centraide quÉbec et chaudiÈre - apalaches À l’aide des gens d’ici

CENTRAIDE QUÉBEC et CHAUDIÈRE - APALACHES

À L’AIDE DES GENS D’ICI

Centraide Québec et Chaudière-Appalaches

Orientation principale depuis 1996

Faire de la lutte contre la pauvreté

son principal objet d’intervention

PYRAMIDE DE MASLOW

Un individu ne peut se sentir en sécurité (niveau 2) si sa première préoccupation est de trouver à boire et à manger (niveau 1)

Pour accéder au niveau supérieur, il faut d’abord combler ses besoins de base

Pauvreté

Répondre à un

besoin de base

Briser l’isolement

(contrer l’exclusion)

Valoriser et développer

les compétence

s

Participer aux décisions relatives à

l’action de l’organisme

Jouer un rôle actif dans son milieu

Soutien aux organismesLes interventions les plus efficaces dans la lutte contre la pauvreté

AIDE ALIMENTAIRE …

Source: Association canadienne des banques alimentaires (2004)

Au Québec, c’est 236 717 personnes

(près de 100 000 ménages) qui sont aidées par les

18 banques alimentairesCENTRAIDE QUÉBEC ET CHAUDIÈRE-APPALACHES FINANCE

MOISSON QUÉBEC ET MOISSON BEAUCE

AIDE ALIMENTAIRE …Source: Association canadienne des banques alimentaires (2004)

En moyenne, 40 % des personnes qui sont aidées par les banques alimentaires sont

des enfants

CENTRAIDE QUÉBEC ET CHAUDIÈRE-APPALACHES FINANCE MOISSON QUÉBEC, MOISON BEAUCE, ET DE NOMBREUX ORGANISMES

QUI FONT DE LA DISTRIBUTION ALIMENTAIRE

AIDE ALIMENTAIRE

Source: Plan d’action local en santé publique 2006-2010, CSSS Vieille Capitale

Sur le territoire du CSSS Vieille Capitale,

28 000 personnes rencontrent ou craignent de rencontrer des difficultés

d’approvisionnement alimentaire

CENTRAIDE QUÉBEC ET CHAUDIÈRE-APPALACHES FINANCE DE NOMBREUX ORGANISMES FAISANT DE LA DISTRIBUTION ALIMENTAIRE

LA PAUVRETÉ ET LES ENFANTS

Source: le Devoir, 7 nov. 2001

Les enfants d’une famille pauvre courent 2 fois plus de risque

d’être malades, hospitalisés et en moins bonne santé

que les enfants vivant dans une famille aisée

LE PIGNON BLEU A OFFERT EN 2004-2005, 374 218 COLLATIONS DANS 13 ÉCOLES.PLUSIEURS ORGANISMES ANIMENT DES ATELIERS DE CUISINES COLLECTIVES,

ATELIERS DE PURÉE DE BÉBÉS ET DES JARDINS COLLECTIFS POUR AIDER LES FAMILLES À NOURRIR LEURS ENFANTS.

Répartition du nombre de personnes recevant de l’aide alimentaire par territoire de CLSC (région 03)

Basse-Ville-Limoilou-Vanier 62 % Haute-Ville-Des-Rivières 8 % Sainte-Foy-Sillery-Laurentien 8 % Haute-Saint-Charles 7 % La Source 2 % Orléans 5 %

Source: Portrait du réseau d’aide alimentaire de la région de la Capitale Nationale (par Agence de développement des réseaux locaux de SSS

de la Capitale Nationale et la Direction de la santé publique, mai 2004)

PYRAMIDE DE MASLOW

Un individu ne peut se sentir en sécurité (niveau 2) si sa première préoccupation est de trouver à boire et à manger (niveau 1)

Pour accéder au niveau supérieur, il faut d’abord combler ses besoins de base

LOGEMENT ET PAUVRETÉ

Source: CSN « Pour vivre comme tout le monde (…) »mars 2003

Le logement accapare plus de 40 % du revenu net des plus pauvres

comparativement à 12 % chez les plus riches

FINANCÉ PAR CENTRAIDE QUÉBEC ET CHAUDIÈRE-APPALACHES,LE B.A.I.L. A INFORMÉ 2 500 PERSONNES PAR TÉLÉPHONE

ET ORGANISÉ UNE CAMPAGNE CONTRE LES HAUSSES ABUSIVES DES LOYERS (DISTRIBUTION DE 400 AFFICHES ET 5 000 DÉPLIANTS)

LOGEMENT

Source : SHQ, Profil de l’habitation du Québec

Pour la ville de Lévis : 4 460 ménages (28,4 %) consacraient plus de 30 % de

leur revenu pour se loger et 2 080 ménages (soit 13,2 %), plus

de 50 %.

LOGEMENT ET PAUVRETÉ

Source: CSN « Pour vivre comme tout le monde (…) »mars 2003

Bien souvent les logements des pauvres nécessitent plus de

chauffage, de réparations, ils sont trop petits pour la famille…

SELON LA COALITION POUR LE DROIT AU LOGEMENT DE LA RÉGION DE QUÉBEC, LES GENS NE PEUVENT CHANGER DE LOGEMENT MALGRÉ LEURS DIFFICULTÉS,

CAR IL Y A UN MANQUE FLAGRANTS DE LOGEMENTS SOCIAUX

LA PAUVRETÉ ET LES FEMMES

Source: Conseil du statut de la femme « Les conditions de vie des femmes (…) »

Dans la région de Québec, il y a deux fois plus de ménages pauvres à chef féminin (40

%) que masculin (21 %)

Pauvreté : le niveau de revenu sous lequel on ne peut plus comblerses besoins de base

70 % DE LA CLIENTÈLE DU CENTRE-FEMMES D’AUJOURD’HUI SONT DES FEMMES DÉFAVORISÉES ET SANS EMPLOI STABLE MALGRÉ LEUR SCOLARISATION, ELLES SONT ENDETTÉES PAR LEURS ÉTUDES, ET N’ARRIVENT PAS À SE

TROUVER UN LOGEMENT ABORDABLE SUR LE TERRITOIRE DE SAINTE-FOY

LA PAUVRETÉ ET LES FEMMES

Source: Conseil du statut de la femme « Les conditions de vie des femmes (…) »

Dans la région métro de Québec, 56 % des personnes vivant sous le seuil de

faible revenu sont des femmes

SEUIL DE FAIBLE REVENU :niveau sous lequel on ne peut plus combler ses besoins de base

PAUVRETÉ ET TRAVAIL

LE TRAVAIL, UN REMPART CONTRE LA PAUVRETÉ ?

En mai 2007 le salaire minimum est fixé à 8,00 $ : à 40 heures/semaine

cela donne 320 $ par semaine

(16 640 $/année, soit 21 % sous le seuil de faible revenu)

Salaire minimum annuel = 16 640 $

En 2005, le seuil de faible revenu (avant impôt) pour une personne seule est de 20,778 $ et de 38 610 $ pour

un ménage de 4 personnes.

Source: Statistique Canada « Les seuils de faible revenu de 2005 et les mesures de faible revenu de 2004 »

Salaire minimum

Le salaire minimum devrait être de 10,22 $ / heure pour qu’une

personne travaillant à temps plein atteigne le seuil de faible revenu.

(Selon une étude de l’organisme « Au bas de l’échelle »)

PAUVRETÉ ET TRAVAIL

Source: CSN « Pour vivre comme tout le monde (…) » mars 2003

En 2001, dans la province de Québec, un travailleur sur 5 gagnait

moins de 10 $ de l’heure (1 sur 10 est à moins de 8 $/heure)

Centraide Québec et Chaudière-AppalachesOrientation principale depuis 1996



Des exemples d’actions efficaces par les organismes de Centraide

Petits budgets, situations d’endettement… Services de consultation budgétaire Formations pour agir en consommateur

responsable Services de cuisines collectives Groupes d’achat Soutien aux démarches avec les créanciers

PAUVRETÉ ET ASSISTANCE - EMPLOISource: Institut de la statistique du Québec

En décembre 2006, dans la régionde la Capitale nationale,

33 334 personnes dont 5 809 enfants bénéficiaient du programme

d’assistance - emploi

Pauvreté

Répondre à un

besoin de base




les compétence

s




Soutien aux organismesLes interventions les plus efficaces dans la lutte contre la pauvreté

PAUVRETÉ ET ASSISTANCE-EMPLOI

Journal de Québec, 2 juillet 2004

En général, les jeunes dans la trentaine

représente environ 20 % des prestataires

PAUVRETÉ ET ASSISTANCE - EMPLOI

Source : La soupe au caillou, numéro 152, 12 janvier 2004

80 % des fraudes à l’aide sociale sont le fait de seulement

4 % des prestataires

L’APPAUVRISSEMENTSource : CSN, Pour vivre comme tout le monde, Jeter les bases d’une société

sans pauvreté, mars 2003,

Un ménage sur 5 doit s’endetter pour faire face à

ses besoins de baseCENTRAIDE QUÉBEC ET CHAUDIÈRE-APPALACHES AIDE FINANCIÈREMENT

DES ORGANISMES TELS LES ACEF ET LE GRAPE, QUI AIDENT LES

PERSONNES DÉMUNIES DANS LES DOMAINES DU BUDGET, DU CRÉDIT,

DE L’ENDETTEMENT ET DE LA CONSOMMATION

L’APPAUVRISSEMENT

Source : FRAPRU, Réseau du Forum social (…) 2 février 2004

Le fédéral finançait 18 000 logements par année en 1994

Cette proportion est tombée à un peu plus de 1 000/année en 1999 (crise du logement)

SAINTE-FOY-SILLERY

Source: Plan d’action local en santé publique 2006-2010, CSSS Vieille Capitale

Bien que la situation de Sainte-Foy-Sillery soit plus favorable, on y compte plus de

18 000 personnes vivant sous le seuil de faible revenu

Seuil de faible revenu : le niveau sous lequel on ne peut plus combler

ses besoins de base

CENTRAIDE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ OÙ QU’ELLE SE TROUVE

ENFANTS PAUVRES !

Statistiques Canada, recensement 2001

Au total, près de1 245 700 enfants vivaient une

situation de faible revenu en 2000.Il s’agit d’une hausse de 3,5 % par rapport à dix ans plus tôt.

CENTRAIDE AGIT SUR LA PAUVRETÉ

PAR SES PROGRAMMES PETITE ENFANCE

L’APPAUVRISSEMENT

Source : Site Internet de l’OPC, novembre 2004, Banque Laurentienne

De 1990 à 2003 le taux d’épargne des canadiens (proportion du revenu net qui n’est pas dépensé) est passé de 13 % à 2,4 % du revenu

Donc de moins en moins de marge de manœuvre pour faire face aux impondérables (perte d’emploi, maladie, divorce, etc.)

10 % des familles canadiennes ont un revenu de plus de 117 850 $

Le total des ces revenus supérieurs constitue 28 % de tous les revenus des familles canadiennes

10 % des familles canadiennes ont un revenu de moins de 18 890 $

Le total des ces revenus inférieurs constitue 2 % de tous les revenus des familles canadiennes

Source: recensement 2001, Statistiques Canada

Secteurs de dénombrement ayant un revenu moyen des

ménages inférieurs à 20 000 $

Merci au laboratoire de géographie de l’Université Laval

Pauvreté

Répondre à un

besoin de base




les compétence

s




Soutien aux organismes

Les interventions les plus efficaces dans la lutte contre la pauvreté

Secteurs de dénombrements ayant un revenu moyen de ménages supérieurs à 100 000 $

Merci au laboratoire de géographie de l’Université Laval

LE SEUIL DE FAIBLE REVENU

Le seuil de faible revenu avant impôt est le niveau sous lequel

on ne peut plus combler ses besoins de base ;

Pour la Capitale nationale Québec, ce seuil est de 20 778 $ pour une personne seule et de 38 610 $ pour un couple avec 2 enfants

EMPLOI ET PAUVRETÉ

Conseil du statut de la femme, Les conditions de vie des femmes (…)Février 2003

Au Québec, parmi les familles sous le seuil de faible revenu, une sur 5

dispose de 2 revenus d’emploi

SEUIL DE FAIBLE REVENU :Le niveau sous lequel on ne peut plus combler ses besoins de base

LE SEUIL DE FAIBLE REVENU

60 % de la population de Saint-Roch vit avec des revenus de moins de 20 000 $.

Pour la Capitale nationale Québec, le seuil de faible revenu est de 20 778 $ pour

une personne seule et de 38 610 $ pour un couple avec 2 enfants

PYRAMIDE DE MASLOW

Les besoins sont hiérarchisés.

Chaque besoin supérieur ne

devient conscient ou accessible que

lorsque les besoins inférieurs sont

satisfaits.


179 organismes financés 9 000 bénévoles à la campagne 12 000 bénévoles au sein des

organismes 250 000 personnes aidées (1 sur 4) 8 893 168 $ recueillis en 2006 7 794 072 $ d’investissements pour 2007-

2008

centraide quÉbec et chaudiÈre - apalaches À l’aide des gens d’ici

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