book photo du photographe serge bouvet

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Pour découvrir mon travail, je vous propose de feuilleter ce book photo en quatre chapitres : La mode, la beauté, le reportage et divers. Oui, je sais, les directions sont un peu tous azimuts mais j’adore les grands écarts. Je refuse délibérément de m’enfermer dans une histoire qui n’aurait qu’un seul chapitre. Ce n’est pas le propos d’un réactionnaire mais celui d’un passionné animé par la curiosité panoramique de l’aventure humaine.

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BOOKPHOTO

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I comme Interview...p04Mode.......................p10Beauté......................p46 Reportage.................p66 Divers.......................p88

A comme Grand Angle

Pour découvrir mon travail, je vous propose de feuilleter ce book photo en quatre chapitres : La mode, la beauté, le reportage et divers. Oui, je sais, les directions sont un peu tous azimuts mais j’adore les grands écarts. Je refuse délibérément de m’enfermer dans une histoire qui n’aurait qu’un seul chapitre. Ce n’est pas le propos d’un réactionnaire mais celui d’un passionné animé par la curiosité panoramique de l’aventure humaine.

A3

I comme Icare. I comme InterviewI

Pour me présenter, une interview. J’ai contacté mon alter ego pour réaliser cette

interview. Le gars à droite sur la photo ou à gauche... Je ne sais plus...

Autoportrait photo : Serge Bouvet

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Moi : Le titre I comme Icare, c’est pour mettre le point sur les i ? Serge : C’est le but de cette interview non ? [Rires] Moi : Mais pourquoi Icare ?Serge : Tu connais le mythe de la chute d’Icare, n’est-ce pas ? Icare fuit le labyrinthe avec son père en s’envolant après avoir fabriqué des ailes fixées avec de la cire. Le mythe a condamné à mort Icare parce qu’il s’est montré trop orgueilleux en voulant trop s’approcher du soleil. Ce que je veux dire... [Silence] Ce que je veux dire, c’est que notre civilisation a créé une culture tendant à nous rappeler qu’il est dangereux de vouloir toucher le ciel du doigt... De tenter l’aventure. Si j’avais la plume d’Ovide, je changerais la fin : Icare ne chuterait pas en tombant dans l’eau : il changerait le cours de l’histoire en révolutionnant l’aéronautique. Et tout le monde saluerait son courage et sa soif d’aventure. Moi : Ah nous y voilà ! Le courage et l’aventure ! C’est ce qui balise ta démarche photographique ?Serge: [Rire] Le courage de faire ce que j’aime, ça c’est sûr. L’aventure liée au plaisir de la rencontre, assurément. Moi : À l’origine, tu étais consultant dans un cabinet de conseil. Qu’est-ce qui a motivé cette reconversion professionnelle dans la photographie?Serge: C’est une histoire qui a peut-être commencé en 2005. J’ai commencé à faire de la photo en père de famille, scrupuleux de fixer quelques portraits de ma fille bébé dans l’album de famille en 2005. À cette époque, la photo n’était pas une passion. Je vivais à Tokyo et je ne photographiais rien. En quittant la ville en 2008, j’ai acheté un réflex, un Canon 40D, pour photographier les rues de mon quartier, en souvenir. Mais là encore, mon cœur ne battait pas la chamade pour ces clichés. De retour en France, en 2008, j’ai commencé à faire de la photo politique en suivant les activités du think-tank Terra Nova. Moi : Et c’est à ce moment-là que tu as eu le déclic pour la photo ?Serge: Curieusement, pas encore. J’étais plus subjugué par mes rencontres que par les photos. Les choses ont évolué très rapidement. C’est pendant les meetings de Terra Nova, que le directeur de cabinet de Didier Migaud, alors président à la commission des finances, me contacta pour réaliser quelques photos reportages à l’Assemblée nationale en novembre 2009. Pour moi, c’était le premier vrai

Michel Rocard lors d’une réunion du think tank Terra Nova en 2011t.

Photo: Serge Bouvet

François hollande & Cyrille Eldin, 2012 Photo: Serge Bouvet

Arrestation d’Olivier Besancenot en décembre 2009. Première publication au Figaro en 2009.

Photo: Serge Bouvet

Photo: Serge Bouvet

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plongeon dans le monde de la photo politique. Moi : Une anecdote sur ton expérience de photographe politique ?Serge: En décembre 2009, alors que je photographiais Didier Migaud dans la salle des Quatre Colonnes, une clameur à l’extérieur a attiré mon attention. Je suis sorti pour savoir ce qui se passait. J’ai aperçu des CRS qui essayaient d’attraper un type encapuchonné qui escaladait une statue de l’assemblée nationale. C’était Olivier Besancenot. J’ai tout de suite shooté la scène. La photo fut publiée par le Figaro. Moi : Et à présent tu ne fais plus de photos politiques?Serge: Je n’en fais plus depuis l’élection de François Hollande en 2012. J’avais envie de photographier autre chose. J’avais acheté un livre annonciateur d’un renouveau de la street photography en 2010, Street photography now de Sophie Howarth. La claque ! Je découvrais de grands monstres de la photographie de rue. J’ai commencé à faire de la street photography ou plutôt… Non… Du portrait de rue dans le quartier afro de Paris ou de Brick Lane à Londres. J’arrêtais les gens dans la rue pour leur tirer le portrait. À ce moment-là, mon intérêt pour la photo s’est accentué sérieusement. J’ai commencé à visiter des galeries, à compulser des livres sur le sujets. Moi : Quels photographes affectionnes-tu dans ce domaine ?Serge: Dans le domaine de la street photography ? Liu Zheng, Nick Turpin, Alex Webb, Harry Gruyaert, . Ce sont de vrais magiciens de la composition ! Moi : Donc, première étape, tu commences brut de décoffrage dans la photo politique, puis tu redescends sur terre avec la photographie de rue et après ?Serge: La transition s’effectue au fil de mes rencontres. En 2010, alors que je photographiais dans la rue, j’avise un gars avec un regard à souder du métal et une belle barbe caucasienne. J’ai cru que c’était un SDF. Je lui tire le portrait. On se recroise en 2011. Je le reconnais et lui explique que sa photo a connu beaucoup de succès. Il me propose de le suivre alors à une soirée privée organisée à la rue de Rivoli. Je tombe un peu des nues… La personne que j’avais photographiée… Ce n’était pas un SDF mais le designer Mathias Kiss. Bref, à la soirée, grâce à lui, je fais de belles

Jeune couple du quartier de Brick Lane, Londres 2010. Photo: Serge Bouvet

Portrait d’une résidente de Brick Lane, Londres 2010. Photo: Serge Bouvet

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L’artiste designer Mathias Kiss, 2010. Photo: Serge Bouvet

rencontres prometteuses professionnellement. Il y avait de nombreux artistes, de designers, de journalistes... Au bout de quelques verres, j’obtiens des contrats de photographie. Moi : C’était dans quel domaine ?L’art de la table, la décoration et le portrait corporate. A l’époque, je ne suis pas vraiment un spécialiste. Je prends ce que l’on me donne et j’essaie de donner le meilleur de moi-même. Et puis avant de se spécialiser dans un domaine, on goutte un peu à toutes les sauces. Moi : À observer ton travail actuel, il semble que le portrait soit vraiment ton dada. Pourquoi ?J’aime les histoires. Je pense qu’un regard raconte plus de chose qu’un bout de caillou. On peut raconter des histoires avec un portrait... Il y a tout un monde de possible avec le portrait ! Et puis, le regard... Quelle puissance ! Comme je l’ai évoqué tout à l’heure, je prends mon pied à rencontrer du monde. Pour moi, le portrait photo, c’est aussi une belle histoire de rencontre entre le sujet et le photographe.

Moi : Estimes-tu être novateur ou penses-tu être toujours influencé par les maîtres du passé ? Novateur ? Ce n’est pas moi qui pourrais l’affirmer. Pour ce qui est des influences, j’en suis imbibé et le serai toujours. Le génie n’existe pas écrivait Umberto Eco, il s’arc-boute toujours sur un référent. Pour ce qui est des influences du passé, je citerai un peintre que j’ai découvert quand j’étais étudiant en Arts Plastique : William-Adolphe Bouguereau. Observez les tableaux de ce peintre. C’est troublant. Les portraits vous regardent droit dans les yeux et peut-être même qu’ils lisent dans votre âme. En photographie, je citerai ceux qui figurent dans ma bibliothèque, Tim Walker, le couple Mauro Mongiello et Sofia Sanchez, Raghu Rai, Paolo Roversi, Mary Ellen Mark, Nick Turpin, et j’en passe de meilleurs !

Moi : Et depuis 2012, estimes-tu que tu as évolué ?Serge: De 2012 à 2016, quatre ans ont coulé sous les ponts. J’ai certainement progressé et je continuerai de progresser : j’en apprends tous les jours. Il y a bien entendu des choses à améliorer : la composition et la prise de vues en studio et la mise en scène. C’est quelque chose que j’étudie avec attention puisque la photo de mode me passionne.

Ce portrait qui nous regarde... Peintre : William-Adolphe Bouguereau

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Moi : Tiens... La mode... Comment as-tu débuté dans ce domaine très fermé ? Serge: Par facebook. J’avais contacté Rahul Mishra, le designer indien. Comme je fais souvent des reportages en Inde, je lui ai montré ce que je faisais et je lui ai parlé de mon souhait de vouloir faire des photos avec lui. A ma grande surprise, il a accepté. J’ai pu constituer un modeste book sur la mode et approcher de grands designers comme Manish Arora pour ne citer que le plus coloré.

Moi : Comment cultives-tu ton regard pour la mode ? Serge: Je n’ai pas de secret ! Je lis Vogue, Numéro, Mixt(E), AnOther, Dazed, Encens, V, etc. Je découpe les photos, les archive, les punaise sur mon mur pour réaliser mes mood board. Je dessine aussi un peu. J’essaie de me constituer une grammaire de la pose. C’est une phase de la création que j’adore. Je suis, dois-je le préciser, encore un grand débutant dans ce domaine... J’avance avec beaucoup d’humilité.

Moi : Quel photographes de mode te fait triper ? Serge: J’en citerai deux : le couple Mauro Mongielo et Sofia Sanchez et Tim Walker. Incontestablement, je les adore !

Moi : Avec quel appareil travailles-tu ? Avec le Canon 1DS Mark IV.

Moi : Pour finir sur une note plus légère, quel accessoire non photographique t’est indispensable. Serge: Un livre ou des magazines. Je ne supporte pas les transports en commun, surtout l’avion. Si je n’ai rien à lire, c’est l’ennui infernal.

Portrait du designer Rahul Mishra. Photo: Serge Bouvet

Portraits du Top Model Jada Joyce Photo: Serge Bouvet

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Photo Serge Bouvet Designer Yôji YamamotoModel: Irene Kim

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MODE

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M comme mode.

Je débute la photo de mode en

amateur en 2015. J’évolue sincèrement

en terrain vierge... À tâtons. Je me

raccroche à ce que je sais mieux faire: le

portrait. Je suis un portraitiste. J’aborde

donc la photographie de mode comme

un portraitiste. J’aime la dimension

narrative du portrait, sa puissance qui

réalise ou irréalise le sujet.

Je remercie les designers Anne-Sophie

Madsen, Manish Arora, Esther Louise

Dorhout Mees, Alex Mabille, Jean-

Paul Lespagnard, Yang Li, Guillaume

Michel et Rahul Mishra de m’avoir

permis de débuter dans la photographie

de mode.MODE

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AA comme Aurore. A comme Manish Arora

Photo Serge Bouvet Designer Manish Arora

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Photo Serge Bouvet Designer Manish Arora

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Photo Serge Bouvet Designer Manish AroraModel Novaé Lita

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Photo Serge Bouvet Designer Manish Arora

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AM comme Mystère. M comme Dorhout Mees

Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout Mees

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Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout MeesModel Rosemarijn Koopmans

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Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout MeesModel Yootha Wong-Loi-Sing

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Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout MeesModel Lis Van Velthoven

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Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout MeesModel Britt Fox

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Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout Mees

Model Flora Starreveld

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Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout Mees

Model Eva Boejinga

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Photo Serge Bouvet Designer Esther Louise Dorhout Mees

Model Sanne Van Straten

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LL comme Lotus. L comme Yang Li

Photo Serge Bouvet Designer Yang Li

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Photo Serge Bouvet Designer Yang Li

Model Annika Van Dusschoten

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Photo Serge Bouvet Designer Yang Li Model PONG LEE

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Photo Serge Bouvet

Designer Yang Li Photo Serge Bouvet Designer Yang Li

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CC comme Créature. I comme Iris Cantabri.

Photo Serge Bouvet Designer Guillaume Michel Model Pauline Houssinot

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MM comme Madame. M comme Anne-Sophie Madsen

Photo Serge Bouvet Designer Anne-Sophie Madsen

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RM comme Muse. M comme Rahul Mishra.

Photo Serge Bouvet Designer Rahul Mishra

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Photo Serge Bouvet Designer Rahul Mishra

Model Katrin Cole

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MM comme Métamorphose. M comme Alexis Mabille

Photo Serge Bouvet Designer Alexis Mabille Make Up Pablo Rodriguez

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Photo Serge Bouvet Designer Alex Mabille

Make Up Pablo Rodriguez

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LL comme Elle. L comme Jean-Paul Lespagnard.

Photo Serge Bouvet Designer Jean-Paul Lespagnard

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Photo Serge Bouvet Designer Jean-Paul Lespagnard

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Photo Serge Bouvet Designer Jean-Paul Lespagnard

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Photo Serge Bouvet Designer Jean-paul Lespagnard

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Photo Serge Bouvet Designer Jean-paul Lespagnard

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Photo Serge Bouvet Designer Jean-Paul Lespagnard

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Photo Serge Bouvet Designer Rahul Mishra

Model Mame Thiane Camara

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Photo Serge Bouvet Designer Rahul Mishra

Model Chen Xi

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BEAUTÉ

46

BEAUTÉ

B comme beauté.

Les photos qui suivent sont issues de

séances-tests. Quelques modèles ou

des particuliers ont eu la gentillesse de

me donner de leur temps pour réaliser

quelques portraits.

Un grand merci aux modèles

Achok Majak (Agence Red Model

Management), Nora T-Rex (Agence New

Icon Models), Jada Joyce (Agence Elite

New York City),Yulia Lobova Harfouch

(Agence Women Management Paris)

Ari Westphal (Viva Model Management

Paris), Ash Foo(Agence New York Model

Management), Katrin Cole (Agence WM

Models), Lívia Araújo (Agence Joy Model

Management), Rebecca Gobbi (Agence

Next Paris), Trang Nguyen (Agence Das

Model Milano) Mame Thiane Camara

(Agence Elite Milan), Daniel Lismore et

Ekaterina Ozhiganova.

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NN comme Nora T-RexPhoto Serge Bouvet Model Nora T-Rex

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Photo Serge Bouvet Model Trang Nguyen

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Photo Serge Bouvet Model Ash Foo

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Photo Serge Bouvet Model Jada Joyce

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Photo Serge Bouvet Model Mame Thiane Camara

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Photo Serge Bouvet Model Daniel Lismore

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Photo Serge Bouvet Model Ari Westphal

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Photo Serge Bouvet Model Ekaterina Ozhiganova

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Photo Serge Bouvet Model Katrine Cole

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Photo Serge Bouvet Model Rebecca Gobbi

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Photo Serge Bouvet Model Ash Foo

Photo Serge Bouvet Model Jada Joyce

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Photo Serge Bouvet Model Yulia Lobova Harfouch

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Photo Serge Bouvet Model Lívia Araújo

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Reportage66

R comme reportage.

Je photographie pour exalter l’humanité

des personnes que je rencontre. C’est

dans leur regard que je puise cette

humanité. Je veux vous la transmettre

comme un passeur d’histoires et

d’émotions visuelles. Puissent-elles

relier les cœurs de chacun d’entre nous.

Puissent-elles nourrir notre imagination

de cet ailleurs exotique.

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Un Sewadar nettoie l’Amrit d’Harmandir Sahib.Photo Serge Bouvet Model Nora T-Rex

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Le pont de la rive Est du Hooghly«Si vous ne visitez pas Calcutta et ne voyez pas le pont Howrah, qui traverse le fleuve Hooghly, cela signifie que vous êtes encore dans le ventre de votre

mère» m’a dit un chauffeur d’autorickshaw. (Kolkata 2046)

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Ombres d’AmritsarPhoto Serge Bouvet

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Un lutteur pehlwani deVaranasiPhoto Serge Bouvet

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Sanyasin de VaranasiPhoto Serge Bouvet

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Le charbonnier et le corbeauPhoto Serge Bouvet

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Sanyasin de VaranasiPhoto Serge Bouvet

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Musulman de Turkman GatePhoto Serge Bouvet

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Sur les toits du bidonville de Katputli ColonyPhoto Serge Bouvet

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Le chien paria de Jodhpur et la femme en rougePhoto Serge Bouvet

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Musulman de Turkman GatePhoto Serge Bouvet

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Sapera de VaranasiPhoto Serge Bouvet

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Le sadhu et le taxiPhoto Serge Bouvet

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Rue de SonagachiPhoto Serge Bouvet

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Coquetterie dans le bidonville de ShadipurPhoto Serge Bouvet

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Artiste de Kathputli ColonyPhoto Serge Bouvet

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Le sculpteur de KumartuliPhoto Serge Bouvet

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La femme au sceau d’eau de KumartuliPhoto Serge Bouvet

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Sanyasin de VaranasiPhoto Serge Bouvet

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Divers

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D comme Divers.

Ct’est le monde corporate, ce sont les

portraits pour des magazines ou des

photos de produits de luxe. Ce sont des

visages, des personnalités. Ce sont des

regards. Ce sont des objets.

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Portrait de Jacques Bailly pour catalogue HavilandPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

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Portrait de Jacques Bailly pour catalogue Haviland Vide poche HavilandPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

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Portrait des relieurs Amandine & Thomas BoichotPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

Nature morte d’un vieil ouvrage avec outil des relieurs

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Portrait des relieurs Amandine & Thomas Boichot Nature morte d’un vieil ouvrage avec outil des relieursPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

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Nature morte figurant une assiette Haviland DuomoPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

Travail de relieure d’Amandine Boichot

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Nature morte figurant une assiette Haviland Duomo Travail de relieure d’Amandine BoichotPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

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Assiette dessinée par Pierre-Yves Rochon HavilandPortrait d’Andréa CabreraPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

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Assiette dessinée par Pierre-Yves Rochon HavilandPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

Portrait d’Andréa Cabrera

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Photo publicitaire pour DaumPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

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Photo publicitaire pour DaumPhoto Serge Bouvet Directeur artistique : Mauricio Clavero Kozlowski

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Portrait d’entreprisePhoto pour le Cabinet de Conseil Solucom

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Portrait d’entreprisePhoto pour le Cabinet de Conseil Solucom

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Portrait du designer Bastien Laurent Bastien Laurent est designer d’AVOC

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Portrait de Mauricio Clavero Kozlowski Mauricio est le directeur artistique de Daum & Haviland

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Nature mortePhoto pour Daum & Haviland

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Nature mortePhoto pour Daum & Haviland

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Portrait de Mathias KissMathias Kiss est un artiste designer français fondateur de La Maison Attilalou

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Portrait de Steve McCurrySteve McCurry est un photographe de Magnum

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Portrait d’un particulierPhoto prise en 2015

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Portrait de Didier migaudPhoto du Premier Président à la Cours des Comptes prise en 2010

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Serge BouvetCourriel: geinoh@gmail.com

Site : sergebouyvet.comTél: 07 85 12 38 92

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