pilules pink · 2013. 7. 31. · ler général et maire d'evaux, m. henry thonier, le grand...

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I;5

Les soupçons se portent cependant surun individu avec qui Baye a eu, dernière-ment quelques difficultés.

Une Battue de SangliersSur la gracieuse invitation de MM.

Lacroix, conseiller d'arrondissement etmaire de Pignols, Bargoin, propriétaire,et Haudour, maire de Buron, a eu lieu,ces jours derniers, dans la forêt de laComté, une grande chasse au sanglier,sous la direction du sympathique conseil-ler général et maire d'Evaux, M. HenryThonier, le grand destructeur de sangliersbien connu.

Un énorme solitaire de 120 kilos a ététué, après une chasse très mouvementée,par M. Thomas, de Bourbouloux, commu-ne de Vic-le-Comte, et le soir, pour cou-ronner ce succès, un joyeux banquet réu-nissait à l'Hôtel de France, à Vicie-Comte,tous les amis en saint Hubert.

NOS MALADIES

LA FAIBLESSE NERVEUSECHEZ L'HOMME ET CHEZ LA FEMME

ImpulsHu >co. - IVoui-ustlionle. - Stei-lllt©

Attixie* — Ti'ouble» Cérébraux

MALADIES DE L'ESTOMACII n'est pas de plus triste état que celui

du neurasthénique. Quoique jeune encore,il est décile, sans énergie, mélancolique : lavie lui est à charge. Il mange générale-ment avec appétit,"et pourtant la digestionne s'effectue pas ; il maigrit et s'affaiblitde plus en plus ; courbaturé au réveil, ilressent des douleurs derrière la l<He, e?tatleiiH de veriL-es, de palpitations, souffrede son impuissance et des angoisses quil'assaillent.

A tous ces maux, viennent s'ajouter,chez la femme, les lourdeurs du bas-ventre,les maux do reins, ei, avec la stérilité, laterrible menace du cancer ou dos lumeurs !

Chez tous ces sujets, les organes nefonctionnent pas, et, cependant, ni l'esto-mac, ni le rein, ni l'intestin, ni le foie nesemblent atteints.

Toutes les drogues ont été essayées, tousles systèmes ont échoué...

Seule, la méthode dermothérapique resti-tue rapidement l'énergie vitale en répan-dant dans l'organisme le fluide bienfaisantde ses appareils, en môme temps que lessubstances végétales stimulent les organesdébilités, et c'est-là tout le secret du triom-phe du lXMUJolhér.'ipisine. qui a obtenu 'lesmillier de iiixVisuns <\\n<> < <• ;IM 'IV •• ,•i l i 1 1:1 -i l u i . ' .

L a l u t U i o . i U , U u ' . i C .1 u i \ ; u . n o » , . c ucoûteuse, est expliquée clairement auJournal de Médecine française, et il suffitd'écrire à M. le directeur de l'AcadémieDermothérapique, 19, rue de la Péphrièie,à. Paris, pour recevoir aussitôt un exem-plaire de ce journal, qui esl adressé grutintement à toutes les personnes qui enfont la demande.

CHKONIQIK FINANCIÈRE;Mercredi dernier, le but de notre chroni-

que était d'encourager nos lecteurs à uliliser leurs disponibités, en se limitant stric-tement aux valeurs de tout repos. Elles nesauraient être si'ric.u.-emenl atiuiulos parles événements, dirions-nous, et pour unchroniqueur consciencieux, c'est presqueun devoir de supprimer do son vocabulairela formule — dont jadis il devait accompa-gner toute appréciation un peu catégoriquedes tendances du marché — : « Sauf évé-nement. »

La séance de lundi dernier n'est-elle pasla preuve de la justesse de cette opinion?Nous n'avons pas été les seuls, du reste, àconstater que la spéculation commettaitune grossière erreur eu attribuant k la vo-lonté des groupes dirigeants la fermetépersistante de notre Reine française et desactions et obligations de uos grandes Com-pagnies de chemins de 1er. M. Pierre Bau-din, rapporteur général de la Commissiondu Budget, dans une étude fort documen-tée récemment publiée par un grand jour-nal quotidien sous lu titre : « FAchcux pro-nostics », faisait la môme consultation ense plaçant, il esl vrai, à un point de vuetoui différent.

Après avoir constaté que l'avenir écono-mique de la France ne devait attendre au-cune aide de l'agriculture et que notre in-dustrie, malgré les immenses progrès réa-lisés, restait en retard sur les progrèsobtenus par les nations rivales, il jetait uncri d'alarme, faisaut appel au patriotismedes capitalistes et rendait responsable decette situation dangereuse la timidité del'épargne, qui dit-il :

« Lorsqu'elle a quatre sous s'ingénie àa les cacher quand elle n'a pas assez de« liberté d'esprit pour s'ingénier à les« placer.

« Et les placer ce n'est pas les confier à« l'industrie ou au commerce, c'est les« mettre en papier-monnaie. L'action d'une« Société industrielle n'est pas pour nouso du papier-monuaie. Le papier-monnaie« se reconnaît à cette vertu essentielle: il« porte la signature d'un Etat solide, auo crédit inébranlable. Il ne rapporte que« deux et demi ou trois au plus. Pou im-« porte. Nous préférons serrer notre vie et« n'avoir ni risque, ni souci.

Nous avions donc raison et avons encoreraison d'atlirmer que ce que certains seplaisent à. considérer comme des cours sur-faits ne sont, en réalité, que des cours ap-pelés à progresser sensiblement encore,surtout si, au lieu de se calmer, les appré-hensions de l'épargne sont entretenues parles événements.

Mais ce poiut établi et en ajoutant quenous sommes d'accord avec M. Baudin surla volonté absolue de l'épargne de se dé-tourner des fonds ou valeurs aléatoires,nous ne partageons nullement ses craintessur l'avenir de notre industrie.

L'épargne inquiète obéit à un premiersentiment fort naturel que nous pourrionstraduire ainsi : avant tout, sauvons lesmeubles. Mais la faim lait sortir le loup dubois ; elle ne lardera pas à se faire sentirpour bien des modestes rentiers donl lequantum de revenus ne peut être iudéh'ni-ment comprimé. Un danger sérieux étailsuspendu sur nos létes depuis deux ans :la diffusion de fonds d'Etats de deuxième

ve, Ceux-ci n'auraient jamais Uu teinter

dans les portefeuilles moyens, parce quel'augmentation des revenus qu'ils procu-rent n'est pas en rapport avec les risques

. qu'ils font courir au capital.Notre épargne s'en souviendra et ses

craintes actuelles l'amèneront sans aucundoute à n'y toucher qu'avec la plus extrê-me réserve ; cependant elle ne pourra sedispenser de relever le faux de ses pla-cemenls et sera, de ce /'ait, condiite directe-ment aux valeurs industrielles.

Nous finissons par vivre pour l'argent aulieu de vivre par l'argent, écril encore M.Pierre Baudin. Pour vivre par l'argent, ilfaut commencer par avoir de l'argent, etlorsqu'il est mal exposé, à moins de vivresans argent, on doit commencer par lemettre à l'abri. C'est ce que sagement vientde pratiquer notre épargne, et ce qui luipermettra de suivre le conseil de M. PierreBaudin :

Pour améliorer notre situation budgétaire,•c'est donc du côté du commerce et de l'indus-trie qu'il nous faul tourner

(Annales économiques et financières)

Fiche inédite" Pâle onctueuse parfum riche"— Telle esl, d'après un sûr écho.La 1res juste et (laiteuse ficheDonnée au savon du CongoP. R. au Parfumeur Victor Vaissier

VABIBTB

L'ABSOLUTIONItécEt historique»

La guerre de 187U <Haii finie et lasignée deja depuis plusieurs semaines.

paix--.- -- , -, . Maisbien des malades, bien des blessés devaientencore en conserver, avec le douloureuxsouvenir, de cruelles traces physiques,pinsqu'à la boucherie du champ de bataille,toujours une longue suite de maux vientfaire cortège.

Le général de Sonis avait subi l'amputa-tion d'une jambe et, pour des semaines, sevoyait condamné à l'immobilité sur l'impa-tientant fauteuil du convalescent infirme.

Un malin, on lui annonça un ancien offi-cier dont le nom lui élaitparfailemenl in-connu, mais qu'il donna ordre, quandmême, d'introduire. C'était un grand vieil-lard pâle, sec, rigidement boulonné dansune redingote noire, crêpe au chapeau,traits ravagés.

— Mon général, je suis confus d'avoir àviiu> d1'ranger...

— (.)•• •!! o ' I - r a ' H ' o g u è r e l . m s ce n i o -. ) i i • . i . . i d i ^ L i ^ i n a v i ' •

M.up.i iu\ Je suis prisonnier des chirur-giens... Asseyez-vous et dites ce qui vousamène.

— Mon général... j'avais un fils... unique.Il a été tué. Mais je ne sais où, ni quand...Je suppose que c'est à la. bataille cleX...cependant je n'en suis pas sûr. Au Minis-tère, dans le pay-; même où je suis alléfaire des recberches...

Le visage de Sonis s'était soudain rem-bruni. Ce fui presque durement qu'il coupala parole à son interlocuteur.

— Eh bien, que puis-je à cela, moi ?— Je vaudrais retrouver le corps de mon

pauvre enfant pour le réunir au cercueil desa mère que j'ai perdue récemment aussi...Il élail du ...ème régiment, directementsous vos ordres...

— Je ne puis savoir ce que sont devenusous les hiiinmus (uo j'.u commandés.

— Il riait sergent. •Lu voix du malheureux père suppliait...

Un silence suivit. Sonis ne levait plus lesyeux.

Le vieillard so leva, embarrassé, prêt àse retirer. Cependant il voulait dire encorequelque chose :

— Pardon, mon général... Je vous im-portune, je le sais," Et vous voilà commeles autres... ceux du ministère. Ils ne merépondaient pas franchement... Ils sem-blaient vouloir me cacher quelque chose...Pourquoi V — J'ai un grand chagrin, maison esl courageux. J'ai porté l'épaulette...

— Quel grade?... demanda Souis contentde taire uni: diversion.

— Uicf d'escadron. Parti de rien. Engagévolontaire au commencement du règne.J'ai fait toutes les campagnes depuis Sébas-topol...

— El pas décoré V- Non, mon général... Je préférais tou-

jours l'avancement parce que j'avais descharges et pas de fortune... Ma femme,mon gamin... que je chérissais lant!...Aussi, vous le sentez! mon général... j 'ai-merais les avoir... ensemble, afin de pou-voir aller souvent leur dire... un petit bon-jour.

Sonis plus louché par celte phrase naïveque par les mots les plus éloquents, mur-mura :

— C'est une consolation, oui... Je com-prends. Cependant, croyez-moi, résignez-vous... Après toul, les Luorls n'ont besoinque de repos...

— Il y a quelques jours, j'aurais peul-ôtreécouté ce conseil, puisque j'ai tout fait inu-tilement... Aujourd'hui mon général, je nepeux plus, voyez-vous... Je suis inquiet ;je devine qu'on me cache quelque chose, etje veux savoir... Il faut que je sache... Jene vivrai pas tant que je ne saurai pas la.vérité... Et tenez ! je vois, moi, que vous làsavez... Je vous en supplie, diles-la moi.

— Mon brave... Non, je vous assure...Je me souviens seulement que dans celtejournée où probablement votre fils estresté, il s'est produit des incidents bienpénibles pour nos vieux cœurs... El si parhasard voire entant avait élé mêlé...

— A quoi 'i... A quoi ?— Des mobiles mal aguerris... devant

l'ennemi ont fui ..— Mon !ils n'étail pas un lâche !Sonis ne répondit rien.— Alors l'infortuné soldat comprit. Mais

il ajouta en s'efforçant de sourire et deparaître tranquille...* Oh, très tranquille...

— S'il avait fui... Il vivraiLV Je ne cher-cherais pas son cadavre?... N'est-ce pas,mon général?. . Parlez... J'ai raison...

Il insistait, perdant à chaque parole unpeu de son sourire et laissant percer l'an-goisse atroce qui l'élranglait.

Alors Sonis très grave, reprit :— Voire fils s'appelait bien Emile ?... Je

no fais pas erreur ?— Emile B..., oui, mon généial... Vous

voyez bien que vous saviez!!... Il eslinorl?— Armez-vous de courage.— Il élail parmi les fuyards ?— pis que cela, C'est m\ qui a eptraioé

les autres en criant à la trahison de seschefs.

— Et alors ??Le vieillard tremblait, 'Sonis prononça d'une voix basse, mais

ferme.— On l'a passé par les .armes contre les

murs d'une ferme, sur la lisière de la forêtd'Orléans.

Le vieil officier tâcha de redresser sontorse. Il ne pleurail pas, mais sa face sabréede rides faisait mal à voir. — Avec un effort,il salua en militaire !

— On a bien fait... Merci, mon général...Sonis lui tendit les mains el l'arrêta dans

son mouvement de retraite.— Il ne faul pas maudire la mémoire de

voire enfant, — essaya le chef avec com-passion.

Le vieux brave mordit sa moustache.— Pardonnez-lui...— Jamais !... Pas même dans l'autre

monde où Dieu, j'espère ne me le fera pasrenconlrer.

— Dieu, je le pense, sera miséricordieuxpour toutes les créatures dont il a voulu lafaiblesse.... Votre fils a été coupable...

— Lâche!...— Non ; car il a su bien mourir, et l'ex-

piation a racheté son incompréhensibleégarement de jeunesse.

— Rien ne pouvait le racheter.— Si... Mais je vous l'affirme, votre fils

est mort utilement pour la Patrie en péril.Sacrifié à la discipline, à l'exemple, il acompris la possibilité de la réhabilitationpar le repentir el l'acceplation du châtiment.

Sonis gardait dans ses mains la mainglacée du malheureux père, à l'âme frappéed'une inguérissable blessure.

— Regardez moi... Obéissez...Le soldat malgré lui cédait au « supé-

rieur B... Il vit le visage du héros loyale-ment ouvert devant lui. Alors ce fut undésir fou de le croire, de se rattacher à laconsolation d'un moindre déshonneur.

Sjnis affirma, comuie en un serment :— Pleurez le... Pleurezvotre enfant,car...Il ouvril ses bras au vieillard.— .. car moi, son juge, je l'ai pleuré.

Georges RÉGNAL.

Lorsqu'il y a brouille dansles ménages, c'est quelquefoisla faute de la lemme, quelque-fois celle du mari, le plus sou-vent enfin, ce n'est la laute nide l'un ni de l'autre. La dis-corde provient de ce que Mon-sieur surmené par ses occu-pations commerciales, politi-ques est dans un état d'éner-vement, de surexcitation quil'empêche de supporter lamoindre contradiction, de ceque, Madame est de son côtéirritable à l'excès et que cetteirritabilité provient soit deson estomac qui fonctionnemal, soit de l'état de malaisegénéral causé par les troublesparticuliers et intimes desfemmes.

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HORACE(Œuvres complètes, traduites en vers par M.

Charles Delanoue, ancien juge d'ins-truction*)

Les littérateurs, et en général les biblio-philes, apprendront avec plaisir l'appari-tion d'un nouveau livro qu'ils ne manque-ront pas d'apprécier, et dont le succès estcertain.

Les odes célèbres du grand poète latin,empreintes des sentiments nobles qui dé-tachent l'homme de ses passions, pour luidonner une juste idée de sa dignité et deson rôle véritable ici-bas, sont de cellesqui subjuguent le penseur, le philosophe.M. Delanoue a pensé qu'une œuvre de cetteimportance ne pouvait être interprétée fi-dèlement que dans le langage des dieux.C'était évidemment le seul moyen de ren-dre à la traduction française la souplesse,l'élégance et le style imagé de la prosodielaline.

La traduction d'Horace en vers (texte enregard), d'une conception hardie, initie leprofane, qui n'a jamais décliné rosa, auxbeautés, disons mieux, aux secrets d'unelangue belle entre toutes, de la langue deCicéron, d'Ovide et de Virgile ; elle met enparallèle, si on peut s'exprimer ainsi, lestrésors des poésies laline et française.

Toul serait à citer dans ce livré, qui estalire de la première à la dernière ligne ; il asa place toute désignée dans nos collec-tions classiques, dans nos bibliothèques.Qu'il soit entre les mains du professeur oude l'élève, du savant ou du jeune poète, oumême de la foulo, il constiluera une lectu-re saine, aiU'ayante, en,Li'§tenan.t l

uns le culte des plus nobles sentiments, elinculquant dans l'esprit des autres la notionexacte, et, mieux encore, l'amour de cesqualités solides, de ces principes généreuxqui caractérisent l'homme bon, juste, enfinl'homme de bien dans toute l'acception dumot.

L'éloge d'un lelle livre n'est qu'un hom-mage rendu à la vérité.

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On peut jalouser, sur un point du moinsM. CharlesDelanoue. Ancien magistral, elretiré des luttes judiciaires el irop souventpolitique, il s'est rappelé tout ce qu'Horacea dil sur les tcmp<Hes contemplées du riva-ge. Avec bonne grâce, il s'est consolé entraduisant Horace. La traduction en versdes Odes et Epodes qu'il nous offre estscrupuleuse infiniment respectueuses dutexle, est pourtant élégante. *

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