de la liste des produits et ser-
vices cologiques est en effet fondamentale
pour la crdibilit du systme des co-chques
et des partenaires sociaux qui grent la liste.
Catherine Vermeersch [email protected]
FISCALIT
TVA et voitures de socit :anciennes rgles
dapplication pour 2011Comme annonc prcdemment (Infor n 36
du 17 novembre 2011), la dcision du 20
octobre 2011 relative la dductibilit de la
TVA sur les biens dinvestissement a t sus-
pendue dans lattente de la publication dun
addendum prcisant les modalits dapplica-
tion pratiques. Afin de garantir la scurit juri-
dique des contribuables, ladministration de
la TVA a dcid le 10 janvier 2012 de ne pas
exiger lapplication du nouveau rgime lgard des biens dinvestissement mobiliers
dont le fait gnrateur de la taxe sest produit
avant le 1er janvier 2012. En dautres termes,
le contribuable peut continuer appliquer les
rgles valables jusquau 31 dcembre 2010
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La FEB et la cybersur-veillance
la suite de son projet de recommandation etde son rapport sur la cybersurveillance, la
Commission de la protection de la vie prive a
organis en dcembre 2011 une aprs-midi
d'tude qui fut l'occasion d'aborder diffrentes
facettes du respect de la vie prive au travail.
Lors d'un dbat anim par le professeur Paul De
Hert en qualit de modrateur, Monica De
Jonghe a prsent la position de la FEB. Son
expos a essentiellement mis l'accent sur un
souhait de pragmatisme, la recherche d'un jus-
te quilibre entre la protection de la vie privedu travailleur et les intrts de l'entreprise, ain-
si que sur le besoin de transparence.
Monica De Jonghe [email protected]
Jozef Lievens invit laPlate-forme PME
La semaine dernire, la Plate-forme PME de laFEB a reu Jozef Lievens du cabinet davocats
Eubelius et cofondateur de lInstitut de lentre-
prise familiale. Il a expos les diverses alterna-
tives ( savoir la succession familiale, la vente
ou le contrle familial) parmi lesquelles les
entreprises familiales peuvent choisir en mati-
re de succession. Si elles optent pour la suc-
cession familiale, il faut apporter une rponse
cinq questions essentielles. Enfin, Jozef Lievens
a galement prsent les dernires volutions
dans les domaines juridique et fiscal.
Geert Vancronenburg [email protected]
Johan Vande Lanotte la FEB
La direction de la FEB a rencontr lundi dernier
Johan Vande Lanotte, vice-Premier ministre et
ministre de lconomie, des Consommateurs et
de la Mer du Nord. Ce fut loccasion de discu-
ter dun certain nombre de questions de poli-
tique gnrale ainsi que de dossiers relevant
des nouvelles comptences du ministre. La pro-
blmatique de la matrise des prix, chre au
ministre, a t aborde. Il a t soulign lim-
portance de prserver et de renforcer la comp-
titivit des entreprises belges, certainement
dans le contexte de ralentissement conomique
que nous connaissons.
Charles Gheur [email protected]
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Jozef Lievens,cofondateur delInstitut delentreprisefamiliale.
ACTION FEB
table problme en termes dexcs sur le mar-
ch immobilier. En revanche, la Belgique est
confronte un risque important qui, dans
lintervalle, a donn le coup de grce aux
tats membres priphriques, savoir les
hausses de prix et les drapages en matire
de cots salariaux. Notre inflation est plus
leve que celle de nos trois voisins depuis
prs de deux ans dj et, ce mois-ci, des cen-
taines de milliers de salaires ont encore aug-
ment dun cran. Nous navons pas besoin de
S&P pour mettre le doigt sur ce dernier pro-
blme. Ce sont les notations dcernes par
BASF, Vanhool, Delhaize et Balta, pour ne
citer que quelques noms dentreprises bien
intentionnes lgard de notre pays, qui doi-
vent nous mobiliser. Leur valuation est cru-
ciale pour la croissance. Et cest prcisment
cette dernire qui doit faire la diffrence en
ces temps difficiles. Allons-nous continuer
appliquer la politique de lautruche ?
RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DLGU
ECO-CHQUES
La liste des produits et services est bien respecte>
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Le Conseil de la concurrence a publi une nouvelle communication dans
laquelle il dcrit la mthode suivre pour calculer les amendes en
matire de concurrence. Le montant de lamende, bas sur le chiffre
daffaires, sera modifi au gr de lexamen de diffrents facteurs tels
que la gravit de linfraction et sa dure. Des circonstances aggra-vantes (rcidive, refus de coopration, etc.) ou attnuantes (responsa-
bilit de lautorit publique, absence de mise en uvre, etc.) pourront
galement tre prises en compte. De plus, le montant pourra tre
influenc par des considrations tenant lquit et la proportionna-
lit. Enfin, comme en droit europen, le montant final de lamende ne
pourra jamais dpasser le plafond de 10% du chiffre daffaires.
La FEB salue la publication de ces nouvelles lignes directrices,
qui sont les bienvenues dans un domaine dans lequel les entreprises
navaient auparavant que peu dindications. La FEB accueille favora-
blement le fait que le Conseil tiendra compte de la situation individuellede chaque entreprise et acceptera dexaminer la capacit de lentreprise
payer lamende. La FEB craint toutefois que cette communication
napporte pas la prvisibilit suffisante en matire damende et quel-
le ne rserve un pouvoir discrtionnaire trop large au Conseil de la
concurrence. La FEB estime galement que cette communication ne
dtaille pas de manire suffisante
des concepts cls tels produits
concerns et infraction grave,
qui peuvent pourtant augmenter
fortement le montant de lamende.
Enfin, la FEB estime quil sagitdune occasion manque de recon-
natre que l existence dun
programme de compliance au
sein dune entreprise peut con-
s ti tu er u ne c ir co ns ta nc e
attnuante.
Pierre Sabbadini [email protected]
sans modifications jusquau 31 dcembre 2011.
Toutefois, si le contribuable dcide dappliquer lesnouvelles rgles ds 2011, ce choix vaudra pour
tous les biens dinvestissement mobiliers dont le
fait gnrateur de la taxe sest produit dans le cou-
rant de 2011. En ce qui concerne les biens
immobiliers, le nouveau rgime sapplique
DROIT DE LA CONCURRENCE
[
INFOR
FEB
2
19JANVIER
2012
]>
Publication des lignes directrices sur les amendes
>
Le Conseil de la concurren-ce acceptera dexaminer lacapacit de lentreprise payer lamende.
La Commission juridique sepenche sur les modes alterna-
tifs de rglement des litigesLa runion de la commission juridique de la FEB
tait place sous le signe des modes alternatifs de
glement des litiges (ADR). Il sagit de systmes
destins aider les consommateurs et les com-
merants rgler leurs litiges en dehors du tribu-
nal. Une partie neutre (mdiateur ou ombudsman)
unit les parties et leur propose une solution. Les
parties ont en effet tout intrt ce que le litige
rouve un rglement rapide, efficace et discret.
Plusieurs secteurs disposent dj dun service de
mdiation spcifique. Les membres de la com-
mission juridique ont eu une discussion active sur
es rcentes propositions en matire dADR en
Belgique et dans lUnion europenne.
Stefaan Verhamme [email protected]
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intgralement depuis le 1er janvier 2011.
Alain Lecocq [email protected]
PRODUITS DU TABAC
Un amendement ladirective est sourced'inquitudeDans le courant 2012, la directive relative
aux produits du tabac sera probablement
rvise. Pour ce faire, une consultation
publique a t faite en 2010, consultation laquelle la FEB a particip. Cette directive
rglemente la fabrication, la prsentation et
la vente des produits du tabac dans les tats
membres de lUE. Six sujets pourraient fai-
re lobjet damendements, dont un qui nous
intresse particulirement : la standardisa-
tion des paquets (plain packaging), base
sur un critre subjectif dattractivit. Notre
inquitude rside dans le fait que cette pro-
position rglementaire priverait les propri-
taires de marques dutiliser et dexploiter
pleinement leurs droits de proprit intel-
lectuelle. Une telle expropriation indirecte de
la proprit intellectuelle est inacceptable
et va lencontre des rgles tant euro-
pennes quinternationales sur la protection
des marques. Le risque est important que de
telles mesures stendent dautres secteursdactivit. De plus, en liminant les signes
distinctifs sur les paquets, la contrefaon
des produits en serait facilite.
La FEB a pleinement conscience des
consquences que de tels amendements
peuvent engendrer en termes de proprit
intellectuelle. Aussi elle suivra de prs la
rvision de ladite directive.
Anne-Laurence Cock [email protected]
VACANCES ANNUELLES
Un avis du Conseilnational du travailLes travailleurs pourront dsormais prendre
des vacances pendant leur premire anne
doccupation, sans que les dpenses de
pcule de vacances augmentent pour autant.
Les partenaires sociaux sont parvenus un
accord ce sujet dans lavis unanime
n 1791 du Conseil national du travail. Ils
apportent ainsi une rponse la critique de
la Commission europenne qui estimait que
la Belgique navait pas transpos correcte-
ment larticle 7 de la directive sur le temps
de travail. Celui-ci stipule que tout travailleur
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doit bnficier dun cong annuel pay daumoins quatre semaines. Ce nest pas toujours
le cas dans la rglementation actuelle. Il
appartient prsent au gouvernement de pro-
cder rapidement lexcution rglementaire
de cet avis.
Lavis du CNT correspond dans une lar-
ge mesure aux principes retenus par la FEB.
Il a permis dviter un surcot important. Mais
il est un fait que ladaptation de notre lgis-
lation en matire de vacances aux exigences
europennes accrot la complexit adminis-
trative et organisationnelle pour les
employeurs et leurs prestataires de service. La
FEB demande instamment que lexcution
concrte de lavis veille limiter ces charges
autant que possible.
Anneleen Bettens [email protected]
SERVICES DINTRTCONOMIQUE GNRAL
Un nouveau cadre euro-pen misant sur la clart
Fin dcembre 2011, la Commission adoptait
un nouvel ensemble de rgles relatives aux
aides dtat applicables aux services dintrt
conomique gnral (SIEG). Ce nouveau cadre
europen, qui remplace le paquet Monti-
Kroes datant de 2005, dveloppe plus ample-
ment les principes essentiels dapplicationpour ce type daides accordes par les autori-
ts en compensation de la prestation de SIEG.
Il prvoit des rgles plus simples pour les
SIEG de faible montant et tient davantage
compte des aspects de distorsion de concur-
rence pour les SIEG de plus grande ampleur.
Une communication apporte des claircisse-ments sur diverses notions relatives aux SIEG,
une dcision rvise concerne lobligation de
notification des compensations et ses exemp-
tions, et le nouvel encadrement traite des
montants des compensations (de la mthode
de calcul aux critres de compatibilit). Un
quatrime document est encore en prpara-
tion et devrait venir complter le nouveau
paquet SIEG au printemps 2012. Il sagit du
rglement de minimis, qui dfinit le seuil
sous lequel les compensations ne tombent
pas dans le champ dapplication du contrle
des aides dtat.
La FEB accueille favorablement une
srie de clarifications apportes par ce nouvel
encadrement, dont elle poursuit lexamen.
Elle dplore nanmoins que les services
sociaux dont linterprtation peut tre large
aient bnfici dune exemption gnrale.
Soucieuse du contrle des aides verses en
compensation de SIEG, elle suivra avec atten-
tion lvolution de la proposition de rglement
de minimis et relaiera l'information auprsde ses membres.
Anne-Laurence Cock [email protected]
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me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestiers*) et est
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DATE:
20, 27 JANUARY
3 FEBRUARY
FROM 12.30 P.M.
TO 6.00 P.M
VENUE:
FEB, BRUSSELS
DATE:
25 JANUARY
VENUE:
FEB, BRUSSELS
DATES ET LIEUX :
28 FVRIER (PM) FEB,
BRUXELLES ET 9 MARS
(AM) LEONARDO
HOTELS, WAVRE
Brussels School of Competition
The law and Economics of Abuse ofDominance: J.-F. Bellis A. PerrotPredatory pricing, rebates, refusal to deal, margin squeeze, pri-
ce discrimination, abuse of collective dominance,... All these topics are veryimportant for companies. The Brussels School of Competition offers you to getfamiliar with these topics during a 15 hours course spread on three Fridayafternoons.
Costs in Competition Law
Half-day compliance seminar co-organised bythe Brussels School of Competition (BSC) and
the European Institute for Legal Studies (IEJE) of theUniversity of LigeWith the dissemination of the 'more economic' approach in all areas of EUcompetition law, costs have become a key concept in antitrust proceedings.The purpose of this half-day compliance seminar is to offer a complete over-view of costs in EU competition law.
lections sociales 2012 : le jour des lections et lapremire runion du CE et CPPT
Entre le 7 et le 20 mai 2012, prs de 6.500 entreprises orga-niseront des lections en vue de la constitution des conseilsdentreprise et comits pour la prvention et la protection autravail. Dans les semaines qui suivront ces lections, ces orga-
nes de concertation tiendront leur premire runion.
Plus dinfos > www.feb > Manifestations & sminaires
REGISTRATION:
T + 32 0(2) 515 07 78
INFORMATION:
www.brusselsschoolofcompetition.eu
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INFOS :
Service Events : T 02 515 08 93,
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