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  • 8/3/2019 Certaines notations doivent nous mobiliser, Infor FEB 2, 19 janvier 2012

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    >INFORFEBWWW.FEB.BE

    La newsletter pour dcideurs

    [ 19 JANVIER 2012 N 19 ]

    Les tnors politiques autrichiens Faymann et

    Spindelegger ont qualifi dincomprhensi-

    bles les derniers dclassements de Standard&

    Poors.

    Lagence de notation de son ct estime que

    les dirigeants europens nont pas une

    approche suffisante des risques. Elle redoute

    un dangereux cocktail compos d'un octroi de

    crdits plus difficile, de primes de risque le-

    ves, d'un dmantlement de la dette qui

    affecte la croissance et de discorde europen-

    ne. S&P sinterroge sur la recapitalisation des

    banques et craint que les pays les plus tou-

    chs se lassent des rformes. juste titre.

    L'agence de notation distribue aussi des bons

    points, la BCE par exemple. Mais son prsi-

    dent Mario Draghi ferait bien dtre prudent

    car, mme pour les institutions europennes

    de premier plan, le pas entre flicitations et

    coup bas est vite franchi. Philippe Maystadt

    en a fait lexprience lorsquil a t confront,

    le 19 dcembre dernier, la dcision de Fitch

    de placer sous surveillance ngative la note

    AAA de la Banque europenne dinvestisse-

    ment. Ce qui est totalement incomprhen-

    sible, car il sagit dun des principaux et

    meilleurs dispensateurs de crdits au monde,

    dont les paiements en retard natteignent pas

    mme 100.000 EUR

    Il est agaant que les agences de notation

    mettent en garde contre une spirale ngative,

    alors qu'elles en sont elles-mmes un impor-

    tant instigateur. O tout cela va-t-il finir ?

    Comment, dans ces conditions, jeter des

    bases saines en faveur dune nouvelle crois-

    sance ? En raison du dclassement du FESF,

    nos voisins de lest doivent choisir entre la

    peste et le cholra. Il y aura appauvrissement

    quelle que soit la solution retenue. Mahathir

    Mohamad, Premier ministre de Malaisie pen-

    dant plus de 20 ans, a dclar dans le

    Financial Times du 11 janvier dernier que les

    Europens nont pas encore admis leur appau-

    vrissement collectif et quils doivent davanta-

    ge revenir la plus-value de lconomie relle

    et prendre leurs distances par rapport la cul-

    ture des bonus la Wall Street et des grves.

    Tant quune Union politique europenne ne

    sera pas possible, il nous faudra procder en

    concluant toute une srie de contrats compor-

    tant des clauses pnales svres et avec laide

    dun arbitre qui veille leur application rigou-

    reuse. Cest ce que fait enfin la Commission

    europenne. Rduire tout ceci une simple

    source dinspiration, cest faire preuve de

    bien peu de sens des ralits.

    Des rumeurs tenaces circulent dailleurs tou-

    jours au sujet dune scission potentielle entre

    une zone euro septentrionale et une zone euro

    mridionale. Cela semble peu raliste et ne

    comporterait pas que des avantages pour laile

    septentrionale En revanche, un tel scnario

    catastrophe nest pas long nous faire com-

    prendre que la Belgique ne doit pas prendre

    de grands airs en mettant des critiques sur

    un commissaire europen qui effectue srieu-

    sement son travail et nous tend simplement

    un miroir. Sil demeure un ministre qui doute-

    rait du groupe auquel doit appartenir notre

    pays dans ce scnario, dites-le nous !

    Il importe maintenant de suivre notre bon

    sens, de dvelopper nos forces et de combler

    nos faiblesses. Les entreprises et surtout les

    citoyens de notre pays sont relativement peu

    endetts. Le taux dendettement des mnages

    nest que de 84,2%, contre 99,3% pour la

    zone euro. Nous ne connaissons pas de vri-

    Il importe maintenant de suivrenotre bon sens, de dveloppernos forces et de combler nosfaiblesses.

    Certaines notations doivent nous mobiliser

    > DROIT DE LA CONCURRENCE > Publication des lignesdirectrices sur les amendes

    ECO-CHQUES > La liste des produits et services estbien respecte

    FISCALIT > TVA et voitures de socit : anciennesrgles dapplication pour 2011

    HEBDOMADAIRE BUREAU DE DPT : SINT-NIKLAAS P409959

    LE CHIFFRE DE LA SEMAINE PINGLER

    Acceptation correcte des co-chquesEn matire d'co-chques, desefforts ont t fournis par les com-merants. Ainsi, on constate uneconnaissance accrue de la listedes produits et services colo-giques et une acceptation correcte

    des co-chques chez plus de 98% des commerants contrls.

    >

    98%

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    2/4

    Instaurs par laccord interprofessionnel 2009-

    2010, les co-chques sont destins lachat

    des produits et services cologiques repris

    dans la liste exhaustive annexe la conven-

    tion collective n98 bis du Conseil national du

    travail (CNT). Pour sassurer que le bnficiai-

    re ne puisse acheter tout et nimporte quoi

    avec ses co-chques, les partenaires sociaux

    ont demand fin 2010 aux socits mettrices

    de mettre en place un mcanisme dautorgu-

    lation. Une campagne dinformation a t sui-vie de trois vagues de contrles effectus par

    un organisme indpendant auprs dun chan-

    tillon reprsentatif de commerants.

    Fin 2011, le CNT a valu ce mcanisme dau-

    torgulation (avis n 1787). La campagne din-

    formation a manifestement port ses fruits.

    Des efforts ont t fournis par les commer-

    ants si bien quon constate sur le terrain une

    connaissance accrue de la liste et une accep-

    tation correcte des co-chques chez plus de

    98% des commerants contrls. Lesquelques commerants contrls trois fois

    ngativement ont, quant eux, t exclus du

    rseau dacceptation.

    La FEB continue de suivre ce dossier de

    prs. Le respect de la liste des produits et ser-

    vices cologiques est en effet fondamentale

    pour la crdibilit du systme des co-chques

    et des partenaires sociaux qui grent la liste.

    Catherine Vermeersch [email protected]

    FISCALIT

    TVA et voitures de socit :anciennes rgles

    dapplication pour 2011Comme annonc prcdemment (Infor n 36

    du 17 novembre 2011), la dcision du 20

    octobre 2011 relative la dductibilit de la

    TVA sur les biens dinvestissement a t sus-

    pendue dans lattente de la publication dun

    addendum prcisant les modalits dapplica-

    tion pratiques. Afin de garantir la scurit juri-

    dique des contribuables, ladministration de

    la TVA a dcid le 10 janvier 2012 de ne pas

    exiger lapplication du nouveau rgime lgard des biens dinvestissement mobiliers

    dont le fait gnrateur de la taxe sest produit

    avant le 1er janvier 2012. En dautres termes,

    le contribuable peut continuer appliquer les

    rgles valables jusquau 31 dcembre 2010

    >

    >

    >

    La FEB et la cybersur-veillance

    la suite de son projet de recommandation etde son rapport sur la cybersurveillance, la

    Commission de la protection de la vie prive a

    organis en dcembre 2011 une aprs-midi

    d'tude qui fut l'occasion d'aborder diffrentes

    facettes du respect de la vie prive au travail.

    Lors d'un dbat anim par le professeur Paul De

    Hert en qualit de modrateur, Monica De

    Jonghe a prsent la position de la FEB. Son

    expos a essentiellement mis l'accent sur un

    souhait de pragmatisme, la recherche d'un jus-

    te quilibre entre la protection de la vie privedu travailleur et les intrts de l'entreprise, ain-

    si que sur le besoin de transparence.

    Monica De Jonghe [email protected]

    Jozef Lievens invit laPlate-forme PME

    La semaine dernire, la Plate-forme PME de laFEB a reu Jozef Lievens du cabinet davocats

    Eubelius et cofondateur de lInstitut de lentre-

    prise familiale. Il a expos les diverses alterna-

    tives ( savoir la succession familiale, la vente

    ou le contrle familial) parmi lesquelles les

    entreprises familiales peuvent choisir en mati-

    re de succession. Si elles optent pour la suc-

    cession familiale, il faut apporter une rponse

    cinq questions essentielles. Enfin, Jozef Lievens

    a galement prsent les dernires volutions

    dans les domaines juridique et fiscal.

    Geert Vancronenburg [email protected]

    Johan Vande Lanotte la FEB

    La direction de la FEB a rencontr lundi dernier

    Johan Vande Lanotte, vice-Premier ministre et

    ministre de lconomie, des Consommateurs et

    de la Mer du Nord. Ce fut loccasion de discu-

    ter dun certain nombre de questions de poli-

    tique gnrale ainsi que de dossiers relevant

    des nouvelles comptences du ministre. La pro-

    blmatique de la matrise des prix, chre au

    ministre, a t aborde. Il a t soulign lim-

    portance de prserver et de renforcer la comp-

    titivit des entreprises belges, certainement

    dans le contexte de ralentissement conomique

    que nous connaissons.

    Charles Gheur [email protected]

    >

    >>

    Jozef Lievens,cofondateur delInstitut delentreprisefamiliale.

    ACTION FEB

    table problme en termes dexcs sur le mar-

    ch immobilier. En revanche, la Belgique est

    confronte un risque important qui, dans

    lintervalle, a donn le coup de grce aux

    tats membres priphriques, savoir les

    hausses de prix et les drapages en matire

    de cots salariaux. Notre inflation est plus

    leve que celle de nos trois voisins depuis

    prs de deux ans dj et, ce mois-ci, des cen-

    taines de milliers de salaires ont encore aug-

    ment dun cran. Nous navons pas besoin de

    S&P pour mettre le doigt sur ce dernier pro-

    blme. Ce sont les notations dcernes par

    BASF, Vanhool, Delhaize et Balta, pour ne

    citer que quelques noms dentreprises bien

    intentionnes lgard de notre pays, qui doi-

    vent nous mobiliser. Leur valuation est cru-

    ciale pour la croissance. Et cest prcisment

    cette dernire qui doit faire la diffrence en

    ces temps difficiles. Allons-nous continuer

    appliquer la politique de lautruche ?

    RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DLGU

    ECO-CHQUES

    La liste des produits et services est bien respecte>

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    Le Conseil de la concurrence a publi une nouvelle communication dans

    laquelle il dcrit la mthode suivre pour calculer les amendes en

    matire de concurrence. Le montant de lamende, bas sur le chiffre

    daffaires, sera modifi au gr de lexamen de diffrents facteurs tels

    que la gravit de linfraction et sa dure. Des circonstances aggra-vantes (rcidive, refus de coopration, etc.) ou attnuantes (responsa-

    bilit de lautorit publique, absence de mise en uvre, etc.) pourront

    galement tre prises en compte. De plus, le montant pourra tre

    influenc par des considrations tenant lquit et la proportionna-

    lit. Enfin, comme en droit europen, le montant final de lamende ne

    pourra jamais dpasser le plafond de 10% du chiffre daffaires.

    La FEB salue la publication de ces nouvelles lignes directrices,

    qui sont les bienvenues dans un domaine dans lequel les entreprises

    navaient auparavant que peu dindications. La FEB accueille favora-

    blement le fait que le Conseil tiendra compte de la situation individuellede chaque entreprise et acceptera dexaminer la capacit de lentreprise

    payer lamende. La FEB craint toutefois que cette communication

    napporte pas la prvisibilit suffisante en matire damende et quel-

    le ne rserve un pouvoir discrtionnaire trop large au Conseil de la

    concurrence. La FEB estime galement que cette communication ne

    dtaille pas de manire suffisante

    des concepts cls tels produits

    concerns et infraction grave,

    qui peuvent pourtant augmenter

    fortement le montant de lamende.

    Enfin, la FEB estime quil sagitdune occasion manque de recon-

    natre que l existence dun

    programme de compliance au

    sein dune entreprise peut con-

    s ti tu er u ne c ir co ns ta nc e

    attnuante.

    Pierre Sabbadini [email protected]

    sans modifications jusquau 31 dcembre 2011.

    Toutefois, si le contribuable dcide dappliquer lesnouvelles rgles ds 2011, ce choix vaudra pour

    tous les biens dinvestissement mobiliers dont le

    fait gnrateur de la taxe sest produit dans le cou-

    rant de 2011. En ce qui concerne les biens

    immobiliers, le nouveau rgime sapplique

    DROIT DE LA CONCURRENCE

    [

    INFOR

    FEB

    2

    19JANVIER

    2012

    ]>

    Publication des lignes directrices sur les amendes

    >

    Le Conseil de la concurren-ce acceptera dexaminer lacapacit de lentreprise payer lamende.

    La Commission juridique sepenche sur les modes alterna-

    tifs de rglement des litigesLa runion de la commission juridique de la FEB

    tait place sous le signe des modes alternatifs de

    glement des litiges (ADR). Il sagit de systmes

    destins aider les consommateurs et les com-

    merants rgler leurs litiges en dehors du tribu-

    nal. Une partie neutre (mdiateur ou ombudsman)

    unit les parties et leur propose une solution. Les

    parties ont en effet tout intrt ce que le litige

    rouve un rglement rapide, efficace et discret.

    Plusieurs secteurs disposent dj dun service de

    mdiation spcifique. Les membres de la com-

    mission juridique ont eu une discussion active sur

    es rcentes propositions en matire dADR en

    Belgique et dans lUnion europenne.

    Stefaan Verhamme [email protected]

    >

    intgralement depuis le 1er janvier 2011.

    Alain Lecocq [email protected]

    PRODUITS DU TABAC

    Un amendement ladirective est sourced'inquitudeDans le courant 2012, la directive relative

    aux produits du tabac sera probablement

    rvise. Pour ce faire, une consultation

    publique a t faite en 2010, consultation laquelle la FEB a particip. Cette directive

    rglemente la fabrication, la prsentation et

    la vente des produits du tabac dans les tats

    membres de lUE. Six sujets pourraient fai-

    re lobjet damendements, dont un qui nous

    intresse particulirement : la standardisa-

    tion des paquets (plain packaging), base

    sur un critre subjectif dattractivit. Notre

    inquitude rside dans le fait que cette pro-

    position rglementaire priverait les propri-

    taires de marques dutiliser et dexploiter

    pleinement leurs droits de proprit intel-

    lectuelle. Une telle expropriation indirecte de

    la proprit intellectuelle est inacceptable

    et va lencontre des rgles tant euro-

    pennes quinternationales sur la protection

    des marques. Le risque est important que de

    telles mesures stendent dautres secteursdactivit. De plus, en liminant les signes

    distinctifs sur les paquets, la contrefaon

    des produits en serait facilite.

    La FEB a pleinement conscience des

    consquences que de tels amendements

    peuvent engendrer en termes de proprit

    intellectuelle. Aussi elle suivra de prs la

    rvision de ladite directive.

    Anne-Laurence Cock [email protected]

    VACANCES ANNUELLES

    Un avis du Conseilnational du travailLes travailleurs pourront dsormais prendre

    des vacances pendant leur premire anne

    doccupation, sans que les dpenses de

    pcule de vacances augmentent pour autant.

    Les partenaires sociaux sont parvenus un

    accord ce sujet dans lavis unanime

    n 1791 du Conseil national du travail. Ils

    apportent ainsi une rponse la critique de

    la Commission europenne qui estimait que

    la Belgique navait pas transpos correcte-

    ment larticle 7 de la directive sur le temps

    de travail. Celui-ci stipule que tout travailleur

    >

    >

  • 8/3/2019 Certaines notations doivent nous mobiliser, Infor FEB 2, 19 janvier 2012

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    doit bnficier dun cong annuel pay daumoins quatre semaines. Ce nest pas toujours

    le cas dans la rglementation actuelle. Il

    appartient prsent au gouvernement de pro-

    cder rapidement lexcution rglementaire

    de cet avis.

    Lavis du CNT correspond dans une lar-

    ge mesure aux principes retenus par la FEB.

    Il a permis dviter un surcot important. Mais

    il est un fait que ladaptation de notre lgis-

    lation en matire de vacances aux exigences

    europennes accrot la complexit adminis-

    trative et organisationnelle pour les

    employeurs et leurs prestataires de service. La

    FEB demande instamment que lexcution

    concrte de lavis veille limiter ces charges

    autant que possible.

    Anneleen Bettens [email protected]

    SERVICES DINTRTCONOMIQUE GNRAL

    Un nouveau cadre euro-pen misant sur la clart

    Fin dcembre 2011, la Commission adoptait

    un nouvel ensemble de rgles relatives aux

    aides dtat applicables aux services dintrt

    conomique gnral (SIEG). Ce nouveau cadre

    europen, qui remplace le paquet Monti-

    Kroes datant de 2005, dveloppe plus ample-

    ment les principes essentiels dapplicationpour ce type daides accordes par les autori-

    ts en compensation de la prestation de SIEG.

    Il prvoit des rgles plus simples pour les

    SIEG de faible montant et tient davantage

    compte des aspects de distorsion de concur-

    rence pour les SIEG de plus grande ampleur.

    Une communication apporte des claircisse-ments sur diverses notions relatives aux SIEG,

    une dcision rvise concerne lobligation de

    notification des compensations et ses exemp-

    tions, et le nouvel encadrement traite des

    montants des compensations (de la mthode

    de calcul aux critres de compatibilit). Un

    quatrime document est encore en prpara-

    tion et devrait venir complter le nouveau

    paquet SIEG au printemps 2012. Il sagit du

    rglement de minimis, qui dfinit le seuil

    sous lequel les compensations ne tombent

    pas dans le champ dapplication du contrle

    des aides dtat.

    La FEB accueille favorablement une

    srie de clarifications apportes par ce nouvel

    encadrement, dont elle poursuit lexamen.

    Elle dplore nanmoins que les services

    sociaux dont linterprtation peut tre large

    aient bnfici dune exemption gnrale.

    Soucieuse du contrle des aides verses en

    compensation de SIEG, elle suivra avec atten-

    tion lvolution de la proposition de rglement

    de minimis et relaiera l'information auprsde ses membres.

    Anne-Laurence Cock [email protected]

    >

    Grap

    hismee

    tpro

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    Ma

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    FEB Fdration des Entreprises de Belgique ASBLrue Ravenstein 4 1000 Bruxelles tl. 02 515 08 11 fax 02 515 09 15

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    LInfor est imprim sur du papier issu de la gestion durable des forts. La gestion durable des forts tient compte de l'cosyst-

    me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestiers*) et est

    responsable d'un point de vue conomique.

    >

    DATE:

    20, 27 JANUARY

    3 FEBRUARY

    FROM 12.30 P.M.

    TO 6.00 P.M

    VENUE:

    FEB, BRUSSELS

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    FEB, BRUSSELS

    DATES ET LIEUX :

    28 FVRIER (PM) FEB,

    BRUXELLES ET 9 MARS

    (AM) LEONARDO

    HOTELS, WAVRE

    Brussels School of Competition

    The law and Economics of Abuse ofDominance: J.-F. Bellis A. PerrotPredatory pricing, rebates, refusal to deal, margin squeeze, pri-

    ce discrimination, abuse of collective dominance,... All these topics are veryimportant for companies. The Brussels School of Competition offers you to getfamiliar with these topics during a 15 hours course spread on three Fridayafternoons.

    Costs in Competition Law

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    the European Institute for Legal Studies (IEJE) of theUniversity of LigeWith the dissemination of the 'more economic' approach in all areas of EUcompetition law, costs have become a key concept in antitrust proceedings.The purpose of this half-day compliance seminar is to offer a complete over-view of costs in EU competition law.

    lections sociales 2012 : le jour des lections et lapremire runion du CE et CPPT

    Entre le 7 et le 20 mai 2012, prs de 6.500 entreprises orga-niseront des lections en vue de la constitution des conseilsdentreprise et comits pour la prvention et la protection autravail. Dans les semaines qui suivront ces lections, ces orga-

    nes de concertation tiendront leur premire runion.

    Plus dinfos > www.feb > Manifestations & sminaires

    REGISTRATION:

    T + 32 0(2) 515 07 78

    [email protected]

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    www.brusselsschoolofcompetition.eu

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