avance automatique marie du vert pays il est un coin de terre dauvergne. lair y sent le foin, la...
Post on 04-Apr-2015
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avance automatique
Marie du vert pays
Il est un coin de terre d’Auvergne.
L’air y sent le foin, la fougère, le résineux.
Il est un coin de terre d’Auvergne.
L’air y sent le foin, la fougère, le résineux.
Il est un coin de terre d’Auvergne.
L’air y sent le foin, la fougère, le résineux.
L’or y ruisselle plein les genêts de mai, le granite y est
sûr et le ciel plus profond que partout ailleurs.
L’or y ruisselle plein les genêts de mai, le granite y est
sûr et le ciel plus profond que partout ailleurs.
Pont de Massélèbre
L’or y ruisselle plein les genêts de mai, le granite y est
sûr et le ciel plus profond que partout ailleurs.
Et si le vent peut y souffler âpre et sauvage,
les ruisseaux y sont restés clairs.
Et si le vent peut y souffler âpre et sauvage,
les ruisseaux y sont restés clairs.
Et si le vent peut y souffler âpre et sauvage,
les ruisseaux y sont restés clairs.
Sainte Elidie
Tel est le vert pays du Livradois au Forez.
Tel est le vert pays du Livradois au Forez.
source miraculeuse de Sainte Elidie
Tel est le vert pays du Livradois au Forez.
la Dore
J’y ai vu des prairies vides, des landes désertes, des bois
désolés, des villages abandonnés, des chemins où la ronce, insidieuse, s’est nichée.
les pentes du Forez
J’y ai vu des prairies vides, des landes désertes, des bois
désolés, des villages abandonnés, des chemins où la ronce, insidieuse, s’est nichée.
J’y ai vu des prairies vides, des landes désertes, des bois
désolés, des villages abandonnés, des chemins où la ronce, insidieuse, s’est nichée.
J’ai souhaité retrouver tous ceux qui, de leurs bras, de leur âme, avaient façonné ce pays. Ils en avaient été la
moelle, le sang, la vie.
la montée au col des Supeyres
J’ai souhaité retrouver tous ceux qui, de leurs bras, de leur âme, avaient façonné ce pays. Ils en avaient été la
moelle, le sang, la vie.
J’ai souhaité retrouver tous ceux qui, de leurs bras, de leur âme, avaient façonné ce pays. Ils en avaient été la
moelle, le sang, la vie.
Sur les hautes chaumes qu’ils hantent, par tous les
temps, je les ai cherchés et même au fond des bois noirs où planent leurs ombres.
les hautes chaumes
Sur les hautes chaumes qu’ils hantent, par tous les
temps, je les ai cherchés et même au fond des bois noirs où planent leurs ombres.
Sur les hautes chaumes qu’ils hantent, par tous les
temps, je les ai cherchés et même au fond des bois noirs où planent leurs ombres.
De les avoir traqués, d’avoir vécu leurs peines et leurs joies m’a fait vivre plus fort un bel été de ma
vie.
De les avoir traqués, d’avoir vécu leurs peines et leurs joies m’a fait vivre plus fort un bel été de ma
vie.
De les avoir traqués, d’avoir vécu leurs peines et leurs joies m’a fait vivre plus fort un bel été de ma
vie.
Au pays de mes chimères est né l’esprit d’un autre
temps. L’esprit du vert pays, l’esprit de Marie.
descente vers Valcivières
Au pays de mes chimères est né l’esprit d’un autre
temps. L’esprit du vert pays, l’esprit de Marie.
Au pays de mes chimères est né l’esprit d’un autre
temps. L’esprit du vert pays, l’esprit de Marie.
souvenir de Marie
Texte : Nicole Voilhes
Photos : Jean Pierre Voilhes
consulter : www.nicolevoilhes.com
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