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Dr Anne Céline Ballet, EPSMR Dr Karine Gambarotto, Clinique Ste Clot.

Dr Cécile Mourlan, ARLIN Réunion Mayotte Laetitia lyannaz, CHR Félix Guyon

Catherine Payet, ARLIN Réunion Mayotte Dr Cora-Rebatet Régine, Clinique JA-O

1. 5 %

2. 10%

3. 15%

4. >20 %

1. Est toujours une infection nosocomiale

2. Peut être contracté au domicile du patient

3. Implique toujours l’intervention d’un

personnel soignant

1. De l’air

2. De l’eau

3. Des surfaces

4. Des personnes

1. Résistent à plusieurs classes d’antibiotiques

2. N’existent que dans les établissements de soin

3. sont plus virulentes (ou pathogène) pour l’homme

1. Le lavage des mains au savon doux

2. Le lavage des mains au savon antiseptique

3. Ne sait pas

1. Oui

2. Non

3. Ne sait pas

1. Seulement avant

2. Seulement après

3. Avant et après

1. Pose d’un cathéter périphérique

2. Injection IM

3. Prélèvement veineux

4. Pose d’une péridurale

5. Hémoculture

1. Biseptine

2. Bétadine alcoolique à 5%

3. Bétadine dermique à 10%

4. Dakin

5. Chlorhexidine alcoolique à 0,5%

1. Oui

2. Non

1. Compresses souillées

2. Emballage seringue

3. Sonde urinaire

4. Couches BB

1. Doivent être toujours placé sur l’étage inférieur du chariot de soin

2. Dispose de 2 systèmes de fermeture : provisoire et définitive

3. Sont éliminés s’ils sont remplis au 2/3

1. Les projections sont les AES les plus déclarés

2. Le risque de transmission de l’hepatite B est 100 fois plus

élevé que celui du VIH lors d’un AES

3. Les aiguilles les plus fines sont les plus à risque car elles

pénètrent plus profondément

4. Le port des gants réduit le risque de contamination lors

d’un AES par piqûre

1. Hygiène des mains

2. Port de gants

3. Port d’une surblouse

4. Port de surchaussures