indicateurs de mesure et rôle des services
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Environnement de travail durable : indicateurs de mesure et rôle des services
8 DECEMBRE 2016
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CLUB DD
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HAWORTH
de nous recevoir
Bienvenue aux
nouveaux adhérents !
et soutenez nos collègues
en recherche de poste ou de mission !
INTRODUCTION
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CLUB DD
PRESENTATION
Créé en 2010, le Club développement durable de l’ARSEG vise à informer, sensibiliser et former les
adhérents de l’ARSEG aux enjeux environnementaux et sociétaux qui impactent les
métiers de l’environnement de travail.
2016
• Aménagement durable dans le bâtiment
• Nutrition : améliorer la santé des salariés
De 2011 à 2015
• Publication du Guide prévention santé
• La gestion des déchets en entreprise
• DET, acteur de la Qualité de Vie au Travail
• Les achats responsables
• Immobilier durable et économies (livre blanc)
• La performance énergétique dans les bâtiments
• Le bail vert
• Le grenelle de l’environnement
• La RT 2012, le protocole IPMVP, les outils de
maîtrise de l’énergie, etc.
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CLUB DD
INTRODUCTION
Après nous être intéressés au bâtiment durable, nous souhaitions en savoir plus sur les
nouveaux (et nombreux !) baromètres et référentiels qui s’intéressent aux espaces de
travail : référentiel « WELL », baromètre « Great Place to Work », classement « Happy
at Work »…
Qu’évaluent-ils exactement ? A quels niveaux les DET sont-ils concernés ? Quelles
bonnes pratiques peut-on en tirer ?
Puis nous nous intéresserons au rôle des services au sein des environnements de
travail durables à travers plusieurs témoignages et partages d’expériences : innovation
et tendances dans les offres de services, recours au secteur protégé et nous
aborderons un besoin en développement au sein des entreprises : le « community
management » et la création de lien social.
Un futur axe de développement pour les DET ?
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CLUB DD
INTERVENANTS
Smaël BOUAKAZ Directeur de Projets, SINTEO
Fabien BOUTARD Co-Dirigeant fondateur, ENEIXIA
Cyril DUGUE Directeur Général, Associé fondateur, CONVERGENCE
Alain FROUARD Directeur Général, ESAT Berthier
Manuel MARTINS Directeur Environnement de Travail, Danone France
Référentiels Et classements
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CLUB DD DESIGN BIOPHILIQUE
Design biophilique : étude Human Spaces
Ouvrage collectif : The Global Impact of Biophilic Design in the Workplace
Retours de l’enquête réalisée en
2014 auprès des salariés du premier
bâtiment certifié WELL
CLUB DD REFERENTIEL WELL
International Well Building Institute
1er référentiel sur bien-être dans le bâtiment 8
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La certification WELL BUILDING : pourquoi ?
Les paramètres des bâtiments influent sur les occupants :
Leur bien être
Leur santé
Leur productivité
Objectif du WELL = Remettre le bien être et le confort des occupants au cœur des projets immobiliers
Luminosité
Acoustique
Odeur/Qualité de l’air
Biophilie
Aménagements intérieurs
Confort thermique et hygrométrique
Design et ambiance
Services et accessibilité
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CLUB DD Intervention SINTEO
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La certification WELL BUILDING : pourquoi ?
Coût de l’absentéisme en
France en 2013: 8,83 milliards d’euros
Source: Alma Consulting group
Coût du présentéisme en France en 2012:
entre 13,7 et 24,95 milliards d’euros
Source: Midori Consulting
Coût de fonctionnement moyen d’un immeuble de bureau
Problèmes croissants et impacts financiers
• Absentéisme
• Présentéisme
• Turnover
• Baisse de productivité
• Coûts médicaux
• Plaintes
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La certification WELL BUILDING : pourquoi ?
Les impacts de la santé et du bien être sur la productivité :
Températures intérieures trop chaudes ou froides
Réduction de la productivité de 4 à 6%
Nuisances acoustiques
Réduction de la performance de 66%
Intégration de réseaux sociaux
Amélioration de la cohésion d’équipe de 18%, réduction du stress de 6%, réduction du turnover de 30%
Vues sur l’extérieur et biophile
Efficacité augmentée de 10% en moyenne
Concentration sur tâche principale améliorée de 15%
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La certification WELL BUILDING : pourquoi ?
Dans les certifications environnementales existantes seule une partie des exigences, non prépondérantes, traitent du confort et du bien être des occupants
Le WELL Building Standard a été fondé par Delos et sa gestion a été confiée à l’International WELL Building Institute (IWBI).
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La certification WELL BUILDING : l’approche
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La certification WELL BUILDING : l’approche
Le référentiel a été créé par un groupe de travail rassemblant des experts du bâtiment et du monde médical, il associe meilleures pratiques en matière de conception des bâtiments aux résultats d'études les plus récents dans le domaine de la santé.
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La certification WELL BUILDING : l’approche
7 thématiques
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 1: L’air
Les enjeux traités sont la limitation des teneurs en particules, le relargage
des matériaux, les moisissures et autres sources de contamination, une
mauvaise ventilation. Cette cible s’appuie sur des exigences reprises du
LEED V4 ou du LEED EB O&M.
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 1 - L’air : LES PRE-REQUIS
o Valeurs limites en CO, particules volatiles et en radon à respecter ;
o Interdiction de fumer ;
o Efficacité de la ventilation:
Débit de renouvellement d'air respectant les exigences de la
norme ASHRAE : 30% supérieur à la réglementation ;
Maintenance régulière des équipements de ventilation ;
Mettre en place des sondes CO2 dans les espaces de forte
densité, afin d'assurer un renouvellement d'air optimal ;
o Respect d’une teneur limite en COV sur les produits de second œuvre ;
o Filtration de l’air (F7 à minima) ;
o Contrôle microbien et des moisissures sur les systèmes de ventilation ;
o Mise en place d’un plan de gestion de la qualité de l'air intérieur
(pendant les phases de travaux) ;
o Mise en place d’une politique d’entretien écoresponsable détaillée ;
o Réalisation des diagnostics réglementaires pour les matériaux
dangereux (plomb, l'amiante et le PCB).
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 2: L’eau
Les enjeux traités sont la qualité de l’eau (contenu en contaminants) et
l’accessibilité à de l’eau potable dans le bâtiment.
Sont valorisés les systèmes de filtration et de traitement de l’eau
permettant l’élimination des contaminants et la mise à disposition d’eau
potable sur le site.
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 2 - L’eau : LES PRE- REQUIS
Fourniture d’une eau de qualité :
Potabilité: valeurs limites de turbidité et de contenu en coliformes
dans l’eau à respecter ;
Respect de valeurs limites en contaminants inorganiques (plomb,
nickel, arsenic, mercure,…) ;
Respect de valeurs limites en contaminants organiques (styrène,
benzène, éthylbenzène,…) ;
Respect de valeurs limites en contaminants agricoles (herbicides,
pesticides et fertiliseurs) ;
Respect de valeurs limites en désinfectant et en fluorides.
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 3: La nourriture
Les enjeux traités : les mauvaises attitudes alimentaires, le manque d’accès
à de la nourriture saine, les restrictions individuelles, les problématiques
de préparation et stockage de la nourriture.
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 3 - La nourriture : LES PRE-REQUIS
o Fruits et Légumes : Proposer des menus contenant des fruits et les légumes ;
o Aliments transformés : Limiter les aliments transformés dans l'offre de restauration,
et respecter une teneur en sucre limite pour les produits transformés ;
o Allergies alimentaires : Indication du contenu en aliment allergène (arachide,
poisson, fruit de mer, soja, lactose, œuf, blé, noix, gluten) sur tout produit vendu sur
le site ;
o Hygiène des mains : Mettre à disposition, dans les espaces adéquates, les moyens
nécessaires à une bonne hygiène des mains (évier, distributeur de savon liquide et
papier jetable) ;
o Contamination des aliments : Si de la viande crue est stockée sur le site, un espace
de stockage spécifique doit être conçu et doit disposer d'un affichage de la
température en continu ;
o Additifs alimentaires : Indication du contenu en additifs alimentaires (colorants,
arômes artificiels,…) sur tout produit vendu sur le site ;
o Informations nutritionnelles : Indication du contenu nutritionnel sur tout produit
vendu sur site ;
o Publicité : Ne pas faire de publicité pour des aliments non sain (contenu riche en
sucres ou en matières grasses).
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 4 : La lumière L’objectif est de minimiser la perturbation du cycle circadien pour améliorer l’énergie, l’humeur et la productivité des occupants.
Les exigences portent sur : la limitation de l’éblouissement, le niveau d’éclairement et la qualité de l’éclairage artificiel, l’accès à la lumière naturelle.
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 4 - La lumière : LES PRE-REQUIS
o Confort visuel : Respecter des valeurs minimales d'éclairement dans les
espaces de travail ;
o Impact de l'éclairage sur le rythme circadien : Respecter un niveau
d'éclairement minimal dans les espaces de travail de manière à avoir
des effets bénéfiques sur l‘homme et sur son rythme circadien ;
o Gestion de la lumière artificielle : Disposer de moyens permettant de
contrôler l'éblouissement dû à la lumière artificielle dans les espaces de
travail ;
o Gestion de la lumière naturelle : Disposer de moyens permettant de
contrôler l'éblouissement dû à la lumière naturelle dans les espaces de
travail.
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Thème 5 : Le fitness Ce thème valorise les bâtiments disposant d’une conception ou de moyens incitant à l’activité physique: accessibilité des escaliers, facilité d’accès au bâtiment à pied, mise à disposition d’équipements sportifs,…
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 5 - Le fitness : LE PRE-REQUIS
o Accessibilité des escaliers aux occupants ;
o Mise en avant des escaliers pour promouvoir leur utilisation ;
o Programme d'incitation à la pratique d'une activité physique : Mettre à disposition des employés du site un programme, comprenant une incitation financière (suivant un seuil donné), visant à favoriser la pratique d'une activité physique.
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 6: Le confort
Ce thème vise à créer des espaces intérieurs favorisant la productivité:
confort acoustique, confort thermique, confort olfactif, ergonomie du
mobilier, accessibilité des espaces.
Les enjeux traités: espaces bruyants impropres au travail, surchauffés ou
sous-chauffés, le mobilier non réglable, la difficulté de mouvement.
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Thème 6 - Le confort : LES PRE-REQUIS
o Respect de la réglementation Accessibilité PMR ;
o Ergonomie du mobilier : Au moins 30% des postes de travail doivent
permettre d’alterner entre une position de travail assise et debout,
suivant l’une des dispositions suivantes :
o Confort acoustique interne :
Analyser les différentes configurations acoustiques ;
Vérifier un niveau de bruit maximum dans les espaces sensibles:
open space, bureaux cloisonnés, salles de réunion, salle de
téléconférence.
o Confort thermique : Fournir un environnement thermique confortable
qui favorise la productivité et le bien-être des occupants du bâtiment :
Respecter les paramètres de confort exigés par la norme ASHRAE
55-2010 ;
Permettre à 50% des occupants de contrôler individuellement la
température de leur espace de travail.
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 7 : L'esprit
Favorise la santé mentale et émotionnelle en accentuant la communication envers les occupants, par la mise à disposition d’espaces de relaxation, par le design des espaces et du mobilier, et par l’introduction de l’art et d’éléments de la nature dans les bâtiments (biophilie).
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La certification WELL BUILDING : quelles pratiques ?
Thème 7 - L'esprit : LES PRE-REQUIS
o Communication sur la démarche de bien-être déployée sur le site ;
o Intégration des objectifs de bien être dans la conception du projet d’aménagement des espaces ;
o Enquête de satisfaction, avec recueil de l’avis d’au moins 30% des occupants, devant porter à
minima sur les thèmes suivants : acoustique, confort thermique, mobilier, niveau et qualité de la
lumière dans les espaces de travail, confort olfactif, propreté et maintenance, agencement.
o Aménagement intérieur : Prendre des dispositions lors de l'aménagement intérieur permettant
d'impacter positivement sur l'humeur et le bien-être des occupants :
Respecter des valeurs minimales de volume des espaces ;
Développer un plan d'aménagement intégrant des œuvres d'art pour les halls d'entrée et
espaces régulièrement occupés d'une surface supérieure à 28 m² ;
Développer un plan d'aménagement permettant de distinguer les espaces selon leur usage
(couleurs, formes, lampes, etc.) pour les projets dont la surface est supérieure à 929 m².
o Biophilie: Prendre des dispositions permettant de faciliter l'interaction entre l'Homme et la nature
par l'intégration d'éléments de la nature dans le projet.
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La certification WELL BUILDING : projets et retours d’expériences
Tous droits réservés
Tour DUO, Ivanhoé Cambridge
Paris 13e
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La certification WELL BUILDING : projets et retours d’expériences
Résultats de l’enquête de satisfaction réalisée auprès des salariés de CBRE après leur installation dans le bâtiment du siège situé à Los Angeles et certifié Well Building Standard :
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Les entreprises classées au palmarès Great Place to Work ont un rendement
annualisé de 10,32% en moyenne contre 3,71% pour le S&P500.
Source : Russell Investment Group rendement calculé sur la période 1997-2011
CLUB DD CLASSEMENT « GREAT PLACE TO WORK »
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CLUB DD CLASSEMENT « HAPPY AT WORK »
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http://happy-at-work.org/questionnaire/HE/default
Classement « Happy at Work » par les salariés
By meilleures-entreprises.com
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La relation RH / ET : Exemple : Danone
La relation RH / ET : Exemple : Danone
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La relation RH / ET : Exemple : Danone
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PAUSE
ET Durable RÔLE DES SERVICES
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CLUB DD
Simplicité, usage, partage… Les plateformes digitales alliées aux smartphones sont
en train d’investir le monde des services aux entreprises.
Fonctionnalité, RSE, économie circulaire… Les engagements des entreprises
prennent des chemins nouveaux, plus vertueux.
Animation des sites, création de lien social, « happiness management »… Les lieux
de travail peuvent-ils mener au bonheur ?
ET Durable : quel rôle pour les services ?
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CLUB DD
WEB, IoT ET SERVICIALISATION
50 à 80 milliards
Nombre d’objets connectés estimé en 2020. Cabinet Oliver Wyman 2015
2016
Création du Wellness Lab et édition du 1er Carnet d’Inspiration by Convergence
simplicité
IoT
usage
disruption
partage
ubérisation
8 Décembre 2016
CONVERGENCE, UNE
NOUVELLE APPROCHE DES
SERVICES …
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Carnet d’inspiration …
Les 6 inspirations pour demain …
Tendance inspirante 1 : « Moins j’en fais, plus j’en fais »
Tendance inspirante 2 : « Nature inspirante »
Tendance inspirante 3 : « Cultiver l’appartenance »
Tendance inspirante 4 : « Effet Waouw »
Tendance inspirante 5 : « Comme à la maison »
Tendance inspirante 6 : « So chic, so zen »
Tendance inspirante 7 : « C’est déjà demain »
Tendance inspirante 1 : « Moins j’en fais, plus j’en fais »
Tendance inspirante 2 : « Nature inspirante »
Tendance inspirante 2 : « Nature inspirante »
Tendance inspirante 2 : « Nature inspirante »
Tendance inspirante 2 : « Nature inspirante »
Tendance inspirante 3 : « Cultiver l’appartenance »
Tendance inspirante 4 : « Effet Waouw »
Tendance inspirante 4 : « Effet Waouw »
Tendance inspirante 5 : « Comme à la maison »
Tendance inspirante 5 : « Comme à la maison »
Tendance inspirante 6 : « So chic, so zen »
Tendance inspirante 6 : « So chic, so zen »
Tendance inspirante 7 : « C’est déjà demain »
Cyril DUGUE, Directeur Général Associé
Mob.: (06) 60 93 82 99 / Email : cyril.dugue@convergence-ing.com
CONVERGENCE Ingénierie-Conseil
34, avenue Raspail 94100 SAINT MAUR DES FOSSES
01 55 12 38 50
Notre métier,
éclairer le votre
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CLUB DD
TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET INTÉGRATION
8 août
JOUR DU DEPASSEMENT EN 2016
LaaS
« Light as a Service » : nouvelles offres basées sur l’usage et le cycle de vie
Fonctionnalité
Prévention
RSE
Diversité
Economie
circulaire
Biophilie
Les 7 principes de l’économie circulaire
Source Ademe
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LA REGLEMENTATION
Avec la loi de transition énergétique pour la croissance verte promulguée
le 17 août 2015, l’économie circulaire franchit une étape importante.
En effet, la loi consacre son titre IV à la lutte contre les gaspillages et la
promotion de l’économie circulaire.
Elle prévoit notamment :
• La réduction de moitié des quantités de déchets mis en
décharge.
• L’objectif de recycler 60% des déchets en 2025.
• L’amélioration de la conception des produits pour réduire leur
impact environnemental et augmenter leur durée de vie.
• La mise en place d’une stratégie nationale de transition vers
une économie circulaire.
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L’économie de la fonctionnalité
Substituer la vente d’un bien à une solution
de mise à disposition : de la possession à
l’usage .
Exemple : PHILIPS LIGHTING / COFELY ou
LaaS (Light as a Service) => lien
• Sur un schéma d’économie circulaire, l’aéroport
de Schiphol finance l’accès à la lumière et non
l’installation d’éclairage.
• Philips reste propriétaire des armatures et des
installations et avec Cofely sont responsables
des performances et de la durée de vie de
l’installation.
• L'emploi de matériaux réutilisables et d'un
éclairage LED éco-énergétique permet de réduire
la consommation électrique de 50%, tout en
améliorant le confort des passagers.
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Les luminaires spécialement conçus pour l’aéroport
Amsterdam Schiphol se distinguent par une durée
de vie 75% plus importante que l’installation
existante.
En outre, les composants de ces luminaires
peuvent être remplacés facilement. Les frais
d’entretien s'en voient donc diminués, réduisant
ainsi les coûts d’exploitation et de recyclage.
Philips reste propriétaire de l'équipement et
Schiphol Group paie son utilisation pendant la
durée du contrat. Au terme de ce contrat, les
luminaires seront réutilisés sur un autre projet après
avoir été reconditionnés, ce qui permet une
réduction maximale de l'utilisation de matières
premières.
L’ESAT Berthier : Établissement et Service d’Aide par le travail
L’ESAT en quelques lignes :
• établissement médico-social spécialisé dans le travail protégé,
• 151 adultes accueillis, âgés de 18 à 60 ans,
• une équipe de 28 professionnels d’encadrement,
• des ateliers de production,
• un restaurant d’application, un restaurant traditionnel, des cafétérias
et brasseries.
Objectifs :
• apporter autonomie et épanouissement par le travail,
• contribuer à l’insertion sociale et professionnelle.
Missions :
• accompagnement médico-social individualisé,
• évaluation des capacités et mise en adéquation entre le handicap et le
poste de travail.
Une formation professionnelle est assurée aux travailleurs de l’ESAT.
Détachements en extérieur pour les personnes qui le désirent : création
d’ateliers intégrés en entreprise.
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CLUB DD
TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET INTÉGRATION
• Depuis juillet 2015, une équipe
permanente de travailleurs
handicapés assure la
restauration et le service en salle
des salons de la présidence chez
ERDF.
• Une initiative exemplaire
récompensée par le trophée
Arseg du partenariat innovant en
décembre 2015.
• Aujourd’hui, près de 1600
personnes ont pu apprécier la
qualité du service et des mets
proposés dans l’un des 3 salons
de la présidence ou lors de
cocktails déjeunatoires pouvant
accueillir près de 60 convives.
Le partenariat entre ERDF et l’ESAT Berthier a également
été l’occasion d’organiser un concours de desserts destiné à
sensibiliser les salariés au handicap.
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ETRE BIEN AU TRAVAIL : UNE UTOPIE ?
2ème
Rang de la qualité de vie au travail parmi les facteurs de bien-être, derrière l’intérêt du travail et devant le niveau de rémunération. Baromètre Actineo 2013
chiffre
ETUDE HARVARD
Animations
Lien social
Community
management
Sérendipité
Happiness
management
QVT
Les sources du bonheur au travail
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Les sources de bonheur au travail : liberté-autonomie (46%), passion-autonomie (45%), conditions de
travail (40%), relation avec les collègues (39%). IFOP pour Pélerin 2016
Les sources du bonheur au travail
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Les sources de bonheur au travail : liberté-autonomie (46%), passion-autonomie (45%), conditions de
travail (40%), relation avec les collègues (39%). IFOP pour Pélerin 2016
Les sources du bonheur
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Etude Harvard : 724 hommes suivis pendant 75 ans
1. S'entourer
"Expérimenter la solitude est toxique", selon Robert Waldinger. Les personnes les plus heureuses sont celles qui sont le plus en
contact avec « leur famille, leurs amis et la communauté ». D'après l'étude, la santé des personnes les plus isolées déclinerait plus
rapidement dès le milieu de leur vie, tout comme leurs capacités cognitives. Résultat : elles mourraient plus vite.
2. Privilégier la qualité à la quantité
Ce n'est pas tant le nombre de vos proches qui compte, mais plus le genre de relation que vous entretenez avec eux. Ainsi, les
personnes malheureuses dans leur mariage ou leur couple, en manque d'affection et exposées à un "milieu conflictuel"
souffriraient davantage des douleurs physiques inhérentes au vieillissement.
3. Bâtir des relations durables
Pour se prémunir de la démence, le mieux est d'entretenir de longues relations, qui perdurent dans le temps. D'après
l'étude, les personnes qui se sont mariées et n'ont pas divorcé, qui ne se sont pas séparées ou n'ont pas eu "de sérieux
problèmes" avant 50 ans dans leurs relations auraient des meilleurs résultats lors d'examens de mémoire.
Les sources du bonheur : quelles actions ?
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Retrouvez votre animateur Lionel Cottin sur
Contact : lcottin-ext@arseg.asso.fr ou lionel@lionelcottin.com
80
EVENEMENTS
MERCI !
Siège / Île-de-France
Didier Davillars
97, rue Anatole France
92300 Levallois-Perret
01 47 48 93 39
ddavillars@arseg.asso.fr
Délégation Nord / Ouest
Valérie Ballet
284 bis, rue Jean Jaurès
59170 Croix
03 20 57 16 40
vballet@arseg.asso.fr
Délégation Rhône Alpes
Solange Rey
38, rue de l’Université
69007 Lyon
04 72 73 35 30
srey@arseg.asso.fr
Délégation Méditerranée
Solange Rey
38, rue de l’Université
69007 Lyon
04 72 73 35 30
srey@arseg.asso.fr
Délégation Est
Françoise Simon
32, rue Hollandaise
67470 Selt
09 51 81 42 17
fsimon@arseg.asso.fr
Délégation Sud-Ouest
Françoise Simon
32, rue Hollandaise
67470 Selt
09 51 81 42 17
fsimon@arseg.asso.fr
CONTACT
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