s41 revue de presse kylia - semaine du 02 au 08 octobre 2017
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La revue de Presse KYLIA 1
LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 2 au 8 octobre 2017
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
Rénovation énergétique : ces aides dont vous
pouvez bénéficier
Le 02/10/2017
FOCUS - Une étude pointe du doigt le manque d’information des Français vis-à-vis des aides
financières dont ils peuvent bénéficier pour leurs travaux de rénovation énergétique. Le Figaro
Immobilier fait le point sur ces différents dispositifs.
Près de 41 % des Français qui effectuent des travaux en vue d’améliorer la performance énergétique
de leur logement ne touchent aucune aide de l’État. C’est le résultat d’un sondage réalisé par Opinion
Way pour QuelleEnergie.fr. La raison? Un déficit d’information et d’accompagnement autour de ces
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dispositifs. «Certains Français renoncent même à lancer leur projet pour des raisons financières,
n’ayant malheureusement aucune idée des aides auxquelles ils peuvent avoir droit», explique Maël
Thomas, le directeur général de QuelleEnergie.fr.
Quant aux Français qui ont bénéficié des aides (58 % des Français), plus de la moitié (56 %) juge les
démarches trop complexes. Deux éléments qui représentent un frein important dans la décision de se
lancer dans un projet de travaux favorisant les économies d’énergie. Si vous avez déjà commencé de
tels travaux, ou que vous prévoyez d’en réaliser d’ici la fin de l’année, voici un tour d’horizon des
différents dispositifs auxquels vous avez droit.
• Le crédit d’impôt pour la transition énergétique
Prorogé jusqu’au 31 décembre 2018, ce dispositif permet de déduire de l’impôt sur le revenu 30% des
dépenses pour certains travaux d’amélioration de la performance énergétique. Si le crédit d’impôt est
supérieur au montant de l’impôt dû ou si vous êtes non-imposable, l’excédent est remboursé. Le
plafond éligible des dépenses s’élève, par période de cinq années consécutives, à 8000 euros pour
une personne seule et à 16.000 euros pour un couple marié ou pacsé soumis à imposition commune.
Il existe une majoration de 400 euros par personne à charge (enfant ou adulte). Ce crédit d’impôt sera
transformé en prime dès 2019.
• L’éco-prêt à taux zéro
Jusqu’au 31 décembre 2018, vous pouvez bénéficier de ce prêt à taux d’intérêt nul de 30.000 euros
maximum afin de financer vos travaux d’éco-rénovation. Ce prêt est attribué aux propriétaires, qu’ils
soient occupants ou bailleurs, sans conditions de ressources. Ces travaux doivent être effectués dans
un logement déclaré comme résidence principale, maison ou appartement, achevé avant le 1er
janvier 1990.
• La TVA à taux réduit pour l’amélioration de la qualité énergétique
Un taux réduit à 5,5% s’applique sur certains travaux d’amélioration de la qualité énergétique, et sur
les travaux induits, dans des locaux achevés depuis plus de deux ans.
• Le programme «Habiter Mieux» de l’Anah
L’Agence nationale de l’habitat (Anah) propose aux propriétaires occupants ainsi qu’aux propriétaires
bailleurs une aide représentant 35% à 50% des dépenses liées aux travaux d’amélioration (jusqu’à
20. 000 euros), et aux travaux lourds de réhabilitation (jusqu’à 50 000 euros). L’Anah propose
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également une prime complémentaire pour les travaux permettant un gain de consommation
énergétique d’au moins 25% et vous guide dans l’éventuelle obtention d’une aide locale. Pour
bénéficier de ce dispositif, votre logement doit néanmoins avoir été achevé depuis plus de 15 ans.
Source : www.lefigaro.fr
La revue de Presse KYLIA 4
Acheter un parking pour le louer : à quels
impôts serez-vous soumis ?
Le 02/10/2017
Les ressources issues de la location suivent le régime des revenus fonciers.
Getty Images/iStockphoto
Tenté par l'achat d'un parking pour le louer ? Voici le régime fiscal, du jour de l'achat jusqu'à la
revente, qui s'appliquera.
L'achat d'un parking neuf est soumis à la TVA au taux normal (20%), à laquelle il faut ajouter la taxe
de publicité foncière de 0,71498 %. S'il est ancien, vous paierez les droits d'enregistrement de 5,80 %.
Dans les deux cas, vous devrez y ajouter divers frais : honoraires du notaire, formalités...
Les ressources issues de la location suivent le régime des revenus fonciers. Si elles sont en deçà des
15 000 euros par an, vous relevez du micro-foncier. Vous déclarez le montant brut perçu et le fisc
applique un abattement de 30 % avant taxation au barème progressif. Si vos loyers sont supérieurs
ou si vos charges dépassent cet abattement, vous déclarez le revenu réel avec déduction de tous vos
frais sur un imprimé 2044.
La revue de Presse KYLIA 5
Impôts locaux, plus-values et autres joyeusetés...
Vous êtes redevable de la taxe foncière sur les propriétés bâties et devez déclarer le parking à l'impôt
de solidarité sur la fortune (ISF) si vous y êtes assujetti. La location d'un parking est en principe
soumise à la TVA, mais elle y échappe souvent par l'effet du système de franchise accordée aux
bailleurs dont les recettes ne dépassent pas 33 200 euros annuels.
A la revente, vous serez imposé sur les plus-values au taux de 34,5 % (19 % d'impôt et 15,5 % de
cotisations sociales, 17,2% en 2018) avec exonération de la part fiscale après vingt-deux ans de
détention. Après trente ans, vous serez exonérée de la part sociale. Si le prix du parking n'excède pas
15 000 euros, ce qui est le cas dans de nombreuses villes de province, la plus-value réalisée n'est pas
taxée.
Source : wwww.lexpress.fr
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Impôt sur la fortune immobilière : les foncières
cotées vent debout contre le projet
Le 03/10/2017
Le nouvel impôt sur la fortune immobilière doit normalement aussi bien comprendre la pierre physique
que la pierre papier, dont les foncières cotées, jusque-là épargnées par l’ISF. A l’heure où le
gouvernement souhaite pousser les Français vers la détention d’actions en direct, cette décision
semble pour le moins anachronique.
L’impôt sur la fortune immobilière (IFI) s’apprête à remplacer l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF).
A ce titre, il est prévu que tous les placements immobiliers, y compris la pierre papier, soient
concernés et entrent dans l’assiette de calcul de cette nouvelle taxe. Ce qui veut dire que sont
susceptibles d’être pris en compte les SCPI, les OPCI mais aussi les actions de foncières cotées,
bénéficiant du régime SIIC.
Ce qui fait bondir les professionnels du secteur immobilier, qui ne s’attendaient pas à une telle flèche
dans le dos. De fait, ils ne comprennent pas pourquoi les foncières sont considérées comme des
outils non productifs alors que ces entreprises, au contraire, s’occupent de fluidifier le marché
immobilier. Il semble, en outre, complètement anachronique de ponctionner les actionnaires de ces
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véhicules cotés au moment où le gouvernement, par ailleurs, tente de convaincre les particuliers de
retourner vers la détention d’actions dans une optique d’accompagnement de long terme. Et ce, alors
que la France manque cruellement de détenteurs de titres en direct depuis la crise de 2008. «En
adoptant une telle position, on présente là un très mauvais affichage. Il faudrait savoir ce que l’on
veut: rendre la place de Paris attractive pour ses résidents dans le cadre du Brexit ou faire le lit des
places voisines», lance l’un de ces professionnels atterrés.
Autre argument avancé pour critiquer cette mesure envisagée: la différence de traitement qu’elle
risque d’engendrer puisque les résidents français, grâce au bouclier fiscal, paieraient moins d’impôts
que les résidents étrangers.
Cette décision est en tout cas très mal vécue par l’ensemble de la profession, alors que plusieurs de
ses représentants étaient justement en train de sonder les pouvoirs publics pour relancer le fameux
régime SIIC arrivé à bout de souffle. Si Bercy semble avoir écouté les différentes propositions avec
bienveillance, la réponse faite dans le cadre du PLF n’a pas été, loin s’en faut, à la mesure de leurs
espérances.
Source : www.lefigaro.fr
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Immobilier : les APL "accession" vont
disparaître dès 2018
Le 04/10/2017
Dans certains cas, les APL "accession" font baisser de moitié l'endettement des ménages. (Crédits :
Jean-Pierre Amet) Les APL accession, qui facilitent l'emprunt immobilier pour les ménages aux
revenus modestes, devraient être supprimées dès le 1er janvier 2018.
C'est un dispositif assez méconnu mais pourtant potentiellement très avantageux pour ses
bénéficiaires. L'APL accession permet aux primo-accédants aux revenus modestes de se faire
rembourser une partie de leurs mensualités de crédit immobilier. Malheureusement, il vit ses
dernières heures...
Passée inaperçu lors de la présentation du budget 2018 mercredi dernier, la suppression de l'APL
accession a été repérée par le courtier en crédit Vousfinancer ce lundi 2 octobre, et cette mesure sera
regrettée par les futurs accédants. Selon les calculs effectués par le courtier, l'APL accession
pouvait presque réduire de moitié le taux d'endettement de certains de ses bénéficiaires.
Un parent isolé avec 2 enfants et un revenu net imposable annuel de 15.000 euros en 2015 et
une mensualité de 500 euros pouvait toucher 236 euros, et ainsi voir son taux d'endettement
passer de 41 à 20%.
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Pour un couple avec 2 enfants dont le revenu net imposable est de 20.000 euros pour le
ménage, les APL font baisser les mensualités de 600 à 462 euros, le taux d'endettement
passant ainsi de 36 à 27%.
Ces APL sont versées dans le cadre d'un prêt d'accession sociale ou d'un prêt conventionné, et elles
sont donc soumises à des conditions de revenus. Ce dispositif permet l'accès à la propriété de
personnes n'ayant pas les revenus suffisants pour le faire, car comme on le voit avec les exemples
cités ci-dessus, sans les APL, les ménages passent au dessus du seuil d'endettement maximal,
estimé à 33% (un tiers des ressources).
Un dispositif inefficace ?
Et les personnes concernées par les APL accession sont bien plus nombreuses qu'on le croit, car
cette année, "45 % des emprunteurs financés par Vousfinancer - et même 68 % des moins de 30 ans
- ont des revenus inférieurs à 25.000 nets annuels et sont potentiellement éligibles aux APL", précise
le courtier. Et 13% des prêts financés par le courtier en 2017 peuvent donner potentiellement droit à
ces APL.
Pour justifier la suppression du dispositif dès le 1er janvier 2018, le gouvernement a parlé d'un effort
en faveur de le politique d'accession à la propriété qui serait désormais "prioritairement porté sur le
PTZ, qui sera prorogé". Sachant que le prêt à taux zéro, qui existait déjà, a été prolongé mais réduit
sur certaines zones, la fin du dispositif des APL accession doit surtout s'expliquer par une logique
d'économie budgétaire.
Sandrine Allonier, responsable des relations banques chez Vousfinancer, rejette en tout cas l'idée
d'un dispositif moins efficace que les autres: "L'APL accession est l'une des aides les plus efficaces
car elle est directement versée à la banque prêteuse par la CAF." Les banques peuvent ainsi les
prendre en compte dans leur plan de financer et ainsi accorder plus facilement des prêts à des
ménages qui n'auraient pas eu droit à un financement sans ce dispositif.
Source : www.latribune.fr
La revue de Presse KYLIA 10
Taxe d'habitation : les gagnants et les perdants
de la réforme
Le 06/10/2017
Taxe d'habitation : les gagnants et les perdants de la réforme
Beaucoup de contribuables vont bénéficier de la prochaine réforme de la taxe d'habitation,
dont le calendrier va s'étaler sur trois ans. D'autres seront moins bien lotis. Explications.
Comme annoncé durant la campagne présidentielle , le projet de loi de finances comporte une
mesure d'allégement qui doit permettre - en complément des exonérations existantes - d'exonérer à
l'horizon 2020 80 % des foyers fiscaux du paiement de la taxe d'habitation relative à leur résidence
principale. En revanche, il n'y a aucune trace dans le PLF de la réforme des valeurs locatives, qui
devait être menée de concert avec celle de la taxe d'habitation. La réforme engagée à titre
expérimental en 2015 dans cinq départements tests, qui aurait dû être étendue à tous les
départements, semble donc pour l'instant au point mort.
La réforme de la taxe d'habitation s'étalera sur trois ans . En 2018, la taxe d'habitation due, après
application éventuelle du plafonnement en fonction des revenus, sera réduite de 30 %, puis de 65 %
en 2019. Autrement dit, les ménages concernés ne paieront l'an prochain que 70 % de ce qu'ils
auraient dû payer en l'absence de réforme, puis 35 % en 2019, avant d'être définitivement exonérés
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en 2020. Le coût de cette mesure est évalué par le gouvernement à 3 milliards d'euros en 2018, à
6,6 milliards en 2019 et à 10,1 milliards en 2020.
Conditions de ressources
Les ménages concernés par cet allégement sont ceux dont les revenus n'excèdent pas la somme de
27.000 euros pour la première part de quotient familial, augmentée de 8.000 euros pour les deux
demi-parts suivantes, puis de 6.000 euros pour chaque demi-part additionnelle prise en compte pour
le calcul de l'impôt sur le revenu. Pour l'appréciation de cette condition de ressources, le revenu à
prendre en compte est le revenu fiscal de référence de 2017, tel qu'il apparaîtra sur l'avis d'imposition
2018 ; il correspond au revenu net imposable, c'est-à-dire, pour les salariés, après la déduction
forfaitaire de 10 % ou la prise en compte des frais professionnels pour le montant réel.
Concrètement, un couple sans enfant bénéficiera de cette mesure si son revenu fiscal de référence ne
dépasse pas 43.000 euros par an ; ce qui correspond à des revenus mensuels imposables de
3.980 euros avant la déduction pour frais professionnels. Avec un enfant, le seuil passera à
4.537 euros net par mois, à 5.092 euros avec deux enfants et à 6.203 euros par mois avec trois
enfants.
Ceux dont les revenus sont supérieurs à ces limites, mais inférieurs à 28.000 euros pour une part de
quotient familial majorée de 8.500 euros pour les deux demi-parts suivantes, puis de 6.000 euros pour
les demi-parts supplémentaires, auront le droit à un dégrèvement dégressif pour limiter les effets de
seuil. L'Etat prendra en charge le manque à gagner pour les communes afin de préserver leur
autonomie financière. Cette prise en charge se fera « sur la base des taux et des abattements en
vigueur pour les impositions de 2017, les éventuelles augmentations de taux ou d'abattement étant
supportées par les contribuables », peut-on lire dans l'exposé des motifs du projet de loi de finances.
Risques de hausse pour les non-exonérés
Conséquence : ce sont les contribuables non exonérés de taxe d'habitation, mais aussi les
propriétaires redevables de la taxe foncière qui pourraient être mis à contribution. Mais cela risque
aussi de peser sur le financement des services publics locaux. « Notre inquiétude, c'est effectivement
que la taxe foncière augmente à terme. Or, pour certains bailleurs, cette taxe représente déjà entre
deux et trois mois de loyer. Conjugué à la hausse de la CSG, cela risque à terme de peser lourdement
sur la rentabilité de ce type d'investissement », conclut Jean-François Buet, président de la Fédération
nationale des agents immobiliers (Fnaim).
Source : www.lesechos.fr
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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Marketing : cinq conseils de base pour les
restaurateurs
Le 29/09/2017
Selon une étude menée par Tripadvisor, les restaurateurs français sont en décalage avec leurs
confrères européens en matière de marketing.
© Thinkstock
Vous pouvez améliorer vos pages Google, Facebook, Tripadvisor ou La Fourchette, ou encore créer
un site web avec un système de réservation intégré et des informations actualisées.
Alors que seuls 44 % des restaurateurs français "estiment qu'ils devraient faire plus pour promouvoir
leur établissement", leurs voisins italiens sont 78 % à le penser d'après une étude menée par
Tripadvisor sur les pratiques des professionnels de la restauration en matière de marketing. "Les
restaurateurs sont 90 % à regarder les avis, mais ils sont moins de 10 % à passer du temps sur leur
marketing", regrette Bertand Jelensperger, senior vice-président Tripadvisor Restaurants. "Dans les
autres pays européens, les réseaux sociaux sont les plus investis", poursuit-il. Si les restaurateurs
français ne se sont pas tous mis à surfer, c'est souvent en raison de problématiques de temps et de
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personnel. Un programme de départ suggéré par Bertrand Jelensperger peut pourtant être mis en
place pour investir un peu plus le numérique.
1. Trouvez quelqu'un dans votre équipe qui peut consacrer 30 minutes par semaine à votre marketing.
2. Prenez possession de vos fiches Tripadvisor, Facebook et Google, c'est gratuit.
3. Publiez de bonnes photos et ajoutez-y un peu de texte : "les photos des restaurateurs ne sont
souvent pas attractives", regrette Bertrand Jelensperger. Créez du contenu propre sur chaque canal
et indiquez les heures d'ouverture, les menus, le type de cuisine…
4. Lisez et prenez en compte les avis. "Il faut répondre de temps en temps quand c'est nécessaire",
conseille Bertrand Jelensperger.
5. Si vous êtes opérationnel sur ces premiers conseils, allez au-delà en investissant dans de la
publicité, en améliorant vos pages Google, Facebook, Tripadvisor, La Fourchette, ou en créant un site
web avec un système de réservation intégré et des informations actualisées. Si vous avez de beaux
visuels, vous pourrez alors ouvrir un compte Instagram.
Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
La revue de Presse KYLIA 14
Airbnb se lance dans la réservation de restaurants
Le 29/09/2017
La plateforme en ligne américaine Airbnb a ouvert la possibilité de réserver, depuis son site ou son
application, une table dans 700 restaurants de 16 villes des Etats-Unis-AFP/Archives/Lionel
BONAVENTURE
La plateforme en ligne américaine Airbnb a ouvert la possibilité de réserver, depuis son site ou son
application, une table dans 700 restaurants de 16 villes des Etats-Unis, nouvelle étape de sa
diversification.
Pour ce faire, la startup qui n'a pas encore dix ans (2008) s'est appuyée sur l'application spécialisée
Resy, dont elle est devenue actionnaire minoritaire.
"Ils font une interface de restaurants de classe mondiale et nous n'avons pas nécessairement
l'intention d'aller dans ce métier", a expliqué à l'AFP Joe Zadeh, vice-président d'Airbnb en charge de
l'application multi-services "Trips", lancée en novembre 2016.
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La plateforme qui a fait son succès avec la réservation de logements chez l'habitant revendique une
approche qualitative, par opposition à des sites de référencement exhaustifs type Yelp ou TripAdvisor.
"Nous ne voulons pas mettre tous les restaurants sur notre plateforme", prévient Joe Zadeh,
"seulement ceux où les voyageurs devraient aller."
Interrogé sur le modèle économique de cette nouvelle offre et sur les revenus qu'elle doit générer pour
Airbnb, le dirigeant n'a pas souhaité donner de détail.
Cette ouverture vers les restaurants et une industrie déjà existante peut-elle contribuer au
réchauffement des relations avec les autorités de la ville et de l'Etat de New York, qui a voté fin 2016
une loi restreignant le champ des locations sur la plateforme?
"Nous voulons toujours être vu comme une source de bien pour la collectivité", répond succinctement
Joe Zadeh.
Autre vecteur de développement de la plateforme valorisée en mai à 31 milliards de dollars, les
"expériences", qui permettent à des tiers de proposer des activités payantes aux utilisateurs de la
plateforme, dans la ville qu'ils visitent.
L'offre existe désormais dans 40 villes, dont New York, qui était la dernière grande métropole à ne pas
faire partie du groupe, mais l'a rejoint il y a quelques jours.
Balade en side-car dans Brooklyn, tatouage dans un salon renommé du Lower East Side ou visite de
ruches à Staten Island, l'éventail d'"expériences" est déjà large.
Joe Zadeh assure qu'Airbnb a reçu des dizaines de milliers de propositions d'"expériences" dans les
villes d'accueil, mais en a écarté la majorité.
"Nous ne voulons pas faire de tourisme de masse", martèle-t-il, mais ne travailler qu'avec des
intervenants " dont la passion et l'expertise sont grandes".
Selon Joe Zadeh, des tiers parviennent déjà à générer, par ce biais, plus de 100.000 dollars de chiffre
d'affaires en rythme annuel.
Petit à petit, Airbnb construit une "plateforme de voyage", explique le dirigeant. "Notre rêve est de
nous investir dans l'ensemble du voyage."
Source : www.challenges.fr
La revue de Presse KYLIA 16
Ouvrir un restaurant : le guide pratique pour
tout savoir en 5 étapes
Le 03/10/2017
Beaucoup de français nourrissent ce rêve, dans un coin de leur tête. Ils seront bien moins nombreux à
franchir le pas, et à ouvrir un restaurant, leur restaurant. Du concept au financement, en passant par
les démarches de création et l'accueil des premiers clients, ouvrir un restaurant se rapproche bien
plus de la course de fond que d'un 100m. Une épreuve qui demande endurance, passion et
détermination. Vous avez le profil ? Consultez notre guide pratique en 5 étapes.
De l'idée au concept fort : bien préparer son projet de restaurant
Ouvrir un restaurant sans diplôme, sans apport, sans rien... Cela peut vous paraître étrange, mais la
restauration, c'est un métier ! On ne s'improvise pas responsable d'un restaurant, et ouvrir son
établissement en ville ou dans une petite commune de campagne ne doit pas se faire sur un coup de
tête. « Ouvrir un restaurant » ne signifie pas grand chose. Il faut une idée, un concept, et une bonne
dose de motivation. Attention de ne pas se lancer dans l'aventure pour de mauvaises raisons
La revue de Presse KYLIA 17
(manque de finance, marre du chômage), sans avoir une dose suffisante de compétences et de
motivation.
Pour que votre restaurant réussisse, il doit reposer sur une idée principale, une « ligne forte »,
identifiable. Ce que vous proposez doit correspondre à un besoin.
Quel type de clientèle visez vous ? Salariés en pause déjeuner, couples d'amoureux à la
recherche d'une atmosphère cosy ?
Quelle cuisine allez vous proposer ? Rapide, à emporter, des plats gastronomiques du terroir
?
Ces questions, et les réponses que vous allez y apporter, vont conditionner les premières étapes
avant l'ouverture de votre restaurant. Faites vos choix en utilisant une analyse précise du marché,
mais aussi votre observation. Si un concept en vogue vous séduit, et que vous jugez opportun de le
lancer, alors il peut s'agir d'une bonne idée. Les goûts personnels sont essentiels pour ouvrir un
restaurant. Tant au niveau de la cuisine servie que de la décoration et de l'ambiance générale, il faut
retrouver la « patte » du créateur. Si vous êtes de nature créatif et un peu trop rêveur, n'oubliez pas
de consulter l'avis de vos proches pour valider votre idée de génie, on ne sait jamais.
Où ouvrir son restaurant : à la recherche du meilleur emplacement
Concept validé, idée générale verrouillée. Il faut maintenant se mettre en quête du lieu pour votre futur
restaurant, en parallèle des démarches juridiques (voir paragraphe suivant). Comme en matière
d'immobilier général, le choix du bon local pour ouvrir un restaurant doit se focaliser sur plusieurs
critères, avec en premier lieu, l'emplacement. Si vous ciblez une clientèle de professionnels, sur le
temps de la pause déjeuner, un restaurant dans une zone industrielle est un choix logique. Si au
contraire, vous valorisez une cuisine traditionnelle, et recherchez une « ambiance », alors une vue sur
l'eau sera recherchée. De manière générale, pensez à vérifier plusieurs points.
Les questions à se poser pour trouver le bon emplacement
1. la zone est-elle suffisamment passante (piétons, voitures)
2. la zone de chalandise est-elle suffisamment importante ?
3. Le restaurant est-il facile d'accès (parking, transports en commun) ?
4. Quels équipements sont situés à proximité (commerces, concurrents) ?
La revue de Presse KYLIA 18
La superficie idéale pour votre restaurant dépend de l'ampleur du projet. Ne négligez pas un aspect.
La taille de la salle, et le nombre de couverts possible est un critère important, mais il ne faut pas
vouloir une trop grande salle, au détriment des cuisines ou même des lieux de stockage. A quoi vous
servira une salle de 80 couverts, si vous ne pouvez en « sortir » que 30 dans votre petite cuisine ?
Financer l'ouverture de son restaurant
Vous vous rappelez de la dose de motivation nécessaire avant d'ouvrir son restaurant ? C'est
notamment dans le volet financier, et en matière de gestion que vous devrez vous retrousser les
manches. Gérer de manière saine un restaurant requiert un budget bien construit, et un chiffrage clair.
Les coûts liés à la création et à la tenue d'un restaurant
les frais d'immatriculation, actes notariés et honoraires
les droits de bail, pas de porte et loyers
les investissements matériels (équipement de salle et de la cuisine)
le stock de marchandises / les achats fréquents
les frais de personnel
le budget communication / promotionnel
Cette liste, non exhaustive, ne tient pas comptes de nombreuses dépenses qui varieront selon votre
projet de restaurant. Les travaux liés à l'aménagement et à la décoration, ou encore les coûts liés à la
perte et à la casse peuvent influer sur votre résultat.
Pour vos démarches auprès des banques et assurances, un plan de financement doit être présenté.
Évaluez le coût initiale de votre projet. En France, il est généralement situé dans une fourchette de
300 000 à 400 000€ (création pure de restaurant, sans reprise de l'existant). Comment ce projet sera
financé ? Il faut préciser la part de votre apport personnel, la somme que vous souhaitez emprunter...
et présenter un compte de résultat prévisionnel, pour convaincre votre interlocuteur.
Restaurant : Quel statut pour mon entreprise ?
EURL, SARL, SA ? A chaque projet la réponse qui correspond. Selon l'ampleur de votre futur
restaurant, et la participation ou non d'associés, il vous faut choisir la bonne forme juridique.
EURL et SARL : évitez de vous lancer avec un statut qui, si il est séduisant par sa simplicité, limitera
vite vote croissance (entreprise individuelle, auto-entrepreneur). L'EURL et la SARL sont des solutions
qui permettent de séparer bien personnels et professionnels, et ainsi de lancer l'activité de manière
La revue de Presse KYLIA 19
indépendante. Ces deux formes d'entreprise permettent une grande liberté sur le plan « social » et
vous autorisent à être, ou non, salarié de votre restaurant.
SA et SAS : Si l'ouverture de votre restaurant est un projet collectif, alors ces formes juridiques
peuvent vous intéresser. Qu'il s'agisse d'associés dans la gestion du restaurant, ou d'apporteurs de
capitaux, il peut être judicieux de les intégrer au fonctionnement du restaurant.
Consultez le site web de l'APCE (www.apce.com) pour des informations détaillées sur le choix du
statut juridique.
Lancer un restaurant, et tenir dans la durée !
Après la joie de l'ouverture, et les premiers mois de l'activité, il faut mener la barque, et garder le cap.
Beaucoup de décisions prises avant l'ouverture seront remises en question. Changement de
fournisseurs à cause de la qualité des produits, suppression de plats de la carte car peu commandés,
ou encore changements de prix. N'oubliez pas le « turnover » de la profession, tant en cuisine qu'en
salle ! Réussir son projet de restaurant, c'est s'inscrire dans la durée. Il faut par conséquent savoir se
renouveler, innover et surprendre, sans casser le lien créé avec la clientèle. La communication auprès
de prescripteurs, de relais d'opinion et autres guides gastronomiques occupera un volet important de
votre temps.
Ouvrir un restaurant est un choix professionnel, mais aussi un choix de vie. Les démarches pour
parvenir à lancer son établissement, et les efforts à fournir pour le faire perdurer sont importants. La
passion et la conviction personnelle seront vos atouts dans les moments de doutes. Le sourire ou le
compliment d'un client satisfait seront votre plus belle récompense.
Source : www.toute-la-franchise.com
La revue de Presse KYLIA 20
TVA déductible : (toujours !) sous conditions…
Le 03/10/2017
Généralement, une entreprise va, pour le compte de l’administration, collecter de la TVA sur les
ventes ou sur les prestations de service qu’elle réalise. Corrélativement, elle va payer de la TVA à ses
fournisseurs, TVA qu’elle pourra récupérer (TVA déductible) sous réserve de respecter certaines
conditions…
TVA déductible : totalement, partiellement… ou pas du tout !
Pour la plupart des entreprises, dont le chiffre d’affaires est intégralement soumis à TVA, la question
de la récupération de la taxe ne se pose pas : les biens achetés par elles sont affectés à leurs
activités soumises à la TVA et, par conséquent, ouvrent droit à déduction intégrale.
En revanche, la question du droit à déduction devient problématique à partir du moment où une
entreprise décide, par exemple, d’acheter un bien qu’elle n’affectera pas (ou pas complètement) à son
activité soumise à TVA. Dans cette hypothèse, la TVA payée au fournisseur n’est pas intégralement
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déductible : il sera nécessaire de calculer un coefficient de déduction, ce qui permettra de déterminer
la proportion de TVA récupérable.
Le coefficient de déduction est le résultat du produit de 3 coefficients :
le coefficient d’assujettissement, qui correspond à la proportion d'utilisation du bien ou du
service pour la réalisation d'opérations imposables à la TVA (rappelons que les opérations
imposables sont celles qui sont situées dans le champ d'application de la TVA, qu'elles soient
effectivement imposées ou légalement exonérées) ;
le coefficient de taxation, qui permet de déterminer la proportion d'utilisation du bien ou du
service acquis pour la réalisation d'opérations ouvrant droit à déduction ;
le coefficient d’admission, qui ne dépend pas de l’activité de l’entreprise mais de la
règlementation elle-même : il permet la prise en compte des exclusions ou des restrictions au
droit à déduction de TVA.
Chaque coefficient se voit attribuer un chiffre entre 0 et 1. Si le résultat du produit des 3 coefficients
est égal à 1, l’entreprise pourra récupérer l’intégralité de la TVA payée. S’il est égal à 0, l’entreprise
n’aura pas droit à déduction. Enfin, si le coefficient de déduction est compris entre 0 et 1, par exemple
0,8, l’entreprise bénéficiera d’un droit à déduction partiel (équivalant, dans notre exemple, à 80 % de
la TVA payée).
Informée de la nécessité de déterminer un coefficient de déduction, une entreprise s’est interrogée sur
l’existence même de son droit à récupérer la TVA.
Pour la petite histoire, l’entreprise en question est propriétaire de plusieurs terrains situés dans un
village de vacances. La commune l’ayant informée que la station de pompage des eaux usées
desservant ce village était endommagée, l’entreprise a accepté de prendre en charge, sans
contrepartie, les travaux de remise en état.
Pour la réalisation de ces travaux, elle a fait appel à un prestataire de service et a réglé les factures
transmises. L’entreprise a ensuite demandé à récupérer la TVA payée sur ces factures au moyen de
sa déclaration mensuelle de TVA, ce que l’administration lui refuse !
Cette dernière considère, en effet, que, parce que l’entreprise n’est pas propriétaire de la station de
pompage, elle ne peut pas récupérer la TVA payée sur les travaux de remise en état.
A tort selon le juge, qui trouve le raisonnement de l’administration un peu rapide. Il rappelle qu’il est
possible pour une entreprise de déduire la TVA payée sur des travaux qui consistent à construire ou à
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améliorer un bien dont un tiers est propriétaire à partir du moment où les 2 conditions suivantes sont
réunies :
le tiers propriétaire (ici la commune) doit bénéficier gratuitement du résultat des travaux
réalisés ;
les travaux doivent être profitables à l’activité économique de l’entreprise et à celle du tiers
propriétaire.
Le juge conclut en rappelant que, comme les travaux engagés n’excèdent pas ceux nécessaires à la
remise en état de la pompe et, sont proportionnés au but recherché, c’est-à-dire l’exploitation du
village de vacances, l’entreprise est en droit de récupérer la TVA payée par elle. Le redressement
fiscal est donc annulé.
Source : Arrêt de la Cour de Justice de l’Union Européenne du 14 septembre 2017, n°132/16
Source : www.bar-brasserie.fr
La revue de Presse KYLIA 23
Devenir franchisé d’une enseigne sans
connaître le secteur : est-ce risqué ?
Le 06/10/2017
Entreprendre en réseau sans connaître le métier freine de nombreux candidats. Pourtant, cette
condition ne constitue pas un élément clé de la réussite en franchise. L’éclairage de Laurence Pottier
Caudron, présidente fondatrice du réseau Temporis.
Crédits photo : shutterstock.com
Le profil type du candidat à la franchise
Avant de se lancer en franchise, tout porteur de projet doit tenir compte des prérequis annoncés par le
franchiseur et ne pas se mentir à lui-même. Il est indéniable que le fait de se lancer en franchise
permet de davantage limiter les risques d’échec que d’entreprendre en solo. Selon la Fédération
française de la franchise (FFF), le taux de réussite en franchise serait en effet de 80 %. Mais qu’en
est-il des 20 % restants ?
Un franchiseur qui a de l’expérience est très souvent en mesure d’analyser ce qui conduit un franchisé
à la réussite, et d’expliquer les quelques résultats en demi-teinte dans son réseau. Il définit ainsi au
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préalable quelles sont les qualités nécessaires à la réussite dans un métier qu’il maîtrise. Au-delà de
celle-ci, le candidat doit rester honnête avec lui-même et mesurer le niveau de plaisir qu’il prendra au
quotidien à exercer sa nouvelle activité, ce qui déterminera son niveau de réussite futur.
La formation initiale, un incontournable
Les recruteurs s’accordent à dire que le « savoir-être » est un élément essentiel lors d’un entretien
d’embauche. Et pour cause : le savoir-faire, lui, s’acquiert. Envisager d’intégrer une franchise
nécessite donc de bien étudier le parcours de formation proposé par le franchiseur. En effet, s’il
permet au futur franchisé de découvrir le concept, il l’aide aussi et surtout à appréhender toutes les
spécificités du métier qu’il s’apprête à exercer chaque jour. « Le franchiseur prévoit-il des journées
d’immersion avec des franchisés déjà en place ?» « Combien de temps dure la formation ?» « Quels
sont les thèmes abordés ?» Autant de questions que le candidat à la franchise doit se poser avant de
se lancer, s’assurant ainsi que le savoir-faire de l’enseigne lui sera correctement transmis.
L’accompagnement du franchiseur
Le soutien de la tête de réseau est également un facteur à prendre en compte : il joue un rôle
considérable dans la future réussite du franchisé. Cet accompagnement se manifeste tout d’abord par
le nombre de salariés de la structure franchise et par la présence de l’animateur en charge de la zone
concernée. Ces personnes assistent en effet le franchisé à ses débuts et tout au long du contrat. Un
appui permanent, à la fois en présentiel et à distance, qui permet à un franchisé débutant de s’adapter
plus vite aux particularités de son nouveau métier.
Un candidat à la franchise doit aussi tenir compte des différents services mis à sa disposition lorsqu’il
sera en activité. Ils représentent un support majeur tant sur le plan juridique, logistique, financier,
informatique qu’au niveau du marketing ou des ressources humaines. Mais certains franchiseurs
disposent d’un back-office trop léger : l’entrepreneur peut ainsi vite se sentir seul et démuni face aux
problématiques quotidiennes qu’il rencontre.
Alors, peut-on entreprendre en franchise sans connaître le secteur ? Oui ! Mais il faut bien se
connaître et privilégier un franchiseur transparent dont le parcours de découverte est suffisamment
long pour avoir une idée bien précise de sa future activité.
Source : www.lesechos.delafranchise.com
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A propos de Kylia KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18
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