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concert n°58 Conservatoire Lundi 04 juillet 2011 16h30 carte blanche Jay Gottlieb / piano Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension. www.flaneriesreims.com

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Page 1: carte blanche -  · PDF filePétillant, brillant et un brin facétieux, Jay Gottlieb revendique cette liberté de ... Beethoven qu’avec Berio, Ligeti ou Crumb ! Une œuvre doit

concert n°58

ConservatoireLundi 04 juillet 2011 16h30

carte blanche

Jay Gottlieb / piano

Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension.

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Jay Gottlieb, pianiste phénoménal

Certains musiciens découragent toute espèce de classement ou de définition. Prodigieux pianiste, Jay Gottlieb est de ces artistes atypiques qu’il serait vain de vouloir enfermer dans une case stylistique. « J’aime tous les compositeurs qui me surprennent, de Scarlatti à Keith Jarrett ! » lance le pianiste new-yorkais, parisien d’adoption. Pétillant, brillant et un brin facétieux, Jay Gottlieb revendique cette liberté de saute-frontières que son insatiable curiosité conduit d’un univers à l’autre. Il s’affirme dans le même temps comme l’interprète indispensable aux compositeurs contemporains qui trouvent dans la surprenante étendue de ses modes de jeu et son intelligence musicale, le médiateur idéal pour leurs créations. Olivier Messiaen, Magnus Lindberg, Maurice Ohana, … impossible de citer tous les grands compositeurs de notre temps qui lui ont dédié des œuvres. « Jay Gottlieb est un de ces rares musiciens auxquels pense un compositeur lorsqu’il écrit sa musique » confirme Lukas Foss.

L’empreinte de Nadia Boulanger…Le parcours de Jay Gottlieb dessine la silhouette d’un musicien exceptionnellement doué. Comme nombre de virtuoses, Jay a été immergé dès sa prime enfance dans la musique. A New York où il est né, son père était homme d’affaires et grand amateur de musique ; sa mère, interprète et professeur de danse moderne, pratiquait le piano à ses heures : « Très tôt, j’ai ressenti l’appel du Steinway qui trônait dans le salon. Personne ne m’a forcé, c’était une véritable vocation ! » sourit le pianiste. Elève à la Juilliard School et à la High School of Performing Arts, le jeune prodige noircit ses premières partitions à 10 ans et bénéficie des conseils des meilleurs professeurs. Une rencontre, entre toutes, sera déterminante dans son parcours, celle de Nadia Boulanger : « Nadia ne me quitte jamais. Je pense à elle comme à la musique  incarnée.  Je me  souviens  de  son  intelligence,  de  son  esprit  critique,  de  sa méthode  très socratique, de son exigence aussi. La musique était en tout pour elle et toute la musique était en elle... ». Auprès de ce mentor d’exception qui a formé les plus grands musiciens du XXe siècle, le jeune musicien apprend la musique au sens large, la composition, l’harmonie, le contrepoint, l’analyse… mais aussi à repousser toujours plus loin les frontières de l’expression. C’est elle encore qui l’envoie à Harvard étudier la philosophie, l’anthropologie, la psychologie, les mathématiques, parallèlement à la musique. « Il n’y avait même pas à discuter  !  Il  fallait que  j’aille à Harvard » se souvient Jay qui en a gardé une forte prédilection pour la philosophie.

Une virtuosité polymorpheA l’issue de ses études, Jay choisit de s’installer à Paris et de se consacrer au piano. « Il m’a fallu choisir entre la composition et l’interprétation. Le piano l’a emporté mais mon goût de la création reste nourri par mon  travail avec des compositeurs contemporains et  l’improvisation. » Son ascension dans le monde musical est fulgurante. Lauréat d’un nombre impressionnant de prix (Fondation Menuhin, Fondation Rockefeller, Prix Lincoln Center, Prix Lili Boulanger, Concours international d’improvisation, setc), il est invité comme soliste par des chefs ayant pour nom Boulez, Ozawa ou Nagano… Au concert comme au disque, sa technique éblouissante alliée à une variété de dynamiques magistrale et un tempérament de feu stupéfient la critique musicale : « Incomparable » pour Le Monde, « Magistral » pour Diapason, « Prodigieux » pour le Point, « Exemplaire » pour Télérama… la presse rivalise de superlatifs dès qu’il s’agit d’évoquer le phénomène Gottlieb. S’il est très engagé dans la création contemporaine, Jay Gottlieb défend aussi avec brio la musique américaine. Ses enregistrements des œuvres de John Adams, Philip Glass, John Cage ou Charles Ives ont ainsi reçu les plus hautes distinctions. Inlassable défricheur, il a tiré de cette virtuosité polymorphe, un art d’improvisateur et le goût du risque. On l’attend ainsi avec impatience aux Flâneries dans une série d’improvisations autour du romantisme et des Années folles mais aussi dans une carte blanche qui reflète bien l’éclectisme de ce pianiste hors norme…

portrait

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Comment définiriez-vous l’improvisation ?Jay Gottlieb : Pour certains, l’improvisation peut être à la base d’une composition écrite. Pour moi, elle est intimement liée à l’instant et relève de la pure invention musicale. C’est le compositeur resté en moi qui s’exprime. J’ai la chance de pouvoir improviser en temps réel. Je suis convaincu qu’on ne peut pas devenir improvisateur. C’est quelque chose qu’on a ou qu’on n’a pas en soi. Cela ne s’apprend pas. Dans l’improvisation, j’aime la notion d’immédiateté. Il y a toujours une part d’inconnu à la fois excitante et angoissante. C’est comme faire du trapèze sans filet.

Que représente pour vous le mouvement romantique et comment abordez-vous ces « improvisations romantiques » ?Jay Gottlieb : La période romantique évoque à mes yeux les grands aventuriers du XIXe siècle. J’ai l’image de l’explorateur, main tendue devant l’être humain pour aller plus loin. Il y a dans la Vienne moribonde de l’époque, un mélange de dégénération et de joie sous les larmes qui me touche beaucoup. Je suis particulièrement fasciné par Schumann, son imaginaire, sa forme de folie. Certaines pages recèlent des trouvailles incroyables et révèlent un compositeur immense et surprenant. Il y aura probablement des réminiscences de tout cela dans mes improvisations.

Et les Années Folles ?Jay Gottlieb : Au début du XXe siècle, l’abstraction arrive avec Kandinsky en peinture et Stravinsky dans la musique. C’est aussi l’avènement du jazz, du futurisme, du dadaïsme. Toutes les conventions explosent avec des compositeurs comme George Antheil, immense talent dont Aaron Copland disait « c’est un génie incroyablement imparfait ». Le « geste » évoquera donc Antheil, Milhaud, Stravinsky mais ce sera ma musique ! Le geste est un mot clé dans l’improvisation. C’est un catalyseur qui permet de lancer les cellules rythmiques. A l’improvisateur ensuite de produire le sujet et l’harmonie…

Vous avez ensuite une carte blanche le 4 juillet où vous présentez un programme très éclectique ! Comment avez-vous construit ce récital ?Jay Gottlieb : Comme une extension des Années folles. Tout le programme est construit sur la notion de musique populaire intégrée au sein de la musique savante. Cette idée de fusion est illustrée par le Ragtime de Paul Hindemith que j’adore, une musique nocturne, très puissante de 1922 et le Blues de Aaron Copland qui est l’incarnation même de l’apport de la musique populaire dans la musique symphonique. Je jouerai aussi du Erwin Schulhoff que je considère comme un génie absolu. Même Debussy qui avait la dent dure disait : « voilà enfin un vrai musicien ! ». Son œuvre est une fusion parfaite de figuration chopinienne et d’harmonies plus épicées, une pure merveille ! Quant à Karen Tanaka, elle a fabuleusement absorbé les influences de la musique américaine et la techno.

Comment s’inscrit Keith Jarrett dans ce programme ?Jay Gottlieb : Avec Keith Jarrett, la fusion s’exerce en sens inverse. C’est le jazz qui incorpore le classique. J’ai rencontré Keith lorsque j’étais encore étudiant à Boston. Il m’a invité sur scène et m’a demandé d’aller sous le piano ! Là, totalement imbibé du son, j’ai réalisé à quel point c’était un immense musicien. Il parvient à allier de longues phrases virtuoses, des éléments de classique très baroques et l’improvisation jazz dans un travail musical de tout premier ordre.

Vous allez également interpréter une suite sur les dix Symphonies de Malher ?Jay Gottlieb : Récemment, on a découvert dans la bibliothèque de Nadia Boulanger, des partitions des Symphonies de Malher annotées. Cela a été un vrai choc. Cela fait maintenant un an et demi que je joue avec cette œuvre. J’ai créé une suite qui dure près de 30 mn avec ma propre construction. C’est toujours du Malher mais cela devient dans le même temps un autre objet…

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On vous entendra enfin en duo avec le violoniste Diego Tosi dans un tout autre registre ?Jay Gottlieb : En 2007, j’ai déjà enregistré avec Diego Tosi la Sonate pour piano et violon de Giacinto Scelsi. Nous avons très bien travaillé ensemble et les organisateurs ont souhaité nous réunir de nouveau. Mais le programme est signé 100% Diego. Je suis seulement le pianiste qui accompagne ! Il y a tout de même beaucoup de notes à jouer notamment dans Saint-Saëns, apogée du grand piano romantique qui demande une extrême virtuosité.

Figure de proue de la création contemporaine, vous jouez également tout le répertoire classique. Quel est finalement votre répertoire de prédilection ?Jay Gottlieb : J’ai donné récemment une conférence, « Six siècles de sixième sens », où j’expliquais comment la surprise est le secret de la grandeur en termes de composition, du XVIe au XXIe siècle. Cela fonctionne aussi bien avec Bach, Mozart, Beethoven qu’avec Berio, Ligeti ou Crumb ! Une œuvre doit apporter quelque chose de nouveau et surprendre quelle que soit l’époque. Nadia Boulanger, qui était la plus grande analyste musicale de tous les temps, m’a ouvert cette voie synthétique. Tout est lié comme une succession de levers et de couchers de soleil. Je peux jouer des œuvres décrétées « sérieuses » puis me jeter dans West Side Story de Bernstein avec le même bonheur.

Quels sont les projets qui vous tiennent à cœur ?Jay Gottlieb : Grâce à deux grands musicologues, j’ai découvert un compositeur russe, Nicolas Oboukhov, initialement révélé par Ravel et Messiaen, qui me passionne. C’est une musique rare, empreinte d’un grand mysticisme et j’ai la chance de posséder l’intégrale de sa musique pour piano, que je viens d’enregistrer, le CD est sorti cette saison. D’autre part, je rêve de monter un projet autour de la musique de Scelsi, un immense compositeur et un véritable gourou pour moi à qui j’ai été lié par une merveilleuse amitié. L’imprimatur de Scelsi et de Nadia Boulanger ont été plus significatifs dans ma vie que tout au monde. Leur bénédiction m’a donné de la force pour le restant de mes jours.

propos recueillis par anne de La Giraudière – Flâneries Musicales 2011

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Jay Gottlieb

Élève de la Juilliard School, de Harvard et de Nadia Boulanger, bardé de prix internationaux, loué par les plus grands dont Messiaen, Boulez, Bernstein ou Ozawa, Jay Gottlieb reste un pianiste inclassable dont la caractéristique première est le tempérament aventureux.

Né à New York, Jay Gottlieb est lauréat de la Fondation Yehudi Menuhin, titulaire du Prix de la Fondation Rockefeller (New York) et de La National Endowment for the Arts. Il a remporté de nombreux prix interna-tionaux dont le Prix Lincoln Center (New York), Premier Prix du New York Links Piano Competition, Prix Lili Boulanger, Prix du Festival de Tanglewood…

Il s’est produit en soliste avec les plus grands orchestres tels le Boston Symphony Orchestra; l’Orchestre National de Chine ; l’Orchestra della R.A.I. ; l’Orchestre National de la Radio Polonaise ; l’Orchestre Sym-phonique d’Europe ; l’Orchestre du Rhin à Genève ; le London Sinfonietta en Grande-Bretagne ; l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, etc.

Activement engagé dans la création contemporaine, il est le dédicataire de nombreuses œuvres, écrites à son intention par Sylvano Bussotti ; Barbara Kolb, Franco Donatoni, Régis Campo, Lukas Ligeti, Bruno Mantovani, Yan Maresz et bien d’autres.

Jay Gottlieb a reçu le Grand Prix du Disque de l’Académie Charles Cros pour son album Arcane d’Allain Gaussin ainsi que plusieurs « Coups de Cœur » pour ses enregistrements des œuvres de Bruno Manto-vani, de Régis Campo et pour son CD Continents. Ses disques des œuvres pour piano de John Adams, Philip Glass, John Cage et Charles Ives ont été également récompensés (« Choc » du Monde de la Mu-sique , « Diapason d’or »).

Pour la revue Piano, il a signé une importante série d’articles sur le piano du XXe siècle et il est co-auteur du livre 10 ans avec le piano du XXe siècle (aux Éditions de la Cité de la Musique).

Le gouvernement américain a nommé Jay Gottlieb pianiste officiel pour représenter les Etats-Unis dans le monde.

BioGraphie

Jay Gottlieb John Adams - China Gates / Phrygian GatesPianovox (PIA 510)

Jay Gottlieb John Cage - Music for Non-Prepared PianoOgam (488012-2)

Jay Gottlieb Philip Glass - Piano MusicOgam (488007-2)

Jay Gottlieb Charles Ives - Piano MusicPianovox (PIA 542-2)

Jay Gottlieb Maurice Ohana - Trois Contes de l’Honorable Fleur Philips (6504 157) Jay Gottlieb Maurice Ohana - Lys de MadrigauxErato (STU 7148)

Jay Gottlieb Maurice Ohana - Avoaha et Lys de MadrigauxOpus 111 (OPS 30-109)

discoGraphie

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discoGraphie

Jay and Gordon Gottlieb Piano et Percussions Auvidis (AV 4831)

Jay Gottlieb Bande sonore du film « La Discrète »Milan CD (CH 800)

Jay Gottlieb Barbara Kolb - AppelloCRI (CD 576)

Jay Gottlieb Michèle Reverdy - FigureHarmonia Mundi (SCD 9001)

Jay Gottlieb Olivier Messiaen - HarawiADA Universal (581139)

Jay Gottlieb Olivier Messiaen - The Complete Songs ALM (ALCD 7100-01)

Jay Gottlieb Vinko Globokar - Les EmigrésHarmonia Mundi (9052212)

Jay Gottlieb Allain Gaussin - ArcaneSalabert Actuels / Harmonia Mundi (SCD 9410)

Jay Gottlieb Alessandro Solbiati - Piano SonataStradivarius (STR 33542)

Jay Gottlieb Bruno Mantovani - Jazz Connotation et d’un rêve partiAeon (AECD 0208)

Jay Gottlieb Récital: “Continents” avec œuvres de R.Campo, B.Delbecq, F.Lagnau, L.Ligeti, C.Koechlin, F.Poulenc, D.LangSignature / Radio - France (SIG 11013)

Jay Gottlieb Régis Campo - Concerto pour piano et orchestre Aeon (AECD 0529)

Jay Gottlieb Dimitri Yanov-Yanovsky - Concerto pour piano et orchestre à cordes / Le Chant du MondeHarmonia Mundi (LDC 278-1152)

Jay Gottlieb Giacinto Scelsi - Sonata for Violin and PianoSolstice (SOCD 242)

Jay Gottlieb Berio, Ohana, Ravel, Lorca, MompouALM (ALCD 7122)

Jay Gottlieb Nicolas Obouhow - Œuvres pour PianoAbeille Musique (Sisyphe 010)

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Tarif : 12 € en prévente et 15 € sur placeTarif réduit : 50% pour les demandeurs d’emploi, et les jeunes de 14 à 25 ans

sur présentation d’un justificatif

www.flaneriesreims

À l’occasion du concert pique-nique, Les Flâneries Musicales de Reims et CITURA vous offrent les navettes. Des bus assurent l’aller et retour des spectateurs depuis les principaux quartiers de Reims Métropole. De 17h à 21h30, un bus assurera la dessert du Parc des Expositions jusqu’au Parc de Champagne, toutes les 10 minutes environ. Au retour, des navettes partent du Parc de Champagne vers les quartiers et le Parc des Expositions dès la fin de la manifestation.

Vous aurez la possibilité d’acheter votre pique-nique sur place.L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Nos amis les animaux ne sont pas acceptés aux concerts, y compris au concert pique-nique.

Concert pique-nique Pommerysamedi 09/07 | 19h00 | Parc de Champagne

Ouverture du Parc à partir de 17h00

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ylva

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Thomas de Pourquerysaxophones alto et soprano, voix, composition

Daniel Zimmermann compositionMaxime Delpierreguitare

Sylvain Danielbasse

Al Di Meola guitare

Fausto Beccalossi accordéon

Kevin Seddiki seconde guitare

Peter Kaszas batterie

© F

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Gonzalo Rubalcaba piano

David Akninbatterie

feat. Gonzalo Rubalcaba

DPZ (première partie)

© D

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Al Di Meola World Sinfonia

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lundi 04 / 07 | 20h30 | Cathédralen°59 - 25 €

ORCHESTRE NATIONAL DE LILLEJEAN-CLAUDE CASADESUS / direction

PLAMENA MANGOVA / piano

aU proGraMMe prochaiNeMeNt

Tout au long de cette édition, Les Flâneries Musicales vous invitent à assister aux rencontres FNAC à l’issue de certains concerts : une belle occasion de découvrir les artistes conviés.

mardi 05 /07 ● ConservatoireSonia Wieder-Atherton, violoncelle

mercredi 06 /07 ● ConservatoireStéphanie-Marie Degand, violon et Michaël Levinas, piano

vendredi 08 /07 ● ConservatoireFrançoise Rivalland, percussions

reNcoNtres FNac

Les visites avant-concert font du festival un lieu de rencontre entre un public, un lieu de concert et une programmation. En une heure, elles offrent la possibilité de découvrir un lieu de façon inédite et singulière.

● La prochaine visite avant-concert proposée au public :

lundi 18 juillet à 10h | Cathédrale Notre-Dame de ReimsVisite animée par Pierre Méa, organisteRencontre avec le musicien autour des orgues de la Cathédrale

Tarifs et renseignementsLes visites avant-concert sont offertes par Les Flâneries aux personnes qui assistent au concert.Pour accéder à la visite et uniquement pour les concerts payants, il sera demandé de présenter le billet du concert.

Places limitées ! Merci de nous contacter pour enregistrer votre inscription par téléphone au 03 26 36 78 05

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