biostimulants...pour valagro, en dehors de la france, plusieurs marchés sont considérés comme...
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Juillet 2019 - BIOSTIMULANTS - 1
Les biostimulants représentent-ils une opportu-nité de création de valeur ? À cette question, les distributeurs qui les ont adoptés répondent par l’affirmative, avec un gain qui s’exprime sous différents angles. D’abord en espèces sonnantes et trébuchantes. Les entreprises le
reconnaissent : la marge est plus importante qu’avec certains engrais ou produits phytosanitaires. Un nouveau souffle pour les distributeurs, mais qui doit s’appuyer sur
UNE SOURCE DE VALEURS
Les biostimulants ont le vent en poupe. Ils permettent au distributeur de retrouver de la valeur dans un marché des engrais et des produits phytosanitaires orienté à la baisse. Une manière également de se différencier de ses concurrents et d’apporter une plus-value pour l’agriculteur. Témoignages d’entreprises qui expliquent comment ce secteur constitue pour eux un relais de croissance.
DISTRIBUTION
BIOSTIMULANTSÀ LIRE DANS CE NUMÉRO JUILLET 2019
P.1/ DISTRIBUTION Une source de valeurs
P.5/ INTERNATIONAL Du Brésil à la Chine, les biostimulants séduisent
P.7/ LE MARCHÉ FRANÇAIS 2018 en chiffres
P.9/ TENDANCE Les biostimulants germent sur le marché des TS
P12/ RÉGLEMENTATION Les premiers biostimulants CE, attendus pour 2022
P.14/ FAITS MARQUANTS 2018-2019 en bref
La marge sur les biostimulants est plus importante que sur certains engrais ou produits phytosanitaires. Elle sert notamment à accompagner ces innovations techniques vers l’agriculteur.
Juillet 2019 - BIOSTIMULANTS - 3
AP-Afaia-A4 HD.pdf 1 26/06/2019 12:24
un accompagnement technique, car la valeur ajoutée doit également s’exprimer au niveau de l’agriculteur.
DAVANTAGE DE MOYENS POUR ACCOMPAGNER
La mise en essais, sur plusieurs années, s’avère un passage obligé pour confirmer les bénéfices de ces solutions. « Les produits que nous commercialisons sont éprouvés dans nos plateformes techniques pendant deux ans », indique Yann Pageot, responsable région Est du négoce Bellanné (79). En pratique, les exploitants utilisent les biostimulants pour
aller chercher des quintaux supplémentaires et pour aider d’abord la plante à mieux résister aux stress abiotiques, mais aussi biotiques, en la rendant plus vigoureuse, et donc plus apte à résister aux attaques des bio-agresseurs. Raison pour laquelle ils sont également perçus comme un allié d’une stratégie de protection phytosanitaire réduite. Toutefois, les résultats semblent encore manquer en la matière et des essais sont en cours. Au-delà de l’aspect économique, les entreprises recherchent également un moyen de se démarquer de la concurrence en proposant des itinéraires techniques spécifiques, plus
APPORTER D’ABORD DE LA VALEUR POUR L’AGRICULTEUR
“ Les biostimulants doivent d’abord représenter une source de valeur pour l’agriculteur. Dans nos essais, les effets bénéfiques pour le rendement vont jusqu’à plusieurs dizaines de pourcents, notamment avec certains produits positionnés à la floraison sur colza. Nous démarrons les tests pour une utilisation avec une protection fongique allégée. Nous devons trouver des solutions pour que les agriculteurs continuent à conserver les rendements avec un emploi moindre des phytosanitaires. Nous voulons encore davantage professionnaliser la gamme et tirer le meilleur parti de chaque solution. ” frédéric bourgeois, responsable achat à la scael (28)
UNE VÉRITABLE STRATÉGIE DE
DIFFÉRENCIATION
“ Les biostimulants ne sont pas une nouvelle
source de valeur car nous les commercialisons depuis
dix ans. C’est surtout une autre façon de travailler, que nous avons traduite à travers une démarche
agronomique globale, permise notamment par les bonnes marges sur ces solutions, qui peuvent
être le double d’autres produits classiques. Notre démarche constitue une véritable stratégie de
différenciation. Nous arrivons chez le client avec des analyses de sols et un itinéraire technique bien
calé. Il y a trois ans, je n’arrivais pas à vendre une gramme de biostimulants.
Aujourd’hui, les agriculteurs ne veulent plus traiter. Avec des visites bien préparées et un
bon positionnement de ces solutions, tous les agriculteurs les adoptent. Chez nous, 70 % sont
utilisés sur les céréales et 30 % en élevage pour la valorisation des matières organiques
sur les prairies. ”yann pageot, responsable région est bellanné (79)
DISTRIBUTION
L’IMAGE DU DISTRIBUTEUR ET DE L’AGRICULTEUR
“ Les biostimulants sont importants pour l’image. La nôtre, bien sûr, car nous devons être force de proposition
pour accompagner nos adhérents face aux retraits de substances actives et à une pression sociétale plus forte. Mais également celle de l’agriculteur qui doit montrer à la société, à ses voisins, ses efforts pour préserver l’environnement. Ces produits pèsent 6 % de notre activité protection des cultures. Ils nous apportent une rémunération autre et sont ainsi un relais de croissance. Nous validons en essais leurs bénéfices pour la production et la qualité. Nous recherchons des propriétés anti-stress ou pour aider la plante à se mettre rapidement en place dans des situations climatiques de plus en plus compliquées. Quant à l’utilisation pour réduire l’usage des produits phytosanitaires, nous ne communiquons pas encore sur ce sujet, de l’expérimentation est encore nécessaire. ”
jérôme hulin, chef marché cultures spécialisées et nutrition foliaire chez agrial (14)
4 - BIOSTIMULANTS - Juillet 2019
EXEMPT DE TOUT CLASSEMENT TOXICOLOGIQUEAutorisé sur toutes cultures (AMM N°1030003)
groupe-frayssinet.com
UTILISABLE ENAGRICULTUREBIOLOGIQUE
CONFORMEMENT AU R-CE N°834/2007
BIOSTIMULANT TOUTES CULTURES
DÉVELOPPER LE SYSTÈME RACINAIREPOUR AMÉLIORER LES RENDEMENTS
QUALITÉ + PERFORMANCE
OSIRYLStimulateur de croissance racinaired’origine naturelle
EN SAVOIR +
en phase avec les attentes de la société et des exploitants eux-mêmes. « Tous les distributeurs n’ont pas la capacité de tester ces nouvelles solutions », reconnait Frédéric Bourgeois, responsable achats à la Scaël (28).
PAS ENCORE INTÉGRÉS AUX CAHIERS DES CHARGES
Ces produits, plus naturels, ne trouvent cependant pas encore de valorisation dans les démarches de qualité.
« Ils ne sont pas demandés dans les cahiers des charges aval », constate Jérôme Hulin, chef marché cultures spécialisées et nutrition foliaire chez Agrial (14). Une simple question de temps, pour Soufflet Agriculture (10), dont les ventes en la matière augmentent : « il ne fait pas de doute qu’ils trouveront bientôt leur place dans les démarches de durabilité des acteurs des filières parce qu’ils conjuguent efficacité et durabilité », indique le groupe. Stéphanie Ayrault
FORMER LES ÉQUIPES ET INFORMER L’AGRICULTEUR
“ Le taux de marge des biostimulants est l’un des plus importants dans le segment de la nutrition et de la protection des plantes, parfois le double. C’est un nouveau segment et nous avons besoin d’en faire la promotion, former les équipes et informer l’agriculteur. Nous les utilisons depuis cinq ans pour améliorer les rendements et réduire l’usage des pesticides. Certes, ces produits ne sont pas encore demandés dans les cahiers des charges de qualité mais ils peuvent être utilisés pour répondre à l’objectif de réduction d’emploi des produits phytosanitaires. ” laurent badin, directeur commercial d’agralia (40)
DISTRIBUTION
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EXEMPT DE TOUT CLASSEMENT TOXICOLOGIQUEAutorisé sur toutes cultures (AMM N°1030003)
groupe-frayssinet.com
UTILISABLE ENAGRICULTUREBIOLOGIQUE
CONFORMEMENT AU R-CE N°834/2007
BIOSTIMULANT TOUTES CULTURES
DÉVELOPPER LE SYSTÈME RACINAIREPOUR AMÉLIORER LES RENDEMENTS
QUALITÉ + PERFORMANCE
OSIRYLStimulateur de croissance racinaired’origine naturelle
EN SAVOIR +
Si la France reste, pour toutes les sociétés pré-sentes sur le marché des biostimulants, un pays incontournable pour positionner leur gamme, elle n’est en revanche pas le plus simple à convaincre. « En France, l’approche est plus intellectuelle, plus méfiante, confie Hugues Bony, directeur général
d’Agrauxine. En Amérique Latine, où le groupe assure la moitié de son activité, le pragmatisme domine. D’un côté des pertes de rendement. De l’autre, un produit qui permet d’y remédier, avec un impact économique positif. Pour notre biostimulant Smartfoil (1), sur soja, les essais montrent un gain moyen de rendement de 7 %. Un atout qui nous permet de progresser de façon exponentielle : + 15 à 20 % par an en Argentine sur cette culture. Dans ce pays, nous couvrons déjà un million d’hectares de soja... pour un taux de pénétration d’à peine 3 %. Le potentiel est énorme ! ».
LES GRANDES CULTURES TIRENT LE MARCHÉ
Hugues Bony n’oublie pas de citer l’Inde, le Pakistan, mais aussi les pays d’Europe de l’Est (Roumanie, Bulgarie, Hon-grie...) où l’engouement pour les biostimulants est réel. Un constat partagé par David Gaillet, responsable marketing Europe chez UPL. « Notre société connait un développement important dans tous les pays d’Europe de l’Est, y compris en Ukraine et en Russie, précise-t-il. Dans ces pays, les hivers sont parfois rudes, et les périodes propices pour intervenir sur blé, peu nombreuses. Les agriculteurs apprécient des spécialités qui aident les plantes à redémarrer au printemps. » Si dans ces régions, les grandes cultures tirent le marché, l’arboriculture et les légumes se penchent aussi sur les biostimulants pour leurs actions physiologiques et antistress. « Le but n’est pas de les utiliser « à la place de » mais « en complément de »,
précise-t-il pour notamment, aboutir à une meilleure valori-sation des engrais. Quel que soit le pays, le retour sur inves-tissement est la clé d’entrée pour positionner son produit.
L’ÂGE DE PIERRE
Pour Valagro, en dehors de la France, plusieurs marchés sont considérés comme prioritaires : les États-Unis, le Brésil, l’Inde et la Chine. « Nous avons investi dans chacun de ces pays, rappelle Jean-François Ducret, le directeur France. L’enjeu est de répondre à des stress abiotiques (chaleur, manque d’eau...) pour préserver les rendements. Au Brésil par exemple, les volumes utilisés sont multipliés par deux chaque année. En Europe Centrale, en Europe de l’Est, en Afrique... le potentiel de développement est énorme pour ces spécialités qui apportent de vrais bénéfices agronomiques. Nous n’en sommes qu’à l’âge de pierre. » Anne Gilet
(1) Homologué en janvier 2019 en France mais utilisé depuis cinq ans en Argentine et au Brésil
DU BRÉSIL À LA CHINE, LES BIOSTIMULANTS SÉDUISENT
“Les français sont plus méfiants. Ailleurs, les agriculteurs saisissent
toutes les opportunités pour accroître les rendements. ”
hugues bony, directeur général d’agrauxine
“ Pour développer un produit, il faut un minimum de caution scientifique,
en France comme ailleurs. ”david gaillet, responsable marketing europe chez upl
Pour les firmes présentes sur le marché des biostimulants, la France n’est pas le pays le plus facile à conquérir. En dehors de nos frontières, l’approche est souvent plus pragmatique, plus directe. L’Amérique du Sud, l’Europe de l’Est, l’Asie... sont déjà séduits. Sur soja, blé, maïs et riz, les potentiels de développement sont énormes.
INTERNATIONAL
“ Aux États-Unis, au Brésil, en Inde ou en Chine, l’enjeu des biostimulants
est avant tout de répondre à des stress abiotiques. ”
jean-françois ducret, directeur de valagro france
6 - BIOSTIMULANTS - Juillet 2019
ITALPOLLINA« Une entreprise innovante présente dans plus de 80 pays dans le monde entier, qui offre une gamme complète d’engrais organiques, micro-organismes et biostimulants d’origine végétale pour une agriculture moderne et durable. »
Italpollina a une longue histoire de succès et d’innovation dans le domaine de la nutrition végétale et a démontré au fil des années son engagement pour un développement plus durable de l’agriculture. Depuis près de 50 ans, cette société met ses connaissances scientifiques au service du monde agricole et développe des solutions répondant aux principes de l’éco-efficience et de la durabilité, dans le respect de la nature et de la sécurité pour l’homme, comme en témoignent les importantes certifications internationales obtenues.Avec le récent démarrage de la production de la deuxième usine dédiée aux biostimulants, située près d’Indianapolis (USA), Italpollina atteint une nouvelle étape dans la mise en œuvre de sa stratégie de croissance internationale. De plus, un nouveau Centre de Recherche specialisé dans les «sciences Omiques», à la base du process de développement des nouveaux produits, est en train d’être construit adossé à la nouvelle usine.
102 essais en micro-parcelles en France
Pour Italpollina en France, l’année 2019 est sous le signe du développement et de l’innovation. En effet plus d’une centaine d’essais ont été mis en place avec des actifs différents et surtout avec des nouvelles formulations adaptées aux différents besoins du marché. La stratégie en France et à l’international est basée sur la fourniture de solutions adaptées à la demande des agriculteurs et des distributeurs, pour leur garantir une meilleure performance technico-économique tout en maintenant un niveau de qualité élevée en phase avec la future réglementation.
En 2019, Italpollina se prépare pour concrétiser en 2020 !
Nous suivrewww.italpollina.com
EFFICIENT. EFFICACE. VÉRITABLEMENT VÉGÉTAL. TRAINER est un biostimulant innovant pour application foliaire, à base de peptides 100% d’origine végétale. Il aide la plante à surmonter les différents stress, stimule sa croissance et complète et optimise la fertilisation.TRAINER est issu du LISIVEG®, système de production exclusif. Il permet d’obtenir, à partir de matières premières exclusivement d’origine végétale et garanties non OGM, des formulations riches en peptides.
RENDEMENTET QUALITÉ
EFFICACITÉNUTRITIONNELLE
ANTISTRESS
LE PERSONAL TRAINER DES PLANTES
PUBLI-INFORMATION
Juillet 2019 - BIOSTIMULANTS - 7
“Depuis 2014, le marché français des biostimulants a progressé de 50 %. Et il continue de croitre en 2018, avec une hausse de 8 % des surfaces et de la valeur du marché. Ce dynamisme est grandement lié à l’attrait, toujours
plus grand, des grandes cultures pour ces produits. L’activité a été particulièrement soutenue cette année. Les surfaces
ont progressé de 16 % depuis 2017. Les grandes cultures représentent un potentiel important, avec beaucoup d’hectares et un taux de traitement très faible par rapport à la vigne. Les marchés de la vigne et de l’arboriculture semblent eux plus matures.
Seul le maraîchage semblerait avoir une tendance baissière », estime Christophe Jounaux, responsable commercial et marketing chez Kynetec (1).
(1) En France, Kynetec récolte les informations de marché en observant annuellement en moyenne un hectare sur 20 de grandes cultures et de cultures spécialisées, dans le domaine des fertilisants, des produits de protection des plantes, des semences et de la collecte.
2018 EN CHIFFRESPour la deuxième année consécutive, Kynetec, leader mondial des études de marché agricoles, livre à Référence-appro.com des éléments chiffrés sur le marché français des biostimulants, dont la croissance se confirme depuis cinq ans.
MARCHÉ FRANÇAIS
MARCHÉ EN SURFACE MARCHÉ EN VALEUR
GRANDES CULTURES
ARBO
VIGNE
AUTRES
TOUTES CULTURES
Evolution entre 2017 et 2018
▲ 16 %
▲ 4 %
▼ -1 %
▲ 8 %
Evolution entre 2017 et 2018
▲ 22 %
▼ -2 %
▼ -5 %
▲ 8 %
Part des cultures en % d’ha
4 % ARBO 1 %
AUTRES
38 % VIGNE
57 % GRANDES CULTURES
Répartition des cultures (en % d’€ investis)
5 % ARBO 1 %
AUTRES
35 % VIGNE
59 % GRANDES CULTURES
ITALPOLLINA« Une entreprise innovante présente dans plus de 80 pays dans le monde entier, qui offre une gamme complète d’engrais organiques, micro-organismes et biostimulants d’origine végétale pour une agriculture moderne et durable. »
Italpollina a une longue histoire de succès et d’innovation dans le domaine de la nutrition végétale et a démontré au fil des années son engagement pour un développement plus durable de l’agriculture. Depuis près de 50 ans, cette société met ses connaissances scientifiques au service du monde agricole et développe des solutions répondant aux principes de l’éco-efficience et de la durabilité, dans le respect de la nature et de la sécurité pour l’homme, comme en témoignent les importantes certifications internationales obtenues.Avec le récent démarrage de la production de la deuxième usine dédiée aux biostimulants, située près d’Indianapolis (USA), Italpollina atteint une nouvelle étape dans la mise en œuvre de sa stratégie de croissance internationale. De plus, un nouveau Centre de Recherche specialisé dans les «sciences Omiques», à la base du process de développement des nouveaux produits, est en train d’être construit adossé à la nouvelle usine.
102 essais en micro-parcelles en France
Pour Italpollina en France, l’année 2019 est sous le signe du développement et de l’innovation. En effet plus d’une centaine d’essais ont été mis en place avec des actifs différents et surtout avec des nouvelles formulations adaptées aux différents besoins du marché. La stratégie en France et à l’international est basée sur la fourniture de solutions adaptées à la demande des agriculteurs et des distributeurs, pour leur garantir une meilleure performance technico-économique tout en maintenant un niveau de qualité élevée en phase avec la future réglementation.
En 2019, Italpollina se prépare pour concrétiser en 2020 !
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8 - BIOSTIMULANTS - Juillet 2019
GAMME DE BIOSTIMULANTS HOMOLOGUÉSLa révolution que vos cultures attendaient
SUMI AGRO LANCE SEIPRO, SA GAMME DE BIOSTIMULANTS POUR TOUTES LES CULTURES. Cette gamme propose des solutions pour chaque cycle de la culture : l’implantation, le développement, la protection contre les stress abiotiques et la production en volume et qualité. Issus de nombreuses années de recherche, les biostimulants Seipro bénéfi cient de formulations optimisées pour répondre à vos enjeux techniques.
SEIPRO : LA SCIENCE INSPIRÉE PAR LA NATURE
Implantation Quantité Qualité Développement Protection
SEIPRO_BioNutriment_sumiagro.indd 1 15/03/2019 16:55
Juillet 2019 - BIOSTIMULANTS - 9
GAMME DE BIOSTIMULANTS HOMOLOGUÉSLa révolution que vos cultures attendaient
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SEIPRO : LA SCIENCE INSPIRÉE PAR LA NATURE
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Presque tous les semenciers intervenant sur le marché français testent ou intègrent déjà à leur gamme de traitements de semences au moins un biostimulant. Face à une offre de produits phytosanitaires de plus en plus réduite, notam-ment avec l’interdiction des néonicotinoïdes,
les semenciers sont en quête d’innovations. Le marché des semences certifiées est lui-même chahuté, avec un taux d’utilisation qui peine à franchir la barre des 50 % d’utilisa-tion depuis plusieurs années. Positionner des biostimulants directement sur la graine sécurise la germination et la levée même si les biostimulants ne remplacent pas les traitements insecticides. En revanche, ils peuvent contribuer à une meil-leure vigueur de la plante au démarrage, la rendant plus résiliente aux attaques de bioagresseurs. Pour des cultures sarclées comme le maïs, les attentes sont fortes, notamment face aux mouches du semis. À l’automne, les épisodes de sécheresse de plus en plus récurrents, comme ce fut le cas en 2018 pour les implantations de colza, constituent autant d’arguments en faveur de solutions capables d’aider la graine à prendre un bon départ.
DES ESSAIS AU LABO, À L’USINE ET AU CHAMP
Reste à trouver les biostimulants répondant à ces enjeux. Comme la distribution agricole, les semenciers ont dû mettre en place un processus spécifique d’expérimenta-tion pour tester la diversité des produits disponibles. Le parcours débute en laboratoire. Beaucoup de semenciers privilégient les produits disposant d’autorisation de mise sur le marché (AMM). Ils ne choisissent en général qu’une
ou deux solutions par famille : extraits d’algues, micro- organismes, acides humiques, etc. Vient ensuite rapidement le test industriel. « Le marché des biostimulants s’est considé-rablement développé ces dernières années, avec des produits
LES BIOSTIMULANTS GERMENT SUR LE MARCHÉ DES TS
Les semenciers aussi se tournent vers les biostimulants. Ils représentent une solution pour répondre aux problématiques agronomiques actuelles tout en cherchant de nouveaux relais de croissance sur le marché des traitements de semences. Mais avant de mettre en marché ces innovations, un long travail d’expérimentation est nécessaire, bousculant parfois leurs habitudes.
UNE DEMANDE FORTE D’INNOVATIONS POUR LES PRODUITS AUTOUR DE LA SEMENCE
“ Nous nous penchons sur le sujet des biostimulants en protection de semences depuis trois ans. Nous sentions qu’avec la disparition annoncée de molécules phytosanitaires, la demande d’innovations sur les produits appliqués autour de la semence serait forte. Une de nos motivations, avec le lancement de notre solution SemBoost intégrant un biostimulant, était d’offrir une alternative au Sonido, insecticide désormais interdit. ” sertaç turan, directeur développement et marketing
chez semences de france
CRÉER UN DÉPARTEMENT INNOVATION POUR LES
TS EN INTERNE
“ À partir de 2011-2012, nous avons créé un département innovation en
interne autour de la question des traitements de semences, en particulier pour travailler sur les biostimulants.
À cette époque, aucune solution clé en main ne nous satisfaisait en maïs. Nous avons donc testé des produits,
adapté les recettes et les procédés d’application. Cette démarche a abouti au lancement en 2014 d’Agrostart,
une offre de semence avec un TS associant un fongicide et un biostimulant, ainsi que sa version élite, Agrostart +,
comprenant en plus un insecticide. Trois ans après son lancement, cela représentait 10 % de nos volumes de
semences de maïs.” vincent portier, responsable agroplus et solutions grandes cultures chez mas seeds
TENDANCE
10 - BIOSTIMULANTS - Juillet 2019
disponibles sous plusieurs formes et des fournisseurs qui ne connaissent pas toujours les contraintes des semenciers. Une poudre peut nécessiter un temps de séchage plus long, obligeant de ralentir une ligne de traitement de l’usine, ou un pelliculant pour limiter les poussières, engendrant un surcoût », souligne Vincent Portier, responsable Agroplus et solutions grandes cultures chez Mas Seeds. Les semenciers doivent aussi vérifier la compatibilité des biostimulants avec les autres substances ajoutées au traitement de semences comme les fongicides. Au champ, les semenciers ont fait évoluer leur système de notation par rapport à des traitements phytosanitaires. « Nous nous focalisons davantage sur les stades juvéniles de la plante : suivi plus fin de la levée, comptage de plantes, étude du système racinaire », explique Arnaud Sainsard, responsable traitement de semences chez Semences de France. Tout ce processus prend au minimum deux ans. L’ÉQUILIBRE PRIX-EFFICACITÉ À DÉTERMINER
Mais là encore, restent des freins à lever pour la commer-cialisation qui suit. Pas question de faire des promesses en l’air. Les firmes de biostimulants forment et informent les technico de la distribution, les commerciaux du secteur de la semence, et les agriculteurs. Les semenciers construisent des référentiels de données pour objectiver les perfor-mances. « Nous pouvons fournir des données statistiques sur l’efficacité de notre solution Agrostart, grâce aux tests menés dans une centaine de lieux de référence en France et en Europe. Elle génère des effets positifs sur le rendement dans 60 à 70 % des cas. Le gain de rendement est de l’ordre de 2 à 7 % en moyenne », illustre Vincent Portier. Reste la
UNE DEMANDE EN CROISSANCE CHEZ LES SEMENCIERS, TRIEURS À FAÇON ET DISTRIBUTEURS
“ Nous sentons la demande pour les traitements de semences biostimulants croître, aussi bien chez les semenciers, que chez les distributeurs ou trieurs à façons équipés de camions pour traiter les semences de ferme de leurs agriculteurs. Ils souhaitent avant tout
sécuriser la germination et la bonne installation de leurs semences. Mais un traitement de semences est souvent une combinaison de produits : engrais, fongicides, insecticides, biostimulants. C’est pourquoi, il faut bien s’assurer en amont que les uns ne détériorent pas les fonctions des autres, ni les propriétés de la semence. ” vincent claux, directeur technique europe chez tradecorp
question du prix. Plusieurs semenciers assurent que celui-ci est inférieur ou égal aux solutions autrefois disponibles n’in-tégrant qu’un produit phytosanitaire et pas de biostimulant… Mais pour une efficacité moindre ! Sur le marché des cultures
à fortes valeurs ajoutées qui aujourd’hui fait face à des impasses techniques, l’agriculteur est prêt à investir. Pour les autres, la pédagogie et l’apport de preuves technico- économiques doivent encore convaincre. Julia Landrieu
HYBRIDES DE MAÏS ET TOURNESOL, L’ENGOUEMENT LE PLUS FORT
“ Les biostimulants ne réagissent pas de la même manière à tous les matériels génétiques. C’est à nous d’apporter les preuves d’efficacité aux semenciers, car nous maîtrisons les méthodes de validation de la
performance de nos produits. Nous avons débuté nos travaux de développement sur les traitements de semences biostimulants en ciblant le marché des autogames en 2017, mais c’est vraiment sur le marché des hybrides maïs et tournesol avec notre offre Arybiost que nous avons senti l’engouement le plus fort de la part des semenciers, en attente de solutions. ” charlie coquin, marketing manager marché ts chez upl
DES ATTENTES FORTES POUR L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE
“ Nous travaillons sur le développement de traitements de semences biostimulants destinés au bio. Le besoin d’une vigueur au démarrage et d’une bonne levée des plants de maïs est d’autant plus fort pour les
agriculteurs bio qui ne bénéficient que de peu de solutions de protection des plantes autorisées en AB. Nous devrions commercialiser l’an prochain un TS spécialement adapté à notre gamme de variétés pour l’agriculture biologique. Le biostimulant doit être autorisé en bio, mais aussi le pelliculant, ce qui complique la tâche ! Nous avons dédié une ligne de traitement à cette production. ” alain baqué, responsable marchés et produits europe de l’ouest chez euralis
TENDANCE
Solutions biostimulantes et algo-sourcées !
Le groupe Olmix, acteur mondial des solutions algo-sourcées et des biotechnologies marines, propose aux agriculteurs une nouvelle offre de solutions naturelles et toujours plus innovantes pour les sols et les plantes. à la clé : rendement et qualité des récoltes.
www.olmix.com
12 - BIOSTIMULANTS - Juillet 2019
A près des années de discussions, des mois de négociations et des semaines de vote, le règlement (UE) 2019/1009 établissant les règles relatives à la mise à disposition sur le marché des fertilisants UE a été publié au journal officiel le 25 juin. Pour
la première fois, les biostimulants appliqués aux végétaux obtiennent un cadre réglementaire à l’échelle européenne. Les fabricants pourront commercialiser à partir de juillet 2022 des biostimulants bénéficiant du marquage CE. Cela simplifie le dispositif actuel, souvent laborieux, qui consiste à déposer une demande d’autorisation de mise sur le marché dans un pays membre, puis de la faire reconnaître par les autres États. Les fournisseurs pourront toutefois, s’ils le souhaitent, recourir aux réglementations nationales propres à chaque État, puisque ce règlement prévoit la coexistence des deux systèmes. « Cela risque d’être com-pliqué au début, notamment en matière de transparence, mais les industriels ont tout intérêt à choisir le marquage européen », estime Benoît Planques, président de l’Afaïa (1), à la suite du vote du texte par le Parlement européen au printemps dernier. Les biostimulants sont désormais définis comme les fertilisants UE ayant pour fonction de stimuler les pro-cessus de nutrition des végétaux, indépendamment des éléments nutritifs qu’ils contiennent, dans le seul but d’améliorer une ou plusieurs des caractéristiques des
végétaux ou de leur rhizosphère : l’efficacité d’utilisation des éléments nutritifs, la tolérance au stress abiotique, les caractéristiques qualitatives ou la disponibilité des éléments nutritifs confinés dans le sol et la rhizosphère.
DEUX SOUS-CATÉGORIES DÉFINIES
Le règlement distingue les biostimulants microbiens et non microbiens. Les « microbiens » peuvent contenir des micro-organismes, y compris morts ou des parois cellu-laires vides de micro-organismes, ainsi que des résidus non nocifs du milieu dans lequel ils se sont développés. À deux conditions toutefois : que ces éléments n’aient subi aucun autre traitement qu’une déshydratation ou une lyophilisation, et qu’il s’agisse de micro-organismes autorisés (Azotobacter spp, Champignons mycorhiziens, Rhizobium spp et Azospirillum spp). Cette liste devrait être élargie à l’avenir, au travers des actes délégués, qui viendront amender le règlement actuel. Le CEN/TC 455, le comité européen en charge de créer les normes relatives aux biostimulants doit, d’ici à juillet 2022, construire la trentaine de normes qui servira à la bonne commerciali-sation de ces produits. Julia Landrieu
(1) Syndicat professionnel des acteurs de la filière des supports de culture, paillages, amen-dements organiques, engrais organiques et organo-minéraux et biostimulants
LES PREMIERS BIOSTIMULANTS CE, ATTENDUS POUR 2022
Pour la première fois à l’échelle européenne, les biostimulants sont reconnus au sein du règlement (UE) 2019/1009, publié au Journal Officiel le 25 juin. Dès juillet 2022, les premiers biostimulants bénéficiant d’un marquage CE pourront être commercialisés sur le marché communautaire. Libre aux fabricants d’opter pour cette norme européenne ou pour la réglementation propre à chaque État membre.
RÉGLEMENTATION
DES OPPORTUNITÉS DE MARCHÉ À L’ÉTRANGER
“ Cette reconnaissance des biostimulants va donner aux fabricants un accès à tout le marché européen. Mais elle va aussi s’exporter au-delà de nos frontières car le marquage CE est reconnu comme un gage de qualité,
notamment en Afrique du nord. Face à la lourdeur des demandes d’AMM, nous nous contentions souvent de notre marché national. ” benoît planques, président de l’afaïa
Juillet 2019 - BIOSTIMULANTS - 13
Partenaire engagé auprès des professionnels de l’agriculture, Agrauxine développe, produit et met en marché des biosolutions fiables et caractérisées issues des micro-organismes (levures, bactéries, champignons). Agrauxine, division de Lesaffre dédiée à la protection et nutrition des plantes bénéfi cie du savoir-faire industriel du groupe et dispose d’une forte capacité de R&D, avec son propre centre de recherches de 600 m2. Elle participe activement à la transition agricole en faisant évoluer la protection et la nutrition des plantes vers une gamme complète de biosolutions sur les 3 marchés complémentaires, le biocontrôle, la biostimulation, la bionutrition, sur les filières grandes cultures, viticulture, arboriculture et maraîchage.
« Les biostimulants sont encore aujourd’hui peu utilisés car méconnus ou mal caractérisés. Pourtant, ils sont un vrai outil pour stimuler le métabolisme de la plante afi n d’améliorer le rendement et la qualité des récoltes, renforcer la tolérance aux stress abiotiques (sécheresses, hautes températures...) ou encore faciliter l’assimilation et l’effi cience des éléments nutritifs. » explique Fabien Achard, chef produit biostimulants Agrauxine.
Agrauxine commercialise la première gamme de biostimulants liquides à base de levure, avec un mode d’action spécifi que, sur un large éventail de cultures, simples d’usage et compatibles avec d’autres produits. Plusieurs technologies arriveront sur le marché français durant les prochaines campagnes.
UNE GAMME DE BIOSTIMULANTS
SE DÉVELOPPER QUI NE CESSE DE
Pour construire votre offre biostimulants, contactez Fabien Achard, chef produit biostimulants :[email protected] - 06 42 31 16 02
www.agrauxine.com
> Favorise la résistance aux stress abiotiques et sécurise le rendement sur grandes cultures
> 85 % des essais positifs, + 7 % de rendement, 2,1 qx/ha sécurisés sur colza en France
> AMM MFSC 1180454
CarotteTomateCombo Carotte&TomateSaladeRaisinPomme
BananeMaïsCulture ornementale Herbe+FleurSojaPailleColza
CaféCotonBléPomme de terre
CarotteTomateCombo Carotte&TomateSaladeRaisinPomme
BananeMaïsCulture ornementale Herbe+FleurSojaPailleColza
CaféCotonBléPomme de terre
Carotte Tomate Combo Carotte&Tomate Salade Raisin Pomme
Banane Maïs Culture ornementale Herbe+Fleur Soja Paille Colza
Café Coton BléPomme de terre
Carotte Tomate Combo Carotte&Tomate Salade Raisin Pomme
Banane Maïs Culture ornementale Herbe+Fleur Soja Paille Colza
Café Coton BléPomme de terre > Sécurise la fl oraison et
assure la récolte sur cultures de spécialités
LANCEMENT2020
> Favorise l’implantation de la culture et son développement
HOMOLOGATION FIN 2020
Avec sa connaissance du marché et de l’agronomie, Agrauxine est un fournisseur reconnupar la profession, qui s’engage auprès des partenaires de la distribution en accompagnant ses clients distributeurs dans le déploiement des biosolutions :
Mise en marché de solutions simples d’utilisation pour l’agriculteur
Création de partenariats de tests en conditions réelles pour l’appropriation des produits
Mise en place d’études agronomiques poussées en laboratoire et en plein champ
Conception de recommandations d’usage précises, avec une assistance technique pointue auprès des équipes distributeurs
Carotte Tomate Combo Carotte&Tomate Salade Raisin Pomme
Banane Maïs Culture ornementale Herbe+Fleur Soja Paille Colza
Café Coton BléPomme de terre
Carotte Tomate Combo Carotte&Tomate Salade Raisin Pomme
Banane Maïs Culture ornementale Herbe+Fleur Soja Paille Colza
Café Coton BléPomme de terre > Augmente le rendement
quantitatif et qualitatif des cultures
HOMOLOGATION FIN 2019
Smartfoil, leader sur le marché Grandes Cultures en Argentine
Biostimulant commercialisé dans plus de 20 pays, Smartfoil fait l’objet de plus de 1000 essais réalisés dans le monde sur 10 cultures différentes, dont 130 essais au champ depuis 3 ans en France. Sa commercialisation en France a débuté en 2019.
D’ici 2021, elle prévoit la mise
en marché de
91 produits en France et
à l’international
C O M M U N I Q U É
ACTEUR TECHNIQUE ET INDUSTRIEL MAJEUR DES BIOSOLUTIONS
14 - BIOSTIMULANTS - Juillet 2019
BONJOUR TRADECORP, AU REVOIR LE STRESS !Découvrez notre gamme complète de biostimulants
Contactez nous:Luc DIVAIS, Chef De Marché Biostimulants France & Suisse
Tel : (+33) 0681304653Email: [email protected]
www.tradecorp.fr
Suivez-nous surTéléchargez notre app
humifirst® Acides Humiques
phylgreen® Extraits d’Algues
et notre gammed’Acides Aminés
2019JUILLET
Axioma débute la construction d’une nouvelle usine de production à Brive-la-Gaillarde (19), pour fabriquer 500 000 litres de produit par an, soit 10 fois plus que l’unité actuelle. L’investissement est de 4 M€.
Agrauxine inaugure son nouveau siège social à Beaucouzé, près d’Angers. Près de la moitié de la surface est dédiée à recherche. L’investissement s’élève à 2,4 millions d’euros.
2018-2019 EN BREF
Les entreprises de biostimulants poursuivent leur croissance, par l’agrandissement d’unités de production ou le rachat d’entreprises, surtout à l’étranger. Du côté des hommes et des femmes du secteur, le mercato de ces douze derniers mois a été, une fois de plus, très dynamique. Julia Landrieu
FAITS MARQUANTS
Juillet 2019 - BIOSTIMULANTS - 15
BONJOUR TRADECORP, AU REVOIR LE STRESS !Découvrez notre gamme complète de biostimulants
Contactez nous:Luc DIVAIS, Chef De Marché Biostimulants France & Suisse
Tel : (+33) 0681304653Email: [email protected]
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RENCONTRES INTERNATIONALES
16èmesNe manquez pas le rendez-vous
incontournables des
professionnels de la fertilisation
Les Rencontres Internationales de l’AFCOME réunissent l’ensemblede la filière fertilisation : distributeurs, producteurs, importateurs,
prestataires de services, opérateurs portuaires…Elles représentent pour les acteurs français et étrangers de la profession une
occasion unique de se retrouver et d’intensifier leurs échanges.
Inscrivez-vous en téléchargeant les bulletins ici !
www.afcome.org
02-04OCTOBRE
2019Cité des Congrès
NANTES
FAITS MARQUANTS
JUIN
UPL finalise le rachat d’Arysta. La nouvelle structure devrait peser 150 M€ de chiffre d’affaires pour la pro-chaine campagne, avec 5 % de son portefeuille produits dédiés aux biostimulants.
AVRIL
Hugues Dumas quitte Tradecorp pour rejoindre l’équipe dirigeante d’Olmix en tant que directeur de la business unit Plant Care. Il aura pour mission la structuration de cette division et l’intégration des acquisitions récentes d’Olmix en Europe.
MARS
Italpollina acquiert l’entreprise américaine Horticul-tural Alliance, spécialisée dans les biostimulants et dans les produits à base de mycorhizes et bactéries.
Olmix et Agrauxine rejoignent l’Afaïa(1). Le syndicat compte désormais 79 entreprises pour un chiffre d’affaires cumulé supérieur à 300 M€.
JANVIER
Marie-Emmanuelle Saint-Macary rejoint le centre de recherche de l’entreprise Frayssinet en tant que responsable R&D Biostimulants.
Benjamin Jacquart est désormais ingénieur commer-cial chez Agrauxine sur la région Nord-Est de la France. Il travaillait auparavant chez Arysta.
Ellen Bouty-Drouet devient char-gée de mission au sein de l’Afaïa, où elle assurera notamment le suivi des dossiers en lien avec les biostimulants.
16 - BIOSTIMULANTS - Juillet 2019
Guillaume Lefranc assure la direction générale des sociétés Laboratoires Goëmar et Natural Plant Protection, deux entités du groupe Arysta Life Science, dédiées à la production et au développement de biostimulants ainsi que de produits de biocontrôle.
Tradecorp acquiert Microquimica au Brésil, entre-prise spécialisée dans la production d’engrais foliaires, d’adjuvants, de traitements des semences et d’inoculants microbiens. Elle possède deux usines de fabrication.
2018NOVEMBRE
Amaltis s’associe à Compo Expert pour construire une gamme d’engrais starter minéraux proposant un biostimulant homologué comme additif agronomique, le Basefoliar Kelp.
Luca Bonini, directeur général du groupe Italpollina, a été élu président de l’Ebic, l’interprofession des producteurs de biostimulants à l’échelle européenne.
OCTOBRE
Valérie Nicaise assure la coordination de la R&D chez Agrauxine, après plusieurs années passées comme chercheuse au sein de l’Inra et du CNRS.
Arysta double la superficie de son site de Saint-Malo. Des filtre-presse supplémentaires sont installés pour la production de biostimulants et des nouveaux bâtiments valoriseront les déchets solides issus du processus d’ex-traction du jus des algues.
SEPTEMBRE
Christophe Richou rejoint Italpollina en tant que responsable produits biostimulants, pour gérer la gamme existante en France et à l’export mais aussi veiller aux différentes opportu-nités de développement du groupe dans ce secteur.
Olmix rachète le français Amendis, spécialisé dans la fertilisation organique. L’entreprise fabrique 60 000 tonnes de produits pour 10,3 M€ de chiffre d’affaires, exclusivement en France.
JUILLET
Valagro finalise l’acquisition de Grabi Chemical, une entreprise italienne fabriquant des engrais de spécialité, des chélates et des biostimulants. Elle commercialise ses solutions dans près de 40 pays
JUIN
Olmix acquiert l’entreprise britannique Micromix, spécialisée dans la nutrition foliaire et les biostimulants, qui réalise un chiffre d’affaires de 3,5 M€, dont 45 % à l’export, principalement sur le Brésil, l’Asie et la Pologne.
FAITS MARQUANTS
Reference-appro.com est une publication de : Terre-écos - 3 rue Lespagnol, 75 020 Paris - Tél. : 01 47 70 19 97 - (www.terre-ecos.com)Mails sur le principe : [email protected]éro de commission paritaire : 0518 W 91482Directeur de la publication : Thomas TuriniDirectrice associée : Anne DelettreRédaction en chef : Julia Landrieu
Journalistes : Anne Gilet, Stéphanie AyraultContact abonnement : Frédérick DenisDirecteur commercial : Albert ButetToute reproduction du contenu de Reference-appro.com est interdite sans l’accord de l’éditeur.
(1) Syndicat professionnel des acteurs de la filière des supports de culture, paillages, amendements organiques, engrais organiques et organo-minéraux et biostimulants