au lieu dit l’ aiguillon seul le quart de la moitié des anomalies est montré ici....
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Au lieu dit l’ Aiguillon
Seul le quart de la moitié des anomalies est montré ici.
Centre d’Enfouissement Technique (CET)
des ordures ménagères
de la Communauté de communes de Pornic.
Situé à St Michel Chef chef (44730)
CET
STEP
Etang des Gâtineaux
Etang du Gros Caillou
Etude d’impact de 1979, avant la première demande d’exploitation
Ouverture du CET : 1980
Deux mares toujours alimentées sur la décharge
Première prolongation 1999 jusqu’en 2002 …
Après 1999
Idem + édification de digues
Hauteur maxi : 7 m
Idem + pose de drain dans le fond de la décharge, sans géomembrane
Abandon progressif du compostage
Augmentation tonnage (20-25 000t/an) et du nombre de communes
Tassement au pied de mouton (tractopelle)
Envoi des lixiviats vers la STEP de St Michel, par pompage (6km)
A partir de 1999 : changement radical d’exploitation :
Avant 1999
Pose directe sur le sol
Hauteur maxi : 3 m
Les 2 mares remblayées par de la terre
Compostage
Ce qui n’est pas composté : environ 10-12 000 tonnes/an,
Tassement naturel
Réinjection des lixiviats sur les déchets.
Rappelons que le tri sélectif n’existe que depuis 2005 (en moyenne)
Arrêtés préfectoraux :
• Ouverture février 1980Prolongations :• juin 1999 2002• avril 2002 2004• décembre 2004 2009• 30 janvier 2009 juin 2009
Fin d’exploitation après 30 ans ( étude d’impact pour 10-12 ans ….)
Cela aurait être beaucoup plus, sans l’action du Collectif des Riverains de l’Aiguillon.
Courrier du pays de Retz 28 mars 2005
• « le CET de l’Aiguillon aurait duré plus longtemps si l’on ne s’était pas fait
déborder par les communes environnantes », constate pour sa part Michel
Guisseau, ancien président du Sivom du Val Saint-Martin et instigateur du
projet. Aujourd’hui, le Site accueille environ 25 000 t d’ordures ménagères
chaque année,…
En 25 ans, la cadence a plus que triplé, surtout depuis l’abandon du
système de broyage et compostage - qui à l’époque faisait la fierté des élus.
Mais il a été abandonné faute de débouchés suffisants….
Depuis son ouverture, la décharge en aurait ainsi ingurgité près de 400 000
tonnes.
A partir de 1999 : scandale à répétition.
2001 : Trois rapports de la Police Municipale de
Saint Michel Chef Chef
extrait du deuxième rapport du 1 février 2001
- En 1, nous trouvons toujours un tuyau dans le fossé qui crache un jus noir et malodorant. - En 2, le bassin B2 se vide par une ouverture au fossé.
-- En 5, nous trouvons une tranchée de plusieurs dizaines de mètres de long, trois ou quatre de large, d’une profondeur supérieure à deux mètres. Dans celle-ci se trouve un jus noir dégageant une forte odeur.- - En 6, nous voyons une buse à 1,50 mètre sous la clôture, diamètre 200 mm au moins, par laquelle part le jus.
•En 7-8-9 se trouve le lixiviat contenu dans le C.E.T., certainement plusieurs milliers de mètres cubes.
Police Municipale de Saint Michel
Rapport N° 3, du 03 février 2001• En conséquence :
- La découverte d’une canalisation évacuant directement des lixiviats au point 6 par une canalisation dissimulée en fond de fossé le long du chemin communal n°8 avec une sortie au point 1 sur plan joint au rapport
- Les déclarations de Monsieur TESSE, société ORTEC. le vendredi 1 2 janvier 200 1 souhaitant que l’on ouvre une brèche dans l’endiguement pour “lâcher” les lixiviats contenus dans le C.E.T.,
- La proposition de Monsieur SUIRE de la société ANTEA dans un rapport de visites, bordereau n° chantier 2000/88 page 3/3 : “En cas d’un nouvel arrêt du système de pompage ou d’une nouvelle augmentation du niveau des lixiviats dans le C.E.T., on recommande, soit de faire construire un bassin de stockage provisoire de plusieurs milliers de mètres cubes de réserve afin d’y transférer les lixiviats, soit de créer un rejet de lixiviats provisoire au travers de la digue afin d’empêcher sa rupture accidentelle”,
- Le vidage systématique du bassin B2 est réalisé volontairement, voir même rapport ANTEA, page 2/2,
Ces faits semblent suffisamment inquiétants pour le respect de l’environnement et surtout de la santé publique, car les lixiviats arriveraient directement dans l’étang des Gâtineaux, réserve où est pompée l’eau potable pour la Côte de Jade.
2005 : Création de l’association des riverains de l’Aiguillon
Dès le début :
• Dénonciations de pollutions.• Demande d’études et de travaux corrects.• Demande de traçage pour vérifier les pollutions.
2007 : Extrait de la lettre lue en CLIS (sans aucune réponse des responsables locaux ou de l’état )
• Le 25 novembre: constatation que des jus noirs s’écoulent dans le fossé. Lors de ma visite j’ai rencontré un employé de la COVED, il m’interpelle et me dit que eux aussi avaient remarqué une couleur anormale des eaux mais que ça devait venir des mâchefers qui recouvre une partie du site. Suite à cette déclaration un courrier est envoyé à la CC de Pornic pour demander des explications.
• Le 22 février : nouvelle source de pollution Mme G. constate qu’un employé de l’entreprise LEUFEUVRE Forage pompe des lixiviats, et les déversent directement dans le fossé
• Le 16 mars : réponse de communauté de Pornic à notre courrier du 30 novembre sur les jus noirs des fossés, réponse coloration due à l’eau qui croupie, à savoir que l’eau doit croupir que d’un coté du fossé puisque de l’autre coté l’eau était claire
• Le 19 avril : Courrier avec photos à M. le sous-préfet, pour demander une CLIS d’urgence car toujours des écoulements noirs.
• Où vont les lixiviats au jour d’aujourd’hui car M Hamel est allé à la station d’épuration de la Princetière et le tuyau d’évacuation qui vient du CET est sec depuis longtemps, et « heureusement » lui a répondu un employé car « nous serions incapables de tout traiter ».
2008 : Analyses complémentaires sur les sédiments et les eaux superficielles réalisé par Burgeap
Le 14 avril 2008, après 15 jours de sécheresse,
alors que tout est sec,
alors que la veille le champ en contrebas de la décharge est sec,
en UNE nuit, ce champ est couvert de boues noires.
Photos du 16 avril 2008
27 avril 08, les boues sont toujours présentes
Sur cet événement : Analyses sur les sédiments et les eaux superficielles réalisé par Burgeap 2008
1 Introduction
La Communauté de Communes de Pornic a missionné BURGÉAP ( en urgence le 16 avril) pour effectuer des prélèvements et des analyses sur des eaux en stagnation et des sédiments sur la parcelle 66.
Ces investigations ont été réalisées dans l'objectif d'identifier l'éventuel impact de l'activité du CET de l'Aiguillon sur le milieu environnant.
Les prélèvements ont été réalisés en présence d'un représentant du CET les 09 et 20 mai 2008 soit après 23 et 34 jours après l’urgence…
Certains prélèvements faits le 09 seraient tombés au labo, il aurait fallu les refaire le 20 mai, soit 11 jours après leurs « chutes » … .
Pourquoi ce retard ? la courbe journalière des pluies, à 300 m du site : 89 mm d'eau avant le premier prélèvement
109 mm d'eau avant le deuxième prélèvement
Le terrain a donc été délavé. Les résultats seront donc moins alarmants …
En noir le texte du rapport, En rouge : remarque de l’association
Dans le rapport : « un fossé longeant l'ouest du site, dont l'exutoire est la partie marécageuse d'une zone enherbée à l'ouest du site. »
X
Normalement, les eaux pluviales devraient arriver dans ce bassin !BURGEAP reconnaît donc la mauvaise gestion de la décharge.
Conclusion du rapport
• Les teneurs en métaux et métalloïdes sont inférieures aux valeurs de référence (eau potable), excepté pour le cuivre et le fer dont les concentrations sont supérieures aux références de qualité. La teneur en fer mesurée en 2007 était également élevée et s'expliquait par un contexte géochimique local, en cohérence avec les fortes concentrations relevées dans les sédiments à cette époque. En revanche, la teneur en cuivre importante ne se retrouve pas dans les sédiments et ne peut être mis en relation avec le bruit de fond géochimique.
• Les concentrations significatives constatées en paramètres bactériologiques, en DCC, COT et azote Kjeldahl, peuvent s'expliquer par le milieu marécageux présentant un courant d'eau faible (eaux stagnantes et peu renouvelées), Il peut également s'agir d'une pollution amont. L'origine de cette pollution ne peut toutefois être établie précisément car il peut s'agir d'une pollution d'origine agricole liée aux parcelles nord ou d'une pollution des eaux de ruissellement de la couverture de stockage des déchets.
Ici, c’est vraiment en rouge dans le rapport de Burgeap !!! ….
• Ainsi, à la date des prélèvements (09/05/2008 et 20/05/2008) il a été constaté une pollution des
eaux de la zone humide au sud de l'étang.
L'origine de cette pollution ne peut être définie précisément et peut être multiple.
Une éventuelle contamination par des eaux souillées ou des lixiviats n'a pas été formellement mise en
évidence mais ne peut être exclue.
Fin de la conclusion officielle :
L’art et la manière de dire, sans dire, tout en disant qu’on ne « peut » rien dire …
Analyses réalisées par l’associationdans ce même champ
Résultats d’analyses plomb mercure aluminiumLiquide noirâtre pris en présence d’huissier le
30 janvier 08
0,050mg/l < 0,05mg/l 26 mg/l
Boue liquide prise dans le même champ le 14 avril 08 38 mg/kg 0,12mg/kg 21 773 mg/kg
• Pour Burgeap, il n’y a pas preuve de preuve de pollution due au CET …
Zone polluée
25 juin 2007 : Les lixiviats devaient disparaître en 3-4 semaines.
Nous sommes à 5-6 m au-dessus du fond !
Octobre 2007, soit 4 mois plus tard …
Ce qu’il ne faut pas dire ….
Digues
2008 : Rapport COVED 2008 sur les lixiviats envoyés à la STEP présenté en CLIS
Les chiffres entourés dépassent les normes autorisées.
CLIS 2008 (Commission Locale d’Information et Surveillance)
Plusieurs points ont fait vigoureusement réagir les associations présentes.
Dans les lixiviats envoyés vers la STEP, des doses maximales ont été régulièrement dépassées, en autre pour :
-----> DCO : en aout, septembre, novembre, décembre 2007, et en janvier, février 2008.
-----> Fer : en avril, mai, juin, juillet, aout, septembre, octobre, novembre, décembre 2007 ; puis en janvier, février, mars, avril, mai, juin 2008.
L'association a rappelé qu‘au CLIS précédentes, des dépassements analogues avaient été constatés, sans que cela ne porte à conséquence, sans que la COVED soit obligée de respecter les normes.
Cette fois-ci, le sous-préfet a réagi ! Il a demandé à la COVED, sous peine de sanctions, de respecter les normes !
…….………….ou ……….. alors …………………
le sous préfet a demandé à la CdC de faire une demande d'autorisation d'augmentation des doses maximums !
Pour la « petite histoire » : autorisation accordée pour la prolongation de 2009, à la CLIS suivante ….
2009 Action asso : la fluorescéine
le 30 janvier 2009 : fermeture CET reportée au 30 juin 2009
• Traceur mis dans les poubelles en juin 2009.• Retrouvée en septembre 2009, à l’extérieur du CET, à 200m• Retrouvé à plus de 2 km après quelques mois, dans
différentes directions.
n° NOM DIS-TANCE
Fluorescéine en mg/l
Aluminium en micro g/
l
FA1 GARNAUD Bois St MICHEL 1500 0,421 5,0 la dose du pont mousse 290 8,53 la dose du pont mousse
FA2 GARNAUD L'Aiguillon St MICHEL 750 0,339 4,0 la dose du pont mousse 1120 32,94 la dose du pont mousse
FA3 ARCHAMBEAU Le Pé ST PERE 750 0,368 4,3 la dose du pont mousse 940 27,65 la dose du pont mousse
FA4 ARCHAMBEAU Etang ST PERE 1250 0,467 5,5 la dose du pont mousse 380 11,18 la dose du pont mousse
FA5 MAILLARD Le jardinet ST MICHEL 1250 1,310 15,4 la dose du pont mousse 3900 114,71 la dose du pont mousse
FA6 La Grenouillère ST MICHEL 2000 0,813 9,6 la dose du pont mousse 890 26,18 la dose du pont mousse
FA7 Pont Mousse LE CLION 2000 0,085 34
FA8 BOUYER La cossonière ST MICHEL 2000 0,066 12
(Courrier avocat le 30 juin 2010)
CLIS nov. 2010
• Plusieurs associations présentes• Chacune a posé des interrogations particulières dans différents domaines
(Lixiviats, biogaz, fossés, doses maxi dépassées, …). Aucune n’a reçu de réponse correcte.
• Promesses répétées de transparence …
• Refus ABSOLU de la CdC, et de la DREAL (ancienne DRIRE) de faire des recherches de fuites par traceurs introduits dans la décharge.
• Nous avons donné un dossier au préfet
Réunion le 9 décembre 2010• le 9 décembre 2010 : réunion pour présenter les résultats d’analyses 2010
qui n’ont pas été présentés en CLIS. La CdC a refusé d’inviter les assos ayant participer à la CLIS !!!!! Un représentant d’une asso présent à la CLIS a été viré avant la réunion.
POURQUOI ?
Rapport officiel Burgeap.Résultats des analyses 2010
présenté au petit comité.
Page 17/19
Page 18/19
Page 18/19
Je crois que ma technique lexicale est bonne ….
Page 19
C’est l’effet Tchernobyl !Les pollutions s’arrêtent à la périphérie immédiate de la décharge …
Pas mal ! Non ?
A la fin du diaporama 2010,
Burgeap préconisait de continuer les recherches hydrologiques ( pour calmer l’asso des riverains?).
MAIS « il n’y a pas d’hydrogéologue agréé en ce moment en Loire Atlantique ! »
Dixit M. Bahuaud ! (En décembre 2010)
Que faire ?
Créer une asso
« sauvons les hydrologues » ?
2011 PLU de ST Michel Chef ChefLoire atlantique
• PLU voté en 2011
Centre d’Enfouissement des Ordures ménagères qui pollue OFFICIELLEMENT !
Aucune mention de site à risque.
Zone de protection,
théorique
Etang des Gâtineaux, réserve d’eau potable
Ruisseau alimentant la
réserve d’eau potable
CET
Zone
d’enfouissement
des ordures
Zone
officiellement
polluée au mercure et
plomb
Pour les responsables,
les pollutions
ne
migrent pas !
Elles restent dans la zone
officiellement polluée …
Sens de la pente
Ce fo
ssé
va à
la ré
serv
e d’e
au p
otable
Trou éolienne
dans lequel nous
avons trouvé le
traceur, 3 mois
après.
Preuve de fuite
éloignée.
En juin 2009, Le Collectif a
introduit un traceur dans
ses poubelles, qui ont été
stockées dans le CET
Fossé officiel qui « manque » au PLU
Suite à la CLIS de nov. 2010,2 effets :
1 le préfet écrit à l’asso en février 2011 :
Depuis 2005 les riverains et l’UDPN 44, demandent qu’un traçage soit réalisé pour rechercher les fuites « éventuelles ».
Aurions-nous réussi ?
2 points nous posent problèmes :• ce sont les pollueurs qui doivent contrôler leur travail.
• Pas de date butoir.
Bientôt un protocole ?
• Lettre du préfet en Fév. 2011.
• A la CLIS de Nov. 2011 : aucun protocole de présenté !( il faut dire que plusieurs assos étaient présentes ! )
• En décembre 2011 le préfet nous envoie le protocole de la CCP.
Il nous « semble » étudié pour être sûr de ne pas trouver de fuite !
• mars 2012 : nous n’aurons pas de nouvelles avant la prochaine CLIS de sept.. 2012. Si « tout va bien » ….
Soit 2 ans pour « étudier » un protocole qui n’est pas encore validé par l’asso !
A quand la réalisation ??????
2018- 2030 ?
Suite à la CLIS de nov. 2010
le deuxième effet :Mise en demeure de trvaux
Le 22 février 2011, mise en demeure de la Communauté de Communes de Pornic,
par le Préfet,pour des travaux de mises aux normes.
« Un fossé collectant les eaux pluviales du site de stockage sera aménagé (sous réserve de la maitrise foncière ou
équivalent) le long de la digue périphérique
Extrait :
afin d’éviter le mélange de ces eaux avec les eaux pluviales extérieures, et de limiter strictement l’apport de ces dernières dans le ou les bassin(s) de stockage
tampon des eaux pluviales aménagés sur le site . »
Plusieurs associations et élus ont réalisé un constat,
le 7 octobre 2011.soit 3 semaines après la fin de la mise en demeure.
Constat envoyé au Préfet avant la CLIS 2011.
Angle fossé périphérique ouest et
fossé périphérique nord. Nous constatons qu’à cet angle il y a un autre fossé qui arrive du champ nord et va dans le fossé
principal. Nous constatons que :
• l’eau des champs arrive dans le fossé recueillant les eaux du CET, ou, en cas de problème d’écoulement dans le fossé principal, l’eau pluviale du CET peut partir dans les champs, puis dans le fossé communal qui va vers l’étang des Gâtineaux.
Fossé nord.• Nous constatons qu’à mi-longueur du fossé nord périphérique
principal, il y a un fossé, récemment creusé, qui, de toute évidence, amène l’eau du champ nord dans le fossé des eaux pluviales du CET.
Fossé ouest• Nous constatons que derrière la haie d’arbre, limite entre la parcelle AM 66 et le
champ voisin, il y a un fossé récemment creusé, qui part du fossé périphérique et va vers les champs. Ce fossé long de 5-10 m environ est légèrement surélevé par rapport au fossé principal.
Nous constatons qu’en cas de problème d’écoulement vers le bassin tampon dont l’entrée est « encombrée »,
l’eau pluviale du CET doit s’évacuer du fossé périphérique principal vers les champs voisins.
Après ce constat : CLIS de Nov 2011 extrait du Compte rendu du Préfet
Rappelons une partie de la mise aux normes préfectorale :
« Un fossé collectant les eaux pluviales du site de stockage sera aménagé … le long de la digue périphérique
afin d’éviter le mélange de ces eaux avec les eaux pluviales extérieures . »
Et moi dans tout ça ?
Les problèmes posés pour très longtemps :
• Economie
• Santé de la population
• Alimentation en eau potable
• Agriculture arrosage-bétail …
• Pollution de la côte
Provenance
Filtration
Coût transportSécurité en quantité ?Fuites sur le trajet
Coût très élevé
Problème humain personnelToxicité connue : Pb, Hg, …Toxicité inconnue : PCB, Al, …Molécules chimiques inconnues coût social –coût personnel
Sécurité alimentaireIndemnité paysanLabel « bio »
Autorisation de pêcheAutorisation de baignadeImpact sur le tourisme
Ne rien faire = « gratuit » ?Remise aux normes = ?????
Pour
Participer,
Aider,
Adhérer,
Donner des idées :
Collectif des riverains de l’Aiguillon Chanteloup 44730 St Michel Chef Chef
Ces documents, et d’autres sont téléchargeable sur :
http://poubelledepornic.jimdo.com/Taper dans googl……. : poubelle de pornic
ethttp://assovmp.pagesperso-orange.fr/cetaiguillon/index.html