alvlvolvge^ifljdiciaires -...

4
S^incdi 'Àt Juin 1802 . MCR. AVOua [> 1)0 7 55 l) 70 7 50 [) 7 85 0 00 7 66 1) 56 7 ’ *i 0 il 7 49 0 50 8 Ko' 2 17 fr. jiÊ* lê Mfr- tiélé- itm» 25 . -• 52 rniK DK I.’ABOXXEnüKT »r. S O IS » PO .... V,„ .. . . I V‘9> Pi.i.a Dipambmkki* | 8is tnoU. DirAi^tMiat I ** ' Sii ipoii. A.v 8’AB02vii;î( M.l.-Villcj _ A hirw.>..« M. llAVAjLrue ltiiiKtruii,/Ç et clii-s Ncinbiri MFUTB.niJIXIKn H fl<ti-etlci« AlVlVOlVGE^iflJDICIAIRES rm ix DKS IKSRRTIOIV» A?INONCE.S JUiUOItinKS , 30 r«nt' U li«ne ANNONCFS DIVÜRSF.S, 20 rt rliM lei l.ilitnirfs «tii <lcj»arieincMl.' Ce fOfW les Samedis, 7", dLsrnssIoH du budget a commencii' lundi an Coriht Icgislaltr. (jesl-M . Gi'nnier de Cnssagiiilc qui a ouvert Ta dhcuKsioit par un discéant datiK lequel il anpproiiird les mesures proposées en vue du réinblisscuicnt de rénuillbrc des fluaiices. ' - - Le Corps iégislntlfu reçu vnmmuiiicaUon d'un projet de loi demandant 15 millions de crêüils cxiruurdinuires pour l'exiiédUiou du Uuxi<|uc. et l'exposô des inolifs d'un projet de loi Ictidant A accorder A la vcmivc du grand cora* posiienr F. Ualôvy, une pension de cinq iniliu francs A titre de récompense nalionalc. . — Le MoHileui' wiUeniel i-onticnl un décrci en veiUi di|. quel une coinniis.'iiun c.si inslitnêe prés le minisièra de I iiislruciioii publique et des culle.s, A l'eDet d'i ludiur toutes les questions qui se rallaclient A la réorgnnisatiou de l'èn* seigneiiicnl comtnornul cl industriel dans les élahlissemene d iiistrnclion publique. On lit dans le MonUctir : Les troupes françaises, mailrcsacs. aprc.s un brillant combat, des déülés de .Cainbrcs, s'élaieiit avancées sans obstacle jasqn A Amoxoe, A trow llenesxciilcmcnl de Pùebla Fartoui les populations leur fiiisuienl le meilleur accueil* et luilépeiidainmcnt des villes de Cordova et d'Orizaba iMUMn» de locahlés lellBs que Chii|iiiliiiile, l'aso Aiielio. I f“ Pli'P'iPl des lioorgs de le province de la Vcra'Cruz selnienl prononcés contre le gouvernement de Juarez. On SHltend<iit A voir, A notre approche un moiiveinent setnbiable éclater A Fucbla et seconder une allaque que le généiMl de Lorencez se proposait de diriuer f^i'lillée de Guadalupe, qui couvre la villi*. Bien que les détails nianqucul, par suite de rirré''U* Ionie des Gommunications du rinlérieur avec la Vcra- a«‘a ?” î® py*"'' ^0**5 mai, au moment même • I? P? I» LoiiMwiifl par une dépêche ofll- cielle du général de Lorencuz. aiirc.ssée le 9 au comnien* I dant do la miirinc, que l'armée occupail. A cette date, son ca.'iipemenl d Ainozoc, sur le plateau d’Analiiiac. U après dro rapports d’origuie mexicaine, l'attaque pro- jeleo a, en eflVl, élu cxeciilée le. 5 avec vigueur, niais sans I * rehMiuhinuents de Guadalupe n'ayiuil Çicu *** * IJ«l'Uis lors, aucun engageiiient n’avait eu I . B"nvehicraent de l'Eriipcreur prend Immédiatement , Oiw dépichd léitaraphiqiio dalée de Uelgi ade. 10 juin. di alroii, OUI ossassiiid la veille au soir un enranl aol bc. I “ni” ! ‘■*‘""",“"0 lulle .sanglanle qui a durd loiilc la J nilll. I lusicurs pe-sle.. uni did ddinulis. Il y a en lieaucoun de inorls el de ble*ids. Les fe,„„es lurqnV ^ I dld pro' I tOgdcs par les Seibes. ..ru I .. * Y . ' raddiallon des cnnsuls I cl 4 I dnergle des aiilurilds serbes. I La inilire Inrqne a quille la ville. I rilfai’erbra"‘“ " " " ' P ' » P ™ l e c l i u n des aiilo- I J ~x de Stùnt’Pêlersboiirg du 11 nubile le dénvi 1 impérial qui nomme le grand-duc Cuiislaiiliti lieiileiiaiitu fc d i f f»ï,“"!"';l»P«l»Sue. M. WilopolTl. S n iis i: I ileul du conseil d état A Varsovie, est iioiiiiné chef <fn omi I |uUdLi*s eontiniiera i diriger les alfaires en i^olomie Üe I *««> pour le lieiilenani gé. I S'^ond-duc exercera runlorité nüminislrallve et 1 ™T" “ ''" f •<«'“ ^Ïila el K Icornniandaiil nnlil.iiro. placds l'un el laulre sues ses I «nlrcs. Le lieulenanl-gdjidral sera invesii du druil de grdce. I nial!..*'»” ! " '” ' ''' Craviére cal arrlvd mercredi I S r lênuri ll“ fuHcrieapar l'Ein- IriM i « â.? ^ * ü ® î’".',***' P‘®”**cr rapport verbal. M. Jn- Icurlne ami!b."«™i l'onlalneble.iii avec le minIsIre de la IqcescÆlat^'"' dipluniali- CILtSmi.r. — On dcrll an Jom iiaUe VOite • Eu cxdcullon de la cireulali e de S. Esc. JI. le mliilslro du I Inldrieur, en daUi dn 0 février I8B2. M. le sons rdfLl du Senbs SCSI rendu 4 Clianibly le jeudi 18 juin où se roii lu-’ d i oï;,!on'To INÎmili;.'™; <is>n n’’®**dère dém.ircho de M. le sniis-préfut en ciilraiil intcrct qu il otlacjie a I iiislrnction primaire. I **• maire, aiirien dépiilé folüi II !•“ i” de .0. Templier. mlê JXÜ /i Ln 1 d abord a l'école de.s garcMis-où un des cIlvcs lui a atlressé en lormcs cinilenrenx unvbiues risrœ * ajoulé ” ‘'P 1“'"' Puuiic lam e, puis II a n . n / . '’ 1' Pî® Pcsoin de visiler en détail voire classe S“j4 rà lÏÏrH s.^" ■” PTS'ù*- Les bons rapparia quo m'a ra/eoi Siflj à ' ‘«pcrien colle niiilièril. m'.,,,. raieiil snnl pour me convaincre de i'Illlelllgence du four, lioimaire dévoué que nous avons mis 4 voire léle, el de lii buniie direclion qn il a su imprimer 4 sa classe. ■ . ai. le suiis-prefcl a ensnile maiiifeslé ailv .iiilorilés lo- rolroiîroinhl“ ‘!‘''"®"““ "‘' 'e plaisir qu'il éurouï.iil en VOJ.IUI tomblen a conimnue fan pqnr scs écdles iilacéisi diiiis nue sllublioir cllarnianlifeÆ ftresqüïfe'iesT?'' sums^soiil sallsfails. laiil pour le n i K ’ q“ie .’imm fes I l .! ■'e* » siirloiil attiré sou nlleiilioii cl d a pu se convaincre qii'4 Clianibly aussi, pays esseulielle. menl agricole. I enseigiieinenl de la culliire el siirloul de I horliciillurc II clan poliil négligé. Iles leçons lliéariniies el pialiqucssoiil doiiiiécs telles que l'enleiid JI: le piéfel dans son rapporl au conseil général el dans .ses circlil! iiïs • .Ipies celle preniicre visite, qui laissera dessoiivriiiis * . lesous préfel s'esl reiiiln 4 l'éjole des lllles s“ b ™ db r gée par les sieurs do Noyers. 1.4 aussi, coniin 'ù rérole dis garçons, il a nu .«e noiivainKissi nio i.... ...... . . ''8 Loildanliiiople nous signale I , ,, J'^uuuu.'Çieua sur les intours judiciaires du pays • lna..r!l° ‘‘•'.'■pu. "" 'T'";? ,P" condamné j, mon "oi J nu individu duiil la femme se H Ité l lerinhié'il r f ‘U'ime. .Ivaiil que le proies ^.^•-1 II- til femme m it nii inoiub» un (ils. l)e lA siiini' c : t"em in " ' Y '» .™"i'"'ilé..de M «ilfam.'ï.rS n idL cpedue. s'il veut que l'assassin de ■«» « R in o^s'i' “i"“ ‘■'ncBeiil.lc prix du sang. U . ï. ?. eoiiitamiié soit mis 4 mort. l'alcr eJ prion“'.“ ''" l"»«Sirtron?h.f'r •’T '■■W»nsles|.orls anglais i ! » OblM- r l K .J f cenoniiiércs qui vont être envoyées T'Murrecliun l é f . P^"‘\"'^'*"ui spéciale l&puerie coiilrc P'Wlra dn Mm 1^ î ' *®»nag« du ro» navires leur pcr- pcste'L !s“ierSif;eï:“ Pourejcirail êtrélaiiioH : E. IIE(;,MEU. HOOTEILES DÉPAHTEMEl^TALES. P Ï '> U 'd 'S ? 'm , “ Hli“„ " i ' “ Y” ""UUX, miiiistro se. Kl". Pr^em mol. j“»‘'ce. en date dn 2 l'l'd '* S îé ? , f,?'' ®uérm. conseiller 4 la Cour impé- r'rtiocs™ de i2iio ''i''“'",™i P>'‘^i‘'er les assises du I dans le déparloraem de l'Oise. I ^R.AMant \ É^Mrtcomni-TJ'®. Noti*o.D,ime de Don. I^ w iiie d™ m.» * in‘"“'' •^P'^d'ie Jour de I * dwiin. * 7 h e S Y /fi“' f ''“"ces 410 heures ■^meniîréréds I- ““'""uel dn Saint ■ “uialralii ^ Pimcucltou par le B, P. Thomas, i.-s r^.;iii',:'i”" r *“"■ eilipréssns d'einporler dam les fainiiies lc.s bonnes impressmiis qu'ils venaiciil de récc ■_l‘uisa eu Heu 4 la mairie la conférence des nnlrrs “Pi^^LiiLqyell^îl.Je smis-prôfut.n.vonlii visiter récli«i nnV m S «|Mj demando de gromlcs améfioraîio'.s et qu II Mîi.111 urgent d entrepreiidru, aQn de conserver nu cdillce aussi impori.'inl. . u c t.wus,Krvei un ra.n.''? '''".f.'l.'u.PP'cudre que dans l'école des girçoiis une colircle a ele faite pour la üociélé du Pniicu Impérial iirr «^J ir ”” "!” . “ 'Larmo doa'iuiliallvo-qir'om- prise les élèves de celle école. . f/„ u i „ „ „ r lu nüin!**.” '-’Ocp'iéoii.de Crcil a donné dimanche, sous la iLiile, San grand cuiicerl annuel. On regrellu ici de ne SiosT ."'''?!'*'" " " “ «“ «'Ci' une vaste ïiH equ s”r, h phiA favorable pour ces sortes do réunions. i/Lcm biée était tiouibreii.se et clioisie; les luilellcs desilauirs très- jo ics. toîs aiilorilés de la villo avaient activumnil pourvu ?.. « « “ H®®» '- P»»dtc s ’o s t L u tié llîii " “ ,1*.®“ •" '■“‘‘i* snrtourà rü.\lréuiii.j do la tente ou 1011 II eiitciidail presque rien. La simorilô is| nullu line lente cl l’arlisle ne rocueille pas les friiiirii son labeur, puisqit il ne peut éiro entendu A une vingtaine de pas Jars iiuant'cs lincsel délicates deviennent imiiibs quand le> chai teufs. nu nonibi-e de 75 ne fout pas aiilaril d ei ij Stre'Æ d;':;'’' piài..: pou.' V" ‘ï"'’”''* •'Orphéon d« Croil et la so. Cietéchoiale les Ltifaiits du Duaiivnis se sont rendus inii- sique en telc, A la tente qui était parfaitciiiem décorée ii'fili « , !“ ®. PO'»(>ic«-s a fait cutundre la mardie d OUtello. IsVxecntioii a été lionne. oiaïuiu Le Sajut aux Chtmleurs, d AiiibroIso Thomas a été dit par les Liifaiits de Beaiuais avec ensemble et justesse I a soi.irté compte deux mow d'existence séricnsu Elle réunit bi) e.\ecnlaiils; 48 étaiuul présents pour le concert. Ellu compte de bonnes voix et a iiii bel avenir. Ist* d u o dc Giiitlnitine Tait, pour piano et violon, a été cxcciilé pur SIM Ch. Prévost cl Ch. Dnpuiil. Co murccuii T'in.'iî '‘"''“'■ " i* 'uucr. a été hieli e.xéculé mais passub Isanmioiil apprécié par la porfccliou des nuances, 4 c,iii.sc il locid et du bniil nviariuie. cv- ' ' parfailcincnl réussi. Lu ballon aim'u s'élru'élevé 4 iiiio hauleur assez grande est allé luiiiberstir les eùles ilc Vaux Uuraul la félo le bal a élé Irés-brillanl. Ou r i î aussi a|l 1 ’ m r 'i " “ ‘“ ■'''r l'excnlleiilorclieslre dirigé pai M. Ch,1,1011, chefd orrheslre du b.d d'Orieul. M. Chapon apparlieiil 4 la ville de Crcil par son m.iri.ige MÜN'TAT.IIIÏE. — Jeudi 12 juin, vers sep! heures <lu On ièr d r ' ' l î ' ’“'' “‘’‘' l i l s d ' i i i l vui. m lei do celle euiiiuiiiuc. en jet l.i ne du gre- dïlie iiYim .■ ...... . ‘-'i ''“'''I' ' cl est luSibé ciir de sept luelres dans la ruiir. Cet euf.iul a cca du graves couliisioiis 4 la Icle, .i l'épaule druiie cl à la (wnclic droîlu. Sa viu est en dangei-. — 0 :i écrit an MonUeiir de l'Oi.u; : loë.,“;' '"Hll du l'ail a Clé réicliré le III juin iiÔoî'l. c f ‘'i” " .'•c'"'C. en l'église de. ire, a -Vli a ii madeui.iiselle de Coudé, décédée au tliAlCiiu de iloulütaire, le 11 juin 1851, « ~ lo li.noii di! Confié, qui iravail ;iu as.sisicr au cou- coms musical <lu Montiitaire, par .suite lie deuils de liiiiii/le et qui «leiit de rentier daii.s relte résidence u signale ^u fait, digne en eifét d'élrc noté. s\prês avoir été rmxill!: toiilp une journée A pln.i de 5,0l>d per- *nmw;*sn propneic n*a pas en à subir le jdns jielit <t»nn- pas v»e branciio d'arbiv n'a été eu.ssi*.:. pas une nciir fonleo an pied, fie lé.suliai. .issnréiniuil remiininalde, liale r buune.s s prises par les orduii. ^018 pril pa|!î; '■ Vil ‘luA persoiiues qui du locid et du briilt extériM ti^>--~“ la musique de la maison de suiité de LIerniont, a be.iiicoiip anius:'* le pnlilir avec u» voyage aiilotir du monde, raudiriico du j,ig„ ,U, m ix et surtout avec madame veiwa Saucisxc-Plale, où l’artiste a’ l’i ïx J!? ''««»q**e vraiment digne d éloges. dans et «irMe»/rcl, s est montix^ chanteur intelligent. r,Æ i être «li.intée par ST. Oo lille a etü dite par SI. Thônret. de Clerniont. M-m 5 l'i i i*. l« piano nn très-joli nior- n oyï>acl»- Il y n dans ce morceau des traits de dé- htalcAsecxjïuise. el un a vu tout A l'heure contre quel dé- savantago I artiste avait A lutter. L Orphéon de Cfell a dit avec beaucoup d'enlriiiu la ïS,M°Dimy’'' Ilonilouré son ic tK iS i^ .'S 'rîïïs avro taruap'ülnram riL "" Quant au Dageolet, son instrument peut faire sou effet e malentendu entre le Solls 0 et I açcoiitpugn.ileiir qui n'avait pas été prévenu des icpilsca et des renvois suivis par lcn,igeolol. Ce pellt iii- ni, .d.V "'!‘î une solilo répétition. l.o 5e ëî lernsrff 'lU'il ilail .lL,ë m. arcompagiieniout eompiet. En inii- simie, plus qu otl_ toiile chose, il est hon de s'enicndrc. Laueirati, execntéepar les deux sociétés chur.ilcs a été chaleureusement applaudir. cnor.iits a cto ' I’"'' """ valka. l'Bc/ipj». Après le concert, les orphéonistes do Greil et les m nsir ciens ont oOerl un b.ani|iiot aux Enfants de Ileauvais. il va sans dire que le phis bon ordre a régné dans cetio réiiiiion ro Zilsïîr^T-L M-'*’’* mit été r«: îh lv r l i ® ‘>«sesép.irer un cnœar et un moiceun de musique. Lu ballon est parti A R heures et dcniir. rasceusion a vn!*!!!'nn ~ ï''"‘ f uaumagile avait invité .son Sii n.i.l’„. ? “ ilua l'Ç'Ilels d'urlolaii, mais une liniiilc cl ë h ni u"''''“ ......... <I'“S''SU ë I n . J !'• U""''i''a s.ivoiiraicm h I. : ,V ''Î co repas couiiniiii. Ou double son Il I iieui luisqu'on le parlage avec un an sur la iu ë h e b'I ui'i'-b ' l'cCi'ia sur l'é- 4 re m ï; “■Cl”",'."''"auiu'il 4 lelll'félieité, quand luiit le ë ; i" "'!''cip'ms pas sur les ils. C'élalt r J“'"' de ce j,,li mois de mai... ah' vm Wiel. ln’ apprendre le iii.ilhcuren.x sort de ros seuibl,ible.s, quand vous iiiarehercz sur . les br.iiscs mai-quez rivquiir liél'asic d'uiie gnjfe luiiro X.^ quj_s'estv î mil si. ."l""''' ■" 'l'cu’cu'lc. “ l un lie ces lueiiuies l'ë.iYie- "" cliiuiérique em pire.. L. I ..liytrion lui apparteuuit, mais l'im ité appartenait au volsiil X... qui rei-Bil.iit du r.hauuv. reillre elle/, lui- il 4 u','.m m i°n“ ’''i* duetiil uiu«e„i ,lè„v. finit», .1. m ,dc“" “ ',cl, au sein même des délices S fitt I I ■''■T'''' C'daaapalesque s deux goiir. iëuH ?'1,1 I "" déù'Uiillo luii» ir.idaVHW, (!tleur puaii est \«u | ik>. l>r(in«<.vürb.d s’oii d'ë di la.Vs J' ""4 deslriieteiirs de iii,ls el U aniuiiiux doniesliqiics. u.-oo-î!'.''?' ~ !••'' I".'"CC-1-'‘,'."U de la Fèlc-llieu, aura lieu di. uiaileho dans I apros-niull, el sortir., ,1e la e.illii-ilrale 4 -ne ,t i;'’c';l''fS-.Cde]i,-irciiiirra les plaee Melre-llauie, MIC de Villciiul, des |>ig,..,i||s liiauus, S iliil.Pierre, Saint- ,lë Plïéi.-'î ,Téëv M " ‘" 'r ' .1''“ ' '■-'PI">''l'aii'P-iiu, [,la,-e b, V, I. f ,f '! ■ “ eauvals, place aiis-tlàli-aiis. rue lu |,i loiilaillerie, plaee de l.avar.-iiule. rue du Piills-Tlii- Vi lë'Y’.’-i' l'™ ■ '■“ " ' -''-‘"'■'cc, lin t:iia|.|l,irel. rue do le -- ,e ' liabllauls seul im-ilés 4 leu,Ire le .lev.iiil ila lulis m.iisous eta lesrues,1e lleurs cl ,1e verdure. - - La séaiirc ,|e l.r Sueiélé d'Agrieullure de Seuils, aura lieu le mai-,h l"juiMel, a 2 heures I 2 île l'aprèsmidi. — Le iinmuié l’ierrc:i,'i-itno«is Ilériii. âgé de 27 ans u-li'- h “ 'ï'^lc'.d', ceililaiiiilé 4 lu peine de mûri ,1- t j - t Sc"'C'el'-'larile, le 17 mal d.-riiier, pnill „ \01| assassine la vouvu lluru. eab.-ireliéro. s'élail eeluippe il y a ipie qiies juins, di- la prison de .Mclilli : mais t -iumé de Ions eules, H a élé arrclé et aïoeilé hier soir ilaiis lu.prise,, de Seuils, nu il a passé la iiilil. Il est iiarli ce él'?,.'l'-mi"-* dequaire geudaruies, poiir supplia- ^ ""C"*-"" le jour de sou I iclui--l,,-ibrlol Cliry, âgé de 35 ans, n'a vraiment pa.v de eliaiiL-u; Il est lié a Marciill-siir-Oilrcq i-l a élé voler cmii lîîëë im'ë,'. f'd'c 'l""a cette euni! muni, 011 II 1-n s.ul trop nen; car après avoir siibi suiv** eund.iiim.-ilioiis, il est placé sous la surveillance de la hanle s liLi ".'“i' *c ll'l'dder eu déi-eiiibre prurhaiii, S. le-sidiiiee elait Seuils, un il avait du l'mivr.iae roliinie I M Cl le dégoiii s,! |,-! t I ' J."“ds .\l b.ibitiiJe du vagabomiag.', l'ont fios. fit ,’r, I I-, ,-'“ r f Iitaiiser, qiioiqiiene travaillant pas,' - -m- ,- I ,- I- crult.avoir tj-av,illlé daiit ,Ii- „ ;,,“ Û .'".'l'Idcs depuis ,pi II a ........... Seuils, mais jl éi , l„ , M ''c cc" B"“ L "c peut- elle du gmll ,1e ceux pour qui 11 d.'-bile. Ilurv sera duiir ...... C'uulaiilue. ,M ,i peut-elre que ce inallieiireu.x a ci-liuué au p,,, , luë'Ytl .-é m ','- i ‘' ‘-u'“ II eu appreuaut que, pl.iee sous la siirvcillaiiec pour 5 ans eu 1818, il n'a pu, eu lu ans, poiis.serjusiiu'4 l'expiralioii. — Fr.-ii|çois.Jusoph K.illois, 4gé de 18 aii-i, i-arrier de- - lliriiraut a Saiiit-Maxiliiui, est eiieorc nu de ci's boulmes dëm'-nim'u-' 'V "'“ P''“h'té excniplaire-, li a subi neuf cou- ë -i , , c‘,C','J'"ll',l hiii sa ilixiém cestà m olireau rang bttl -e lëùn! '-"‘“ 'C est lellcuieilt llaüilllé.f b.itlie qu II hll est iiienie arrive d esereer les violciiees en- , 1- ““ cliàtiuiciit de cinq ans d euiprisouiieuieut. Il paraiss.iit éire eorri»é lie ce’-^ é as semeiiis, el, diipuis 3 ou II aies. Il ne se.pi-éMul,tiftihis nue poiii diveis vols; in.iisciillu, vuvaiit que-f ou 5 fuis celle I|>auiere d'agir iic lui réussissa'il p.is'mieux m e bi pf& ë. deiile. Il eu est revcliu aux coups. Il parait que le •> liiii, couraiil. Il a lelleuieut i-eg.-igué le lemp.s p e X puut-'ëië niiouiS' ipi 11 ,1 mis dans sou lu, hors de eouilial el de Ira- vail, un ouvrier de .sou pays. C.illois n'avait, bleu entendu féi'r • P “.‘.‘,'i'“ 'i l '■} d lie sait euiiim mt eel.i a pu sê soil Jt a'li.t dëpi'Üs!' ''' “ “ l“ '‘' lil m ,','l',fë t" i'f 1 '"''"' L"uis-.i,Iolpl,eIlru- m.lux lie sa r.il.ile marne de su révoUer cmiiru la «uinjai- Iilin'ila’- 1.1 *î'l‘ àse.s vouloirs, quoique îl 1 cü.<l (Ijih celle position qu'il l‘?m 'I®' ®»î-?üJil de fois îléj.i valu do.s corrcotiousrUruiiijçns. Agé d« 51 ans, ouv.-ier do i.n nertf, dumuiiriiiii » Sunlis. a tiiii la campagne de Grimée Uluiiictil coaiplelu, <pi il csl décoré «lu la méd.iillo u.Tor- deu .111 nom de la .•um,; d'.Vnglcicrre. el que «elle méd.illlf Ls accompagucu. u qir.ilre aÿral'«.s. itiün|mml qn'il a assjsié d.ml telle c.imp.igirc. .Nous amions A penser que rcl homme a tlt mi brave soldai, m.-iis ce qui est CCI ïam, il n esl nas commode d.aiis la sociéié civile, quand il a malhenrcuso. menl absorbe un vci'i-u de c.'i.sse.poiirim! [dus qu’A Purdi- lune, co .,u. arrive assez fré.iuemmenl: n«l,s devons n»u.'- anlnonsûniprcsserdc(lir.'qnVnlicrt*rnrnt réceiil, Ünimanx t»l loi i doux el d un caiMciuro un nu puni plus sunrdo el comme . .1,1 h, -même, dans sou éia, ..orm [,i;iir& ,M -: lail [loiiit «Ji»«chniue.iandoAuu«nranh|iii!uiaura,l.Tachc m. Visage. 1 avoue avoir rê.sisié le 12 jn;n AI,. K-oiflai*,, e S |m idulul. du-.!, no l’avoir pas éconl.-c- G..ni,„e ch.,que loi.s. Il .se prom-,-1 bien de no pins h ilrr; mais peui.il ré pondre d une pareille chose. Gomme la relr.nlu seule cl h soliiu.lc penvoni lu. donnur le hdsir de se bien oraver sus prumo.ssçs dans la iiiémeirc, lo tribun,al le eomlauine ci Il OIS mois de prison cl aux dépens. vail” ,,'-;'! '''’'"'i'Oluu'li 'Icniier Ii.ir .M. ,1e Vrove, ii'a- f à. - ''"".c lic.l|leuiip do liersuiims au llii'-àlre, ,-j puiir- l.illl les .iil..sles olaienl r.x,;olIonls cl la comn.isilion do spoclacle etail chaimiaiilc. M"‘ Galliiio cl ,h. Gér,ilzur se M,nl stirpiisses dans les PupilhiK-.x de .1/ lle,i„isi cl le Namrro tiü-, .«•'* Ebrard a oh.lnlé ses lr,.is nior.vaox av^ a trt.s'h ,.n seconde ces arlislost cl .M. d,. Vr„ve rui-'iol! sale.ur do relie léje, doiil le laloiil nous élail déjà connu nous a iail enlendre les variaiions siirlo6’i//-/,«ro/f/fj IV/iive \ ' ‘‘' ‘‘'‘■ ' m'"'’''''’ “ “ ‘“ 'I''»-'- «■•ejî.et- le ir é. ' • I ‘"■'t”''®'* l'indifféroor,* du pnhtio à un I g.ud. I.cs hoirs specl.iclos spnl rares d,ms noi •„ ville Il f.iul savoir en proldcr q-und I’ .ec.ision s.i rcncmlro i*oHve co»'i‘^cl5t>ttncStft tie tieutin, PnéSiDE.XCE DK .M. Vatix. dnditviff.' du menri'di IH Juin lSd2. |e.in Baplisle t’ioyard. Agé de 51 uns, ganle-parlimlior î demeurant A Déthisy-Sainl-Marlln, voudrail insinuer .ni il W h lo lapin cl rict, do plus, et ïcla. en laisani sa lonrnoe dans sa ii.irderie-mais le ga|-( e champéh-ü a vu. au monicnt on il a aroosié le pré- i.i •“.“S''®'* pâlies rousses qui sorlaicnl <tn c.irnier I,|,fv-M-“l" !7"'? ''“1 "C I"'* J" ce poil lo). id préicml qu il a tiré ou II avait droit ,1e tirer, iii.iia 1«e trompe évade,ilmeiii, car il fureerait alors des riiltïvm JniiYoëa '" V '■cv'eiidiqi|cr ta prupriéié, el il elitraiuerail son m.itt.0 dans un pioccs. ü'ailleurs la dame Pim 'iei sait quelque chu.se <le positif, car elle va trouver la r.-niine ml E e d 1?.!T ‘l'“’ un hèvit d.Mi-^ le canner du mon m.iri» ,tJais. nu rhcre il n y avait que des lapins, car vous concevez, ma rhéru ane j.,. »oraii uii hevro qu'il faiiiir.iil payer cher! . Ou i'iél-rc i iffJëf, ,', ;!-„- -n î'" ,"c,'™ "vnrii pas uiaiivais qu'un ie ë IM fi 11 ’,f,' ■ ’» 'I assassin tilts liais, pour coinpictor l.irqnii. M.irie-l.alhcriiic-.ldèle-Désirée Thieiis, ég'e de '>5 ,'iis, feiiime Jtilheu, maiiuiivrit-r, di-im-iiraiil 4 tllai-uies rois,,u de se dire dans l.i plus prufoiide misère: enë'w î ufllig-eiiuii inarietde .piali-e eui'aiis: aus.si, ,,„ur euve- 0|;| er se.s inalheurBUx pelils euf.iiis, ,.|l„ a soujirait deux Y Llle Iii.-iuife.sle le plus granil i,»ret de .sa eoiiduile. ,-t le leiiluiu lili-uiéme. qui,-cries .S i.st ,u-i|uille do sou dev'ir eu saisissant ces objets rhi-z 1.1 pieveiiiie, assure que ,-ette femme est de très buuiies iniunrs et jouit de rostiaie publique, qui en est j'i i-'ejnn pense, tlela peurlaiit ne s -ait elf.uvr le .iéiil, ni.'is l'Iil-' tenue smguilereuieul. i.a foiiiuie Juiiieu avoue et ,-e n'est pr.ml couinie liu-rée de se reiiilro 4 l'évidcuee. mais p,-^rcè: qu elie er,„ul d élre séparée de ses eufans, qùviië ,,'mmjt i' -ërem,ï',-u'i'|-'f“ë’'i-''''’ ‘''i C'Uidamue ia pitvcnuttii lu fi. d amende cl aux Irais. Mippolilo L.iconio. àeîé do 29 ans, in.inouvricr né et domoiiranl a Bclz. a {ilirs d’mléiôlqiio (pii <piu resni. A éjrc lioune.o cl Iran-iuille; car il osl des priédlm s i point o.xhiimer et (pii, si on les réveille, p.ul.mt A v.‘îiv inçm r cli. voirc imsilion une .atteinte pins préji.djciabio qiiL It toit qui il soimo le roveil de ce pus'^é. Gepondanl l.afonie est un ivroftno tapageur- adnndtons qn'un doive v ajt.ulor ipie c est le dmianrhu ri le lundi itn’il se livre A ses punchaiits A la boisson et A l'étourdorie. c ce sri i enc.ue «h tort quand il regardera avec .nn;s\^, quVs’e?! di A i.ut dt Mul. lu g.ndo champêtre, qui élail prisent rn ro moment yti cet homme ronim indail do quoi se rafraicliir 0 «ardü chainpùli-e. dis-je, lui conseilla de prendre noii |Ms un coup de vm ou d'eaii-dc-vie, ni.iis nn roui» de li-.i- vorsin, et Lacoine récoinpensa ce bon el .s-.-ilnlairo avis 1 injUHs et de gourmade.s «| nn fort mauvais goiii, et ii|ii lui yiilenl anjoijrd liiii uu mais de prison el les dépens. La cour impériale d',\miens, chambre des apo -ls de no- ice roncetionnelle. d.ms son .nndieiice du 12 juin I8U2. u nfaituncée. pour . :1 2 ..?n ii? 7 nia.àd.iind(ravoinLs ( i è n S -A - C O I Il nWHHMHKH DG l/OINE. l’résidcnce de M. J.voqu. x dr G.\Sî;iKims, con.suillcr A la Gour impériale d'AniIcns. Auadiciicc du 1 Juin. Afr*»irc OlleX rrmm« Iturlru. InfaHlicide et complieilc. .... iiilimes qu’elle ciili'èli'niiil drpui.s qiiUqne temps avec le nommé Victor Wanianit,. l’.irenséo '.iicnltiic leiicicu devint enceinte A la llii du .mois do juin

Upload: hakhanh

Post on 07-Nov-2018

213 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

S^incdi 'Àt Juin 1802.

MCR. AVOua

[> 1)0 7 55l) 7 0 7 50[) SÜ 7 850 0 0 7 661) 5 6 7 ’ *i0 i l 7 490 5 0 8 Ko'

2

17 fr.jiÊ* lê

Mfr-tiélé-itm »

25 . -• 52

r n i K D K I . ’A B O X X E n ü K T»r. S O I S »

P O .. . . V ,„ .. . . IV‘9>

Pi.i.a Dipambmkki* |8 is tnoU.

DirAi^tMiat I • **' Sii ipoii.A .v 8 ’A B 0 2 v ii;î(

M .l.- V i l lc j _ A h i r w .> . .« M. llA V A jL rue ltiiiK tru ii,/Ç e t clii-s N c in b ir i

MFUTB.niJIXIKn H fl<ti-etlci«A lV lV O lV G E ^ if lJ D IC IA IR E Sr m i x D K S I K S R R T I O I V »

A?INONCE.S JUiUOItinKS , 30 r«nt' U li«ne ANNONCFS DIVÜRSF.S, 20 •

rt rliM lei l.ilitnirfs «tii <lcj»arieincMl.'

Ce fOfW les Samedis,

7", dLsrnssIoH du budget a commencii' lundi an Coriht Icgislaltr. ( je s l-M . Gi'nnier de Cnssagiiilc qui a ouvert Ta dhcuKsioit p a r un d iscéant datiK lequel il anppro iiird les m esures proposées en vue du réinblisscuicnt d e rénu illb rc des fluaiices. '

- - Le Corps iégislntlfu reçu vnmmuiiicaUon d 'u n projet d e loi dem andant 15 millions de crêü ils cx iruurd inuires pour l'exiiédUiou du Uuxi<|uc. e t l'exposô des inolifs d 'un projet d e loi Ictidant A accorder A la vcmivc du g rand cora* posiienr F . Ualôvy, une pension de cinq iniliu francs A titre de récom pense nalionalc. .

— Le MoHileui' wiUeniel i-onticnl un décrci en veiUi d i |. quel une coinniis.'iiun c.si inslitnêe prés le m inisièra de I iiislruciioii publique et des culle.s, A l'eDet d 'i lud iu r toutes les questions qu i se rallaclient A la réorgnnisatiou de l'èn* seigneiiicnl com tnornul c l industriel dans les élahlissem ene d iiistrnclion publique.

On lit dans le MonUctir :Les troupes françaises, m ailrcsacs. aprc.s un b rillan t

com bat, des déülés de .C ainbrcs, s'élaieiit avancées sans obstacle jasqn A Amoxoe, A trow llenesxciilcmcnl d e Pùebla Fartoui les populations leu r fiiisuienl le m eilleur accueil* e t luilépeiidainm cnt des villes de Cordova e t d 'O rizaba iM UM n» de locahlés lellBs que Chii|iiiliiiile, l 'aso Aiielio. I f“ Pli'P'iPl des lioorgs de le province dela Vcra'Cruz se ln ien l prononcés contre le gouvernem ent de Juarez. On SHltend<iit A voir, A no tre approche un moiiveinent setnbiable éclater A Fucbla et seconder une allaque que le généiMl de Lorencez se proposait de d iriu e r

f^i'lillée de G uadalupe, qui couvre la villi*. Bien que les déta ils n ianqucul, p a r su ite d e rirré ''U * Ionie des Gommunications du rin lé r ie u r avec la Vcra- a«‘a ?” î® py*"'' ^0**5 m ai, au m om ent m ême • I? P? I» LoiiMwiifl p a r une dépêche ofll-

cielle du général de Lorencuz. aiirc.ssée le 9 au comnien*I dant do la m iirinc, que l'arm ée occupail. A ce tte d a te , son

ca.'iipemenl d Ainozoc, s u r le plateau d ’Analiiiac.U après dro rapports d ’origuie mexicaine, l 'a ttaq u e pro-

jeleo a , en eflVl, élu cxeciilée le. 5 avec vigueur, n iais sans I * rehMiuhinuents de Guadalupe n 'ayiuil

Çicu *** * IJ«l'Uis lors, aucun engageiiient n ’avait eu

I . B"nvehicraent de l'Eriipcreur prend Im m édiatem ent

, Oiw d é p ic h d lé itaraphiq iio d alée de Uelgi ade . 10 ju in .

di alroii, OUI ossassiiid la veille au so ir un enranl aol bc.I “n i” ! ‘■*‘" " " , “ "0 lu lle .sanglanle qui a durd lo iilc la J nilll. I lusicurs pe-sle.. uni did ddinulis. Il y a en lieaucoun

de inorls e l de ble*ids. Les fe ,„ „ e s l u r q n V ^ I dld p ro 'I tOgdcs p a r les Seibes. ..ruI . . * Y . ' raddiallon des cnnsuls I cl 4 I dnergle des aiilurilds serbes.I La in ilire Inrqne a qu ille la ville.

I r i l f a i ’erbra"‘“ " " " ' P ' » P ™ l e c l i u n des aiilo-

I J ~ x de Stùnt’Pêlersboiirg du 11 nubile le d é n v i1 impérial qu i nom m e le grand-duc Cuiislaiiliti lieiileiiaiitu

f c d i f f»ï,“ " !" ';l» P « l» S u e . M. W ilopolT l. S n i i s i :I ileul du conseil d é ta t A Varsovie, est iioiiiiné chef <fn omi

I |uUdLi*s eontiniiera i d irig e r les alfaires en i^olomie ÜeI *««> pour le lieiilenani gé.I S'^ond-duc exercera ru n lo rité nüm inislra llve et1 ™ T " “ ''" f •<«'“ ^ Ï i l a e l KIcornniandaiil nn lil.iiro . placds l'un e l l a u lre su es ses I «nlrcs. Le lieulenanl-gdjidral sera invesii du d ru il d e grdce.

I nial!..*'»”! " '” ' ' ' ' Craviére cal arrlvd mercrediI S r lênuri l l“ fuHcrieapar l'Ein-I r iM i « â .? ^ * ü ® î’".',***' P‘®”**cr rapport verbal. M. Jn- Icurlne ami!b."«™ i l'onlalneble.iii avec le minIsIre de la IqcescÆ lat^'"' “ dipluniali-

C IL tSm i.r. — On dcrll an Jom iia U e VOite • Eu cxdcullon de la cireulali e de S. E sc. JI. le mliilslro

du I Inldrieur, en daUi dn 0 février I8B2. M. le sons rdfLl du Senbs SC SI rendu 4 Clianibly le jeu d i 18 ju in où se roii

lu-’ d i o ï;,!o n 'T o INÎmili;.'™;

<is>n n’’®**dère dém.ircho d e M. le sniis-préfut en ciilraiil

in tcrc t qu il otlacjie a I iiislrnction p rim aire .I **• m aire , aiirien dépiilé

folüi II !•“ i” de .0. T em plier. mlêJXÜ / i Ln 1 d abord a l'école de.s garcM is-où un des cIlvcs lui a atlressé en lorm cs cinilenrenx unvbiues

r i s r œ *ajoulé ” ‘'P 1“'" ' Puuiic la m e , puis II a

n .n / . '’ 1' Pî® Pcsoin de visile r en déta il voire classe S“j 4 rà l Ï Ï r H s .^ " ■” PTS'ù*- Les bons rapparia quo m 'a ra /eo i Siflj à ' ‘« p c r ie n colle niiilièril. m '.,,,.ra ie iil snnl pour m e convaincre d e i'Illle lllgence du four, lioim aire dévoué que nous avons m is 4 voire lé le , e l de lii buniie direclion qn il a su im prim er 4 sa classe. ■

. ai. le suiis-prefcl a ensnile maiiifeslé ailv .iiilorilés lo-ro lro iîro in h l“ ‘!‘''"® "““ " ‘' 'e p laisir qu 'il éu rou ï.iil en VOJ.IUI tom blen a conim nue fa n p q n r scs écdles iilacéisi diiiis nue sllublioir c l l a r n ia n l i f e Æ f t r e s q ü ï f e ' i e s T ? ' ' sum s^soiil sallsfails. laiil p o u r le n i K ’ q“ie .’imm fes

I l .! ■'e* » s iirlo iil a ttiré sou nlleiilioii cld a pu se convaincre qii'4 Clianibly aussi, pays esseulielle. m enl agricole. I enseigiieinenl d e la cu lliire e l siirlou l de I horliciillu rc II c la n poliil négligé. Iles leçons lliéariniies e l p ia liqucsso iil doiiiiécs telles que l'enleiid JI: le piéfel dans son rapporl au conseil général e l dans .ses circlil! i i ïs

• .Ip ies celle pren iicre visite, qu i laissera d esso iiv riiiis * . le so u s préfel s'esl reiiiln 4 l'é jo le des lllles s“ b ™ d b r gée p a r les sieurs do Noyers. 1.4 aussi, coniin 'ù ré ro le d is garçons, il a nu .«e noiivainKissi n io i.... ■...... . .

■ ''8 Loildanliiiople nous signaleI , ,, J'^uuuu.'Çieua s u r les intours jud iciaires du pays • l n a . . r ! l ° ‘‘•'.'■pu. " " 'T '" ;? ,P" condam né j, m o n

"oi J nu individu duiil la femme seH I t é l le r in h ié 'il r f ‘U'ime. .Ivaiil q ue le p ro ies. •-1 II- til femme m it nii inoiub» un (ils. l)e lA siiini'c:

t " e m i n " ' Y '» .™ "i'"'ilé..de M « i l f a m . ' ï . r S l » n id L cpedue. s 'il veut que l'assassin de■«» « R i n o ^ s 'i ' “i" “ ‘■'ncBeiil.lc prix du sang. U . ï . ?. eoiiitamiié soit m is 4 m ort.

l'alcr eJ p rio n “ ' . “ ' ' "

l " » « S i r t r o n ? h . f ' r •’T '■■W »nsles|.orls anglaisi ! » OblM- r l K . J f cenoniiiércs qui vont ê tre envoyées T 'M urrecliun l é f . P ^"‘\" '^ '* "u i spéciale l& puerie coiilrc P'Wlra dn Mm 1 ^ î ' *®»nag« du ro» navires leu r pcr-

p c s t e 'L !s“i e r S i f ; e ï : “

Pourejcirail êtrélaiiioH : E . IIE (;,M E U .

HOOTEILES DÉPAHTEMEl TALES.

P Ï '> U 'd 'S ? 'm ,“ Hli“„ " i ' “ Y” " " U U X , m iiiistro se . Kl". P r^em m ol. j “ »‘'ce. en date dn 2l ' l ' d ' * S î é ? , f , ? ' ' ® uérm . conseiller 4 la Cour impé- r'rtiocs™ de i 2i i o ' ' i ' '“ '",™ i P>'‘ i ‘'e r les assises duI dans le déparloraem de l'Oise.

I ^R.AMa n t ■ \É ^ M rtc o m n i-T J '® . Noti*o.D,ime d e Don.I ^ w i i i e d™ m .» * in‘" “' ' •^P'^d'ie Jou r deI * dwiin. * 7 h e S Y / f i “ ' f “ ' ' “"ces 410 heures■ ^ m e n i î r é r é d s I- ““ '""u el dn Saint■ “ uialralii ^ Pimcucltou p a r le B, P. Thom as,

i.-s r^ .;iii',:'i” " r *“"■ eilipréssns d 'e inporle r damles fainiiies lc.s bonnes im pressm iis qu 'ils venaiciil de récc

■_l‘u is a eu Heu 4 la m airie la conférence des n n lr rs “Pi^^LiiLqyell^îl.Je smis-prôfut.n.vonlii v isite r ré c li« i nnV m S «|Mj dem ando de grom lcs am éfioraîio '.set qu II Mîi.111 urgent d en trep re iid ru , aQn d e conserver nu cdillce aussi impori.'inl. . u c t.wus,Krvei un

ra .n .''? '''" .f.'l.'u .P P 'cudre que dans l'école des g irço iis une colircle a ele faite pour la üociélé du Pniicu Im périaliirr « ^ J i r ” ” " !” . “ 'L a rm o doa 'iu iliallvo -q ir'om - p rise les élèves de celle école. . f/„ u i „ „ „ r

lu nüin!**.” '- ’Ocp'iéoii.de Crcil a donné d im anche, sous la iLiile, San g rand cuiicerl annuel. On regrellu ici de ne S io s T . " ' ' '? ! '* '" " " “ «“ « 'C i' une vaste ï iH e q u s”r, h phiA favorable pour ces sortes do réunions. i /L c m b ié e é ta it tiouibreii.se e t clioisie; les luile llcs d e s ila u irs très- jo ics. toîs aiilorilés de la villo avaien t ac tivum nil pourvu?.. « « “ H®®» '- P » » d tc s ’ost L u t i éllîii " “,1*.®“ •"'■“ ‘‘i* s n r to u rà rü .\lréu iii.j do laten te ou 1011 II eiitciidail p resque r ien . La sim orilô i s | nullu

line lente c l l’a r lis le ne rocueille pas les f r i i i i r i i son labeur, puisqit il ne peut éiro en tendu A une vingtaine de pas J a r s iiuant'cs lincsel délicates deviennent im iiib s quand le> chai teu fs . nu nonibi-e de 75 ne fout pas aiilaril d ei ijS t r e 'Æ d ; ' : ; ' ’' piài..: pou.'

V" ‘ï" '’” ''* •'Orphéon d« Croil et la so. C ie téchoia le les Ltifaiits du Duaiivnis se sont rendus inii- sique en telc, A la ten te qui é ta it parfaitciiiem décoréeii'fili « , !“ ®. PO'»(>ic«-s a fait cu tundre la m ard ied OUtello. IsVxecntioii a été lionne. o iaïu iu

Le Sajut aux Chtmleurs, d AiiibroIso Thom as a été dit p a r les Liifaiits de B eaiuais avec ensem ble et justesse I a soi.irté com pte deux mow d'existence séricnsu Elle réunit bi) e.\ecnlaiils; 48 étaiuul présents p o u r le concert. Ellu com pte de bonnes voix e t a iiii bel avenir.

Ist* duo dc Giiitlnitine Tait, pour piano et violon, a été cxcciilé pur SIM Ch. Prévost c l Ch. Dnpuiil. Co murccuii T 'in . 'i î '‘" ' ' “ '■ " i * 'u u cr . a été hieli e.xéculé m ais p a ssu b Isanmioiil apprécié p a r la porfccliou des nuances, 4 c,iii.sc il locid et du bniil nv iariu ie . cv- ' '

parfailcincnl réussi. Lu ballon aim 'u s'é lru 'é levé 4 iiiio hau leu r assez grande es t a llé lu iiib e rs tir les eùles ilc Vaux

Uuraul la félo le bal a élé Irés-brillanl. Ou r i î aussi a |l 1 ’m r ' i " “ ‘“ ■'''r l'excnlleiilorclieslre d irigé

pai M. Ch,1,1011, ch efd o rrh eslre du b.d d 'O rieul. M. Chapon apparlieiil 4 la ville de Crcil p a r son m.iri.ige

MÜN'TAT.IIIÏE. — Jeud i 12 ju in , vers sep! heures <luOn ièr d r ' ' l î ' ’“ ' ' “‘’‘' l i l s d ' i i i l vui. m lei do celle euiiiuiiiuc. en je t l.i ne du gre-

d ï l i e iiYim .■ ....... ‘-'i ' '“ ' ' ' I ' ' cl est luSibé c iir de sept luelres dans la ru iir. Cet euf.iul acca du graves couliisioiis 4 la Icle, .i l'épaule dru iie cl à

la (wnclic droîlu. Sa viu est en dangei-.

— 0 :i écrit an MonUeiir de l'Oi.u; : loë.,“ ; ' '"Hll du l'ail a Clé ré ic liré le III juiniiÔ oî'l. c f ‘'i” " .'•c '" 'C . en l'église de. ire,a -Vli a ii • madeui.iiselle de Coudé, décédée au tliAlCiiu de ilou lü ta ire , le 11 ju in 1851, «

~ lo li.noii di! Confié, qui iravail ;iu as.sisicr au cou- com s musical <lu M ontiitaire, par .suite lie deuils de liiiiii/leet qui «leiit de re n tie r daii.s re lte résidence usignale ^ u fait, digne en eifét d 'é lrc noté. s\prês avoir été rmxill!: toiilp une jou rnée A pln.i de 5,0l>d per-*nmw;*sn p ro p n e ic n*a pas en à su b ir le jdns jielit <t»nn-

pas v»e branciio d 'a rb iv n'a été eu.ssi*.:. pas une nciir fonleo an pied, fie lé.suliai. .issnréiniuil rem iininalde,liale r buune.s s prises p ar les orduii.^018 p ril pa|!î; '■ “ “ V il ‘luA persoiiues qui

du locid et du briilt ex tér iM ti^ >--~“la m usique de la

m aison de suiité de LIerniont, a be.iiicoiip anius:'* le pnlilir avec u» voyage aiilotir du monde, raudiriico du j,ig„ ,U, m ix e t su rtou t avec madame veiwa Saucisxc-Plale, où l’artiste a’

l’i ïx J!? ''««»q**e vraim ent digne d éloges.dans et

«irMe»/rcl, s est montix^ ch a n teu r intelligent.r , Æ i ê tre «li.intée p a r ST.O o lille a etü d ite p a r SI. T hônre t. d e Clerniont.M-m 5 l ' i i i*. l« piano nn très-joli nior-n • oyï>acl»- Il y n d an s ce m orceau des tra its de dé- htalcA secxjïuise. e l un a vu tout A l'heu re contre quel dé- savantago I a rtiste avait A lu tter.

L Orphéon de Cfell a d it avec beaucoup d 'en lriiiu la ï S , M ° D i m y ’ ' ' I lo n ilo u ré son

i c t K i S i ^ . ' S ' r î ï ï s

avro t a r u a p 'ü l n r a m r i L " "Quant au Dageolet, son in strum en t peut fa ire sou effet

e m alentendu en tre leSolls 0 e t I açcoiitpugn.ileiir qui n 'avait pas été prévenu des icp ilsca e t des renvois suivis p a r lcn ,igeolo l. Ce pellt iii- ni, .d.V " '! ‘î une solilo répétition . l.o5e ë î l e r n s r f f 'lU'il i la i l. lL ,ë m. arcom pagiieniout eom piet. En inii-simie, plus qu otl_ toiile chose, il est hon de s 'en icndrc.

L a u e ira ti , e x e cn tée p ar les deux sociétés chur.ilcs a étéchaleureusem ent applaudir. cnor.iits a cto

' I’" ' ' " " " valka. l'Bc/ipj».Après le concert, les orphéonistes do Greil et les m n s i r

ciens ont oOerl un b.ani|iiot aux Enfants de Ileauvais. il va sans d ire que le phis bon o rd re a régné dans cetio réiiiiion

ro Z i l s ï î r ^ T - L M-'*’’* mit été r«:îh lv r l i ® ‘>«sesép.irer uncn œ ar et un m oiceun d e m usique.

L u ballon est parti A R heures et dcniir. rasceusion a

vn!*!!!'nn ~ ï ' ' " ‘ f uaumagile avait invité .sonSii n.i.l’„. ? “ ilua l'Ç'Ilels d 'urlolaii, m ais u ne liniiilc clë h ni u " ''''“ ......... <I'“S''SUë I n . J !'• '» U " " ''i ''a s .iv o iira icmh I. : , V ' 'Î co re p a s co u iin iiii. O u d o u b le sonIl I iieui lu isq u 'o n le p a r la g e avec u n a n s u r la

iuëhe b'I ui'i'-b ' l 'c C i 'ia su r l'é-4 re m ï ; “■ Cl”" , '. " ' '" a u iu 'i l 4 lelll'félieité, quand luiitle ë • ; i" " '! ''c ip 'm s pas su r les ils. C 'élalt

r J“ '" ' d e ce j , ,l i m o is d e m a i .. . a h 'v m Wiel. l n ’ a p p re n d re le iii.ilhcuren .x s o r t dero s seuibl,ible.s, q u a n d vous ii ia re h e rc z s u r . les b r.iis cs m ai-quez r iv q u iir liél'asic d 'u i ie g n jfe lu iiro X .^ q u j_ s 'e s tvî m il si. . " l " " ' ' ' ■" 'l 'c u ’c u 'lc . “ l u n lie ces lu e iiu iesl ' ë . i Y i e - " " c li iu ié r iq u e e m p i r e . .L . I ..liy trion lu i a p p a r te u u i t , m a is l 'im i t é a p p a r te n a i t au volsiil X ... q u i rei-Bil.iit du r .h a u u v . re i l l r e elle/, lu i- il

4 u ', '.m m i° n “ ’''i* d u e t i i l u i u « e „ i ,lè„ v .f i n i t » , .1 . m ,dc“ " “ ', c l , a u se in m ê m e d e s d é lic e sS f i t t I I ■''■T'''' C 'd a a a p a le sq u e s deux goiir.iëuH ? ' 1,1 I "" déù'Uiillolu ii» ir.idaVHW, (!t leu r puaii est \«u | ik>. l>r(in«<.vürb.d s’oiid 'ë di la.Vs J ' " " 4 deslriieteiirs de iii,ls elU aniuiiiux doniesliqiics.

u.-oo-î!'.''?' ~ !••'' I".'"CC-1-'‘,'."U de la Fèlc-llieu, au ra lieu di. uiaileho dans I apros-niull, el sortir., ,1e la e.illii-ilrale 4 -ne ,t i;'’c';l''fS-.Cde]i,-irciiiirra les plaee Melre-llauie,

MIC de V illciiul, des |>ig,..,i||s liiauus, S iliil.P ie rre , Saint-

,lë Plïéi.-'î ,Téëv M " ‘" 'r ' .1''“ ' '■-'PI">''l'aii'P-iiu, [,la,-eb, V, I. f , f '! ■ “ eauvals, place aiis-tlàli-aiis. rue lu |,i lo iila illerie , plaee de l.avar.-iiule. rue du Piills-Tlii-

Vi lë'Y’.’-i' l'™ ■'■“ " ' -''-‘"'■'cc, lin t:iia |. |l,ire l. rue dole -- ,e ' liabllauls seul im-ilés 4 leu,Ire le .lev.iiil ila lu lis m.iisous e ta les rues ,1e lleurs cl ,1e verdure.

- - La séaiirc ,|e l.r Sueiélé d 'A grieullure de Seuils, aura lieu le mai-,h l" ju iM el, a 2 heures I 2 île l 'ap rè sm id i.

— Le iinmuié l’ierrc:i,'i-itno«is Ilériii. âgé de 27 ans u-li'- h“ 'ï'^lc'.d', ceililaiiiilé 4 lu peine de mûri

, 1- t j - t Sc"'C 'el'-'larile, le 17 m al d.-riiier,pnill „ \ 01| assassine la vouvu llu ru . eab.-ireliéro. s'élail eeluippe il y a ipie qiies ju in s , di- la prison de .Mclilli : mais t -iumé de Ions eules, H a élé ar rc lé et aïoeilé h ier so ir ilaiis lu .prise,, de Seuils, nu il a passé la iiilil. Il est iiarli ce él'?,.'l'-mi"-* d e q u a ire geudaruies, poiirsupplia- " "C "* -"" le jo u r de sou

I iclui--l,,-ibrlol Cliry, âgé de 35 ans, n 'a vraim ent pa.v de eliaiiL-u; Il est lié a Marciill-siir-Oilrcq i-l a élé voler cmiilî îë ë im 'ë,'. f 'd 'c 'l" "a cette euni!m u n i, 011 II 1-n s.ul trop n e n ; ca r après avoir siibi suiv**

eund.iiim.-ilioiis, il est placé sous la surveillance de la hanle s liL i ".'“i ' *c ll 'l 'd d e r eu déi-eiiibre prurhaiii,S. le-sidiiiee e la it Seuils, un il avait du l'm ivr.iae roliinie I M Cl le dégoiii

s,! |,-! t I ' J."“ ds . \ l b.ibitiiJe du vagabomiag.', l'ont fios. fit ,’r , I I-, ,-'“ r f Iitaiiser, qiioiqiiene travaillant p a s , ' - -m- ,- I ,- I- crult.avoir tj-av,illlé d a iit ,Ii-

„ ;,,“ Û .'".'l'Idcs depuis ,pi II a ........... Seuils, m ais jlé i , l„ , M ' ' c c c " B"“ L " c p e u t -e l l e d u g m l l ,1e c e u x pour q u i 11 d .'-b ile . I lu r v s e r a d u i i r

...... C 'u u la i i lu e .,M ,i peut-elre que ce inallieiireu.x a ci-liuué au p,,, ,lu ë 'Y t l .-é m ','- i ‘' ’ ‘ - u '“ II e u a p p r e u a u tque, pl.iee sous la siirvcillaiiec pour 5 ans eu 1818, il n 'a

pu, eu lu ans , poiis.serjusiiu'4 l'expiralioii.

— F r.-ii|ço is.Jusoph K .illo is, 4gé d e 1 8 aii-i, i-a r r ie r d e - - ll i r i i ra u t a S a iiit-M ax iliiu i, e s t e iieo rc n u d e c i's b o u lm es dëm'-nim'u-' 'V " '“ P ''“ h 't é ex cn ip la ire -, li a su b i n e u f c ou-

ë -i , , c ‘ ,C','J '"ll',l h iii sa i l ix ié m c e s tà m o l i r e a u ra n gb t t l -e lë ù n ! '-"‘“ 'C est lellcuieilt llaü illlé.fb .itlie qu II hll est iiienie arrive d ese ree r les violciiees en-,1- ““ cliàtiuiciit de cinq ansd euiprisouiieuieut. Il paraiss.iit é ire eorri»é lie ce’- é as semeiiis, e l, diipuis 3 ou II aies. Il ne se.pi-éM ul,tiftihis nue poiii d iveis vols; in .iisciillu , vuvaiit qu e-f ou 5 fuis ce lle I|>auiere d 'ag ir iic lui réussissa'il p.is'm ieux m e bi p f& ë . deiile. Il eu est revcliu aux coups. Il para it que le •> liiii, couraiil. Il a lelleuieut i-eg.-igué le lemp.s p e X puut-'ë iëniiouiS' ipi 11 ,1 mis dans sou lu , hors de eouilial el de Ira- vail, un ouvrier de .sou pays. C.illois n 'avait, bleu entendu féi'r • P “.‘.‘,'i'“ 'i l '■} d lie sait euiiim mt eel.i a pu sêsoil J t a'li.t dëpi'Üs!' ' ' ' “ “ l“ '‘'

lil m , ', 'l ' , f ë t " i 'f 1 '" ''" ' L"uis-.i,Iolpl,eIlru-m.lux lie sa r.il.ile marne de su révoUer cmiiru la «uinjai-Iilin'ila’- 1.1 *î'l‘ àse.s vouloirs, quoique

îl 1 cü.<l (I jih celle position qu 'ill‘?m 'I®' ®»î-?üJil de fois îléj.ivalu do.s corrcotiousrU ruiiijçns. Agé d« 51 ans, ouv.-ier do i .n nertf, dumuiiriiiii » Sunlis. a tiiii la cam pagne de Grimée Uluiiictil coaiplelu, <pi il csl décoré «lu la méd.iillo u.Tor-

deu .111 nom d e la .•um,; d'.Vnglcicrre. el que «elle m éd.illlf Ls accom pagucu. u qir.ilre aÿral'«.s. itiün|mml qn'il a assjsié

d.m l te lle c.imp.igirc. .Nous am ions A penser que rc l homme a t l t mi brave soldai, m.-iis ce qui est CCI ïam , il n esl nas commode d.aiis la sociéié civile, quand il a m alhenrcuso. m enl absorbe un vci'i-u de c.'i.sse.poiirim! [dus qu ’A Purdi- l u n e , co .,u. arrive assez fré.iuem m enl: n«l,s devons n»u.'-anlnonsûniprcsserdc(lir.'qnV nlicrt*rnrnt réceiil, Ünim anx

t» l loi i doux el d un caiMciuro un nu puni plus sunrdo el comme . .1,1 h, -même, dans sou éia , . . o r m [ , i ; i i r & ,M - :la il [loiiit «Ji»«chniue.iandoA uu«nranh |iii!u iaura ,l.T achcm. Visage. 1 avoue avoir rê.sisié le 12 jn ;n AI,. K-oiflai*,, e S |m idulul. du -.! , no l’avoir pas éconl.-c- G..ni,„e ch.,queloi.s. Il .se prom -,-1 bien de no pins h ilrr; mais peui.il r é ­pondre d une pareille chose. Gomme la relr.nlu seule cl h soliiu.lc penvoni lu. donnur le hdsir de se bien oraver sus prumo.ssçs dans la iiiém eirc, lo tribun,al le eomlauine c i Il OIS mois de prison cl aux dépens.

vail” ,,'-;'! ' ' ' ’'" 'i 'O lu u 'li 'Ic n iie r Ii.ir .M. ,1e Vrove, ii'a-f à. - ''" " .c lic.l|leuiip do liersuiim s au llii'-àlre, ,-j puiir- l.illl les .iil..sles olaienl r.x,;olIonls cl la comn.isilion do spoclacle e ta il chaimiaiilc. M"‘ Galliiio cl ,h. Gér,ilzur se M,nl stirpiisses dans les PupilhiK-.x de .1/ lle,i„isi cl le Namrro tiü-, .«•'* E brard a oh.lnlé ses lr,.is nior.vaox av^

a trt.s 'h ,.n seconde ces arlislost cl .M. d,. Vr„ve ru i- 'io l! sale.ur do re lie léje, doiil le laloiil nous élail déjà connu nous a iail en lendre les variaiions s i ir lo 6’i//-/,«ro/f/fj IV/iive

\ ' ‘‘' ‘‘'‘■''m'" '’' ' ' ' ’ ““ ‘“ 'I''»-'- «■•ejî.et-le ir é. ' • I ‘"■'t”''®'* l'indifféroor,* du pnhtio àu n I g .ud. I.cs hoirs specl.iclos spnl ra res d,ms noi •„ ville Il f.iul savoir en p ro ld cr q -u n d I’ .ec.ision s.i rc n cm lro

i* o H v e c o » 'i ‘ c l5 t> ttn c S tf t t i e t i e u t i n ,

PnéSiDE.XCE DK .M. Vatix. dnditviff.' du m en ri'd i IH Juin lSd2.

|e .in Baplisle t’ioyard. Agé de 51 uns, gan le -parlim lio r î dem eurant A Déthisy-Sainl-Marlln, voudrail insinuer .ni i l W h lo lapin cl rict, do plus,et ïc la . en laisani sa lonrnoe dans sa ii.ird erie -m ais le ga|-( e champéh-ü a vu. au m onicnt on il a aroosié le pré- i.i •“.“ S''®'* pâlies rousses qui sorlaicnl <tn c.irnierI,|,fv-M-“l" !7 " '? ' ' “ 1 "C I"'* J " ce poillo). id préicm l qu il a tiré ou II avait d ro it ,1e tire r , iii.iia 1 «e trom pe évade,ilmeiii, ca r il fureerait alors des riiltïvm

JniiYoëa '" V '■cv'eiidiqi|cr ta pruprié ié , el il elitraiuerail son m.itt.0 dans un pioccs. ü 'a illeu rs la dam e Pim 'ie i sait quelque chu.se <le positif, ca r elle va trouver la r.-niine

ml E e d 1?.!T ‘l '“’un h è v it d.Mi- le c a n n e r du mon m.iri» ,tJais. n u rh c re iln y avait que des lapins, c a r vous concevez, ma rhéru anej.,. »oraii uii hevro qu 'il faiiiir.iil payer cher! . Ou i'iél-rc

i iffJë f, ,', ;!-„- - n î '" ,"c ,'™ "v n rii pas uiaiivais qu'un ieë IM fi 11 ’,f,' ■’» ■ 'I assassint i l t s lia is , pour coinpictor l.irq n ii.

M .irie-l.alhcriiic-.ldèle-Désirée T h ieiis , é g 'e de '>5 ,'iis, feiiime Jtilheu, m aiiuiivrit-r, di-im-iiraiil 4 tllai-uies rois,,u de se d ire dans l.i plus prufoiide m isère: e n ë 'w î u fllig -e iiu ii i n a r ie td e .piali-e eui'aiis: aus.si, ,,„ur euve- 0|;| e r se.s inalheurBUx pelils euf.iiis, ,.|l„ a sou jirait deux

Y Llle Iii.-iuife.sle le plus granili ,» re t de .sa eoiiduile. ,-t le leiiluiu lili-uiéme. q u i ,-cries .S i.st ,u-i|uille do sou d e v 'i r eu saisissant ces objets rhi-z 1.1 pieveiiiie, assure que ,-ette femme est de très buuiies iniunrs et jouit de rostiaie publique, qui en est j'i i-'ejnnpense, tlela peu rla iit ne s -ait elf.uvr le .iéiil, ni.'is l'Iil-'tenue sm guilereuieul. i.a foiiiuie Juiiieu avoue et ,-e n 'est pr.ml couinie liu-rée de se reiiilro 4 l'évidcuee. mais p,-^rcè: qu elie er,„u l d élre séparée de ses eufans, qùv iië ,,'m m jt

i' -ërem ,ï',-u 'i'|-'f“ë’ ' i - ' ' ' ' ’ ‘''i C'Uidamue iap i tv c n u t t i i lu fi. d am ende c l aux Irais.

Mippolilo L.iconio. àeîé do 29 ans, in.inouvricr né et domoiiranl a Bclz. a {ilirs d ’m léiô lq iio (pii <piu re sn i. A éjrc lioune.o cl Iran-iuille; ca r il osl des p r ié d lm s ipoint o.xhiimer et (pii, si on les réveille, p.ul.m t A v.‘î iv in ç m r c l i . voirc imsilion une .atteinte pins préji.djciabio qiiL It to it qui il soimo le roveil de ce pus'^é. Gepondanl l.a fo n ie est un ivroftno tapageur- adnndtons qn'un doive v ajt.ulor ipie c est le dm ianrhu r i le lundi itn’il se livre A ses punchaiits A la boisson et A l'étourdorie. c ce sri i enc.ue «h tort quand il regardera avec .n n ;s \^ , quVs’e?! d i A

i.u t d t Mul. lu g .ndo cham pêtre, qui élail p risen t rn ro moment yti cet homme ronim indail do quoi se rafraicliir0 «ardü chainpùli-e. dis-je, lui conseilla de prendre noii

|Ms un coup de vm ou d'eaii-dc-vie, ni.iis nn roui» de li-.i- vorsin, et Lacoine récoinpensa ce bon el .s-.-ilnlairo avis1 injUHs et de gourmade.s «| nn fort mauvais goiii, et ii|ii

lui yiilenl anjoijrd liiii uu m ais de prison el les dépens.

La cour im périale d ',\m iens, cham bre des apo -ls de no- ice roncetionnelle . d.ms son .nndieiice du 12 ju in I8U2. u

nfaituncée. pour. :1 2 ..?n ii? 7n ia.àd.iind(ravoinL s ( i è n S

- A -

C O I I l n W H H M H K H D G l / O I N E .l’résidcnce de M. J.voqu.x dr G.\Sî;iKims, con.suillcr A la Gour

im périale d'AniIcns.

Auadiciicc du 1 Juin.Afr*»irc OlleX rrmm« Iturlru.

InfaHlicide et complieilc..... iiilim es qu’elle ciili'èli'niiil drpui.sqiiUqne tem ps avec le nom m é Victor W anianit,. l’.irenséo '.iicn ltiic leiicicu devint enceinte A la llii du .mois do ju in

wI f ; ’ '

ou au commiMicenieiù du mois d« juillcl le Ir'U*sièiQO m ois do «a gi*oss»C(«e, file Hl à sa misre, qu u du resie, ii'iguoraiv pas «en relalluns avecW aroauU , l'aveu de la pu* sillon dans laquelle ello se Iru u ïa il. CfOiuMidaiiU »i la inere. ni la fille ne Üi'enl de prâparallfs pour recevoir rc iuan l qui devait iiuilre, ol Valeiilliio se r ra ses vâtcmeiils jilus que d'Iiakiliide aliu de dissim uler smi ê la t. Dans les ileniiew jo u rs du mois de i«ai*s 1802, le b ru il se r«^pamiil dans la coinniuiie de Foniiiiue-Lavagaimo que Valenliue. asslske d e sa m ère, avait fail une raii!isc*couj;he. i.’aulorlli., uverlie,. p rocéda aussitôt ô une iiiforiiKilioii. I.a femme Lucien, ni* leriitgéc, préleudil d’abord que sa lllle ii’aviiil pas t i e en- ceiditi, qu ’elle é ta it mal réglée, et que le 22 m ars, a la su ite d ’uiie iiidigcs'*ioii, elle avait simpleineiit ép ro u re une forte w r ie , au milieu de laquelle elle avait rendu ries caHldls Qç sang. Pressée do questions, elle Unit par iwm>- naître qu 'elle n’ignorait point, il est v ra i, que s.i (ille eul été eucem tc, qu’au bout de ciiiq mois de grossesse celle-ci é ta it accouoliee d ’un enfant; m ais elle a soutenu qno c ri enfant étant m ort-né, elle avait r r ii pouvoir en te rre r dans lu jard in d o sa maison. Comme sa m crr , la lllle l.uclen Kculiul qu'elle avait fa it une sim ple fausse-conche, sans Devoir provoquée. Cependant, ap rèsav u lr cliercnôa egaror les investigations*de la justice en donnant de fausses inrii- cntibus, la femme Lucien se décida & désigner I endro it on elle avait ciifoul le corps de ren fan l. .

Le lendemain 29 m ars, Valcntine se resigna n lairc I a veii de sa culpabitilé : elle déclara quo le 22 m ars , v e ^ m inuit, so seutaiil prise des douleurs de renranlem ent, elle avait ôveilié «a m ère, dans lu cham bre de laquelle elle coii- chail ; en tre sept et hu it heures du m alin , elle avait inis an m onde un enfant qui avait crié ; la femme Lucien, prcscnie

raccouchcm enl, avait coupé le cordon om bilical, mais sans te nouer; puis la délivrance était arrivée presqn aus­sitô t. e t la femme Lucien avait été p o rte r le pfaccnla dans une élabic : pixilitant alors de l’absenco de sa m erc, elle K’éla it levée c l avait tu é l’enfant en lui appuyant le pied s u r le cou ; sa m ère lui avait fait en ren tran t rie vils repro­ches an sujet d u crim e qu’elle venait d 'exécuter, et, le soir, ce lle dern ière avait en terré le cadavre. I.e 51, le corps lui soum is é l'cxanirn d ’nn homme île l’a r t, qui constata que l’enfant é ta it né à lerm e on à quelques jo tu s p ics, qu il é ta it viable i t qu 'il avait vécu; qn ’citllii la m ort devait être attribuée A une asphyxie. La culpabilité de la lllle Lucien •le peut donc faire l’objet d 'un doute.

'Quant A la femme Lucien, il est également certain , m al­gré l3S réticences de sa lllle qui para ît vouloir assum er su r elle tonte U rcspimsiibililé de son action, qu ’elle a p.irti- oipé a n crim e d'infiiidicldc. Durant le travail de I accou­chem ent qui n’a pas d u ré moins de sept heures, Valcnlmo avait nian fosté à «a m ère l’intention d e . donner la mort a reiifan l qui allait naître . La femme Lucien est obligée dereconnaître celle circonstance. .

Lorsque l’enfant vint au m onde, la femme Lucien, deja unati'e tüis m ère, no noue lias le cordon ombilical qu’elle a coupé. Sa seule préoccupation, lan d isq u e Vulentincéloulfe re iifan l, est de faire d ispara ître les traces de raccotiche- m ent. C'est elle qui cache le p lacenta, e t plus t ^ d , ccsl encore cllo qui enfouit le cadavre. Elle parm i, dt: reste, avoir laissé crhapper le secret de sa crim inelle participa-

^que. lo prem ier avril elle répondait an m agistral

liif.'rieiirc. cl les ravages ^e sunt produits presqn 'horlton-

lion, lorsque.. . . ........................— . ,qui rin lerrogeail ; • L'csl seulem ent pendant le trav.ul di raccouchem enl que la mauvaise idée est venue û m.i lillc,: j ’ai en le to rt de m'y associer. • Le 12 du môme mnts, elle s’écriait encore devant M. le juge il’inslrnoliori : . Que voulez-vous, le bon pieu nous a abandoniiec ' imites deux en ce moment-Ià, » et ensuite : « J ’av.iis rais.oi de. dire que nous étions perdues, ca r jam ais nous nu reverrons I toi- ta ine . • . •

M. Barthelon, .snb.«titut. soutient I .iccusalion.Il* Blancliet, présent» La défense de la liile Lucien.M» Bouré, ci-lte de lu femme Lucien.Déclarées coupables avec firconstances allém i.m les. la

nile Lucien est condam née à cinq aiLs de réclusion, cl U femme l.ucien à h u it aunéis de lu même peine.

Audienct; du jeudi ^J iiin .. t fT n ire v c i iv c C o iiv«*vrhcI.

Afxtisxiiml.A dix hcnre.s. la Cour en tre ou .séance.L'accusée est introduite . Su mise est ccllu «l une proprié­

ta ire aisée de la camnagnc. Sa tenue n ullre rien de ca rac­téristique qu 'un a ir lic |ii-ulondc tristesse.

I a salle est complLlcnient rem plie. M le président or- doune de f.iire so rtir les personnes ipii ne peuvent Ironvi r

iraccus.'ilion, conçu en cc.splace pour s’asseoir.

U c tu re est donnée, de r.icb: term es { , ,

■ Joséphine Ib r r t, veuve Louverchcl, est agee de \ i ans; elle appartient à une famille eslim able.

Sa belle-sttjur, Eugénie F lan, née eu iHlO, avait clé pen- i d a n l 14 ans au service, soit de f.ouvercliel porc, soit île j P rospcr Couvcrchel, lorsque i:e dern ie r l’»q>onsa on août i f iS I . Elle para it avoir tenu une niauv.iise conduite avant son m ariage, l/accuséc pré tend qii'Eiigénic c»! devenue en­ceinte pendant son séjour chez s»ui beau père ; elle ajoute nue son m ari, alors vivant, considérait, ainsi qu'elle, ce m ariage comme nu déshonneur pour l.v famille. Son i r r i­tation s’aciu'ut de ce que Couvcrchel père, vieillard âgé .lu- jo n rd ’bui de 80 ans. Ül, il y a quelques .innée.s, un pai tage anticipé, dans lequel le fils de l’accusée p.iru t .ivoir ete lésé Or, le vieillard dcm cnrc avec l'ro sp er et sub it l’iii- nuenre d 'Eugénie. Puis, en 18Ü0, Couverciiel père a aban­donné à ses deux antres enfants l'usufriiil des immeubles com pris dans leu rs lots, moyenniinl une ren te , e t a refusé d 'accorder le même avanl.igo ^ son petll-lils,

■ le s maisons appartenant .A Prusper Couvcrchel et a Joséphine Ibert sont oonliguô-. L iu rs herbages .sont sé­p a r é s p a r une haie sèche. Joséphine Iberl a , pour se ren ­d re à son ja rd in , une servitude de pa8.sage su r l'herbage d e son beau-fière. Iæs rcnconircs en tre les deux belles sœ urs étaient donc fréquentes, elles donnaicm lieu A des dispnt&s et A de* violena^s. Les bestiaux ou les volailles en offraient ordinairem ent roccasion.

• Le dim anche 50 m ars d ern ie r, vers hu it heures du m alin , Joséphine Iberl était seule d a iisso n dom icile; dès la Teille, elle avait ordonné A son IHs d ’aller laboure r une pièce de le rrc assez,éloignée, cl pourtan t il é ta il dans l'u- H.ige de ne point labourer le dim anche. Vers h u it heures c l dem ie elle traversa l’herbage de Prosper pour sc rendre A son Jardin et portail A la main le fusil de son (ils. Elle rencontra dans l'herbage. Ailélaîde Flan, sœ ur d 'Eugénie. Bientôt après elle revint chczello avec le fusil qu 'elle déposa dans la cuisine „ . . . .

■ Vers dix heures cl derme. Eugénie qu i é ta it occupée ave« sa sœ ur A détendre le linge qu 'elle avait mi* sécher daiU t’berb.ige. entendit le e r i d ’une poule qu i venait de noodre dans un petit hangar en paille adossé A la bergerie d e Joséphine Ib e ii, e l lui Apnarlemuit. Elle se rendit do ce cMé ponr s’assu rer qiie ce n était, pas une de ses poules qui vcoau de pondre . Elle é ta it A quelques p.is du hangar, le long de la nàie sèche, qui A cet endro it a un m ètre soix inle ceulin»èlres dé hau teu r, quand tout A coup Joséphine IbcrI p a rn ld e rB iilré côté, monta s u r un las de p ierres, cl te ­n ant le fhsil arm é, le cnnou appuyé su r Li haie dans la d i­rection de sa belle-sœur ; « Avance si tu l’oses, • iuj dil-rllc- ou suivant une au tre version ; • Si tu avances, je le scr. virai •- « Tue-m oi, al tu veux, répond ta femme P rosper Couver-> rb c l, m ais il faut que j'aille voir si ce n ’est pas mn poule> nu i est da'ns le nid. ■

• Quelques paroles furent encore échangée.*, puis le coup

Eartil. Eugénie Flaii tomba foudroyée sans pousser u,u cri. c fusil é ta it chargé d ’nn mélange de plombs i r G et 7. La haip n’avait que 20 centim ètres d ép a issc u r; «Ile a ûlé

(rpttvéo tachée »îc sang, le cadavre A la ilislanre de 40ccn- (tm èlres. Le coup a frappé A bout portan t, A la mâchoire

..dcm eni, mai* plutôt "do h a u t eu ba*. en allan t b riser la moelio épinière dans la région cervicale. i « 1..

• L'àccusée déposa lininédiatcniont son fusil près de la porte de la cour, e t so rtit dans lo village. U encoutraiit la 'eiiiine du m aire , elle lui dit,: « Ma cousine, si j ai le cou coupé, je l’a u ra i, c’est fait. • , , „ , ,

- Doux habitan ts »le la t^omimme, les nommés elDilloi», t'iireul alors chargé.* p ar le m aire d ’aller I a rrê te r. .Aux reproches qu 'ils lui llretil. elle répondit fivideuient :• Que voiib’z vous, «l'est fait. » Puis elle leur expliqua • oin* ment le fait s’é la il passé. — Suivant üilluii elle u d it ; qu 'ayant aiKU-tru de sa grange, p ar un trou , la femme I ros- lier Louverchel qui sa dirigeait du côté ou pondent scs pou- k'.*, pour y dénicher ses »enfs, elle é ta it allee p rendre son fusil dans le coin do sa chem injie; qu’elle I avait a rm e et avait re tiré un morceau do papier recouvrant la eapsulc; qu 'elle était allée se placer au coin do sa bergerie po.ur faire peur à sa belle-sœur, el que le coup était parti sons qu’elle si\l commuiil ; que ce qu 'elle regro liail, c’é ta |l d a- voir arm é le fusil. Cilloii ajoute qu 'il est s ù r que 1 nltdlpéo lu i a d it avoir arm é son fusil au moment ou elle i a c a r celle révélation l'a vivemcnl Impressionné.

» Cette circonstance révèle de la part do l’accusée la pré- m édllallon de son crim e; m ais elle n’est |»a*seule, et cel es qui viemioul s'y Joindre ne peuvent laisser platée au doute.

» L’Irritation ciitro ce* doux femmes d u ra it depuis trop longtemps pour qu’une résolution extrêm e ait été prise ino- pinéineal p ar Joséphine Ibe rt. Dès la veille, elle avait donne à son lils de.* iiislructious pour l’éloigiier dans cette ma- liu.'’e , ca r il an ia it pu m ettre obstacle A ses projets ou se trouver com prom is avec cllo. Le m alin elle tnnporic son arm e dansle ja rd in ,e l pourtan t on ne peut adm oltre ipi elle eût l’idée de s'eh servir contre le* oiseaux ou omitre les poules, ca r co jard in n 'éta it planté que de rhoux.

. lin peu |:ln.< tard , elle se rend dans sa grange, et de lA, elle épie les mouvement* de sa belle-sœ ur. Eu elfel, les tro u s qui existent dans la paroi sont trop é tro its pour que l'iiii puisse voir ce qui se fail dans I herbage, sans que I uni soit appliqué A l'ordice de ces trous. Ce n’est donc point p ar 11 is;tnl qu’elle au ra it aperçu do ce bàtim eni hugénie Flan se dirige.nit vers le nid »le poules, cl qu’elle an ra it, cédant A un niouvometit de ro lère instatilane, couru ch e r­cher sou fusil. D 'a illeurs, l’a t-elle réellem ent vue de sa «'ran 'o'* N’est-il pas plus vrai de d ire qu ’elle la gueltail rierr;êrelah .iie et (|n’clleya tteudait l'occasion de lui donnerla m u t? 1 II

« Ce qu'il y a de ce rta in , c 'est que les moyens de d é ­fense île t’aceusé ne sont pas sérieux. Elle n’a pris, dit-elle, le fusil que pour faire pour A sa belle-sœur; celle-ci a saisilo canon et le coup est parti .sans que l'on puisse sc I ex-

* * S'il 110 s’agis*.iil que d’effrayer Eugénie, il n’était pas nécessaire d ’arm er U; fuî.il d ’avance; si celte dern ière eut saisi l’.armc. elle l’au ra it détournée cl 1e coni> h c l ’au ra it pas happée en pleine ligure; cnlln, le.* m agistrats instruc- leurs mit soigneusement exam iné la h lie et n'y ont rien vu qui [>ùt faire p.n tir l'«irme acridenlcllcnieiil.

» En eunséqiienco. Joséphine Ib e rt, veuve Lmivcrchel, est accusée d’avoir, eu m ars 18G2, A Frétoy-G rém évillcrs, cm n m is avec prémédilatim i un homicide volontaire su r la personne d'Eugénie Flan, femme de P rosper Couverciiel, crim e [irévu par U*.* articles 295 et 3t'2 du Cudc_['éiial. •

.W. le prcsidoid procède A l'in terrogato ire »lo l'iiccuséc.Il a dirigé ce* débats avec nno habileté rem arquable, eu

fa it un résam é aussi lucide q ii'im narlia l. .t.e ju ry m ire A six heures d.ms la salle »les délibérations. Il cil sort iiv e c u n e réponse négative.En coiiséqiiem e la veuve Cmixercliel est àcqu iltéeel mise

en liberté. .dmiienofl ii;< .«amedi 7 Juin .

A f f a i r e T la r ia v a l .Tciilulive d'itssaxsinid c! toî.

I.'accusé est un homme do 32 ans, d ’une petite taille mais ii’ap p ire in e ndm sic, A l’œil v irqnuique baisse, poi-, tant m onslarhe II est \é lu d ’une blouse bleue irè.s-pi;opre.

t.ecliire est donnée do l’acte d'accn.salimi. u Mariaval (Anloine-Désiré Adolphe), né à Versiguy Ie22

ju in 1839, est redouté dans celte eonmiuim A cause d e là violence de son i-aiaclèrp r l de ses habitudes d ’ivrognerie. Si>paré de sa femme peu de temps après son m ariage, il fut condam né pour voies de fait envers elle A 2a francs d a- niemh?; le 11 décem bre 1831», el le 11 jan v ie r 18â7. il su ­bissait deux nouvelles cm idam natim is. l’une en cinq année.*, l 'au tre en deux mois d em prisonnem ent, à la suite de vols nom breux. Il sortit de la maison centrale de Gaillon lc 19 février 181)2. avec 200 francs environ d ’économies, vint A Droizelles où II séjourna hu it A dix joui-s, e l vers la fin du môme mois il recninmençail su vie e n niitc et. vagabonde; parcourant l.i cam pagne sans ailcunc ressource el n’ayant d 'au tre asile que les bois. — Dans la nuit du 9 au 10 m ars,

ariaval s’em para d 'u n cuulrc de cliarruc, laissé par im-

lPrè.s»lelA, s u r iiii chctuiji recouvert,ilo s.iblu Irèu-flii, se ’irem arquniciil do numbreiiso* Ira'ce* de pas facile* A coii- ’s la ier . cl qu i *e porüuioul üaus lu direcliou d ’une ferm e iiihiibiléo, située A un kilomèlro environ, connue sous le nomade .Maison-Viot. On découvrit dans lo grenier de celle ferm e l’em preliilo d 'un corps fraîchemeiil m arquée d an s le foin, el des débris de cartouches Lcfaueheux ayuDl contenu du plomb n" 0 . cuinnie l'iiuliquo une ninrqiiu au crayon fallu s u r le carton. M Lemuire rcconiiul ces enrlouches e l celles trouvées près de l'habilatinii du gardo-barrière pour liii avoir appartenu : le* unus portent le nom d u foiiriiis- seiir gravé su r lo cu lo t, les au tres lo iiuiuéro du plomb tracé do sa m ain Ei.s emisliitatiou* prouvent évidemm ent q 10 le erim o <1 été acrom pli par .Mariaval, l’au teu r de» sons- tractions coniuiLscs dJns la nuit du 9 au lU. Celui-ci son- iien l avoir été dépouillé pendant son .sommeil du fUsit do AI. Lem airc, lo jo u r môme de l’assassinat, lo 19 m ars, A noun iourcs du m atin, cl ê tre , p ar conséquent, é tranger au crim e; m ais il no peut ju.'-tiilcr ces allégatimii, qui sont dé­m enties par le» contrudicUon» éj les nom breux ineiisongcs ddns lesquels il est lôm bé. II déclare avoir passé la nuit du 18>au 19 paisiblem ent couchr dans une m eute, ou il att­ra it dorm i jnsqV à cinq hcunn» ot dem ie du m nlin; il sera it onsiiite retom bé A neuf heures dans nu sommeil assez pr»>- fond pour laisser d é ro b er, nmi-seiilemenl son h isil. m ais encore sou couteau do chasse iiabitnellemenl accroché A sa ceinture, ol des munition.* qu ’il avait dit d 'abo rd p o rter —r lu i, el qu’il p ré tendait ensuite avoir déposées près do

, «laiis un mouchoir. Or, il avait été su rp ris la veille éga­lement ondornii, p ar un g arde; il sc réveilla an inoindre b ru it et Ut niis.sitôl un mouveinenl pour .*e sa is ir de .scs arm es su r lesquelles il é ta it courhè.

■ Le sieu r !)i-soiigiiis l'a rencontré le 21 m ars, A q u a tre heures du soir, su r la grande roule, cachant dans la m an­che (le sa blouse un nbjul long ut dro it, dont le to u t , pial el pointu, dépassait sa m ain et sem blait être l ’cxlrém ilé d ’un fourreau de couti'an de chasse. — Il a été vu aussi le 20 m ars [uès du lieu du crim e, A ouzo, heures dn m atin , par Leièvre, auquel il a annoncé l’assassinat, en précisan t les circonst^jice*,qu'il aurait ignorées s 'il en eû t é lé l 'au ­teu r. t.e témoin a été elTrayé de son a ir m échanl c l s’esl éloigné A la liAic. tan t il .avait pour dé lui. Mariaval nie cette rencontre comme la précédente. Il a prétendu qu ’à cctto heure il se trouvait A Umivres, chez un m archand (le vin : m ais il a reçu un dém enti formel des débitan ts de cette commniic. Le 20 m ars, la l'emme Lecomte aperçu t, au mom ent où elle .*« déshabillait, un individu caché d e r­riè re un talus; il é ta il arm é d ’un fusil et paraiss.'iit l'ex.!- m incr attentivem ent : elle ca fil ptirl aux ouvriers qui

^vinrent trava ille r le lendemain', cl l’on trouva s u r le sable ' des em preintes de pas qui furent rem arquées cl reconnues piqs ta rd p a r les ouvriers comme él.'inl idenli<|nc»A celle* retrouvée* le jo u r du crim e près <lii.possage A niveau, el représentan t ooiiiplélemenl la forme des gidoche* de l’ac- ciisè. La hmimc Lecomte recmuiail dans ce d e rn ie r la luille et lo costum e qu’elle av.iit vus près de sa maison. Slariaval déclare qu ’il n ’a jam ais été A cel endro it et qu’il no le con­naît môme pas; mais le nommé Coulon, qui. sous l’im pres­sion de la crain te, avait longtemps refusé de p a rle r, sou­tient énergiquem ent t’avoir rencontré le dim anche 16 m ars,A six heures du m alin , arm é «le son fusil, pré.* de ta m ai­son Lecomte. Il n 'est pas vrai, comme le prétend r,nccusé, qu il était A roltc heure chez la femme llaêrhe, rcveiidensc à Senlis, ca r cette femme déclare ne l’avoir reçu chez elle qu'A neuf heures.

• Enfin, Mariaval lui méme avoue que pour l i rc r â plomb. Il déchirait les cartouches de l.em alre, dont le ca lib re é ta il trop gros pour le fusil, el qu ’il veisait le plomb su r les «ar- loiiclies A balles dépouillées de leu r projcelile. Rû servant ensuite comme de bourre du papier qu'il enlevait aux livres dont il s’éta it .einiiiijé,_CçLie.xp_lique IjLP.r .*scnce du pajiler souillé p a r la pm ulre e l trouviTsiir le lieu du crim e, e t de lu balle que Mariaval aurait rejetée en rc- chaigeani un des coups du fusil avec du plomb après le crim e, ainsi qu’.i d û faire l'as*assin ([oi n rs l pas en tré do su ite dniis l’habitation. Deux miilfaileiirs n 'auraient pas eu la mémo pensée el la mémo m anière de charger leu r fusil,

» .Mariaval prétend qu’il n’est pas en tré dans la maison Vict depuis le i l inôrs; cependant la femnic Pasuinier, lo­cataire du cette ferme, déclare que le 19, à sept heures c | demie du soir, se Irmivaut su r le seuil de celte maison, elle a vu passer p ics d ’eüc deux hommes, dont l'un é ta it.a rm é d’un fusil; ils se d)ri:;c ieiit vers la. dem eure des époux Lcrumtc. l/indiviiiu porteu r du fusil était habillé coinmo le prévenu, et le témoin a déclaré qu 'il croyait sincèrem ent le reconnaître ; une dem i-heure après l'on culeuddit le» deux coups de fusil.

» iMariaval inspirait dans II! pays un tel effroi, qn ’av.'int cette double tentative de m eurtre, A laquelle l’ont porté ses instincts do méchanceté et do haine contre tuus, de* on- vriei-s n’uni pas u.sé s 'approcher de lui pendant son som ­m eil. dans une grange où il é ta it enferm é; plu* la rd , il a

Mariaval s'cmp: prudence dans la plaine : a rm é de cet in sirnm rn t, il su ilirigea vers un petit pavillon isolé a.ii milieu des bois, s e r ­vant de rendez-vous de chasse A M. Lcm aire, el dans le­quel il a volé un fusil quelques années auparavant. Il L-rensa le mui- nu niveau do la se rru i’c du la pm le <i'enlréc, la lit sau ter au m ovend’urie pesée, p rit un fusil Lefaucheux. [u'Il trouva suspendu, el dans une arm oire dont il furça

.gaUunenl la porte, déroba une ceinture garn ie de earlmi*- ches A balle cl A ptuinb ir' 0 , un ronteaii de chasse nvec son ceinturon cl plusieurs livres, line cravache e t un m ou­choir oubliés su r le* lieux et reconnu* pour apparten ir A Mariaval, ne laissèrent aucun doute s u r la culpabilité de ce m alfaiteur, qui, pend.inl la môme nuit, se rendit A Nan- lenil. dans une maison où le sieur Duval tient pendant lu jou r un débit de boissons. .\|>rês avoir r.scaladé une haie cl un m ur, il fil s.m tcr deux gonds à la porto de la cave, cm- poi'ta pliisieuis bouleilic* (le VIII el d 'eaii-du vie, et se r e ­lira un abandonnant le cuulre qui loi avait servi A com ­m ettre l’elTraction. Mariaval a spontaném ent avoué qu’il s’élail p rocuré des armes dans le but de tuer sa femme, celle-ci avait cxcilé sa colèru en refusant de rciionor avec lui une cxislencc impossible, -par suite de sa brutalité. Pour acconipiir sou dessein. Il avait guetté sa sorlin pen­dan t p lusieurs soirée*, el cette m alhoureiise ne dut sun salu t (jU’A la vigilance de scs m aîtres, qui l'éioignèrcnt de l’endro it où elle travaillait et la cunduisircnt en voiture chez un ép ic ier de Nanlcuil.

> Le 19 iii.ir*, A huit heures du soir, le.* époux Lecomte, ! gardes-barrière* su r le chemin de fer de Paris A Soissons, I é ta ien t occupés : le m ari, A écrire , la femme, A coudre, A i la lueu r d 'une lam pe, au rez dc-ciianssée de leur habllatlon, située au le rru ir d'Ormoy-Villei's. Du coup de fusil, tiré A, une distance de deux m ètre* environ, cl A lrav^>r*«ja croisée donnant su r lu chemin de fer, atteignit Leromle, qui reçtil Ain figure, dan* la po itrine el lebm sgaucheiH ie grande partie de ta charge. Sa fumriic le vil chanceler et couru t A lui pour lu sou ten ir; elle le tenait d.ius si-s bras,

auand une seconde détoualinn sc lit eoteiidrc, et ellè re ÿ it ans le do* une balle qui lui lit une profmvlc blessure, loi* époux Lecomte, trop faibles pour m onter, se tr,iiiièrent

Jusque dans leur cham bre au prem ier étage, la bàrrieadè- rcn t et y restèren t san* secours ju squ’au lendemain m atin. Il* en tendiren t l'assn.ssiii pénétrer dans leu r maison quel­que tump» après. Il y resta loule la nuit sans m onter en haut, cl *u re lira au point du jo u r em portant deux polit* de deux kilogramme.* r t une pnlite horloge. Le lendemain on rcirouva dans l’habilation du g.'irdc-barrlèie ijneliiupti grain* de plomb ip O e t une balle mil s'étalent appfalis conirc la m uraille faisant Tare A la renélre, A rin tér ie n r, auprès do celle fenêtre, se ironvaienl deux rc.ste* de c a r­touches Lofanrhcux ayant fait uxplo.sion, nti iiioreeaii de papier im prim é avant servi de b ourre , une balle qui_n'.ivalt pa* servi, et une fiog'.ieile (ivcc laquelle on avait évidum- tnenl bourré un fusil, ca r l'extrém ité sen tait lu poudre.

été poursuivi el traq u é cumme une hèle faiivo, cl *’v*t alors constitué prisonnier. 11 avait su r loi un morceau de pain dont il n 'a pu im iiqucr la provununre, et qui avait sans donlu été volé aux époux Lecomte. »

L'acriisiilioii est soutenue par M. l'aringault, p rocureu r inijiérial.

La défense est préscnii'œ par M 'RIanchet, qui s’attache A faire valoir l’é ta l m ental de l'accn.sé.*' L’accusé, dérlaréuoupahleavccciiron*taiice.salléiiuanle*, a élé condam né aux lravau.x forcés A pcrpétullé.

F A I T S D K V E H S .

ixcExoiB n* 1,’HOTKV-nK vii.i.B D« nonDBXCx. — Nous trou ­vons dans la (iuiciine. sous la da te du M, lu* déta ils siiiViints :

■ Hier, vers onze heure* du so ir, un incendie s est dé- clai é au deuxième élage de l’aile droilo de l'hôiel-do ville, diiii* le* bureaux des travaux publies. I.es secours ont été im puissant* A concentrer lu foyer : aussi A onze heures e t dem ie lu deuxième étago do l’aile dro ite cl du pavillon cen­tral étaient-ils com plètement envahi*, laissant échapper par neuf croisées de façade de* masse* du nnmmcs qui nuisaient A l’Hciiou de* travailleurs.

« .\prè* avoir dé tru it celte p a rtie du m onuraeni, le feu s’cst com m uniqué s u r lu derrière , nu deuxième étage du pavillon ccntraL A ce moment la to iture s'csl effondrée, en tra înan t avec elle lu planr.licr de l’étage inférieur e t p ré­cipitant jusqu 'au ivz-d(!-ch.iusséR dix s.tpcurs-pompiers. Un sous-ofllL-ier du 88' du ligne qui se trouvait nvec eux a eu le m ême su ri. Tou* ont été [du* ou moins grièvem ent blessé*.

* Cependant les secours arrivairiil de foules p a ris : Chacim rivalisait du zéro, et A deux hciiris du. m alin ou a pu ètru certain que l’aile gauche do l’édilice ('lail préservée.

C’est nlor» qu un a coiiirnencA A se rendre eodipte d e l'é- Iciiduo du désastre. Que do richesse* historiqaes perdues eu quelques heures! No* archivi's municip'ares it’exbte iit plu*. La plus grandi! partie avait été la proie de* flainmc* c l lo* quelques débris qu 'on avait julés par lus croisée* gi*ai(‘iil pôk'-méiu dan* la cour. I.c.* nom breux plans que possédait ra ihu in istration , no tre cnilerlion de médaille* ont d isparu sou* l’action du fléau.

> Dès lus p tcin iers instant*, l’au lurilé , par un seoUmeiil de prévoyanrc qu ’on ne sau ra it trop louer, avait fa it floIeTer les tableaux qui composent notre musée. Dana la prôcipi* t.ilioii avec laquelle cette opération n été («lie, quelques D)iics ont dû ui-ccssairunu'iil (':lru ciidommagéos; ur.e seul* l’ust, dit-on, sérieusem ent.

• Si lo chilTru du ta piuio de nos .n'cliive* e t d e \n o tro collection usi incalculable, puis que ce sont des dncnm rnia qui no poiu ront èlru remplacé*, la [lerle nialéricllu n’cn est pas m oins, elle aussi, très-élcvéo. Un l’évaluo A 2 ou 390,000 fr.

.a Dan» ccllu déplorablu Gulasirophc, chacun n fa it son devoir. Soldai* do la ligne, punipior*. hab llan ls, p ré la k n l loua u n concours euipressé sou* le* yeux du* auluriié* qui a 'é ià len l rendue* Inim édialem cnl s u r le lieu du sin istre . »

On lit (lan* le môinu jou rnal ;« Nous recevoii* de nouveaux déta ils su r l'im m cnsilt du

désHSlru causé p u r l’incendie de l'hôl«l-de ville.• Un assez g ra n d nom bre de Initié» onjl élé endpmmaguea,

Un m beira cSt Complètèriierit perdu . Darinl le* plan* dé­tru it* . nous avons A déplol'ur celui du C raud-Théâiro, p a r Louis. , .

» l.*inHiallve 4ù génôt*^! DAunio* a prétwrvé en grande p a rtie lo m usée do; la renâissajiru e t la dollc»;tion d'armes», nuxqtiellesdepuisquelque tem ps rad iiiln istralloû consacrait des somme* inijiorlunle:». Sur *011 invitation, M. de Briuiie, secrétuiru du préfet, n iifis îa direétlun do OAuvciago avec le concours iotclligent (lO M. Ravéïiéz, eom inlssaire de po- lieu, c l du M. ChéSlcignur. Aidé d é (jnclque* soldat* que le général avait nii* A sa disposition. M. du Rrhdle a pu faire tran sp o rte r eu lieu sftr l i plu* grande partie d e cilto colleclluii.

— Un ferm ier do Bbuvirié* (Nbfd) vlétit enfin do tro u v erun excellent moyen do chasser do sou gren ie r le» ch a ran ­çons. Voici com m ent il opère :

Il p rend de la gr.'iine do chanvre, de* feuille* d e sureau e l du l’a i i ; il b ro ie le tout ensemble e l le répand p a r petites fractions s iir le* plânchc» dé Aup. gren ier.

Assurém ent cet éünédiRitl est dès plu* éiuinbitiiquc*, cl n’exige pu* de diltlcile prépAr.vlibn; àiissi croyoïls-nuüs de­voir, dans l’iiilérôl de* «hiltivatcurs e t dés uütrus p n rlks in té re s s i^ , le leu r ind iquer.

— L a Caséi/e de PdroMne rapporte qu ’il y .t quelques jours M .X ., d é Monchy-Làgache, avait enfurmé (fans un lirp ir sep t b illets de banque de céiil frênes chacun; ayniil Voulu se se rv ir de ce* b iljeis c l ne les ayùnl plu* trotivi^a daii» ce t iro ir ; il avait d 'ab o rd cru à un vol; m ais en exaniinant avec attention un petit fragrnent de panier niii rc s ta il, il rocnuuut qu ’il avait d û apparten ir A l’un des billets. Un trou q ii’il aperçut dan* l'angle du tiro ir acheva de le convaincre q u 'une souris avait mangé ses sept cents franc.*. C’est nu rc p js un peu cher.

Les pluies fréquentes et les coups do vent» n u i sont survenu* (lepuls quelque* jo u rs ont fidl v erser beaucoup d e cham ps de b lé ; la rouille s ’cst m anifestée d an s un assez g ra n d nom bre de Incalité* ; enfin le* nouvelles du Midi, où la récolte c.st lou jm iisp lu s avancée (jùe dans le reste de la Fr.vnce, sont eu général ass(!z niauvalsc*. Mai* d 'u n autre cô té ; dan* le* plaines tes plu» productive^, l'apparence de la ré(jôlte est lrè»-.>«atisfal»aute. e t I o n 'n e supposé pas qu ’hnc pluie inOniu perslstanle pulsse.ciJinprom éltre gra­vem ent les ré su lta ts de lu moisson. Le* aç(:idenls locaux qu 'on ijoUs signale, s’ils sc généralisaient, poiirralcnt'loul Au plus (âiirc osciller lu produit en iré .une bonne réciilte et iiiie récolte ord iiialre . I.a disello 11c pàrn il plus guère pos­sib le, qiiellcsquc soient les vicissitudes dé (a tcnipéralnre. En I8U0, les pluie* cmninencé».** en ju in se prolongèreiil ju squ 'en août, e t pourtan t nn pû t re n tre r tous les blé* tant üieii que m al. ( agiicote) .

— Les m isères, dangci*^ el désappoinlom eut* quo jus- .q u 'ic i, les m alades ont éprouvés dan* le» drogues nauséa­bonde*, *0 trouvent A présent remplacé* p a r la certitude d 'u n e rad icale et prom pte guéiison m oyennant la déli­cieuse farine d e Siinté Itevulesnièro Du IJarry de Londres, qu i rem i la parfaite sau té des organe* de digestion, de» nerf*, poumon*, fuie e t m em brane m nqticiisc, iiux plu» épuisé* infime, d an s le* m auvaises (Ugu*tinns (dysp(;psie»l, gnslritc», gastralgies, consUpalioii* habituelle», hémor- rlmidc*. glaires, vunl»,-palpitatii>us, d ia rrh ée , gonflemciiL étourd issem ent, bourdonnem unt nu;( oruillu.*, acidité , pi- tu ile , nnusécsul vomisseinunls; donlum**, aigreur*, crani|>c» e t spasme* d'estom ac; insomnies, toux, oppression, aslhmn, bruuch ilc , phlhisiu (consninptimi), d artres , éruplim i*. me- lanculie. dépérissem ent; rhiim athism e. gnuUc. Hèyr«, cj- tarrhe» , hystérie. névr.ilgie, vice du sang, l.i f lueu r blancbe le* pôle* couleur». hy(fropi*ic, manque de fraîcheur et d ’énerg ie nerveuse. . ,

E xfra ils de 58,000 guérisons. — N" 52,081 ; M. le duc de Pluskiiw , m aréchal do cour, d ’une gasirilc . — N ' 58.614: Mme la m arqu ise -de Rréhaii, d ’une m alnine do foie d« 7, au* avec dépéri-sscment, mauvaise digestion, agilalioo iw rveusc irtsiipportabic, insomnie et mélancolie. N* 58,W(; H. Dedé, 15, ru e Duvivler, Pari», d ’u n e m aladie inflam­m ato ire qui avait résisté A tout Iraiicm unl m édical.— N-' 58,210 : Sain t Jcan-de-MAuricnne (Savoie). I t février 1862. « Dan» no tre hôpilai, dont j 'a i la d lro rlin n . les p»- licn lN su trouvent m erveilleusem ent bien do votre Iteei- lesciêre^ et jè vioii* dniio v»»ii» p rie r de m en envoyer 78 ki­logram m es. — SiBUr Fébroînc de Saint-Joseph. » — A' 50,410 : M. ic comte S ina rl de liecic*, p a ir d'Anglelerrr, d 'u n e dyspepsie (gastnrtg're) avec toute* scs misère* ner- Teuse». spasm'c»,crAmpes. nausées — N* 49,842 : madaiM Marie Joly, du.50.iii* du constipation, indigestion, de* iicrt», Hsthine, toux, finlii*, spasm es et nansécs. — N* 36.418 : le docteu r M instcr, decnim pu», spasme», m auvaise digcslinn cl vom isscm eni*journalier». — N*31,328 : SI. W. (’alching, d ’héraorrhoidr» . — N* 46,270 ; M. R oberls, d ’üne coii^mp' tion pulm onaire, avec toux, vnmi».»emeut*, consilpalion el su rd ité de 25 année*. — N ".48,422 : Mino.lq comtesse « Caslle S tu a ri, de 9 an» d 'iin e irrllÀtiôn h o rr ib le aux nerfi aliénant l’cxprit. — N* 46.210 : M. io docIcUr-racdKln M artin , d 'une gaslrAlgie et irritation d'èsloraftc qu i lefaj* s a it vom ir 15 A 16 fois p a r jo u r pendant h ü il aii». — A’ 46,218 : le colnhet WaiS(iii, de la goutte, néTrulgic el cou»' tipalion opiidAtrc. — N" 18,744 ; le docleiir-m éd. Shorlan. d 'u n e hydrop islee t conslipation. — N“ 49,422 : M. Ilaldwu. d u délabrem ent le plus éoinplel, paralysie d(is mcmtircs p a r ' suite d'excé» de jeûncssc. N" 51,615 : M. le baron « Poicntz, p réfét dû Laiigencnu, de constipation opluialreo souirraùcc de* nerf*. N* 48,721 ; M. le baron Zali^ kow ski, général de division; do soulfraiipcs l»î»’>’iblw «

alusieur* aim ées dans les vole» digestives. — N" SS.oW- ilte G dllard, ru e du G rand 8 l-Mlcho|, 17, A Pari*, d 0» ph th islé ptilmonAirê, aprè.» avoir élé déclarée Inciirabjc. «

qu 'elle ti’eû l que qUèlque* mois A vlvriî. — Plus furtilU** e t m oins coùteiix qiie Ib rhtJColAl, thé, c a f é , huile de W d e m orùo, ce délicieux alim èhl éèônomise mille fou »• p rix en d ’a u tre s remède»; il a opéré 58;000 guérisorw rt tou t a u tre rcm ède’avall échoué, — N* 57,916 : • Si j «w l'E ihperenr, j ’ordonnerais que tous les so ldats a lfa ib lt^ fissent usagé. — Chèvilloi», officier de san té . » — Naiw BARRY, place Vendôme, 26, A P aris, 1/4 kil. 2 fr. 25: P k i l .4 kIL 7 r r . ; 6 k l l . fraiico), 32 fr . En proviuff. chez lotis les épicier* e t pharuiacîéns respectables.

Vlllustra lton c o n lie n td a n sà o « num éro.,du 14 ju in : Revue politique de la sem aine. — C ourrier de Pari» j*

Le m inistère italien. — M adagascar. E*IÎ^V* j-c Mexique.— Chronlquo lilléraire-T-BiposilM Ui d« LojJ»rj — liiuuguralion du chemin de fe r de Négapatam A in cv nopoly. — Chronique rousicâlè;— Bulletin bibllogi'apW ^ 'Travaux du canal n a r it im é de Sùek.— Armand Toosmi»' s la lu a ire

Gràvurei : DéfeilM d ’un défilé p i r les M o n lé n é ï^ ii^ l,e ntlrinrtère îla llén (W ^ à tlu rè i) . — MAdàKaacAr : païW d e la baie d e Kaysétiabva.— Expédition du Méxique ( 4 ^ vo re t). — Exposition de l.ondre* (4 gravures). -7 ra tion du chemin, de fer d e Négapatam A Tr*cl‘l? T j (5 gravures). — ifarson de S. A .^ îd -P a c h a 9-^ T ravaux q u canal de Suez : vue dù seuil d El C(|lw-' A rm and Toü».»aiiit, slà lua ire . — Echecs. — Rubu».

L e Géranl responsable, E rm u t REGNI®^

Aïiùdnccs «tiitUciaircs.P flra r rô i^ ^ éM .lc Pri^fùldQl^Oino.npprouvü

pai' S . lüxc. ' le M inistre do l'In id riciir, le • I v u r n n l d e A è à t ia fl did désigné p o u r in ­sérer cn lS O â .d a n sT arrp n d issc n icn ld e Senlis, toutes ahnortccs ju d iciaires c l légales.

La publication légale d es ac lcs de sociélc es t obligatoire p o u r l’année mil b u it cent soixanlc-dciix . dans chacditodos doux reuilics de ra rrond lssem cn t, .désignées pour l’insiT - tiori des anhbnccs jud iciaires.

A n r ,É tude de M* J ulbs T ilEJHlY, avoué à Seuils,

ru e d u Ç liflie l,.» -t>l.

V E W t E .su it SAtSfB. lUflOBILiÈnE.

A l’a u d ip n é ç d ^ ç n ë c s d ù T r l b i ln a l c iv i l d o p rc m iè ro in s la r iç e s é a n t b S e n l i s , a u J^ ilu is d e J u s t ic e d e b d i l e v i i i e , r u c N e u v c - d c - P a r i s ,

m m É m B ù J s tA v *!9 jfik^rta^ 4;jré*aisfancF8 et

' , Éaépéia'd 'ncM ,S ise b VBnNEUii;-8Ufl-0i6B, au ham eau

de ta R(iC des B bis,t

é t n a i sSises au terro ir dud it VBnNEUir.-Bi]n-OisE;

^ ' E n ' p t« É«oi8fjMpôun'onlèlrcréùnitpaiiielleinéHl'oucttlotaUië l /a d ju < lic a lio n a u r a l ie u le M a r d i

p r e m ie r i8 C 2 , h e u r e d o m id i.

S ’a d rm e r p our It» w aeighem ents :' i* A M* Jcf.ES TUIjMRY, aeoti^ , dem eu­

ran t à Sentie, rue d u Châtel, 2 4 , po iirsu t- vant la vente;

S* A M* BEMOIST, notaire à Sentis;3* E t au G reffe d u Tribunal civil de pre­

mière instance de Senlis, au Palais de ju stice ■ de ladite üiflc, n iè N euve-de-P aris , où le ca­

hier des charges est déposé.

A u t . 2 ,Kiüile de M' Louis-V ictou l 'E L ItO IS . docteu r

eu dro it,avouéb Senlis. riieR ongem aille .lO ,Successeur de M* AUflÉRT et CtMJNASSON.

VENTE SUR LICITATIONENTRE UAJeiUIS ET NINEUItK,

A r.'müicnce des criées du T ribuna l civil de prem ière instance de Senlis (Oise),E t p ar-decan l M. L a m re iit. juge ,

roninu's à cet effet,

T I I O I I S .

. . A P I S ^ O N SSitiKTs b SLN LÏS. dont doux place do la Halle,

n“ 17 et 47 , e t ra ii lre rue de Beanvais, n* 7 . Rn tr*ls l>o<«

^ut pourront être réunis ou divisés en tout ' ou en parliV.

L ’A d ju d iu o llo n a u r a l ie u l e M a r d i v in g t- f j u a I r c J u in !8I>2, h e u r e d e m id i.

S ’adresser pour les renseignements :/ “ À M* PEI.Ü O IS, avoué à S en tis , rue

Bougetnaille, h® 40, poursuivant la vente;8* A M« FRÉMY, avoud nu même lien, rue

ye n ve -d e-P a r is , n’ 4 3 , présent « lu vente;3® A M* BENOIST, notaire à Senlis;■f" A M® l'O N TA IN E, uo/ntreauM iém ehVu; 3® E t au G reffe d u Tribunal civil de Senlis.

A u t . 3 .Éiudo do M* F U ^ IY , avoué A Sculis.

P U R G E L É G A L E .P ar exploit de Nolevalle, hu issie r b Senlis,

eu dute du vingt et un ju in 1 8 6 2 . enregistré , Noiilicatioii a é té ra lle , b la requête de

M. Jeati-Rapiisic-Louis D iipuis, m eun ier, de­m eurant b P on la riné ,

A M. le P rocureur im périal p rès le T ribunal civil do S en lis,

un àclo dressé au greffe du T ribunal civil de Sonlis, le dix ju in 1862, en reg istré , co n sta- taiii le dépôt fait audit greffe par M® Frcm y, avoué du req u éran t, de la copie collationnée et enregistrée d ’un procès-verbal d ’adjudica­tion dressé par M® Rbnoist e t son collègue, notaires b S en lis, le vingt-deux avril 1 8 6 2 , enregistré, contenant vente p.ir M. C barle- magne-Philippe Doiitcereàii, p ro p rié ta ire , cl madame A rm ante-H éloise Payen, son épouse, de Im autorisée, dem eurant ensem ble çi-devant ^ la Chapcile-cn Sérval et p résentem ent b Parw, rue d e la (lonlto d ’O r. n® 6 1 , nu profit d® M. B upuîs, sus-nonim é, <lo so ixan te-neuf nMtares soixante arcs tren te et un centiares «après les t itre s , e t soixante-dix hectares tjnatorze arcs six ccniiaros d ’a iirte m csùraue I d en 1831 e t 1852, de te r re , s is te rro ir de la Cbapelle-en-Servnl. en q ilaran ic et nue p t ^ s dont la désignation su it :

Q uatbnlc-deux ùres vinjjt cl lin centiares d après les litres et q n aran ic-qnatrc ares huit Çmtiiares d ’après m esurage fait en 1831, do

Honllay. section E , ii®*48io . cadastre.

, \ \ P “d’'d'!ic-dcux ares vingt et un centiares « après les titres e t quarante-deux ares q iià tre- vingt.Qeùf ccntia ies d ’après ledit me.siir:ige,

m ôm e lieu, section E, n* 4bG il’* «n ares so ixante-cinq CjBiiliarcsliir 1» e t vingt-huit a res dix con-. rcs <] après le m esurage, de terre , nu m êm e heu, section E . n® 491.

q u a tre -v in g t-d eu x niiares d après les titres et v ingt-deux ares

ippr« centiares d ’après inesiirage. do v-ric, au mémo lieu , section E , n® 406 .

ù® T ren te-six arcs q u a lrc -v iiig t-tro i/e cen­tiares d ’ap rès les titres e t trcn tc-(|ua lro ares quatrft^vingj-dix'-ncul cen tiares d ’après ine- s tirigo , de le^rc, lieu ,d it l'nom ine-.M ort ou le T as do. P ie rre s , section E j ii® 457 .

C® Un hectare cinq arcs* cinquante-deux cen tiares d’après.les titres et quatre-v ingt-d ix- h u it a rcs tren te -tro is cen tiares d ’après inosn- ri-go, de te rre , lieu d it rilo in m e-.U o rt, section E , n® '450 e t 431 .

7® Dix a res cinquante-cinq centiares d ’après les titres, e t douze ares soixaiiio cen tiares d ’a ­p rès m esurage, de te iro , raC’mc lieu, section E , n® 410 .

8 ® Vingt e t un ares vingt cen tiares d ’après les titres c l vingt et' un arti-s vingt cen tiares U ap rès m esurage, de te rre , lieu d it l’H oim ne- M orl, section E.

8 ” Soixaniç-dix ares soixaule-dix ccniiare.s d ap rès les litres c l pareille qu an tité d ’après m esurage, de te rre , lieu d it la BouHayc, scc - lîoi) E , n® 476 . ,

10® S oixaule-sept ares cinquante-trois cen ­tiares d ’après les titres c l m êihe quantité d ’a ­près m esurage,de te rre , au iném e lien, section E . n® 473 .

Il® Q uarante-cinq arcs seize centiares <i’a - près les titres e t q u aran te e t un ares trente cen tiares d ’après le m esurage, section E n ® 4 7 l. .

12® p ix -n c u f hectares q iia t ié -v in g i- i io is ares so ixante-d ix-huit ccn lia ies d 'ap rès les titres e t vingt hectares dix ares (p ia ian te -iio is cen tiares d ’ap rès m esurage, de te rre , lien <lii la B ^ lla y e , section E , n®‘ o 0 2 ,3 0 3 , 3 0 3 , 3 06 e t ' 499.

13® N euf hectares q u a tre -v in g t-s ix ares quatre -v in g t-u n centiares d ’après les titres et dix hectares q u atre a res tren te cen tiares d ’a - pres m esurage, d e te rre , lien dit r ifo m m e - aio rt ou le T.is de P ie rres , section E , n®'4‘>3 4 2 0 , 4 2 7 , 4-28, 4 1 8 , 4 4 9 , 4 3 0 cl 431 .

14® Deux hectares viugl-ncnf ares soix.nnle-. treize centiares d ’après les litres e t deux l irc - la res quaran le-sop t ares so ixante-deux c e n - tia res d ’après le -m esu rag e , de te rre , lieu dit la Violette, section E , partie des n'« 113 et 116.

13® V ingt-cinq ares vingt-deux centiares d ap rès les litres et vingt c l un ares dix cen ­tiares d ’ap rès m esurage, de te r r e , lieu d it la ro s s e N érel, section E , n® 213.

10® T re n te arcs de te rre d ’après m esurage au m êm e lieu , section E . ® ’

17® Un hectare v ingt-huit a res d ix -n eu f cen tiares d ’après les litres cl un hectare tren te ares soixante ccniiarcs d ’après inesuni'»e section E , D®' 181, 182, 183 et 181. ° ’

18® Q uatre hectares viugi h n ii a res q u atre - v ingt-quinze centiares d ’après les titres et q u atre hectares q u a ra n le -n e u ra re s so ixan ie- cinq centiares d ’après m esurage, d e te rre , lieu d it le Dois d ’O gnon, section E , n"* 101 '102 . 1 0 5 ,1 0 4 e t 9 1 . ’

1 9 ‘ Soixante-treize arcs q im tre-v ing t-s ix cen tiares d ’après les titres e t so ixante-douze arcs c inquante-huit cen tiares d ’après m esu­rage, de terre , lieu d it la Fosse N éret, section E. n" 201.

20 ® qu aran te -n eu f ares Ire n ls -s ix cen tiares il’ap rès les titres et cinquan le-neu l' a res trois cen tiares d’ap rès le m esurage, an iném e lieu section E . partie du n® 20 2 . ’

21® V ingt-deux ares irente-.sepi cciiii.ircs d après les titres e t vingt ares soi.<anie.quinze cen tiares d ’hprès m esurage, de te rre , section E, partie du n® 199.

lieu dit rÉ jiinc Rondo, section K, n®' 2 8 5 et 281 . '

3.3® Un liectarc q iiarân tè-liu itarcsso lxaiile- dix-iuMif céniiares d ’ap rès les titres e t un liée- (a ré tré n le-q u a ire arésq iiarn iiie-hn it centiares d ’après m esurage, dé lorre , lieu dit le Rois N i- h e ii, section E, n®' 2 6 5 , 2 6 1 , 263 . 2 6 6 ®>67 208. 2 6 9 .2 7 0 et au tre s . •

36® Un hectare q i)iiirc-v ingi.douze ares treize centiares d ’ap rès les litres ci un hectarellll!ktl*A_trflWVl_I.J.âs dAlWAi.l.. A....IÏ.__ It

22® Un heciarcquatrc-v ing l-sc izc arcs qua­tre-v ing t-d ix centiares d ’après les titres et un hectare qnalre-vingl*dix ares clnquan lc - nenf centiares d’ap rès m esurage, do te rre , lieu d it la C oharde, section E , n “ 347 , 3 3 0 , 528 et 331 .

25® V ingt-et-un a rc s di.x centiares d ’après les ttlros cl v ing t-et-un a rc sd ’ap rèsm esuragc do icrro , section E.

24* Q u in z e a r e s q i i a l r e - v in g t - l r o is c c n l i a r e sd après les titres e t vingt ares douze centiares d après m esurage, d e te rrc , lieud ii la Coharde section E . n* 5 l4 .

23® T ro is hectares quatorze arcs deux c e n ­tiares d ’après les litres et tro is hi-clares trciz.* a resq u a lrc -v in g l douze centiares d ’après m e­surage. de terre , lieu d it riIom m c-M ori, sec­tion Ë , n*‘ 42 1 , 42 2 e t 423 .

26® Un hectare tren te -q u a tre ares douze cen tiares (l’après les titre s c l pareille quantité d ’après m esurage, de terre , lieu d ii le Chemin des Essarts b la Chapelle, section E , n®’ 414 e t 408 .

27® T ren te e t un arcs so ixante-six centiares d ’ap rès les ^titres c l v ing t-tro is arcs vingt-six centiares d ’après m esurage, de te rre , lien dit rA vcniie de ReaUmont, section E , n® 598 .

28® Cinquante-deux arcs soixanlc-scizecoD -liares d ’ap rès les litres e tc in q u a n ie a res qua­torze cen tiares d ’ap rès m esurage, de terre , section E , n®383.

29® Q uinze ares quatre-vingt-trois cen tiares d ’après les litres e t d ix -hu it ares d ’ap rès m e­su rage . de te rre , au mémo lieu, section E, *'®578. .

30® T re n te è t un a re s so ixante-cinq cèn - tiares d ’ap rès les titres e t tren te arcs u» cen ­tiare d ’après m esurage; de terre , au m ême lien, section E . n® 404 .

51® Un hectare q n ar ju lc -iieu f arcs qu alre - vingl-quatorzo cenliarc.s d ’après les titres et un hectare cinquante-six arcs c inquanlc-ct-u tic ^ itia re s d’après m esurage, d e le rrë , lieu dit l’E pine l ’oiidlcusc, scclipn e t aiitrès.

. scctipn E , n®* 4 1 6 , 417

52® V ingl-et-un ares dix cen tiares d ’après les litres e t v ing t-hu it a res so ixante-quinze ée iilia resd après m esurage, de te rre , section E . Il® 293 .

55® Q u a r a u te - q u a t r e a r e s s o lx a n te - q u a lo r z ecen tiares d ’après les litres e t pareille quantité tl’après m esurage, dé terre, au m ém o lieu, section E, n® 291.

34® Q ua lrc-v ittg i-neu f arcs so ixan te-d ix - n eu f centiares d ’après les litres e t m esurage.

o7®,Quatre hectares vingt-sept arcs soixanlc- d ix -hu ii ccuiiares d 'ap rès les titres e t quatre hectares cinquante e t un ares qtiaran tc c l un ccniiarcs d ’après inosu>agc, <le terre, lieu dit iosL otigiies Raies, « « tio n . E , n®’ ‘2 4 3 ,2 3 5 , 231 e t au tres.

38*» Deux b'ejliarcs j^ydhiza' a res-q u a ran te - sept cen tiares d ’aprè.^ lé» titres et deux hectare» quarante-six ares so ix in ie-seize centiares d ’a ­près m esurage, «lu terré, au-dessus du Poirier .Maréchal.

39 “ Un liçcia.'-ecim ptanlc-sixarcsciuqHaui*- q n atre centiares d’après les titres et un hectare q uaran te-e l-u n ares ()uulrc-vingt-ei-ini cen­t i a r e d ’après m esurage, de terre , lieu d it le Poirier .Maréchal, section E . u® 163.

40 “ Un hectare q iiaran ie-huii a res qu atre - viiig t-d ix-nourceutiarcs d’après les titres cl un huciare v ing t-e t-un arcs so txanle-dixcem lares tl’après ntesurage. du te rre , lieu d it lu Poirier au .Maréchal, section E. n"* 133 e t 150 .

4 1 “ Q u a lrü -v lng t-(jii:itru ares q u aran te - deux centiares d ’aprèslu.i litres uiquatre-v iiig i- Irois are.s cl Ireute-Iruis cen tiares d ’après lu m esurage, de terre, au m êm e lieu, section E, rt®* 120 et 121.

E l ce . m oyennant, ou tre les charges, clause.> c l condiiious insérée.» au iü t procès-verbal d ’,n<lju«lication, la sommu de cent guarante mille cent francs du prix principal.

L edit dépôt effectué pour parvenir b purger les im m eubles vcnihis des hypothèques légales, pouvant les grever.

Avec déclaration b M. lu P rocureu r im pé­rial : i® Q ue ladite notiiicalioji lui é ta it laite pour qu ’il eût b prendre, dans le délai de deux m ois, au proiil do qui du d ro it, toutes inscrip tions d ’hypothèques de cette n a tu re , faute de quoi le.sdils immeuhles eu seraien t affranchis;

2® Quu lus anciens propriétaires desdils im­m eubles é ta ie n t, ou tre lus v en d e u rs; 1® M. E harlem agne-P ierre Dontrcluan père e t dam é M ariu-Aunc-Cécile Roiirsc, son ép o u se ; n ta - tlam e C écilc-Jcanne Doutreleau. épouse de M. E iienue-nyacin the R ousseau; lleu ric tte - Marie Duiitrebiau, épouse de 51. Emile F ra n - «dieinout; m esdam es Lucie Uouirc-leau, épouse Me 51. Ju lfs-Z acharic Lomuine, Adélaïde D ou­treleau . veuve-P urhauffm ir; Jean-A lexandrc Chenu et dam e Célcste-Auasi.isic Railly. son épouse; P ierre-A uguste Séqiieval e l dam e Augéfii|uc-Victoire l.aversiii, son épouse ; Ca­therine-V ictoire Thiéham , veuve de 51. Lotiis- Fraiiçoi.s Dugardih *, P ierro-A drieii D esm aresi, cidliv.nieur, et dame V iclôirc-Justine Bazin, sa fem m e; Juannu-Boim e Bid.iult, vcuvu du 51, Charlem agnc D oiilreloiu; dem oiselle Marie- Louise l.cc o ru icr, C harles-François Cuesniur; P ierrc-C liarlus-Ju lcs Demonchy ut dam e E u ­génie C h arm due , son ép o u se ; A loxandre-l.ouis-IM orre Churmolue père e t dam e Marîe- C harloito-C etievièvo F ou ilon . sou épotjse; Jeaii-R.i|»tisie-Augiistiu D outreleau; le baron Joso|)b-5Iuriu Thomas el dam e V icloire-R osa- lio-Consianuo Dulance. son épouse ; héritiers 5louton de Lassigny ; sieu r e t d ime Ducliesne; Antoine Dubois cl demoiselle Jlurie-Fr.nivoisè D ubois; A ilclaïdc-A luxandriiié Doulrcleau ; Jacques-L ouis Brûlé el dam e 5)aric-V icloire Rülossier, son épouse; C harlem agnc Doutre­leau g ra n d -p ère , Carohis-5!arie iMallet; C as- part 5lulcr; P ierre-LouisCoeffé; Charles Cocffé et dam e Ainhroisinc N azard.son épouse ; Jea n - Louis Petit e t dam e M arie-M ai^iicritc-Elisa- beth Desmaresi, son épouse; A nloine-B eiioisl F o u rn ie r; M. Ricard-Jacque» D outreleau; m a­dam e 5larie-A ni)cCtiesuier, veuve de 51, J e a n - Ferdinand Boui'se; E tienne-N arcisse B ourse; Nicolas D albcrçe et dam e Geneviève Reçu, son épouse; Picrre-5!axitnilien Ricard e t dam e 51aric-Anno Pôtdevin , son épouse; A nne- P ie rrc Lom banlin e t Rosalie Bullin, sa femme; Alexandre Sétpieval e l «lame E dm c-E m éliè G audron. sa veuve; im uis-V ictor D ecanler»; c tT bérèse -A nto ino lio Motel, décédée épouse de .51. F irm in D ecanlers;

3 ‘ E l tpie le requérant ne connaissant pas tous ceux du chef desquels il pourrait ê tre requis des inscriptions d ’liypothè<iu«8 légales existant indépendam m eut de l’inscrip tion , fe­ra it faire la présente insertion , conform ém ent b la loi.

P o u r in.sortion :f S igné : Fiiémv.

A u t . 4 .Etude de M' F llÊ-UY, Kvoué à Seuils.

R a p p o r t d e F a i l l U e ..D ’iin jiigcmQnl rettcju contradictoirem ent

en tre 51. G illot, facteur àux fa rines , deuion- r.int b P aris, rue C oq-H éron, n® 7 , et an tres créanciers, e l 1® M. ia îon-G érm ain 5léland, svntlic de faillite, dcrncuraut b S é n l i s ;2 ® cl 51. PiciTc-Julos Lecicrc, m eun ier, dem eurant b V illers-Saint-Paul, p â r îe T ribunal de p re ­m ière instance de Senlis, jugean t com m ercia­lem ent, le trois juin 1802, en reg is tré .

Il appert :Q ue la faillite du sieur P ierre-Ju les Lcclerc.

prononcée par jugem ent dn dix-huil m ars d e r­nier, en reg is tré , a été ra p p o rtée , e t que tus formalité» do publications et au tres qui ont été remplies en venu dudit jugem ent ont été déclaréo» iiuDos.

P eu r extrait certifié véritable par le m am la- tidre soussigné.

A Senlis, le vingt ju in 1802.S igiié ; F uémv.

Enregistré b S e n lis , le vingt ju in 1 862 ; • 7 » <5* 2 ; reçu un franc dix cc n tiin e s, décim e cuiiipris.

S igné : G uêgo iu b . Pour insertion :

S igné : F iiÉ uv.

A r t . 5 .E lude de 51® B O R N IC ilE , no ta ire b Crépy

(Oise).

D u n acte sous signature.» privées fait sex ­tuple a Soissons, le sep t ju in mil h u it cent soixante-deux, en tre ;M.tl. Léon Ob v io la in b , p ro p rié ta ire , dem eu-

ra iu b Vauxroi ;Louis-F rauçois Dkcivoix, fabricant de

su c rc .d e m e u ra n lb la F ère ; F rançois-A ndrè J auas, fabricant de sucre,

dem eurant b Q ucssy; 'Jcan-M arie Did ib r , cu ltivateur, d em e u ­

rant b Ctivry-Lausse;H enri-L aureni Gol-.mant, fabricant du

sucre. donieuiMui î» F ism es;Iluc!or i.KGUf, fabricanl de sucre , d e -

ineuraul b 51éry.Ledit acte enregistré b Crépy, ■ le dix-sopt

ju in mil huit cent soixante-deux, p a r le rece­veur qui a per^u sept francs so ixante-d ix cen­tim es, folio 24 . recto , cases 0 et su ivantes.

Il appert :Q u’il a été form éaiue société en nom collec­

tif en tre tous les sus-nom m és, p o u r l’exploi- talioii h Vaucieimes, de la fabrique de sucre et de la ferm e (lu P lessis-an-R ois; — Que ce tte société a été faite jiour une durée de dix an ­nées, <|ui com inericcronl leprem ior ju ille t I8 .i2 et finiront le prem ier juillet 1872;

E t qu ’en m êm e tem ps la société d e fait qui avait existé cnlru les adjudicataires du la fa­brique est dissoute.

La raison sociale est : L. Daviolaine, D e- croix, L egruel Comp"’, e l la s ignalu re sociale portera le.» m êm es nom s; — M. L -g ru géraut pourra seul en faire usage, m ais e lle iTobliger.'i la société (juc lorsqu’il s ’agira d ’affaires, qui l ’intéressent.

Les alfaires de la société seron t gérées par 51. Legrn, qui sera exclusivem ent chargé de son adm inistration e t de la direc tion de tous lus travaux de fabrication el de cu ltu re ,

P o u r extrait :II . LEGRU.

M i l lS I K I 'A S

H A im T io ü E H m rA L O L É R p r é s c n a t c m e v i t .

S adresser à .51. D 'éBlaiGN r, huissier à Senlis.

Fonds dt S iïpcrlic iédo 4 H c è to ré à 1 5 A re s O I C e à i .

DE BOIS TÂII4ISE n d eu x pièces.

Aux terro irs de Verberie e i N oël-St-M artio , A V E N D R E P A U A D J 0 D 1 C A T I 0 1 V

U Dimanche 43 Ju illet 4S62, d miMi*,' A \iH eneuve-.siir-V erbericenla m aison d ’écolc I ar ta nwiislero <lo Uc.vuisr, notaire à Senlis.

Junissanee de su ite .A adresser audit M* Bksoist, notaire,

1 H e c ta re 3 8 A re s 8 ,i~C ch(.T £ f i l t £ e t P B É

Aux li rro ira ilo l’on! e t Jlaiiilicrlin ,A y F . \ ’O R E pas. A d ju d îc a lîo n iLe Dimanche 13 Ju ille t 1862 , b tro is heures,"I ar le ministère de 51' Dkxoist, notaire ù Senlis,

c /d e ,51'üK AUv, Hotflôf à / 'o « / , •A l’ont, en l’étude dud it M® de Ma v .

« n cntrer.1 cii ionissnnrc le 11 iioveml)rc i.SCt.S adresser ausdlisM'®BKNoiST et d e .Mav.

A r t 6 .Suivant contrat passé devant M® P aven,

no taire b Poul-Sain:e-51axence, le sep t juin 1802, en registré, M. Louis-PhilippcDELAVKN, march ind ch.ircutier. dem eurant au d it Pont, a cédé b M, Nicolas Dki.ayen, son père, a n ­cien charcutier, d cm c iirjn l aussi b P on t. le fond de com m erce de-m a rc h an d charcutier qu ’il ex[>loi!ail el faisait valoir b P o n t, ensem ­ble les ustensile» c i m archandises en déjien - dan l, m oycnuaui un prix payable b term e.

A nnonces D iverses.

Sise

EXPLOITATM AGSimEDEL> FERME DESCLOZnuX

«le 2 1 0 llec liires D£ TRÊS-BOUHES TERRES

E n pa rfa it étal. G hizy-en-O rxois, près la Forté-.Milon,

\ l ' É U F R Pour p rendre re traite .

A Chizg-en-O r.vois. en la ferm e.Le Lundi 7 Ju ille t 1862, b mbÜ.

P ar le ministère de 51® AIii.et, notaire à la Ferté-M ilon.

Baux b 67 fr. de l’hectare . — 8 0 hcclarç.» d e 18 .nus, — 8 0 hectares de L'J an s , e t 3 0 hectares de 11 aiis.

l'rès-briiii Troii|ienit.On pourra tra iter avan t 'e jo u r lixé.

G randes facilités.

Dans le canton de N euilly-Sain t-F ronl.EN fi

EXPLOITATIOH AGRICOLED K 1 8 0 I I E C T A R K S

En très bon étal.S ’adresser b M® M ILET. no taire b la F e rlé -

5)ilon

\ C É D E RDans le départom cut de Seinc-ot-M arne,

DDE tTUDE D'IDISSIERD’iiik revenu de «ft p. % du captmi.

S ’adresser à M adam e veuve T h é v e m n , à Crécy (Seiïie-et-M arne).

\ V É N D R Ii:Au Ghètoau de Retz,

7,000 BOTTES DE FOINS'adresser nu CluUeau.

\ C É D E R D R S im T R ,

r. Miid m m umDans un chef-lieu d e canton du départem ent

de l’Oise.S'adresser A 51. COLI.AS-NKRV, huissier

à Senlis.

» H eeE aros « 9 A rc s 3 0 C cu«,Dïi T Ë U ltË

E n une seule pièce Aux terro irs d ’Oissery et d ’Ognes,

A V R N D R EPAU ADJUDICATIO.T VOLONTAIUE,

A SH Ig-le-Long, ci» la maiVon d'école.Le D im andic 6 Juülut 1 8 6 2 , b m idi,

i*«i»- le m inûlère de M* B rkoist, notaire ù Senlis On tra ite i a avant l’adjudicaliou s’il e.sl fait des

offi'c.ssunisantes.A”fldr<wjcr audit 51* übxoist. fiomtru.

i f AisorvSituée ü P lailly , ru e Grosillc,

A V E N D R E p a r a d j u d i e a f i o n .Le D im anche29 J u in 4802, à m id i,

A Plailly, en la m aison d ’école,/'(«• le ininistcre de M' Benoist, notaire à Seulis,

On e n tre ra en jou issance de su ite .L e m ême jo u r on vendra ensem ble ou sé ­

parém ent, une G iange, mie portion de Coup et un ilangard situés b Plailly.

S'adresser audit .M' Bexoist,’ notaire.

BÉGOLTESDE SEieiE, BLE, ATOIREP 0 XÆLE3 S S B TBBUB

S u r treize pièces S ituées aux terro irs de Plailly e t .Morlefuntainc, A ^ E N D R E pas* ALtijinlicalion,

Le Diina iche 2 9 Ju in 4802, à une heure,A Plailly, en la m aison d ’école,

l'ar lc m i'ih icre de 51' Bexuist, notaire a Senlis. S 'adresser au d it SP Ük.xoist, notaire.

Ktude de 51' no taire à .\i;v.

A V E A i m EE'iir iitlju tllfailon vo lo n fa trr.

En rélinie d par le ministcro de .M' Ua.vt x, notaire à Acif,

Le 51ayJi 19 Août i8l>2, b m idi,

ÏMÊL F E B M Ës ? B O IS-l£I£i01T

(.om m unc de Retz (Oise),Cette Ferm e consiste on bâtim ents d ’habi­

tation et d ’exploitation' en bon é ta l, et en N8 C llociaM*c» «if> Xci*i*o, P r ë e t u n p c iit B o Î8,

La ferme e s t très-agréablem ent sitmie et b proxim ité de rou tes et de clu 'rains de fer.

h l le e s l lo u ée7 .0 0 0 IV. par ,in.T r è f t - b r l i e C’IiaH Se.

On p ourr.1 tra i te r avant l’.'idjudiealion. S'adresser audit 51' Ou.xux, notaire.

5lèm c é tu de.

VIN, EAn-DE TIE. LIQDEnRS. IMARCHAIIDISES D’ÉPICERIE

e t a u t r e s O l i j e t s ,Dépendant d ’un F onds de Comm erce exploi é

b Nuufclicllcs, p a r H"® C iu rosK T ..A V E N D R E E N D B STA IL ,

«AR ADJUDICAflON.-PAft ATTRIBUTION OE QUALITÉE n la demeure de M“ ® CnAPONfiT®. à yeufchelles ..e Dimanche 2 2 Ju in 1862. b m idi, et jours

su ivants s’il y .aUeii.Par le ministère de M' Gr.xox, notaire à Acij,

com mis à cet effe t. '

Cette vente co n sis te en ; v ins (io e t o rd i­naire . oau-de-v ie , liqueurs, hu ile , savon, su ­c re . chandelle, tou tes les m archandises c l u s ­tensiles d ’épiccrio.

Aux eondlitotM ard lna lrc* .

U i nK ÉTIiOE.

BLÉ, AVOINE,FETHEOUIS ET POBKS DE ÎEBflE

A u te rro ir d e B rt^v , '

ET USTENSILES ARATOIRESA V E N i m E

P ar adjudication volontaire.Lo D im anche 2 9 Juin 1862. b midi.

Piir le ministère do .M* Graux, notaire à Acg,l.es récoltes, ert la m aison d ’écolc.

Les objets m oluliers, eu la cour de 51. MoUr-

hr ^ v

«

p ] îH-i

ij ■

; -1 !

f ' .

i.iN aini^. roDsi^tonl (‘n voiutro, (ODituM^au. iiiTscs, rlin rrue , harnais, ira ila , cah te, une foule tro u li is c t a iilrrs objets.

Pr*l« ardUialrc*» l-'acUîtës po u r le pa iem cn l.

do M* RIVIÉIRK, no la iro à Creil (Oise).

A V E M D K E m a x e n e l i é r c s , S « tr l e s lle H S d p a r IjaC s,

P(U‘ te n j im s f tr e dû'M * R iy im b , no ta ire à Creil. I.e Uitnaacho S 2 Ju in 186Ü, h une heure,

U COUPE DE FOinA faire ce llé annt.'e su r 5 pi^ccs tic prt;

sises it M unlalaire,O n te rtfiiniVa à ta maison de M. Lesctijor.

E l le Dimanche 2 9 Juin 18G 2, h une heure,

liA. OIOT7P 2S s a 7 0 IITA f.tirc su r lî» hcetares O t ares 10 centiares

«le p ré , a M onlalaire,S 'd d r e m r u t td / /31* IIiv ik rk , uola irc .

.1 m In demeure de M. I.aiiis-P ic rrc Itoulaiiger,

l.e Dimanche 22 Ju in 1802, h dix heures. Par le n m istère de M* D cl.\cuur, notaire

i.e Dimanche O Jiiilie t. M' D e la c o u r , ven* tira h Eavillon, en la tlem enrc du s' Itnidanger. Itll lircisreH d*«vslitr cii pliiMieiir* p ln r M .

UfltGESgEPBÉiBOISSitüéti.s su r les te rro irs d e M onlalaire , Th<-

vcrnv et S aln l-L eu-d ’Esserent,' A V E A D R K

l'An ADJUPICATIOX VOLOXTAItiE,Ku la m aison com m une d e 3lonlaiiiiie.

Par le ministère de 31' Rivièrb , Htf/«ire « Vn'il, Le D im am h e2 0 Ju in 1802. à tpintre heures,

Eiili'ûe en joiiissiiuce de suite , tirnndes fiicllilés pour le puirmeiit.

^'(tdre^r^rrr <iud/f 31* U ivièrr. «olaire.

E lude doM ' TOURNEUR, nota iit; à Verheiie.

A v Ë Â i i h EPAi; ADJiniCATION VOLOXTAlUi:,

ütir leM tln i« mêmes el p sr !•(»,i*ür/emiHw/tVe(/«;3l'TtiüBSKUR,«o/uirctj VerOeiic • Lu Diuiaïuho 0 Juillet 1802 , h midi piécis,

e l jou rs su ivants,

BÉGOLTESA fa ire celle année :

E a I N é s u r 3 0 b e e i a r e t s e n v i r o n E n A v o i n e s u r 3 4 l w e l> 0 3 n r e s «

Le tout situé su r les te rro irs de V erberle, VillencuTe e t R oberval.

On se réunira à midi, en haut de la m on ta­g n e , h la porte de 31. Caron, can tonn ie r.

F acililcsp o u r le |>uiemeni.S'adresser audit M* T o crx ecr, m ta ire

E lude de 31* T ASSART. nota ire A Urépy.

A A 'E I V I f t R EPAR ADJUDICATIOX VULOXTAIRE,

A Augi>r-St-Vlnccnt, en la n u is« n com m une, J*(u-/em«NMlércde.M* T a ssa rt, notaire u Crcjaj,

Le Dimanche 2 9 Ju in 1802 . à midi,

s rUCES DE TEBRESituées su r le territo ire «rA iiger-S t-V incent, contenant X licclarea «tS ar^a OO r.

Jouissance après hi récolte prochaine. O ram les fucilit«^ p o u r payer.

S'adresser audit 51' T a s sa rt, notaire.

Etude de 31* LEMOINE, i i r ta irc à f.hautiUy.

i l A I 8 0 . \A uMHl* petiSe Ferme,

Sise à Tros.sy. com m une de Sainl-.M a\iiuiu. en la rue des Fontaines,

A V E X D I l l i :P a r va lon tiilrr.

E n la salle de la m airie de Sl-M axiinin, PurtemMÛi(credcSl'l.eMoixc,N«hi(>e(i Cliantiliij

Le D im anche 2 9 Ju in 1802, à midi.Il V « «oiile siVflé imiir iiiqnrrir.

On tru itera avant rad jud ica lion , s 'il est fait des ulfrcs suflisantes.

S ’adresser audit 31* Lemoi.xr , notaire.

Eluile «hï 31* J . NOLKVAI.LE, huissier âSeiihs.

VENTES

SEIGLE SUR PIEDPar le n m \s ttr e de 31* Jules .Nulbvallb, huissier

à Sentis,Sur IrH lieux,

Terroir de Su in t-Lêounrd , lieu d it le vieux chemin de Êteims,

Le l)iih.)nche 2 2 Ju in , h hu it heures, li» Hrrolfe rn Srlfle aitr, S larclarrH

SO nrrs environ^

S-' Terroir de f.a ChapelIc-cu-Serval,Le Dimanche 2 2 Ju in 1802, à m idi. .

I«n KèceltR ru Srlgle mir 3 lirrlurrA ■tt n rn«3 t cruliiireM ritviron,

ltxprcN«em<*Hl n u C'oniptani.

Mf.MB f;Tuni':.

DE S EIG LE Sl!D PJEDS ur 12 pièces,

.1 i n i 'M a g H f U e ^ ^ t t^ S e f r a lpS u r la plai e piddii/ur,

Le Dim aiirhe 2 9 Ju in 1802. à nii«li.Par le ministère dudit M' Jutes N o leva lle ,

Au i'o innfanl.

Elude de 31* ROUSSEAU, n o taire à 3lello.

H Â ISO N22 riH E S DE TEDBESitués com m une c l te rro irs de Mcllo, C ires-

les-3lello et Itousseloy,A V E,1ID R E

rAR ADJUDICATION VOLONTAIRC,Le Dimanche 2 9 Juillet 1862, h midi.

Kn rétude et par le ministère do 51' R o u s s e a u , «otfliVe à .Vclto,

Fncilité.s pour le paiem ent. S ’adi'esscr à 31* R ou ssea u , notaire û ilello.

l'ille d r firiillM.

A VIS.UflE PUCE DE GARDE CHllPËTRE

est vacante dans la ville de Senlis.■S'adi ester au Secrétariat de la Mairie.

Elude de 3l'I!EM ET,lmissier*priscurûGhantilly

V E A T K \ D X K A C I I É B b ; »Kt par su ite de faillite,

BEAU MOBILIER.4 CîMinde Hiir, ii** S9,

MAISON DE M. I.AVtGNE,I.e Dimanche 29 Ju in 1802. b midi précis.

Par le m inistère dudit 31' IlKncT.

( 'e lle vente consister.1 en : iKatterie «le cui­sine. vaisselle, g.arniiiires de foyer el de che­m inée.lam pes. très- he:iu burcan-piuno 'en huis d ’aeajou, pendule, fauteuil, coupes en inaihre . chaises, hnn(|iiette. p resse b copier, caisse de hnrean en fonte, le tou t prestpie neuf; autres m euhies en chêne et ac;ijou, en très-grande «pianiité.

Au Cojuplani. — Fr»l« o n ü o a lrc n .

Ktudc de .31* HAITRË-DEVALLO.N. nntuire à Oham bly (Oise).

• H K C -T A R I» t « A K F .8

DE TERBESis te rro ir de RonqueroH es,

A V E i l I D R I * :l 'o r ad iudica |io ii Tolontaire,

Kn P éfude et par te m inieière d e W llAiraC' DAVAtLON, n o ta ire à Cham blf/,

l ,e D im anche2 0 Ju in 1862 . b m idi. S ûreté p o u r acq u érir . Facilités pour payer.

S 'a d resse r a u d it H ' M a itrc -D b v a llo ii, no ta ire .

Elude de M* DELACUUR, n o ta ire à Ncnilly-cn* Thelle, guccesscu r de M. T hibaut.

D E 8 B I Q L C E T B L ÉSise aux te rro irs de Cavillon. M oulincoort

et Neuilly-eii-Thene.Bn dix-huit piicei

C 'o tt< < N iM t9 liC « « lirM 1 » ATM « I c e n t .A A T S I V D I I E A a x . m h è r e A ,

ÊCÜIDAGE HINÊRIl.La lia ison P u a g iu le r 4 e l l l l m u c a i i r t

e l de Daris, fabrique dans son usine b Sain t-D ents (Seine), un nouveau genre de schiste d ’une beauté rem arquable com m e blan­cheur et lim pidité, ne s'a lté ran t point Ii l’a ir, produisant une lum ière «l’un hrilhint éclat, avant peu d ’odenr b l’étal libre et point du tout b la com bustion .— Malgré tons ces avantages le prix n ’cn es t pas p lus élevé que celui des schistes ordinaireè em ployéejnstpi’b cejouF. — Pour les prix-cqurants e t de plus amph^s renseignenients. s’adresser b scs bureaux, 167, rue du Faubourg 6ain t-3 lariin .

^ ^ M A L A D I E : 8^ t P * i ^ 4 e t i C 'ItIrn ii. — 1«» P o n d r e «le V n i r i u les guérit c l p réserve dè mnladies. IIV. le paque tavccrinstruu tion .— P o m u in d e d e l 'i tt rA » guérissant en qnchpies jo u rs bou­tons. gale et toutes espèces de liarlros. L ep o i, 1 fr. 2 5 c. Pour l’expédition c l le détail à la pharm acie rue «fc Poitou, 1 1, P aris. — Dépôt à Senüs, cher. 31. Lanavit, arquebusier.

Ktude de 31* DKPL.^IGNK. huissierà Scniis.

VENTEP ar suite de cessation de culture,

\ VINtlUIL, on la ferm e de 31. F a s q u e l ,

TROIS VOITURESCaisse «le T om b ereau , ('.ahane de berger et

Rbteliers, T arare , IL rse s . C harm es. Crible e t beaucoup d ’autres Uslensib.'s arato ires,

B O N C H E V A L H O N G R E ET S E S H A R N A IScl Oltjcls iTloliitici's,

l.c Dim.luche 2 2 Ju in I892|. à mi<li.Par te ministère dudit 51' DurL-AicxE, tuussier.

An« Condlilonn ordinnIrcM.

P I L U L E S V É G É T A L E S• l e C A U V I i W d e P a r i s .

Cci Plt.Ur.i:S |uir leur rnii-ni-itc «( par leur rm)ilo> rni'ilc aui|iii-l etirs m prvtciil, »unl le moilli-iir p>ir d(>y pour >'oi»ti»(lr4’ ta rofi* ttipalion, (ti-irnirc lv> ttumeiii$ vt l’ticrelé ilu sao^ , et iiuiir ra­mener tTinrnitmie (lan« tes font* «MOIS vilnici. «omposrrs il» GnGjfmiie* t'égétales, c Ica ont

In propriété de donner du Ion aux inlesiiiis, dtr purger saut Yatigurr l'eittnmac ni .-ilTaiblir ait. un urgnnr.

\.ii l'Il.UI.I-S OvUViNn'esigeiit ni régime ni t>ois son spcciiiti'; sou* ce rapport, dira cousiiltirni tr plus ckiiuuimIc et le plus ririrare des piirgatiji cou liüs; .-lussi st>u«4'ilcs (iriliMiiiées avéi: sili’ccs tblis tr niat’idick aigitcs et eliroiii<|ues, aiulriles, eiigotÿc meills, usilime!, cnlarrlirt, ilarOci, nugniines. iitofule», el.-.

I.r mérite des ril.ULKS CVUVTN priit se rrsuine ni ces mots : létn&fir OH enOr/eutr la hanté l.a t /2 iwile du 5ü l’ilules, 2 fr., h buile de 60 l'ilules 3 fr 3(1 c.

PnéPAPÉKS U.\IQrEUE.M PAU J . P .

t'Iiarmarirn de l'école hupérii un- de Paris, place île rArc-dc'Triomplie de l'Ktüilr; Cliainps*

Elv>ees Pkhi,..>OTi. Une iiihtrurlioii e>pliralivveat rrnrermrc dan

Dépôt, rlira Al. C'haHtalMg. pliarmaeicii à Senlis

PID S DE IEDECIHE! - U S U T É FA B rU T E , REUtE SUS liDECIS, I l rC U U lO I, I l FUIS

D E V A L E S C I È R E S f S S i » r B Sles. hém uiroïties, glaires, vents, pnhniiitions, d iarrhée , gonllenienl. étourd issem ent, bourdon- mmit'iit aux oreilh’s.ac id ité . pii«)ite,nansée.‘ietvon iisse iiiensnp i'èsrepasct en gtrosscsse; douleurs, uigrenrs, cram pes et spasm es d'estoiiKic, tout tiésortlro «les foie.s, nerfs, m em branes .mnqncnses et bile; insomm ioa. tunx, oppression, asthm e, ca tia rriu '. b ronchite , phthlsie (consomption), dartres, érnp iinns, m«Mancoh«\ d t'p i'rissrm cnt, rhiim atigine, goutte, lièvre, hysiério, névralgie, vice du s.'ing. hyilropisie, fluenr b lan ch t\ les pèles couleurs, s térilité , m anipie d e fraîcheur et d 'énerg ie. F ile est aussi le nieillenr rortiilaut pour tes enfants faibles.

E«<ral<« de SH.OIDO KnCrUoiiH. N" .Vi.DSI : .11. te duo do fiinkow, niarcchal de enur. d'uuc gattrilc. N* r>S,6t J : .Mmu la iiinrquixc itc Urcliaii, d'iiiir maladie du biic de 7 iiiix, aven dénériiacoiriil, agitnlion nerveuse, mau­vaise digestion, insiiiiiiiiu et inélauculic. .X* 5S,(ilU i Jl. Dcdù, i.'. rue Duvivier, à farU, d’unu maladie inllatniisa-

' luire i|ui avait iési>le n (oui (rniicmciit iiiudiu.al. N" r>S,2lli •, < Saini>Jcan*de-Haur(«nn« (Saruic}, Il février t8C2. Dans nutru iiôpilal, duiil i'ni tn direclioii, les paliciilcs >c trouvent ini-rveilteusrnirnt bien du votre Rmuitetciiiv, et ji! viens donc vous prier d<* ni'cn cnvoicr 7K Ailogr.aninu-s. ■ .Siciir l'ubroine de Sainl-Josepli • .X*'5U,lt6 : H. le comlu Stiiur« de Dceics, |>air d’Angtcicrn-, d’nnu dyspepsie (gnstmigic), avec loulea sca misères nerveuses, tpsmca, crampes, naiisccs, douleurs :i la poilriiie et entre les upaules. N* 47,121 : Mlle B. Jacuhs, de souOranoea iwrribles des nerf», indigestions, crnpiions, bysiérie, niclnucclie. N " .t'J,H42 : Dlme Marie Joly, de SOaiu de nanitipation, ia- digvslion, des uerls. iisllinic, «eus, llalus, spasmes et nnusces N* 30,418 : lo doc«cur Hiniter, de cram m , spasmes, inauvniic digcs«iun et vuniisscmui.ls journatirri. N* 31.328 : .VI. W. l’nlvfiiDg, d'hémufrltoiiles. K* 46,270 i M. Bo- tirr(s,.\t'unu cnnsonipliou pitinionairc, avec «oui, Toniiisé«ncn«s, •'uuslipn«iun el luriltté de 35 années. N* 48,493 i Minu la comlchsc de (^nslIvSlnnrl, de 0 ans d'nnc irriinlinn borritde aùs nerfs aliénant l'esprit* M* 44,816 t M. I'a^. cliidiacru Alex. Stuarl, de 3 nus d'Iiorribtcs snulTrancv, des nerfs, de rliuniatiuneniga, iniuainie el dcgoùl de la vie. N* 43.KIÜ X M. (>. ileiickc, d sL-rufiilcs. N> tG.OI'J : M'"'VVi>adliuu c. ite nausées et vomisScnenls pendant grossesse. N* 40.210 : M. le dovlcnr-médcciu Martin, d'une gadralgie et im(o«iuii d'esinniac cpii te raisail vomir l3> 16 fois

rar jour pendant lnii« ans. N” 40,218'i le ratonci Wat»»n, de la gniille, névralgie et constipation opioiàlre. N* K.744 : le dnctcnr-inédiH'in Sbnrland, d'nnc tiydropUie it roiulipalinn. N" 49,492 : H Baldwiii, du détabrcmrnt

le plus i-ompicl, paralysie des membres, |>ar s'iitc d'csccs de jeunesM*. N* r»l,6l5 s M.'le hamn de Potrnts, préfet de l.angcVican, «le r»ns(ip.iliuii niilni.ilru et sonlfrnnecs des nerfs. N* 48.^1 : i l . te tiaron de Zatuiliowshi, général de disision, de sounV.siice.. icrrildcs du pliisicnrs années dans les voius digestives. N* 53,860. Mite Gattard, rue du (jiand-Saiul.Uicbcl, 17, à Taris,'d'une plilbisie pnitnunaire, aprus avuireie ■léulaiée incurable, cl<|u'elle u'eùtquu qtiulipics inuis n vivre. i’Iiis rurliliant ri iniiins ciiùlcux <|ue le etiuculat (tié, cale, huile de Me de morue,«jiriix aliment rcouoinihc luillu fuis »on prix en d’'>«i>'h. r..i..ù.l/.. ■ il » .>iw.r.. RH OÔll B«im««n« m< avait éclioué. N ■ r.7,'.>l7 : . Si j'cla a l'Iv.ni.cr.Hir, vill nn. uriiciiT du snnlé. B. DU R.ARIEV, pl.n- (rrnaoo), 32 fr. Chez tniu tes l'Jiarm.icicns cl Kpi

> d’iiuircs r r. i'ord.muei

èdcs ; il a opéré 58,000 guérisons où tout autre remède lis inic Inus les soldats affaiblis en Rwcnl ussge.s ('.lie- 20, à Paris 1/4 k il, 3 fr 35; 1/2 ti.. 4 fr. ; I k ;0 k

IàTWT c i v i l 1315 SK.NLIvS.Ddcè.s.

Lavuisicr (Alexis), 82 ans.

P i i M i e a t l o n s d e .Y lnrlniceii.Kiitre 3I.F.T<«|iiulle(AIexamli'e-S.'ibin),rcnti«ir

:i Senlis, cl 31"* 3lurcl (3tnrie-Jusûpbinu-Eu'gé- nie], S.IIIS pi'iih'ssiiMi à ^ n l is .

E ntre 31. l'tM'i«ichc (Denis-Fi'.iiiçnls), employé à Ehàleau T hierry, et 31"' Ruusscl (Alphonsine- Cê.tariiie), lingcre à Sentis.

E ntre 31. Dhiiicque (NIcol.'iS'Rciié), ih a rm a - d m à Rcaiivais, cl 31"* Cristiiiliii (31:ine-lluuu- riiic), sans profcssiuii ù ReauvaU.

A V E N D R E

B E l l E S P K O P I t l Ë T Ë R .(le lo itle s u o n lc iin iic e s , s o i t [liir peliU i c i irp s d e f c n n e , s ^ l a v e c : ^ tv itido c le n d u o , b e l le c h a s s e e t c h è lc iu ix , d a n s le.s e u n d i t io n s lu s p lu s L iv o ra ld e s , d a n s le s p r ix d e 1 00 fr . il 1 ,0 0 0 f r . l ’Iie c ln re , fa c i l ité s d e p a ie m e n t e x c c p l lo u n e l lc s , m ê m e d a n s le s e n v i r o n s d e P a r is .

A L O U E Rd a n s d e b o n n e s c o n d i l io n s , p lu s ie u r s f e rm e s d e q u n l i lé s o r d in a i r e s , d e 3 0 , 6 0 e l 100 fr . r i i e c la r e , à p ro x im ité d e r o u te s , tn a rc b é s e l c h e m in d e fe r .

S 'a d r e s s e r à B f . Â î i U I l l A R O , r u e S a in t-B o c li , 9 , à P i'irls. (A / fr .J

H E R Z f l E SG U É R IS O N R A D IC A L E ,

S O U L A G E M E N T IM M É D IA T , S A N S O P É R A T IO N ,

Q u e ls ( |u ’e n s o ie n t r e s p è c c , le v o lu m e e t r a n c io n n c lé .D e n o m b re u s e s p re u v e s d e g u é r is o n , s u r d e s s t i jc ls d e to u t â g e , s o n t à la

d i^ k o s il io n d e s p e r s o n n e s q u i d é s i r e n t s 'e n a s s u r e r .Î V O U V K A I I B A I V D A O E ! à l 'é p re u v e o ù to u s a u t r e s s o n t im p u is s a n ts

p o u r c o n te n ir e n t iè r e m e n t c l s a n s g è n e le s h e r n ie s l e s p lu s a n c ie n n e s e t le s p lu s v o lu m in e u s e s .

H i O U V E L i L i E S C E I i W U n E S l l Y P O O A S ' l ' n i Q U E S d e p lu s ie u f s fo r m e s , p o u r l e d é p la c e m e n t d o l a m a t r ic e . /

B A S i m n r v a r i c e » .

L ’a u te u r , i l 4 . t È A E C M Ê ^ E B i t b a i id a g is tc - h e r n i^ i r c , ù S a m p ig n y (M e u se), s e t r o u v e r a :

A CoMPiBGNi-:, M o te l d e la C lo c h e , l e M ard i 2 4 J u in 18G 2;A CRBVECŒtin, /fô fe J J9u/J0 W, 1c M e rc re d i 2 5 J u in ;A R e a u v a is , H ô te l d u C h a p ea u ^H o u g e , le J e u d i 2 6 J u in ;A S b n m s , H ô te l d u G ra n d -C e rf, l e v e n d r e d i 2 7 J u i n ;A Ci.F.nMONT, H ô te l d u M o u to n ’D la n c , l e s a m e d i 2 8 J u in ;A N oyo.n, H ô te l d u C h e v a le t, \e m ariM i " iü iW e l.

t 'a parlions fl/aire Je la rille Je A’eiilii, pour trgati- \ talion Je ht àiunnturt Je M . Reanier, apposée h rar.. I

C ' * 2l I/inrtaiiirê à Sentis, la

I8GS, f- ' Re^u

c & F Ë s i s e o u x o i i ^ sOn \\{iV.n\s\c$ jo u rn a u x srieutifiiiuc.s:« Do toiiluji lus (ienrcps qnn rAiVitiiio ot rA m ériqnc nous envoient, nulle u ’a conquis

.« dans la cnn^nmmatioii géiiéraiu une iii:|iorUinco (lareitle à culte du café, ce t arom atique a prndttii de l’Araliie beurciisc. Aiimoni conhiriuble e l breuvage 'délicieux, lorsque la a préparation qiiü snbii csi rtq ü v re d ’im piMliuluii baliilu, le café n ’est plus qu ’une chose K nniiséabondu ut itisipido. lorsque sa torrtTaciioii a subi des prt'parations inexpérim entées <1 ou dus altérations fraudiilt'nsus. L’art «le bien lo iré lier les l 'a fésest inlinim cnl plus rare « qu’un ne pense; il dem ande des éludes st'rieuses; des so ins savants, i^nc expérience R consom m ée. Aus'si. sau f «les cxcepitnus tpi'on poin'rait appeler m icroscopiques, le café « n ’a pas ce gmil exquis el ce lin arôm e qu’oii ailend «le la délicieuse fève arab ique Four H répuiidrc à ce besoin universel ut aux exigences légitimes «les .tm aleurs d e bons cafés, « nous sigiialoi'uns p i nous ('«‘com m anderons avec instance à nos Iccieurs le Café torréfié « à la vapeur p a r .H H . T llf.tii'c :kx frères. — I ic C « fé «I«»m G s u r a i e é S ) lel es t son nom n et son vrai nom ; a r d m c H iitiérlriiE* c o u r ? n i r é . êr*M «m l«» ç t f o r c e , telle usl sa 41 devise. Depuis «loiize ans , celle maison do p em iur o rd re a conquis utie notoriôié. nous ft pouvons m êm e «lire nue gloire ùniqiie; tU nous avons la convU lion de rendre aux tables « ilistingnées un service réel, on leu r lecom tnandant du préférence à tout ,'iutre l’usage d du Clitfc (Icit <4o iiriiirlM . »

y o u s prions instum meut les consommateurs de ce délicieux café, d 'exiger des baltes por/mi( le titre de Café des tlourm uls el lu siiinuture « Trébiicien frères, a — IS'ous désavouons toutes les boHrs de fer blanc el tous les cafés qui lù iura ieu t pas celte stgnalure et ce titre.

A V I « 1 I M I * 4 » R T A A T .Un «Icmi-kilog CAFK DES G01J!».\IE I'S faii 8 0 lo ries lasses. — C’est donc cinq tasses

pour 5 2 gram m es. — Une lasse du notre «,'xceilenl calé ne coûte p ar conséquent q u eS ccfi- limus. U éstdials : 1“ vive et iransparenlecnhrulion; 2^ économie de m oitié ; 3“ qualité hôL lemcnt supérieure à celle de tou.s les cafés du commerce : goût exqu is; a r im e superfin.

GHÛGOLAT B Ë i GOBBMETSNous avons faii nos CllOGOLATS pour les TIIO IS MILLIONS do G ourm ets q u i. depuis

doti/.e ans. sont lidèlem ent allachi's à noire c.iie. — Nos chocolats son t les p lus Riis. les plus hygiéniques, les plus savoureux. — Nous ne visons pas ii faire leur répulatinii par les moyens l'aclices de la puhiieilé; nue seule niiibitiuo nous guide : c’es t de séduire noé (rnis iiidlions «le clicnis par la perfeciion et l'excellence de leurs qualités. Lus p lus hauts e( les plus IhUtours témoi{^uagus cuusoÜdunl chaipic jo u r no tre succès

TÂPIOGâ B Ë i GOUBMETSNotre TAIMOI’.A est gafaiili put du Iht'.'^il ; aucun ne peut rivaliser avec lui p ar la blan­

cheur. la saveur, la piireh; ut ses propriihcs «'niinemmenl nu tritives. Les v n i s gourm ets ne conlondenl pas noire Tapioca avec une foule de Tapiticas indigènes, d e fécule, etc . — Nous déi-larons te m'Ure pur «lu Itrésil et exempt de toutes pûtes étrangères. — Il est ren­ferme dau.s d ’éléganis curi»uuag>'s. trt's-com m atles pour les m énagères. Son prix n ’en est pas plus uluxé. el sa <|ualilé usl à la hauteur do son titre.

ÉTHEBOLÉîSïE DE GHALMINp o u r o é t a u i i e u .

i» i ’JÊiæin»gStin»s M M J re r« « ffo .C 'tte noiivcI!«>.|iri''|>araliiiii •tiimi(|iie (icrinvl il'i'iitvkor »cii-m4niL- iiixtaotaiitriaenl tixia le» « o i^ a gras.

(artie« «le p e ln liire , « i lf , litiilo. h e u rrc . «niiihiialH. e o r ^ rC«nHeM«. demmIm m , «Ire ACHcUelnr. rCwin**, «rralM, iiir luulis c<i>èce> lU- lUsiM, («-I. qi'*: *<‘tour*. loierie., tajiM ^, ganta tl« pca« ■aux nlicrer les iiiùmr les |iliis «titicalL-s, sur les gravures el |Ki[)K'ra prêcirHx. Ce nouveau prcxluiest kii[>éri<'.ur a liiuf le., li<|uiJe.. n «tetnilK-r.

intix uu VLAco.x : 1 vuam: 50 ruxtimcs.Compose pur o a A i.M iN , chimiste. — l'ubrique ù Houcii, rue de l ’Iiôpitnl, 58 el JO.

Ii.'pôt ù Scniis, chu / 31. l’ü l i . in E i r f , cuitruiir-paiftim cur, place d e l à Halle, 53.

HYtilCiXii: nie I.A TO ILETTE.VINÂIGRE ANGLAIS, AROIIIATIQDE ET BALSANIQDE,

Adopte et recommandé par le Conseil de salubrité de Londres,Im portation [M'éparéu el purfeclioniiéc p ar C I lA l iM is r , parfum eur.

I.e VIMIIURK .tNCil.llM pnskûde iiiiu «ifciirtloiiee et suavr, il est (niiiiiiiF, rarraîchistanl et h;giéni(|ue, il lilaiK-lill et asMiiifilil ta pmii, tiil •laiiiiu ce vetniilu el celle fraielicur que luulet nos «lamcs'ruvient} fait dis parailrc les riites et les tuelius «te riiiissciir, r( ilissipe lu feu eau.c luC l'aelion du rasoir Kunn, il est anti' iiiejiliitii|uc, ee i|iii le rend iniliiiitnikable aua per.nuiius qui rréi|uentent ici.ltats, les théâtres, ele., en un oi'<* tous le» eiiiiroil» ui'i l'on ri'»|>iru un aie vieié Cette iterniéru prupriélc, i|ue pisssédu le Vinaigre anglais d’cire lin |ircM rtatifcunlru tu nu-|ihitisinu lie t'air et des va|icitrs, l’a fait adopter et récomnander par te Coatril il'iiygivnt: lie Ixinilres.

I*rix en France i l fr. 59 c . 5 fr. et 5 fr. leUacou.Fabrii|iie à lluiioa, ruu du l'Ilùiilial, 39, 4il, 4t, 43 el 45. — Maitou • Faris, rue «l'Bnghicu, 94.

Su li'uuvc û Sunlis, chez M. l 'I llf .n iE ü T , coifl'uur-parfum cur, place d e la liallo , S3;el cticA tous lus principaux Eui(reni'.<i-l*arrumuiirs c l Meiiciers d e France e t de l’Ël<anger.

. » tK M gilt'iiÆ A Æ iM SS.

VILLES.

.Sentis. L iiinpiègnc llonuvais. Clui'imtiil. Crépy. .Naiituuil. l ’un i.

,Fn0UK.XT FROMK.XTi 1 MISTBILDATES. 1 * 1 2 ' 1 M oisoN l " 8B IC U . ORGB.

. p ia iité .'qualité .1 qim lllé. 1

1 7 Ju in . 1 9 1 0 1 7 6 0 00 IHLOO 01) 001-i Inin. 2 9 2 5 1 9 0 0 18 9 0 1 7 2|i U ‘5 S 1 0 KO14 Ju in . 21 81),0 ) 00.18 6 8 16 4M 14 5 0 1 0 7614 .Inin. 2 9 .56 18 5 5 0 0 (H) 14 72 10 2 8 1 0 2814 Ju in . 1 9 0 8 17 5 0 9 0 Ooll.H 40

00115 5211 2 0 10 56

15 Ju in . 18 00 1 5 0 5 01) I l 0 9 10 8 915 Ju in . 21 0 0 19 6 5 18 65! 1 7 5 5 'I l 5 5 09 .50

7 7 7 7 7 79 00

‘~ T \.\K IHj l ’AJ.SÜdalLr (lu A l Ju iïT 1802. — l " ' t | u a l i t ê , 5 2 c . h: h i l t ^ t a m i i i e ; I

AVOWl

S K N L iS , T Y P O G U A l’I in S K T L l l l I O G U A l ’H IK D K M ’" V I lK G M K I l