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  • BACH TO LIVE # 3

    Direction Lionel Bringuier Violoncelle Edgar Moreau

    Joseph haydn Concerto pour violoncelle n° 1 en ut majeur

    arnold schoenberg La Nuit transfigurée op. 4

    Concert enregistré à la Maison de l’OrchestreCaptation OXYMORE Productions

    Concert enregistré par

  • JOSEPH HAYDN (1732-1809) Concerto pour violoncelle n° 1 en ut majeur

    1. Moderato2. Adagio3. Finale. Allegro molto

    début des années 1760 date inconnue27 minutes

    « Je n’étais sorcier sur aucun instrument », confie modestement Joseph Haydn au soir de sa vie à son biographe Georg August Griesinger, « mais je connaissais bien la puissance et les effets de chacun ». Le plus célèbre des compositeurs autrichiens de la fin du xviiie siècle n’était certes pas aussi virtuose que Wolfgang Amadeus Mozart et le concerto n’était pas son genre de prédilection. Mais il a su composer pour le violon, le violoncelle et le pianoforte des partitions aussi exigeantes qu’expressives. Au même titre que ceux de Carl Philipp Emanuel Bach, ses concertos pour violoncelle constituent d’ailleurs une étape importante dans l’histoire du genre, entre ceux d’Antonio Vivaldi et de Luigi Boccherini.Alors qu’il vient d’être engagé comme vice-maître de chapelle du Prince Esterhazy, Haydn compose ce Premier concerto pour violoncelle en ut majeur pour l’un des musiciens de la cour, le violoncelliste bavaro-autrichien Joseph Weigl (1740-1820). Les deux musiciens se connaissent bien et jouent souvent ensemble. De cette complicité découle un discours plein de spontanéité. La conversation est partout présente entre le soliste et l’orchestre, l’idée de dialogue dominant l’écriture. Et c’est dans cette émulation entre le soliste et l’orchestre que réside la richesse organique de la partition.Très développé, le premier mouvement libère une énergie et un dynamisme victorieux. La répartition entre les soli et les tutti, la qualité de l’ornementation, ainsi que l’usage

    des rythmes pointés, sont imprégnés du style galant alors à la mode dans la plupart des cours d’Europe des années 1750-1760. D’une veine plus moderne, le mouvement central déploie un lyrisme chaleureux, tandis que le final, plein d’élan et d’ardeur, laisse place à un feu d’artifice de virtuosité. Si certaines exigences techniques (comme le jeu dans le suraigu de l’instrument) représentent de véritables prouesses pour l’interprète, elles n’en restent pas moins chantantes et toujours expressives. Ce Premier concerto pour violoncelle composé par Joseph Haydn alors âgé d’une trentaine d’année, a été redécouvert en 1961 dans des archives du Musée national de Prague. La création en a été assurée le 19 mai 1962 par le violoncelliste tchèque Milos Sadlo (dédicataire du Premier concerto pour violoncelle de Bohuslav Martinu) et l’Orchestre radio-symphonique tchécoslovaque, sous la direction de Charles Mackerras (qui en ont d’ailleurs effectué le premier enregistrement).

  • ARNOLD SCHOENBERG (1874-1951) La Nuit transfigurée op. 4

    1898-1899 le 18 mars 1902, à Vienne30 minutes

    D’abord composée pour sextuor à cordes (deux violons, deux altos, deux violoncelles), Die Verklärte Nacht (La Nuit transfigurée) est arrangée pour orchestre à cordes par le compositeur lui-même une quinzaine d’années plus tard (en 1917, puis révision en 1943) pour permettre à l’œuvre d’accéder aux programmes des grands concerts symphoniques et de dépasser ainsi les cercles plus intimes de la musique de chambre.Arnold Schoenberg a vingt-cinq ans lorsqu’il compose cette partition à partir d’un poème pré-existant : Zwei Menschen (Deux êtres), extrait du recueil Weib und Welt (Femme et monde) publié par Richard Dehmel en 1896. Suivant l’héritage des poèmes symphoniques de Franz Liszt et de Richard Strauss, le texte est absent de la composition musicale qui ne présente aucune parole ni aucun chant. Revendiquée comme une « musique à programme » par Schoenberg, la partition « décrit et exprime le poème » ; il ne s’agit toutefois pas pour la musique de retracer une action, mais « d’exprimer les sentiments humains » qui découlent de cette action.Le poème de Dehmel évoque la rencontre nocturne de deux amants. Désolée, le femme apprend à l’homme qu’elle porte l’enfant d’un autre. Insistant sur l’importance de la maternité, l’homme déclare à la femme que son amour saura faire sien cet enfant étranger. Ils marchent heureux, sous la lune, dans cette nuit transfigurée. Ce petit drame miniature échappe à la logique de la nuit romantique (dont Tristan et Isolde de Wagner fixe le modèle éternel) où deux amants fusionnent sous l’horizon d’une mort revendiquée. Parce que la femme avoue qu’elle attend un enfant d’un autre et que l’homme accepte cet enfant, un mouvement de dépassement

    transforme une situation porteuse de violence en une relation nouvelle : en ce sens, la nuit « transfigurée » surmonte définitivement la nuit « romantique ».Schoenberg admire profondément l’art de Richard Dehmel qui l’a d’ailleurs beaucoup inspiré pour la composition de ses lieder (recueils op. 2 et op. 3 publiés en 1904). Dans une lettre de décembre 1912, il écrit au poète allemand que son art a joué sur le sien un rôle à proprement parlé d’émancipation : « Votre poésie a eu une influence décisive sur mon évolution musicale. C’est à travers elle que j’ai pour la première fois ressenti le besoin de chercher un ton lyrique nouveau. Ou plutôt, je l’ai trouvé sans chercher, en reflétant musicalement ce que vos vers éveillaient en moi ».Dans sa partition, conçue comme un seul mouvement sans aucune interruption, Schoenberg suit la structure du poème en cinq strophes de longueur inégale. Un passage récurrent (la promenade au clair de lune) alterne avec deux passages contrastés (le discours de la femme et la réponse de l’homme), formant une sorte de rondo avec refrain (ABACA). Ce « dialogue lyrique » détermine donc à la fois le caractère expressif de l’œuvre autant que sa forme. Quant au style d’écriture, il est ici presque toujours déterminé par le principe de la variation développante qui génère un réseau dense et serré de motifs très expressifs. Dans un texte tardif publié en 1949 (« Comment j’ai évolué »), Schoenberg décrit lui-même ses influences : « Après avoir rencontré Zemlinsky, j’en vins à servir comme lui deux divinités : Brahms et Wagner. Il n’est pas surprenant que j’aie dès lors composé dans un style qui tenait à la fois de Brahms et de Wagner, avec en plus un arrière-goût de Liszt, de Bruckner et peut-être aussi de Hugo Wolf. C’est pourquoi ma Nuit transfigurée se réclame de Wagner dans son traitement thématique d’une cellule développée au-dessus d’une harmonie très changeante, mais également de Brahms dans sa technique de développement par variation (c’est du moins ainsi que je l’appelle) ».

    Textes Corinne Schneider

  • Deux êtresDeux êtres vont à travers le froid bosquet dénudé ;la lune accompagne leur marche, ils la regardent.La lune court au-dessus des grands chênes,pas une nuée ne trouble la lumière du cieldans laquelle s’élancent les noires cimes.La voix d’une femme dit :

    Je porte un enfant, et il n’est pas de toi,je suis dans le péché en étant à tes côtés.J’ai commis envers moi-même une faute grave.Je ne croyais plus en aucun bonheuret désirais ardemment un sens à ma vie,les joies et les devoirs de la maternité ;alors j’ai eu l’audacede me donner en frissonnant à un étrangeret m’en suis de surcroît bénie.Voilà qu’à présent la vie s’est vengée :voilà qu’à présent c’est toi,ô toi, que j’ai rencontré.

    Elle marche à pas maladroits.Elle regarde vers le haut ; la lune les accompagne.Son regard plein d’ombre est baigné de lumière.

    La voix d’un homme dit :

    Que l’enfant que tu as conçuNe soit pas un fardeau pour ton âme.Oh, vois de quelle clarté brille l’univers !Tout alentour une splendeur répand son éclat.Tu flottes avec moi sur la froide merEt pourtant une chaleur singulière passe en vibrantDe toi en moi, de moi en toi.Elle transfigurera l’enfant étranger,Tu le mettras pour moi, par moi au monde ;Tu as fait pénétrer en moi la splendeur,De moi tu as fait un enfant.

    Il enlace ses lourdes hanches,Leurs haleines se rejoignent dans un baiser.Deux êtres vont à travers la nuit vaste et claire.

    poème de Richard Dehmel Zwei Menschen (Deux êtres), extrait du recueil Weib und Welt (Femme et monde), 1896traduction française de Jacques Fournier, 1990

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  • lionel bringuier directionLionel Bringuier est aujourd’hui l’un des chefs d’orchestre les plus demandés de la scène classique internationale. Il a été nommé artiste associé de l’Opéra de Nice, sa ville natale, à compter de la saison 2019.20.En Europe, Lionel Bringuier a été directeur musical de l’orchestre de la Tonhalle de Zürich (2014-2018) après avoir eu des responsabilités à la tête de l’Orquesta Sinfónica de Castilla y León à Valladolid, de l’Orchestre de Bretagne et de l’Ensemble Orchestral de Paris.

    L’étroite relation qu’il entretient avec le Los Angeles Philharmonic s’étend déjà sur plus d’une décennie, et durant cette période, il a également développé une solide réputation à travers l’Amérique du Nord en dirigeant les orchestres de Cleveland, Philadelphie, Boston, San Francisco, Montréal, Atlanta et Baltimore, ainsi qu’avec le New York Philharmonic. Il dirige régulièrement des orchestres tels que le Gewandhausorchester Leipzig, l’Orchestre philharmonique de Radio France, la NDR

    Radiophilharmonie, l’Orchestre symphonique de la radio suédoise et l’Orchestre symphonique de la BBC. En 2018, il a reçu de superbes critiques pour ses débuts « remarquables » avec le London Symphony Orchestra dans un programme Brahms, Ravel et Dutilleux, avec lesquels il a une affinité particulière.Il a également beaucoup travaillé en Asie, dirigeant régulièrement l’Orchestre symphonique de Tokyo, l’Orchestre philharmonique de Séoul et de Malaisie et l’Orchestre symphonique de Singapour. Il est récemment retourné en Australie avec l’Orchestre symphonique de Sydney et a dirigé un programme français avec le West Australian Symphony Orchestra à Perth. Parmi ses autres engagements en 2019, citons l’Orchestre symphonique de Dallas, le National Symphony Orchestra de Washington, l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre philharmonique d’Oslo et un retour à la Staatskapelle de Dresde. Il a également effectué sa première tournée avec le Royal Philharmonic Orchestra, dirigeant douze concerts à travers l’Allemagne aux côtés des solistes Arabella Steinbacher, Sol Gabetta, Jan Lisiecki et Daniel Müller-Schott. Il collabore régulièrement avec son amie Yuja Wang, avec laquelle il a enregistré les concertos pour piano de Ravel pour Deutsche Grammophon dans le cadre d’un cycle complet des

    œuvres du compositeur. Il a également enregistré des pièces de Chopin avec Nelson Freire (DGG) et de Saint-Saëns avec Renaud Capuçon et Gautier Capuçon (Erato). Bringuier travaille en étroite collaboration avec certains des meilleurs instrumentistes du monde, dont Jean-Yves Thibaudet, Lisa Batiashvili, Anne-Sophie Mutter, Yefim Bronfman, Emmanuel Ax, Leif Ove Andsnes et Janine Jansen.À l’opéra, il a récemment dirigé une nouvelle production de Rigoletto à l’Opéra royal de Suède et a dirigé des représentations au Théâtre Mariinsky et à l’Opéra de Valladolid. Il dirigera prochainement les futures productions avec le Tokyo Nikkai Opera au Tokyo Bunka Kaikan. Issu d’une famille de musiciens, Lionel Bringuier a étudié le violoncelle et la direction d’orchestre au Conservatoire de Paris et a remporté le prestigieux Concours international de Besançon pour jeunes chefs d’orchestre un an seulement après avoir obtenu son diplôme.Il a été nommé Chevalier de l’Ordre National du Mérite par le gouvernement français, et a reçu la Médaille d’or à l’unanimité avec les félicitations du jury à l’Académie Prince Rainier iii de Monaco et la Médaille d’or de la Ville de Nice.

  • edgar Moreau violoncelleLauréat des concours Rostropovitch 2009, Tchaïkovski 2011 et des Young Concert Artist 2014, Edgar Moreau, né en 1994, commence le violoncelle à 4 ans.Parallèlement à l’apprentissage du piano, il étudie avec Philippe Muller au CNSM de Paris et se perfectionne auprès de Frans Helmerson à Kronberg. Il fait ses débuts dans le concerto de Dvorak avec l’Orchestre du Teatro Regio de Turin à 11 ans.Edgar se produit dans les salles les plus prestigieuses, notamment

    au Carnegie Hall de New York, la Philharmonie de Berlin, le Musikverein et le Konzerthaus de Vienne, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Hollywood Ball à Los Angeles, la Philharmonie de Paris et le Théâtre des Champs-Elysées, l’Elbphilharmonie à Hamburg, Suntory Hall à Tokyo, le Seoul Art Center, le Victoria Hall de Genève, le Palau de la Musica Catalana de Barcelone, la Scala de Milan, la Fenice de Venise, le Wigmore Hall, ainsi que dans les

    festivals de Verbier, Salzbourg, Gstaad, Montreux, Edinbourg, Saint-Denis, Menton, Colmar...Il collabore avec des chefs d’orchestre de renommée internationale tels que Gustavo Dudamel, Valery Gergiev, Francois-Xavier Roth, Tugan Sokhiev, Manfred Honeck, Lahav Shani, Mikko Franck, Jakub Hrusa, Alain Altinoglu, Pablo-Heras Casado, Vasily Petrenko, Jukka-Pekka Saraste, Lionel Bringuier et se produit avec des orchestres comme l’Orchestra Nationale de Santa Cecilia, London Symphony, London Philharmonia, Royal Philharmonic, Los Angeles Philharmonic, Philadelphia Orchestra, Malher Chamber Orchestra, Orchestre de Paris, Munich Philharmonique, Israel Philharmonic, Philharmonique de Radio France, Seattle Symphony, Filarmonica della Scala, Orchestre National de France, Saint Petersburg Philharmonic, Simon Bolivar Orchestra...La musique de chambre occupe une place privilégiée dans sa carrière et il a comme partenaires : Martha Argerich, Yo-Yo Ma, Renaud Capuçon, Khatia Buniatishvili, Nicholas Angelich, Andras Schiff, Emmanuel Pahud, Sergey Babayan, Lisa Batiashvili, Julian Rachlin, Alexey Volodin,

    Bertrand Chamayou, David Kadouch, entre autres, ainsi que ses frères et sœur, également musiciens.En 2014, Edgar sort son premier album chez Erato, « Play », avec le pianiste Pierre-Yves Hodique, puis « Giovincello », concerti baroques avec l’ensemble Il Pomo d’Oro et Riccardo Minasi, récompensé du prix ECHO Classik 2016, un disque dévolu aux sonates et trios de Debussy en 2017 (Erato, Warner). Plus récemment, un récital en duo avec David Kadouch consacré à Franck, Poulenc, Strohl et De la Tombelle, ainsi que les concertos d’Offenbach et de Gulda avec Les Forces Majeures et Raphaël Merlin.Il a obtenu 2 Victoires de la Musique Classique en 2013 et 2015 et a remporté un ECHO Classik en 2016. Il est également lauréat des ECHO Rising Stars en 2017. Il a bénéficié du soutien de la Fondation Banque Populaire, de la Fondation d’entreprise Safran, il est Révélation instrumentale classique Adami 2012, ainsi que Prix Jeune Soliste des Radios Francophones Publique 2013.

    Edgar Moreau joue un violoncelle de David Tecchler de 1711 et un archet de Dominique Peccatte.

  • Faire vivre le répertoire symphonique partout et pour tous en Île-de-France et le placer à la portée de chacun, telles sont les missions de l’orchestre.Formé de 95 musiciens permanents, résident à la Philharmonie de Paris, l’Orchestre national d’Île de-France donne chaque saison une centaine de concerts sur tout le territoire et offre ainsi aux Franciliens la richesse d’un répertoire couvrant quatre siècles de musique. L’orchestre mène une politique artistique ambitieuse et ouverte, nourrie de collaborations régulières avec de nombreux artistes venus d’horizons divers. Il promeut et soutient la création contemporaine en accueillant des compositeurs en résidence tels que Anna Clyne, Dai Fujikura ou encore Guillaume Connesson, pour des commandes d’œuvres symphoniques, de spectacles lyriques ou contes musicaux venant enrichir son répertoire.En septembre 2019, Case Scaglione succède à Enrique Mazzola en tant que directeur musical et chef principal. Fervent défenseur de la mission de l’orchestre, il aime faire partager sa passion du répertoire symphonique au plus grand nombre.Fier d’être l’un des vingt orchestres

    au monde les plus impliqués dans l’action culturelle, l’Orchestre imagine et élabore des actions éducatives créatives qui placent l’enfant au cœur du projet pédagogique – notamment à travers de nombreux concerts participatifs et spectacles musicaux pour toute la famille.L’Orchestre mène une politique dynamique en matière d’audiovisuel. Il dispose d’un grand studio d’enregistrement high tech situé aux portes de Paris.Depuis 2016, une série d’enregistrements est parue chez NoMadMusic : Bel canto amore mio (2016), un album consacré à Manuel De Falla (2017), La Bien-Aimée de Darius Milhaud et L’Oiseau de feu d’Igor Stravinski (2018), Ludwig, un album consacré à Beethoven avec le pianiste Cédric Tiberghien (2018) et un autre dédié à Gustav Mahler avec le baryton Markus Werba (printemps 2019).L’Orchestre est fréquemment l’invité de prestigieux festivals en France et à l’étranger.

    Créé en 1974, l’Orchestre national d’Île-de-France est financé par le conseil régional d’Île-de-France et le ministère de la Culture.

    orchestre national d’Île-de-FranceCase Scaglione, directeur musical Orchestre résident à la Philharmonie de Paris

    Directeur musicalCase Scaglione

    Cheffe assistanteLucie Leguay

    Premiers violons supersolistesAnn-Estelle MédouzeAlexis Cardenasco-soliste Violons solosStefan RodescuBernard Le Monnier

    ViolonsFlore Nicquevert, cheffe d’attaqueDomitille Gilon, cheffe d’attaque, co-solisteMaryse Thiery, 2nd soloYoko Lévy-Kobayashi, 2nd soloVirginie Dupont, 2nd soloGrzegorz Szydlo, 2nd soloJérôme Arger-LefèvreAnne BellaJustine Chetail-ZieziulewiczMarie-Claude CachotMarie Clouet Émilien DerouineauIsabelle Durin Sandra Gherghinciu

    Bernadette Jarry-GuillamotMarie-Anne Pichard-Le BarsMathieu LecceNicole LeonLaëtitia MartinDelphine MasmondetLaurent-Benoît OstynMarie-Laure RodescuPierre-Emmanuel SombretJustina Zajancauskaite

    AltosRenaud Stahl, 1er soloBenachir Boukhatem, co-soliste David Vainsot, 2nd soloIeva Sruogyte, 2nd soloSonia BadetsRaphaëlle BellangerClaire ChipotFrédéric GondotMuriel Jollis-DimitriuGuillaume Leroy Lilla Michel-PeronFrançois Riou

    VioloncellesNatacha Colmez-Collard, 1er solo Raphaël Unger, co-solisteBertrand Braillard, 2nd soloJean-Marie Gabard, 2nd solo

    Renaud DéjardinFrédéric DupuisElisa HuteauCamilo Peralta Anne-Marie RochardBernard Vandenbroucque

    ContrebassesPhilippe Bonnefond, 1er solo Pauline Lazayres, co-solistePierre Maindive, 2nd soloJean-Philippe Vo Dinh, 2nd soloFlorian GodardPierre Herbaux Robert Pelatan

    FlûtesHélène Giraud, 1er soloSabine Raynaud, co-solisteJustine Caillé

    PiccoloNathalie Rozat HautboisJean-Philippe Thiébaut, co-solisteHélène Gueuret...

    Cor anglais...

    ClarinettesJean-Claude Falietti, 1er soloMyriam Carrier, co-soliste

    Clarinette basseBenjamin Duthoit

    Petite clarinetteVincent Michel

    BassonsFrédéric Bouteille, 1er soloHenri Lescourret, co-solisteGwendal Villeloup

    ContrebassonCyril Exposito

    CorsRobin Paillette, 1er soloTristan Aragau, co-solisteAnnouck Eudeline Marianne TilquinJean-Pierre Saint-Dizier

    l’orchestre

  • TrompettesYohan Chetail, 1er soloNadine Schneider, co-soliste et cornet soloDaniel Ignacio Diez Ruiz Pierre Greffin TrombonesPatrick Hanss, 1er soloLaurent Madeuf, 1er soloSylvain DelvauxMatthieu Dubray Contretuba / tuba-basseAndré Gilbert TimbalesFlorian Cauquil PercussionsGeorgi Varbanov, 1er soloPascal Chapelon...

    HarpeFlorence Dumont

    PrésidenteFlorence Portelli

    TrésorierHervé Burckel de Tell

    DirectionFabienne Voisin directrice généraleAlexis Labat administrateurSophie Decroix assistante de direction

    ProgrammationCase Scaglione directeur musical Anne-Marie Clec’h conseillère artistique

    ProductionProduction des concertsAlice Nissim responsable de la production Xavier Bastin chargé de production

    Diffusion des concertsAdeline Grenet responsable de la diffusion

    Action culturelleVanessa Gasztowtt responsable de l’action culturelle et programmation jeune public

    Violaine Daly-de Souqual adjointe à la responsable de l’action culturelleJeanne Ribeau chargée de l’action culturelle Margot Didierjean chargée de l’action culturelleDoriane Bazelairestagiaire

    BibliothèqueLucie Moreau bibliothécaire

    RégieMaria Birioukova responsable du personnel artistique

    François Vega directeur techniqueBernard Chapelle régisseur généralDidier Theeten régisseur adjointJean Tabourel régisseur Stéphane Borsellino, Stéphane Nguyen Phu Khai régisseurs du parc instrumental

    Communication et relations publiquesEmmanuelle Dupin responsable de la communication Mélanie Chardayre chargée des éditions et responsable internetAudrey Chauvelot chargée des relations publiques et des partenariats Consuelo Nascimento assistante de communication et des relations publiquesViolaine Daval, Delphine Teriifaataustagiaires

    ComptabilitéIsabelle Rouillon responsable-comptableChristelle Lepeltier assistante-comptable

    Contact presseLudmilla [email protected]

    Rédaction des textes musicologiquesCorinne Schneider

    l’équipe

    bureau du conseil d’administration

    À PARISondif.shop.secutix.com

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    Orchestre national d’Île-de-France19, rue des Écoles 94140 AlfortvilleRés. 01 43 68 76 [email protected]

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