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SOCIALISTE ABONNEMENTS laisetioa et Asitniesisteatioa Requelairee - TOULOUSE - Ta a-41" C...e.TC.44."72«.....13%.,ê.: »à, 6 mois 23 fr. / an tià ft. EUREAUX A PARIS . 40, Ra. de Trselee. 45 (IX' A.,....hemagat) MU JOUR LE ,10/.1 On it !essentiel aît L'EGLI SE ET LE NU cro conn ,..ralreeso.fflorétamtno1911 gliamoszoosrmew SIDSMarmausalTRate earaMetafflifflataaaMIZERS. aaaaaaa Vau a a Baueafteaebeinsaa-,m.ra,...aagelsannnealizaQam.*farasleas..eaaiaseraolpeasealaa.slanee aaaaa teeiemaame aaaaaa assevesiae aaaaaaaaaaaaaaa a a- p i r Elle est hien bonne t Vous vous IÔPPelita que, dès le lendemain des ,llectisms ou le spectre dtt bolchevis- me frt voter à droite, le pays chaque fois qu'il fut consulté, revint à sa tradition et vota à gauche. Chaque élection partielle était up sucres pour le bloc de gauche, un échec au Bloc national. Alors celui-ci fit comme l'Antony du vieux Dumas r, Elle nie résistait, 'le rai assassinée »; il supprima les élections partielles. Mais il y a la réunion publique- la Ligue des Droits de l'Homme, la Ligue de la République, nos Fédéra- tions elles-mêmes, qui ne se laissent pas enfermer dans les formules trop étroites où certains prétendent étio- ler le socialisme, organisent des réu- nions oit sans se confondre, toutes les nuonecs de end. affirment leur vo- kinté de s'unir contre l'adversaire qui, s'il triomphait aux prochaines élections deviendrait cette fois, el pour tout de bon, un danger de mort pour la République. Alors Bloc -national intima aux ministres idr. ré. vaquer ou de d épincer les fonction- naires, qui y prêtaient leurs concours. Et les ministres s'exécutèrent et exé- cutèrent, oublieux de CC que savaient bien les fondateurs de la République, cl que cette foule de petits fonction- naires c'était l'armature même de la République, ses missionnaires jus- qu'au fond des plus lointaines pro- yinces. Restaient les assemblées municipa- les, départementales. On a menace des fonctionnaires qui, conseillers municipaux, légalement et régulière- ment élus, défendaient dans les- Hô- tels de Ville les positions de la Ré- publique avancée. Et voici que M. Bonnefous somme le ministre de /Intérieur d'intimer à ses préfets l'ordre de s'opposer aux voeux que ceux-ri s'apprêtent à émettre sur la réforme électorale ! On empêche les représentants di- rects du pays, des gens qui, pure qu'ils n'ont cessé de vivre au sein de leurs concitoyens dans les cantons qu'ils représentent, ont beaucoup plus que nous, isolés dans mie Cham- bre qui s'en éloigne sans cesse, le .s,.ns de ce que veut ce pays qui n'a Flics la parole. ln lui refuse même pour donner son avis sur la Men qu'il préfère, je ne dis pas d'être mangé, mais d'être représenté. Noter que je ne me prononce pas sur le fond de la question, j'ai bien mon avis, mais je ne veux faire nulle LE COUP DE POUCE Lorsque, dans cette incohérente dédiam Made, qui -marqua la Mparation des Cham- bre, l'heure d'été mata en plan, 51. 1.1 casquer, -qui, en la circonstance, ne fit pas ligure de triomphateur. décida if in Tello u d, prendre aè...,evannho, et de jouer un bon tour au législateur eu se passant de celui-ci. Sain doute, aurait-il pu pelade, tors' simple décret, c'est, en effet, le pouvoir exécutif, représenté en l'espèce par le pue- consul de l'Observatoire. el du Bureau dim :Longitudes. qui est chargé de régler le ca- ncan national, et il n'apparaît nullement qu'une loi soit nécessaire à ce sujet. Le ministre, toutefois, n'osa pas aller Risque-Là et imagina de réaliser l'avance de l'iheurei par um ingenieum combijaisen d'arrestds et de circulaires. Théoriquemoni, c'ebalt, loua duale, possible; niais son eu_ ria pra Ç' sr lilaente/!ee egiemen'tg S, rath,u,' que Von risquerait fdeort de troubler xi° Pubh- que sans aboutir, du reste, a aselle re- stfitat. L'homélie, en effet. ne possède pas en lei la notion du temps; par le mut effet de son esprit, il est incapable de le mesumr ce de fixer le mornenté dès actes essentiels de sa vie individuelle ou sociale, et même de ms besoins périodiques normaux._ . 'Nuua Mmmes, en réalité, des automates, film je roux bien pour vous faire plaistr gnalilier d'admirables, et dont les mouve- ment mol:maux sont réglés par des glu innombrables el inextricables et qui se , n. tous commandos par f: Ber- i.ge ...lu situation des ruraux étant à At égard quelque Peu Plie'cun''..e' eng,,.//f/Ltpioidége,Igénia1 le de /U .fionnorat gotrun ;0 élaft impossible de eleu, _t f rienonctionnunent de eh- ., fils, rien en flatacitete g"e eceite horloge un coup de prenée, lui faire faire un tour brise mème l'arène à mon ami Erache, qui est lui, sous son air boa- gon, l'âme la plus charmante et l'es- prit le plus cultivé. lit puis /e Parti socialiste est lie par ses décisions an- térieures. H a décidé de faire son ef- fort pour la R. P. intégrale. Faisons- le donc de bonne humeur, et une fois pour toutes. S'il n'aboutit pas, alors je pense, nous reprendrons notre li- berté. Je ne compare pas davantage la consultation étriquée des Conseils généraux avec ces vastes referei, doms, dont les vraies démocraties ont pris l'habitude et qu'avec sa belle ténacité, que n'a pas entamée /a grave maladie qu'il vient de surmon- ter, notre ami Renaude/ a bien raz- son de voidoir introduire dans notre Constitution. Mais je dis qu'en l'absence d'élec- tions partielles, privé de sa parole constitutionnelle par le coup d'Etat parlementaire d'une majorité, des maintenant condamnée, la voix des Conseils généraux ne peut être né- gligée. Qu'elle s'élève donc haute et claire dmis cette crise de la République. M. Maunoury cederast-il aux soin- mations de' M. Bonnefous ? C'est bien possible. Encore que /es convictions de l'honorable ministre de l'Intérieur en matière de système électoral ne m'avaient pas souillé très arrêtées. Mais la majorité est exigeante et on dit que l'Elysée est derrière. Les pré- fets poseront donc la question préa- lable. C'est l'habitude: quand on vote des metione favorables au gouver- nement, tout est pour le muets quand on le blâme, c'est de la potin-. Ou» chasse réservée. Il reste toujours aux Conseils gé- néraux, qui ne sont pas satisfaits dn gâchis oit on entraîne la Républi- que, de se réunir hors séances. Et les préfets riront sous cape, car aise moitié, au moins, pense là-dessus comme vous et moi. PAUL-BONEOLIE. Mussolini condamné pour excès de vitesse Pendani une randonnée aux environs de Bologne, de Premier milieu, qui conduisait luienemn son uutomabile à une allure ex- cessive, fut arrôté Pa, 'la Police et évlt- traint à payer l'amende pour excès de vi- tesse. S'étant acquitté de sa pénalité il se fi reconnaitre et loua vivement /es agents dagre',itiiscsnenétuledelicUèrlse ee.?,',1.' dans Un calendrier scientifique universel, s'il vous plan! UN CALENDRIER SCIENIIFIQUE UNIVERSEL, S'IL VOUS PLUT La Russie. la Roumanie. la Chine. le Ja- pois et diverses autres contrées ont bien souvent désiré un calendrier uniforme pou- vant être adopté universellement afin de faciliter les relations internationales. Aujourd'hui se sont les astronomes de !a Grdee qui demandent à notre Académie des Sciences de faire aboutir le plus rapiat. ment possible la question de l'unification du calendrier. En effet. les Grena qat actuellement un entenditee en désaccord avec le nôtre. C'est le calendrier Julien de rthodo-s dont le Ables retardent de 13 jours sur nos dates courantes. Notre calendrier qui est celai établi ter le pape Grégoire XIII, en 1%2 , le nom do caffndrier grégorien. Comme sur certainS points particuliers, il n'est kuère pi 55 rationnel. /o Saint Synode de la Grée» n hésite pas h souhaiter que les deux e' lendriers en conflit. soient re.placés par en calendrier seienNique Eginitis, un savant astronome grec, ra.ppelle b l'Académie des Science, ,que ta réforme clu calendrier avait Ohé soumise ù l'examen d'une association de 1001e8 les académies en Bila b PetrOgrad. Bais la guerre ayant interrompu (le tra- vail. a été repris à Benne, en 1922 par l'Union ^si C'est maintenant h notre académie qu'il incombe de faire triompher la réformr. Ce sera fort difficile, CU toua le, astre- nomes ne sont pas du même avis. L'un d'eux, naguère, /ors d'une séance à la Sociédé astronomique de France, dé- clarait à Id. Camille Flammarion, un des plus ardenfs apôtres de ce P.i., nouveau calendrier universel ne pourrait être établi qu'avec l'accord des autorités ecclésiastiques, (le se Serai/ cru eu plein moyen-âge ! L'astronomie restée l'humble servante de In théologie Or, en ces matrcs, il no s'agit pas de religion niais de s.cienee. Le calendrier gré- gorien est condamné par ses défauts' i.necso,,sti,,GoidltIons présentent le maximum lt'rueequer vient très sagement de qu'il en revenait au coup de seinlarielite d i"» 1e Prfl"ha"iei eu resut très vralitserelia.IneWnt, tub r ja refusée avant les vacances, devenue, régleuses/- on s'en e' manque jamais, quand elle a e question, de dire oui des Pré Sente, Les en/dealer. français se //dépurer indecence des cosseges fcnunmé. da aut de leur chaire ; ils ne pees.nl Rée le Sot ton eousage) jusqu'à comprernettre lcur tien pour la sainte herse. de la chair Do Feutre côte des l'urètre:es. 1 00,0 trouoe un nmee eut a en I'.atece d eliastr, son mer n de m'estions photegrephieres serrés.- 7:,ort lee p/us grandes domes espagnoles atm,, da curelat.es iisstee /mes, à tels peints de eue. pnan; ssn grandes dsmes, i/ y eut ta plus giande i la reine, en une semplacuse toilette. lar- gement Merle., iai i Pada/Same,i me/ce, eue, Or. pesenne, iot.iI moine. n'a le droit de se juger offensé dea,,er pa ernMer les ch- ar n't; e'n'drir p alonsa. dend de m cellule, médite maintenant sur le respect qu'un suciteur de Dieu doit au « élu divin s 'ttit7 ,U 72 e>ttetère n'est peut le,»ttt1,Ton,:, ;:` " reeeee,, le banal sermon, se dit un iaur le /mn moine. Ce:noient retenir l'attente, de ,mes "` chiffons. Pcusquoi n le, parleraisee Pas dei« ferle 1 Ne pourra:aie pas /eu en, un do dames do la honte pecied et leur Mer, par quelyues emernplca bien ehesis, le cidecule et la prgtenbon voyage-an ils goe e eue leçon d'humilité et de tenue ! cul» bon moine cati et céhéonent exécuta Ire Poil. Sans doute connaissait il mol h, cur de. femmes... Loin de ebemdier, tes grandes Sejelle. Nwee cenpurent un cif arguait d'avais paru elec b» ,.,,o dans le dell de s rahus des nudités de gcrge c..nme si, discit oc ecielène siècle cites ne jugèrent la almée o10e0cuMe sue Peux di grecieuse majesté et dameenr leur indigne:tien. Si bien oui la meredité dont,» nista,. c'est pue les pends de co monde perme/Sant gee /len abuse di leu Portrait. pour une perdre, un tailleur nu casino... mais ils nc berarent p. eue l'on fasse de la morale sur /eue dos. Ch. RABETT. Un gâteau de 350 kilos C'EST POUR LF, REPAS DE NOCES DU DUC DX0I111 On met la main aux derniers préparatifs clu mariage du dut d'York. Le gâteau on mariage, qui vient, d'ôte, termine mastite trois mètres do haut et d'epe pagode chinoise. Sur /e parmurs dit cortège, presque tou- tes les fenêtres sont lonees. Le prix varie anise 3 et ll) guinées tele 220 h 150 franc., mais certaines sont louées beaucoup plus clmr. Un collège pour médiums 170 zgespeoit.,,er l'Illinois iiteen ec rréer on i s mé- diums. La durée des cours est de trois ans. Un diplôme sera anomale aux illôves qui auront subi avec succès t'examen de LE SOLEIL. ET L'HEURE OPTE, \\I 11// orge44,e/,.. e des propositions allemandes En attendant les troubles persistent Tumulte au Reichstag LES SOCIALISTES QUITTENT DE NOU- l'EAU LA SALLE. POUR FINANCER LA RESIST.ANCE PASSIVE, Bel lin. 28 muid. In projet de loi contre des portunbateurs de confiions publignes est remis d I jour, L'orateur socialiste ouste° qu'en Ba. ,vière sont tolérées des organisations uni on!, institué un régime de terreur contre Jesréunions prliques crUç,i,a sans qu'on leur ans lUr'él:1'neionas prise par r mspinisittions, oa invite jt massacrer les es mous res u qur le aouvernement bavarois intervienne ja- Mais. Un autre orateur déclare que c'est uni lui dirigée contre les ouvriers. Ida tu/nulle indiscriptible se produit; la gau- che quitte la salle et le quorum n'est de nouveau pas atteint. Duns une seconde séance, le Reichstag adopte dànnitivernent le 12e budget sup. piémontaise poue 15e. Dans ce budgct, lb est dl :notamment que le ministre des final-Ie. est autorisé ci se procurer par vue d'emprunts une somme d'environ 1500 milliards pour couvrir les dépenses extra- ordinaires faites one fois pour toutes. En outre, afin de faire face à des nécessités inéluctables résultant de l'occupation de la Ruhr, le ministre est autorise en ces de besoin à prêter caution. Toutefois, ta ga- rantie du Reich nd devra être donnée «après que ceux qui lui feront appel au- ront épuisé toutes les garanties dont lis disposent et qui la ronditien no l'emploieront ni directement ni indirecte- ment à as prémunir contre une liesse d. prix. Des Issus du Trésor pourront lire émis jusqu'à concurrence de 400 milliards de mark pot, des achats de céréales en Allemagne et à l'étranger, et d'aide. Vi- vres nécessaires. Ce que seraient les propositions allemandes .Leraires. 28 avril. 1.0 s Westminster -émette croit sa voir que le plan des rot/am/Ions que proposera le gouverne- ment. allemand comprendra tes points sui- ant vs 1. L'Allemagne et la France marineront un traite de mn tgression réciproque pour uno longue durée. -21 Ce traité sera appuyé de la signature des principales puisse.. européennes, qui entreprendront, dans toute la mesure possible. d'en faire exécuter les prévisions. 3 En cas d'acte d'agression pendant validité du traite, la responsabilité de Pada sera soumise bune cour internatio- nale constituée à cet effet. sortie. 4. La capacité de paiement d, l'Alleam- C2die leesee' ce qu'ils Me' je so0cs!s,m ut, I, Sassnisal, ------ Ire sabots à un Choral. Pavaient maintenu- je ne sais à lde de quel stratagème, pour voir combien de temps mettrait à mon- Quel est le médecin intelligent et impar- tial sur la uautét qumtion qui pourrait justifier _pareille cr - DIMANCHE 29 AYRIL Ions 16 CENT. C'est assez d'une guerre de Cent Ans dans l'his- toire d'un peuple. PETITS BILLETS Un pas en avant Comme dans la plupart des Assen, béées dépastementales, la question de la Ruhr a été soulevée au Conseil général du Rhône. L'intérêt du débat. Ment de la position qu'a prise M. Herriot, chef du parti radical. Un ancien député socialiste da Rhône, Voillot, a donné lecture d'une déclaration reconnaissant, avec tous les socialistes, le droit absoht de ln Flymce. !VIX réparations, mais con- damnant la méthode de violence cous.ployée mir le gouvernement. Le préfet a menacé de poser la question préalable. C 'est à ce moment que M. Flerriot est intervenu. Avec raison il a protesté contre la, menace préfectorale, faisant observer que M. Poincaré avait lui-même, à Bar-le-Due, longuement parlé potin- u u précedent gallons- p:r la France et par la Betgique est une premier chef. d s conséquénees d. FaceePtation do ce I Mais M. Herriot ne s'en est pas huai Id : bien qu'il estime qu'un échec Désordres de toutes sortes srlj '1ésr,t ru'', r te , t é, pn UN PONT SAUTE qu'en plus de la méthode de force il g a d'autres méthodes susceptibles des mêmes résultats et qu'il préco- niSe, pour sa part, n le recours aux négociations o. Il a ajouté qu'il s'y employait pour son compte et de son mieux. Le chef du parti radical el aussi son parti, puisqu'il a dit parler en son nom, viennent donc à la méthode que nous avons toujours défendue. Nous avons cru et nous l'avons dit que des négociations bien conduites, appuyées sur les masses populaires, pouvaient éviter l'aventure coûteuse. et dangereuse de la Ruhr. - Aujourd'hui que l'on est à la veilla de ces négociations, les radicaux s'»'roidéïlaesr tenttrfnms. point qu'ils s'arrêtent en si beau cime. min. L'eettore que nous ne pouvons faire seuls, ils devront nous aider à ht réaliser complètenumt. Action sue l'opinion publique, pression sur te gouvernement pour la conclusion d'accords définitifs donnant à notre pays les réparations auxquelles a droit, mais écartant toutes les causes de conflit pour l'avenir. Les nationalistes mènent home fus rieuse campagne pour l'occupation indéterminée de la Ruhr et pour S011 exploitation à notre profit. Nous de- mandons aux radicaux de faire triompher les idées de sagesse que les idées de sagesse que les conféren- ces entre socialistes alliés et sOltiete listes allemands ont permis de déga- ger. Laisser à la Société des Nations le soin de garantir la sécurité de la France et de la Belgique. Ce sera le seul moyen d'assurer la' paix en Europe. catrevie.ernat ions le. t on nr.rns-diair de la Oniir u eec ts Berlin, 28 avril. On ruande qu'on a fait, sauter hier, entre IlatiMgen et Smille .iv . n pont* de la digne militaire. Les détonations furent entendu. jusqu'à Witte. On n'a pas encore découvert les au- leurs de l'attentat, SENTINELLES BELGES ,ATTAQUEES Dusseldorf, 28 avril. Le 16 avril, à 16 Imures. Sterkrade, deux sentiriolies belges cheval, de 0151511, ont essuyé. plu- sieurs coups de feu, tin des deux eaavliers est inort des suites de scs blessures; tau- Ire est grièvement blessé. COLLISION ENTRE SOCIALISTES ET NATIONALISTES Berlin, 28 avril. Tin, é.chauffourée 'est produite. hier, dard dans la soirée, entre un groupe de socialistes et un dé- tachement de troupes d'assaut nationalts- tesD. es coups de f00001 été Osés; quatre personnes ont été assez :grièvement bles- .sée, Chômera-t-on à Berlin le premier mai ledit,, 28 avril. Les syndicats chré- tiens de Berlin ont pris la résolution de ne pas chômer le ler mai. Par contre, les communistes ont déposé au Reichstag une motion demandant au gouvernement allemand de permettre aux manifestations du fer mai do ise dérouler au centre de la vide. 0/1 sait qu'actuellement il est intenlit à toute démonstration et à toute man, festaien u'» parcourir eeraines grsndes no- hères de Berlin. EN ATTENDANT, DANS LA RUHR ON CROMIE PAR FORCE Duishourg, 28 avril. A Duishourg, la grève des ouvriers du bâtiment est com- plètement terminée, satisfaetion ayant élé donnée pur les entrepreneurs h leurs cm. ployés. A Witten, le chômage augmente da. des proportions eonsidérahles. Une réunion a été tenue dans le, Journée du Si. Los manifestants avaient projeté d'aller manifester devant le Reims, mais les assistants ont egtimé qu'il était préfet. raide de conserver une attitude moins lem/mante, Ils ont évoqué le sous/mir récent des in- / eldents ANdheint et I. brutalités po/i- l eières qui les ont suivie, vivisection est un crime LES PATS ANGLO-SAXONS NOUS MONTRENT L'EXEMPLE A SUIVRE L'Amérique, l'Angleterre, ont interdit la vi visection. La France la promet. Dans les labora- toires et /es amphithéâtres elle est rait courant. On dit. en matière d'excuse. qu'elte est, nécessaire aux progrès de la science. Los Américains et les Anglais doi- vent don( être des apprentis en matière chirurgicale ?... La vivisection est non soulmnent crime, mais une mouctruosité imbécile. Ee ll soulève dans l'opinen publique une telle indignation mie périodiquement le sujet en revient, hélas, d'actualité. Aulourillbui, c'est 19. Desvaux, conseil- ler municipal, qui demande au Préfet de police quelles plumes il compte prendre pour, conformément aux lois existant., épargner aux animaux ffs brutalités meur- trières des sadiques du scalpel et du fouet. Il si nsle, entreautres Moses, les eruall- Qualqu'un a pu écrire gon à fourrière il ne se passe 110C11110 ^. Nous sommes d'accord. mais ce qu'il est permis d'affirmer, sans crainte de garantie, ce que trop et personnes l es l rént, c'est que lu fourrière livre quotidli.neinent en certain nolehro in chiens dell inés à la vi- Chez les Fonctionnaires Le Conseil do /a Fédération Nationale des Syndicats de Fonctionnaires, réuni le 28 avril, au siège social. Prenant acte des déclarations du Prési- dent du Conseil lisant les devoirs des fon, tionnaires; S'élève contre une eoneeption aussi fausse du rôle de l'agent dos services pu- blics; Affirme, une fois de plus, que /es fonc- tionnaires sont au servie. de la Nation ef non de smajorités qui Pamentl Rappelle qui. dixerses reprises les or- ganisations de fonctionnaires ont dû prme des en mai. la défense des intérêt sgéné- raux du Pays contre les intérêts électo- raux et parfois contre les gouvernements eux-mêmes; Précise que /es fonctionanires peedent jamais de vue l'intévêt généra/ qui *n'est nullement en opposition av. Murs intérêts particuliers. Leurs travaux sur la réformé administrative en sont la meilleure dé- monstration; Déclare, que /e favoritisme et les ab. seuls font les révoltés. Les militants lune' tionnaires qu'on vise s'attachent à l'est. irréprochables sous /a rappot professions nel. Ce ne sont pas eux les indisciplinés; Constate que les brimades et les sen,: lions atteignent les agents des services pu. 11h00 attachés au régime rêpUbkcain; tau- dis que les fonctionnaires adhérant Action Franraise au manifestant, leur, attachement a. anciennes famines ré. soles. aol bats lineorel lés ret igées a certains chiens recueillis I Itoginito /1-aroir o s'engager dans lapela fours:ère et licr43 sus cnvntim, Picelonlo, les syndicalistes étant aise pris, alpe dol apolitiques. Meus, les attael doni jets do e Ut:Mn 1.t.'2 teconornt, queO ». leur font une obligation d'engager une action préventive pour se elisfendre Il lisais quo les fonctionnaires n ont nullement besoin do 1e0r lit.° Pour j011ie lb Ja cimitIttration de leurs concitoyens j lés fopeliennairos sont 1011je0 uns pro- Cria. imbéciles. dison-nous, h me oeil. (ail, l''.'"ki'l'ilm' " i' ni."" ' ni i'i" ' tient d'un fait q u i était autre!' 's sets', d s * . * .._.________.-oso-lre-77 ' fli)JUis'eceti'r.sea'vadenntohupd les quo- , gne sera fixée par I,, comité internatio- nal d'hommes J'affaires. apr. examen complet de sa situation financière, l'Aile- mogne ilaissant ce comité hautes facilités d'enquête. L'Allemagne exposerait aussi sa vo. ionté d'accepter les conclusions d'un tel tribunal. quel que soit le montant fixé, 01 de remplir les obligations qui lui 0,2,011l e11p0SéeS, aussi bien pour le montant to- tal des réparations que pour les délais et termes de paiement. 5. Le montant total dos riparation.3 ainsi Osé sera garanti par des émissions de bons lis lo gouvernmnent allemand, sous unO O dénonce l'injtéren0e de la poliiique dans les administrations. L'interception ad Préfets qui dessaisissent les chefs adminis- Gants, sera génératrice éle cenfusion et de désordre; Il onprome Inc nouvelles sanctions prises ou annoncées pour délit. 550piniOn. Ces vio- lenges révoltent toutes Ms consolonss', elis ne ciAngeront rien au programme me &esti traoê la Fédératioa. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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SOCIALISTEABONNEMENTS

laisetioa et Asitniesisteatioa Requelairee - TOULOUSE - Ta a-41" C...e.TC.44."72«.....13%.,ê.:

»à, 6 mois 23 fr. / an tià ft. EUREAUX A PARIS . 40, Ra. de Trselee. 45 (IX' A.,....hemagat)

MU JOUR LE ,10/.1On it !essentiel

aîtL'EGLI SE ET LE NU

cro conn,..ralreeso.fflorétamtno1911 gliamoszoosrmew SIDSMarmausalTRate earaMetafflifflataaaMIZERS.

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a- p i rElle est hien bonne t Vous vous

IÔPPelita que, dès le lendemain des,llectisms ou le spectre dtt bolchevis-me frt voter à droite, le pays chaquefois qu'il fut consulté, revint à satradition et vota à gauche. Chaqueélection partielle était up sucrespour le bloc de gauche, un échec auBloc national.

Alors celui-ci fit comme l'Antonydu vieux Dumas r, Elle nie résistait,'le rai assassinée »; il supprima lesélections partielles.

Mais il y a la réunion publique-la Ligue des Droits de l'Homme, laLigue de la République, nos Fédéra-tions elles-mêmes, qui ne se laissentpas enfermer dans les formules tropétroites où certains prétendent étio-ler le socialisme, organisent des réu-nions oit sans se confondre, toutes lesnuonecs de end. affirment leur vo-kinté de s'unir contre l'adversairequi, s'il triomphait aux prochainesélections deviendrait cette fois, elpour tout de bon, un danger de mortpour la République. Alors Bloc-national intima aux ministres idr. ré.vaquer ou de d épincer les fonction-naires, qui y prêtaient leurs concours.Et les ministres s'exécutèrent et exé-cutèrent, oublieux de CC que savaientbien les fondateurs de la République,cl que cette foule de petits fonction-naires c'était l'armature même de laRépublique, ses missionnaires jus-qu'au fond des plus lointaines pro-yinces.

Restaient les assemblées municipa-les, départementales. On a menacedes fonctionnaires qui, conseillersmunicipaux, légalement et régulière-ment élus, défendaient dans les- Hô-tels de Ville les positions de la Ré-publique avancée.

Et voici que M. Bonnefous sommele ministre de /Intérieur d'intimer àses préfets l'ordre de s'opposer auxvoeux que ceux-ri s'apprêtent àémettre sur la réforme électorale !

On empêche les représentants di-rects du pays, des gens qui, purequ'ils n'ont cessé de vivre au sein deleurs concitoyens dans les cantonsqu'ils représentent, ont beaucoupplus que nous, isolés dans mie Cham-bre qui s'en éloigne sans cesse, le.s,.ns de ce que veut ce pays qui n'aFlics la parole. ln lui refuse mêmepour donner son avis sur la Menqu'il préfère, je ne dis pas d'êtremangé, mais d'être représenté.

Noter que je ne me prononce passur le fond de la question, j'ai bienmon avis, mais je ne veux faire nulle

LE COUP DE POUCE

Lorsque, dans cette incohérente dédiamMade, qui -marqua la Mparation des Cham-bre, l'heure d'été mata en plan, 51. 1.1

casquer, -qui, en la circonstance, ne fitpas ligure de triomphateur. décida if inTello u d, prendre aè...,evannho, et de jouerun bon tour au législateur eu se passantde celui-ci.

Sain doute, aurait-il pu pelade, tors'simple décret, c'est, en effet, le pouvoirexécutif, représenté en l'espèce par le pue-consul de l'Observatoire. el du Bureau dim

:Longitudes. qui est chargé de régler le ca-ncan national, et il n'apparaît nullementqu'une loi soit nécessaire à ce sujet.

Le ministre, toutefois, n'osa pas allerRisque-Là et imagina de réaliser l'avancede l'iheurei par um ingenieum combijaisend'arrestds et de circulaires. Théoriquemoni,c'ebalt, loua duale, possible; niais son eu_ria pra

Ç'sr lilaente/!eeegiemen'tg

S,

rath,u,' que Vonrisquerait fdeort de troubler xi° Pubh-que sans aboutir, du reste, a aselle re-stfitat.L'homélie, en effet. ne possède pas en leila notion du temps; par le mut effet de

son esprit, il est incapable de le mesumrce de fixer le mornenté dès actes essentielsde sa vie individuelle ou sociale, et mêmede ms besoins périodiques normaux._ .

'Nuua Mmmes, en réalité, des automates,film je roux bien pour vous faire plaistrgnalilier d'admirables, et dont les mouve-ment mol:maux sont réglés par des gluinnombrables el inextricables et qui se, n. tous commandos par f: Ber-i.ge ...lu situation des ruraux étant àAt égard quelque Peu Plie'cun''..e'eng,,.//f/Ltpioidége,Igénia1 le de /U .fionnorat

gotrun ;0 élaft impossible deeleu, _t frienonctionnunent de eh-., fils, rien

en flatacitete g"e

eceite horloge un coup de prenée,lui faire faire un tour

brise mème l'arène à mon amiErache, qui est lui, sous son air boa-gon, l'âme la plus charmante et l'es-prit le plus cultivé. lit puis /e Partisocialiste est lie par ses décisions an-térieures. H a décidé de faire son ef-fort pour la R. P. intégrale. Faisons-le donc de bonne humeur, et une foispour toutes. S'il n'aboutit pas, alorsje pense, nous reprendrons notre li-berté.

Je ne compare pas davantage laconsultation étriquée des Conseilsgénéraux avec ces vastes referei,doms, dont les vraies démocratiesont pris l'habitude et qu'avec sabelle ténacité, que n'a pas entamée /agrave maladie qu'il vient de surmon-ter, notre ami Renaude/ a bien raz-son de voidoir introduire dans notreConstitution.

Mais je dis qu'en l'absence d'élec-tions partielles, privé de sa paroleconstitutionnelle par le coup d'Etatparlementaire d'une majorité, desmaintenant condamnée, la voix desConseils généraux ne peut être né-gligée.

Qu'elle s'élève donc haute et clairedmis cette crise de la République.

M. Maunoury cederast-il aux soin-mations de' M. Bonnefous ? C'est bienpossible. Encore que /es convictionsde l'honorable ministre de l'Intérieuren matière de système électoral nem'avaient pas souillé très arrêtées.Mais la majorité est exigeante et ondit que l'Elysée est derrière. Les pré-fets poseront donc la question préa-lable. C'est l'habitude: quand on votedes metione favorables au gouver-nement, tout est pour le muetsquand on le blâme, c'est de la potin-.Ou» chasse réservée.

Il reste toujours aux Conseils gé-néraux, qui ne sont pas satisfaits dngâchis oit on entraîne la Républi-que, de se réunir hors séances.

Et les préfets riront sous cape, caraise moitié, au moins, pense là-dessuscomme vous et moi.

PAUL-BONEOLIE.

Mussolini condamnépour excès de vitesse

Pendani une randonnée aux environs deBologne, de Premier milieu, qui conduisaitluienemn son uutomabile à une allure ex-cessive, fut arrôté Pa, 'la Police et évlt-traint à payer l'amende pour excès de vi-tesse.

S'étant acquitté de sa pénalité il se fireconnaitre et loua vivement /es agents

dagre',itiiscsnenétuledelicUèrlse ee.?,',1.' dans

Un calendrier scientifique

universel, s'il vous plan!

UN CALENDRIER SCIENIIFIQUEUNIVERSEL, S'IL VOUS PLUT

La Russie. la Roumanie. la Chine. le Ja-pois et diverses autres contrées ont biensouvent désiré un calendrier uniforme pou-vant être adopté universellement afin defaciliter les relations internationales.

Aujourd'hui se sont les astronomes de !aGrdee qui demandent à notre Académie desSciences de faire aboutir le plus rapiat.ment possible la question de l'unificationdu calendrier.

En effet. les Grena qat actuellement unentenditee en désaccord avec le nôtre. C'estle calendrier Julien de rthodo-sdont le Ables retardent de 13 jours sur nosdates courantes.

Notre calendrier qui est celai établi terle pape Grégoire XIII, en 1%2 , lenom do caffndrier grégorien. Comme surcertainS points particuliers, il n'est kuèrepi 55 rationnel. /o Saint Synode de la Grée»n hésite pas h souhaiter que les deux e'lendriers en conflit. soient re.placés paren calendrier seienNique

Eginitis, un savant astronome grec,ra.ppelle b l'Académie des Science, ,que taréforme clu calendrier avait Ohé soumise ùl'examen d'une association de 1001e8 lesacadémies en Bila b PetrOgrad.

Bais la guerre ayant interrompu (le tra-vail. a été repris à Benne, en 1922 parl'Union ^siC'est maintenant h notre académie qu'ilincombe de faire triompher la réformr.Ce sera fort difficile, CU toua le, astre-nomes ne sont pas du même avis.L'un d'eux, naguère, /ors d'une séanceà la Sociédé astronomique de France, dé-

clarait à Id. Camille Flammarion, un desplus ardenfs apôtres de ce P.i.,nouveau calendrier universel ne pourraitêtre établi qu'avec l'accord des autoritésecclésiastiques, (le se Serai/ cru eu pleinmoyen-âge !

L'astronomie restée l'humble servante deIn théologie

Or, en ces matrcs, il no s'agit pas dereligion niais de s.cienee. Le calendrier gré-gorien est condamné par ses défauts'

i.necso,,sti,,GoidltIons présentent le maximum

lt'rueequer vient très sagement dequ'il en revenait au coup de

seinlarielite di"»

1ePrfl"ha"ieieu

resuttrès vralitserelia.IneWnt,

tubrja refusée avant les vacances,

devenue, régleuses/-

on s'en

e' manque jamais, quand elle ae question, de dire oui des

PréSente,

Les en/dealer. français se

//dépurer indecence des cosseges fcnunmé. daaut de leur chaire ; ils ne pees.nl Rée le Sot

ton eousage) jusqu'à comprernettre lcurtien pour la sainte herse. de la chair

Do Feutre côte des l'urètre:es. 1 00,0 trouoeun nmee eut a en I'.atece d eliastr, son mer

n de m'estions photegrephieres serrés.-7:,ort lee p/us grandes domes espagnoles atm,,da curelat.es iisstee /mes, à tels peints de eue.

pnan; ssn grandes dsmes, i/ y eut ta plusgiande i la reine, en une semplacuse toilette. lar-gement Merle., iai i Pada/Same,i me/ce,eue,

Or. pesenne, iot.iI moine. n'a le droit de sejuger offensé dea,,er pa ernMer les ch-ar

n't; e'n'drir p alonsa. dendde m cellule, médite maintenant sur le respectqu'un suciteur de Dieu doit au « élu divin s

'ttit7,U 72

e>ttetère n'est peutle,»ttt1,Ton,:,

;:` "reeeee,, le banal sermon, se dit un iaur le

/mn moine. Ce:noient retenir l'attente, de ,mes"`chiffons. Pcusquoi n le, parleraisee Pas dei«

ferle 1 Ne pourra:aie pas /eu en, undo dames do la honte pecied et leur Mer, parquelyues emernplca bien ehesis, le cidecule etla prgtenbon voyage-an ils goe eeue leçon d'humilité et de tenue !

cul» bon moine cati et céhéonent exécuta IrePoil. Sans doute connaissait il mol h, cur de.femmes... Loin de ebemdier, tes grandes Sejelle.Nwee cenpurent un cif arguait d'avais paru elecb» ,.,,o dans le dell de s rahus des nuditésde gcrge c..nme si, discit oc ecielène sièclecites ne jugèrent la almée o10e0cuMe sue Peux digrecieuse majesté et dameenr leur indigne:tien.

Si bien oui la meredité dont,» nista,. c'estpue les pends de co monde perme/Sant gee /lenabuse di leu Portrait. pour une perdre,un tailleur nu casino... mais ils nc berarentp. eue l'on fasse de la morale sur /eue dos.

Ch. RABETT.

Un gâteau de 350 kilos

C'EST POUR LF, REPAS DE NOCESDU DUC DX0I111

On met la main aux derniers préparatifsclu mariage du dut d'York.

Le gâteau on mariage, qui vient, d'ôte,termine mastite trois mètres do haut et

d'epe pagode chinoise.Sur /e parmurs dit cortège, presque tou-

tes les fenêtres sont lonees. Le prix varieanise 3 et ll) guinées tele 220 h 150 franc.,mais certaines sont louées beaucoup plusclmr.

Un collège pour médiums170 zgespeoit.,,er l'Illinois iiteen ecrréer on i s mé-

diums. La durée des cours est de troisans. Un diplôme sera anomale aux illôvesqui auront subi avec succès t'examen de

LE SOLEIL. ET L'HEURE OPTE,

\\I 11//orge44,e/,..

e

des propositions allemandesEn attendant les troubles persistent

Tumulte au Reichstag

LES SOCIALISTES QUITTENT DE NOU-l'EAU LA SALLE. POUR FINANCER

LA RESIST.ANCE PASSIVE,

Bel lin. 28 muid. In projet de loi contredes portunbateurs de confiions publignes estremis d I jour,

L'orateur socialiste ouste° qu'en Ba.,vière sont tolérées des organisations union!, institué un régime de terreur contre

Jesréunionsprliques crUç,i,a sans qu'on

leurans lUr'él:1'neionas

priseparr

mspinisittions, oa invite jt massacrer leses mous res u qur

le aouvernement bavarois intervienne ja-Mais.

Un autre orateur déclare que c'est tàuni lui dirigée contre les ouvriers. Idatu/nulle indiscriptible se produit; la gau-che quitte la salle et le quorum n'est denouveau pas atteint.

Duns une seconde séance, le Reichstagadopte dànnitivernent le 12e budget sup.piémontaise poue 15e. Dans ce budgct,lb est dl :notamment que le ministre desfinal-Ie. est autorisé ci se procurer parvue d'emprunts une somme d'environ 1500milliards pour couvrir les dépenses extra-ordinaires faites one fois pour toutes. Enoutre, afin de faire face à des nécessitésinéluctables résultant de l'occupation de laRuhr, le ministre est autorise en ces debesoin à prêter caution. Toutefois, ta ga-rantie du Reich nd devra être donnée«après que ceux qui lui feront appel au-ront épuisé toutes les garanties dont lisdisposent et qui la ronditien nol'emploieront ni directement ni indirecte-ment à as prémunir contre une liesse d.prix. Des Issus du Trésor pourront lireémis jusqu'à concurrence de 400 milliardsde mark pot, des achats de céréales enAllemagne et à l'étranger, et d'aide. Vi-vres nécessaires.

Ce que seraient

les propositions allemandes.Leraires. 28 avril. 1.0 s Westminster

-émette croit sa voir que le plan desrot/am/Ions que proposera le gouverne-ment. allemand comprendra tes points sui-

antvs1. L'Allemagne et la France marineront

un traite de mn tgression réciproque pouruno longue durée.

-21 Ce traité sera appuyé de la signaturedes principales puisse.. européennes,qui entreprendront, dans toute la mesurepossible. d'en faire exécuter les prévisions.

3 En cas d'acte d'agression pendantvalidité du traite, la responsabilité dePada sera soumise bune cour internatio-nale constituée à cet effet.

sortie. 4. La capacité de paiement d, l'Alleam-

C2die leesee' ce qu'ils Me' je so0cs!s,m ut, I, Sassnisal,

------

Ire sabots à un Choral. Pavaient maintenu-je ne sais à lde de quel stratagème, pourvoir combien de temps mettrait à mon-

Quel est le médecin intelligent et impar-tial sur la

uautétqumtion qui pourrait justifier

_pareille cr -

DIMANCHE 29 AYRIL Ions

16 CENT.

C'est assez d'une guerrede Cent Ans dans l'his-toire d'un peuple.

PETITS BILLETS

Un pas en avantComme dans la plupart des Assen,

béées dépastementales, la questionde la Ruhr a été soulevée au Conseilgénéral du Rhône. L'intérêt du débat.Ment de la position qu'a prise M.Herriot, chef du parti radical.

Un ancien député socialiste daRhône, Voillot, a donné lecture d'unedéclaration reconnaissant, avec tousles socialistes, le droit absoht de lnFlymce. !VIX réparations, mais con-damnant la méthode de violence

cous.ployéemir le gouvernement.Le préfet a menacé de poser la

question préalable. C 'est à ce momentque M. Flerriot est intervenu.

Avec raison il a protesté contre la,menace préfectorale, faisant observerque M. Poincaré avait lui-même, àBar-le-Due, longuement parlé potin-

u u précedent gallons-p:r la France et par la Betgique est une premier chef.d s conséquénees d. FaceePtation do ce IMais M. Herriot ne s'en est pas huai

Id : bien qu'il estime qu'un échecDésordres de toutes sortes srlj '1ésr,t ru'',r te , t é, pn

UN PONT SAUTE qu'en plus de la méthode de force ilg a d'autres méthodes susceptiblesdes mêmes résultats et qu'il préco-niSe, pour sa part, n le recours auxnégociations o.

Il a ajouté qu'il s'y employait pourson compte et de son mieux.

Le chef du parti radical el aussison parti, puisqu'il a dit parler enson nom, viennent donc à la méthodeque nous avons toujours défendue.Nous avons cru et nous l'avons ditque des négociations bien conduites,appuyées sur les masses populaires,pouvaient éviter l'aventure coûteuse.et dangereuse de la Ruhr.- Aujourd'hui que l'on est à la veilla

de ces négociations, les radicauxs'»'roidéïlaesrtenttrfnms.

point qu'ils s'arrêtent en si beau cime.min. L'eettore que nous ne pouvonsfaire seuls, ils devront nous aider àht réaliser complètenumt. Action sue

l'opinionpublique, pression sur tegouvernement pour la conclusiond'accords définitifs donnant à notrepays les réparations auxquelles adroit, mais écartant toutes les causesde conflit pour l'avenir.

Les nationalistes mènent home fusrieuse campagne pour l'occupationindéterminée de la Ruhr et pour S011exploitation à notre profit. Nous de-mandons aux radicaux de fairetriompher les idées de sagesse queles idées de sagesse que les conféren-ces entre socialistes alliés et sOltietelistes allemands ont permis de déga-ger. Laisser à la Société des Nationsle soin de garantir la sécurité de laFrance et de la Belgique.

Ce sera le seul moyen d'assurer la'paix en Europe.

catrevie.ernat ions le.t on nr.rns-diair de la Oniir u eec ts

Berlin, 28 avril. On ruandequ'on a fait, sauter hier, entre IlatiMgenet Smille .iv. n pont* de la digne militaire.Les détonations furent entendu. jusqu'àWitte.

On n'a pas encore découvert les au-leurs de l'attentat,

SENTINELLES BELGES ,ATTAQUEESDusseldorf, 28 avril. Le 16 avril, à

16 Imures. Sterkrade, deux sentirioliesbelges cheval, de 0151511, ont essuyé. plu-sieurs coups de feu, tin des deux eaavliersest inort des suites de scs blessures; tau-Ire est grièvement blessé.

COLLISION ENTRE SOCIALISTESET NATIONALISTES

Berlin, 28 avril. Tin, é.chauffourée'est produite. hier, dard dans la soirée,entre un groupe de socialistes et un dé-tachement de troupes d'assaut nationalts-tesD.es coups de f00001 été Osés; quatrepersonnes ont été assez :grièvement bles-.sée,

Chômera-t-on à Berlin

le premier mailedit,, 28 avril. Les syndicats chré-

tiens de Berlin ont pris la résolution de nepas chômer le ler mai.

Par contre, les communistes ont déposéau Reichstag une motion demandant augouvernement allemand de permettre auxmanifestations du fer mai do ise déroulerau centre de la vide.

0/1 sait qu'actuellement il est intenlità toute démonstration et à toute man,festaien u'» parcourir eeraines grsndes no-hères de Berlin.

EN ATTENDANT, DANS LA RUHRON CROMIE PAR FORCE

Duishourg, 28 avril. A Duishourg, lagrève des ouvriers du bâtiment est com-plètement terminée, satisfaetion ayant élédonnée pur les entrepreneurs h leurs cm.ployés.

A Witten, le chômage augmente da.des proportions eonsidérahles.

Une réunion a été tenue dans le, Journéedu Si. Los manifestants avaient projetéd'aller manifester devant le Reims, maisles assistants ont egtimé qu'il était préfet.raide de conserver une attitude moinslem/mante,

Ils ont évoqué le sous/mir récent des in-/ eldents ANdheint et I. brutalités po/i-l eières qui les ont suivie,

vivisection est un crimeLES PATS ANGLO-SAXONS

NOUS MONTRENT L'EXEMPLE A SUIVRE

L'Amérique, l'Angleterre, ont interdit lavi visection.

La France la promet. Dans les labora-toires et /es amphithéâtres elle est raitcourant. On dit. en matière d'excuse.qu'elte est, nécessaire aux progrès de lascience. Los Américains et les Anglais doi-vent don( être des apprentis en matièrechirurgicale ?...

La vivisection est non soulmnentcrime, mais une mouctruosité imbécile. Eellsoulève dans l'opinen publique une telleindignation mie périodiquement le sujeten revient, hélas, d'actualité.

Aulourillbui, c'est 19. Desvaux, conseil-ler municipal, qui demande au Préfet depolice quelles plumes il compte prendrepour, conformément aux lois existant.,épargner aux animaux ffs brutalités meur-trières des sadiques du scalpel et du fouet.

Il si nsle, entreautres Moses, les eruall-

Qualqu'un a pu écrire gon àfourrière il ne se passe 110C11110 ^.Nous sommes d'accord. mais ce qu'il estpermis d'affirmer, sans crainte de garantie,ce que trop et personnes les l rént, c'estque lu fourrière livre quotidli.neinent encertain nolehro in chiens dell inés à la vi-

Chez les FonctionnairesLe Conseil do /a Fédération Nationale des

Syndicats de Fonctionnaires, réuni le 28avril, au siège social.

Prenant acte des déclarations du Prési-dent du Conseil lisant les devoirs des fon,tionnaires;

S'élève contre une eoneeption aussifausse du rôle de l'agent dos services pu-blics;

Affirme, une fois de plus, que /es fonc-tionnaires sont au servie. de la Nation efnon de smajorités qui Pamentl

Rappelle qui. dixerses reprises les or-ganisations de fonctionnaires ont dû prmedes en mai. la défense des intérêt sgéné-raux du Pays contre les intérêts électo-raux et parfois contre les gouvernementseux-mêmes;

Précise que /es fonctionanires peedentjamais de vue l'intévêt généra/ qui *n'estnullement en opposition av. Murs intérêtsparticuliers. Leurs travaux sur la réforméadministrative en sont la meilleure dé-monstration;

Déclare, que /e favoritisme et les ab.seuls font les révoltés. Les militants lune'tionnaires qu'on vise s'attachent à l'est.irréprochables sous /a rappot professionsnel. Ce ne sont pas eux les indisciplinés;

Constate que les brimades et les sen,:lions atteignent les agents des services pu.11h00 attachés au régime rêpUbkcain; tau-dis que les fonctionnaires adhérant

Action Franraise au manifestant, leur,attachement a. anciennes famines ré.

soles. aol bats lineorellés ret igées a certains chiens recueillis I Itoginito /1-aroir o s'engager dans

lapelafours:ère et licr43 sus cnvntim, Picelonlo, les syndicalistes étant aise pris,alpe dol apolitiques. Meus, les attael doni

jets do e Ut:Mn 1.t.'2 teconornt,queO ». leur font une obligation d'engagerune action préventive pour se elisfendre

Il lisais quo les fonctionnaires n ontnullement besoin do 1e0r lit.° Pour j011ielb Ja cimitIttration de leurs concitoyens j

lés fopeliennairos sont 1011je0 uns pro-

Cria. imbéciles. dison-nous, h me oeil. (ail, l''.'"ki'l'ilm' " i' ni.""' ni i'i" 'tient d'un fait q u i était autre!' 's sets', d s * . *

.._.________.-oso-lre-77 ' fli)JUis'eceti'r.sea'vadenntohupd les quo-

,

gne sera fixée par I,, comité internatio-nal d'hommes J'affaires. apr. examencomplet de sa situation financière, l'Aile-mogne ilaissant ce comité hautes facilitésd'enquête.

L'Allemagne exposerait aussi sa vo.ionté d'accepter les conclusions d'un teltribunal. quel que soit le montant fixé, 01de remplir les obligations qui lui 0,2,011le11p0SéeS, aussi bien pour le montant to-tal des réparations que pour les délais ettermes de paiement.

5. Le montant total dos riparation.3 ainsiOsé sera garanti par des émissions de bons

lis lo gouvernmnent allemand, sous unO

O

dénonce l'injtéren0e de la poliiiquedans les administrations. L'interception adPréfets qui dessaisissent les chefs adminis-Gants, sera génératrice éle cenfusion et dedésordre;

Il onprome Inc nouvelles sanctions prisesou annoncées pour délit. 550piniOn. Ces vio-lenges révoltent toutes Ms consolonss', elisne ciAngeront rien au programme me &estitraoê la Fédératioa.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Cent Ans dans l'his- SOCIALISTE i rimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1923/B315556101... · 2010-03-05 · , n. tous commandos par f: Ber-i.ge...lu situation des ruraux étant à

LiNeelliDe____ 2 umemitzelletetett LE MIDI SOCIALISTE

--Y--Les Reillters de la guerre

L'ASSISTANCE AUX INVALIDESDU POUMON

La situation frite aux blessés du pou.enen est extrêmement pénible. Alors queles grands blessés, les aveugles, les am-putes, etc., jouissent d'avantages spore-riables, tant au point de vue du tauxde kat pension qu'à celui de leur réédu-cation professionnelle ; alors que lessoins chirurgicaux et orthopédiques sontpour eux convenablement organisés,feux que ron a annelés, si justementa inc parents pauvres n ont pas l'assis-tance ne 5dicale et sociale qui convient auterrible mal dont ils sont affligés.

D'abord, pourquoi écarter ces mal-heureux blesses du bénéfice de l'arti-cle 10 de la lei dee pensions du 31 mars1919 ? Cerreriont peut-on admettre queces grands invalides puissent iecevoir lessoms dont ils ont besoin avec la mmotee pension de 2.400 frimes, ces inva-lides étant dans 'impossibilité de faireun travail utile, et de plus ayant besoinde l'assistance constante d'une Perronne 7

11 est per conséquent nécessaire de ré-parer cette injustice primordiale. Disonsaussi que le diagnostic de leur maladie1s cm pas toujours exactement posé, cequi fait attribuer aux intéressés une pen-sion trop, faible. Ensuite, l'évolution es-

sentiellement chronique dos tubercu-leux et des gazés, compliqués d'aggra-vations difficiles à prevou et imputablesparfois au malade qui, abandonné à lui-/Ileum ne sc surveille plus ou commet deregrettables imprudences, entraînant uneaggravation de son état, ce qui naseproduirait peut-être point ni sa pensionlui permettait de recevoir les soins et lasurveillance d'une personne.

Disons aussi que la tuberculose ou-verm étant d'autre part une maladie con-tagieuse, il serait urgent que ces mala-des soient assurés d'une habitation gérée,ainsi que d'une alimentation saine etabondante, convenant à leur maladie.

11 feus également prévoir l'assistanceà la famille du malade obligé dune sou-Mettre à une cure sanatoriale. Il Y a lieupour les hommes dont la tuberculosepulmonaire, latente jusque ià a pré-sente une poussée évolutive pendant laguene, que /a pension intégrale de100 p. 100 soit allouée, comme s'il s'agis,sait d'une première atteinte de la mala-die. Cor nol:s erong vu pendant la guer-re, par l'inexistence regrettabe d'uneinspeaction a médicale a sérieusu et sou-vent car l'inceparité des majors des ma-lheureux ta/ameute:1x avérés, incompatessoit dans le service armé ou auxiliaire.

Quant aux bronchiteux chroniquessimples ou déclarés tels, et qui, Psi ...ireont été reconnus bs,cillaites, nous esti-mons également qu'ils ont droit à !a pen-sion intégrale. La prétendue bronchitechronique on-plu n'étant, ta plupart dutemps, qu'une manifestation larvéene tuberculose pulmonaire préexistanteet mn-connue.

Lalégielatino actuelle considerecomme tuberculose confirmée, celle quoOct établie par des signes cliniques et parsine. expectoration bacillifère. Nous nepensons pas que cette dernière et partrop limitative, des conditions doive êtremaintenue. Tous les spécialistes sentd'accord pour admettre qu'un sujet Peel

Pour un meilleur lelephone

mi SI LE SENAT VOTE LES CREDILSDEMANDES, NOUS AUBONS DANg DIXANS 400.000 NOUVENUX POSTES. s(

NOUS IDECLARE UN HAUT FONCTION-NAME DU ID:Niel/ORE DES- P. T. 'F.

Monsieur le end de reine. tac,?tout que lem entilinables se plaieientde -loyer PM-unes na mauvais servie dePleyben. ? lia crient r Mlo 1 toustes vents et lm repenses sont fantablistm,Menues li venir et mal entendu. Ides-qu'elles consentent à se nianifester.

Hélés monsieur, je sais cela et egmfement que, contraireinent an chocolatfa-meux, les appareils teleutioniques ne a,

pus meilleurs en vieillisse., cequi veut du.s que vous na devez pas at-tendre pour deinain une amélioration suraujourd'hui.Mors, qu'allez-vous faire ?

Demander des crédits an eénat. roi

calte assemblée traditionnelle marcheavec Io progrès, elle nous or donne enjUin. El alors nous Vous assurons, en dixans, 000000 noumeaux postes aux abonnésde France et 400.000 knometres de no-torils riantdont 3.509 kilemèties de câbles esu-terrains. Noue améliorons ai.i notre ins-tallation et neiis la d.."..,ag".'Peyo. Quel total ne poStes aueo.-nous alors ?

Pela donne 7300.000 postes pour touteta France vers Men

C'est fameux.Vous teniez. Savez-vous que New.

Vele sen/ possède plus d'un million dePestes ?

Bigre. Mais alors nous ne sommaspas en tete du progrès ?

Cette fo., 31. F. Aussaresses, chef decabinet et bras droit de 31. Paul Lattent,ministre des P. Ti '1',, lite regarde et lee10, licou au aloi.

31510 non, monsieur. Ne le croyez pas.phones se divise en catégories Lem Aegim-Saxons passent les premiers. Pies vainnein les Scandinaves, puis les Garouauique, puis les Latins sur le nem, piequo les races panes. Sinn-sons gon hNew-Tarir, par an et par tète d'haniten,11 y a 169 cominunications. au EnnergtgrioIO, en Allemagne 55, en tinte mues do10, oit Beignitte te et, en Frime, nouspuons mai 0 11 et 12.

Et en Angletere ?Vingt flair c'emt le pa s Ses -ables

01 des télégraphe, ne 10001cr pas.Comment se faitsil que Mus :oyons

tellement coid-stele . ?

Pare que. en France. done innenovidage, une mairie, une église, sne écolesont obligatoires. niais pas un bureau deIl, T. T. Cimt laisse au bon plaisir de laminimum ot à se générosité ou à Set lar-gesses.Sur ne total de 37.060 eOnknuneà deFrance il y a 16.577 communes qui cor t

Bus le téléphone il y a 15.001 eonennesqui n'ont pas le télégraphe et h/ y a p/usda 25.000 communes gni n'ont mnom pas

'etre parfaitement atteint de tuberculosesans que l'on trouve des bacilles dans sestumba., à raide des procédés dont nomdispmons à l'heure actuelle. Dans cescas difficiles ou douteux, ana observa-tion clinique sérieuse et prolongée per-nmttra de prononcer le diagnostic de tu-berculose perienaire avec les Plue

grandes chances d'exactitude.Ceci dit ,11 faut donner a ces malades

tom les moyens pour qu'ils puissent êtresoignés convenablement

1° Auminutation de pensron ;Habitations su grand an ;

Allocations à lcurs familles4° Moyens pour qu'ils puissent faire

des cures dans les roua roda.D'ailleurs, toutes ces questions con-

cernant les invedes du poumon, seronttraité, et solutionnées par la comm.-donne le Parti socialiste a créée intConnes de Lille, cdmmission oui s'effor-cera de rechercher le remède a apporterà la situation actuelle de ces malheureu-ses victimes de la guerre,. Nous étable:rons aussi avec sein 50 ter lés questionsconcernant les autres mos/ru/est/a, guerre,eu élaborant de nouvelles lois qui serontsoumises au Pm/errent par le groupe denos élus. j. HitccL

L'A, R. A. C. A TROIS MODESTESHEROINES INSTITUTRICES

A LA MADELEINE (NORD)Vous n'av. pas voulu ale l'existence

Mutile et égoiste r et chneccc tsr pusle bonheur d'avoir un foyer et des petitsa sel vous avez voulu, aimer les Pentede tom. Vous êtes des mamans vigile.,tes dans la grandu farnilfe hm:aine.

L'éclosion des jeunes intelligences, laformation dos jugements Sent POur vouejoie et souci, sujets de têches délicates etgraves. Et vous etes penchées, pruden-1tes. sur cette humanité on travail..

De la joie à sentir que la 3e Républi-que, en arrachant co 1907 aux écolescongréganiste", aux obscurantismes reli-gieux, les enfants qu'elle Noma reconnu la neutralité comme garantitde progrès; qu'elle a ainsi proclamé unrespect sacre de la conscience de / en-fant.

Et, les cris des mons étant 'restée dansvos oreilles, vous avez cherché, l'idéelOu proe, la Parfaite de lapaix.

Souci, de sentir bruma:estent pasfoiscomma un mauvais souffle, les passionsdes hommes s'infiltrer dans le sanctuai-ne dos petits. Votre f Tont & est voilédenier à troubler l'eau calme des trèsputes consciences, à leur rdiéler desmystiques dEtat à fsire vibrer oes sens;bilités délicates au risque de les fausserà jamais et de comstromettre l'octane sihaute,

Et, entre la servilité récompensée ratl'Administration et l'affirmation loyalede la conception de votre rôle, sanssonger à voue-niée:en vomi n'amis Pashésité,: trop, noble pour ...canner le li-mon où et embouéMunt les roues de ce

ar si lent tu Prngrlos..Que votre geste soit béni, de vaillance

qui s'ignore, humbles hdee.m. I Que lesmamans de tous les pays appmnnent àl'imiter 1

Au nom de notre idée/ de Psig Pa, lafraternité aniverselle, idéal qui condarmne les particulssisurca nationaux outréselens /ci. mystiques, nous, victimes dela guerre. nous vous saluons do none re-connaissance et de notre hommage.

un bureau do poste. On compte un ln

tl?ua,eeeeril Fit;f.'uriumairianrang dans eette application du primés1s untertelle.

Nous allons peut-être nous nitra-

ile7te=era''ili.l.eirsllttideequo nicuc

e

n'y pense pas,ii Songez que nous serons obligés ile

faire installer partout. enerffé le télé...manu.. 31 n'y a que dii-Sept, grandesvilles où est prévu l'usage da télé-peineautomatique qui fonctionne déjà a Mec etOrleans comme essai seelement. On onAlleMagne. ne Belgique, en Scandinavie,en Angleterre. aux Etats-Unis ce aystèmnest déjà installe couramment et egeéi.dépetit im petit au system° mamel et sem-menine/que._ Non, nom nous sommes teèsoh nelard.

Tous amie essayé un systinne delepleine automatique dans certaines ren-nes publiques ?

no Le mi taxiphone e. Nous avons passe.des commandes à l'industrie prive. Elles'organisa et va etre cmi mesure -de four-nir bientôt.. Mais, nous le savez' peut-etre,dans Padministration...

rien ne presse.,Noin Mais tout se fait avec Menas-

portion. Dren nen, allons pouvoir bientôtKemmel.° aint demandes. 170 partoet ellesabondent Lyon seul rée/ame 75 postes au-tomatiques pour /es eebines Pulniques

Et Paris ?Le Cansel Munioipal no pas encore

pris de dérision. C'à va venir.-- Ces appareils smit marneux ?

Pas pOUr L'indlletrie nrieéenOns donne l'appareil à sons et la cabineet l'installation e l'entretien. Nous four.pissons l'appareil fithiptonique et le re-

. 0118 ne P , 115 LI . 7,001 an-donnons sdr arque conversation devingt-cinq oentimes les deux cinquièmesà uiutr efOUrniSeeur gOint110 nous le rai-sons actuellement aux 'préposées, Le fo,nisseur reçoit donc 10 centimes par con,versati. et l'administration quinze con-fines. Ceci dure pendant un certain nom-bre d'années. Puis tout est h nous, cabineet coinpteur automatique.

e Vous verre. ces cabines et tours ap-pareils du mothlte rairais à la procbaineFoire de Paris et au 50100 du Grand-Pa-lis. Le publie sera content. Mais quant Anous, ça ne nous donne pas de travail enmoins et n'améliore pas nos lignes ni .sappareils. C'est donc tin surenoit de tra-mait pour un perionnel Induit au strmtmerua met peur des tables de centralisa-lien qui devraient pouvoir ètre pension-nem.

On ne peut en tenter teut le inondeâ fois.

/Omis n'es demande. P.S tant. Netevoudrions seuletnent que les législateursse iiendent compte que les Y. T L. donsent être .1raitée comme une. aFaire etnen pas comme 000 institution ven3:0,reSpeetable et h ne jaintliS Medifier,rajeunir, ni améliorer... a

LES SOVIETS Y SERONTLausanne, 28 avili question de 4.

la paancipation de la Russie des Sovietsà la confélenco de Lausanne recevra, ziouilnée ci,4 &oisivecroit on, avant très pen de iouts une réporde conforme au point de vue despuissances alliées.

LES QUESTIONS FINANCIERESQuels seront les deux finaliste s ?

Lausanne, 28 avril experts fi--

nanciers alliés et turcs n ayant cu se met-tre entièrement d'accord SUL leSqui avaient été renvoyées à la séance quidevait se tenir hier, le compte fine...i-de la conférence arisé ajourné sine eé.

Le général Pellé, qui préside ce co-mité, partira aujourd'hui pour Paris, afinde conférer avec M. Poincaré i il serade tetour à Lausanne lundi matin.

Comme il est probable que le généralPellé se rencontnera à Paris égale...,avec le général Weygand, 1c voyale haut commissaire hantais endevait faire à Lausanne, le ler mai, setrouvera de ce fait annulé.

LE ÇENERAL I-IARRINGTONA LAUZANNE

Cannes, 28 avril. Le géméral Har-rington, commandant en chei des trou-pes alliées à Constantinople, qui villé-giaturait à Cannes depuis le 9 avril, estparti pour Lausanne on il assistera à laconférence.

LE CABINET SERBE

Belgrade 27 avril M. Dividcmich,leader du Part' démocrate, e été chargéde constituer lenuuveaunabinen,

Les travaux de la C. D. R.

LES OFFICES DE COMPENSATIONParis, 28 avril. Le C. DR, s'est

réunie hier, sous la présidence de M.Barthou. Elle a Pris mi/lei...net deI etat actuel oes lom et réglemente aile-ttes-d. fixent bru tannenta entre les offi-ces allemande de compensation et lessesortissants allemands.

Confidnant les observaticeasavait faites au gouvernement allemandIc 11 févrios 1921, dies invité le gouver-nement allemand à modifier la réglemen-tation on question de manière à déchar-ger le Trésor allemand des obligationsqu'elle lui impose.

La commission ta pris acte d'un accordSe substitution candit entre la Polognees I Allmnnrpue.

LA QUESTION DU BURGENLANDEnfin, la Commission a exemané cer-

taines questions d'ordre financier sonl.'vées par le transfert elp. Burgenland àrAutriche, et n pris la décision suivantesous certaines réserves qui doit être ap-prouvée par les gouverner-lents roui-chien et hongrois z

a La C. D R., considérant que Le ré -

pieutent rapdele et définitif des nombreu-ses questions résultant du transfert duBurgenland peut eonstrtuer un avantsf.esérieux pour les deux pgya directementintéressé., décide d'eband.onner aux gouserrements autrichien et hongrois le ré-glement de rinclerrinité à PsYgi Poér lesbiens publics situés clans le Burgenland,conformément à la sentence, rendue, le26 février 1923, par le tribunal arbitralinstitué conforrnément au, protocole deVenise du 13 cambre 1921.

0m L0 C.D.R. décidu. en outre, de nenmenon à la Hongrie, car dérogation ac-cordée en vertu de l'article 100 du traitéde Trianon, do payer à l'Aunichc, dansIre conditions indiquées à l'article, 11 dela sentence arbitrale pretite,e, la sommede 500.000 francs suisses, déposés à l'ins-titra do créd rit suisse, à Zutichspaitcla zdAeclanciA.s-j doétuni-dvbagi

CONDAMNATIONS A- MORT

Nom o. 28 smil. Le ii '0 de Memike-e-Moselle . immé evimennei ho bas.. sis h, fer-me Id. Sen., Pri". rio kungner. Remis-lnrr kikusasse /es faits Vers iege laturee Eu mir, le18 esterre dernier, le lanallle Pierem étau .,amie neaa ie reenu teseaue dam inniiiiihn hemmuoda dan' la a... eldNee nu ordo edemandai de dise.. Pais eisset eli000n domfermiers rémis sam. de L table, ils elmentdienen b amiernee, qui est tao 0mo i lee,eferniee, M. Pio., Da du nioonlee.ercife à more. et une bélette de 8 mie, actuel.ledni paralyde et (eut en eiteal la men d'aeinetent à Vituire.

Les ...ira, neux neets nota:nieWinkenneki. Oen de 29 a, et Stéfan Kmarememloi, 27 ans, e.senehe ers la La. sans rien*ter. Le demième est arrêté qudques louretius muid a Montand, et Oenunre °T1 °T.'"?/IT°.qui est orrêM. a son tour, à Maubeuge. F..lnà la prime de Be.. eni ieord de s'évader.

M. Chabrier, substimt du user-meusrequiert centra les deux earroables 10 oelue

Put M. Pierre Dineese et Chailea,Anne.mem de te..., châtiment eminne.Le juem. revient Lent& roses erec an ded.ls

verdict abfkmatif. et les doua Menais sent, cconséquence. condamnés à la pene dcmou.

Ponleaux, 22 avril. La tragédie de PelUs aeu mn épilohus aujourd'hui devant les essisee

des Landes.Aue.Os deux jours d'audleme, le nin dc

de.Mereaa a coutume,' ee ade à ta mine de mort,Emnard Bordes, se le 7 larmier dermes.pour les 'scier lee époux Vide oultivateurs à Islenne de la Coudebss. à Patin (Landes).

Heade, m,v,l nmanna 500 code nem 5e mo.eaeer F.-gent destiné à sen meniage. dee:,pie célébré quelques /ours après.

La Chambre du travailde Palerme

mise à sac par les Fascistes

Amen, 25 soit Le correspondant du Nonlocal Polerde télégéuhke

La Chombra du luirait asana oulàf uno Protedotion ériereinne .ntre le décision du nuite.-nen.ol d'abolir los fOiei du le mai, ler fuse..ont pénétré dons Ira bureme ode ladite dambro,o. démoli Ire chaises, lee Podoei loetee biblinthantiee, puis oet jeté num /as Idébrisle. ka j.aéfeaa d In. ont brUlés dunst /a ras.

ler le 3e tour des poules demi-finales; lesLa journée d'aujourinind verra se dérom

deus vainqueurs de la première journée, le,Stade Toulousain. le Rocing-Çlub rte Fran-ce, exmnpts dimanche dernier, vont repa- Iraites dam /a luné; le premier recevra leBiarritz Olympique, tandis que le secomise rendra à Bayonne, renenntrer l'AvironBayonnais.

Ges1 lin jou.00 centile des demnfi-nales, bien qu'il renie encore aur programmela rencentre Siarrite-Caseassonne qui neput se jouer dimanche dernier, et qui futremise au 6 mai. Si Toulouse bat Bierezle match de 6 nui n'aura silos mienne in-t/eue:me sur le nie/minent ; par contre, encas <le victoire des biarrots. 11 restera en-core en douta sur l'issue de la lutte.

Aviron Aspe:niais contreStade Toulousain

Voyons d'obole le mateh Aviron Bayon-nes Racing Club de ',rame.

Inn point de comparaison.Ios avants laubsis ont atioMiné les ayants j

parisiens et /es avants bamennals.

d'hui Ilardoy ne sent certainement p.Les deux packs qui se heurteront aujour-

très loin Pm de l'autre, mais cependant SirA. Eh doit être légèrement supérieur dons t/e jeu ouvert, je crois que le Itameng domi-nera à la tennhe, et on mélée.

i IDans l'ensemble immorde nne cr000000supériorité aux avants de Bacing

Par contre bien que jus-minci elles ne sesoient pas montrée sous un jour bien fa-vorable je doms la nréferenee aux lignes ar-rières bayounahest le tendemrate dnit se montrer supérieur à celui four-ni par liendilmure, de 1,1E0m/trie, et jecrois Almandin, Bentabery,Behoteguy, Par-do BE/à Mme:yeux que Lalande, Gênant,3fignannin tatillon, d'autant plus que lupresence de Génaldau centre ne nie satis-fait pas du tout.

En .mme 1e0 2 temns sont bien prèsl'un de l'autre et leur supériorité dans l'unequelenneue de leurs ligies n'est pas si évi-dente quirite doive forcement fere pencherla bal.ee soit en faveur des Bayon.i0 oudes Raclent..

Et poire niS1131101, si je coneue sanstrop de conviction d'ailleurs, â bu victoireboyemaisc, c'est parce que l'Aviron runechez Mi, sur son terrain et que Semis une,partie nù les deux Équipes sont si prèsJ'une de l'autre ce facteur moral mure gran-de imparti:nec.

STADE TOULOUSAiN CONTRElIl,htl!SITZ -

C'est /a phis nuée bataille que le Stadeva livrer cette saison, il le sait bien d'ail-leurs puisqu'il a préféré dimanche der-nier réserver ses forces pour l'amatit ded'eudourdbei et min se SCiaTielli nue Pasaison deinière il ne réussit tue débarras-se de ne même Biarritz Olynipique qu'inpris me terrible bataille.

Aussi bien les St/disks ne sont Pastrès assurés ct ils ont raison, ce les biar-rots viennent à Toulouse nyee l'idée bienm'entée ne gase.r. Ce ne serait éviilernnient-pas suffisant, si -n'équipe du B. O. inetaitpas de elles quel est bien difficile de fol-

.t d'anone elle est complète duos toutesses lignes t pas de trous.

D'excellents remets athlétique, foirentune b.ne minée rapides dans /0j. ouvertbien emmenés par l'International Boubéeet en Initient les Adora, los Ayoguée; une li-gne dc demis RicinelneCondorn, qroi passeà juste titre pour la meilleure ne la CôteBasque.Quant aux trois-quarts ils sont très re-doutsbles dems l'attaque et impeccables endéfense Le rapide Itrinjonc, le scientifiqueVignes, /e dimoneertant Fauthoux, /e redeu-table Chuelmaim; ü l'arrière Lissidde est detout ppm.

Conne on le voit par ee egP,,l'équipe du B. O. me présentera sur le ter-rain des P.ts-Jumeaux formidablementarmé.

Oui gagneraEn trois-quart In ligne statliste vaut celle

d'en faon; en ressentie j'amuse une cer-taine emairimité aux Biarrots. Restent lesavents. Si minute je le crois les ayants duStreik louant groupes parviennent à s'assu-res le meneur sur loirs adversaires et don-nent la belle en mêlée mu trois-quarts, lesToulousains gagnerosit; mais si cette sup.rimite nue j'examine ne se Produisnit Paset fple ics arrières biarrots soient mis enaction, ales les espoirs du Stade séraimatbien car/Treillis.

Cette bataille ardente et Passionene dontIn résetat est n'inerte., attirera ertaine-ment autour du geound Etnest Wallon, la

farde des gr.deInencenne arbitre M. Briulus dirigera

les opérations.La finale

des équipes inférieuresA BOIIDF,AUX. huée Toulousain (2)

contre Ayiron Mi. Les deux_ (équipes résont délit remontrées à Tarbes ci le nieclrfut coi, len que prisé.s des services datiras, les toulousains doornicrit

A BIIZII:RS, Stadeeste (3/ eontreC Tutiennais (0)

Laivictoire du lt. C. T.. qui contient damson quine des hommes de deuxième etmnrm nIe premiare cquipe, eet à pré..

A nAllOT-ILAUDFXS. -a. S. C. e) eon-tre Senti. Palaaise (41.

Rude batmlle dont le résultat emt in-certain Sui l'emportera des amants car-nesumais ou des troie-quarts palois ?

LA FINALE DES SEMIS /NFEnillintRESA CAHORS (2n mirici. A. Moissacum

entre fallia-Clun Toulousain,Deux lignes n'avants puissants en pré-

sume et des trea-11120te nui se vaket.Dee le meilleur gagne. Le Gallia est me-pendant notre lave.

A MONTAUBAN bec série/. S. A. Ar-eacbonneis ente A. 8, Pradeenne.

Feel ole S. A. Arme/mimais,A SAINT-GIRONS Pie Béarn

S. C. (1) entre F, C. Cannausin.Carmaux devra siemptoyer à fond s'il

nem gagner. car le Béarn Sportif a déjàbattit la redoutable équine da Français-Sports.

La Coupe de promotionLa journée d'auiminlihni verra 601,-

ment se dérouler l'épilogue de le norme depromotion; le vainqueur de cbaque Pomese mesurera seer l'un des derniers nespoules de cinq et, en Cas de victoire, don-nera à son comité une place daut les pon-tes do Championnat de France de la sai-son prochaine, tandis que le vain00 feraperdre une place à sen Comité. On sait

.fflIMIIIIIIIM1111111fflgpm

qu'en cas de iman ./. !ego 1, qualifiéemite sais...serve an Plein

L'ordre des sis rencontres ee programmeest le suivant t

Agenais contre A. S, Bayonnaiee.Agen.

(). 1'. O. Périgueux entre U. S. 'doni.e Périgueux.

F. Moiiiineis eontre f, O, Anignormis01PIIMs.Il. G. Phaionnais contre C. en Vienne, .

Stade Fran.is contre F. C. Lyon,

Stade Nantais contre 01 do Poitevin,Nantes.

En raison de l'enjeu no ces rencontres,op peut prévoir que /a piepart des mat-ches donneront hea à des batailles ser-rées el, parmi les équipes de pipi/lotion,il en est quelqueS-unem qui paraissent st:m-enet/les d unieteter Muons... leursaihersaires. I.A. 8, Dayonesise. le S. 0.feignentals et le Stade Poitevin, notam-ment, limeraient, bien arriVer à mener hbien la telle qui km reste à aceomplinQuelques matches amicaux

Pen à peu, les clubs terminenl leu, ea,son en touant les Mutes inatehes inscritssur le calendrier.

Ces parties soin la Pense du tetlisdes plus agréables â suis or car les joueurs,se se souciant nullement du résultat, s'ef-forcent simplement à faire du beau jeuIn grande Mie des spoutatenG.

UA. S. B. doit aller h Tonton contre leIl. G. 'I'. Il se pourrait cependant que Pe-tediPe des champion.. do Languedoc' sonremplacée par le glume du bene, championdu France.

Lee azurs sang st or m iront à Mar-seine, se mesure acre les ennuies da Ou.bey, Jolie partie 0 nperspective..Les Lesigniinais, aprOn la victoire rap-

portée h Paris sur l'Olympique, iront of-frii /a bataille D. Natbonne, aux Racikf-Mer, Rude partie en perspeetive. Manidonné la rivalité qui 501155v les denx elubn

Quant h l'A. S. C., elle s'entraineramie de pin:aire sa forme, amer le Valence-Sportif, que commande l'internationalClément

Entraînement sérieux, peieque Capa.-sonne n'os/ pas 111v hué de la compétitionnationale,

OU SE dOUF.1.1A LA FIN(eLE 7Ne,, heme inmaeo3t le jeu liv joue crtr oc jettera la

grande 1Inalo ? La réunten dit berme ginsa Mem]. lenmil entendra les délégués des

(rêve d'ouvriers boulangers

Limoges, 28 ouoii,, Au caus d'uneréunion tenue hier soir, les ouvriers boa-langera de Lin-rages ont décidé la grèveimmédiate et un grand nombre d'entre-eux n'ore pas travaillé ce matin. Giâceaux mecauen pin. Pas le ,eroia,o del'intendance, d'accord avec /a préfectu-re el la municipalitn, la population a puêtre appmaisionnée do façon norma/e.Les mitrons eux-mena. ont travaillétoute la nuit et plusieurs 1.ulangers ontmerne n'In aloi-iv pur leurs ouvriers ce entindique que le mouvement n'est pas gé-néral. Ln, grève est motivée par uneejudtion de salaires.

Désirant augmenter le mix dis pain,les boulangers rJvaient denn4prennipal argument la demande d'aug-mentation de. 5 francs par jour formuléeper les ouvriers. Ils offrirent ensuite

dune partie de cette sorrene. C'est à la,oiom de cette attitude que la grève a été

Un procèsà propos d'un héritage

de plusieurs millions

Demi. 28 morS, LeI eleal ePil a inséhier mie m..nila effane dv eegution rrhari-tage. >Ante Manne, femme du pesidert du oitLuml de Béthune. OMMéle un 1512, avait 1S..

gué es kstune, évaluée à plusieurs nullions.M. le Docteur Mord. d.. do Peede-Celen.M. Meenee test...st en ine.,..ne re,nele N. ne Imano an médecin traitant de hé-nébeian io Les d'un modelé mMné pas lui, M.Mme/ troutint qu'il n'avàii été gons EL. Nteenue qu'un ami de bouille et qu'il n'eveu jamsisES mn médecin. traitant.

Le Procès s'éternise. Il kt finalement 'dallédmum le tribunal ciré/ de Dormi. Ms René \Perimni défendait M. Merci t Ms /Lem, lu/manier dePétlume, sentence L dièse de M. Manne o 101Deeeérege, de Paii, reorkentsit ke héritiers dueang de Mme Monne. Ce dernier ded mm sit,-doute luendetique, pole de II milinace senMe.. m'en, Mine Masureser le député :decal-socialEte.CeLlei en effet, fit bnuester le nelleneion em cinq miams par M. l'elsbé Lemire. M.Clemenceau fut -oursin.

Après occis ordenté une rom oc', cernelémen.taire, le tribunal de Douai nese.. ;einem-raie/ ée/stré a estimé le testament da Mose Masu-re s fsveur de M. Matra émit valable et a di.bouté de es demande M. Mmuse, esi devra emyes les frai, de Fineance.

Audacieux cambriolage

d'une perception

Paris, 28 amil. Smionsnocs revenusau temps ch la bande à Bonnot terrori-sait Paris et la banlieu ? En tout cas, lesbandits en auto font, cicaa.,s que/quetemps, beaucoup parler d eug.

Nous avons eu, ces jours-ci, les atten-tats de Lyon et de M.-seille.

Hier, en plein joar, trois inconnus masqués ont pénétré, revolver au poing,dans le bureau des contributions indi-rectes de Levallois, blessé un fonction-nuire, et, leur s coup 00 manqué, se sontretirés le phis tranquillement du monde.

LES VISITEURS MASQUESVers 3 h. 45 de l'après-midi, dans le

bureau principal, M. Dailly, ex-receveuractuellement en retraite, était en trainde mettre au cousant son successeur, M.Delisle, 60 a.. A quelques pas de là, lajetme Jeanne Donce, 14 ans, se livrait àdivers travaux d'écriture,

deus clubs linalides et meioloxsien. Si les deux clubs sonBureau enregistrera; s'il y nme est pronalne, le Bureau

Emelt/ions les batelions yuprésenter. Au ces de victoireet de Racing, les deux Monsnom iloute le terrain neutre.-mandera â jouer sur son tetenant du Champiennat de Frring demendereParis, arguandepuis dix nom les finales seen Promet..

Ici, ne objection d'ordre g,Conneès de la F. F. IL speitiadernier, que la tinale de premdevait sc tliqiuter sur terrain nle natte!m de l'an dernier, h Bormontra de ft min P. nette quekeit insuffisant nem Une lel]/I faut en filet le dire netteeenn'existe actuellement quo lete. Toulousain et, les hep'

qui soient possibles polir unLe Burcati se serre doncferce des choses, par ers dede donner une entorse au ling

Au cas où lem Mme clebs ne tpas d'aceord, le tirage au sort lurirait entre Toulouse et Paris

1,1 Toulouse Pt Bayonne niaBay/eine d,ernapeera le terrain nri, Au vas de finale Rming-Bialoure s'impose. Il s'impose (0 lule eas d'une filiale Paynmmrr -1m

BoxeEN FACE DE CaRPENITER,

QUE l'IRA MARCEL MLLES.?Carpentier. /e fait n'est pas niable

le boxeur le plus On que nous syrien enFrance. 750 un mot, il est te boxeur sain,boxer, et lem punilistes dans te ras dee,nent de plus en phis rares, ce, aujouninailes jeunes montent sur le ring sant avoieseulement appirs l'A B C dos mener.

Marcel None, lui. Wes1 pas en miette,que ceci dit sans aucune Punie pourpoulain de Decamps. Et somme tonte dWest pas bn0l b voir combattre. Nam nIl enampion do Prame boue mai, cela tnl'empeohe nullement d'étire tus sombsitisno valeur du fait qu'il possède une fortedose rte cintrage el qu'il est encaisseur detout preinier ordre.

Néanmoins, en boxe, le murage ne sutle pas pour vaincre, et en face d'un eitversera qui montera SUI' le ring gyeeferme intention de gager, on peut aademander ce que fera le détente. do litenational,

Le remisent n'esl pas encore venu 'd'exa-miner 0mo délant les Manemo dm deus Pugi-listes; tuais, dès h présent, el eu cela nuisne faisons que répéter ce mn se dit unpen partout l'ex-champion du monde deeire mie mi-lourds est favori. Le combat Misepleinbre dernier devrait pointant boiter

reflenhie Qu'On se solimenne S. nodevait pas tenir plus de quatre rounds enface de Carpentier. Ou sal ce qu'il advint.

Quelques minutes avant la femseturedt,:burm,osai

limousinedds

u.perbe mousine noire, a conduite incir

rirommuble, 2, rue Froment.Le ehauffeur ou plutôt l'homme qui

était au Valant descendit, pénétra, dansIn bureau. Sans doute l'inspection lui ps-int propice o deux Lemmes âgés et unefillette. Il ressortit et en avisa Pa, eigneaes accolytes.

Troie indien-hm vénus de note bleueneuve, le bas du visage masqué( pas deefoulards à carreaux, pénétrèrent brus-quement dans le bureau. Ils sommèrent

feceveut d'avoir à remmttre la caisseMais M. Dailly, solide gaillard de 65 ansne Fentenelit P05 de cette fanon.

Sain.seinune chaise, a se 5,00. cula Inci

h'I'''Cirià.'n"datoriatio;ne retentirent; atteint dec1:,e,exp.brielttiteeti!es à l'aine, l'an ccien se,

Au bruit des dtonations, sept employésqui travaillaient dans un taureau adj.-cent, se précipitèrent au sec.. de /eutchef.

Le coup était manqué, Les bandits lecomprirent. Le plus tranquillement dgmonde ils se retirés' ent, tenant en remport h 1.aid

mords

1to: devtzrepv,nerer le nerIvianuc Rrim.-nel, remirent bob ru en irs,che et disem

dans la direction de la Seine,

LENQUEIEM. Hennequin, cuenurriesaire de Pille

de Levallois, assisté de Einepexteug PT?'misse Bothuel et du brigadier chef Chan .

gneale, .ntinue son eiumnte. IOutre les employés de la recette, as

Yetisirm, un marchand d'essence et uêtcataire de l'immeuble occupé PsiDelis/e ont été, entendus.

Il se confirme que le coup deavait été soigneusement préparé maisles agresseurs manquent el'habien;ie. ,

C.t ainsi qu'ils se sont attaqués ,

une mdese qui n'était jamais très gercic"Leu. conditions rinèrries de l'attentat temoignent d'un évident manque de santfroid devant deux vieillards décidé, à se /

défendre.Ils se sent enfuis, alors que P.i.*,

avec. deux berner. tenant en reslenGdoute employés de la banque de Ch.'tilly, r6msit l'epératien ouil alv.it Pie"jetée.

ils sont aussi très moi atstillés.volves dont se servit celui des cisellqui est 1(smn envie petite taille. le le I

Ite qu'on appuya mu /a tempo de'Lanee ce, un remiser d'un vieltice.

le, à barillet et à balles de Pcnée I

Les trois personnages actifs dos,attentats, le chef PSSP2 grand os

plus âgé de ses deno compagec'tsillblond, l'autre brun, mais de est.' ,,,sesemblent cPcidés, maLigré- liceop000 oc'de leur attaque, à nu &Innen.° éneigi.ment.

L'AUTO VOLEE

Cette auto est une Chenard e12 HP qu'un /tuteur particulier atransfermée tasi.

I.T+ Pâles ineteeurs de IPMiné nialanronement teCe numéro 0/671-G-5, itsen Ils avateinlanternes, etc, 51 ks avalles coussins, où les sehshi dl'identité judiciaire, venus cephotographier, les ont deneuvertan__de cigarettes ordinaires et une PL.encore dans la voiture.

Des empreintes ont etêvitres et sur le PPM. La cimsje,indiquent la prise en ehefiln,fixée au marchepied.

La Tribune des Anciens Poilus A Lausanne imam LA VIE SPORTIVE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Cent Ans dans l'his- SOCIALISTE i rimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1923/B315556101... · 2010-03-05 · , n. tous commandos par f: Ber-i.ge...lu situation des ruraux étant à

Chronique de Toulouse

POUR LE PREMIER MAI

l'artaSiCe du Prderr4cdrMai plsnaroas

""idic'ssart aconedcrations sur la

Pets et oe. ongsetée..92t, ue tous nos collabora-

- 'î - si nt148 disent la même chose,rraison qu'ils pensent la même

fru-e 'Et il est non bains évident qui àvouloir publier tous les manuscrits reçuspar nous, i Inclus faudrait tirer un nu-méro de 12 pages.

Et il est encore plus évident que lessyndicalistes aux quels s'adressent cesappels n'ont pas besoin qu'osa leur rap-pelle ainsi leur devoir. S'ils n'en avaientpas conscience ils ne seraient pas debons syndicalistes.

Pour toutes ces raisons, nous jugeonsinutile et il neus cst impossible d'insé-rer toutes les communications en Clee,lion.

111his - corr.ue les deint tendancessyndicalistes (C.G.T. et C.G.T.LH nusdécidé de faim après-demain une mani-festation commune au coma de laquellePrendront la >amie des orateMs .desdeux organisations, il nous a Par. dura-table du publier ci-dessous les réflexionsdes deux secrétaires des ditesPons qui expriment la pensée ouvrière

enVla

imatière.oci ce qu'ils émivent; ces notes dis-pensent de ton Pusse apel dans nos co-la..

s".Le Premier Mea est un IOUT de do-

mosatration et de lutte, un poMt centralautour duquel vont graviter les massesmassières en niauveme., désireuses de

ce dsn l'action la force oui granditet t'expérience qui triOSe.d.

Le les mai est un Joue qui permet àla classe ouvrière de montrer qu elle estprête à tout Événement pour l'utiliser àsou profit exclusif.

Le let mai est un jour qui dépasse leslimites établies, et entraîne à la lutte lestravailleurs restés en dehors de la vieouvrière.Au lor Nki le prolétariat montre saforce et découvre sa puissance, mn doitentraîner toutes les résistances.

L'heure est proche où le prolétariattoulousain fera entendre sa visu. Onn'entend que plaintes, dans le monde011erier, sur l'insuffisance des salaires etIr cherté toujours croissante des objetsindispensables à la vie da travailleur. Cun'est que pas l'organisation syndicale,-pas la force du groupassent que la si-tuation du Prolétariat devra s'amilioier.Ouvrières et ouvriers, mganmez-vous,instruisez-vous, adhérez à vas syndicats,car le syndicat, par son organisation eor-porative est la seule garntic que puisseavoir l'ouvrier qui n'a à compter llue sur

A L'exemple des années préeédentes,les travailleras de Toulouse, hommes etfemmes de n'importe <molle profession;a3frimerant"leur solidarité fiaternelle

de classe avec tous les prolétaires dumonde entier.

Les travailleurs devront secouer kurindiffésence et vaincre leur apathie. Ilsjetteront à l'oubli les haines, /es discor-des et ks luttes fratricides.

Ils doivent se rappeler qu'il n'y aqu'un seul ennemi le capitalisme, et'que pour l'abattre ils doivent participerunanimement à un Premier Mai de con-corde et de fraternise.

Ce msu tO,. toutes et tous doivent chô-mer, pour faire entendre lcur soja, afinque s'ouvrent les postes des prisons clanstous les pays et sous tous les régimes,pour que les bagnes d'Afrique lâchentleurs proies, afin que tous les empnson-nés militaires soient rendus à la hberkZt,en un mot vous ségkmerez pour tousces martyres l'amnistie pleine et entière.

Vous marquerez également votre dé-sapprhbetion de Tocupation militaire dubassin de la Rule.

'Travailleurs toulousains I Vous refu-serez, ce mur -la, le concours de vos braset de votre penste aux exploiteurs dutravail afin de leur faire comerendreque cette puissance ouvrière, aujour-d'hui sous forme de simple menace, de-viendra demain une réalité.

Oumière et °m'aie. I pour que lePremier Mai ait toute sa signification ilfaut que le chômage soit général. Nousavons confiance que notre arma/ seraentendu par la masse des travailleurssans distinction de tendances. - LouisCAgEPEDV8, secrétaire de la B. du Travail.

Le ter Mai n'est pas un jour de the,imMs bien un bu rate revendicatims pm-latariennes

C'est la lutte pour l'obtention de la jour-née de huit heures qui créa le ter Matouvrier; en effet, «st du fer Mai 1880qu'est né Io véritable, syndicalisme; c'estde cette date et dans le sang des ouvriersque notre mouvement prolétarien a pEsnaissance et eeei nous impose deux de-Noirs r nous souvenir et continuer.

C'est pars, .elle nous nous souvenonsq/le nous continuo.. C'est P11ree qu'aprèstant danuées /a revendication des n'aitheures posée par nos eamarades améri-coins n' pas été réalisée en ISE guenons'continuons la bataille qu'ils ont oonimen-rée au pris de la vie de ceux quo Ton araPPelés les « martyrs de Chicago s.

Certains s'amusent à rire docile. quiveut qu'au ter Mai nous fassions appelaux ouvriers pour qu'ils manifestent parun jour de chemage leur Sedidarité envers'tout le prolétariat universel. Non I lefer MM n'est pas pour les travailleurs ceque pensent ou disent les hourgenis; onetradition banale oh les ouvriers, par habi-iode, chôment et, par peur, ont déserTé leschantiers, déni/Mutent dans les rues sanstrop savoir pourquoi. OÙ encore qu'ils. vontentendre des orateurs qui parlent par inté-ret de choses que les ouvriers ne compren-nent pas.haut eh le peurde songe au pionnier de

Taetion révolutionnaire qui. a Chicago. en1886, à Pourinies. en 189/, à traire. ie

monde entier enfin, tombèrent assassinésSOus les Coups du capitalisme.

Le Sec Mai, c'ent. une lueur dans la nuitdra conscientes, c'est l'éclair de la révolteau mea des opprimés eeet le bilan desprivations subies, deu soutli'ancesffes jusqu'à ee jour. C'est l'inventaire an-Muet oh le passif est charge des déeep-tions d'une exploitation honteuse, des vexa-tions, d'injustices flagrantes d'une hainesans limites aveu un actif. hélas trop M-g

4eaff LE MIDI SOCIALISTE

TOULOUSE VA RECEVOIR PICSPUMA/GAIS

lé mercredi 2 mai, à 11 h. d matin, lamunicipalité recevra, au Capit010, -913"professeurs Gomes, Teixeira, recteur hono-raire de TUniversité de Porto; Eugenio deCastro, recteur honoraire de l'Université deCoïmbre, et Célestine da Costa, professeur13 l'Université de Lisbonne,

Ces professeurs seront également l'objetd'om réception soltennelle de la part diel'Université du Toulouse.PETITION COMMERCLALE

ETm

INDUSTRIELLEMM. les comerçants et indostr.ls ro-

tardatail es sont priés do se hâter à signerk pétition sur la propriété commerce*qui est déposée au see.tariat de In Chan,tireGommer. franeo-espagnole, ave-nue Jean-Jaurès. 3, de 10 heures à midi et

. riche seulement de Vapes.poirs. de 2 lu 30 à 5 lk 30 et qui doit'êtro antes-

roue,. Mai enfin, c'est le cahier dea i vu eïrorVoix WpruT.fïment par la classe ouvrière. C'est le desir

derninr délai est fixé au saimedivendit:et:0ns sociales déposées publigne-

devjféreque

unFon souhaitepeu mieux liavaillant. G/est P1.

du travail libéré d'une expleitation suces- BUREAUnotDE MFIGAISANCEle rêve voir se réaliser,

OUmie peu digne d'un veule de progrès.

Td,,,,,,LtdUSE

Le tee Mbi 19ffi a, pour nous. plusieurssignilleations; ers revendications etant "kt mat.d'ordre igonomlque et social. Nous ne !es ,sO umettrons pas en pleurnicheurs, en mon. ' 7,,t7,109.1,2d'anis, male en honmes coi/acte/As du roleindispensable qu'ils jouent dans la société.

Dis-toi Men, mon camarade rira liras ceslignes : que les bourgeois sont anxieux etgo ils observent. Ils «fluent dans la preiii-tarie une Indes.. qui. un jour. les domi-nera; nets il5 se ilenisklent si tele sera de-main, dans un an, ou dans dix ans. Et ilstateiil les poste de la citasse ouvrière, del'intensité tin chétuago du ter Mai 1023ils sortiront avee une âme de vaincus - sile chômage est général - ou line âme devainqueurs, décans à la balai'. - si leolulamge est partie/.

Cette démonstration de grève de vingt-quatre heures que nolls te demandons defaire est d'une importanee capitale, p.aaque tous ont tes yeux fixds sur les orgmi-sations syndicales. Les Murger. d'alumel-- parce qui b ont _peur .

ouvriers. te qui, acOurrig 9 Op.-

Mec de 1920, n'en regardent pas moine ores110113 aveG une angoisse pleine de secrètesympathie. Es sont nombre. COSIX quinous ont abandonnés darit un moment dedécouragement et qui reviendraient h 110.7Squand nous murions nos .i mmtrer forts,puissants- capables Maetion.

11 faut ique le ter Mai 1923 marque le ré-veil de la risses ouvrière. Il faut que, parnotre action énergique, nous entraînionstous les indécis qui sont, au fond, de curavee nous. Pour cela. il est indispensable

PartOnt, les syndiques soient les agentsd'action qui réuniront autour d'eux toutela masse ouvrière..

Par la forer, par le nonlbre, nous protes-terons contre t le capitalisme, contre leniilitar1sme responsable des 15 millions decadavres, den multitudes de mutilés, des

/ deuils, des reines et des misères après lavictoire do droit et do la civilisation.

Centre l'impôt sur les salaires quo nousrefusons de payer rame qu'il est inique.Puce que c'est tu, honte de faire payerau travail qui produit, M'if et ne Possèderien. tandis que le capital, qui possède tout.se refuse ayslematiquement à la p/us lé-gère reslilaion sur lés millions qu'il avolés au trésor publie.

Nous revendiquerons pour la journée dehuit heures, que nous défendrons avechuile notre énergie qu'un patronaId ra-

i lime Gide e uqus vo el.J,es menaces do guerre noi Sont pas écar-

tées.Les assassinats des ratier;'cnconstituent un dedotsan prolétariat

inter'a-tional, lues é par la trots violente des réas-' Cons.

Pour démontrer notre volonté d'action,nOns auront tous à entre de manifester cejour du ler Mai, en IleSierlIDL aux meetingsrommuns des deux C (l. T.

Que usinera. déseria Isoloir. le bi,re1oi,eliajiliar rI faste rots drvruir de travailleur.

enre =pomelo/me et la guerre IContre toutes les réaeitions et Té' Sas.rover somkrité tritchasi 'male ei faim

Mstio intégrale

I PourIles huit .hcures et l'augmentation

I

ÇA ET LA_ LES ETUDIANTS A CASINO-PARK

N1 a EIte épPeyaistinae 'onePdoennereioireienlataprès-midi, h Casino-Park. Rien' n'a été

MUSIQUE MILITAIREProgramme du concert qui sera, donné

an Grand -Rond le dim anche 29 nuit etle jeudi 3 mai, ne 15h Ifi heures t

I. La Sirène, allegro (G. Allier); 2. Ou-verture du Mi de Lahore, Mas-senet): O. Danse Persane (Guiraml);Peer Gynt, lre suite d'orchestre T.Grirg); 5. Déjanire, marotte et corii,ge(Saint-Sam).

ECOLE DES BEAUX-ARTSTous les cours du semestre d'été s'ou-

vriront le 2 mai.Les personnes intéressées sont invitéesà consulter.Teffiche scolaire. in.l'Ebole.Les leçons de la section générale de

deSsin, qui se donnent. de t a 8 hmiresdo soir durant le semestre d'hisser, sedonneront, h partir du 2 mai. de 6 h 8 h,du matin.

501 à 1.0110; le 5 mak du ...ro 1.00tis/600; le 7 nui, da nuniero 1.561 ii 2.000;le 8 mai, du numéro 2.001 à 2,315; le 9 mai,du nurnéro 2.501 à '5000; lut! mai, du nu-méro 380/ d 3.500; le 12 mai, duno,odiuan-desms; le II mai, les assistés qui untstuc rrocuratIon et les personnes qui ontdeux inoeunations et an-dessus; le /h mat,eetts qui n'auront pu venir les jours sus-mentionnés.

3. Primes d'allaitement le 21 mai, duouillé. 1 h 1.20); le 22 mai, du nutni).1200 à 2.000 et fenums en couches.

PERDIJ ehaine tour de cou et medadleor oiselé. Rapporter r

18 "JeRaymond-IV. Rênenapenne.

.A LARDENNECette Société donnera dimandie prochain

29 avril un grand bal à 15 h. salle BrameTorestie avec un orchestre d'élites. Le mei//eus accueil est réservé à tout le monde.

.Les trams pour Lardenue partent de la

plaie Esquirol chaque quart d'heure.U GN EPLOYE INEIDEL17

A la suite de nombreux vols die tabacscigares et cigarettes, commis à le manu-facturé des tabacs de Toulouse, les sonoçons se portèrent sur le nommé HemiPuget, demeurant 11, rue Palmistes, etensploye à k manufacture.

Une erepéète du sous-inspecteur de laSûreté Couget permit détablir cire Pugetétait en effet l'auteur des larcins.

Appréhendé. ce matin à son domicileet conduit au commissariat de /a Sûreté,il n'a pas tardé à reconnaître osier s asp-mopriait check o jour une certainequantité Pls., omelettes et eninas, qu'il remettait en partieà sa maî-tresse, la intrus"' Louise Hayès, domes-tique à le maison de tolérance portant len° 24 de la tue

Canal.FnoilIésur-k-chamsp, Puget e été hou-vé potteur do ainsi, paquets de cigareespu. le matin même à la marrafactrm destabacs.

Une perquisition opérée ou demleikde la femme Hayès a permis de décou-vrir 500 gsunsuma environ Oie tehec envrac, des ninas et des cigarettes

La domestique upprovisionnait de ta-et cigarettes les pesionneires de la

maison oh elle est employée.Puget et son a meiseront déférés au

Parquet.EXPLORATEURS D'ECOLES

Au rouis de la uuii dernière, des te-tonnus Fe smit introduits par escalada eleffraction dans l'Enele Publique du NMNI.Après a, Oir pareouru les diverses sàlles,ils ont enlevé den effets de vestiaire.

M. D commissaire de police du Ou arondissement proidde ii tac enquile Leservi. de la shunté a été avisé.

!ipouornItunité. ouvrière d'ordanisatien et ENCORE UN SUICIDE

d, 't" Ilier matin. vers û heures, M. le. Ce,-ululons tous, le ter Mai, missaire de frOliee dll he arrondissement

Je. GEORGES, a été informe que l'ou venait de retirerun cadavre des eaux dil Canal du Minh

S..'%`'''. r' ,n-',... 't, d,t .5..tit.c. t près le pont de Ouillteméry. S'y étant

I

----................---"'"'''. °(' (é r'rair-1(rs.(91a I transporte euav M. le docteur Dop gsi.in,

a procédé aux constatations, il s'est 10e051ett pl bt nue un no n t II sur aiberge qui ne donnait plue +tele de vie, Surla berge avaient et 6 plie. en évidence unecanne et un bOut de papier portant cesmots Pardon à Dieu, désollé de nessouffrances. Darodes. rue des Puits-G:os,

l'examen des papiers trouves dans lesvêtements, i/ résulte que l'on se trove bic:,négligéafin que tous, petits comme ia.nas en présence du nomme Charles-Edmond

puissent passer à Croix-Daurade meiobtersoti'sée.

L'Association Générale des Etudients or-ganise divers jeux du plus curieuu ottmit.fous ceux qin y participeront et qui brille-ront par leur adresse recevront de nom-breux prix do réelle valeur. Une distribn-

, fion gratuite il'acce.oires de cotillon1 bruyants et multicolores augmentera Pinté-

/ rêt dc cette tète. Ajoutons que deux jars' ultra-modernes accompagneront un ...l-

ient orchestre qui font danser sans inter-r. ion, . a 10 h.

Le soir, à l'hôte/ de l'Europe, bal Mimi-Pinson.

JARD/NS PUBLICSA partir du ler mai les squares et jar-

dins pi/blies seront ouverts à 6 h.Le jardin des piantes sera fermé à /9 h.

les mutres jardins le seront à 19 h: 30 àl'exception des squares Wilson et du Cepi-

Derolas, 04 ans, cooher, domicilie avec sufamille, rue des Puits-Clos, II,

Après les eonslatatiooq le col. a tiertransporté au domielle de la famille.

RECIDIVISTE ARRETEEHier les agents de la sûreté ont arrêté e:

déféré au Commissaire chef Je la slireté,qui l'a envoyée au Parquet, la noilingreLouise Décent., 40 ans, demeurant rueMontplaisie, sur mandat d'arrêt du .1gued'instruction de Boulogne-sur-Mer. Elle estsons le coup de deux jugements correction-nels par défaut.Courrier "rtistirvan

CHORALE DEODAT DE SEVERACC'est aujourd'hui 28 avril à 16 h. 30 que

le fameux Trio Hispanie donnera, à la de-mande du publie, son troisième mncert dela saison.

location t Librairie Ilichard, 20. rue La-fayette et Bakr., bouquinier 52, rue duToue. l'Ex u 8 fr. et li fr.

Parti Socialiste (N.P.1.0.)

Fédération de la Hatate-G.ronneComité Fédéral

sont priées d'envoyer leurs délégstés -

le dinunate 6 mai à 10 brimes précisesdu matin grande salle du café Ci/lats.',arcades du. Capitok à Toulouse.

Le secrétaire u E Berlia.

psatéet devnsit le Conseil Natrons] du13 mai Désignation des eglégtés

Le Comité Fédéral est convoqué Pan'

Ordre du jour. - Estrela des craesfiP''r

Toutes les sections do, département

'Vie Ouvriez.°BOLUISE. DU TRAVAIL

Les scrensires ou trésoriers de tous les syneltfere eent prins de passer cu secrerriat cc ruerdimanche de 10 h. à mitelt. ou Onrrtain mcl, dansIsjotruée nnor retires las journeaux du ir Peuptenuméro du ler béai e pose the secomkkathintrès isesicassoc.

Synntit, d.. Pâtintiere. Emmen exmce-dkeire le 30 avril 'a 9 h, du soir. cafd Nobile, 5.buidevevi de Strasbourg. - Drsicu à ,,,enen-Pau* le ler Mai.

LIttion dép,,,temeld.le unitaire d. I, Hutt,Garonne. Le secderriai de DarneraPpeile à ses synérecis qu'une Pe.uannuou 8818heu dimanche matin au Menin pour délivrer Irjoureaux, In Vie Syndivale et tu Vie Ouvrièred rés aux /drink.. unitaire. en ris du letMai. Prière aux neereairs de venir les redrer.

Les ireeriers du syndicat du Bâtiment tiendra.eaelemeet remaceese aujecriThar Gmaashe de9 h ô 12 heures hen rersheir lissotihtisas etmenthe l'inshrirttan des nouveaux adhérents.

Les SociétésLes Virtun... d. 1,, Chasse. - Ressemueo,es

ee soir à 20 h. 30 ss erkse .6ai, le es.sert ost sssa rom ;, lu .% dee Jessé/as..

- A Cahors se d9-mirer cet après-midi la finale du Championnat de

1 1'1ZZ:un '') In'''C7tex'Zil:lro> Tue usuolo Nuvonegairiores réédirrencils t'exploit qui leur n,kt lemrs de Ghsosnon des Pyrtrelet' No,.,n'osons le meterÔre En téss r kisam coiii'sex« bleus et acon n, qsi ri juscnidiei victorieu-sement deendu les haleurs Tsulonerrres5t uuetacs nos yeetirs les accu...mem.

Dlrarigun mime. de 10h, 09.Sm, Fémirdn. (lime Shertive

Toolsusai.iDimenehe matin, à 9 h., esure 12ea,pea th-mains au /dèch,e. du Ries' d7.Achiteilhoe et sy.lasttuao. je., filles sie'dém..o, pratiquer ces exercices mont priéde es'so présumer sus le tesq. en égaisarmectsoma mis à leur disnositi.Le. Petits Chut.. - Dimeashe 29

av'à9 h. 3/3 do matin. réunion extraordinairesiège, café d.. fsur.Mondest. Vosaa

à arés...e''à la morheme assemblas ttértétetn da Com,' 1

Vie sportive:FOOT-DALE CLUB TOULOUSAIN

C'em aujourd'hui dimanche 29 avrilqueleFoutt-Ball Club sur son terrai/ de hiliou-

eirerie fait disputer une sérieuse partie d'en-traînement en vue de la formation de Té-guipe première.

Rendeg.vous des joueurs et Vétérans ausiège à 9 h. 15 est rapelé eux retardatairesque la liste pour le banquet est irréme-shah/amant close le hindi 90 avril. Lesjoueurs pratiquant l'athlétisme sont priés dese rendre au terrain à 9 h. 30.

STADE 'TOULOUSAINC'est aujourd'hui à /5 h, que sera donné

le coup d'envoi de la rencontre Stade Tou-lousain Biarritz Olympique En vue d"tel I affluence aux gumhets des terrainsEh Wallon, deux locations fonctionnerontee matin tai kiosque des Afiées Jean-Juurèset au semèterial du Stade, 1, p/ace Meta-biau, pour ks enirées néniniroles les tribuneset les chaises numérotées.

L'ouverture des portes des terrains pualimuè,or'di; le personnel et cornierdordre sont convoqués pour lb 11.330.

COURSES DE TOULOUSEPronostics 010 « Midi tt.Prix de la Société rie demi-sang tGaie Noilhan et Trtania3e Prix du Gouvernement.La Bédouine qui a kilim/mea gagne

dimanche dernier le ler Prix du Gouverne-ment et l'écurie StLayme bien plauée der-rière eile.

Prix du Pr intetne3Poule Gnestier et Drim IIPrix de l'Arien,Louvain, Reims,Prix Verdungalbas, llishiqueme,

tourcuts mamans

Iiij14ÉitRes&

CINÉMAS'' Tl-MAIRE DES VADETE.S. -- Aujourd'hui

en ninstirre à 14 heures et en mires à 201/. 30. 2ronséssnutionv derisamense succès s La Grisa-ite Eliseo', ri, la Ghanossse opéretov uni uloms.Satons les Gons, adieu à eus mise en eastas surnom-esse et à ane intemetaits. de ler scdre.L. etros-méme diseta 1-ina IMacy, S'Odes:Rousseau, bri-mant MM. Berielklemee. Pres, De -Vaine et le iGYGGs sou u,."

Lik'SIMLNEAUTES. - Acioael'huà disoaridleBadigeon ses, duntiu theriaés à 2 h.39 ei sevàir à 9 heures. Acoa ohi, gaine anrès /a musé-semeies do Lundi 30 everi, os. nits ah.. ue.nreshostron te anches. ehmirsheere a 20 h. 30

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UNE REUNION SYNDICALEC'est devant une salle comble qu'a eu

lieu le jeudi 2fi avril dans /a selle Bartasla rem/. syndicebste orgamsee par laBourse du Travail de Toulouse. Le 000-Ire préside, assisté des eamararks Arbe-feuille et Bonnet°. dr Blagnk.

Au début de la séance, /e président pré-

Cos urne (puriste

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Démarcher évitées aux familles.

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sente os excuses de Louis C.eneuce, se-crétaire de la Bourse du Travail, qui n'apu se rendre à la réunion, retenu au der-nier moment par les conmurs dos Coursprofessionnels, dont il a la charge.

Gustave Régulé, secrétaire du syndicat desboulangers remercie la population de Bla-gnac d'avoir répondu :3 l'appel de la Boursedu Travail, et souligne en termes très heu-reux l'accueil qui a toujour été réservé enpareille eirronstance. /1 démontre ensuitepar des arguments et des chiffres la causefirititile de la cherté de la vie, dont lesresponsables dit-i/ sont les gros sPeeida-Durs, les mercanhs scus le muvert corn-plaisant des pouvoirs publics. 11 fait en-suite un vibrant soue/ aux camarades pré-serin, en les engageant à se grouper dansleur syndimt respectif pour attester parce moyen leur force et lcur volonto </ac-tion; réclamant ensuite une motion en fa-veur do la libération de Marty, des mu-tine de /917 et de tous !es condeumes poli-tiques, i/ termine son exposé sous une saked'applaudissements unanimes.

C'est au tour de Beelei, le vieux militantniele de tous mus qui le connaissent et demou qui l'approchent. Son expose clair etpréck est très goilté par l'auditoire loirs-qu'il réclame le vote dffirojet de loi sur/es assurances tOele es, mettant a ce sujetles industries de l'Etat en parrallèle avecl'industrie privée gin n'a rien obtenu du

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MAIRIE DE TOULOUSEDECLABATIONS DE DECES. - CONVOIS

IMNEMIESIn Maire de la Ville de Toulouse a

l'honneur de rappe/er a ses administrés,eh do /eu mettre eu garde contre deserreurs regrettables. .que les deelartitionsde décès ne peuvent être reoees que amuleu hurnanX de l'Etat-Civil ft la Mairie,conformément aux arlicies 77 et 70 duCode Civil d d n Déera du là avril 1919.

Il rappelle, on outre, qu'aux termes del'art:tee 97, chap. 4, que la loi municipaledu 5 avril Mi. l'Autor1tê Municipale rè-gle le modo de transPôrt des personnesdérédécs, les inhumai/0ns et exhumationset qu'en onsemtencis elle a seule D droitde fixer Ira /mures des convois funèbres.rue Pargaminieres. Téléphone 11411, quise -Marge de toutes dêniarehes auprès

s Mit,étres des elnels cultes.S'adresser pour tous renseignements

ne/mentent les convois funèbres, Ser, ihmicipa/ cies Pompes Funèbres, 31.

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Mue

tout,. que l'ombre d'une aumône sons /adénomination de retraite .vrierie. Aprèsavoir comme Flé/mé réclamé la libération de3Ikty el fait appel en faveur du syndicalis-me, dans une itmgnifique péroraison, ilcrie « l'heure du syndicalisme ViendimSur les travailleurs, Rant une force ne veu-lent plus se laisser brimer par le capitn-llsme insolent et réclameront leurs droits

le bourgeoisie en écrasant /e fascismemeurtrier a. Un ordre du jour présentél'assemblée réclamant te réajustement dessalantes, I amnistie pleine et entatre, la h-itération de Marty et des Mutins de 1917,est voté à l'unanimité et ch.. sc retire ersse donnons rendez-vous pour la journée ditPremier Mai à 3 h. au Grand Meeting orga-nisé à Toulouse, salle des Jacobins.

En somme bonne journée pour le syndi-calisme. L. C.

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tlgit de 60 ans, de Grenade, travaillmt,Murville, est tombé si ma/heureusement dubant dan mur, élevé ire 3 or. 50 qu'il s'esttué sur le coup.

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- En général, non, toutefois il y a desexceptiom et celle-ci en est une. Le feraura traVersé les chairs sans toucherd'organes essentMl.

- Serait-il donc possible qu'il en fûtainsi ? fit la comtesse dont la croyance'était forret-nt-mi ébranlée.

- Tout ce qu'il y a de plus possible,madame, croyez-moi. J'ai fait une en-quête sur lui et ai acquis la certitude quem ne me trompais point.

hie. n'ignorez pas, d'ailleurs, que jen'svance jamais rien à la légère.

En outre, Cocardasse et son ami Pas-sepoil l'ont parfaitement reconnu cette

issuit. Donc le mcrable est bel ciblesvivant et la seule marque qui lui restedu furieux coup d'épée que lui a octroyésotie nonia est un tic qui l'oblige à bais-es, fréquemment et brusquement la té-ta sut- Lepaute gauche.

Un nerf qui aura été froissé sans clou-

- Un tic, .que le force à baisser /a.té sur l'épaule gauche s'écria Aurorejoues da laquelle monta soudain un

flot do sang.

Réclame des Lundi 30 et Mardi 1" Mai 1923

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LE DtiG zEvEnz.- Oui, comme cela... fit le policier,

thef de Peyrolles- Oh Seigneut ! Quel soupçon me

lent I... st C'était lui th..

- De met Soupçon parlez-vous, com-tesse ?

- Mon malheureux époux, quand onme l'a rapporté mourant, Ma dit, avantd'expirer, que ses meurtriers étaientcommandés par un homme masqué,dent naturellement il n'avait pu voir levisage, mais chez lequel il avait remue'que ce tm.

- C'est vrai, Cocardasse m'avait ditcela également, je n'y songeais plus.

- Aurions-nous donc enfin découvertl'assassin rl/Flenri de Lagièrdère, profitad'une voix vibrante Aurore, dont la fi-pure s'illuminait dejà de la joie de lavengeante.

- Cela se pourrait certes, madame.- Oh si j en étais Aire ?...- Il y a dans le rapprochement que

vous faites de grandes présomptions pourque ce soit Eeyrolles qui ait commis ce

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Nosua rappelons, é" Or façon toute parti-culière, l'attention de nos leeturs sur lesdeux ouvrages ei-dessous

LA NIETHODE ANET (32e mille-1L'ART DE PARLER Elei PUBLIC, par

Fernand Gares 115e mille), Ces deux ou-vrages ne font pas double emploi. Ils seeompletent. Ils ,permettent h toute per-sonne d'une inienigence moyenne ot d'uneinstruction ocMitaire qui a quelque chose àdire on public, de l'exprimer avec logique.clarté, correction et surteut

des

forfait, cependant, ce ne sont que des valiet savait parfaitergent à quoi s'en te-présomptions. nir sur son compte; il le connaissait si

- NIPn Dieu 1 Comment lès chaPger bien même qu'il agissait de complicitéen certitude ? avec lui et a lui-même participé à l'as-

-- Jusqu'à présent, je n'en vois pas tontat d'hier soir nuire votre fils.trop le moyen: l'aveu seul du coupable - Que me dites-vous là ? 12n ambhs-Pourrait nous fixer._ et il est de toute sadeur !...évidenoe quo

pot.est notre __ ,,,,b,,,,,adeur colossehornmc

Si encore, cette nuit, nous n'avions pas lab.disnsia 'vpéei'our'gler de lasdetopuitcesses'oPràtce's'envoyé e ad patres des bandes qui fortune colossale et n'a dû sa situationavaient assailli votre fils, un nommé Ma- qu'aux services rend. autrefois par salhiaa Knauss dont il se servait depuisde longues années pour l'accomplisse-tuent de ses desseins, peut-être0505 p0 pu le forcer à parler et tirer de luiqueue precieux renseignement.

alheureusement ce témoignage nOUSManque.

aussi est un i& ses instruments- J'y pense... et cette Bathilde qui elle ào, cgdevre mt celui qui est devant la

fritZi.emoi qui tai admasé riuton, et

- Vous ave2 reisOni ti se peut qu'elle -- Pourquoi donc désirait-a aussi lasoit à même de nous révéler la vérité, mort de mon enfant, ?

La comtesse sonna. - Pour une chose bien simple, non,-- Qu'on fasse venir immédiatement tesse. Voas et votre fils disparue, Pat-

mademoiselle de Wende/, ordonnas-elle thi/de héritait, ou croyait hériter des mil-à un domestique qui parut.

Puis à M. Hélonslions que vota nui léguiez par testament..et devenait ensuite madame l'ambassa-

- Mais où rencontrer ce Giam-Ba- dace, ton sans que Peyrolles Me pré-lista ? levé la part du lion snr Ehéritsze.

- Là n'est pain:As difficulté. Le vieux - Quel horrible calcul 1

gredin pomède un5 telle audace qu'il a A net instant un domestique entra.me se faire présenter à la cour par fiame _ Madame /a comtesse, dit il onbassadeur de. Venise, le chevalier Zérto: vient de retirer du puits le cadavre d'unet on l'a vu pas plus tard qu'hier soir individu qui s'y était icléau bal donné au Loume pour fêter le - Qu'on y avait jeté, restifie M. Lle-Ictour à Paris des officiers de Fermée kg&

_Et tco:e.tttbe mà

aurions pu peut -Cure obtenir quelqueaveu sur les anciens agissementa de

fmralle a /a Repubhque de Vernon...- Mais s'il était un ote ceux qui ans

attaqué Philippe et que vous les ayeàtués tous. hormis Peyrolles, dois-je enconclute qu'a l'heure présente...

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factotum de Gonzague à l'époque de laIzmit du comte de Lagardére.

Il se toucha le front comme pris d'uneidée subite et demanda à l'homme quivenait d'entrer.- N'a-bon pas trouvé un quatrièmecadavre dans le jr.edin ?

- Non, monsieur, répondit le domes-tique: - on visznt de le visiter entière-ment d'un bout à Foutre et on n pasvu d'autres corps que les deux qui mndans k bois, soit, commis celui du puits,nom en tout.

- Voilà qui est incompréhensible, ob-serva M. Hélouin; - loi paustantuarouler mon homme inerte à terre, à lasuite crun coup que je lui ai porté enpleine poitrine.

Puis, après une pause, pendant la-quelle il sembla méditer :

- Au fait, il ne serait pas étonnantque j'aie été victime d'une rouerie de lapart du chevaliez et maintenant que jeme rappelle mieux la façon dont il esttombé, j'en arrive à être presque convaincu, que je me suis sottement laisséiouer.

Le rusé coquin, voyant qu'il ne pou-vait pas m'échapper, aura pattleu pro-fité de 1/obscurité pour me faire croireque je rasais ai/levet/cent blessé et simu-ler l'immobilité de la mort.

Il me revient même que, surpris de sachute soudaine sur le sol, je me suisbaissé vers lui pour chercher où monfer l'aval atteint; ce que je ...Voie Pasetmore réussi à découvrir quand Cocar-des. et Passepoil, qui venaient dexpé-dire leurs adversaires dans le bois, m'ontrejoint et détourné de mon exarrien.

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- les deux pics dangereux ennemis demon fil, .existent encore ?...

Et noms ne SacOnS pas actuellement oùil est, lui... Nous ignorons si à la secondCmême où nous parlons, il n'est pas denouveaux aux prises avec

! je ne veux p. rester une reinutede plus clans une telle inquiétude... Coûteque coûte il me faut mon ezfant... toutde suite.. tout de suite...

Germaine P._ appela-belle.Germaine se présenta.- Vite ma chaise... je sors.

QuelL est votre intention, madame?demanda M. Hélouin.

Courir chez le lieutenant de PolirP., qu'il mette sur-le.vharnp tous sesagents à la recherche de Philippe... cha-que filetant qui s écmêle peut lui êtrefatal.

-La précaution cas bonne. Toutefois.ne acriez-vous pas d'avis, avant do par-tit, d'entendre Mlle de Wendel ?

Aurore Ment pas le mors de réponsMo.

Le douestique qu'elle avait enVoYe

vers sa demoiselle de comPagnic VInS as'noncer nue celle-ci était introuvalole, etque le désotdre s,oi léguait dans ses aP-partements semblait indiquer un déPar1précipité.

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