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Moniteur* d'Jssoir©

beaux bénéfices, car la production desucre est inférieure à la consommationet se fait d'une façon primitive.

En Banque, le marché reste indécis.

VARIÉTÉ

LA MÉDAILLE• " • • • • : , ' . ; • • . : , - ' ï . 7 ; • ! " • : ' • •

J'avais perdu de vue, depuis unrespectable laps de temps, un boncompagnon avec lequel j'avais au-trefois vécu des années de bohèmealternativement grise ou ensoleil-lées, le peintre d'histoire ÀlcibiadeLefauché, quand la rumeur publi-que se chargea de m'apprendre quele susdit Lefauché venait d'obtenir,au Salon des Artistes Français,une première médaille pour sontableau : Soir d'Automne; UneTruffière en Périgord.

Avec la joie sereine d'une âmeexempte d'envie, je fus littérale-ment heureux de ce résultat. Ça yétait I Alcibiade Lefauché mettait lecap sur la gloire et au comble del'allégresse, je frétais « illico » untaximètre à l'effet d'aller présenterau nouveau médaillé, le petit boni-ment aussi ému que laudatif, derigueur en la circonstance.

Sacré Lefauché ! Il perchait tou-jours dans son atelier de la rue desMartyrs, un vrai nid d'aigle auqueldonnait accès une échelle, auprèsde laquelle la légendaire échelle deJacob eut semblé un jouet d'enfantLa première effusion passée, nousconstatâmes sans amertume, maisavec une pointe de mélancolie, quedix années écoulées depuis notredernière entrevue, avaient tassé nosrâbles et rendu nos crânes aussichenus que le sommet du MontPilate.

Puis nous causâme du fameuxtableau médaillé au Salon et four-rageant sa barbe d'archonte, qu'àl'instar de beaucoup de gens ilportait poivre et sel, Lefauché medit :

Le temps de passer ma roupaneet je descends avec toi. Nous allonsarroser la médaille et faire un bonpetit gueuleton à l'ombre du Sacré-Cœur. Et, au dessert, je te conte-rai la genèse de ce chef-d'œuvre :Soir d'Automne ; une Truffière enPérigord.

II \Alcibiade venait de bourrer une

superbe pipe d'écume dont le four-neau artistement ouvragé repré-sentait une scène biblique : la« Chaste Suzanne entre les DeuxVieillards », et tout en lappant sonmoka à petites gorgées, il attaquaitl'histoire du Soir d'Automne ; uneTruffière en Périgord.

Il y a quatre ans j'envoyais auSalon de peinture une Bataille deMantinée qui, tu t'en souviens, fitun certain tapage. Pourtant ! pasde récompense ! Sans doute le mâleet altier profil de mon Epaminon-das avait déplu à ces Messieurs duJury. Sans me décourager, je rem-plaçai quelques casques par desmorions et des heaumes, je jetaisur les cuirasses quelques man-teaux agrémentés de vair et d'her-mine, piquai au-dessus de la mêléequelques pennons fleurdelisés etl'année suivante, la nef de mes es-poirs cinglait vers le Grand Palais,avec cet envoi sensationnel : LeSoir d'Azincourl.

Hélas ! les barbes austères del'aéropage pictural eurent vite faitde reconnaître dans le faciès duroi Henri V d'Angleterre,- le nezgrec et compromettant du vain-queur de Mantinée. Le Soir d'Azin-court reçut un accueil plutôt frais,et réintégra mes pénates en merapportant, en fait de récompense,ce que nous résumons pittores-quement avec l'expression classi-que : Peau de balle et balai de crin !

C'était la guigne ! Mais bah !j'avais de la bonne humeur et de laphilosophie... Je semai sur le Soird'Azincourt quelques flocons deneige, je complétai les heaumes etles morions avec les bonnets àpoils des grenadiers de la GrandeArmée, je dressai dans la perspec-tive, un cordon de sapins anémi-ques, et au beau milieu de toutcela je plantai un Murât flamboyant,terrible, suant le courage, la tuënë",et brandissant un cimeterre recour-

bé ruisselant de sang moscovite...Avec une exquise désinvolture, j'in-titulai cette formidable machine :Le Soir d'Eylau.

En route à nouveau pour le PontAlexandre... Cette fois encore, cefut un voyage inutile : Le Soird'Eylau ramassa une pelle magis-trale... Il n'eut même pas une vul-gaire mention et dut regagner sonport d'attache, mon petit atelieractuel où il est remisé maintenant,telle une vieille coque de naviredans un bassin de radoub !

IIIUne pause... Alcibiade rallumait

sa pipe, et continuait, la physio-nomie égayée par une sorte decontentement intérieur :

Des potins .d'atelier m'avaientappris que je devais mettre meséchecs successifs au Salon desArtistes Français, sur le comptedu Président du Jury de peinture,le gros Mahulot, lequel, en souve-nir des nombreuses farces perpé-trées par moi à son cours del'Ecole des Beaux-Arts, m'avaitvoué une haine caraïbe.

Je résolus de me venger, et aban-donnant cette fois le pinceau desbatailles pour un genre infinimentplus paisible, • j'attaquai ce Soird'Automne : une Truffière en Péri-gord auquel le jury vient d'accro-cher la première médaille de cetteannée.

Tu connais la toile ! Une clairièreparsemée de chênes et dans la-quelle un troupeau de cochons à larecherche de truffes, se livre *à defolles galipettes, sous la conduited'un porcher auquel mon pinceauperfide a donné les traits de Mahu-lot. Quand ils ont vu cela ils sesont fait une pinte de bon sang, lesjurés : il paraît qu'ils détestenttous cette rosse de Mahulot qu'ilsse tordaient comme des dieuxd'Homère à la pensée du bon tourqu'ils allaient jouer à leur Prési-dent ! Le plus drôle, c'est que Ma-hulot m'a envoyé ses plus chaudesfélicitations et que, seul dans Paris,il persiste à ne pas se reconnaîtredans Soi?- d'Automne: Une Truffièreen Périgord !

Auguste FAURE.

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Le 27 Mai 1907, Mme Bonjon, 13, rueChévrerie, Le Puy, nous disait : Je croisque ce sont de grandes fatigues qui m'ontoccasionné les inaux de reins dont je souf-frais depuis quatre ans. Tout effort m'étaitdouloureux, je ne pouvais même me bais-ser, j'avais des douleurs dans les articula-tions, principalement aux genoux. Je nedormais pas, souvent j'avais des vertiges,ma respiration était difïicile, j'avais pres-que perdu l'appétit. Les Pilules Poster mefirent le plus grand bien puisque aprèsquelques jours de traitement, j'éprouvaisun réel soulagement. Je n'avais plus demaux de tête, mes articulations avaient re-trouvé leur souplesse, et il ne m'a pas fallutrois semaines pour être débarrassée demes douleurs. »

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ARRÊTS FACULTATIFSDemander les billets quatre jours à

l'avance à la gare du départ.Des trains rapides et de luxe composés

de confortables voitures à bogies desser-vent pendant l'hiver les stations du littoral.

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N° 167 Acrost iche double

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En travers nous lironsDeux noms d'illustres Evêques

Qui firent de beaux sermonsCar ils n'étaient pas deux bègues.

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DEMANDE:en

SÉPARATIONde Biens

D'un exploit du ministère de M0

Vergnières, huissier à Issoire, en datedu quatorze novembre 1910, enregistréou qui le sera dans les délais légaux.

Il résulte : que Madame Marie-Amé-lie JURY, épouse de Monsieur PierreBOUDON, propriétaire-cultivateur, aveclequel elle demeure à Glgnat.

A formé contre ledit Pierre Boudon,son mari avec l'autorisation de Mon-sieur le Président du Tribunal civild'Issoire, sa demande en séparation debiens.

M0 Gabriel Martin, avoué près leTribunal civil d'Issoire, est constituépour la dame demanderesse.

Issoire, le quinze novembre 1910.,,

Pour extrait conforme,Signé : Gabriel MARTIN,

avoué.

PORTRAITS O'HIËBPublication Iti-measuolle (les 1 e r et 15 do clnqua nuis)

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pour l'ÉCLAIRAGE au GAZde la Ville d'Issoire

Capital : 85,000 Francs

, SIÈGE SOCIAL :

106-108, Rue de Lourmel, PARIS .

Messieurs les Actionnaires de laSociété Anonyme pour l'Eclairage auGaz de la Villo d'Issoire sont convo-qués en Assemblée Générale ordinairele lundi 19 Décembre 1910, à 4 heuresde relevée au Siège social.

ORDRE DU JOUR:Rapport du Conseil d'Administration

sur l'exercice 1909-1910 ;Rapport du Commissaire des Comp-

tes ;Approbation des Comptes de l'Exer-

cice 1909 1910 ;Nomination du Commissaire des

Comptes pour l'Exercice 1910 1911 ;Tirage annuel de trois obligations à

amortir. _ ̂ s

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