Presentacin de PowerPoint

LhyperboleL'hyperbole est une figure d'amplification qui dsigne l'ensemble des procds d'exagration qui touchent la syntaxe et le lexique (accumulation, intensifs, superlatifs, comparatifs.L'hyperbole cherche laisser une impression forte chez le lecteur. Elle peut galement servir persuader ou amuser, ou encore tre utilise dans un contexte ironique.Certaines expressions courantes sont fondes sur l'hyperbole: mourir de soifn'avoir que la peau et les osavoir une tonne de paperasseC'est un gant(pour dire que c'est un homme de grande taille)Exemples:La surface du pain est merveilleuse d'abord cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne: comme si l'on avait sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillre des Andes(Francis Ponge)Une hyperbole impossible, sortant de toute raison et de tout ralisme est unadynaton.L'adynaton opre une transformation smantique par rptition l'identique: le locuteur accumule les arguments ou ides afin d'exagrer un fait ou une situation."On tue un homme: on est un assassin. On en tue des millions: on est un conqurant. On les tue tous: on est un Dieu." (Jean Rostand)Le nez de Cyrano de Bergerac

"C'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ? ... c'est une pninsule !"

LanaphoreLanaphore est unefigure de stylequi consiste commencer desvers,phrasesou ensembles de phrases ou de vers, par le mme mot ou le mmesyntagme. Elle rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'nergie audiscoursou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggre une incantation, une urgence. Syntaxiquement, elle permet de crer un effet de symtrie.Paris!Parisoutrage!Parisbrise!Parismartyrise! MaisParis, libre!Charles de Gaulle, extrait du discours du 25 aot 1944, suite lalibration de ParisRome, l'unique objet de mon ressentiment!Rome, qui vient ton bras d'immoler mon amant!Romequi t'a vu natre, et que ton cur adore!Romeenfin que je hais parce qu'elle t'honore!(Corneille)Moi, j'attendsun peu de rveil,Moi, j'attendsque le sommeil passe,Moi, j'attendsun peu de soleilSur mes mains que la lune glace.(Maurice Maeterlinck)Je veux qu'un noir chagrin pas lents me consume,Qu'il me fasse longs traits goter son amertume;Je veux, sans que la mort ose me secourir,Toujours aimer, toujours souffrir, toujours mourir.(Corneille)