C. Effets de l’AP sur la qualité de vie

(cf. Tableaux 13.1, 13.2 et 14.1)

Améliore la qualité de vie des individus.

Mode de vie actif = rôle déterminant dans les ≠ dimensions de santé (physique, psychologique et sociale).

Mode de vie actif → apprentissage de saines habitudes de vie.

L’AP a donc des effets positifs sur les 3 déterminants de la santé suivants: morbidité, mortalité et qualité de vie (cf. Figure 14.2)

II.EFFETS DE L’AP SUR LES PATHOLOGIES CHRONIQUES

D. Effets de l’AP sur les capacités physiques

Individus ayant moins d’incapacités physiques ont un mode de vie actif (Elmquist et coll., 1999).

Individus souhaitant leurs capacités physiques doivent pratiquer des AP dont la DE est supérieure à celle d’AP quotidiennes (Jensen et coll., 2004; Villareal et coll., 2004).

Entraînement aérobie la capacité cardiorespiratoire (Beyer et coll., 1995; Wang et coll., 2001), et l’équilibre (Eikilis et coll., 2003).

Entraînement en musculation l’équilibre (Sharma et coll., 1998; Burguera et coll., 2000).

II.EFFETS DE L’AP SUR LES PATHOLOGIES CHRONIQUES

D. Effets de l’AP sur les capacités physiques

II.EFFETS DE L’AP SUR LES PATHOLOGIES CHRONIQUES

Effets chez les seniors A un effet positif sur les capacités

physiques et la condition physique:NAP élevé 36,8% (hommes) vs. 52,7% (femmes) le risque de limitations fonctionnelles liées au vieillissement (Haight et coll.,

2005)

A un effet positif sur la prévention et la prise en charge des pathologies chroniques (Santé Canada, 2002; Shields et coll., 2006):

Retard dans le développement des pathologies liées au vieillissement chez seniors actifs (Colman et coll., 2004)

Favorise le développement d’un réseau social (Santé Canada, 2002).

D. Effets de l’AP sur les capacités physiques

II.EFFETS DE L’AP SUR LES PATHOLOGIES CHRONIQUES

Effets chez les seniors (suite) Améliore la santé mentale, y compris le

sentiment d’efficacité (Santé Canada, 2002).

Améliore la qualité de vie (Santé Canada, 2002).

Facteur de protection contre l’anxiété et la dépression (Santé Canada, 2002)?

Diminue le risque de démence (Larsson et coll., 2006; Wang et coll., 2006)?

67 % seniors actifs au moins 3 fois/semaine en bonne santé par rapport aux 36 % rarement actifs (Santé Canada, 2002).