ali drai

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Ali Drai. Poésie. Ecrite en la mémoire de l'immortel  ami et frère : Ali Drai ………………...…………. ………………………….. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. L’olivier. - PowerPoint PPT Presentation

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Poésie

• Ecrite en la

• mémoire de

• l'immortel 

• ami et frère :

• Ali Drai• ………………...………….

• …………………………..

• ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..

L’olivier

• Chaque jour, que Dieu fait, tu reviens dans mes rêves,

Et je doute parfois de ce qui t’est arrivé,

• Tu apparais plus vivace, plus tranchant qu’une glaive,

• Et disparais, Ô mon Dieu, sitôt le jour levé

• oooOooo 

• ………………………………………………………………………………………………………………..…….

Je ne puis croire qu’Ali ci-gît et sous terre,

Au pied d’un olivier qui s’élance vers les cieux,

Je ne puis croire qu’Ali, mon ami et mon frère,

De vie à trépas, s’en alla sans adieux.

oooOooo 

• Pénible le moment de te voir dans une bière,

• Impensable, me suis-je dit, comment fût-ce prédit,

• Le départ de mon ombre, tout droit au cimetière,

• Que le sort lui choisit, un jour du samedi.

• oooOooo 

• …………………………………………………………..

• Le ciel s'obscurcit, et perdit sa splendeur,

• Voulant dire aux présents, n’oubliez vos prières,

• Le monde, ce jour là, dégageait sa senteur,

• D'un encens  embaumant, le fin fond  de nos coeurs.

• oooOooo• …………………………………………….. 

• Islam, ce jour là, ne retint ses petits yeux,

• Tressauta fortement, et fendit tout nos cœurs.

• Mohamed, lui aussi, ne fut point courageux,

• Eclata, ô mon Dieu, et nous mit tous en pleurs.

• oooOooo • ……………………………………………………………………………………………………………….

• J'éprouvais ce jour là, à quinze jours du carême,

• De l’an quatre, où tu fus nominé,

• Allah te choisit, un honneur et qui mène,

• Au firdaws, ô mon frère, dans un monde raffiné.

• oooOooo 

• …………………………………………………………………

• Je voulais ce jour là, prononcer l’oraison,

• Incapable, mais crois-moi, de te dire un seul mot,

• Etranglé de partout, telle était la raison,

• Pardonne moi, ô mon frère, j’étais tel un marmot.

• oooOooo • ……………………………………………………

• L'idée qui me console, te revoir un beau jour,

• Me console, sachant que nul n'est éternel,

• Ici-bas, ne sommes que pour certains jours,

• A l'instar du nuage, qui trône haut dans le ciel.

• oooOooo • ……………………………………………………….

• Tu rejoins de ce fait, ceux qui t'ont enfanté,

• Laissant ton épouse, tes enfants et moi-même,

• Subir le même sort qui t’était destiné,

• La mort est cruelle, et que dire de notre peine ?• oooOooo • ………………………………………………………..

Allah yerhmek yaa khoya Ali

Pour toi : Ali DRAIDe : Zeynou El Abidine DJELLOUL

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