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Page 1: Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservésimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B315556101_JOUTOU_1868_02_11.…ta litairusI rle.lies sonlemcnt, puis NI. Jules

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Page 2: Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservésimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B315556101_JOUTOU_1868_02_11.…ta litairusI rle.lies sonlemcnt, puis NI. Jules

ta

litairusI

r le

.lies sonlemcnt, puis NI. Julesu disciurs étcudu si' cul

lue le jury s'ul ollie des geran-

J'ai upuldid6,., autigoh, ,jucyet cité deslu publi

.ujwrd'],ai uneSoitl ,suant à

MM. Boulin, e,c',lre d'lilel,,'Oue d' l'u "eue, Barorhr. ,

lu iistice ehdos ointes, Vuitev,cid¢ntln aous'iI d'lstzt, de pa

,, et pour lu totalité de sa

s :Nous nous plus us dans lao, qui,la jamais admis

llI ompéteut porc l'apprécia-s. 1 es ernnus seuls ont tou-lrés au jury, et ccl¢ pour mue

la netlctd du t¢itqui -'ti-lt l'importance e'citilc de la

- est Mentit eu-,et 31 le 8c,rrc, en pré-ucelle en 1821, répmdait

Icmu.ndi s ct',ilalôi de 1819i pour av;uror la répression

mdll si do 1819 n'a pas,o de sue auteura. Lh

ne timuielle a été rétolilie,

tb I ql

ulIl

La n e,-d v. 'tt op ula p,easo pour

, et le jury fut déclaré, pare, le cul juge des délits

mc expérience a-t-nlleun '

6I cu. On sait quels loi,

eElétir hi Charte dn 7830 dos loi.de .pf t 18 { B , t t :dot l'msuif de la rCl on post le J0e, .rplit rut I, l uce c 6vid ufi aux ministrechargés de 1a responsabilité du geuvuruo-u j

lent de llirnt, qu'ils furcut oUligés dapar les lois de e"i tomUro, dos

ati-t'ta v qui n'ester irnt pas, pourFl3 nr ]os placer Sans la juridiction dlla

uué drs liai

lin 1818, o r'tublit l' jury. Nousns toua v qucll'c aumschie, quelle ]i-

vneedéplombles' produicitdans lapresse,et nn sons tous u presque toue p-plandi an

Il,,*,,de 185.2 lu' v a is nn.

(Inle'eaptiun se quelque, bancs.)amis,, iusan. Voua éticv. de l'opposi-

tion à cette époquem. aenoueo. De 1848 d 1852 ?

r, Sous la législation qaiattribuait les délits de presse au jury.

,. J'Gtais de l'cpposit,on,

la'p, aeomplvtement sépare de

'il

"n'appelaitd'une xnaniér générale l'opposi

tiou. (Tras bien ! trbs bien !) J'ai su troptard ou jconduisait certaine opposition qui

e disait dyuiasfique et qui voulait l'aire.e l'ai vu, et en l040 j'ai dit a lette tri-

ée' que cc us qui m'avaient guéri delct1léités rélmblieainca, u'etairht les répu-lilioa a. (alr'uobat .)

v. Vo s cure 61é sommé>i. n.plus avancé quo moi

dans la oharcnte-lnfériemn. (Bruit.)r. r . Je

ne laisscraifpas ta discussion dEgEu(mr enquestions personnelles. Ce qu'a dit M. le

ncalee est assez a son honneur pour quetout le nirude lui rende justice. '17ésbien I lies bien !)

u. 11 Les électeurs de 1.Charrnte-Inférieure s, sont bien Iiump ,

onsiear Polletun, s ont élu commarépub.i: Lmr.,.. =,i tiutcac, n'apa, 1'l, n t e él 1849,

dé 7 lion.C tto fois, 1, le n'Gtait pas

ou

`umtan e,,ul'ira,'Mais

jc re d:nr le débat, et jerépéta qro Io de'' , du 2 décembre 18:,1et cilui du 17 fén e 1852 etaicnt venue,

:rebattue euérale, mettre u,l'élit de la .doeiété. (oui! oui!)

.1'ai parle des luis de septembre 1835;

Il, cccrablo ]1. 'lhiers, mois dans le leublebat dr, répondre eu reproche d'erreur qui,'a été ,ule,us' hier par le rapporteur,

et

le

montrer ent les auteura duslois de 1835, M, le due de Broglie et M.Thneen, appréciaient alors l'utilité de 1'iu-terventiou du jury dans le jugemmrt desdélits de lasse',

On nous a reproché d'avoir mal compriales lois do 1835. Le jury avait été instituépar la loi ale 1819 et rétabli parla Uhm tade 1830. C'est s r la loi de 1819 giiutopéré les auteurs dn lu loi de 1835.

L'hoi u s e M. 'd'hier disait hier que taloi de 1819 avait considéré comme ci n-plice d'un l'in, tout citoyen qui pmvc-qumt a m crin et que la loi de 183,' 'ait fuit qu'appliquer a e crime dé ai

tel la j idictiou de la' cour d,'spairs, compétente ur les attentatu, d'a-près la Charte; "est la eu, erreur

s. Je m'ai lies dil cela.` u. Soit; mois je ticnsè dé-

moiitrce que si ou e disait on se trompo-"Ilrait.

L'article 1- de la loi de 1819 disait quequiconque e rait, suit l,ar des discours,

.s ries, Es d¢n5 milieu pab,le,soit pmedee écrits, mprimés e 7,lacaNa,provoqué

i

les auteurs il actou quulilsés cri-mls ilmettre ces actes, serait réputé

oie1cil et pou no tel«g il it r6putéeprovocation au crime touteattaque formée p;u' un ries moyens irdi-

aeimmaum

Si l'atti-,en était

iwmnr. tel au

tl t 'l -t le tt

l t M l tloc. l'appréciation dos

,lits du presse ùesige pye lie liigicresodes

Cotait là ans citation 1 mais M. Il garde

sphqucc¢un,emeu

qu, pmun:mt lesout iiouurc' la ,

out pu av sous ""l ils, cruel le dols torture s.

,c t et eusur ple et toute n.onn i

int d'cr'eurs.

ode la loi, ilfa>Tt, ,c'I orle que tor laisser tom-le

9' toueet iinpartiales ma,arcoptéc I

Los,, do lé, voua lelies à sotie politique,il sepli,, ra eoueeianeieus et ecrinn-

1'us, plusIl ne sagit plus iplaideur, dm, s'Jailli, de démasquerPlu,

éea face da G'erJugement cet ",tridu,nmiatùr, publiefatal

il la .1 iiOn peut dietien d

vancJqui est inc

du juryqu'elle sst lis,'set tue le jiment avec lcq

n,aa

sot l du l oue c et m _ ce a Il-

La séance est levé' a six heures cinqmmutx e.

Lc ehc/der .,c,,étaires-r,,dac(,,r,,

d'un projet de loi re-I 100,0U11 hommes sur la

l' «mute ,ont drs

r.oi -Il 1-1 vrst..sw.du jmu appellil la ssitc le ladu projet do i relatif a la

La dide

et autres -Il

M. le ioinistre dolajus-

à la

,et a

il as faut pusdemandons

eut jugés par

lit clora,

sait-on à ]a légialatiuul de

il duuit as celui d'avoir admis lade

la]police eoei'etiouuello ,

était de ne l'avoir pas admise esclusi-

enl. un disait: Donneu,-neac des juelque sévères qu'ils soient, n

Î'Js bleu, qui, ? NI,n projet dalot qul

teauent e pouvoir rliserétionn¢iee, '1 ului

u,stitu:u,t la(usà ]a cor

n'étant quelle` dé-aeu, m, prétexte,

de septembre 1835'?'te qui toute provocatimi

iudiupiés darse la loi deprovou ,s,c' soit o-'et, ust un attei,tit a la

en titra. leurra erreIus 7,aiis. Voililliul.rurluitc parla lui,la distinction entre

i,t et lu provoca-s l'un etl'autee.vaut la 'lu,

loi de 1819 pp, isaite du iIii dr. 1835 pallietut

oontro la sûreté

s'ultailvcmeut aliai s. La eu-.

Enfinsic le

oixrtru lela sûreté de

a lui de 1819les lois de

ont les délitsrit en attentats.

de Beagle, en peGl'espazé des m,ii,fc

liesimulult pas qu4:1lea,mnie:mx. «Noua

ai-ilI leu iarum,,'érl1dIl, fral 1 cr, m d

ris

d

aule peines ppres-au bceoix, a la plue

lu royaume, :l la cham-

bina la eréutiou d'atten-

q st c'est l3 le quelepruoba,t au g,r. Masue

lacs un de ses dis-neipe de la lai et

:S

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foi,, a an'j ,v tl prolo

dq

1'Ibnénui luit

Paystt I. Tlp

,ui.. mai

r.. L'eir'tionlt' or nn.` Je ne prends

are dépendant

Ila trmil dans la foui', aie fois le jÇ pro Tee. un attentat ayant pour bot Ir renverse

laquelle ment du (gouvernement. (Mouvementse M. .Bilas divers,)ont xse v o' r rrri. '. Quand ]':marcastratu, ouri dit qne tout,; vpou,uitn devant la'ilhaute qu ïl wurb

aoutiuaionilori.

orn alliesre,'aux

M. le Sarde des

.mils,té ou de

l'autreutre.

o claturosils -

1soles délit, de-o- Sur le

t f1 re,Il1(° 7 vt }u ii l ot l .sain ,lent

e d,, vou, dn c. .(12.1 t u

ssunna u leusqurdie (i un diseuup le a

,slolu IlM I 1 d .. Su c l<

I

I I

y' M 11

r lf M 1 It fte

J l i dème d l }.u mi,'i n de en(_ur.unal J n't

s nainbJus

(1 ClinB'Ill.)' .usa: raie ...it

J t 1)est b...1h

e, n'air tel tIt r7 ll.r or I1"\} 11' I laissa itune,ono-

troua. [l ii

Ctot 'i 11.put (n te cite.

Il, lonalje ne la

1 r rôl lies. ('LrJ'a

Lut 1 M 1 .t .tt,,(''il t 1.-

seut nainti 1Ml Thiers ara ioratwrb tP P I r Mal lacs

I d Tl r tle- D l l'rbserr ahan

7 M II Ionthnw.7Um.ourleTa'ai-

1 7 1. )

111ild r1.nec' Iii ait

P r eC'est

tp 7,1 [. . tll tdu et i gl t p Iai na t star 1,.PlliatjnI pbien très ..,

tra t aucunement darse nest e-, r'Î aül'honor¢beloi'Lmrs

Jan la l f Y 7 tt',, I l j""", t .:,I I II

1 jull b't1 ]de DI TI

'1lors. I ,rate ,va i l s volis

1

1 (leur

t 1 1.

d t e l .11313t)Ilq t a

u bi,u quo 1835

Quelle est 1a dot de

I Il Id17

ta l e'ilurtour de l i loil83i lo[{m rla(mnj In r'

cite merent 7 ,, us que c soit

e' rlnul, lie

rocha, M.lic udilc délm de ui at-

ao rit) nous il un,

leu, bl..

que a est là I, unl I

ul£

o`_irod seutcucea (ci

p:u la coin initié-

,t I. g t 1 t a' Bon t etie ers lire p

d 'i i a 1789, m ard'r', ret a orsoient

prononçait dons letd'ûae ] I ,r_xèc,,ite, ra-iont trot une jus

demaudeu

- :. lita ,j o ]l 1air, hrÇcuJnlai

loterie. (Tels bien !ilr'ies

b' n

rI- tr015. Chacun et sis Chances.cri oresJe ne veux ponde eetu,r aire

jnsticcr,ai drome la chane, d'btre acgnitt5'y

et randanoni

` unetut -te omis pus de ces ,(a ges ayantewugue er.;tehmrt s'avance, mEmeir lu au c'l' do 'o-pal peur-

Il lncoiul:xmu,

rit-il dote entendu cautin dl ontdire que parce que l'on aune xobc ds juSoon est vendu au pouvoir et quo l'on con-ne tou1"I comme le irét dP11 p en a -e-

le demande la parole.1)e 1852 4 IHcPa,le

t

,

il

y a en, en matrice de presse,t t tda qudtemonts que de coudamna-

Pas.Lrts errnpzmn.)

Nous n'en connaissons

ri easr n J ).Ils les propos p0-lrhquce, bien noria'.

m. r.r mer: Je pu']', de toutes lesfipIl. a-li

4pu

rl d p politique,fait l , d

.appliquaient Ili bien an,,

r qui e.ompn d tente, l1- 1852 8 1866: vous

It d - }tir, tout jour

nTournai 7

nusle ombre de p é aCelui des acquittés de 16.

A' Il -,'agit l rhiffiretd. ne, rellu I prévenus.

elTue. T, t 1suist troi p t

"s PIS diète politiques,lat:ts u la presse ms leur

eu 23 acquittements .lia 18:i4 1 p évenas 27' e iurti((el: 1155 30 - T9 -En 1856 86 - :34 -L 185' 6( - 34 _1 l8,8 (3 33 _

JB.) 34 12I

p t let pasd

d' `ou's, an. J il pue NI "..,S es t t I le len, Ilt t 17 fié 481, en rami

C r 11811 ]`airt Il, resse

teneloin 21 i n,tion,,12arquit-

I;u 1862,:33 rai ,mentions ; 32 acquittcn'ont,1. 1813, 24 condamnations 23 naquit-

roule1864 36 cendaiuuahons, 24 a cquit

rue1Vt' 22 nd t Ut

Elll 1866, 41 1 nation. :J1) aequit-t nfu

tti 2,clin

Parlou, vous des ardunnan.

il ne a, t1 r

on, uS tt- t 1

7cv e,. Quant eu roll wde,alleu, oiro ] pt Tr-i?.Ppr'nai rid I (I , 1 t}t da a1. 1 d

1

. I.oreib L et 1 7 Ila,

(, et t d'Ine t l t1- r-voi d t 1 l r 1'.En eu rus, ( le tait polaili, il ne

t d 7 1 1 1 1 - l i e n .., il1 un E ils coi saisit le tribu

totd 1 1(Il. En 1868, ly

affaire, l t

9 I- t 1 rl pouronda

je lo mmut'eus rit

Il Il IIIIII. 111I e"--. NIrat 1. tir'

p '011100. (Ap-Inaltation,Il. 1.P£ 1

sdoit

p liimci d p i n dans debal s.(R,

on", II, . Len t I il taro' d'oaluder le

p la 119 t tare f e.s b 3

tt I. 1 iM. I Il t et jai

es que jan titis1 1 ,

str t ftes } l ._ y

t 1, u

damne pars eu aveugle. (Tris brin tris

ccagac outre la Constitution oale Boa estes >aocl t,,cent,1 se-cietG elle-mo'a. ]envelleapprobati I:)N u, la ma oalaluse ne dora ]

uridirfl

e pas laJ . icu

n

po ihquo ;mars Ils cet l ette ,uameeaae

1 ,t d f j ruger,te Il a", le

ses droits, ou .i elle, en a d£paoul ire h-onfos.

VoiI2 arquai la i aistratt PP ,jaser les péo d pera -tserdre de o j reetrge. e

rien pcrdn en 1830, pasfill

q o 1848plus

lui-r q 1830 48saler

oeuelle our P I.t tag't.58

ton,I ld t t t l s rbreuses qm Pa P

te 1 r,poque, s lanation lui a gardé ton' -,ponts. Oui!onItaslermuiu(euqulgant de je ne

q .I l 'v spécII(q u.ll trous bstitiwr3 ,

P6 }tir

7 e -nt ans lumitear ]'indépendance clindgLa, laiss, Il,

tIPeutP d d 1rot.l] } elle le El Jelie eut 1. a d

1El, bien, le & .Il e c'est lb polira

et nnçlie, et ceux qui commettentmettre a eetto

ccrtaiuo ont lit, Mes-c

qt1 - projet de loi.If hatrou.)

p 1 t M M tnl i"u acoas. LaIl IlJe demande la parole peurunfait p, ls uni .

1e' nues, La

1 tt lame plain-dup e l a i

let Brurt.)Je

seconds,us prenu''v attendait, trou aux

aile antre ir1 h t e is di-

ie de S ..iljour la lon J, lie

III1 rorayle NI lluere.vcl7 ft

IrrQurf e

l'offonneau m était tau}anis 1(. Ll'le un trio- N Plu' alulq I Il I ende l ('ruilait

1 e- roi,s< f l ] 1

n r'il 1 ri

C ltaif dmc on I,ht(lr,"s'e l'ansill'al brou tin

b 7

1dmera I r -1 lui appartenait

tuslan-f L Mur, que n ue luiunes

te l t d tt b r 7 1

avons ê, velu I Iff rsi.au coi,rqui pouvait (tee considérée comme

qua je

lino jamais

111,

Ilip d u'i 11 autorise rter-ion { 1 1 t Il, d.,]tT1 rainde II I1 11 ll d

.

I '7 I dire b, p Icila} l d

IL

l_

t r 1 t pr' t ,tI ' t 13

Il il

ni,

s-

J1 I7 Y t 1 d l tl

1 ail rié 3i. 1t I }lors '1I"I', si's .1

au ilPool

ton u n trIIl lui ail aiu

tc qu'al u i I l

la ,et t liro,

Iii,

orepoutpouvait lui retirer;

It tn ors trollnulqui s 1(st t pas Ayant 1 1n t 1 Jnndiohons,t al- lld e p elle du `let 7, 1

I Y tort que I;ollI 1".Cs

1

- Nous s ris 7 f r la eh arbre dospairs, o iur était l f ue pan le

I it:tatc coutreIl roi

e

su'oté,d ]Ituf.

le (Iraitnul Il

ili11 7 t1 eut aa Jury

1. I es 6 tués délit,.J'qI dit h, t en u 'il tq 5

noie était suffisa tIcsqucrs il

Caser ee liesuie bien é6reille chose.

m.unu-reaax vient de usus a

tique qui, r, ne blent rlonncr 1, su7tqu'oil

n ( ri r a

d'acquittui

fondu (es dé

presse Pou

doruier chef

o

tunnel", f pur-il 6 :on dameatiena'Pour musses nouvelles 13 procès Itt

condamnations;

Pour tmupte rendus `L ptncds e ton-IIanmatreneJe ii'.u pats et £d. } o f t 3,

Puis or an,n ou alq I tin,ombrcus. Au restes e

-'était pas l'esaete vérité je n n'expli-queorrs pas que, Saur le derumr protespour complue rendre, f 3 1 tait pu dire, sa être ,Interdit, que I.Plus

18 2 I eu, un -JS 'voitq tt t routière l p r Il llt t It, es t ç

p t t t .1" m1 l'ut q le} eu .. Moureenisen sous diva^.,1

i. Je Proie- le pl. I

ge i pmerc7 I qu1 tt r i, t iement a c honneura 1"i nxd qui ln b tJe il t rI r

1q `

.tr16bi 1 J'ai

I)muru. nous des au" 1rmns satisfaits.

JuSes, n o-

Cependant la }, t t 71

n fPas

amepter avPlaisir

1

e' u r I pose. (Re 1 urirr,,le namprend

lque,

amiérc,,p0m rropartiahté,, saf tétollera 1'oblet de réeriruinatione, et quo sa

couaidiratioo pourra 6t e aft'i'do par lespassraile politiques qui s,Site ont autourd'eue.

((aa fsutil do. lire I Quant t moi jecommcuco iI`epar } que Je ternir conta el'amendement, I'uurquoi ? parer quo lejuré n'exerce pas 1 t 1 lit arefart et

quellet la "m 'are rond'-lou p. in1 ana f t ( t1 p-t si

a big laptitude C osa m, F 1 satftiymmeut t ait

u I article 7., oI l -(1 d rerh 0 l

t. Il. Il la dl

o ondule,d l

I S J rq q ] .d tsouIl

c pet unr v ( 7 et ve,Pot 1 wli ua certare

eut, est ales papouurrtrisecsuesin-il, tri

couvéniert au ury L'o

cniluixsur, desair Il' Ver,

ilcs1 a,,

É

p ('aarbtcs aujnurd'(r p t, t

rtaeut, oues

à su,t

d. I'n u. est na,

t 1) 1 pc 3 p 11,r " I t t s }t a t. tdans h 1.e"ou p al

Pouillotne

.11 ttainsi

-jury, et e silol t} p. té .t t1 i>, t ''roc ,e qucll I1 t

d uler le glu, suiordo, la d, sTérut P '.t It. l Il l

r t

J'telle.Ii

1q1 b

ou a,.Voilà eP t 11 a,lcun ]

t 1 ,ncr d

tes. Naisse, n'estp reuden e:rt.

PI 1 g la] 1 I ôrt t 1, lsroul', t q llal l d tllll it truc si ndc P l a i r e à la t'allaIquo des lois de syitetnLre, il repearha t

e thnt d'Or agile a sitd l 1 tt. { r ltroddhta I { ( I tt, 1.,a, ou, éI t U l"

tenir] I bem rt tant le sev( rte e1 Ilces ois septe b quo uou, votcrimrs

Ça pluralité doa as ll.relui

telt t t t 1 jury q un une a,,,U o tuile ea t lt:ue do

lin nous uvommd

()u roua répnJluy ar i'a r utori4s taosPPaaeieu

unirons i-'é

p ro r iq e .'l' , basale

la I becta de a presse est Il etillusiôn otm {oép, G til M Helouan nul parlaitM. Bigoor topait ]e nemo lutainsi.

o,s }- d les aceaus disait7 1

1££ 1 l'iostituhon duJPI ; 1 ô . so lgne pai r fliouueur ,,,,a

pr : { . h mis le craiguai 1 tah-t patroorugai . .l'auras I t

L t tv d ft oermrom, parhr.t 'tJ tf tl d tdu17n tivgrior t(nrS } 't t 7 1. t q l (allai,

fF ,1 le t I solii.u do pros,, les l' ordfnaiucg,du 17

17ion sntgn lq e lunes) et le l r t

min (évasai a Ft t rois 1( 6dans ],Il rlocrmci f ff I "1 tteignait Lot. t tI t l I,. {

1 t t était d£ct de _oinsqu t (. ta1 l ,1 loi surles -toutes et renouveler en quelques ar -

qui

au juge]M. le des sanas a lité une e. -t tl et r g tous 1 T.

défileil es tribal, d{ms 18i2

dIrallrd- 1, .'t ds.l rot Iw

.s 7 ]uittc-t Ii-; 1 1 t fu

Qu tee nu,7 p-lu

' n Cela proovegrenousil.os dit J. vérité.

Il. Il. - "' 1 111

1 n rend ét sent deux fois wultnrbics.

o. l;uupal,lcs >ai, du

'(mil0 Sono quo Cette ,tah11lru t t 1rit u

tiltest de foi-, la

e

d o da r pi

}Ne lé7 t dansit'alointe d t l l

q 11 pp 1 f ] l t tu, }el "il

t""",

L y d rires sor I

t I

P-IIII 11,

d 1 1 I r- het paes, J ,pas que le o e-

s Ilmeut ait pu se ru poutir de sert

te L r ions yd compte des arquittu-

n nous r',st lq } 1 1 4 t e (, quand . 1 lui

r t l i J d t ]' rlequel niai t, dup t d I,c I d }rl tue ,,p,get 1 tort

tue,t. r t et ',,onai

1 `1lit si vous P t. 1 d. eI i e l

1 Paris, 'I ou 1,oud, d 1 {fIl tcntrct , :eus

ihvri

P Vanl lents et r tout o e

I

1,

Isa"1 d t l 1 1 - I vérité d i de-i.golaleft s, brutalité.La aras ,r" ee tlr inc.

ll I

A g 1 3 t' nd'a roi'1 1 I d ('item trorli

o lh ment Mole , le sisal, Y i Il111,-noble autour ont 1 1 ii irClé 1 } gloire d et ,ot t

L pai scellent le' et 6teruèlen eutJeune.

M dr"riasualyre loi u filoiiro ou Jouer leI r led l t utmurye, vo R qmi eut pourle ieox.

set d la

sa, t. 1 -Mohhiu

t alh ltr'

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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sal.Oo ,e t l uccèe obteuu par

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detion mitralnante du beau De-un/ .. D vernandé \ t l stP e me , Rousc d b t Il .s-IIDIal1 i L ppl d ssement utr clé

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