alliette (17..-18..? ; cartomancien). manière de se

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Manière de se récréer avec le jeu de cartes nommées tarots... / par Etteilla (Alliette) Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

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Page 1: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

Manière de se récréeravec le jeu de cartes

nommées tarots... / parEtteilla (Alliette)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

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Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se récréer avec le jeu de cartes nommées tarots... / par Etteilla (Alliette). 1783.

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MANIERE

DE SE RECRÉERDl~ SE RECREER

AVEC LE JEU DE CARTES

1

~O~~ÈE~T~ROT~

Pour fer vif de premier Cahier~

cetOuvrage.

P~R ETTEfLL~ ~r1

~W––

Prix i Uv. ï0 fcisle Cahica'~

–T-~

A AMSTERDAM~

H~n-M~ ~~Rï~,

L'Auteur, rue de iâ Verrerie, HoK~

f deCriIIon.

~MERïGOT,ra!ne,L:bM!re, Be~

1IcvMdS. Martin, vis-a-vis rOpertt

Chez L E G R A S Libraire, Quai Conty wà côté du petit Dunkerque.

ySEGAULT, Libraire Quai d~

S, Genres.`

1783.

Page 6: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

L'on trouve chez FA~ear, &: chez les

mcmes Ubukes~ JErr~fH~, oa

~r«(7toM~ ~ft~f Cartes.

Pnx, t Uv. t~~bis.

Page 7: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

A MON SIEUR

ME~r~E F~C~~

É C U Y E PL,

~<?~Ë~ C~Co~j&

Af~~ Fo~ C~e

F~on~ ~<3y~~f~

Premier L~ ~r~

de ~o~ F~r~ 6'

MONSIEUR ET AMI,

Si cette r~<'<7~/<? y<c,~Mfrf~

CM* n~MJ ~< tH~/M~~M~ ~7!/C~/<' depuis

~Z/ ~/Z~ /<3MM/f que ~0~ ?<

or~o~nc yoKj f~r~ /h< //z<?~

~&~j,z <ïM'r~ cc/f, PA~OEycjE~

~~re ~K~ /rc/c ~M'~

~t ~o/Mf

yo~~ rendre /o/z/<<: de M~ <r-'

~oc~yMir les <:Mc/~yz~ P~H~y, pr:

~7z~ les Hautes Sciences ~M~-

~M~/Z~y~yoK~/z~ ~K~ Jfo~n~ ~y2<

Cette <ï/<r/2< o~r~ ~r <~j

Page 8: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~.f C~ P~~y~ /?/ ¡

f~VPMe, ~OUStEUR ET AM)

jetté dans ~n~ ~or~e perpléxité

~TitJf~J /no~M pour me rendre le

~4 rmr~r~rs<s/ yM'K/ï

~o~gJï/~rzc~

yK~ ~f

L'Homme qui agit contre mon

~~prit, ne peut que s'en repentir.

~2~<t~.r~T'/2c<, ~pr/!?<M~ ya<'

~~e~~e &On~M yf)K~<ï ~tre ï?n~K.M-

Z!~~<ïMM~Je. y~c<' ~c~ P~

~o/e~ <ty~~ J'c ~/<t~r ~Mr Tra-

<~a~r, 6' /on t~nc ~/7~ yc me /K~~r~ au mo~~c/'n~n~ ~K~ ~n/r<ït/zc'~

~K~K.~S~f&J~M;~ O~fMgf ~~K~ ~~f-

~ryo~rc a~/t~~on, 6'~Aï~c aux yr~~

~J~y' les ~'c~n~~ occ~~f~,

~ï~f<y~/

J~ysM,~vêt ~~ë

~~t'~ y~~ï/~r~~

p~ /M~ 6' ~4f~ ~M~ ~o~/zc/ï~

< <c~ ~MrppH~ r~~n~/ûM~

~0~ Si EU R ET A M 1,

a Votre très humble,très-obëiilant & très-'

aSe~ionné ferviteur,

C~o~rc ~83,E T T E n. i. A.

t. <~

Page 9: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!;J

jijjmmtwmm'tm'wtmmMmM~tm)! i~n.i–

r JE D 1 T E i[/R.

~L~ E TOuvrage

ef~ Pinferprcra~on

pâf:icu!icrement!a def des (oixan: &

dix- huitHiéroglyphes qui ~onc dans !e

Livre deTnoT, !e~eu! qut nous ioitpar-

venu )u~qu'à ce jour desEgypnens.

L'Auteur de cette Traduction, in~u~

depuis 17 ~7, que !'0rig~na! eic établi

fur !a icicnce des Nombres que pi.ad-

quoient les anciens Peuple: a cru de-

voirinterrompre le ~!ence qu'i! a gardé

jusqu'à prefent,pour cuivre la rrace &ap"

puyerle (enument de Co~r~ C~

ce Savant Antiquaire nousayant dit

dans ion huitième Vo!ume du ~p/~e

Primitif, qu'il avoir reconnu que !e Jeu

de Cartes nommées T~rc~ éfoit un

Livre compofé parles

J~~ Egyptiens;

qu'i! e nommoit T~ & enfinqu'il

tenrermoic is Science de l'Univers.

Notre Auteur, pour nous démontrer

A ii

Page 10: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ÏT

ces ventes, commence ( à l'appui des

~cpr premiersNombres qui ~om i'A'pha-

Hec du Livre de TAof, ) par prouver

gcomcrciquement & numériquement, t

que non-feulement ce Livre renterme

la Science de ~Univers entier maisque

tout ce qui e~ dans notre Univers, en-

fin tomes !es Sciences Morales &Phy-

Hques, yfont tracées avec la

&geue ~c

la Science ou l'ordre dont pouvoient être

pénétrés les Aif~ de tous les Pbi!ofb-

phcs~I~otrc Traducteur n'ayant pas, eu !a

vaine prétentionde donner la

copie

d'une Encyclopédie univerfelle, ni mc-

me de former <ii Ouvrage votumineux,

s'e& attaché purement aux hautes Scien-

M dites o~c~~ qu'H proteiÏe depuis

trente ans,/«n~ interruption c'e~ pour-

quoiil porte toutes tes vues fur la

pre-

micre.iapîas haute & &ut i!dire la

feule doctrine desHierogtyphes Egyp-

tiens.

C'e~ une wr~ ~ft doit~<~<r

tous

AtMaow ce Peuple de Sagesne ïra~.

Page 11: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

"s*

<~a jamais un feu! Caractère ou Hicro*

glyphe,~ns

yrenfermer !i:rcra!emcnc

pour les Savons /<t /?f/j~/o~ qu'iis pro--

tenoient /« Z3~/z~z qu'ils pra~4

~uoient, & /j ~-</<'c~ ~7~y~r/c~ qu'tis

po~cdoient,toures !es Sciences humai-

ne je dis vulgaires même ce!!e que

nous no!Ti!nO!& rhv~que ne teur pa-

rot~antplus propres qu'au commun du

Peup'c Gu'i!s inn.ruiioient à certains

jours comme ils le témoignent da.ns

le Livre de Thot.

C'en: avec auranc de ~rprif~' que de

iatistaction que l'on découvre dans la

levure du Livre Je r~o~~ ce qu'croicnc

les A~a~ ou J~/cro~z~~ Ôe ce que

font les Sciences que nous nommons ~<~

~7~j, donc nous n'avons aujourd'hui

que des idées bliarres.-

La manière donr cesSages s'expli-

quent Utr les causes &. les eneis qui iur-

pauenc notre entendement, demomre,

ou qu'ils avoienc prévu notreignorance

à cetégard, ou que cette même

igno-rance (t-norant de la fage ~Jatm-e le:

A i:j

Page 12: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

eS~cs rares & !eurs cau~s!mpercepttb!e~

pourles donner à de noirs esprits ou à

des êtres chimériques, ) exi~o:t de leuE

tems enhn dirent les premiers Egyp-

Mens 3n'y

& âu-de(îus de !a Kamre

~u'nn D}€U ~niFâ cré~e & it

n'yà

contre la Nature & ~on Moreurque

les

vïces humains.

L'Auteur, pour fe rapprocherde ceux

qui ne ibnt pasinfbuirs, fait presque par<

tout ab~ractton de ta Science des nom-

bres qu'employèrent tesEgyptiens pour

~brmefleur ouvrage néanmoins en

calculant à la manière des Géomètres,

i! nous ïnttratt de !a route qu'il eût pri&

pour cuivre Mctement ~on Original,s'il

n'eûren à parler qu'à des Cabaliftes; mais

craignaM ensore quel'on ne

&upconuc

<on Alphabet ï. 7. d'être

l'effet d'une imagination auni Subtile que

vagabonde il s'appuie (ur l'Ecriture, ~c

les jattes notions du pÏus grand ordre, qui

n'ont p& nous quitter, & ~ur tes débris

purs des, Hicrog!yphcs du Uvce de

2~.

Page 13: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

'e"~J

~rrEfZi.~ prouve donc ev~dem<

snent, ayant toujours le compas &tes

nombres pour guides & pour ga.r&nrs f¡/

que ce Livre nous e~ parvenu enner

C. Q. F. D~er, qu'il a ecé & dû effe

compo~ en 7 S fcuillers. Il preuve de

même que tout FOu~rage dévoie ctre

di~ribucen ï. 2.. ~& y. Livres;

Que lu en un feu! Livre, il ne traite d'a~

cuns mje:s renfermes dans la diânbudon

de deux Livres &: pour me faire enfen-

dre, que toutl'Ouvrage change de i~"

)e:s,(u:vant le nombre des Livres 01

des volumes, torique l'inrention en cft

Jo~n~ d'en faire la lecture en un ou plu-

6eucs Livres; vérité qui parole furprenan"

ce mais qui devient parfaitement fenR-

ble dans cette Traduction.

Notre Auteur nous découvre d'une

manière aulu fimple que pa!pab!e que

!a cupidité &sencra!ement l'ignorance

ont eSace p!uûeurs Hiéroglyphes pour

en mettre d'autres, fuivant ietems !es

i'nterêts, & les lieux comme aufu., que

preiquercus lesHicrogiyphes.&nta~ercs~ s

A i.v

Page 14: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~)

en6n que ~ordfe des nombres qa'a<

voient tenu les Egyptiens e~ ab&lumens

troublé démontrer ces cho&s ( !crfque~

saous nous permettons de le dire, l'on eft

wnique ma~re de fa matière) & rejetter

par.toutle mensonge & l'inutile, pour

n'y îaiïïer reipirer que la vérité appar-

tient à la Science & à i'amour du bien.

Les Hiéroglyphes font remis à leur

vrais nombres ils ~ont, au moins en par-

tie, retraces purs à nos yeux, & toutes les

fois que l'occaûon s'en e& pre~enice, les

faux attribues en ont été expu!{cs 6~ les

vrais acceuoires remis tels qu'ils ctoienc

chez les Egyptiens~

L'Auteur, pour ne point s'écarter d.

1~ Nature, ni du Livre de T~, n'em-

prunte de FArt que ce qui îai cft necef-

faire pour ~e faire entendre & nous con.

duire aux vérités phyuques&infeUe~ue!-

les extraites du Livre de Thot vérités

qu'il dcmoMre tnathematiquement, oc

exemple qu'il taiMC aux Savans qui fui.

vront cette carriere dont il a ëcarié toutes

le! épines,

Page 15: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

A v

MANIERE

DE SE ~jE'C~

AVEC LE JEU DE CARTES

NOMMÉES TAROTS.

Pour j~~r ~c ~r~/7!/<'?' C~A~r

0~tv<

~EST avec r~ifon que !'on e~ cronne

que !e tems qui dcrrnir tout, &l'igno-

rance qui change tout, ayenc!ai(Ië

pa(-

~er à !a po~criré unOuvrage compo-

se en !'an 1818 de !a Création t~: î

ans après !c Déluge, &: enfin een!: ily

A

aujourd'hui 39~; &ns,

Ce Livre a ctere-lige par dix-ieps

Mages compris !e deuxième des def-

cendansde ~c~c-c~ celui-d

Page 16: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

io

pedt-~ts de CA<MM, amsfe-penc ~!s de

~Vo<~ !equet Tr~rc~f~ outroi~me de

ce nom ordonna îe Livre de 7* iui-

vanc ia Science &1s ~ge~ de les Ancê-

n'M.

Cj; L~re ~t écni dans !eTemp!e

d~T ru," "J.il. u. "C'&"V_

la (~~s~, QM d!t Feu T qui e~)C b&M

dans une espèce de (oEcudè, au Levant y

& à envif oc trois itères de Memphis.

Riett n'e~ plan Ëtcile que de prouver

que !@ Mc~MM producteur & Eeda<~euf

de cet Ottyr~e~te au~nénMdescen-

dant de Zoroa{h-c(ï) le quatrième

feuillet du Livre de T~<M!e prouve évi-

demment; cetpït~Mppotte~ce qu'en

C~o~ <4 To~M, & pluGeurs

aUK€S.

Ï! Ëm< c<mMt~ ce Hïcrogtypite de

~rep q~ ces ~é di~r~Rmeat

r 'j. !f. jf!

~) L'EcNtttre te ~ïMM C ~utëbe

Tappefîe que XoroaRre dtfbit Dlea~ Eternei,

CMfe pnmittve ~etatutM~!t,AMeoT & Cféa~

teur de toMc< (~ho(e& Ce gMcd Ec~VM" n'a-

volt pu6Mf <es vues MttcMM que le pte-mier ZoraaHre fils d<' ~o~ que Ï'Ëcnture BMB~

me CAaBï, ccHim~ttous vtBoas ~~e <ÏM€.

Page 17: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~1

diAribués't! n'eu!:

pas indiqueune f~xic.

me Gcnct'ation des trois branches de.Moe', 5

(es Pau'urche

compris ) &:!a Chronc*

logieanieeedence

( de cinqfhm<es

par

!âhgnce

des

Zcra~~ )

aurègne

du

:solûeme Mercure.

LeTernie

~e là ChsîeUt etoK dcule

& !*Ecernë! ,<ous !eHiëfog!yphe

eu rEm~

b!eme du Soleil; &: pour mieux& rappro-

cher de la pcn(ee desEgypnens,

~uus ce"

tui de~M~&iepius pur, répandu~

animant tout !'Univers(i)

(<) II n'y ctolt pas que~ion d'?~er le feu<

AY1J

Page 18: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

Il J

On remarque auΠdans ce Uvrg,

qu*it fut commencé le So!ei! e:&nt au ~t-

gne, ou fi i~on veut au dix des Gé'

metux, la Lune dans i'Ecrevifïe Mer-

cure dans le Ver~au < &c.

Pour nous conduire à des preuves 8i

à l'inteUtgence de tout l'Ouvrage nom-

mé T~M il e~ nécelfaire de mettre ici

l'Alphabet ï. i. 6. 7. qut dé-

yeloppera par!s ~uite toutes nosa(ïerdons.

L'étonnement ou plufieurs perionnes

doivent être en appcrcevant des nom-

bres pour nous. donner t'inteUigenced'un difeours ) n'a rien de furprenanr

mais elles en reviendront !or(qu*on ré-

Cechira que beaucoup d*Hiérog!yphes

Egyptiens étoient proprement des Nom <

~rcs C. <~JF.< Dïte. & qae les Nom-

bres etoient pretque tou~our< chex ce

peupÏe lePrincipe

du discours com.

~e on ne tes prend au contre au~ourd'bu

tenuce en ta a înjuaemtct acçuÏÏ Fun desVMM Zcro~re cett? MelAttie ce peut abfo-

ïument étre~ttnbaee qu'à an fiïex Merccrc cdi~iéiac Soeiverain d'Egyptc.dixième Souverain d'Egypte.

Page 19: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(~

que pour Fattribut &- en~n que t~ipnc

principalde cet Ouvrage (ou~e !es fdeness

rhynq~es qu'it renferme) eA !a A~t~<~ Il

la Z~'y~p~ & la Af~'c~ MM~V~

( qui ~ont abio!ument un ccou!en~cnc des

~epc premiers nombres en ce:te ~e

3 y' 7 étab!i(Tan:!a Religion

~ur 3 etâb!)t!ant!a D~tnanonpârPro~

phétie & par Phitofophienature~e ~r y

2.&~cut~& eniin Ecoute-

ment de t & de &: a!!an!: 7 en

cecce ~orte 1~====~.

1. !-t- -<- 7=~ ï 6, qui ~epMc donne 7

lequel remonte à l'unitépar 7 3 ï

cequi réuni: rouîes !es conditions des

<EavresPhilosophiques, du Phtiofo-

phe, comme )e le dirai, )tc!!es que ce Peu-

'p!e deSages les entendoit &: les prjd-

quoit (e reneknc raison de lapremière

& des deux autres, par les nombres qui

donnoicnt le mouvement à leurs dif-

cours, à. teur croyance &: à leurs ccm.

tudes.

LesEgypnens étant

parvenus au r'o!ncde concevoir qu€ tout Moi! ncmbrer 1)

Page 20: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï4~

même !e tenK ( ï ) 9 on ï eip~c~~ Qu i e-

tenduc ( n'y ayant qujc6'aï cjpi

ne

&!CtM nombre, aï nomb~, ni notn'

Ï~abÏe, man putemeM nc<nbrant%ou

PrMdped~t&uc nombre,) en ce doit

pà& Mouver eM'ang<eqa'tls nje ~M~-

ijEnc~ed'ap~e~csnQnnbircs~poaf&ies

6gn?e~<~ntmepnnctpesdM~ours,cpnt~Me j~ ïjB &Mdc!i!&rmes (,~)~itn<? ~uc

p~~tnenc qu~ ïe~xpo&f i<~ï$nos y~x.

$i, patcxempÏetnoa~ comstcn~pM, par

i~ pnacïpe e~ ~MqM Jeacons q~c

ft) Sai~ ÀMa~t dît ~perCMM&ae ate

~m~e ce ~&!6 Mms,~ ?1~ R <&~

d~)a!ètde,je nepMtt~MM~ ce~M )JB

~t~ Cette maNteM<kpMMr~ 4e Bea&fe~

4es pl~s~Me ~y ~etit~~ai &

lÊ~ba~aPe `&~i~ga~e uop

-P.9M~e~<M~e~(t) Hat~a~t pu~ à IaS~

;q~ ~?~~0~~

~q~O~~&oaM.Daas te Ï~vre de Tïtef, <ia y lit ~uë Ïe<t

~ô~€< &~ pmtdj~âëë i~es t & par~r

eon<ëqMent des che<e<. JPiatom 3tasibït

nemM.dïtatt~QaeleB~mbr~tgën~Mtemen~

pa~&~ e~~M~W~~ ~M

,~aM&M~t~4' ,r:

Page 21: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

tf

ce carac~eice quoiqj'ici phyuque, donne

l'écoulement à une foule de difcours qui

Ce rapportent à !& Divinité &: que nos

di&ours prenant i pour formule cène"

ronc d'être ju~es fi nous nous éloignons

de Ce qui e~ Dieu Dieu n'ayant qu'un

dan& tout ce qui e~ véritablement lui.,

comme & Force, (a ju~ice, fa Bonté &

Puinance, &c. &c. &c toute vertu di-

vine étant de~one(Ïenceimmuab!emens

lui ce qui n*e~ pas de même à l'égard de

t'iiomme, d'une nature foible &agHe Se

presque toujours variable.

S CLOUS~uppouons que pût fe repor*

ter~~homme, nous pécherions contre

(a plus faine Philosophie. Le corps ds

Ï'homme n'eft ab~otument qu'un compo-

6 d~viJ~Mc a t'<~7!<: ion ame en: bien

une Jtîut; mais fIeHe e)t devenue indi-

viHb!é el!e n'en a. pasmoins cie

compp"

(ee de la volonté, de reman~non & du

don du Créateur & la ~eutté con-

nue de la ~Cre&tufe qui l'a reçue, eH:

une preuve qu'e!!e eu composée ài'eeard

de la vie commemoyenum~nt, elle e~

Page 22: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~)

ferment compose qu'elle !evc(eraht

phyuquemcnt & moralement !i~e à

Ï'ame & au corps ) le dernier doute que

ces trois <acu!tés de Ï'bcmme foient Hm-

p!es & unité, chacun oc chacune en foi

car &ns ia vie le corps & l'âme n'au-

roienr aucune exigence; & ennn, !'hom-

me ne pouvant pas être regardecom-

<ne unité, tout ce qui eft lui eft com-

pose de parties matcrteHes & mteHec-

tueMes, & des unes &: des aunes.

Si nous pe&ns le premier nombre

oamteuih&urce des nom~reS)!~ pouf

<~<'M<<rtou <nonter au premier nom-

bre t, nous y orouverons t'hommc où

'&n nombre quï eft mâle & &meMe 3

!epï'em<er comme agent, & le &cond

cbmme patient; Ï'un & l'autre mont.înc

la per~ecHon par le penchant, ie de-

voir & !a necemte d'être inséparables ainu

de tou: ce c~ui peut e~e attribut du pre-

mier nombre i.

Voulonmousmontet a 3, ce nombre

nous indiquera tout ce qui e~ de lui

etab!iubns t n théorème, Il

Page 23: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

'~)1

9L.en: !e nombre du mâle & de la ~e"

mette ce qui en e(He plus proche, eft

génération ) fera. donc Fen~t, com-

me j. ieprincipe;

ce qui Ce voit jui~e &: ne

paroit Mmp!e qu'en tant que la véricé

Hous environne de toutes pdïts.

i. eft rapporté à Dieu à l'homme

& à lafemme & a la ~c/ï qui

a pour but un enfant.

En peu de mots, les nombres pro"

duifent la vérité de tout discours ce qui

ef~ bien digne de notre admiration &:

de notre étude (uppo(e que ~on ne

nous en talle point un crime, y ayant

encore des hommes auex bornés pour

croire cette Scienceitiegitime.

Nous remarquons que les nombre!

ayant produite discours celui-ci s'étend

avec ordre ju~qu'~ ce qu'i! rentre dans ~on

principe, & le principe dans l'unirc

fi difons-nous le discours eft toujours

appuyé de &n principe qui font les nom-

bres & ceux-ci de leur pnncipiant quicH: l'unité.

1

Le Créateur forn%a Ad~m mâ!e &:

Page 24: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï~;

iemeîïc & répara ce nombre i aM

qu'i! pût s'étendre au nombre 3 b gé-

nération, Après Je nombre ) ~iencné-

ceuairement l'Univers, que l'on re-

trouve 4e même dans le nombre t mi-

crocofmique ennn on doit fencir ~ue

ïç dticours qm, comme Con, arncuiation,

eA né avec rhomme n'e~ qu'un ac<

compiitîemenc de !a fage Namre posic

ja per&cMon humaine mais que ces

~ons, ces articulations ne font d'aucanc

plus julles que les nombres font en-

tendus.

App!tquer le di~ours aux nombres

.$u au concraire les nombres au di&ours~

paroît à peu'prÈs !a même cho<e a beau-

coup de per&nnes mais non à tous les

homme*. St je pe& t-t-i~ ~e fens

que tout discours y j[era!oumts; mais

je ne vois pas queiedï~ours ecaHira un

pareil axiome a moins que te discours

ne foit un écoulemenr des nombres ce

qui revient au même ( ï ) c'e~-à dire,

(<) Les Sciences qui approchem leplusde

Page 25: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

:9

~e le dlicours {cra une emânadon ~es

nombres & ceux-ci de la vérité qui !eur

donne l'être, & lesdirige généraiemene

dans route la Nature tous discours qus

perd de vue les nombres deviennene

erronés, & ne tbnr plus entendre à !'o.<

!'etUe& âujugemenc que d honteux para-

doxes. Si on .oppo<e que le discours flux

faitopérer, les er~ts qui en rëfukenr (nne

vicieux &: au refusât., l'ignorantne troa-

ve pour rceofnpenfe que la honie & !es

remords de n'avoirpas i:on(ukc !e Prin-

cipe du difcours qui font les nombres.

(i)Je reviens.

I!ya(c'e~unevérité

numenque &

r J

la haute fagef~e, & des fëntimens de la Natu<

fe ne font dï~Ingucr celui qui les pratiquequ'autant que (on intellizerlce & même fe~

fcns (ont attentifs aux nombres.

(1) Que ceuxqdl veultnt écrire lurlaH~u"K-~c~ncc des nombres, entendent bien quechaque nombre a (a propriété comme fa va-

leur que iuppofe,' e~ facré embraffantl'Un!vers Dar l'appui de Funite, & étant pla-ce entre l'Univers & ia perfection 6., &c.

La propriété connue donne tes effets phy~ytes,

Page 26: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

gcomctrique ) e 93 3 ans que lé Uvre a~

Thot eft compose; mais 6 au lieu de fou-

mettre fon ëpp!icatioh eh un mot tant

vouloir entendre aucune raifon on re-

cufe les noh~res comme intuS~ans pour

nous donner la defde ce Livre, rien n'e~

plus cerrainque non'-feu!emcn~ oh fera

fur lui comme fur beaucoup d'autres ob-

jets, de ~uHes eo~ec~ures mais U ne

fera jamais encendu encore que l'on

prenne pour une folide rraducHoh, ce

que j'ai vu trop (buven: à regarddes hau-

tes Sciences une <uite de mensonges

au~t mal ajuâcs que mal conduits & mai

amenés.

En employant les <ept premiers nom*

bre Suivant !es~rindpesque)'en donne,

en verra non-ieuîemenf avec queHc nm-

pHcïre !'(Mgina! fe développe mais en

outre de combien il e~ au-deuus de ce

que j'en dis, n'ayant pas voulu dans

1ce premier ~uai paro~rep!us Romancier

que Traducteur.

Ayant cet Ouvrage dans les mains,

je dis le Livre de Thot ou le Jea de

Page 27: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

1 t

Cartes nommée 7'~ro~ on cn~ht-

gue, que comme Livre de T~o~~ il eft

principalement compote en i. 7 Livres,

c~eS'à-dire qu'ilRie compote &: écrie

pour ëcre !û en commentant en ï Livre

78 Feuillets entité en 4. Livres i x. s.

& S 6 feuil!ers;&: enfin en croihcmN

qu'il faut l'étudier en~epc Livres iuivanE

la formule que j'en donnerai dans le Ta-.

bleaugénéral des y premieres divihons;

ce précieux Livre étant Hifcepnbte d'une

nlukicude d'autres, je dis de pluheursmi!-

Mons -de billons,fans jamais otRir la m~:ns

te&ure, ou les mêmes iujers. Voyez ce

que j'en dis en partage de TY/~M, de

~~0/7~ f.M/ & de moi-même, dans

le troinéme Cahier page 2.9.

Con~derancque FA~phabcc du Livre

de T~, t. i. 6. y. ne ~e dé-

couvre qu'à mesure que l'on fe rend cer-

tain par l'étude que les premières !ectu-

tes doivent en erre faites en <. 7, li-

yres, viennent de nouvelles lumieres nous

éclairer pour fruit de cène précédentes rc-

flexionsque l'expérience démontrées

Page 28: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

n

fauiïës ce qui n~a toujours fait. pen&f

que le Livre de T~ dans les mains pen-

dant dix ans demeure infructueux en-

core que t'en le ~upconne &tennnque, fi

on n*&pas de vr&is renteïgnemens par une

étude primrtive de la Cabale, ou au moins

te~ude&ges levons d'un vrai CabaliC.

M.(t) i

Découvrant pas à pas que l'A!phabet

indique l'ordre des !e~uses du Livre de

T&û~bus-eMend~M qu'it faut avoir

trouvé avant cet Alphabet, on arrive au

point d'entrevoir que ces trois nombre:

t. 4.. 7. ou 7. t. & enfin que les fix

diverfes permutations que produisent ces

trois nombres t. 7.==m.

x i étant le centre & la circonférence

de t. 7. it eft unpQfBMe à un Caba-

h&e de reposer tranquille qu'i! n'aie trou"

(t) ?MSan DMettatmoL Ctf tes Sciences

eccult<'s<qae)*etpere mettre au jour, )e dé-

BMntfe&pMaveqaetes Jaiis modernes ootindmteeetTeMF 'tre~cMc~tons ~M Encydpp~-<f~ t <c Mtrct qm ont Tea~t pMlet de

Page 29: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ve la vérité analoguea ion objec que de

choses à tracer Mais prenons de l'or-

dre, a&n de nous faire au moins enten-

dre dans ce coure abrégé.

Ayant le Livre de T'~ dans les mains,

Ïn~ruit en outre que ce font nos pre-

miers & nos plus grandsMaîtres qui l'ont

compose, quelle doit être notre ambition?

de le lire courammen! & de le com-

prendre, ou qu'il ~-rve de nourriture à

notre corps, s'il ne peut devenir cel!e de

notre e<pnc. Mais eH: ce par une foule

de faux ï&i~oHnemens qu'il doit nous in~'

truire de la route que nous devons te-

Nirpourte dechinrer ~Devons-nous con..

fulter ces miHiers d'EcritsfophifUques fur

lesHiéroglyphes

des Anciens Ce Jeu de

Cartes eft unOuvrage ~cienunque ou

S'ivo!e dans l'unFautre cas les lu-

pernciels Antiquaires ne peuvent poin:nous conduire, ou au moins ne nous indi-

querdans leur

apperçu que fi peu de

'Y-

la Cabale poM en pMlervMÏ, il ~mC&baÏ~e.

°

Page 30: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

11

cno~es, que cela ne vaut pas la peine

d'employer un tems beaucoup plus pré-

cieux à les consulter. Si ce Jeu e& fri-

vole ou fait fans autre Idée que d'amu-

&r ks Dc&Euvfcs, ainh que rin&ùtena-

ble Domino je dis pour un homme qui

rai&nne, nous ne devons pas y rencon-

trer autre chofe qu'un moy<n de ~e<r

le tetM machinalemcnf.

Sice Jeu

eu

~endSque t Udoit être

CtaMi fur une bafe qui, une fois connue,

nous développera tout ce que les Sages,

en un mot, les premiers Egyptiens y ont

trace.(~ i

~'interroge mes fens phynqBes ma-

tériels, & je voisphyuquement une quan-

tité de rapports dans les Hiéroglyphes

qui me font natareHemenc tbupconnef

{t ) On v<ct to~oufs & Ë~tfer que te

~ac t'en M ccnpciî pas ip'jtpas

été éta-

bli &V€craIC)BBcment :o~vtnt!MÏ,onJH..ge & on parle mal; fementonsa la Cource de

tout eu nous rçtomberons aant la décadence

de. Sci<:Me~& <k< Am ~cc&ife< x i'Huma~

BMC.

qu*iîs

Page 31: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~)

qu'ils yontétcmis avec ordre; encore,

dis.je, que l'ordre en (oit beaucoup crou-

Me, puisque plufieurs des Hiérog!yphex

ne ~tM~etK plus mais celui qui y e~

encore ne Uic qu'avenir mon i:Ke!!i-*

gence jours nuits n'ont plus pour

Moi d€ diâin~on;je prends ie Livred~

Thot, & je le pa(îe pendanf vingc ans

iom mes yeux en cène mille manieres

di~eMes & edn je parviens à rrou-

ver la verica~c intention des ~erc-~

~<t~]fe vais plus avant, j'y trouve Ls

rems !e !ie~ par la di~cipUne du grand

~f~r<'A te Rhodien, & du julle ~r~

~r~ !e ~amien ennn 17 Mages i'o~c

compoS en quatre années.

Je jette mes regards avides de tous

~ces, je ne dis pas le mouvement

dtt Septénaire car ~H ~euïHiéroglyphe

de ce Livre me ~nifoic pour Sentir ion

ménce, &: démontrer comme je vais

le faire numériquemenr/que cet Ouvra"

~e dévoie êtrecompote en 7~ teuil<

iCK &:C. &C.

i un Livre ~n tout FOuvrage en u~

Page 32: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

4

Su! vc!ume tout l'Ouvrage en qaa.<

tfe volumes 7 h6bie ( ians teMem-'

b!er du tout aux autres ) en &pt volumes.

J~addiuonne i -4-t-7– t j'eprou"

pourquoi ce nombre i ~e trouve

)ct ïnontnt~Ugence

d'accord avec mes

~chs, me fait remarquer que le centre

physique e3.tci ~;U mere~e n-7–.S

le coupe ce nombre en deux,8

je mets donc trois fois quatre

ï. ;e trouve que 1'4/ domina~em:

de tomt*0uvrage tci numcnquemenc, J

& dans tesHtero~yphes du Livre phyû-

~uemenc e~ ) ce que je prie le Lec-

teur de te remémoiret.

Ayant dit plus haut que lA étoit te

eectre & la cncon~erence de la; divifion

des levures du Livre de Thot je decds

geométtiqucmeMavec mes tro~

pour Nommée, un triangle équilatéral

( dont les trois côtés font e~ux ) &: x

~n. fe décris avec mes. quatre }. ).

HR quarré dans mon~cercie qui

me redonn* quatre mandes equiiate-

mm ne ~cm-on pM, ne pouvant tout

Page 33: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

e 1

~ypum~f parabréviation qu'ii

rau; que

j'mrerrogele cenrre de mes y Livres,qui

eftph~yquement Ne ~nc-on pas que

pour tire un Livre U ~ut L'ouvrit.' e~

deux foit plus (o~ moins n~'s <~ue

Fon ne peu: pas le lire fans rouvrir Les

Sages n'a\'oi€M-i!spas compas

ce'b. t

Out fans do-ure.

Je dis~'Ouvrage quidoit ~re vu pour

epeler en un LivM doit ctre cfudié e

"pour apprendre, en quatre Livres &r s

pourfepetre<tionncr,€n 7 Livres; Com-

mentm'y prendre pour. en faire la lec-

Cure vs·r o,14reture avec ordre en quatre volumes? i'+'

4-t-7-~ ) Sûrementl'Ouvrage vu en

quatre Livres lepremier tome ~en î i

feui!!ets~ cela eff vrai. J'ôte ma que~

tion i! me re~e ï 7 ks deuxpre-

miers Livres, vul'Ouvrage enner eu.

volumes font donc en 7 &ui"€Cs ?ô

Cela eft vrai je mets 4 &: ï 7~:1 ï

les troispremiers Livres (ont donc en

i ï feuillets ? Cela eH: vrai ou! tout ce-

cela eu: véritab!e, & n'a jamais c~ &~

à raveaturc lesHi~ogiypbes nous ie

B

Page 34: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

démontreront d'une manière pa!pab!e.Il nous rené à trou'/er le nombre des

<euit!cts du quatrième volume, fi on ne

veut pas s'en tenir à la !ot Mathématique

qui démontre que deux côtes connus, le

troiheme cR trouve.

Les ~ages Egypnens n'en ont pas

~tit myâcre mais ils marchoient avec

!es hombres & ordte de nombres 6ii-

vpns-Ies, nouï y gagnerons beaucoup

~!ut, nous feMouvenant que !cs nom-

bres~ & ~7 du quatrième volume,

~pmme c<eux de C & de du Second, &:

~e~,de j ~e de ~da troiûcme volu-

tne &nt ju&cs dans ï. 7. examen

que nou~ <oumettons au~ Riches dans

!ps ca!cu!s vulgaires.

Ces trots nombres ï. 7. font iné-

pui~e~s j*en appetie à mes Frères

ptais~e ~y~cre qm&appe !e prcmter eit

:jeïe ptace ain6, Y. ;7.&jedis

7 & font ï o. & i font y. ou t Se

& 7 ce qm e~ le même,

J'ai &hs doute pour opérer ainu quel-

ques M~s raUbns oui car on doit

Page 35: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~9)

voirque 3 efc foujou''s

dominant ians

fortir de la même formule puiiqa't!

divife non feu!emenc Fefpnc de ï.

y mais !e ncn même dans !'or-

dre nmp!e nacure! & phy~que.E~-

~ayonsde pénétrer p!us avant, en nous

metfant bien dans l'efprk, que ce qui

nous indique cette levure 7. c~

le nombre 3~ car,comme j'ai fait en-

tendre, !i'nrd!igence de !'A!p!)abet dl

ï. 2. 6. 7. ( &;ion centre eft

ï. 8. ). -ainGiI~urlire

3. ï2. (t-t-3~ dont

la moitié e~ a,&: le quart t ainn de mê.

me~-t-7~dont la moitié eft <?~&e

quarc } & à prefent ï -{-H- 3~6 ,qui

cft la troifiémepartie

de ~-t-6-t-'?~

ï S. &c. &c. Les Egyptiens n'avoienc

pas besoin de parler à nos ~ens. mais

ieuiemenc a. notre entendement~ nous

lescomprenions.

Surprenons agréablement ceuxqui

aiment les hautes (ciences & rendons-

en admirateurs les perfonnes qui, trop

préoccupesc, nepeuvent

en faire de fo~i-

Bitj

Page 36: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~es ~Mdes r quant à. nos R~scateQ!~

prévue tous mtons &n~ avoir padé, <?-

~e qu*i!s ~ayeM&it d*énonne~ v<

Mes, ceœ: ~Qt Ee&ene, ~s-!e. Boas pe~-

jMKMnt de noos recr~ef à la m&ntefe

des Br~es, des &c~ éonMaoc

Bo~is ne p<~ûn~ îes emp~her<te

~~MJ!p~~h~ ~op~~

Be~n~vent~~Me~aeBt.

~e ~<!y<~s.ce~<q'oe

~.t~~e~en~ giudus~a,; s.

'p~~ ~(

~'i!S~

1 ~`~"``'

'~OBt~N~(~<~M

~'4t~ân~ ~ça~ s.t~lâ~ï~ïi~ïçe*~m~

-°'

~M~T~~&~eNe?,

'Se~S~ -M~t~~ Et~ëas~

;~m~

't~)~v; ~'e ~sus

We ~t~tn~~re cüsq fac~ s I~~cïr~e ~o~n·

~-jt~.p~ ~Enc~ i~cr~s~~e

"$![~ la Na~·

~~të~~ ~'e~tttâ~s ~9°t~, s

~Sï.-y`

ë3~J~~etttf~n clE~ua~ qui~`b''e~.

~u'un ateci~tttdes tr<mtutre$, &c.

Page 37: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

il

;a~~e~a(e)ecoicen n &uH!ets, !cS

~ux pfemiers en ï 7 & enfin les trois

~MreaMefs.eh tï ~mUets~ ayant, dis-je,

~mpce au pfe~Mr a<peA de ce Livre

s~~u~et~, ou James n'avons-nous

~.p~ctenc !a derntude qu'il eO: com-

~te~ Nous yerrons que tout cela n'cft

~pas un vi! jeu de l'imagtnatton.

Out, !e U~e de I~c~ eft:encoK au-

.jomd'hu< dans cous les Heux où on le

;jb~que ,en~on entie! on y compte tott-

~&mUet&:aini6 on ~em donc que

~!es~ j~~ptiens ne baMj[Ïoient teurs phis

.j~eaa~ ouyjcages que fur !es nombfe~

i l~n O~rage comme celui que je tra-

~~s,qut~n~me ~Univers ehttec dans

'touteeq~tae~l, eO: & ~e~Macon-

~B~~nee~d&shom~ne~, exige t~ou!' en

rd~ner <euÏMnenc une~gerc e~ttH~e, un

~n~ pa~cut~ je fdis en ~eReshïtïanc

HNc~conde,: co~ien les ~ecs vien~

~epïe~~o~ pt€~eh~e!' &: rpr'-

~e<Hc &a~ donner pour pacÏC)'

~~ïe.de~ ~ete~n'a :non~!e-.

,~eM aucunes nono~sdcs~

B iv

Page 38: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

tes des premiers Peuptes~ mats encoce

qui ne veut pas, ~oi-dt~an~ ~e rafigaec

ré~prir pour entendre ce qu'ils etoient,~

ce à quoi pendant ptus de dix uec!es les

hommes s*occupoient -pouf patÏer.atïe

~ietranquUie,beuree~e, & de longtïie

ducée, têt que l'on le jugera par le Ta-

bleau géne&tog~que & chronb~og~qoe qut

}'ai ptacéà la fin du deuxième Cahier.

Oui, t les&je!:§ ~iemMBt avec ptofu-6on<e p!'e&ncec,& }C t'avoue,ce qa~

€&ie p!n$ agreaMC) quoique furchaf-

~geanc de &t!gae, c'e& d~te oblige' de

pre~dM toMste~raiMs ua à an, & ~e

les reporter à Fépt, & entité a cé-

lu!e quittes ren~mtoit Cïn tt &uc aotec

que d<ms !e vrait otigina~ ~iuji.ivre de

7~0~~ je d~te~etoM~inS~e je&tt-hMpe !etcemett!t! eM oFdte, qù'i! n'y

poiht d'Ï~Cstie, cotame dams!que tous

Jes O~vtages qu4 eontp<~<enc nosjBi~tio-

th~atte~ Oa!, !e Bepete, non*eme~t

ÏC JLivce ~Maer, mat~ chacun de ~uil-

!e~s doNne MaM<9~ une ~u~niîËefé ~e

teSexiont qui cnûa<aiem &~ po~e~

Page 39: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(!~ ¡

~at~t p~edd du Tfir~n~ de 1 1 ÏFamé au p~ed du Throne de !a \'erhe

ce qui n'eft certainement pas de mcme

dans la compontion de nos Romans,

auni éloignés de la lage Nature que l'on

veur dcsuiter qu'art<6cieu~emenccon-

duics pour étourdir notre entende-

ment. Ne quittons pas de vue notre <d-

phabec.

1.1. ~7.iS.(i) ce nom-

bre (le fecond parfait des Géomètres ) en:

un des premiers qui a dû nous frapper;

auul nous intéreuer~-t-il, autant que t

qui nous a conduit bien naturellement à

ravoir le nombre de tous les reuil!ets du

LiwEcdeTtc~; & peut-être, oui ~ns

doute en jotgnancces deux nombres

(i) Le teneur Terrt que le L!yre de TAo:

e& de tejtM côtés ~ttb~tittrïe nombre 7. Sept,

~nTaBti'MKmeme de.Ctccro/t, <:&It clef de

to~tetlesScienoes. Sut~Mt~e PfPp~tfJ/ate,tleaie;Mm6re d~S~ciïe ,& d'en~ndemëht

S~tT~n~M ~~Henjf d:mt le ~fyfede T~f i

d~S~geMe~ & de t~tx:! Sciences huhi~het.~a6ncoBMtexS. JM~danstit ~blime Apo-

ca<yp&~ & en genéF:tl tout ceux, qui ont fent!

la rertu &~là propriété des nombre:, & pMt~

<MHcremeatSaMî~Mg<~M.

Page 40: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

îH-ta~~a (t),noasaaroM de aott~

reaux ren&tgncnten~ <UE!a

compd5Moh

decëtOavfage

en générât de !à

Saetïce&~Ïst~e~dBËgy~Mem(i).

8 ayanc ptïs fan @CMt des tcpc pré*

BMcR nom~tes an nueo~ da prerMep

par&tc dans h~niEê on, p~enaUB !e cen-

tre quatre, iKe mue en cetce~orce 7 x

:t$(~~nt 7.7.7.

~~t~~aMK~

(~ H y à ?< tcf HSt~g! «nttëMtt

~M '4; ==. t~

~t~~

~& ~$" e~s~eëtm'~

~'iM~ë~S~

Page 41: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

M

&nxqûe!s ~dus reviendrons car mfen~=

biementnous perdions !a ttace de no-

tre traduction.

Quoique je ~ache que !e I,ect:eu!'

&perncie!, ait, comme i! ne ce~e

de !e dïfe, une haîne immorte!!e pour

Ïes repetMoïM je ne m"c!o!gnerâi

pas de mon ~y~êmequi eA qu'on ne

peM pas trbp <e répéter les aun es

'ttop Hre &~ême choie kr(que !e pre-

<ntarv<uc Ëncerement in~ruire, & te

<iecd~ ~fd~Mf ennn je travaU!e, je le

dts onvertêment, peur ceux qut afpirenc

a MSct~Se~ &~ !a âgcue des Gymno-

~opn~és Indiens, & de tous ceux

~e~nt ïegittmement le premier

~hg dans nés pen~c~ï. 7. nous ayant donné &: &,

7?~~o~s!!aMdhs couper en deux ce nom-

~jfphèïque douze i. <?.

~ï o. Que ehetchons~nous?

~6~~ ~~re de Thot dans ~s

~0~ i~

~ir.~M~~etËeKt~e nombre des

~is p~n~umës~ comme Uie vo~

Page 42: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

pa~$ ~S~)~6 Bo~HMoa~

tï ~n ~~e &Kç t ~~t~t~~

titables c!e& de la Sdenc~~ e~

tement ~!B&~ MuM~<~ p-c-

~er~vM,

~n~6e~0tâ~

$~s~

~<n~t~&es~~

~f~

.~c~~<

'M~

.t':i'ge!.e&~

.Uec~~~i~,5~

~~f~

/.t~a~

moMi~~ta~~a~

)M~]~ .).

-~t~Jt.~ ~v~~y

r ~~i~i!

ï~ ~ac Je~r~Sër

eC; en t i &MMets, ïe

Page 43: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

)7

Second ea &uH!ets & le iro~eme en

$ ~Uets~ce qui~ic e~ tout ~ui!"

~~h

Je demande j[tnc;ercmenc qne!s dnf-

ccurspourroientaccorde!' des vérités qui

paroiHcncd opposes au jugemenc vuî<

gaife Suivonsles nombres i!s auront

b~ntot donné !cjn~e mouvetnent a. nos

~~urs~

Primo. Le non~bfe ~7 ne vient ïd

qae poacnous témoigner qu'i! e0: !ié am

tt<~6c<nc Livre ;ce quiétude !a.p!us hâu"

te inteï!igence des Egyptien~ qui onc

~enc~~Jtes CEei~ xo~mes eMt'eux, p

;~$ eMngcomettr~j le prcn)~er Livrer

cçtte &jétio! ïpy0:e<;e fqui ne taï:def~

p~sà~dc~oiî~Cette chaîne ou !iat&n entre !es trois

d.etnteï-smvr~, e(t d*auca.nc pms adm:-

raN~.q~n ~oït ~ypquement en-

c~ejqu~~o~ ne p~i~i~ -d'ire c~u'iytel-

~~ë~e ~~pM~e' qui circule

ea~i~n~re~e~ea .lâ rou't'; occu"

pant indURn~entent a ton choix 6 p!a~

c~ bu nxement~ dixième ( pu, rhom-

ïne aquelquefois i'orgueit de voubu-

Page 44: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~cer, ou Mtcter~r ye~ ), ~e& q~m

"ï~ tss Sages ohtdaRc~~QT~ d'y

Nciettfe ÏaFotte je dts t€î dtit~nïc

p~i~sM~

6e~<e'~vK~~E~Mo~bf~~

,:CM 'm:s 'S~es-~nt'~c~e

~é'tn~v~~o~~

~$~-€S

bien p!Ae~dàï~ !& v~Kté .TM 'x

~c~M~p~MenB

~s.&ï~WaoS~

*t!â~a~~

VBt~t

~s~r

~~N&a~~t

~t~S!SM~C~

wt

.a~~

"î~&~r~?~ 5~~r

r

~4'à1re.

£`~ ` `~~g~t~

~~i~cs

~i ~~r~s k~ x 'idé:

<

Page 45: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(~) l1

.1 1

<ïp nombre a teprivilège d'occ~pererf~

wera! 6~~aces,

&par goûc

ia treizième

h dtx'-huiEîeme,!a vingt deuxièmeoûen;

& domination & entm~8' pt~ce

t).La mort

quîe~ !e

plus approchant

dt: ncaM, a &uSt !e drok depeEmuer

(a

place, ce qu~He&îc en

formant y comn~e

~~àgcsnous fonc rendu, les nombres

ï~. !ï6..& ïy. (cederntero~e!!e

démettreplus veionners qa'&u

nombre

~3 de de&endteoude rétrograder.

N<MisavoBsdé)à fak ~tverjtes~oper~<

ttons ptMïï ~ïaM~eï t~sete nombre de~

êtoh eti ecHBdans !? Livre de'

T~t~nëtt&eïi avo'n~ encûM à ~dre y

tM~Bes~e~ven~etrebîen entendues'

qu'en y ét&M ~ën~ pat les nombres

nou!! aKen&rB~sq~snous

yconduisent

joSMréHétn'ent.r

~oas~ ï R ? ï. S~

~at des ~coaap~~sdes

RmM premiers

Bo~re~Baais Êmt ~ïrë attention

q~ !gs 'G&bs!t&e& ne teconnei~ÏenB

(t? Ces Hecx <Sgnes tre cectre~nfent p~

Moxe~H~&tre~~cdans~cg~Mt.oa.

Page 46: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

4.0) 1

~se~~HX nombre 6n~m~n~i~~

~6. 7. ~Meot-

Ms~et~o~det & me:

~t.~mpo~s.a~

Si~& pa~ok,id~~I,c'clt

.B~Bë .n.~tes, ,i.

-ê~

~a~

~~a~te~~

tom-;gx

~g~?~S~8~ ~s~

-5'M~~

'?~M~S~

-M~~E~e~te

~ï~

''i~

Page 47: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~')

;BMon<caita,ui5que ï. !un!te paHe d'ua

nombre & l'autre depuis le p!ns pedc

jufqu'jm plus grand, fe cb~nmuntquanc

imperceptiblement i &: donnant cee

exemple au point ÎMet!e<~ue!&:phy~-

que qui fe cpmmumque de même

pour&Em<~des!igne$,&:en généra! cou-

ces 6gu!'esgeom~tfique&( il n'en exifte

po!nt d'autres dans la nature phynque)

à l'appuî des nombres revenons.

Apres 11, vient i ) qui eft le ~gne

ej~yant de la de~ru~i~ mais avant,

~es~, ~ient 10) qui eû~e Hiéroglyphedu e~de de î~ B't co ï c~

ic ;Blefcgtyphedu cerde~

Entre ces deux cercles cMa ~para~

non&eîice par le Créateur~ ceigne, eft

i, 9U~a. baMie~ e~tr~Dieu les hom-

~Cs~ieujoutuaMd~!e ï o~~ cerc~

;oN~e e~~n& ï ~c. qut

.e~ véntaMetïïépc leCgne.de, ~n e~péran-

<? entre t!. fa ~iMënc, &: 13. fa deC-

~fu~:î6n.'

Q ~'ay~eydit que=; ctoit p!ug rbrc

~~c ~)il&u!: ~pourtanc jfc repottcr j[m-

Page 48: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

4~

tes xnj! <iës E~p~eas, iqnt aa~

'1&nëa~~r~ M~ -que

e~ pïËM~ to ~tte t ï

~ue îo~ & èSas iqoe eît p!us

g~hâ~e ~t~~ to&s Ye$noni-

~â~SE~M~t~

~'o~tc~s c~~i~`~~~tïr

--m~M' 'Snc

~Më~eTÏ.

:,o~M'l~s~~n~

Co~tf~M ~ttd otd~, it n'en eà p~s

é~~a

a

y, .,`

ï* j'i~ 7~~t 'ï'o< t~t<

~i ~SJ V~S~,Ô

~~I~G~C~('"`'â

ILÇil

~,r,~~t~'r; i1'~_f-

~`~'t~~ilér~~ç~~ rt~râ~~rera~

es z

~ïo~' ~°~t~a.

Page 49: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

't, e

vie, parce que 11. ne comprend que

nos rbibie~, &r ta ? vérité envers e!!es

mais pour avoir ta vie, il faut donc otgr

le ugne de mort qui eA gravé le long

de cette table d'airatn ,ï.i.).)~

~.7.S.( to. t m car i-bi~.E.:

< 3 ainR tooc du tong.

Comment ôterons nous ce fernbïe'

6gne? Dirai-je en étant vertueux ? out;

mais dans îafcfcnce,c'en:ennousfervanS

delapuï~aaeede!~n!:e,& des deux pre-

miers nombres donc vous admirerez t'ac-

€Oi'd,S vous renecnifîez que" tous les nom-

bres Hmpïe? & compofes fe recherchenc

inarchent avec le ptuy grand ordre, $

avec to. t.avec t !.& ï avec ï 3. maie

*ÎJM &uc pas pauer outrer car 4. s'a dans

ce cas aucune putnance fur qui luS

oppôferoit î'unïté ï athït a. 8, &: 7

~.Faîtes, Je vou~prie, attention a. ce Hux

& renux qui e~ dans les nombres à cet

aÏman, pa mieux à cet amour qui leuc

communTqucîeur gropriéré réciproque

6~$ 6 &:à 7 ,ta. perfccHon du

par~ts.&' la ~agefÏe bumaine.

Page 50: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

S*jt! arrive, Fprdre ccant dérange, de$

contradictions, l'agent&bdi~t& <on

pa-

Hent~ 6 l*ageM opère. &run &Jec qui

!tï< ~tMnger, iÏa fecoufs à !*agenc

p)~t;ifdQntite&â~ m~s reve-

nons à~t;es de mort pac ïa kAa-

-S-VK~.3~

I! y a~ u~ )!ettï iSg~ëde tnott, nature!,

qpifie

~epr¥en-

_sïe~erc!e ~~CeKe

~OMJ~ te tu;ec, an

'r~deta~ vé~-

~i};ron'

~s~raad~ ça-.

~naS~u.par~ me*

m~ ~i~~<: ~S a donne la, vie, n'ap-

~e.~Ht ~.juAtce les. ani-

'i~â~t,s-)e,ï&tjMBS~r'' :.1

.N~S~~u~:I.~ :t.~ ~a'{0

.e~~B&~ëtÏn~U~t~Me~ pHyH-

Oh eettx-et btetes

t~jnM~S~

Page 51: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~u'iï n*a pas donne par neceUKe mais

par &boncc.

Si on renechit que la durée de la vie

dp tous les Erres quelconques, au-def-

fous des~ommes, acceinr uniformément,

~ivanc (on e~ece, !e p!us haut cerme de

ja cadudcé, on Sentira dans !e mora! !e

bfas du Seigneur appc{ant~&: dans !e

Phyuque une nonchalance impardonna-

~e envers tes routes occultes de tara-

ge Nature ( ï ) qui ne cènepoint, corn-

ue ou dit 4'etre une bonne mere mais

bjenpJtus vrai d'avoir des enfans dont

l'appauvriH~men~ phyuque &: moral ef!:

manijfe&e. C'eft la Nature a dit !'m-

~nÏe, quL nous porte aux extrêmes

qui nous donne un penchant quecon-

damne !a !oi Non, rçpond le Sage,e*e8; !a rature déj~ ouctée ou que

ï'o~ veut ~b~umenc abandonner, qui

(~) <C'e~Meh M le moment de dire que les

Mtcîens PhUp~ophcs ~'appit~uoicnt à recon-hoître les peite~ let famttes, les mond&Monsite~~ëhereSes~ & en6n les tconbie.tncnts 4eterre qm devoietu aïriver,

Page 52: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(~)

çontmintc de dcïdMer tes ju~e<droitï.

v

On ~o~teï~ N&tare~K taïdem&ti-

de d~ f~ns ceta: ï~~e'~Me mere-

n'c&p~M ~~ë & M~

<XîS~Ue~es a

pr~-

~€ma~ ~nd~nge e~e qu'enar*

~e-t-tïïbepae~e~~ finf~rne,

~(<

eM~M~S~j~ âe~

~e~S&yd~~c~ <M~ ? ~oK

dëtcepd~ tpnJ~m &v~M ht morne

~<a~<r' ~i,

~a 1 file â ne

~inme Mm~bÏc po~ !â ~d~ ~~Bpa-

-gh~d.e.~n~nh~ur,~

~c~~ ~vf~ûc-i1

.i~?,t~n~ ~Sâc~e~nart âa~'t

pe~Mo~

~~vér a~ €otMn<h de j~atNaoce

qu~i!il o~ ~tc~ue~ qu' o;pr~xde f~t

~J~~ ~jl;rn~Apa~t~:

'd~<~q~~e.

~ho()~~ 1~ vi~ a!-

~nt ~e~ âttcr~ b~ëc qm t~CIne

~M~

Page 53: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~7)

ubtes le feroient trpmir de colere ëc

d'horreur.

On vouoroic vivre au moins un ue-

c!e ce terme n'ciott durement pas tou-

te !a durée que Dieu avpit accordée aux

premiers hommes !es plus parfaitsdes

Etres ils dévoient fans doute (urpaMec

a<lCI les autres à regard de !a ducee de

ta vie (t); c'e~ un Tyâême, dirâ-t-on. U~

~ême écrit par les Egyptiens Us en

etoien: incapables. Reprenons Fordrede

h &ge Nature, avant d'avoir ereuie nos

tômbÈaux, ~jecertinc quinze ans de

p!us;jfuf!â vie de chaque homjne; la

routeené&tacitè la pratique ai~ee:

mais <oic &ppo~ë rhomme que ~ai en

vue) ényvre de miUe payions grotHeces~

~Tp~mbiaM à un va<e fc!e; qu'il écou~

te la Nature elle fera anez fbrre a~x

puiuaMe & atîez bonne pour éloigner de

~<es tnnrmiies, & lui aMonger les anss

–t'r~Tt–

(X)ïlj:~vr~quelc P'ophete'Roidécnt (~ton tems la vie ccmmuae des hommes n'ai"

tant qu'à 70 ans mais )i i~m :cmoBter M~tjMMMtettCOM.t.

Page 54: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

juiqu~ une r~îpe~aMe ~emeS: ( t ).

.jS~Je~et~eM~hJ

~iE~ce~

d~i~ ~us

.Sm~

.ï~<

'I~i~.Je' r..s

~j~'$~ons.

¡5~ ,~bti

qut~pac~Cf

~n~e ~~ne p~~cha~

~n~3~

.B~br~.a~~ 'Ç~oar~ ~v~,

~connM~: 4~ ~t cs~

<~M~ ~e~s ~nS

~E~MUSk~yo~~

~heaanme p~ 1~ ~NMwe fM !n-

t~genee, b &tM<~ bien &: dS mst!~ la~~dëf~~aer;~e~s'p~

dH~B~~a~x. mM pouvons-m~ t* M~~t-4 '~emcn~~

qa~~M~b,t &ttppow ~ëtre Mtl-

(t) ~~BAe~~m&e~B~ ce ~Maaèredo!t être CMËdet~ eemtBë e€cu~e,~E coaune

VulgaM<t

}oarncUcmeM

Page 55: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

49

c

~oNFneHementfous nos

yeux 9 lorsque

nous découvrons le Mgne abfolu de la

s~ort dans un moribond, & i'Eccfne! îus

redonner des ans.

Le Cara~cre ï ~e permue ainn

f< t.~.===~==:t ~==~

entemMe

11ï. qui eH: le total des fix preuves nu-

jmeriques que !'homnM ne meurt point

en (on tout vérité qui nous e~ paï~ai"

tement démontrée dans le 7~ 6suH-

<ec du Livre deThoc & que ~er-

ee~Tr~t<n*apas oublié dans Ton

~~M~rc.

I! y a trois autres ugnes de mcft,

CMais qui ~oni contre la bonté du Créa-

teur, & les fages loix qu'il a impotëes à

touteia Nature ,& patticuliéremenr aux

hommes à qui il a ordonné dans leur

connoi~Ïance du bien & du mat, le de-

voir de le remercier & de le glorifierde leur aai~ance,&de leur mort, pui~

quec'e&parcetce derniere feule qu'ib

peuvent entrer-dans la gloire de Dieu »

&ê:re~uittesdestdbtt!ations de cette

yie humaine. >

Page 56: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

$0)

Lor(qu'ti arrive que l'homme me<iK

par Ftin de ces trois Ggnes, U eft on

moralement, ou physiquement malheu*-

reux.

Moralement pat le ~gne de t & de

PhyGauemeni, par le figne de i

de n. Ennn ,di~enc tes Sages U e~ pee-

cabie & pardonnable par le ~gne de 3

de t o ( t ) mais U ~uc expliquer ces

quatre (tgnes.

ï-t-i ~.Ce ngne e& celui de

mort par la ~otomc pure du Créateur

les trois autres étant feulement par à

permiSon.

H-1 ~.=~ ), e& la mort premant-rée par les impies, les brigands, les vo-

leurs, les tueurs de gens, & enfin par

des ~ugemens ~ux elle tient de celle ae

Soccace Pythagore, Archîmède Se-

neque & autres. Les Egyptiens témoi-

gnent que la pennence des a(Ia.mns fera

Nombre de l'EECEMte, c'e~-à-dire un

(<) TcMsces My~em font tirés du Livre deTAct.

Page 57: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

1

s P t.

tcm$~m!r.eiurab!e:~ connnucnc-i~cju.~

o~e en doucer, c~ un montre humah'<.

)-tc~:i~.eit!a mort partes

~bûces~&coufes morralires quine peu-

venc être aiCfibuces a foi ni a ion pro-

chain.

2-t-t i~ i!vaudroir mieux dï-

fent les Sages, ccrere~e dans lenMnf.-ce

i'bnf !es infâmes qui ~e~onrarrac!~ ia-vie

quimoraiemenc &: civilement ne !eur a

jamais appartenue (') mais le ~b'eau

des nombres morre!s, nous inn.ruira.~on"

chancccs morts Naturelles Prcmârurcex

& C.. fe rei-louvellant que les& Crin'tnciies, ~e reiinuvenancque les

Sagesfont porrés à croire qu'au nom-

(t)!le~ défendu d'altérer la monnaie du.

Prince, de la fondre, de lajctter de maniere

q u 'cl!e fe trouve perdue pour la Société Se

on veut fe cacher que Con âme eR moins qu'un)vil mécai Un SutCldc eA donc bien me"

chant & bien ignorant S'il revenoit com-

bien n'en conviendroit il pas ~V. B. Si

une perfonne s'efl jettée à l'eau pour fenoyé!"

fahes-lui boire quelques coups à plu~eurs re-

prises jamais i'a~reufe fantaifie de fcnoyer

ne lui reprendra il faut lui faire perdre is

îr~p/z~ mais agir prudemment.

C'J ij

Page 58: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

bre de ces dernières font ce!!es auxqueî"

les nous donnons lieu par notre incan=-

duice, notre ignorance & notre non-

chaï~nce à ne point étudier dans notre

jeunene, toutes ies parties de ia Méde-

cine, de ïaChirurgie,

&c.pour de*

venir !e feul Médecin de nous mê-

mes, n'y ayant rien au deSus de la

~acie & d'une vie longue !or~uet'en eA ju~e.

t) 4 a t

)t tl I 98~~

t t o

7

Add7~t~.{4.! b;.)"

Le premier ngnede motc et~ heureux

6 Dieu appelle l'homme à fa grace; ou au

contre~ c'e~ pour arrête! ïramefourdeou ouverte de tes crimes 1~-).==:

Le deuxième e& phySquemencmaî.

heureux pour- l'innocent, mais morale-

ttneM cerribie pour cetui qui lui a occa"

CotMcbmort, t-t-t-t-2,

Page 59: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

f;

Le tfoihemc e~ en abomination aM

yeux de Dieu & des hommes; 2-t- !-i"' f

Le quatrième ugnede moîr v~ent

~ouvenc par le peu de prudence ou de

renexion & enfin par le manque de

Science qu'ont les hommes fok qu'ils

jl'ayenc rien voulu apprendre de vrai".

ment utile àla coniervation de !a iancé~

a !a prévoyance d'une mort prcmamrée

ou ioic que leurs parens, incapable'! de

leur indiquer autre cho(e qu'une route

vulgaire minutieufe & remplie de pré"

jugés, ici ayenc induits en erreur.' ce

~u~triéme ligne e~ donc -+. o ou

3 -i- t + 0. ~=:

Tous les autres ~gnes qui (ont &?

grand nombre nerapporcanE pas <%s

mais t tels on en voitquelques-uns s

font des faux ngncs de mort ceit-à~

dire ou la mort n'a aucun accès, encore

fuppofé que,comme des ~y~ os

deureroit dix fois la mort en un jour..

Je protefte avoir connu des personnes

<~m en me confultant m'avouoient que

Cn)

Page 60: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

mep~s ~eng-tems eïhss a~otCM{!es

Nias €hez!e~. S i ~cn €as été te tnâ~rè s

~usvou!uqu*eMes6ïSentngoaKB&~en<

~Cfëes;h~~eMnM~~ ;e

)&e eot;~M<&;s ïïc~eaf Sémen~er t*hoB-

~éatde4c%s~namens ,aux~

~a~vâis ~n!ë !es é~ ,6

<<M Me )6ttoie~t pbmt <~BS~

~rNï~a~cn appât de ~mtëp'&~ à

'~e-cëMmM~

Av~ 4e~ ~ïi~M~idns ïes tR~tet

@<ré i~cënt~ ~~onKe & i'hom-

~i~Sà~G~

f~J.; M ~M~)r~e~ Égft'ti~

~tC~T~re~ë~~

~j~Ë~

~<ë~

~aj~

~t~

~t~i~

-S~

~a~a~

~J~û'S~ ."?'

Page 61: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~nes, ils nous prouvent que -nous av!ons

t~rc, en nous confies moyens d'ar-

tacher la fource de nos chagrins,dè te!'e

nature qu'itis foient même de la mort

d'une cha0:e epoute en verfant abon"

dâmmenc des larmes de contention avec

Bous,ou en !a guenuaht (ur!e champ s'il lui

teÛe un foufle de vie & enfin en nous

donnant de l'or tout autant qu'il nous en

e& neceMaire pour redevemr & demeuL"

tef vertueux. Ces Sages âdoroient Dieu

de toute leur âme, de toutes leurs for.

<ëes; ïîsaimoient autant qu'eux-mêmes

!eur prochain, & ils étoient Devins,

Médecins partaits. Remettons les fix

nombres qu~ nous relent < j. 7.

( 8. ïïnous ~tudroïc ici vingt pa-

ges pour edaitcir toutes nos idées mais

comme )e6iis;dé)a anez ennuyeux pour

ceux qui n'atment volontiers que la !ec-'

tuce des extraits ou mieux des abrèges,on voudrabien lire avecattention.

P~M~. Re~ouvenez-vous que rA!-

phabec ne 'vaque jusqu'à 7 ) &: que nous

avons tiré ï 7~ ( qui étoit le nombre des

Gtv

Page 62: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

KalUers des deux premiers volumes)

de t. 7. & en retranchant les nombres

8 -t- p qui font ici de K~crolt &

~onne ï7y il nous re&era le nombre

cherché des trois premiers volumes,t-

S 6 -t- 7 == t. Comme à la manie-

re des Sages reprenant les Mx premiers

nombres que nous avons retranchés

pourtrouver

!avte,i. 2. ). to tï. ïi.

par unité 'm qui e& le nombre des

~eu)!!ets du premier Vofume.

Si t'Art feul domine dans mon ope"

ration, il faut croire qu*U e~ bien ha-

bile; -mais reprenons les cara~eres de

notre formule & comme nous en

voyons deux qui font dans nos qaasc

derniers nombres ( ) 7nous les

retirons ici car il e& tel qu*ii faut de-

détruire totalement la table d'airain dont

nous avons parlé ~.7 étant relevé, quet-

le merveille Hlre&e vrai nombre

des feuillets du quatriéme Livre.

~-t-<t-7===2i &ôtanc

le & le 7, re~e qut avec 12., s

donne y8 nombre des femIlcM de

Page 63: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

J7

Cv

tout rOuvMge, fous toutes fes divinons.

RéHéchi~n: fur ce nombre 6 qui

nous a rdté fi natureâement en dernier

pouf nous annoncer !e nombre des feui!-

lets du dernier L~vre~ nous allons Hmp!c-'

ment ie décompofer à la mantere des

jeunes CabaMes.

6~.g

ï 3 ? dans!c~-

queis on trouve trois nombres dont: !es

Sages préviennent de fe gafanur &; i&

preuve en eA démontrée par le nombre

même qui égale i ï & par les

feuillets duquatfiémc

Livre de T~of.

Mais c*eAici le moment enentie! de par-

ler du nombre i dit, par tous les Sa-

ges, & par .y<M/M ~~M~Mmême, k

gne

du

péché.

Augu

e

.¡¡.- r~,illi·

Si i eS leHgne

dupéché, poarquoi

~ë trouve-t-il dans le nombre des douze

feuillets du premier Livre, Se pourquoi

y a-t-il t reunieis lorsqu'il paro~ton-,étant ce premier Livre tout divin ou ne

parlant que des Œuvres de Dieu qu'ilne devrait y avoir que i o feuillets le

nombre i o étant figuré le cercle d;vm

Page 64: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

.Le nombre 11 eA le figne humain

du pech~ & il eft le ugne figuré de !a

revente de l'Eternel envers le pécheur.

Lepremier

Uv:e e&

compose~ous

lad:v:5on

volumes en t ~utUets

pour nous témoigner que Dieu e~ en

nous, nous en Dieu, & en6n

grâce, fa bonté fa mtfericorde, c*e~

en un mot, pour m'expliquer ~ulgaire-

ment afin que l'homme fente qu'ï! eO:

mumëment attacha à la chaîne du nom-

bre dix quotqu'U fe meac fur celle de

douze dans te mouvement général; ott

en plus ou en moins dans tes mouve-

ments partkuiters maïs ;amats en au-

cune ~brte dans celui de 10 x to, nt

même par

ou -t- 6~1 y.!é onzteme &m!Iet

om'e ia~oree divine te vingt-deuxïc-

<ne teuîMet, nos 6&Kes enfin le zero~

D;<po& à fuivre pour aHer a ,~c re-

Becht~nt que cela me conduit dans le

qaatneme vô!ume, me vient ia pen-

~edeSxet !e emquantc-nxicme -feuil-

let, étant un &omcteto!etant, oc

Page 65: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~9:

un nombre extrême Enhn a Fentouc de

mille recherches, feuilletant en rétro-

gradant j 6, je dis en partant: du nom-

bre 78, perdant pour rinÛanc de

vue, quelle furprife de voir dans ces

derniers 36 feuillets qui par confcquer.c

~brmenr le quatrième Livre, un cahos c'e

miferes, d'humiliations, de vannes, de

perfidies enfin de vices hum&ins

l'homme même qui s'y trouve en ap-

parence le plus excellent, ~ir du bien à

l'un au moment qu'il écrase l'autre 1

En un mot, le dirai je ~guremenf a

On voit dans ce volume Fetenda! i

de tous les vices arborée & le poignard

par tout levé pour égorger fes {em-

blables je dis même fous les deho's s

trompeurs des plus hautes vertus ia

charité, la difcrétion &c. &c. Mais

avois-je befoin de ce cruel examen qu'navre le eceur des honnêtes

gens ? ne

Tun~foit-i! pas de dire comme ci-de~s

avec Saint Âagu~in que j 6 étoit le

figne de la tribulation, de la défla-

tion, de l'amertume Tous les Sa~es

C\'j

Page 66: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

<~o

<e tous les Sçavants ne ï'ont-îÏs pas aï!ex

répète ï LesGymno&phi&e~ les In-

diens, les Chinois les Druides, &: en-

fin les Grecs les Arabes & les fagesEuropéens & ïndMHn~ement tous les

Prophètes les Leginateurs, les Philo-

sophes, telsquePythagore~ Socrate

Platon, Thaïes oui, tous ceux qui ont

parlé des nombres ont con~a le com-

ble du péché pac 8 fois 7, aa'deCat

de 7 fois 7 qui 'revient en rétrogra-

danta ces ternMesnombtet~eptante &

<ept fois fept fois fept qu'on Ktfouve

en ces quatre catacteres 7.7.7.7. qui

doubles à caute du nombre &rpaMant

poor aller à 8,donnent Eann on ne

ve~a~amats aucuns vrais Scavancs pren-

dre un feul des t prenMers Maillets

pour les confondre avec ceux-d, fous

telles dhïSons qu'ils examinent le Li-

vre de TA<M.

A Mgard de Tr~eaM& de pluneurs

autres qui avoieM voulu divi&r ce Li-

vre en volumes, cela eft bien dif-

~rent que de confondre excepté le

Page 67: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

<?!

zéro les autres feuillets dans cet o~

vrage. (t) Arrêtant que le quatrième

volume e~ borné en f 6 & en $ 7 Juil-

lets fous les fept divifions annoncées il

faut entendre que ce volume peus

fubdivifer mais en une feule maniere III

quie~ ou ~7 volumes; ce qui

fera des volumes à Hn~ni, fi vous per-

(ï) TrMÂ~Me fut un vrai Sçavant, mais

plus audacieux que Raimend I.M~e Jean-

B~/c: DmAe/hc, Confeiller Médecin o!

dinaire du Roi, Crc~M, ~u~ry & autres p

il eut à s'en repentir. Pour ~nMa, dont j'Mteuvent eccafion de parler de vive voix, c'é-

toit un grand ~opA~c dont toutes les re"

cherches éloignées n'aboutirent à rien pour

lui-même, & ne produifirent à l'égard de la

majeure partie de fes Ledëurs que des aou~teux des incrédules, & de faux opérateurs.

Agrippa veut-il exalter le Septenaire ou le

nombre 7 II s'en va recherchant tau: ce

qui eû par 7. fept jours dans la fern-dne 7

planettes 7 trous à la tête de l'homme on

ne peut point rejetter toute cette idée mais

il falloit dire, que ces chofes phyfiquesavoicnt pris leur origine dans l'efpnt intel-

lectuel du Septenaire pour lt: dire ii

falloit avoir quelques )uâes connsmances de

lapropriété des nombres, ~gr~pa M'en aye~

pOMt.

Page 68: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

&2

mutez ces nouveaux volumes, ainfi qu a-

voit voulu faire Tr~Ac~c, comme je

viens de le dire.

Si !equameme

Livre en & 7

feuillets ne peut Ce prêter à aucune des

divitions des livres c'e~ donc dans les

tt i & i~ feuillets qu'i! ~nc îes cher-

cher i; Oui, comme on le verra ci-après.

I! nous a fdte $ 6 il ~ut rapporce!'

les autres nombres de !*àlphabec i 1. 3.

6. 7. & ctaMif la formule t. ~.7.

afin d'avoir tou~oars pTe&nt fous les

~e~x !abjuë abfolue de toutesnosope-

tanons.(<)

Je dis a prêtât, i deux, 3. ~.daq,

< & je j'etr~nche ïe <ept (2) ain6

(t) Obtervez que 6 rettera pour la Mtc

de Mphabet duquel il ne nous reiteplut queces quatre nombres 1. 6. Notez: auS

que poaf lire le Lhrre de Y~of, il ne faut ja-tnais que Palphabet tbK entierement eSfacé,

)e dis qa'ti faut toujours faire revenir les

pTenueM nombres fb~riits lorsque l'on

epece ~tf les derniers qui relent, comme a

)e m'en fuis (etvi, & j'ai promptemestZMiene les autres nombre! la formule.

(i) Si )eB'euspaséteceBtr&mtparlafar-

tnule & par l'alphabet, ?eas &uRraït le& employé le 8. qui eut été après te 7. ~o-

Page 69: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

6

pïaceï.===î4.

07. t.===~tJ

w

Mareg!e&

mapreuve y 5 ==;

~bntju~es. y 7 ~~i~.

Jeprends 7 comme

légitimemu!-

np!icateur,& on verra

quei'ame de

ma.pyramide

me conduit- à ne poinc

muhipiter par 7, & àmultiplier

le i forcément.

y XÏ===7.

s7

X3:== 21. 7 X~

E~: ~S.prerniere

addition.

7 2. ï 2 8 ===<?. Il étoit bien

ju~c de m'afrêrer, car le chef de la for-

mule eR toujours ainfi voilà !es ~6

feuillets du quatrieme Livre comme

~T. des trois premiers Livres. Notez

que; intelligence du Livre de T~o~ 9

revient au centre de l'opération.

tez auffi que je n'ai pas dû appeller d'à-

près t. x. 3. ~.7. i. 7, les nombres en

cette forte i. 3. 7 xt 3,+. < ===:

a.8. Non plus quet -{- 6 === 7

==:t~-t- 7-==T.ï -z -t- == ~8. Il me fal-

Joit un moyen umnant entre l'agent & le pa-

nent ain6 que je l'ai pris ce que l'on

conçoit facilement <. deux, 4, cinq y& je n'eus point triché 7 fi l'alpha.bee

eût été œpate fur 8.

Page 70: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

A prêtent 7 x = ~2. x d'em-

prunt ( i ) =. 2Je po~e le premier

) & te dans t*a!phâbec, qui étoit

re3:~ W=ûW`û3g V. V .1-te~c

d-deHûs, ~==~-t<

t. 3'~t-o. Ï.3 ~< &}ere"

mets).a.

I! me reAe des ~a je me ~ers

de monmultiplicateur 7 2 =

t~~

& je po~ë mon y àraiphabct, i.

~< < 6. 7<

(t) Si le vrai fentiment ou principe de

i'alphabet do Livre de Thot, m'eût conduit

a mctMe 7 tpre<le 6 ou un autre nombre

.que le maiMpMer < en tCMK pu dire cela

<& <tes-&eiÏe nMm fi jntMdgré ce: routes

CmttureUet,on (uppe&eacere que )*<mz*

pne~ je proteâe que rcn & trompe & jetertiSe qu'avec un peu d'étude, l'on trouve-

Sttre~elMrs les principe! fur te~aels je

~'appuie & qui me conduifent avec au-

tant de beauté que deampHcité en&n je

ne puis pas mieux témoigner que je parlevrai qu'en promettant de donner un jour les

principes raitbnnés de la icience des Nom-

bre~, tcutefbis jusqu'au point permis par lafcience par les Philetophes & par les

hommes vulgaires. Science des Nombres quidévoile le ntentbnge dont on eramt aujour-d'hui d'arracher la racine n'ayant pas les

~ombres pour maures &-pour appui.

Page 71: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

A préîent je mecs ici mes 2~9~

te me fers de tous les nombres de mon

alphabet pour le diviser. 2~2 (

ainn par a. 3. -y. & je trouve

qu'il vient 2~2. î2< 8~. ~j. ~0~ t

4:''l'AO.:Ju.

L'âmede ma Pyramide m'avoic

bien prévenu comme on voit, p'

qu'il n'y a que le nombre qui ne

divifë pas fans re~e tes 2~2; & ce

qui e(t auffi admirable c'e~ que ce

entraine à la <Ta<fcion le 2. de la py"

ramide & non tes autres nombres

ï. 30 6. qui n'avoienc nul rapport

avec eux. Quant au y outre qu'il ecoic

de leur côre il avoit pour lui la char~

ge fouveraine de mulcij~ncateur, &

chargé de tout le poids de la Formu!e

4. 7 mais n'oublions pas que j'ai

emprunté 6 & qu'il e~ légitime de !e

rendre.

On voit que toutes mes opérations

om divers mouvements; tn~~ 'age"

néral pour démontrer la divifion des

Livras fous tous leurs nombres, &:

Page 72: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

[~) J

compte des feuillets fous ces divers

nombres, on n'en pourra jamais trou-

ver plus de ~epi qui écoutent l'une de

l'autre, comme, par exemple, 2.

3. c. 7. == 28. t. 7 2'

i. a. 3. o. 7. 8. p. 10. t Y.

!~2. 78. 2. 3. 0~.=:±2Ï. 0

7. 8. 9. 'o' ï2.==:~7*i' 2. 3.4'. y. o'. 7' 8. 9. == 4~'7. S. !0.

Il. t2.==:72.8.p.==:

17. y. 6. 7. ==: 22 & autres

qui tiennent des unes ou des autres,

Ctais ne j~urpâMent point ~epr<

On a du remarque!'que j'ai coupéles t~ nombres en deux après les avoir

employés en leur enue! ou en un

cemme~phcnqae; à!n6 une même in-

duction natureMe dit de couper mon

emprunt 6, qui eâ tu&ement!a moitié

de la fphere, en deux, ce que ~e fais en

cetrp fone pour me faire entendre

~2.3.==:6.Je ~tis bien que je dois 6

mais qu'importe à un ercanaer de re-

cevoir & dette en or, ou en argent, (t&n compte eu ju&e Ainû nouvant

Page 73: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~7:

en trois nombres, je vais donc payée

par perfuadé qu'en lui e~ renfermé

& a (i), ba~e qu'il faut première"

ment trouver. A quel proposcet em-

prunt Pour monter à2~2.(~ vient;

84. de 78 refte <?, quiva

prouver que

mes jufles opérations m'ont conduit a

!a Géomerne ipecu!ative &; pratique.

Spécutative, les beautés que j'ai de*~

~couvertes dans les nombres qui fe ~onr

namretlement oSercs Pratique, parces

huitfigures planes & folides. Le point

ou

la fphere i ou y La ligne t. rorcémenc

comme on a vu car elle a deux extré-

mités qui la corfUituent ligne &: re~-

pace entre ~es deux extrêmes qui va

d~ns l'e~pric ducylindre iroit o

auiH a-t~on du voir que 2 avoit été pris

tbrcément,comme je viens de îe dire,

& s'ëcoit prétente au centre de l'âme

de lapyramïde)

& à l'appuidu nombre

parfait 6 qu'il divife Ju~een 3. Le trian-

gle & Jecylindre 3 le cône ratiane

(') Tout ce d!fcours tient à i'e~dt de 1%

Ph~ofbphie MuidpUcauve.

Page 74: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

d<MMles folides ce qce fait la ligne dan<

les plans. Le quarré & !a pyramide &

en6n ie Cube ou ioHde parfait 6, qui

approche le plus de b iphere i. a6n quetout& téanMÏcà ion centre en vo!ct

les 6gMc§.

1.V, !ePo!nc; BgM; le

TfiaBgte le qMK~; t la Sphere

le CyBndfe h Pyramide;

& !e Cube, font genefa!ement la ba&de toute la Géometde Praaque;auxqueïs

on pourrctt ajouter le Pentagone, pte"

tnieir des Poligones ce qui feroit &c!t~

dans la Spéculation, en employant te

par iui-meme; niais toutes 6gwes &~

dans la Sphère, comme les nombres

dans Fumtc.

Page 75: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~9

Ve feteve lesquatre

nombres de ?M

Céométfïe (i) plane,a !a ~on

des

Egypnens, 7 x 10 ==70~& les

quatrede mes (o!ides 7

x s~==: p8.

-t- 70. s~: t ~8 je remets moa

atphabec.

i~~M~~iZB~~i~ /LLL

~14 4'0 = 1 4!+ 1 0~4~

;1~ioJ=6~i

96=1~+~if~llll

l,'

7--)~.x ~4=16

:ii~iL.~i.

J~Z/& /~<~

(t) Pertonne n'ignore que nous devons la

Géométrie aux Sages Egyptiens le Livre

de Thot nous confirme cette vérité puifqueFon y trouve une fourmilliere de Théorèmes

qui ne font nullement dans EMrh~c, ni dans

aucun des Ouvrages que ce gavant homme a

fait naître. Une de mes grandes fufpnfes

particulierement e& de trouver dans le H' ·

Trc de Thot la quarantc fept!eme propo<

Page 76: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

'-cii

Cettercg!e dernonrre geomctnqtte-

menc que Fatph~bec ne ~ufpatfe pasle

nombre 7 & que les Egyptiens ren-

&rmotentfbu§ leurs cbeorêmes dansées

MusËguces qu'Us redutMent à croisa

comme lerapporte ~crc«re 7'ir~at~~

( nommé trois fois grand, parce qu'il

potÏeddt au ptus haut degré les trois

~tlon de cet YUuRre Géomètre: iefoit ce

les Egyptiens qui en auroient fait préfent à

Pyth~gore, ou fi ce grand Philofophe l'au-

roit trouvé lui-même 1 L'un & l'autre e~ po~6bie. Toutes les fois que je penre à cet hom.

me plus divin que Platon, mes tàngs bouil-

lonnent, & fe glacent tout-à-coup il étoit

& e8 toujours notre maître & nous n'étions

pas à Ces côtés pour détourner le coup que la

cruelle ignarance ota lui faire porter par un

<teKs Enclaves. 0 nMn&Faeu~eMégère, que

d~ Crimes, que de meurtres n'as tu pas occa-

Connés? Puiffe le Ciel à jamais détoumet tes

cruautes de deuus les hommes t..

(a) Les Géomètres ((euls)peuvent oppofer

quelques raifbas dans le Maltipité le Mul-

tipliant & te Diviseur mais )é les prit:, ayant

de )uger légèrement, de remarquer qu'il adans Mutes ces opérations numériques &géo-

métriques un écoulement eu un mouvement

idtellectuel & qu'opposer quelque rai<oane-

m~ent~faus '1~'feritic a ce fecoit s'a~ouer-~3an~rtMnt&as Ic~ntM, ee feEoit~svoaetd&n~

Page 77: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

71 I

fciences humaines ) ( ï ),& ~nâ!emenc

comme nousavons die a. un point.

Les nombres nous ayant conduis à la

Géomc:rie, nous allons par celle-ci re-

tourner à (on principe, à la maniere des

Egyptiens, qui e0. peu connue c'e~-a.-

dire en prenant la valeur du dernier nom-

bre, qui à l'égard de l'alphabet eit 'y, &

qui nous a ~ervi de multiplicateur, t

7 x y == ~.p, plus la progreuton nu-

mérique de l'alphabet donnée fur les

figures- geomécriques t. 2. y.

7. == 28 -t- 4.p =: 77. qui eH !e vé-

rit~e nombre des feuiiiers du Livre

de Thot (i) le zéro n'écam ab~biu-

~e fein de tous les Maîtres pour unignorant

n'ayant pour foi que les premières not'on&des

Mathématiques enfin' unabrège de la

routinevulgaire a b -t- c d a d ce qui

6'appelierabed–ad.

~i ) Quelques Ecrivains ont parlé à cetcgardà leur manière mais non à celle des Caba.

li&es.

(t) Une opération audi umple annoncefans doute l'esprit d'un

ouvrage fait avec rai.

ipnnement; }e me répète, t. g. y,

Page 78: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

7~)

<Mnr qu'une figure expre~Eve pour dis-

tinguer te vuïde, ie néant, le rien, qui

t)ous accompagnent Ja majeure partie de

Botre vie. Notez que ~ene ~is pas, auË

tnat-â-ptopos que phï6ecrs &uxS~avanM,

qu'il y a du vutde dans Nature -car

je parlerois contre fe~pnt du Mefog!y-

phe la Fûne, ou le Fou qui n'e~cx"

preuëtnent qu'une ngufefeïative aux

a~oM futiles des hommes, telles font.

elles que nous dtKinguonsparcemoc

mvtaï JS~e~r aux ~e~«, ne rien

faire, &€. (!).

,le poutro7is fairë paNer tout le Li-

vre de Thot dans les di~ïnpns en

t. a. 3. ec 7 Livres par une

!mmënute de calculs dont t'atpha*-

SErt8-~7X7 ==:t-t8==77.JcdM, il

y t <ept nem~TM r~lphabet, &~e les mul-

tiptïe par eux mêmes; & comme ces fepteembres denceat :t de quatre 7, plus un

nombre 7 PhyC~MC, plusCx7tateUeaHeIt,

eeqMt&!t t)r &M y ==: 7~,&Mvieat à la

FcnnBle 1~7..

(t) J'aï apprise coac~tfe te~baotes Scïen"

ces & cenaen écrire ~act tn avoir les

tnoJNdcesaiOtMBti,

be~

Page 79: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

7~ e

bct trouve m'indiquerai: !â ~ormu!e 9& m'e& donneroic toutes les c!e6niais voici une Table qui meru-a dans

la route ceux qui voudrontincerpréceE

à fondg~néralemenï le Livre de Thot,

0~voîtauprem!er~pe<a: que i,

ï unité, fereporte a !o. 2 à

ï~ a

I~à r~ (*)~ àà 8.<S'àn.7à

rordfe,jFharmon!e~ plus grand

1'faut ~c i~'ce que

1 ouvrage vu en 4 volume. le nombre Spremier doit être en~feuUlet~&~

D

Page 80: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

'~]1m J

accord règne dans tous ces nombres

tantôt parce qu'ib font d'accord &:

taatot parce que ragent eâ attentif &

~n panent, tel que 6 fur 11 mais en

genë~ H &M mieux dke, pour s'expri-

mer, qu'i! y a 7 tons; ou 7 degrés dittin<

&m dans les iept chames det'aiphabet &des formules.

centre de la formule (e rapporte

3. J'ai dit, d'après tous les Philofo-

phes, que ce nombre etoït foible qu'ilétoit volontiers moindre que les feptnombres qui le fuivent, quoique i leur

donne !'ccou!emenc, !e mouvement, &

enfin les ordres de l'unité. C'e~ le mi.

nière zélé de t & le fidele ami de },

qui e~ le Souverain des nombres non

compris runitc & enfin ie~

le fecopd

diytieuf dtt nombre, parrait 6 & e&

de coneurrence avecdonne ie'ugpat du Pèche com-

me ~ea co,ntca;pe en un (~s car id

Ïep~cBee~pris comme ~ibte~e en-

6n ~intime de t, tKupporcc te poids da

N<~ r; do~ a~ <:h~g.c ou la

gMdc n~ que ce poids (oit contre

Page 81: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

7~:

îage nature mais ieuiemenr penioie 9

car la more eft: une perredion quoi-

qu'elle ioic, comme nous avons dd

dire un des plus grands ngnesde foi-

b!eHe mais c'e~ la per~e~ton qui feule

tend à la rcgéneracion, ain6 que Favoic

purement encendu Pythagore. ( ï )

Je me fuis beaucoup étendu & je

prévois que l'on me reprochera de ne

n/etre point uniquement attaché à mon

<ujec je protège n'avoir rien dit qui

n'en &ue partie, & avant de continuer~

il eâ tems de parler des Sages égyptiens

qui nous ont fourni la matière.

Lespremiers Egyptiens

avoient îa

plus gtande attention de ne point con"

fondre le Sacré avec le Prenne ce quene faifoiem pas les Chaldéens & par~ttite les Babyloniens ( je dis au me-!

ment où la Chaldée fut devenue peu-

p!ee,) aihu que les Arabes, & enfin les

Romains, qui panabiemenc inftruits

permeftoient d'adorer des Ido'es que les

( î ) Combien n'a t'en pa!, de même, penj[~imatd'Epicure~ d'

Dij

Page 82: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

)

Eîrangers leur annoncoienc comme des

Dieux (ï).I! e~ vraique parmi

les dir-

férents Peuples qui croient adonnés à

!'id6!âtrie~ il y avoit de vrais Sages qui

cherchoient à !e§ en détourner mais

cb~gés de' parlercontre cette idolâtrie

OUIIO"'Jd`

paiieâlit ne a

& engénéral

contre ces faunes Loix

ejaei'on di~oir &crces parce qu'eUes

étoient reçues & les faux-Dieux crus

vérïtab!es les Prêtres cupides les Sou-

verams !mbcc!I!es, & les Peuples aveu

glés,!es <at(bient mourir par des tour'

(t) Comment e&-H poffible d'accorder au-

cune forte de. raMon des hommes quiMéprirent les vérités éternelles fur une feule

& unique Divinité; & dememcauïïi com-

ment ne pas croire que les Romains n'é-

tbient que de pures machines humainement

erganitees, mais (ansinteHtgeTtce, îcrfque

Kpus apprenons qu'ils couroient en iDuie en.

cenfer des idoles de pierre qu'un ArtiCan

&tn'entih}u~emeHt mépfi(e, venott de fa-

briquer de fes mains ? U i~ut avouer que

~idolâtrie ëtott outrée. Un de ces ouvriers

~yant taillé un jour un Bacchus, & ne vou-

lant pas ayectpuy les autres Sechir Icsge'noux dèvant cette Idole il fut facrifié au

pied du dieu dont il avbitfait le corps les

~ieds, l&s main~, 8& le tonneau,

Page 83: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

77~

menrs aufiï recherchés qu en exécra-

tion à toute la Nature entière.

Pour lerapprocher

de la icicnce &

de iaiagetÏe

des premiers Egyptiens 9

il ne faut qu'examiner que Noé leur

perea vécu de leur tems, & qu'il

n'e~ mort que 8 S ans aprèsla natt-

iance de ~rM/'< Tr~ qH~ 9

comme on ~âK < v~voK du tems d'

~<ï~

Par la branche de Zo/'o~r~ Premier;

TnimégiReétoit le feptiéme

descen-

dant du Secondpère humain & Z~/ï"

F/oy a erre en mettant, je

ne ~ais pourquoi une interruption

de 80~ ans entre Mercure ~~c' &:

TnImcgiSe puisqu'il eli contant F

comme je viens de le dire, que celui-ci

vivoit du tems du Patriarche ~r~

La contradiction de du Frefho! e~ cvi-

deme, puifque du Délugeà la nainance

d'<7z, on ne compte que 3~1 1

ans &: de la Sortie de ce Patriarche de

la Chaldéepour venir en Egypte du

tems d'm~c ou deuxieme Pha-

D ii)

Page 84: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

fao, ou Pharaon ~17 ans.I! &uc!ro~

donc mettre Tfitmegi~e au tems de

JMc~, & ce ~eroit une erreur auui

&)rteque ce!!e que

nous venons de

MtCtcer. Confiiezî& gcn€&'ogic

des

Mercure. qui eâ à En du deuxieme

Cachier de cec Ouvrage.Au rapport de ~M~ Mercure

TciGnég~e ett plus ancien qu'Abra-

ham, & il vivoit du tems & avant le

premier Pharao. Ces vérités Chronolo-

giques font tirées du Livre de Thot

& fe rapportent plus que Fon a jamais

dit à ja vra!<emb!ance des fegnes des

Mercure que ton fait Mnt&t Souve-

taïns, & tantôt valets de Souverains, ne

tâi&m pas attention que Mercure de-

~ntpar~uite un nom commun qui

~gninoic ~B~rc & qui dégénéra

Jusqu'en ce!u! de ~<osï<~oKn<t~. En

quittant t*H!Koire Pro&ne pour con~u!-

ter la vérité de t'Ecriture Sacrée, nous

Mtbns, AAes des Apôtres chapitre 7

~er~ n, que Afo~ Lé~naceur &

PMphe:e de Dieu iiTU de h !:cnée de

Page 85: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

79

S~c, fut élevé nourn Se inRi'Mg

chez tes Egyptiens,fous le

règnede Pha=

raon ce ne pouvoitdonc pas

~re avant

le rems deTrifmégi~e &: par

conie-

quenc des premiers Mercure car rHi~

toire de ceux-ci nous feroit auHi fami-

tiece que celle qui Cuit de celle de FE-

~ypce d'âpres Moyte. Mai: revenons.

Je ~ais que les Egyptiens avoienc

di~erencs Dieux di~rencs Sacrifices

mais outre qu'il ne &u[ pas confondre

les premiers Egyptiensavec les der-

niers, c'e~-à-dire les tems, l'Ecncucs dit

expreuëmenr dans p!uueurs pa~ges que

fous Pharapn~meme au remsque Moy~e

& &n frere Aaron furent en Egypce

pom' délivrée les Hébreux ou lai'gnee

depar Sem, Abraham, I~ac

Jacob qu'il y avoit des Egyptiens

hommes & femmes, craign ant !e Sei-

gneur, encore, difbns-nous qu'ils ne

~unenc pas de lalignée de Sem, mais

de C~ & ennn desZc/'<~r<

On remarque auCi qu'il y avoic des

~ages, & des Enchanteurs, ces reimes

Div

Page 86: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

Se

noyant jamais étéSynonymes ;Uut<ne<'

tion ~rmeKe & que l'on peut )aM-

6er ainh que ~'en ai amptement par<

!er dansma Z?~r~<~n~r~.f

.~rM"~F

Oe<:& que j'efpere faire hnpnmer.

C'c~ une vcnfé income~abie que

Ïa p!us grande partie de la Nation

Egyptienne n'étoit pas tdo!âtfc juC-

~u*au -.moment même o& jp~ccr~~

T&<ï/~ ~M~t~oc/c, Platon & autres

furent pour s'induire chez les Mages

d*.Égypte;car s*i! eueété vrai que ceux-

ci eunent été idotacres tous ces grands

J)0mmes n*eù{IeM point manqué de

kujr en faire des reproche:, <e de citer

à ~a poûéntéleuridotâtne au contrai-

K, & ec reveaotent aVec une Meraîe

pure, te! qu*on peutle )UH~ner dans

les, &ges préceptesde Pythagore, &c.

Les premiers Egyptiens adorcient un

Dieu feul & unique &: on ne com-

mence depuis leDéluge

chez !es

Egyptiens., à trouva? des traces d'ido-

lâtrie que fous !erègne

du premier

~/cN~ qui fut comme je

Page 87: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

S~

crois l'avoir dit le dixieme Souve.

rain d'Egypte; mais cela n'influa pas

fur les Sages qui vécurent enfembie

jusqu'au tems de l'impie&: de:e~ab!e

Empereur jD~ccA~ qui les difper-

~~6t brûle!' leurs manu(cncs,&r rafa

les Temples où ils vivotent dans une

forte de folitude je dis (brte car ces

Tetrples ccoient non-feulement ouvert,

excepté le centre ) à tout le monde

mais ces Sages aUoien~ aud dans la

Ville 6c par toute l'Egypte guérir tes

malades donner de fages avis, & être

udles toüs ain .ue tirent les in·~utiles à tous, aind qae ncenc les In-

diens, les Grecs, les Arabes, & même

toutes les Nauons, dcjftgnanr ces hom"

mes gu~rUÏant les maladies, ~~«/

Empyriques voyageant par tout rEmpi~

re. Tels furent les Druides qui donner

rent la premiere idée dans l'Europe de

bâtir des Hôtels à Dieu, ou de Dieu, o~

les malades étoient apportés, ainfJ quefirent par fuite d'autres Ibcictes particu"

lieres.

~opinion reçue de la plurale des

P v,

Page 88: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

<1

I~etïx généralement chez les ï~ypMen~e~ démontrée 6mHe à l'égard des pre-

miers, par le Livre de Thot & à Fe~

gard des derniers par ce que nous a

ta~e par co'it Jt~r~Mr~ 77~3~ 9

Trois fois grand, parce qu'outre ce

que j'en ai dit il étoit Sacrifica-

<MM, Devin & Médecin parfait. Ces

~MM Dieux n'ecoienc deoe :oot au plus

admÏs qde par les groCiets du peu.

ple; CBeore c~ii bïeaeb~erve pâr~<M~

~M~~M qu'aucun mortel n'a vécu

~aM croire un Dieupar-deMas au''

de~us de tous ceux qui étoient ou jpac-ticHÏïezs a des FamiKes oN~ommuM

des Nations comme aaSt qu'il

n'a écé aucun homme in~Tutt qM att pu

neppinicro~M oon'&aïemenc un Dieu,

maM un !teuï Dieu antqae.

L*Mnbcci!Ie vntgaire chez les Egyp-

dens ( it e& vrat au tems même de TttC.

m~Ae ) Feodoït quelque cu!cc à de

6uMes Divinités mais ii ne les fegar-~

doic,aupiedde la lettre quecom-

me des J!?M«je .P~M~ et.6n comme

Page 89: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

e

des7W~<M.î, qui

avoiem lapropne"

te deproduire

Fabo'idancede donner

la &nte mais non pas comme !e Dieu

Moteur, Créateur de l'Univers ce que

Fou peut facilement concevoir en re-

marquant chez les Turcs que les fern""

mes & la lie du peup!~ qui croyent que

~Ac/M~ a étc un grand Prophète un

ami de Dieu,ne vont pas jusqu'au pointde le penfer Dieu Creaceu!e concevant,

~ulement & fans le [avoir, un vrai Ta!

man, qui peut leur faire gagner des ba-

~atUcs empêcher!a

pe~eou Fc!oi<

gner, faire tomber la pluie leur don-

Der la ~Bté allonger leurs jours &:

enfin leur donner de belles femmes, de

Fargenc, tout ce qui peut fans~îre

leurs ~ens ce que l'on fenr auf~t pi-

royaMe qu'impie étant ici que~ion de

l'entremife d'un homme qui par ion

aadace &: {'ignorance de fes contempo-

rains, devint !eur Chefj &: eut aprèsfa mort le deiavantage d'être vu de-

vant Dieu comme la cau~e d'u:ie

idolâtriegénérale fur la quatrième parde

de la terre, D vj

Page 90: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

La Soctcte étant raccord que les

Nations une fois étoignées du moment

où elles ont été anéanties ne comptent

p!u$ que psile coté des Grands Hom-

snes qu'eHeson:

e::s chez eMes, pour-

mobt va. "a ,-U"£'"P. pour-

quoi comme Agrippa. ( (ur fon re-

tour) quelques-uns fe ~onti!se6orcés

d'oier aux Egyptiens ( le feul pe~pte

qui eut pendanc plus de deux Gecïes

une vraie conu~ance ) le titre de !jt

premiere & de !a plus noble Nation

connue Pourquoi contre ce qa'H~

ont dit publiquement de leur tems

qu'ils étoient les premiers peuples d<t

~nond&, iespïus anciens les pères de

tous ies autres (t) ïeur préférer tes

(t) On ce peat pas dMconvcMt qu'ils &-

rett les premiers qui établirent par précep-te la StgeNe, les ScïeBce!& tes Arts uti-

les cela ne tH~Efeh-îi pas poùc les pre~Mtà une forte de cohorte telteqae les Chal-

deen~? Les Chinois nMme qsl descendent

dtreae'apmdet Egyptiens attroient te droit

<dc compter avant tes Chaldécas dont la po-

pulation &ttIong-temsË modtqtte; eRËn,

~re~ue Isms Vi8e< & &as police. 2V. B.

Page 91: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

8~

Ghaldcens qui efo~c~ pendant plus de

ï ~co ans moindres que nous le (uppo-

ferions aujourd'hui les Su~es, !es Gene-

vois & autres, en raifon de l'Empire

de ta France, de l'Angleterre &c. f

Les Egyptiens en citant plusieurs

peuples qui venoient les vi~:er du tems

de 7'rt-J~~a~, difenc que Ses ChaL-

déens, qui viennent chez eux cher<

cher la (cience & la iageffen'en

remportent qu'une lumiere Combre, 9

qui e~ pire que leur premiere igno-

rance ennn ils venoient eEudier chez

les premiers Egyptiens, & les voyanc

opérer des mer veilles dont ils ne decou"

vroient pas aucz promptement les hauts

my~eres, (le n!ence même en étant un

desplus grands )

ils s'en retournoient,

e.

Que ~e m'en rapporte absolument au Livre

de Thot t & non quelques Auteurs tels

qu'Agrippa ~ans fes 'aradoxes,où il exalte les

Chaldéens,les comparant aJ~z mal-à-propos,

pour les faire valoir, à ceux que nous en-

tendons volontiers aujourd'hui par ce fens

Et~o~M t & enfin Bohêmiens, hommes des-

cendus des vrais Egyptiens, & que le tems S5

les climats ont corrompus.

Page 92: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

s~

contfe&i~nt terrs opérations: Ope"

fâtions, di$-;e, qu'ils renvoient 6m~~

~Neut, telles que j'ai vu à Par~ <m

JoMuf de Gobelets, <~idans uneb~ët~

aHez maleon~ruite, faifoit vp~Mtr~-

yers d'un ver louche itjn ~etMde

la hauteur de deux cpïngtes reaai~-

~btc de Ja. cendre ~ax~M ( :),

quotque xetEe opefation €~ ~0$ &~e

que l'ap~t d'un impudcM tpcï~o~e

annonce p<tf ccdc pubïiqacn~M~

tes Egyptiens coo~uk~eM Ciel &

Ïa Terre, enfin t& NatOïc ~a Phtïc~

phes :jes Ch~decœ en v~t~t !<?

capter, €Qn6tkotent'fafEaBge~ent des

A~Ees; amais ne pouvant pes'pa'ef )'tHt-

telligence de cette prédea~e jecritu~,

pc pKtnoncotCM te plus &~vent q~e

des mensonges.

(t) Onavoit. dit que lM Aactens iai-&îeht cette TobMtce op~Mttoa iRilgaïre &

toute PhySqMe,6eh en fut aSezpoM ren<

g~géf i tfMopef les tgttM:mts; mais la So-ciécé e~ telle qu7elle fèrme le.,eux 10rÍ'}uc'ciété e& teUe qu'ette iënne Ie<yeax lorgnehChàrhtMtMme h**atreprec4 pas ouyeTte-taent ?: &nt&ds Cttcyc~.

Page 93: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

S71

Les Chaideens étoient ils rec4us dans

ta premiere enceinre du Temple chez

les Egyptiens où ils voyoient occuper

les jeunes Disciples des Mages qui décri-

voient des figures de Géométrie, ils s'en

retournoienc dans leur pays&: for-

moient des -cercles pour conjurer les

esprits infernaux ainu les Egyptiens

ce peuple de Sages avec les m&eures

intentions, firent naître toutes les ior-

ceHenes & les folies de la Chaidée~

Les Egyptiens font accutés eux-mê-

mes d'avoir été des Enchanteurs cela

e& vrai; mais ce ne fut pas avant le re-

gne du faux Mercure qui prit la placedu deuxieme Pharo & cela ne doit pas

même s'entendre des vrais Sagestous le

regne du quatrième ~Pharao; quoiquedans ces moments il n'y avoit plus de

bornes, Pharaon étant lui-même adora.

né à lamagie &: déclaré contre les Sa-

ges parcequ'ils n~ vouloient pas flat-

ter !e goût duSouverain,dont les moeurs

étoientcorrompues. C'eH: dans ces mo-

mens ou regnoit ce quatrieme Souverain,

Page 94: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

'§8

tous le titre de Pharon, (titre qui ne re-

môntoït pas alors à plus de o ans) que

Afo~ & {on trere ~ron furent en

Egypte pour en ramener les Hébreux.

On icatt, en i'~c~r, que ce Roi

envoya chercher les Sages & les En-

chanteurs & qu'ils vinrent les uns &

les autresU y avoir donc Fun & l'au-

tre. On voit de même que l'Ecriture

ne dit pas que les Sages opérerent des

merveiUes, mais feulement les Enchan-

teurs &enfin on fit que les Enchaïl-

teurs, ou ,6 ~'on veat, les Magiciens.

comme le poneBtqaelqaesTradacHon$t

o&renthttter & d~efentes~ïs contre les

Prophètes: au contraire) oa appercoïc

que les Sages d~Egypie ayant reconnu à

ia premiere fois les Prophètes du Sei-'

gneur, ils ne revinrent plus, rEcriture

ne parlant d'eux que la première ~eis

ati moment où ik fment requis parPharao pour tutter contre Moy(e &

ton frere ce qu'ils ne voulurent point

&ie.

On ne nniroït pas fi on vouloit re-

Page 95: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

Sp

pauertoute l'Hifloire qui prouve qu'i! y

avok des vrais Sagesen Egypte, qui

n'adoroient qu'un feu! & unique Dieu,

en remont<nc, dis-je jusqu'à Sidon ou

Zûro~~III. qui

fit bâcir Af~A~

aujourd'hui. le gr<tH<~K~r<u(qu'au cems

eûtes Sages,commeDemocrite & autres,

furent les vi~ter. Panons à autre cho~e.

Il a fallu être trcs-iavanc pour recon-

no!rre dire publiquement que le

Livre de Thotrenfermoir la ~jencede

l'Univers, &: pourle donner aux Egyp-

tiens, c'e(t-:t-dire compofe par les

Sages d'Egypce.Il a fallu penecrer avec

que! ordre & quelle fagefleil cfoir eer~ ¡

car file Sçavant ~<ï:< qui, con-

tre nos loix (ï) a publiquement pro-

noncé que ce Livre renpgrmoit lesp!us

r.. v

(i) Il ~autentcadre contre le ~ience que

le Livre de Thot impofe fur cet objet à tous

les Cabali~es; & h en cette qualité je l'ai

rompu moi-même, c'eft pour prévenir les

abus qui pouvoleft naitre d'après le difcoursde ce Scavant, comme dans les tems pr?.-mitifs ce!~ eit arrivé à l'éga.rd de l'A~ro-

logie Judiciaire laqueUe on a donné un

moitvement contraire

à

à Ion '~edta.ble elbriternfluvement contraire â ion ~é~itablc efprite

Page 96: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

90

hauts mylteres de la cabale des Anciens,

n'avoit été appuyé que fur !es hiéro-

glyphes, Comme dans un Œuf, le

~~o/c des quatre ~ï/o7!j,&c on eût

pu lui repréienier que généfakmenctoutes les Nations aboient fucceffive-

ment copié tes hiéroglyphes Egyptiens

( témoins ies~omattM,) encore qu'Us

<u~ent bien éteignes de les compren-

dre &: en)5n que tous tes peuples,tels que Ïes Grecs, qui les ont induits,

& les Arabes qui ont copié ~eux'ci, @a

ont les uns & Ïes autres compose dans

ïe tnêttte esprit des Ëgyptiens & en un

mot que Ïes peuples modernes jusqu'ànous-mêmes emptoyoient & eni-

ployent autoutd'hut ces hiéfog!yphes,

~ui~sns ïe ~M :eccnna cp adopté, toic

pour déngnér !a pen~ce, on l'intention

<nora!e & pnyu<~u<te!s on en ~oit dans

nos tempîes, dans nos Pa!&is, dans nos

Places pubBques & paincu~ecement

dans nos Armoires,

Pour avoir dit à î'a~rmanve que !e

Thot étoit eïï'ployé à la Dt-

Page 97: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~1'

~inanon, il a fallu ecre protégé d A"

poMoa, (ï) & ravoir au moins Ce ren-

dre intérieurement raifbn du nombre

7 a6n de reconnoirre i'e~prir le mou"

vement de la divination chez les pre-

sniersEgyptiens ce qui eâ à pré~"

mer car il n'eft pas croyable qu'unvraiScavanc puil~e Ce haf~rder au point

de donner aux Sages d'Egyptela Scien-

ce de deviner par les Tarots, parce qu'il

fauroit que depuis quelques ~ec!es on

devine par ces cartes.

Oui ,îu~re & vrai Maître de rand-

que ( tout préjugé à parr pour vous par-

ler comme le premier Cabalifle dama

Nation ) vous avez dit la vérité ce

Livre e~ Egyptien & connu depuis Con

~tabu(ïemenc ~ans une fecende d'in-

(i) Saint Augutlin dit que les Devins

adorent le Créateur fousla figure d'Apol-

lon mais que cette adoration n'a en vne

qu'un Dieu aRique.créateur dcttoutes-chofes.

Les Sages Profanes ont dit que les Devinsadoroient le Créateur de l'Univers fous le

hiéroglyphe de Minerve.

Page 98: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

9~

Krnïpnon oui il renferme tour ce

qui eu compris dans l'idée humaine la

plus parfaire fur les trois fciences Mo-

rales & Phy~quesdonnées à rinrei-

Kgence & à ja tRain-d'oeuvre de

t'hëmme.

On y lit tout coutamment la Reli-

gion, !a Divination & !a Médecine Uni-

verfelle que fuivoient & pratiquoient

MP~K~ <~ Sages, & lesPtincipes de

toutes les Sciences & de tous les Ans

connus, & communs à tous les hom-

mes.`

Ce Livre ne fur point ignoré ( t ) & ne

!'e& pas encore des Sages de ïa Chine

il fut <:onnu des Grecs des Arabes, S&

ennn des Indiens Brames, Gymno-

~ephiâe$, DMtdes (t), &: tous autre

r

(ï) tl &ut consulter Pierre Gr~otre, Tou-

!oHZ~n qsl p&'te de la Divinatiot! par les

MàgM ) ~ui n'ëtoîent nen autre que les

3~r<!t.f.Camera!'fMît !$7!t s'expHque plus

cjaïfement en difznt~paf les Cartes, &

rien- n*e& plus polEble~ que ce fut les Cartes

de Tarot.s dont il enten~eit parier.(2) Les Druides përtoknt au cou

l'Image

Page 99: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

9~ 3

Sages quiont ccé x tour au cen-

tre du Templedes

E~ypncns.

Z)~<heur de la Violette qui

neparle

des Tarots qu'en palfantdans

un de CesOuvrages imprimes

fuivanc un m~mifcric de ~â m~tndontje

fuispofYe~eur

dcmoncre qu'i! pnc

de la vérité ils en(eignoient la PI~té envers

Dieu l'a'nour du Prochain la JuAIce en-

tre les hommes la valeur la fermeté dans

les revers & un juile mépris de la mort, la

confidérant comme le pacage d'une vie éter-

nelle & bienheureufe pour qui s'étoit hu-

mstnëment & fa~ement condutc. Ils vou-

loient que les hommes ne furent muruits

que de vive voix afin de prévenir leurs faux

Icncimens dans ce qu'ils n'auroienc pas ap*

profondi ils ne vouloient ni levure ni

écriture prévoyant que la premiere fcroit

un moyen de s'égarer & la féconde de per-dre la plupart des autres enfin, ils vouloiertC

que les Loix Divines fuffent gravéet, darts

nps coeurs & les Loix humaittes fur des Ta-

bles d'airain vidbles tout 1~ monde

lues à quiconque les int~rrogeroit. Toutes

les Loix Divines portoiFn;: fur trois Princi-

pes, Dieu les hommes, & foi-même &

les Loix humaines -étoient prifes de ces

trois principes auxquels ils ajon~oia~

quat:~ aUMCs.

Page 100: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

94

lecture une partie de & vie de ce pfé"cieux Livre.

Comment 1 dira-t'on avec furpnfe

ce Jeu de Cartes vulgaire qui ne pa-

ïoïc avoir été inventé que par le vice

pour désennuyer la parère 3 e~~nr~

Livre de fcience, & même d'une verm

folide ï oui & les Sages font compose

avec r orcLe non-feulement de &geÛe

& de ~aences dont Dieu a ~avotiC: les

hommes depuis te moment de la créa"

tien mais e~oMte ils ont mis toUMS

ces choses fous un nombre defeuiMets

qui y corre~ond, poucparief comme

hommes de ~univers entier.

San? enthouûa6ne ni prétompdon t

je donne la véricabte clef pour lire ce

précieux Ouvrage de T&<~ dans ta

Chaîne de mes quatres cahiers, oui ~e

te protège, étudiés avec un peu de

&in, mettront aporiéede penfer com-

me tous les S~àvants~ que riea n'eâ au-

jourd'huifans ~vc~f cté à la connoif-

(ance des Sages & premiers Egyptiens.

Je M déjà dit tes Egyptien: re-

Page 101: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

tnonîoient a !a cauie & repatTant fur

le point d'où ils 'dotent pards ils dcf-

cendoient aux ecteis ( i )&: ain~fmvanc e

leur admirable Copiée ~~c~, Surnom-

mé le Divin, ils fuivoienc les anneaux

de notre univers s ju~u'à ce qu'ils

eurent découverc les résultats.

Ces Sages ne recherchoient que la

vérité nous l'aimons aufli, parce que

nous en hommes une émanation mais

nous avons trop de condescendance

pour le mensonge, puifque nous 1m

donnons, contre cette vérité qui nous

éc!aire ce qui n'e~ absolument dû qu'àelle.

Les Egyptiens alloient toujours en

cherchant la racine de la Phyuquenous nous amusons à ép!ucher quelquesrofes qu'elle nous donne mais enco-

re qu'elles raient d'une agréable odeur,les Sages ne leur remarquoieni pasauez de vertus pour les aider à péné-

( ï ) Voyez ce que j'en ai dit quatrième pa~&d'un petit .~anf-Pr~oj', en forme de Lettre,

gui a la tête de la Combinailon ~rMM~

Page 102: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

9=~ i

j~ ~t~~6 ~à~n)Mtc ~ae ïeat âme

jm~quoï~ye dit ~nsie ~c~-

~qMe&à~

)! ~af~ ~'i"~lls',vowoiel1t

~B~ e €6Mme

~)E~~

~<Enmt~<d@ ~M~~r M~ avant

~~Ï'c~ \¡(qb~p1~~i::e,~è_r..

~M~'1'

~e~et&Me',

Page 103: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se
Page 104: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

E

1

SUPPLEMENT

u

PREMIER CAHIER

De la nianiere, de fe récrée,- avec le

JPe f~ ~ï<2/ï~~ ~cy~~ ~~c/e~M C~r~~ ~c/72/K~~ T~rc~

jL~TfTRJE.I!~ des cas oui! ne

faut poinc appréhender les mille & un

revers auxquels le fbiMe e~ a~ujecti ~ouss

la loi du fbrc mais !orfqu'i! ne s'agic

que d'un peu d'amour de foi-même

il vaut mieux garder le ~ience ou an

mcins parler d'une manière qu'il n'yait que ceux incapables de faire îe ma!,

qui nous entendent le dure e~ &ux.

Un ouvrage eH:dangereux ou i! ne

FeA pas cette prétendue mamgce de

tolérer ceux que t'on met dans !e

dou:e p~r une approbation tacite n'eu

Page 105: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

9~

pasbien ancienne & cett peut-être

une o~en& que fait lui-même un

Censeur cdairc.

f~ S'il eft vrai que ïa queHion acie

agitée,an Homme de Leurcs

pouvoitou ne po~vo~ point vendre

ttanquiHemcnt <[es ouvrages tes Jugesonc dû entrevoir qu'un Auteur eA un

Ma~re qui a fouvent des ierviceurs ip&;

déles & des henuers ingrats,

Un .E<~Mf Lifons.

Pa~e ti). Cet OKvr<t~. L'Editeur au-

toit dû dire amplement que c'ctoïc une

première intention de la clef du Livre

de Thoi car pour en poaeder réelle-

iment à ~ond la ïe&ure ( (uppo~, dis-je,

qu*pn le vouMt, ce oui ss taux du

jEccîe ne paro~t pas trop probab!e, ) ne

taudroir pas moins qu'une Sociére

d'Hommes !n8ruhs qm ~e communi-

quercienc!eurs découvertes.

Idem. Page it), !igne 6 )uC.

cu*àce jour des ~~0?~~ Egyptiens.

Page iv. une y~~ qui ~e~

Page 106: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

99. ¡

J~<M'p~r /cK~ les ~c/7: Si on c~ per-'

iuade d'après le rapportde cous !c$

Ecnvains que les premiers Roupies

avoienc !e p!us grand refpe~ pour!j,

Religionon e~ forcé de convenk

cu'~sne difoient & ne [rabotent

nen

quilui fût oppo(e s'ils xvoient en ve-

nér&tio~ les Crades, ils ne po~voitMde même rien dire qui

leur fut con-

tratre ain~i de Mcdfdne qu'i!s

pradquoient;ces diver~s branches, <~ns

contredit les p!us difUcites &: les p~us

incereuances pour les hommes e~nc

~hez !es anciensPeuples

hces inJino-

lubiemenc &:regardées

comme U!. ifeu~

devoir pour celui qui etott reçu Pféa'e,

ouMage, ou Choen, ou Hyerophance

termes pris de piuneurs bngues ô~

abfb!umemSynonymes.

H ne (urRcpas devancer que les

Mages nepouvoient ni ne dévoient:

rien écrire contre les premières & les

principes branches de leur Phi!o(ophic;t! faut en outre penser, ainu que !eurs

Hicfog!yphcs nous !e témoignent, qu'tis

Eij

Page 107: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ïoo;

oe tracotent rien de vulgaire ~ns y em-

preindre lescara~cres deleur croyance,

& enfin ceux de t'écrit qui les ani-

moïc, (enriment que nous aurons occa-~

nond'appuyer

enpsrisn: de nous-mêmes

& de cous ies Ecrivains, dansquetqu~

genre qu'ils embradenc c'e~-à-dire,

que dans toucouvrage de Uttéra:ure

quelconque, on y remarque toujours

que l'Auteur ne (atc qu'envtronner tes

principales figures d'accetfoires propre~

~les&ïte valoir.

Les Sages de tous les anciens Peu-

ple< tn-tptKaoteM dans tous leurs ou-

vrages (ce teur etotc un devotr) les

€ara<~re$ de Dieu, de la Nature & des

Hommes,~ ~c~tOK) ~~M~M A<tMM

<B' ~CM PrMMpM de toMes Ïes

Sciences & de tous les Arts <o!tdes

&: non Myoles,unTes & non nuiGMes.

Quets etotcnc &: font ces trois Principes

des Sciences ~u!gaires,poMtique &civtte~

Les nombres, les formes & les pro-'

ùrictes de chaque tu)et, eu ~gard ~m

~otnmes; tnais ces cbp{c$ etoien~

Page 108: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(!0t)haHIement couvertes, que le vu!ga!re

ne

dccouvroir que ces mois FEcude, :e

Trâvai! & la Récompense.Nous pour~

fions dire ici en pa~anr qu'i!eft des

hommesqui croyenique

la récompense

renrermenéceuairement lesdeux autres

vertus put~qu'iis ne s'appliquent qu'~

tecevoir cette troifieme; mais c*e~ une

erreur dont les Premiers de !A Socicté

devroient bien les in~ruirc* eft vra!

qu'il baudroie que ces Premiers fuiÏenc

favans ce que j'éclaircirai c~apfes.

Page v. Ce que font les ~<'<cM«~

M~~j unePhy~quê

d'autant plus

noble que la Nature feplaît à

en déro-

ber la connoiHance aux orgueilleux

~ophi~es & aux taineanis c'ef~ une

Thy~que au de~us d'eUe-meme c'e~

en un mot une Science qui ne permetaux hommes de délaiffer les caufes qu~e s'oHient

pas fubitemenu à leurs fens,?

qu'après avoir examine n elles font

hors de laportée humaine je dis hors

de la portée des hommes mais ce ~en-

Mm~traire à la ~a<?e Caba~ quiA ~.A

Ei.j J

~W

Page 109: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!0t

nepermet pas

depenser qu'il )Eoit dan~

ËOtre Universïie~d'uriponib!e

& d'im~

penctrabie à1lionimei-age

& tcavanr.

La caufëprea~~ere~

Is Moteur de

pouces choses (!) nepeur poinE être

par~Mtcment connu s cela e~ vfat; auM!

ce prenuer principen'eâ-ii

pasborne

~ans noffe Univers mais d'après cette

j(eu!e unt~ue rc~rve, ceux des hommes

qu! parleur Science & leur

Sage~ïe~e

font é!evcs att-de~us de !a N~urePhy-

6que~ n*onc fientgnoré

de ce qut

e~ donné parle Moteur Divto

tt! Dîett ne peut être connu que dans fe~

~ir~res H nepcuty avoir qu'une extrême

tgn~r~~e! ~tt~ngage ~'hommei !m doBner

i~B~maBîcre d'être v aewotr& d'entendre~

n~ j~nt être la tienne; étant ïn6n:men~

aa-deiÏusdc rordrc dans tequet nous fous Ie~

~gurons Dans fagr~deur e~ ia implicite

tt~ts Ce Ae peut être une ~mpîteitë commune,ta r&Moa dcjui ~mm vite que t& mattcre~

JReiîbuv~<!ez''weus toujours qu'un homme

noyé dàas ~on tràch&t un ciron qui n'avoit

pas le ~&tn amour de vouloir favoirs'il étoi~

homme ou montagne peut-étre le eMyo~

il bien grand ma~votîjLMuît

Page 110: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

10~ J

tous les hommes. La Phy~'que~ccuke

eïï: puremfnf une eruie profonded~

ta Nature ennes-c &: de cerre éruae

cne connotu~nce de caute en cau(e, j}

& d'effet en e~ec en remo~~i-n,

en dcfcendanc,)ufqu'au premie'-pnnctpe

d'o~ coût vient & eu tout retourne

dt~rence de la Phyfique vulgaire qui

ne cherche pas à pcnecrer plus !oin

que la manere t di~erence de !a Mc~-

phy~qae qm n'opcre pomttnanueHe-

ment c'e~ donc enfin, comme on !e

~ent~une Phyuque qui en opcranc;

tend toutes ies vues vers les chutes

commme laPhynque vu~atre ne les

tend que fur les et?ets, & laMécaphy-

j~que fur degrandes ventes qu'elle em-

brouille.

Page v~. Ne parlons plus des noirs

Efprits. Ils ont trop iong-rems occupéIes hun~ait~s les uns cocnme

'I'yraas,les humains, les uns comme Tyrans.,

&: ies autres comme Vidimes.' i! eft

un DieuSuprcme jufte il récom-

pense les bons, &: punk!e~mcchancs; i

î.~is ceux.ci ou !eMsa6reux contres

Eiv

Page 111: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ÏC~

que l'on nous a o~errs trop fbuvn;

comme blancs en nous !es diîant noies,

font enchaînes dans i'abune & nous

accordons qu'i' peur y avoir de noirs

Ecrits qui pou~enctes hommes an

Ma! ce ne peut tout au p!userre que

des maavais Génies }C dis des hommes

mon&rueux ayantde mauvais

génies,adn de ne pas e~e con:itnc à prouver

<~u'i!peur être des Creamresayai): corps,

vie & âme (uivant les lieux où <is ionr i

je dis Aquanques, Aériens & Igncs~

enfin même de PÏanecatres, qui dans ce

cas croient des êtres de !a ~ub~ance de

la manere mais ÏàtSbns ces idées con-

nues, fecues par!es ans, & ndicu-

I~fecspstr

tes autres, poucnous attachée

à dire avec cous !esPhi!o&phes, que ce

ienumenc de croyance fur tous les tieux

de notre univers peuplé, ne nous fait

~u~entrevoir le Créateur ïnnntmenc

Grand, ce qui nous porte à repérer

M Homme, C~s ~u~e que ron âme rou-

jours tendue vers te Ciei, ne ~bit ponce

y qu.~ ïa bienvetHanse pourtes fem.<

Page 112: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

f~) 3q. ) )

u b!ab!es, & a la fenh'jiiiEC pour !c)jfs

peines. Zodiaque ~y~e~o~

0/-<ïc/~ ~jE~~7/ 77 Page 8

J~f/ Page vj. n'eût ~~<ïr/~ ~<M~

desC<t~/2<j ) cela n'amok été unîe

qu'a !eur~ife comprendre que l'Auteur

commencoit à les entendre.

Page vi). C~ ~M~7~i:<?~démontrer.

Om il &oic démontrer quece Livre

avoit dû ëcre compofé en 7~ feui!kts~ a

afin qu'aucun ignorantne pui(Ie

aité-

guer, fans aucune étude que celle du

&oid ~arcafme, ou vouloir démontrer

par de faux rationnements, que ce

Livrepourroit bien n'avoir ecé compose

qu'en 7 y feuillets ou peuc-être en

7p feuillets; ce que l'on jufUne nu-

mériquemenc impoCHble en ne voulant

mêmes'appuyer que fur une bâte Physi-

que, palpable, dérnonftrative à la vues

& faut-il dire au toucher, pui~qu'it ne

s'agir que de mettre fous lesyeux le

,f.f~r~ T~ & de remarquer quedouze de fes feuillets n'ont aucune

M!aHQo ayec les ~oixante-ux autres

Ev

Page 113: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~c<<] ¡or

ayantfait cet examen, & vovanr

en~~e que ce& douze feuillets font in-

conte~àbicmen: les premiers de tour

Fouvrage pu~u'Us Cint Dieo, la Ccea-

ttoh, & les Vertus qui devoieM tce!-

M (SuTres DiviitSy voyaMen6tt

queces douze feuillets ne tormenc

<~u''<n entier & que cet entier

a. 7. 8. to. n. ti.

profit te netnbKL de 78 poMr*

fo~oin ~s-je, & te&~r ce qa'it ne

JStàt abR;!ument q<ae 78 &mUet&? S'i~

€& des mensonges poM !e~u€~s des

yàcat~ques & ~cac 6ut ëceccher, que~

!i<~ .po~rûît ps? Ïd ~rït4 p6M tbrcec

~c:ut ~ût~'me ~e bon tens à reon.

~~re <ans eounr aacoo danger, pui~

~ue même dans le cas- eontKUM om

ne ~eroK taxeque d'oMmé, de ~aiaeaar,

en6n d'ignorant p~n! il e~ vrai,,

~oioBHetS au~ d~geTe~K ~K rhoMnae

aui pen~~ <pK' tes toarm@ntS bmMux

~ut n*~tt~qucitt que earps ~ccrps <;Nt~

~ect~~ ~<Mtc otHfage tes yc~ de:

~m~&~~.j

Page 114: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!07) 1

Si j'eus eu àparler

a d~s hommes

déjà inities infiruics de la ~ibjims

Phiiolophie Occalte ces preuvestou:cs

matérielles n'auroient pointcoulé fous

ma plume mais que dis je je ne me

fuis pas toujours ai~ervi & eeccs dure

loi j'ai laine promenermon e~pri: ~ur

les ailes de mon génie& avec plus

de verirë que M~yo~ j'ai voyage

~.tr coures les P!anectes ne pensez pour-

tant pas que ce foit en corps je vous

dis en etpril, comme la penfée de cha-

cun parcoure les lieux qu'il a vus. a'

& moi ceux dont mongénie

m'a

deniné les Plans. En ceci je vous ra-

tonre Fe~prit de cent mille hifloires,

d~nt très-peu de véritables mais ily

a.

quetque chp~e & c'eH: tout ce que je

puisdire ici ~«f

~tw~-T'OH~~r~<

t77~.

7~77. Page viij. Dont il a écarté

~aï~ <w. Lec~eur~ necroyez pas

<a, j'en ai relevép'uueurs~c'en: une

'vérité comme il e~ aufïi de verue

~u.e ~i ouveEt €n deux le Livre de

JE vj

Page 115: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

t~8:

.TA< mais la levure fa~there d'un

Ouvrage qui renferme ~'Univers en-

oer, ne peut être que !e&uit dey

~ec!es & des hommes éctaïres (byex

dn nombre de cem-cl.

NoUSVOtCïAUCOtt.MDEt.'OuVRAGË,

Pour fervir ~~r~jf~ Cahier. Tour

youvrage aarbM pu e!ré compo~ en un;

mais ittautde ~ongs dctoars,non pour

te mieux ~re enceodre,mà!s pour ecftK

tibrément tbat ce qu*Mh€ tonigae narra-

non doit héceH&&'ement embfouH!ef

ÏM~qu~on ne veut !<ré q&e pour

& non p~Mr ctïe utMe~tix autres.

Vous &vM, Lè~eur, qu*~n'e~ pas

tomomrs à propo~ que tes bourdons man-

gent îe 'M~t dânx nos Sciences iîs

D'y gOÔtefoht ~màM.

J<~M)Oumêmepttge. C~c~t~~

~Me/*oa<OMne. Ii e~~Fat que !*on

eft, étonné que~î'tg'ïoMnce agtne tou-

jours à contfe-Ïen'! det~rât~n. Mais

ï~ raiton d'au)ourd'nut anra-t-eHe !a

force de reg~rdet ce yeu de CaHes

Page 116: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

:0~

nommées T~c~, comme étant un ve"

ritable Livre des premiers Egyptiens

Pourra-t-elle (e rctoudre a croire que ces

premiers Sages phrcnc, an'~ de marcher

aveccenifude, lesfept premiers

Nom-

brespour établir leur Ouvrage~

il faut en"

corequeiquesftccies pour recevoir cette

vérité il tauc, dis-je, tout !e rems que

fon mettra à reconnoitre que les Nom-

bres, & en gcnerat les Mathématiques,

nous ont été donnés pour parler &S

penser )u(te comme nous (ommes cec-*

tains que, fans elles (ans les Principes

de cette fubiime Science toutes nos

opérations mcehaniqucs (ont rau(îes.

Idem. C<î < ~rc. Ici commence à

s'élever un brouiliari dans lequel l'Au-

teur s'étant placé nous dit à-peu-près~

en ces ter:nes A~rj cro~ ~'2

~o~ ilfautetpcrer que ptutiems

nuits

fembtabks Ce di(Hpcro!~} Oui, dans la

réui'ton totale del'Ouvrage, admettant

quevous unez pour apprendre & non

par une futile curionié.

Page 10, Nous cubons biendcG~

Page 117: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

:oo}

que r~urecr nous découvre fes derniers

~e~fgesdu 7~/7?~ la C~r, mais

~âti avanr celui de~&/MM dont il ne

refie aucune rrace on doit- s'enrap-

porrer à ce qu*t! dir ? non mais â

î& LevureA~ronom!que

du Livre de

y%o~ & auxHicrcgtyphes

de ce Livre.

Dans lepremier cas, les 1.3.

e. ~eu}!!€K fur !etqut!s&Rt marquées

la con~irudon da Cie! y îà hauteur du

p6!e, Ïa!ongtnïde&r la hn:ude,)otnte~

àquelques Phcnomcnes Agronomiques~.

peuycM nous indiquer !es cems de-

~gner ~s !ieux &: dans !e Second MS

la Lc&uredes Mêrog!yphesïtbus ap-

prendra queîs furent les hommes em-

p!oycsà cetOuvrage. G'e~-à-dire, que

€e<doyens tres-~mptës tout natureîs;=

MQ~s !n~ru:rdM aùë !&MvrëdéT~o~

~ut commence 6n de ta neuvièmes

aonee de !a 6)ndat!on du~ Temp!e

<ju'i! ~K compose & écrit- en quatre

~as, <se qui fn&mMe ~att Tenace d~

ï ) ans juHe pouf !abâtiE~dtï Temple

~dadt~ d&Lt?re' de y~-

Page 118: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

1

~~T~Ï.3.cCC.î\3..

c.y.6.2.4.S.9.lo.eirLvr.nen'ia.

Hiere de nombrer des C~ba'ti~es c'eH:-

?-dire que vulgairement je compte I.

i.{.&:caba!i~iquementi. ®

7 ~c.

P~gei <t la ~)~, Un aurre Auteur

dit que P/<z~~ âvoic tcmoignc que tes

Eornspriminfsexprimoiendespropri~es

des choses, ce qui m'ob!)ge icid'orer

à cePhiio~ophe ce que je lui ai donné 9

quoiqu'il l'avoit fans douce pen(ë,

~aur pourtant que je dife que j'ai non"

ieu~enienc eMendu la forme du tour~

mais encore !cs formes vehtcu!~ires aro-

miques & pamcutes feparees qui

réunies formant uncorps dmirict, nous

te font nommer un entier, encore que

nousfoy<oos

certainsqu'i!

n'en c!~ Rric"

rement qu'un dans tout ~U~tvers;)en"

ornent plus rigoureux chez icsCabai~es

que chez lesPhyuciens, qui adoptenc

voionnern qu'une partie tcpaiLee de ~o~

tour y de-vieuE elle mêmeun &<touE

en..

Eâi~n <i'ei!e ïaais 1s bj~s. d'un ho-mme

Page 119: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

[Itl 1

~epeut jamais eue dir, ai vu, ie toue

de fon individu, mais le tout de fon

bras qui au ~cns ~ri~ n'c~ pas un entier,

pui~u'U fait partie du tout dont î! eâ

ôté une machine peut ctte dite feuie,

Mais elle c~ compo~ce de parne! qui

t'ennenide pludeucs toats, &vok le

bois de fa, racine ceUe-ci de !a terre,

la terre de l'eau ;& ain& en eM!dn

fon que peut rendre la machine ou

ï'inârument, (on qm e~ une partie de

t'air &c. &c Bref, M ne peut y avoir

qu'un tout, ou qu'un entier qui com-

prend. tout, & le Cab.tMe ne quitte

point pri(e qu'it n'ait remonté au pré"mier tout; ïe dis ~qu'auprès de la

€au~e premicrt.Si vous quittez le Phyuqae de rinf-

Katnempour rcncehiE

~arFintcHtgence

de t'Arti~e, vuus découvrirez, non- feu-

!ement que le réfultat de <es connoif-

lances font condutt pïustuâe qu'un

autre; mais aum, une reunion de par-

ties intcihgentes qui déco-dent par gra-

~danon tout iibBUtc,& caufë pre-

Page 120: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(m)miere de route mceti'~cn~; !eque!Tout

comprend cour. !) ne &uc erre qu'unvrai Ardfte n'imporre en quel genre,

pour recoiinoître i'eipritdu roue donc

on a recueilli quelques nobles p~rries

ennn pour ~e persuader iuppoie ici

que PinOrument n'eft pasun enuer..

Page ï Et que nos J~/cc~r~ ;Y(?/z~

1 pour laformule ou le prmctpedu

dUcout's. H e~ bien cerram q:!e L'on

ne peut pas discourir )u~e du M~sur

de la cau(e première l'on s'ec~rce

du non'jre i &:?y~o. ZM/ quoi-

que ne s'étant pas expliqued.u~ ~on

grand Arcde !a Mémoire de

Prédication, l'a af~ez donne à encendre.

Ene~ivemenc, commentappuyer

ion

anertionnir l'Unité, fi onemploye

les

nombres i. &c. fi, dis-je on

luiapplique

d'autrex nombresque

qui lui eftpropre ? Dans le calcul vu

gaire, on ne peut pas donner à i ce

qui appartient à t ,ain~ifcciproquemenr:

Chaque nombre a donc phy~quemens

ce qui lui eftpropre &: propre à lui

Page 121: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

'~4.)

Kut ceci reconnu on ~e demande

qui rend rahan de ee deve!oppemenH

on apour réponse, ce ne peut être

que le calcul mieiie~ue!, que les Géo-

<ncfres nomment~~r~

ceius ci re-

ccnno<(Ïanc !a partie finie d'on in6ni-

mcnf petit paîpaMe, &Vautre péncrranc

plus avant, enappliquant cette derniere

parne (ïu- unAgent qui

la (ubdiviie in-

~nen~ phis, parce que cetAgent

pc~tre le centre & les extfétnKés de

cctre 6xe pa!p3b~!)te.

Ce ne font po!nt tes hommes qui

erit crée, fes nombres, mais ils ont

cre créés pour que îcs hommes ies

comprennent, encore qu'ils &Senr eux~

tnê<nes enveloppesdans les nombres.

Si rhotnme ne portoit point le nombre-

2. il ne corrprendroit pas celui <ie )

comme il ne peur avoïr d'idée de t'tj-

nité que parce qu'il touche FUnitc. Si

ïemenionge

ef!: proposedans les nom-

bres 3. & dans tout autre nombre,

Fhommequi comprend

les nombres,

&'ë&appercoir fur champ il n*e~

Page 122: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

)'

e~ pasde 'ncme des i~or~ncs

a qijt\,¡,lt.

pa--Il. 'Jo">

~J~ ~i"

;.r

onpeur

faire croireque

'onc Si le

Géomètre e~ enraye d'étendre dire qus

2 rois ~onr 8 àplus

Pjrrerai~ cj:n'

bien le C~bai~e n'e~-it pAS cponva:-ne

!ui qui perce les vot!es d'-i cent) borné

dans norre Univers ? Qme do'c cc''e !x

Sage Cabale fi les nombres, ranc ildire

ïncomprehefîf!b!cs, ne {oru: rien e~ raiion

d'eiic < II ~uc te croire, un vrai C~b~ifte

peur tout ce qui e~ à t'ho<n!f!Le, pLsi~~e

par !a~eu!e propriecé P!!yHq~edes no;n-

bres~îe S~vanr vu!g.nre opére gci.ie"

r~!e:n.enc dans routes ks Sciences S&

c~ns tous ies Arcs, des ~ecs n mer-

ve'iteux. Rei~ou venez-vous coujoursQ~ 2

~ns nombre~ point d'ordre, point d'ac-

cord, poirn d'harmonie. E~rin, fans les

rombres point de Geomecrie poine

de Madicrmfiques fans M~chemâ-

tiques, aucune vraie lumière.

Idem, Le<:<?<7~?o/~de rame et!, ici

a~fH mal derini que fa nature & le !iea

qu'elle oc.upe par ceux :n~:ne qut~ms levage champ de L

M.~aphyu~ue'

Page 123: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

tl~

te ~onc les moins égarés îes nombre

nous en donnent la raifon t Famé

!à vie Ïe corps un Brame a dit, e

!a cruche, i Feau, t le (b!eth l'idée

fi grande qu'on ne peut s'empêchetde croire que cet Indien entendoit

purement,,que dcbarrafîes del'enveioppe

terre~re nous nous approchions du

Throne de l'EtecneL Un Tableau que

je fais quelque part, cad~e parlement

à ceiui'ci, mon fencimeac écanc de con-

<erver!a vie en lui otantnmpïement:ion penchant vers !a matière.

Nous gazouillonsfur la nature dt<

corps, nous bcgaïonsfur celle de !<t

vie, nous déraisonnons fur celle de

l'ame. Nous en venons de dire le pour-

quoi mais nous le mettons ici numé"

nquemenc t. 3. t. ~i. ). o;

~étt-à-dire qu*avec !'ame & la

vie on ~ë rend compte du corps: avec

!e corps & i'ame un peu moins de la

v!e; & avec !avi<L&ïe corps on ne

peut fe rendre compte de !'ame, celle-

ci leur étant ~upcticMe;& enfin fi vous

Page 124: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

( 117

~tez FUnhe,les nombres tom~enc s

2

?ero la conséquence indique donc qu'il

ne peur pas v avoir de nombre ians

Unife non plus que d'e~ers fans caufe.

Page t7. Cc/nv~ ï. le Principe.

Vot!à la prcmtere idée du Quârccn&ire

fi puiiiant& fi

re~pe~e par cous !es

vraisPhilosophes anciens & modernes.

Mais voyezla figure qui fert de ti~e ace

Supplément. A~o~ qu'elle e~ une dst

plus y<j clefs du Livre de T~o~

Idem. ~'M/ que l'on ne vous

y~ pas yn crime. On ne prétend p~s

dire icicivilement, put (qu'au

~ens !e

plus nmp!e, ou fi t'oa aime mieux le

plus compo~, on nepeut point dé-

montrer que vouloir pcnecrer dans ce

que la Nacure de plus voilé eH:

anticiper ~r ce. qui eit impénétrable aux

hommes c'ctoit un crime aux idqtâtre?,

& même une bçtife; de vouloir fe

faire pa{Ïer pour des Dieux mais

c'eft un Sentiment naturel de vouloir ies

tmiter nocez que je ne dis pas de les

eontce~nre~ caE c~ deux termes ne

Page 125: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!l8

&ntpa~ ici ni je croîs ai!!eurs, fyno-

~y~es.En un <r.ot, i! eu

pcdbte de

croire queu un homme vouloir former

un rouveau mcndc, (orgueilà

rare

qui tiendroit ~e~onignorance.)

t! o&n-

~CfoïfmoîMieCfcaceurqu't! ne s'o~en-

~crott !ui'meme il en ~ercit de même

s'i! vouïoit porter une mon~gne. lï

~e faut ~jne !iîe les Sentiments des

'vrais PMo~ophes peur rcco~no~K

qu'ils examinotent la Nature qu*i!s

(herchaient à rimtter, & nepenferent

jamais à lutter contre elle ou centre

ton Moteur cecifoit du pour répondre

avec clarté à tous leurs ennen~ts.

Page18. Appliquer ~t

<<'c~r~ aux

jRc~rM. Si depuis les Ron~air:s, Peup!c,

on peut le dire, auOi &uvcncigno-

tar:t dans !es Sciences que ma! àpropos

Guerrier, on n'eue point déclare la

guerreaux hotrtnes qui s'app!iquoient

la Phyfique Occulte on peut prctu-

coer que, parmiun miMier de yrais

de faux Sca~ânts, il & ~eroitren-

~ontté, comna~ dans toures !es Scien-

ces & les Arts, d~5 Aa~ateuts de

Page 126: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~) J

venté, dans te nomore oc ceux-c! y

des hommes qui auraient rrouve la

vraie Science des nombres que potTe-

dcieni les premiers Egyptiensenhn

qu'avec !e cems~ ccayes, encourages

parleur Nation, ils auroient tenu Ecole

pubUquedes (ub)tmes Sciences Occupes p

c'~â dans de pareilles Ecoles où on eue

fait femir aux hommes que ~on'~c~

Jemenr tous les corps croient ~u)ets aux

nombres, m~is même les penfees enrm

que toutes nos idées, nos actions, &

no':opérations

etoient bien ou mai

nombrces connoi fiancesqui nous au-

roient dans nos vertus morales conduic

auni jude que les Mathématiques en

gênerai qui préviennent & redrdienc

le Pei'ure~ le Poète, .te-Mu~den, y

l'Architecte le Médecin ennn tous

les hommes de Science ians encxemurer1 =__

un feul. S'il eft vrai comme tous içs

Scavanis en conviennent, que !es chofes

les plus déliées, les plus <ubti)es, ont

ieplus

de vertu, fans contredit !epre-

mier~ei qui s'oHte à nous dans ce

que

Page 127: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

:2c)

4

Bous ayons en vue, eit !e nombre*

On jfe rend compfe de Ïa propriétéde !a matière (uppo% d'un corps

tel

qu'un coin de terqœ déchire & ouvre

te bois, ne pensons ici qu'au cpin de

&x qaHu4 donne cène propriété d'ou-

vnr îe bois f e'eM & ~nMiere oc ~rme,

<nats !e hotnBre des graiSs de ter

n*e~-i~ pas gen~fatement cbmpic ppuc!a totà!îte du corn. & en~Mce compte

p~ur ïa pattie &pecîe<tEe pouf !a

~aKie tjrancbance on ne viie pas

at npKnbre des paft!e~ïnoo parce

que t'on ne s'attache depuis tong-ietns

qu*à nxef &s yeux ~urit'enJetBMe,cpmme

!es Phy~cieM &r les e~~ mais l*tntel-

Kgence cherche te nombre decesparnes

dans !'en&m$te de~ e~e

~taPegar~dese~

tn~tant p~s habïtue à ce qut~ parpîc

!mpo<Bb!e, s'atcache à n'ouver !'a peu-

près, & vc'it à pranque s*tï a bien ou

ma! &~ ïe coin, eo T<M&n du bois

~ëndte ma Proje~coc ~t e~ Ïe

taïti~~ef~~M~ yo~ &~n

Page 128: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï2t)

F

â-peu-prèsl'a bien ou ma! conduir,

ainn de tneme un Marin, un Général

d'Àrmce, & c. parce que comme !e

Géomètre, le Poète le CbymKte &

autres, plufieurs ne ~e font pas habitua

a écouter !eSuombces.

10. Encore que ~CTZ~MM~

Lorsque !'&n e~ parvenu je ne dis

pas à la Cabale comme ~o//o/z~

le T~MK~s, & phïHeurs Opérateur:

des tne~veiHes~ )e ne dis pas non plus

à la haute Science des Nombres comme

Py~gw~ à la haute -Apologie

comme ~t~7z, à la Philosophie

Herméctque comme P~y/a/~c~, à la

connoi~a.nce des Génies comme ~o<er~

à ta fabrique' des Talifmans comme

2?~y,à b Science du F~nt comme

C~r~<M à ï~ P~ySonomie entière

coanne de /<t C~r<, à !a Chiroman-cie comme ~Ro~ à !& Géomancie

comme C~r~ de CremoHe, & enfin

à la çanonomanie comme Etteilla:<t i.i <~artonomanie comme J~/M/

)e dis ~ulemenc !or~que par de iuâes

aonoM de t'ttne de nos Sdenccs, $

Page 129: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!ii

en e0: parvenu à reconnottre !a vcncé

de toutes les hautes Sciences, par

ï'HiÛoke,ia Tradidon, le prenen-

riment ia Lyo!onteiïce,!a Sympathie,

cn6n t'h~noont~ i'ea c~ touf Au-'

péfait de voir a~ec qoe! &OMles So"

phiftes accommodent les difcours des Phi-

to~hes àieM raisonnement, & avec

qQe!ie ~b!eSe ceux q~i ne &M pas

da toNt mR~s & tatNeM entraîner.

0~, ea ë~ p!~ <~€ ~ptis d'encendre

en tgnorànr~ €Mcté de fa tnamere ~au(Ic

~e vo!f, (oMentr Mer~«-c~, qu'U vpiE

p!as;0~e "qu'an autre ta&nnc parï'étu<

de, ïeccM~ &&xpc)nehce~ quï a thê~

me ~teaCeX indatgënt peuc dire voyez

&voae~-

Bans toutes ïës anches de ta PInfo~

&phie, Hy a <rM~p)~ndpespny6~ùes t

tr<M& pdndpes ~t@Me~cë~, t~K prin-

cipes ceteKès~éngnespac~ës Phtiotophes

<cus diver&s ngures. L'espritde la Nature

e& dans routes (es p3rnes;inatsattachc~'

vous à un <ït)eE noMe rccohnoîuezde

ce &jet te fel !e &u&e & Ïc~menMre, i

Page 130: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï~

<5e ceux'< reco~noi~cx- en î'ame!&

vie &; !ccorps

& de ceux ci leur

~rre leur manière d'êcre &: leur ~n s

eu ce qui font comment ils font

& pourquoiils font. Je ne demande pass

a. un homme s'il eft (cuvant il me ~u~M

de lui entendre, prononcer,Dieu, Nature,

& r Homme t< 4..2. pour former j

&

Pagei ï. J~Mparlant de Tn~g~c de

pÏu$ & de moins ~avans que lui, on:'

copie tes Egyptiensmais tous ne tes

~ncendoteat pas. Z,e~ .Fr~oy

qui on ne peut pas fon-t~er du me<

'Eïce t & qui traduifoic, non pas toujoars

AVM p~ete~mais cnnn fo~eMpAna~

~iement, M comptenoic que~oe~ou la iuperncie des discours ~~PM~;

~pbes.

P s, ~T~`rse11

pri.mz~e., '1 1P~ge ~~< ~a<

< ït j~aut'enMndK ~s v~tUcs~~n découlenr.

L~ Caba!e eâ bien dans un fens 9

~imerpr~nott des grandes Ecftcores

mais encore q~'on ne puiffe pas .cai.eux

F ij

Page 131: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

t~

ca~nL

expliquer la Cabale, que ce qu ett rame

de i'homme, on ïe lafigure plus ju~e

que ct-dctîus en di&nc, la Cabale cH:

une ~ubtime ïnre!!igence de !a Nature

{ntette~aeHe accordée à !a &ge& ce à

h 6aenëcdet~us ïesh~mmet.

~<aHJ Note ( t ). iLt&z daas ma DiHer-

Mnon fur la Science Divïnacoire, que je

viens de vendre manutcrïre à unEtranger,

a~ourd~at t~ JaïHec tyX~, m*ayanc

pr<Mnis en honnête-homme de !a &!M

MMtMher fans aucuns changement.

Page 2 PA~cK~ ~Mrag~AM ne

~M~~M jp~Mt L'intendoia de t'Autëur

~~<~B&t~cr~es7SHtcc~yphM

d~Ï~r~ !6 ptM ~pprochatis

~f~ ~a'tH~ eût été ~CtMe;

~pM~ ies~ats, b ~ngue,

je go&c!c pÏus généra! dtt 6éc!e)

t~è~ ~P~~c ~n~~

p~ p~eiMt~die ~a!èm@nc 6

!es tpatenaux que j'at tctMMS tombent

~ans têt Rt~as d'uh ~fat A<hro!egue,

ibÏMt abrégeront ~t~eat&'aniïces de

Page 132: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

12!'

Idem. ~&r/6 mouvement ~j~f~

Corneille Agrippa a écrit d'une maniere

6 ieduitanie fur les nombres, quoique

contradictoirementaux principesde cette

Science que les plus Scavans vulgaires

s'imaginent que les PhUofbphes qui onc

précédé Agrippa, ne pen~oien: pas autre-

ment que lui ce qui les met dans le cas

de croire que tous nos Maires étoienr

idolâtres en mêlant le facré avec le pro-

fane. Pour erre certain qu'Agrippa &

pris le contrepied de la vraie Science,

il ne faut que lire rApocalipie on verra:

dans ce Difcour* Philosophique que

c'ef~ le cachet qui empreint la cire

& non la cire qui frappe le cacher.

On a dit ce Discours ininrel'igib!~

înexplicable, ou on l'a interprété fur

des Sujets que l'on avoit en vue c'eit

un chef-d'Œuvre de la plus Sage Magie: r

n'en retranchez y eA-i! expre~menc

ordonné, jamais un mot le fubl'ms

Auteur de cet Ouvrage auroic pu ajou-

ter, &: n'en faites que de luites applica"tiens.

Fi~

Page 133: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

î2~

Page 2~. ~M oz~ r~oKK~ ~M~

~r~~Ze~ c~c~K~. L'opération Géo-

méfnque en eft vraiment bei!e; ony

retrouvepour eM:

d'un côte &

7 de Fautre dans îa diviMon !a p!u~

haute& !s phïs ~ctendnque comme

~Ut~R./m ~Bït que i'BtMtj&Je p!ace

m3!g[~e~e!&mca'ë àncencpe dtï quarEe-

Baice, de~manieic qu'H ie perd de vue t

e~~à~dice ,~uepoavanc aStrmer qu'en

jtaEranra~ec 'ocdEe-d'un point donnée t

~~yam~ decnc eïtiq Sgurcs, qtt'~ n'en

Kouvep!usqueqoatre,& envcM etnq $

& en voie ux. ( Voyezle TaMeau qui c&

~ia~EedceeSuppMnntent~)

Je.TConvicKssque !<t tupernëie t!ene

na pee âeEes~Emgmës~cdtntûe ~<tn~oa

aotres Eee&eKh€~nu!i!es à t'étM des

defoeuvre? mais au fond, !ss nombres

reportes &r~ne figure Géomctnqae, &

ï'incdHgeHce de~eMe 6gsrey~onE plus ~o-

Bdes p!!os~~presà<oMtecdestotn-

Mes que Je Manchon EnigmaMque pfo<

po~ par ce!ui qnt ngne coac autong

~ott

nom & ~a quaRtc. Que îes hommes io~nt

~ng-a~msen~n&*

Page 134: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

'!27

Pa<re t~. ~<!y~ < /~<

fM~r~. L'Auteur eue pu d!re,auhazard;

mais ne (émane pas bien ce que ~gmne

~~r~ expre~ondo:t il a voulu fe

rendre compte il a préféré de mettre

ou de jetrer ici à /'<ï~Kr~.

Page i~. f~A~ ~E'

C'e~-à-dire, fbn génie ~oa

efprit, & ces deux cuccs rrouves ,fonc le

nombre

En addidônnant ~-t-ïi-~

==~ on trouve que r~7~ e~ une

copie du Livre de T"~ la Seconde

preuve eu:; ï-t-n-$-+-t-i.t.&

!a croi~éme ïouievulgaire

e~ les fi-

gni~cations que portent les feutUecs du

jE~ti~tï ~imites (événement du Livre de

y~ amMC que la Science êc lerap-

port de à 7 8 ont pu en rendre maî-

tre IV.uien. Mais ce qui doit davan-

tage appliquer !esAmatjgurs des Scien"

ces occupes n'imporre quelle branche

ils préférent, c'eu: le Livre de 7'~ ou-

vert, & qui donne 18. i 19. 7.

n. &c. &c. En voici !e Tableau :p

F iv

Page 135: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(i.S)

qui, je protefte econ dans le Temple

d~ îa Chaleur mais i! nous reRe à en

avoir une derniere tnceHigence ce qu!

m'a, je Favoue, empêché de le mettre

au jour, comme je !*av ois promis ptïbti-

quement au bas du Tableau de la Car-

tonomancie Fran~oite. Notez que j'ai

ajouté Mi !cgiM<ne<nentles nombres t $

& non forces dans la précédente cpe'-

lânon, mais mdi~sn~Mes à ce Tableau

desOracleschezles(a~esEgypnens; (t)

( ) Ce Tableau ne tient rien des roues de

pTu<!eurs PMtotophes. En voilà une premiere

idée la Conver&tlon le Songe le Projet

~cnts avee ctdre,& adaptant des Nempres à

Page 136: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~9~

& que !e mfrrrai au tout, je découvre

cequi,

comre mcn agence, m'a arrcce

tour court; comme au~ s'il ne Ce rcn-

<ontfe pas de nouveaux obR~ctes, donc

.celui de beaucoup dire en peu de pa-

roles €n eu uncapifa! tu~ccion à t â-

qufUe l'ignorant n'e~ p~; (oumis, d~ns

les inepties qui font reçue?.

Page ;o. &' 7. i. ~u~-

qu'à, nc~J ~rro7!j ~M~ ~û~~ ~/?

w7~M ~f /n<n~o/2. Ayanc jeuc en

jbas Icginmcmcn!: ces deux faux Hiéro-

glyphes l'Empereur & l'Impératrice mis

<n place du &: du ~eme jour de la

Création par quelques vils Caniers,qui

.~ans doute voulurent faire leur cour aL

un Empereur & à une ImperacriceAHe-

cet ordre, comme fuppofe Pierre e~ i! ~uf-t-c ? Pierre t, )u0e 2. Parla maniere de tirer

Jes nombres du Tableau cela répond oui, sou non &

dëH~netes verms ou Ces vices,

eu égard à la que~ien propose :ainH par le

même principe on interprète le Songe Jes

Vivons, les Ditcours entendus, "nSn la fidé-

li:é ou la fer:une de celui fur qui on a fes vues

parteC!.

~Fv.

Page 137: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~0-

:marrds 3~ Chrétiens, ce que !*on ~u~ne

yar -te <oâume une Bou!e ~tr bque!-

4c unepeme Cro~x h~ro~yphes

iïHodecaes~dh la Bouk du Monde -ont

voic~ dis-;)e, en ocarmxsdpnx H~ero-'

~typhes, «M~Tme auËi ïe ~up4ter 'à

~uhop~Ms M tte~te premMr c~(me Ciotï-

4'e & la ~ecûnde d'ent Jardin d~!h&tem{.,

{changement que !'on pourfok p!utoc

jttt~ueE aux R&n~ms, qu'aux Crées

i&aux At~es,c<MïMn&)e ~dis aineûrs,)

~~f!ës ~t premiMS~ii~s &nE m~ë-

~araMes.

Il taMoic 6gwref ïc Bierogtyphe de tU-

iMt<e~ apparoi~tant p.~ cféet !a Na-

~~e ~hyuiqoe il: Moit gM&itite eipfî"

-ni~ jutEÈmSa donnée x. 3< <~ 7.

~!x Jours pour ta &bnque~; t! ~tHoif eo-

~une t ctant ctabite, que <on MoTeur !<t

.~xat,.a~n~pot]t}pT!e t!~MK,q~ con-

<~m~&r~â~ ~5 ë&~es~ee moment

.iu~ aQ~uu~jpu~ de t~D~a ~tatuEe

~hy~que ~c&M~afMfe ejt Bieu, tnats

ct!e citoit ijoaM~ëe ~~6~ ~cut -Se

~ans toutes fes parties & eHe eue

~cen ~Etac inutile à l'hojmme que

Page 138: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

i

FEcerne! avoK eu pa!'ncu!~rcmcn4'ca-

vue. Dieu e~: il dit fou~a iur

~n & il eut k v~e i! anima donc

l'Univers en raiiant defcet-idre de lui-

même 10. ï:. t2. h J~ice

Tempérancela Force, & la Prudence

`

car, qu'eût été le Monde ~tns ver~n ?

le conviens que lesEgyptiens

mer-*

tuient toujours la JufUce au nombre S io

h Tempéranceà celui de ï o la Pru-

dence au nombre p & !a Force an

nombre i i. Mais ils nous di(enc dans

le Livre de 7'Ac~ pourquoiils ont en

apparence ~rrompu ce::ce marche

ce ~cM/~Mp~ eft~mpiemenc pour nous

démontrer qu~ayant enapparence com-

posece précieux Livre en 78 ~eui!!e~

& voulantfigurer le Moteur divin;qu'i!s

ont été forcés de mettre te Soleil au

nombre &: ain{! en (uivân~ avancant

tout l'Ouvrage de deux nombres à caufe

du premier fcui}!ctqui représente i'UHt"

té du huitième qui c~ lerepos.

En6njyani reconnu que FAiphabeE

'~o~ les nombres )ju~u'& 7 o:ayan!

F vj,.

Page 139: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

1~)

fenti qu'it ~aî!ok ouvrir en deux cet Al-

phabet,t.

2. 7.

on voit d'uncoup

d*<Et! que !j !e<9:ufe

commence par 4 vofumes ensuite que

la lecture e~ en vofume, & en croi-

Céme en 7 volumes. Ayant c~eper~a,-

déque !'A!pha~et etoït !e premier cuce, J

quetaîe~ure t/7. eîoit le fecond

c6cé,2. le troiuéme côcé devoit

nece~irement eue 7~.

Sî, comme )e ne puis me Ïamer de ïe

teperéf ,ï*0uvrage vû en voïutnes,on

névoyoit pas

d'une maniere pa~abfe

que !c premie)? volume e(ïcompose

de

ta reuiïTéts, touc cela pourroit paroître

un vif jeu; mais toutes cespreuves

~onc

irrcfutables. Prenez te Livre de 7%o~,

& ne peniez ab(o!ument Qu'aux Oa-

wages du Créateur, vous verrez que

vous ne pourrez pas a!ïerp!us avant que

ïa &uinets: M votre e~prît veutpaner

outre le tretztcme feuillet vous onnra

lé Hïcrogtyphedu

Mariagemais ce

mariage d'~<&!m & d'Eve n'enpas M

fens Mr<ct, h création d~~m & d'

mais !a~n pour !ac{ucHe ils e~a: ne~

Page 140: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï~r s -jrnun,

queh !e

M~r~~evient s or"

tfir directementaprès

les t <. fcuitiets~

que ta mort a donc du ëcrc reponce s,

un autre nombre, &r elle ne ponvoic

pas en occuper d'autre que 17,qui avec

t ~oi?t les deux feu!s nombres quetous

iesPhilofophes lui ont connus.

Page Oui,!e Livre de T~eâ

encore, dans tous les Heux ou on le r~-

br!que,en7~y, & c'eft la preuve

la plus confiante que l'ignorancene peut

pas fortir d'e!!e-meme je dis même ea

ne commettant pas le mal pu)(qu'e!te

ne t'a point fait ici par une ~uite de &n

ignorance.

N'en-ce pas une chofe plus admira-

ble que les Sept, dites, Merveilles du

Mon ~e tant chantées par les Poeres ?t

Des Lames d'or trouvent à la m~rct de

i'incon~ance des hommes qui, fous les

~~w~/tc, ordonnent que les Hiero-

phantes, tous leur effets, f"lent tran~-

portésdu Temp!e la C~/c~r dans

ce!u! de ~n. Celui, ci eft pii'é, '*o-

détruit & rebâti a pleurs tois dt~

Page 141: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

1~)

fcretn'e?, néanmoins !e précieux Livre

de Thot n'e~ potnt o~en~e ies S.iges

fuient, & !e transportent d~un Poie de

h terres i'aucre <?e n'e~ pMnt pour les

~agesun&ux

Dîenqu'i!~âuvenrd'une

Mabd~t'on d'tînincendie Dieu, !e

Dieu Créateur de !'Univers ne petitêccc

noyé, ni brû! c'eA purement le Livre

de Dieu ,de h Narure & des hommes y

que !eùrs àyeuxontécrtt de !e~s m~ns~

? le auvent mM5 ne s'enrappof~nE1

pasà leur

f~nguie, àleur courage,

à tectr?

v&rcus,s!ecoptenc~uT des me~ux~

~r des pierres,da bois, fur des

ecorces d'arbres, eja6n~ fur duparchemin,

& en font un jeu vulgaire avouons le

dernier tratt quicaractért~e ce che~d'cea-

Tre; te Livre de T'A~ eâ encore en ~bn

entier; i! a cre transporté fur cous tes.

coins de la terre, dépose cent vingt-

huit ans en France, dans lepay;

Char-

train nohuncatïtourd'hùi Province de'

Chartres, & ce metneLivre, ces ~8 L~

~iés ~l'or rracées 'f~ûs -le ~eiïx d; ` t rx:.tnes ït'or tracées Ïous !ëxyeux d~

7"r

~rcej' Ïbi)C en~h S: depuis ton~

Page 142: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

5

tem~recournees enEgypre,

o~ c~e~fn~'

Mène en !eur entier avant aujoord'hu!

ans. Nom n'avons rien à répon-

dre auxVoyageurs qu< nous rémoignenc

que l'Egypten~eft ptu~ qu'un dc<.err;pui~-

qu'il fu~c que dans ce dctcrr ilpuide y

être un homme, il en e~ piufieurs.

Page ~2. A~j~ cA~eHTî~ M~

€Û un Livre emier.

Page 3 ~&~r~'e~fm~~ ~on~<,

Il eit des Romans,noR ponn prererabies

à !s écrite, mafs à une inhnitc de men-

songes, que leurs Auteurs enrobe dire

~cntabtes. Une feh~arque qui a fans

dioftâte tfatcbeaucoup

de petne à ph~eurs

perfonnes e*t.(t de voir avec quel front

des hommes o(ent offrir des folies hu.~

maiuespouï' des ra~ns dtvtnes.

Idem. Nore. Q~t cy!7~ la ~~o-

jpr~ë des n~ej. Lorfquc la Science

vulgaire des nombres vous aura mis à

portée de rf<o~Ro!rre leur harntome 9

~o~s. tacherez de lesadapter

a des r!"

~r'es gcca~EftqHes en vous ci(v~n&

~a!- tcuc sa-d~Ëas. de ia Ccotu~ne' \u~-

Page 143: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

j j

ga!rC) & dans le mMne tems~vous

vous appliquerez à former, d'après les

Phito~bphes.unpedc Recueil de la pro-

pïic~ïMe!!e~ueHe des nombres; c*e&-

à'-dire, comme je !'ai trace aUteurs dan~

cet Ouvrage, que t i'Ua!te te rappof-te à Dieu; t à {'homme, &e. Vous me

demandetez 6 Ï'bomme a propriétédu nombre t on 6c~ jL;QMt a ïapfd<<

pncté de t'hontme je vous) r~pondfai,

( vous ayam d~t <quc i n*ecant poMCaa

oombre,) que Dieu a~MC prévu avant

de créer ~homme, que l'homme por-

teroit !e nombre t. ~étoitd~M

avant i'homme, qûoique~ua fa~M

<ut de tous les tems dans la pre~cteoce

divtne.

~i heanmoms vou* ~cotcz que !*un

ttott vo!~THters enchame à ~utre~ ceétoit- V,of),I1(lçI:S'el\( ~Une,a,a.u.tre..

pour naître en<cmb!e t vous vous appco-

chez de iaventabie tcienee des nom-

bres, dont il ne vous-re~e plus qu'à

pénétrer ie ceM~g jun ~u! miot vous4

rindtqmeroKce mot eâ &r vot~Ètn\if.ttlu.erOKc'l

~'I1JOt. eUt "uJr',YQJ.

ïcvtes.j

Page 144: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~7)Les Réftitateurs diront peut-être q~e

j'aurois dû dire que l'homme ayant

corpsvie & ame, devoit mieux por-

ter le nombre }. Ce font des Refuia-

teurs, & pnint des Phiiotophes.

La propriété des nombres étant con-*

nue vous prenezà coeur de leur don-

ner le mouvement, c'e~.à-dire Famé

& la vie le corps étanr proprementle

nombre connu & pen<e car fi vou5 ne

connottÏez pas !e véncab!e nombre il

n'ya

pas d'union entre vous, ou entre

vocre corps & le corps du nombre, &c.

Mais -fi vous connoit~ez le vrai nombre

de votre fujet & que vous donniez à

ce nombre !a vie & !me, vous deve-

nez un Opérateur de merveilles mais

comme le Paveur qui ~ait que la pro-

priété de la pince eft de relever tndtfUnc-

temeM de bons & de mauvais pavés 9

ne releve pourtant que ce qui eft àpro-

pos, de même t'homme instruit, & de-

venuCage par dix, vingt, rrenre, & en-

nn (cuventcinquante ans d'ctude,n*em-

p!oie de même la propriété des nombres

Page 145: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(1~)

que iortqu!! a reconnu que ce!~ ne

peutecrecoMradi&oïre a i'Unire qui

e~ dans tous les nombresqu'emptoye

rOpérateur.

Je tnecs ici enp~ftanc & vous en-

gageant à vous en reSouvenir, que Fon

ne peut aller à !a Science TaUGnaatqae,

(vcfite que vous onc cachée .nos Phuo'*

~ophes~ &: que d=légidmesfài&ns me

~nt dévoiler,) non plus qu'a !a ietence

des Gemes, <ans poneder ceMedes nom-

bj'es,& quei*on ne pëuc polder ;cë!!e*

ci, ainn que ta Phtto~ophte Hernneti~

que, &!a haute Divination, fans Ïs

connoinanceduCie! & de ta Terre,

appeMee par, les Ancteas Ph!!o(ophes

~Me A~rotogie Rour tes années, tes

ïnoi$ Ïes Semaines, les }oms, ~cs heti-

res ,& même !es mimucs hearen<e~

oumatheareuie& àchacan H~etfou-

v~ parf~ Tapporc des notables qu! Mt

font a~fachcs; s~t arrive à ~ae~u'a~

<an joNt !ai ~E paru p!us rétharquâblë& di~reMes repNi€&que ks autres;

c'eâ, je le cern6e,patçe que e'c~ iejoMf

Page 146: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

(~9)

véritable, ou que cela s'ef!: trouvé ~nf~

Dans ce Second cas, on ne doit paso~î<

biier que tel chagrin,ou ie!ie joie qui

arrive ~uppo~ele vendredi peut

bien

n'être que le rc~uiracdu jcudt ou d'un

aurre jour j'en pourroisciter vingt

traits or c'ctott donc par contequenc

plutôt le jeudi que !e vendredi quin'a

pasété heureux. Cette Science e~: d'une

facile crude on commence par les ans

clim~tériques. Enfin le commencement

des hautes Sciences, e~ toures les fu-

blimes Sciences vu)ga!res,oûvous ren-

contrerez des Profctieurs qui vous te-

ïiloigneront que ce qu'ils ne (avenc pas

n'exige pas, & ne peur pas ex~er mais

'étudiez ce qu'ils vousenseignent,

&

fans les tenir àmépris parce qu'ils ont

fait couler une partie de leur efpric dans

le vôtre commencez par ~ARro!ogie

NacureUc & Ihëz avec attention nos

Phijo~ophe$.

Page 3 De la Science fi de la Sa-

desEgyptiens. H

y aune roue

quî

tourne ccus les huit cent ~ns ,,ii yen

Page 147: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

t~O

une- autre qui tourne tous !es douze cent

Soixante ans, & enfin une troincme quifait fa révolution entre ïe 6x & le fep-

tiéme millier d'ans dansceî'e.cieM ï'e-

poque de !a vraie Science mais pen-dant qu'eue fait fon cours, on voit les

fiècles d'or, d'argent de fer & d'aitain

on voit les fiècles tranquilles, les fiècles

po!is, !cs uèe!es]o!is les fiècles humains, 9

les fiècles féroces, les uccies impies, les

Ccc!es gothiques, enfin tout ce que FHiC.

toire nous o8fe. Dans chaque nècle il

y a dix roues qui offrent en petit ce quep!uneurs uccies offrent en moyen &

les milliers en grand. Notez pourtant

quecenefoMpoïnttcs roues qui né-

ceiittenrces événemens, mais l'igno-

rance, parce que la majeure partie des

hommes en montant à la Science & à

la Sageue s'aneyent &avent<ur ~esa~eSt 9

( < ) croyant arriver plusypromptement;

<

( t ) Cette Mégère a donc des aïtes ?Ouïde peau comme les Chauve Sourit ou Cou-

vent d'amadou, après letquelles eUe adapta

toutes forteso de piunm.

Page 148: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~!J

ccde !ace!u! quilè laiffe furprendre.

prend,commenous l'avons vù;in~érieuE

& l'extérieur des depuis de fon ~cc!e,

(ans en garderles verrus. En un mot

ayant l'intelligencedu bien, t! ne s'ap-

plique qu'au mal.

Idem 2~. ~y~~ ~n~yc~ ~y.I!

faut remarquer que t. 3. 7'

~:ï. 8~ devoit indiquer ~o & ~e

premier parla propriétéde + Cur :o dans

l'intelligence 3; & le Second de l'ouver.

ture du Livre en deux &c.

Pag. 2~.Une haine ~/y?or~f.

falloitrépeEer tout ce qui écoit nccetlai-

re, fans cette apo~rophe inutite, &con-

tre laquelle on peut répliquer, quec'e~

une ncce~tte d'être dair, net, &- pré-

cis~ îorfqu'on veut erre lu;& enhn, que

ce n*€(t qu'un aveu qu'on eAininte~igt-

ble. Mais dira l'Auteur i! faut pour-

tant ici Ce répérer, puisque lesHiérogly-

phes ont plulieurs faces comme les mots

Hébreux pluueurs ~ens, &: plus comme

!es nombres (e portent fur tout, âin(t

que je viens de le faire entendre dans le

précèdent article.

Page 149: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï~;

P. Idem.j~/fër~Kë ~c~ Ajouter

ann de cuivre te Sentiment du nombreafin de CUÍvre le iei~cimeiac du nombre

i§. qui indiquoit 6. premier nombre

partait des Géomètres, ce que j'ai déjà

fait Sentir ci-devant.

Page ~7. 0& la <f~ïMc~.

Les Egyptiens ont ct~btUtur ouvrage de

teMe~bire, que te Fou court dans !e

troificme & ie quatrième Livre, & !a

Mon dans !e fécond & te troi~cme Li-

itre. Notez pourtant que ceci n'dt que

pour le fond de !a k&ure du Li~e de

~r&o~ car autrement !e Feu & !a Mort

ïors de i'opecadon vont & viennent

indistinctement dans le Livre entier, &

i! &mt, avant de 6tife paf!ec ces deux

Hicrog!yphes,d€voir dans !e coup de

que!!c maniere <onc p!aces ceux des

Hicfogtyphes~du premier Livre de 7'Ac~

qui ~t venus dans ïe coup. Je dis~ueUe

pïâce i!s occupent dansées Lames ame-

n<es fur ia taMc, ïor~que c'e~c pour la

Science divinatoires eonnn~ pouvant

pas en jmo!n< de vingt pages~vous

~o&Ber telles précéptesqaiiBM j~t

Page 150: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~))uite du pronoinc de la Mort &: de

i* extrême Fo!ie, pour que vous ne con-

fondiez pas, ne prenez quecctce re~!e

certaine. Lorique la Mort fe présence

dans lepremier coup de vingt: ux

La-

mes, & qu'elle tombe fur une ngure

celle-ci étant fur vocre gauche voyez

s'ttyaapres la figure i Lames fanspor-

ter un desHiéroglyphes

dupremier

Li-

vre dans ce cas la Morr eft pour la n-

gure,à moins qu'en relevant les La-

mes, cette figure nefoit en paralelle avec

un des 11 Hiéroglyphesdu

premier Li-

vre ce que je vous expliquerai par un

Tableau dans le SupptcmeMau troiue-

.me Cahier.

Page 3~.23~r/n~ery~/7~e<?.Dans

ie Jeu de Cartes coures corrigées que

vend l'Auteur ony

voit que le ? t

porteau)Bi celui de & ainu ce!ui

de t~. porre &uni t~ celui dei~ a

auffi celui de i 6; t 6 celui de Jt 7, & 17

celui de t mais il faut juûiner cela

dans,les Cahiers divans, ainuque les

&uii!cts 6 7- &: rcP

Page 151: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï~)(buvemr que ces nombres font mis afin

de reconnohre les diSerens fens du U*

vre de Thot.

Idem. Note. ~s~ ~M~ /*o~<r<<<

~CK. AjoN:ez, c~R-a-dire lorsque le

<~ucûiohnan~ opére pour !M, ou le Phi-

!o&~he pour le Qucûionnanc.

Page. ~o.jc ~M~o~~<<-

M/~< On ne peut pas (ë cachet que

les hommes non-feu!ement dans les

iciences, dans leur conduite, dans !euBs

<oMEufs,ne font pas auez d*attennon pour

mentet d'être vraiment heureux mais

mcrne qu'ils oubMent que ce ~ont &tt-

ventdes vetiUes d*où dépend pour ;a;-

mais ou au moins pour la majeure par-

tie de leur vie ,1e bten-e:fe ou le mat-

at& qu*ï!s éprouveront. Ce que j'ai à di-

te e& moins contre ceux-d que contre

ïesactres; mais ennn, ceta eft redpro-

~ae, ce trouble !e repos de chacun,

parce que chacun en particuïier a'eit

point accoutumé aux diMncMbM d'C'

tïnc~oh< que nous comprecons mieux

aujourd'hui par~rt ponaque. Un jeune

homme

Page 152: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!~<

GG

homme ~ns tbrcune, pourtemete!-

parmi ceux qui en ont, fe vêcic en Pe-

hr.. Ma~re, de-!à fon entrée chez de

jeunes Seigneurs ou au moins de

plus fortunés que !ut mais les uns

ou les autres n'ayant que l'argent qui

peut répondre à leurs Mies ne leur

font utiles îîcn.

Il faut pourtant que ceux qui ne

6)nt point riches en viennent un

jour à chercher un emploi mais

~eur mi& dont on ne leur parle pas J

!eur ferme tout accès vis-à-vis de ceux

qui pourcoientieur en procurer. Ainn,

pris comme dans un nter, ou bien com-

me lePapiïlpn tournant autour de i~

chandelle, te clinquant des habirs s'é-

vanouit, i!? tombent dans la dernière

di~e)& dans le mépris des uns & desL U%

autres: !es débris des vêcemens dénc~enc

~ep~uvre ouvrier, ou le pauvre fainéant.

Pour fe vêtir à ton choix, à fongoût, il

~auc n'avoir pour !e rette de fa vie aucune

charicé à demander àj~ Socicté, &: ce-

ta ne p~ucen-e que pac une ~brcunepro-

Page 153: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

pornoMee à ïa dépend que Fon ~nr

jftttS quoi on doicactendre tousks~ours

le momeMoùta mcdiocn:e,& ~ouvent!~

nu~re~iendroM nouy&rvïf de )ugcs &

debouKeaax,cnn~!S&t&npKiîcu~eni!:

deccttevieo~ap~o<N~Rté,fci~enMMon

ih<:us àccot~râghoïen~ recns <:ommë

chacuc pente & pertenKë ne Ïe cem-

gera ~ibic~e foïte &: mi~rc, vous

@[€S&u<~ proches tt~te~s ris.ho---j.

tSRCC<

On nepeatpas,d~t c~, s*~hKr-

teitcut v~anc on ne doit pas~ttët à

(es pteds uù tn&a~t de p!ai6t:ce~ e~

mais on tic doït jamais o~Beft'~e*

Me car~e'~ont.ear ta *)~t(ctc

adueNe ? HcKt peu~ nons~tfmcn~

Pa~e < 7. Une opéras

Hcn poKa~ic q~eMon~

~&~z' ~K~~nc'r~e'6~~ ~Bïis'

armerez v&i~ê~Bï~e~~et~~ î

-r/<

Ar ~ŸŸ~a $ ~a

~=~.

''X'

'j:)

'? T.T~~1

.r~t ~M,ï~i

7. Yo~ ï. doncPtCtKdctcretdB~HÏc.<

Page 154: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~-7

fond de 1a quenion eu de fervir Die:!

comme Phiiu~ophe.

Si la finale de votre opération avoit

donne,-f.uc. J

y< 6«<.6.7< 1 ?.<'?

ît<<~<

!3. ï~. 4.

8. p. o. le Que~ionnanc n'eût pas

~ce propre à amener les autres à une

vraie âgeue ,mais à des l'dées vulgai-

res. Néanmoins ces forces de Tables

laiuces par Pythagore, ne (onc que des

préparationsà la parfaire intelligence de

!a veriraMe Science des Nombres. Nocez

bien que ces Tables ne font pas les roues

que nous atcanimis 7'tcAc-J?~ pavaneARro!ogue, dans fon Calendrier unt-

ver~ naturel & magique, ï~82, mis

a.u jour par Jean Baptise C/'o~r, &

gravé par Théodore F~y, dont il v a

une nouvelle, énorme & furieufe copie,

augmentée d'une aulne & demie parMuteurdes prétendues C~Mca~ de Sa-

lomon, rapponées reloue part dans ce

Supplemenc.

Gij

Page 155: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~8

Page.Il a r~coKr~ l'agent ~r~-

M~~ Le (avant D~y a bienexprime

ces choses dans l'inverse en difânt que

!'Ecre qui e& en (ouSrance, demande

l'ainAance derAgent qui

lut a donne ta

vie.Voyez ton pêne Ouvrage ïur Av

T<t/~M~j jK~t~~avec

Prtvi!ege du

Ro!, Paris ~71, dédié à M. !e Che.

va!ierJ9~~y, ChanceHef de!a Reine

de b Grande-Bcetagne,Parem& Pro-

teneur dé notre Phi!o(ophe. (t)Lc

Protecteur & !eProtège parient pour

cet Ouvrage !MM néanmoins c*e~

une vérité, qu'it&uc le ravoir hre.

rignore pourquot ~~y ne fait

nuMe menton de C~~qai avott écrit

sm-deuus de tous !es autres fur !a &ien-.

ce & ïa ptopriété toute natureHe des

(t) II e fi propos qUc~e &<ïe reCouvemr !es

hommes intégres qu'nt d'être M~tre U

fa~t pue ~pp~entif; & en6n qa'E/opelePhry-Cten ne dédaigna pas de~oaer avec des en-

faM a<M~à:% Pt.ttpÏûphes pouc te caiehe r

cnt fbuvent cNerc de petites recettes chenues,ibus Icuc eavetoppe de grands Remèdes.

Page 156: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

Ta!!fmans :ils étoient àvin~t

ou ~en-D

te ans près l'un de l'autre s'ils ne vé-

curent ensemble &: D~yne pouvoic

ignorer tout le mérite d'un vrai Philofo.

phe.Je veux croire que ce Scavant, tout

livré à l'étude, ne ~ut pas qu'il ~uc tout

près de lui de Grands hommes ce qui

m'e~ arrivép!uneurs

fois.

J~~Note (i) Ufez ne iont plus

J~c<'or~.

/~< Un metat unvégéta!,

& ua

anima), élevés comme ~/z~~ par~r-

cule hors du fein de leur mère, perdent

la vie & l'âme relative a leur maniere

d'être mais aucun corps ne perdcette

vie & cette ame fans en reprendre d'au-

tre, ainu réciproquement l'âme & la

vie luivant leur nouvel être, & c*ett en

,cefens que l'on concoic ~ans peine cette

my~érieu~e Roued'E~cA~ la Nature

infiniment liée, les moindres parties ar-

rachées à leur tout, & une gradation

chacun felon fon genre ou fon cfpéce:

néanmoins jeune Difciple ne perdez

pas la matiere de vue, car vous fubi-

Guj

Page 157: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

KO

'tMz le maÏneureux ~orr d*?~<

Page Le Glouton j' foule. La

Narure~urnîf afÏez pour nourrir tous

<es hommes; mais il en eH quKnnr pires

~quc les poarccaux Reureufement qtte

ccFré bonne Mère panic plus ngoureuf6-~n~tt ïe~gëbrmands que tes Ïobrës.

Idem. ~~h~~7~<zfof.

Hommes & ~mmes, vouiez-vous vivre

heureux tfavaHiez économisez &:

~cô!i~!cez Ïjes antmaux ïa ~meiie e~-

'eMe coh~ërte e!!e ne tourmente p!ds

~etnâ!e qui ïabàrffôM plutôt que de

J'approche!* néanmoins observez qu'tt

heceNepasÏesaMennons.

Si d*dnt co~é eerre rcferve e~ nant-

~et!é ~ë faatre n'ayez aucune crainte

peur !e nombre des enfans; un tëu! par-

mi ptuueujr$ &aïc potK h eoaMation y

&: ïbuvenr pour Fai&nce nous, )e le dis,

~roHC en&ës, s*i!sont des pères & me.

tes~d!gnës aie ce nom longez fur-tout

que~coquenetieque vous vous pec-

~ectez pour éax des !eur tendre )eu-

'R€Me,eK: un Breuvage donc vous em~

Page 158: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~t t

poi~onne?le refte de leurs jours & fans

paner dans votre efpr'e pourun fermo-

neur, je vous con(ct!!e de les vccir en

tout tems en raison des renies que

vous pouvez fur le champleur faire.

Rejetez, donc dorénavanc cette crainre

d'avoir plufieurs enfans crainte q.u ne

produit plus à la Société que des avor-

tons, des valétudinaires quitui fbnr à:

charge.Je ne m'étends

pas~ur le Cs!i-

bât un ma!raueur eft moins peccabie

qu'un Célibataire fans caufe chacun

fon Sentiment, celui-ci e~ te n~ien.

Page ~.8.J?~ ~/x~

Oui, les

hommes devroienc vivre au moins r ~o

ans mais il taudroic que tout ce qui

peuc coopérer à unâge que je dis en-

core modique, rue entendu une gé-

ncrationfaine, des ahmenspurs des

paffions naturelles & non arnhcie!!es. ®

Si du tems de David Fâge commun

deshommgsctOc de 70 ans, ce ne

peuc erre tout au plus qu'une preuve qaeîes hommes de ~bn Cccie é:oienc

pre{-

qu'auΠcorrompus quenous le (ommes

G iv

Page 159: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

}

à prêtent. Je dis po'an~nc pre~ue,car

ge commun danses citma~tempcrés parla Naturel exiretne par i'.irn6':e,!Teva

pas aujourd hui à p!us de 6 ans.

On voudra peac-c~re nous oSrir des

Sauvages, eu de bonnes gensde la cam-

p3gne:i!svtvencde)àp~as vieux quenous;mats au ifattjes premtefs ne font pas in~-

trutrs; &k$ <e<snds ne ~onc

gueies

momseorrompus queeeuxdes vittes; i

)e veuxi teuïemenc dire caerves. En-

~n un cravai! îegHfme & modère 3c

de vrais atimens, entretiennent !a ~anre,

ïe ~oud, & !& &fchaFge des tf~v~uï,

&c. ra!cère & l'anéantir.

Page <t.~ I.b~ae acz~ ~<M~yfca~

~~e ~e' Qad e& ce!u! qut

n'a pa~vu FuM de tes amis échappe a âne

more certaine mais îes réSextoMs ne

vont guères pïu~ toin que l'ctonnemenc

cc!ui même à qui té~e grâce a <!tc ac-

cordee~ ne quitte pas Ïouvent (e? hon-

teuses habitudes. Le Phib&phe ne dit

pas à ua tel homme devenez cagot, ta-

citurne non, mais il die, agtScz avec

Page 160: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~3~

G y

raifbnnemen: &:~oyëx toujours prec

à

vous dire j'efpereen Dieu 3 & le Rnts

fans crainte.

L'efÏrot de la de~ru~Hon e~ naturel i

!a crainte d'une maladie longue&:

d'une foule de maux douloureux pré-

fens à!'efpric,

font terribles, mais qus

ces eSrayans tableaux diminuent, !or~

qu'on vit en honnête homme lors

que l'on n'e~ pas obligé de mettre

un vernis fur fes crimes déjà trop

éclaires C'ett une furieufe tmbéctMité

de croire que que'ques pitres voilent

nos forfaits la monnoie de tous !es

Souverains de la cerre, n*a pas de cours

dans le Royaumede l'Empereu!. des

Cieux il faut bien faire, & rendre a

C~r même ce qui <t C<?/ar &" à

Dieu cequi en à Dieu rendre à

Pierre ce qui ~H à Pierre mais noa

pas donner à Paul ce qui ne nous a ~<

mais appartenu. Sentiment qui n'em-

pêche point de faire la charité à Pau!

mais non avec !e bien qui eA à Pierre

car c'eit,)e Ieerot9~ augmente!: le mal

Page 161: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!~)

àuftca de le diminuer. Qu*î! e~ beau

de faire !e vrai bien Et qu~tL c~ heu-

teux de n'avoir pas cte dans la pui!Ï&n-

<e de ~ire le mai iLangage

du fbtbte

die un in(en~ Non, dans ma bouche

il ead~enu.

ï~ge ) o. t -t- ~=t Vot!:t le ngnc

hëurcU~delà ~ort; c'e&une enandeUe

~ui~'étdnt e'c&une do~e !~hafg!c,un

~nï<ïlCi!à~s inquiétude. Heu&euxChcm-

~ui~pr~ëtc ftv~e d*nne tefre fet-

~fc ~apr~s a<'o~ ét~ en pMtiea cous le~

~v~nëmehs d'âne mer efageu~ë &

~të~t~ïe mcmnnu Les demieMspa-

fb~d~~h~tBe ~ui a p~ tïne vte

&ns Ïë~&~hë, ~t ks adicox les plus

~ïKi~es~~ ~eCe~antitHe,i aH petic

Ko~bre ~aMs vëHnenx iHear die,

6u pc~1ëu!< dït-e, p~utquûi etcs-vbuy

inMt~ ~e~reïteïicz- vûus t)B 'bonh eur

~~c ~:us pOM~dercn eenântd'ctre in-

~~e ~em m<Mt ~n fah tou~

teîà. N~ i peutq~tot <ion& n'être poim

~T~

~CyÏ.~P~~i~

Page 162: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

decine & de la C~f. Les ScTvany

ont beau dire, que Féducanon de 'én-

fance e(t informe que Fon fak per-

dre dix ans à la jeuhene que pendanc

ce laps de tems elle feroit pleurs

cours Ntt!esj:ce!a ne détruit pas les

abus, abus plus dangereux quel'on ne

peut ~e fimagmer à moins de jecco*ks yeux ~tr la fburmi!!iere d'Abbés pim-

pans, igdorans enfin inunles, qui

!ëpIus{ouveM jettent le froc aux ornes.

Un pêne nombre d'hommes d!~)p!ines

âvec~bm pour FEtat EcdcnafUque, ren-.

droit !e premier Corps des Etats Catho-

RquesRontams- auHi re~pe<~ab!e qu'ildo)t l'être <H'on céïtbit de voir le pe-tir Abbé fous l'habit de l'homme tem-

péïe on Me confondroit plusies uns

avec !€S auTres tout ce!a e~: icu ) & on.

en ~it encore bien d'autres mais le

mouvement eA donne &: le pire, c'eH

~u'en tout on croit qu'U faut que ?a*ye~ mouvemeM s'arrête tout (eul. Ici

ec~hea~u~e parle enCitoyen,

eo~c~e~mentCR homme qui a droit

Page 163: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

U~Jde dire fa penfee parùc-eUe froide

plagiée, en6n contraire à ceux qui n'onc

en vue qu'un incetêc toujours modiqueen taifcni du boshem de la Société donc

ils fonc partie.

Page.' ~'Aofr~~ ZM~Mt~Mc~.C'eA bien une venté, que qui tente à fa

vie~ e0: un pauvre fu~ec car quel eft

dpne ~Mfoï&ne~&uvent d'un fripon& tou~ou~s d'un idiot, de fe ~OLuner la

More î J~es ~Mtgnns vocace$~e~ enoe~

mis i'nM)M!'te!s !e manque.de toM.Fu(-

~ai-je pef<uade, comme on te .dit (otte-

ment des T~c~ qu~ yau~i& cout~ bau-

~e dans i~Mtte monde ~~e tnecfoicoi~

crpp dc~hopo~c ~~ce!u!<et, .S~abre*

geo~ le tem$peu~te quitter.

D&jnombre des honnêtes gens qui

ont été tourtnentes~ l'ai ectic ai~em-s~

j'ai pne, Mc& vfa~ J&jMaïtre~ que le

Va!et emportât pro~pten~enttHesenne*

mis mais laiCant eetie nptte idce s

j'ai rc&ccht; je me fuis penche: fans m'a*

vtlir; tous tes chagrins qu~n'onc qu'un

terme font ev~a~a~ &~e Sï~~

Page 164: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!?7

vu heureux je dis heureux, au pomct

<peles Etats du Grand Mogoi

ne m'euf-

~nc pas cente: ce n'e~ pointamour-

propre de deuxmoyens

degagner, je

fuis celui de la médiocrité.

Page y $. Les adoroient Dieu.

Li~ez ~To/e~~ rm~orien, ~n~K~. f~e

\3, où il die Afo~/f traite b.Magie

Egyptienne de Naturelle c*e~ à-

dire, yM~~ la Nature. Oui, les

Egyptiens, Se tous les Sagesde

routes les Nations qui les ont imites

etoiencMagiciens

au Cens (tri< Sages

& ~d!fa/2~ & aucun d'eux ne s'avilie

jamais a (aire nahré de ~oxpre~iges:

s'ilsopérdienc pat Ïe moyen

de laPhy-

6qup, its rendoienc fur Ïe champ compce

descaufes qui produifoienc des eiïets na-

tare!s~& i!sn'etoientréfervcs que

(uc

JesMy~éres de la

Rehgïon c'e~ à--

dire qu'annonçant aux peupîes qu'~

n'y avoit qu'un ïeut & unique Dieu,

i!s demdntFoienc aux hommes propres

.s concevoir cëtt'e vente ~ta neçe~Mté qu'il

'n'y eut qu'un DteU) & ain~ du pour-

.qupiles di~cremes Fctesqu'ils

avoieM

Page 165: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

Métablies ,&c. &c. Ils dev!noi€ntpardes

tnoyensnaturels maisils ne rcveïoien!:ces tneyens qu'à !eqr$Di~ctp!es i!s

guentfoiëni!e5 tnaïadïes~moïce~s;maiï

ae r~lotenc !a ~e~;ne~~~à !€? Dïk!p~ t !n~Mi&!<cncde

tOHt~s!es ~cîcnpes~!ësArts maisils-

jae s'~n~ecen~~t~!a~o~ de ces:

ce

~tn~~ent ~en ~c~ïts~ jenjSn fa~sÏ'~a~ance ~0; ~~eat~ ~esgrandss

Phi;~pRes a ~xe~!c P!atoR

='â~~

:~M~ ~fl"~yoJ. i,e~lp.

.s~S~~ -u~Hf4, ~t

~y~cc~~ .~nM~ Avis.~age'< us

.~?~~3~~°°~

~~r~~ ce~t

~m~ '111"" ù~ird J(;r')t>-

~.p~

'2~M~ë~JL'eMdcde Phy6oncmiem'<néum

Page 166: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

r~

aupoint qu'en

CT:prenant

des!e<;onsfu:r

Tnoi-naême, devant ua miroir, peildanE

deux. ans, que fur huic [~i!:s défec-

tueux qui y étoient peints annonçant

des débuts qui m'avoienr été repro-

ches paf un de nos Maires, )'<n eu

!e bonheur d'en voireSacer cinq qui me

tena'ent tellement à cœur que je cr<d-

gnois ta j[ocie[é des hommes in~ruits~

Oui, les tiaits de !a Phyuonomie Cuivent

~es vices &estefMS;ceI.t e~ n vrai, que,

d'âpres nos M~ores, &:pardcutteremenc

la Chambre, je ne me trompe

p!us, Ne que )'<n empêché plus de vïngs

personnes de cdmmettre des extrêmes;

je disvîhgc, j'en pourrois citer quarante.

Quel Rérutateur peut en o~rir autant, cX

que! Réfutareur ofe me contredire Le

jeune D~fcipte les connolt au langage

;e }es d~Mgue aux traits que porcenc

tous tesM~noraas je !e dis, autii rac!!e"

menr, qu'un Sage vulgaire les di~ingueateutVtÏ acoutremeni.

Pâ~: ~7~. Oh ne doit pas

pour eeta rejettet ta kd-ure de i~ Philo~

~Me M)at~u: <~e de ~es P~adox&s~

Page 167: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

t~O

"V~ &p!us qae l'a dit Je

Docte .A~M~, Parinen, n'était pas un

Sorcier, pas même un Magicien

ce rue un grand homme, qui méritoit

plus de bonheur qu*i! n'~s & eu dans ~es

derDieres ~~Dees ~e dis bonheur pour

un Scav~M vulg~rc, cac le p!us grandc~ d'être ~eul tordue l'on tra~aiHe fincé

rentent pour ~e$ ietnH~Mes en parîicu-

lier, & CMgéneraï contre les dctaats de

!â .Spdete. Oui ~r~<t etOK ~vant

je ne dis pas<eu!emeMpoM<on Recle,

maisppurte n&trc, pu itpccuperoit en-

~reï'un despreimtetSiEangs il polfédoit

~Mc ~nguM, non en peffoqaec mais

j~on)m~ prc&nd.

`

P~e 6~. 2?e ~<M?~BH~~RM~e~r 7.

As~eud~~ae-t-piM, mettez celui

de,~xm~!tip!tCE.

~ge ~< t, t. Onfent

nueax ee que ~Auteur veut dire, que ce

q~'il dtt; it~ùt donc entendre qu'il n'y

a pas plus de 7 pnncipes d~ns ïa for-

]mu!e, ~pn ibus la tormuÏe 7 manières

de déployer !es nombres quoi qu'au

fond U n'en repréfente que deux ou trois

Page 168: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

:6t

qui(ervent à

prouver par des opérations

aufli fimples que naturelles qu'il ne

devoir y avoir que 78 Feuillets au Livre

de TAo~.

Page 6'y. vais donc payer par

~roi~ & à la note, tient de ~o/o-

multiplicative. Oui, on peut payer

par & il feroit difficile depayer

à la Nature fon !cg!c!me tribut par un

autre nombre que celui de

Page 70. Les G'~o/n~re~~M~. Ouï p

parce que confédérés comme calculs vu!"

gaires, 'encore que la vérité physique

y ~otc on pourroir de~rerquelque cKofe

rn~is qu'eft-ce pour un vraiGéomc~re

( qui n'a qu'un pasà monter pour pé-

nétrer dans laPhydque occulte, ) cette

force de calculpropre à la f ?ncc Mue

qu'i! meture qu'il pe(e (uc l'immen~

~ce des vérités divines, quilui ~bnc

reconno~cre autrement que levulgaire

un Dieu. laSageue & la Science.

VraisM3thématiciens,que faites-vous

quand vous avez fournis toutes les vén<

tés phynques à vos calculs! vous vous

demandez fi ces vérités matérielles

Page 169: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!<~

?0 font pas attachées à des ventes

~piritue!!es cek~es y inre!!e<3:ue!!es

avant de fe tomdre à leur Auceur 1

oui, n*en douter pas & S vous

le <avez, ne craignez ramais de dé<

~airc autnen~onge. en avouant !a nece~-

6[e d'âne c&ame teMe de 3. à ï. & de x.

àî e~ !e premier nombre qui 6s

)ointàl*Unit~,dans!equt:! tte renferme,

en prenant 2 Ïo~~tpfotë~ion..

Ï.e cpfp&é&attachea!a vie ce!Ïe-

cl &i'ame, ~cette première partie de

ÏRomme entier~ eâ Me à D;eï~

Le géomètre qu~ pa~e rapïdemenc

deiaTérKaa C!e!, n'e~pas encore bien

avance: h Lo! Macnematique infp~ de

ne point quitter une Hgne qu*eHe ne <oic

poFtée à ~OHbue, une ngure a & nn

? ennn an Théorie pariaicemencre-

Jfo!u; ce qui ne peuc être, dans !a &ppo-Ëtiondu cercte qu'en ~xaat une des

pointes~n

compas,& fat!ant mouvoif

avec )u~e& circu!airemeni, l'autre

pointe :6gure de î'OperateM pîace

entre ? caate & re~t.

Touce vérité a Ïon centre au mitiez

Page 170: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~3

fi on ne conçoit pascet axiome, on cher*

che & on cène de chercher il faut de

l'ordre afin de -ne point tomber dans les

ténèbres:/b~ c~?r~ ~o~ ~or~

<jK~ ~7 féparales c~ des M~.

Je (ois fâché s'il e~ des personnes qui

tiiWi & ::?gn1_P CIlA'11ÿ ~f: T~erad:~enc, 3~ ccriven!: même qu'ils

(eper-

denr en vou!anc chercher la vérité des

hautes Sciences; je ne puis queie'ir

dire, jeccez toute votre attention ~r les

grands Principes de la R.e!igion,Dieu

les Hommes (ur les grands Primtpes

des hautes Sciences, la Nature !es

Hommes; ~r les Principesde tomes

les Sciences & de tous les Arts la rni-

tiere ~t'encendemenc ca.r voa's ai!~

chercher bien !oin cequi e~M~pToch?,

i!eftimpomb!e que vous trouviez: njtcz

que celane détruit pas ce que j'ai dit aU-

!eurs,que tout dans la Nature a § prin-

cipes :vérire bien connue des Anciens

mais qui mal fende par les Modernes, les

a faic tomber dans des Hutes. imp~rdon-

ttab!es~

Page 7;. Z/br~ /'A~r/Mo/ï~~ ~<

AH.EGORJE. La N~tufe aumamem

Page 171: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

de ~a Cféat!on engendradeux Souvë'

rains & une Souveraine pour régir tout

notre bas Univers; mais parce qu'ils na-

quirent en mëme-tems tous tes trois i!

ne fut pas potltb!é de fixer tur run d~eux

!e droic d'àmé lespremiers hommes

qu'engendra b Souveraine, eurent au-

tant de vcneranon pour un Souverain

que pour l'autre & enfin pour rendre

à !'Auieur de leurs jours de légitimes

devoifs~iis~e 6gorefent !eurs parenrs dans

cet ordre ï l'ordre l'harmonie

raccord; & amu rivant ce Tableau:

t

3

&3

3 1

J

) ï Ï t

3 1 ï 3 jt

ï a } ï

) t 23

a t 3 3 <

3 3 i

Page 172: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ye

n~, ,J{Y'oi,q

0 ee

Page 7~. D~ /2~ M'e/rc? ~f

uniquement à ~o~/K/ Cecre Tabi.;

ou mieux ces trois Tables, (on!: un té-

moignage que l'Auteur auroif pus'ecen-

dre plus qu'il n'a ~ic dans ce quine pa"

ro~c pas y ecre analoguemais

pouren-

tendre FAureut~quoique plufieurs auront

l'ineptie decroire qu'ilne s'eniendok pas

lui-même il faut avoir de légèresno-

tions des hautes Sciences, ou attendre;,

avant de juger que la !ed:ure de tout

l'ouvragede i'Aureur nous in~tui~ ce

que je protefie qu'il fera avec une rapi-

ditémccpyâbie on le lit ptuueurs

fois.

Raymon Lu!!e,~ géiaéralement tous les

Philosophes, ontengagé les hommes à

r~fude des hautes 5cienees;mais on âpré-

fcre à les traiter d'enthoufiades, à croire

!es Sciences une folie humaine~plucôt que

de les étudier. On ne voir pas.dira-t-on,

de ces prétendus Initiés dans les Sciences:

mais parle rapport d'un objets un autre,

voyons-nous un homme raisonnable

courir la ville la campagne ayant

Page 173: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

.6~

fa t-octfe au bout de (on bâton! Cn aime

la vérité mais il ~audroit qu'e!!e i~nt

trouver eMe-mcme les hjommes au n.o-

gcent eu leur nonchalance les entretient

fur le duvet ~ttendtx.la fous ~'vrme J~ur îe duvet ~< ~oH~ /'er~c,

dit ~n Comique, voust'attendrez tong-

tem~ il faut pa~er quatre ûcuves ~ui

n*onr epK'cux que troisponts.

Idem. De K~c~ ecn/c~r< ~c

~yif<' ~ft~ A ce propos, (u~ii-

aux Piètres idolâtres de dire qu*Hs &i-

voicnt la loi du pays, laReligion crue

véntaMë Peut parier ain~, il faut être

ptu$ perdude patron qu'un homme qui

(e dit A~hée fi on croit un Dieu, com-

ment condescendrequ"ii &it ma! adoré?

Les Romains, cePeuple

fouvent mal-

a-propos vante, avoinct une rourmiiticre

de Dieux ;un etoit nommé !e Père,

un autfe !c Grand Père, un autre la

Metè, un autre te Porteur de Nouvel-

les, unautreappaifoit !ap!uie,un au-

<Ke avoitia charge d'aHer battre le Dieu

des Peuptes EtraHgers oh foibtcs

hennés ~~uàtMi ne tailietcz-vous plus

Page 174: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!d~

~eDieu duCi~& de la Terre <otre

rellembiance ''j!qui

vous a crces a ~oa

ima~.e Que loi~c devenus ~es Idoles &

les IdoUcres de toutes les Nations De

tous les Peup!es inithecules, celui ~ui

adore un Dieu ne tombera jamais.

Hommes inRrtjits ~oyez géncreux~ Il

triompherde vou~mcmes tracez fur

l'airain ia venté, & que ce dec!e iûic

la dernière Ere qui compte !es années juf-

qu'à leurs 6ns ne(oyez plus contraires

à lagioire

de celui qui vous a donné la

vie & qui doit la recevoir, un feu! mo~

tous les hommes le connoif~nc.

Page 77. ~/2/<!n~ M~ïn~r~/f-

~cK Soo ans. L'erreur de du~'rë/y

eiï: ~ans doute la même que celle de tous

lesautres qui remontent !erègne d~~<j-

&: descendent celui de7'~{/

nxant ce!ui-ci dansFinterregne qui iub-

u~ enEgypte, on ne va

pas meine

jusqu'à conrbndre cet homme fi~ss

avec le faux Mercure.

Pour entendre laChronologie prora-'

ne on ne peut pas mie~ faireque

de

Page 175: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!~S'

s'appliquer a !a!c~ure du Livre de T~o~

& aux fragmens qui nous reâent de tous

ïes Ouvragesdu ~wj/o~C~M?~, ou

Mercure 7r~ On ne prétend pas

pat!erici à ceux

quivivent (ans rien

vcir n! vâïok maM a nos itht~res îHf-noir mais II 1-

toriehs, qui prêtent ootceinûfuûïon A

leuiSMMne.

C'eû une venic: 6 tout-à-coup ~es

Hommes inSfûîtS & commaniquoiënc

leturs pe6Sës, comme 1~n~!es hommes

de jSnaMëe, qa'ib tomba~MQ~GÈotd

(ce qui ne ~a mais) de coafner toutes

leurs vues du côté de t'interêc, iis enva-

tSfoien~ tputes ks tottunes, & !a p~u-

p~rt delMS Mch:u'd$ croient a peïnc

pro~e~aiestëtvif~mais les ncheûës

corrompent ~e c<s~f & gâtent Fe~prit

it~tia ~u&e m~dioctitc ppur cpn~eEver

Ïes ~omme~ <ia~s tes ~evoij-~ d'un bon

c~en~

P~gé7$~

1?~~ Jf.ï JE~c~M-

~af~. Nous ne cherchons potnc ici a

donnée aux .Ëccitures aucun ~cns que Ïe

I:itt~ M~de rën~~

raiion

Page 176: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~9J

H

ta~cn de !a va!eurdes mot§. Dans tout'

Jcs Traduc~ons comme dans les Origi

naux, ces trois termes ~onc tr~-d'.

tin&t~, les Sages les Af~e

jEc~<M~~ &c. Par on ne pe~

entendre qu'un homme craignant Dieu

au connaire.pâr ~.r~z~un homm.

.mon~rueuxquant

au ferme~~<

il faut l'entendre Suivant le lieu qu'il

,occupe; ce que je nepuis pas mieux

comparer qu'au mot.<K/~qui

d~ns

un ïens or&e un homme faisant couc le

~tenpombte &: dans l'autre ~Ci's, roue le

mal imaginable. C'e~ donc aux Scavans

à juger de la valedr des mors, (utvanc

les lieux qu'ils occupent&

~!ppo~nc

~u'iis tuïtent malplacés cela nedim:-

nueMic rien de leur première écymolo-

gie,en un mot de ieur vraiiens.

Jedts, cet homme eft unInqui~teur; G

.ente prend pourun méchanr, ce ne peucêtre qu'eu égard à ceux des hommes

qui ont occupé &dignité; car ce terme

~n lui n'a rienqui n'ait en vue le bien

&inR de même du motMagicien je dis,

Page 177: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

~70~

Pierre eâ Magicien on fe 6gure fur le

champ qu'i! peucta~e tonner, parce quedes hommes qui (eJonc dits, ou ont été

crus Magiciet s, faifoient accroire ou

~i~oienc, fi fon veut gronder le ron.--u

Kerre. La pen~ëe de chacun ett rotative

au lieu qu'il occupe en France on vou.-

dJ

hlM.droic conno~re cent vérKablesMa~

ciens, & pas un (eut înqui~ceur en

Espagne on aime les Inqut~teur~ & on

brûle !e$ Magiciens pour moi, h l'un &

l'autre étoient tels que te terme l'ordon-

ne je ne voudrois pas d'aurre ~bciecé

mais cela e~ fi rare que je ne denre ni

l'un ni l'autre, & je fuis en cela par-

~kement hbEe:dans madéHcieu~ePatcie.

Page S~. co/R~ que par,le

<~ grands hommes. Il e~ bon de fe

fixer un certain nombre d'années écou'-

lees, & en ~uppo&M que l'on date dtt

Tegned'un Tyran, au ferme p~S on

l'entend auiourd'hui, te n'e~ pas en rai-

fon du méchant, mais du lieu & du

tems. Il n'en e~ pas de mêmelorique }&

dis, de l'B~ de TtMs, de l'&e d'Henri

Page 178: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

î7~ ¡

!V car a!orsje me h~ure

desPeuples

heureux. même au milieu d'une guerre

abominable & Sanglante puifqu'eUe

ccoic contre l'humanité la fen~ibi!keY

du Souverain & contre rouie ju~ice.

Idem. Qu'ilsétoient les ~M/

Si dansquelques

fiecles, on vonioic MviE

R hRoya!e

Mai~n de Scnart rimmor"

te!!egloire

d'être une des touches des

plus grands Princes de FEurope, les

derniers de~cend~ns tnéritetoieiic ils

d'être taxés d'amour-propre?

Page Sd~ Les Egyptiens <'o~M~<

le C~ la Terre. Oui~ comme l'homme

vertueux conhdere le Créateur, & i~

Créature, & tous les biens que prodigue

l'un àt'autre,en6n iesremerclemensq~i!

en eâ dû par la dernière c'etoit donc

J'harmoniequi e~ entre le Ciel & !s

Terre, Dieu & les Hommes, àtaquelte

étoient toutoccupés les Egyptiens.

Ilsregardoient le Ciel & la Terre y

envoyant avec quel ordre admirable le

premier inSuoit(urtafeconde,&: tes errets

qui en nsinoienc & c'eA dans ces ~bli-

Hi~

Page 179: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

t7ï

mes recherchesqu'ils decoa~nrenr îa

përbe copie du don qu'avec eu

de nonnner ce qu'il n'avoit Jamais vu

parion nom de vivre fans !nErmtrcs y

afin de connoHre !a grandeur t'~nn-c

ïa puinanee du Créateur ma;s, ~e le

répète, routes !curs recherches tiecen-

tôienrqu'àune

copte;comme îcpctnff.s

qui ne porie Ces ~ues qu'à in~ier la Na-

ture. Au contraire les Chaidcens, !e~

Phéniciens & autres Ï~uptes~ atnn que

~jnt les faux Maeteiens, regArdotent

!e Cte! pour prono~tqucr!es cvencmens

de la Terre e*e<t-à dire, que <ans con-~

cevoir par ~~<'~ûg~,tetque

poucdcit ~f. ( t), qu'ii ne

ft) r~becïHe Pithoy:, Profefreur de Phl-

lôfophie en i'Académu: de &edxn '64~

accufe Nt~ra~an.Md~trc ïb'cier y a-t-il

ineptie: ftmb!ab!cs ? H dit de même fans

entrer pour rien dans l'ignorance des terns~

au Code Tit De JM~~c;tt ~fAemanf~

C'eft chofe dangereufc d'apprendre & d'exer-

cer publiquetnentFart d~ Lt iEenmfuie; &

l~zt de Mathématique ~& dsc~abic~ & ..bief

lument d~cadM,x r

Page 180: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï7~

~m:p~s quitter !ede! tans aecnre ou m~

vre !a chaîne, la cordelette qui nendtés

ensemble le Ciel & la Terre &: tous

te: Gtobes; car tout e~ faic !'nn pour

ï'~cre, & Dieu pourtour.

Pa~e 8~. Ils s'en retournoient ~/z~0

ieur pays.11 me Semble voir une Cui-

finiere parefÏeufe, m'ayantvu tirer !es

Cartes à fa MaicreUe, &:hifpnie

de voie

qu~e me donna livres pour prix

de mon travail, avoir des idées portées

tu!' mon état, fans con~derer que ma

<oib!e Science eO. le bénéfice de trente

ans d'Aude ~& de cinquante mille !ivw

de dépende. Voyez ce que je dis dans

le Soti!oque qui e& à !a tê:c de la

Edidon' du EtceiUa, ~7~1 mêmes

LtbrAires~

Page 88. J?7zyoyd! c~r~

/M J?7ze~<ïn~Mrj. Ily avoit donc t'un

Om, la fbrceHene e~ généralement dé-fendue, nms non pas les Mathémanquesni ia h~utc P~y~que ni en6n une fage Pm-

tofbpMe ce qu'il fallolt diilinguer, commeMK iait tous ie: v~ AHfologues.

H~

Page 181: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï7~

&r Fautre ? Cm ~ans doute, !e :cxfey

c~ formel mais j'en ai ~fHfammenc

parle dans maZ?~rM~a~<f ~e/zM

Z~M~~o~re.0

Page 89. 7/<t//& tfr~ ~y~f~

Si tes Sciences que nous nonttuo:'s ~y-

~K~Oc~j ~ou ~ub~ance de !a

Phv-

~que, n'avo'fnc point cce combattues

& cncote tom nésy~x" t*d!cub{e<s ps?

des Ecdvaias ~Utfn'oftr de taMon que

de ne tes avo!)~poinc ccu~iées, par

conséquent de nepouvoir les compren-

dre les hoïnmes vraiment in~ruijcs ne

cï.a!ndco!e~c ~as de par!er ouvertement

& ia (om~te'~ot~te de'; !unneres <? notre

~ec!c, nous Eeporreroir bientôt à re-

tfou~et te& rôtKesphy~ques qui condui-

sent aux hautts Sciences. & en6n dans

ceMes~ct~sdé pénètres dans

les d~rniets (entieis de !a Marùfe.

Pour te jrépecen~c fois; cepu~

diccce que t*o~ n'a pas approfondituivanc

les v~ais ponc pes~ ~aut ttpacce que

de

~x Phjt~~pti~s ont donne tëce b~Cee~

d.~s des baiet.EdRcs~ GEeMC que tom c~

Page 182: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!~) O

qui~orferc~onm:fJXf-o'K ~S quî

a été reconnu par des hotu:s qui m

croyoie~t queles verbes, te''s ~reK

5oe/-<t~, P~<?ff,T7~ &: miHe .m-

tres, croire dis-je quela Phy'!qns

Occupe, la chaîne qui lie la Terre au

Ciet, e(t une rêverie M~is que peut oa

dire de p!us~brt~& que peutun

Sophie.D'- `

t~cW v.r~(,' ~P~th j-an Refu:3~ur,

oppofër à

ee~e râi(or'y

approchez &:encendezf Daitteurs, quel

péril pourroitcourir la Société., quand

cent Sc&vants )etteroienc de ce côté

toutes kurs vues T~'avons nous pa~

aiÏe-.d'ouvrages (ur les Sciences & !e§

Arts communs a tous les hommes? Oui~

fans doute puifque l'on ne Me p!us que

plagier,fe

redire &: (e di~pufec, non

~ur tefbnd~mais ~r !a fofmc, non ~u~

!es;Sc!ences & les Ârc~, ma!s futr k tour-

RuM des phrases qui !&senfeign.enc

oui, on fedt(put~ fur !a manière de

paT!er~ manicre qmi doit de.Cec!c e~i 2~

heç{e .deventf .gothique;~ ou ce autmême, p~rpici-e te~ë à nos ~eJSen-~

d~

H~

Page 183: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

!7<~

1

Un homme qui a rencontre !a ve~

~e, en ne cherchant qu~cïie, je dis br

vérité, n'importe dans que! genre ;s'if

<n veut eecïre, i! eâ oblige pour fûn

tepM, ann, dis-~e, de n'ecre pas en butff

aux nonfCM propos dé t'ignorant, de fc

~virde~Dter&ge d'en parter commer

~jC &~bM; ennh, de ïe raire un

A~aDet~m~ts qmmettent nece<ïai.

temeM ~!a ~rtttrC re~rtt des hommc~

J~s pÏos ~dtewx. ïuppp&ntict que ïes

Naaites Sciences ~oïept ab~oment &u~.

~1~m~ns;~ta nbened-e~~tt' t r ?~i..r~?''i..?' 'A tf/

~re; cfe ~eh occuper,co~nMe-

ïoit comme ~tdK de nous conduire àut

j~ grandes découvertes; carU eR de

"~e, Mtet~outes ce!~ oc au moins !a',nc~ *'at'tû4~.i ?! r.

~ateurepMue de ceues auttont utnes

4s.~ ~).'?~i-Mft,2~ S?"V~T. :I.atK nommes, Qn~ ecë trouvées par !es

~o&pttes, Ï~evins & Hermetidens,

~e~e~ar ceux qut~ont CYceMe

~0~!)it'Etf?'~&t~ 3 L. < –t<~<bns ïes Mathemanqaes, dans ta Pnyh-

t'H'S i'~a' ?9 -S~ ~T~<!ue aan< M ,Chymïe, ~ansia M~gê-

'%n~j-b'~a'si~tm,

<

Ctne & auerespfenaeres Saetices.M a

<ee &jet jicembten d~ommes, depuï~'vr :T.

Page 184: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

un hecle'&demt, quine voulant poinpg 9

rapportà leur familte & à leurs de~cen~-

dans, ~aHer pûar Devins, oupour

A!-

chym)ûe~,cachent te fond de la Science

cùi!s ont pa<(e ceHes qui nou!: redre~nc

ncus condtutenc, & enfin qui prévien-

nent !a fource dts maux ou nous ~ue~om"

berions il

€roit-oh que !a Pb~dque a~ue!!e

gcneratementks Sciences

vu!gaires,

6)ient en état de remédier à toutes nos

infirmités i il faut une Médecine univers

ie!!e ceux ~ui ont la fdence du bien

~nt !e bienpoor eux &

par amoufpour

ie Ciel & pourles" hommes.

Page 9!. Parce ~M~7~~o~~M<

~MJ ~K~~j~M, CM devine par c~j!

~4r~j. EMtpo~b!e en fixant ce Jeu, J

& en le rcBechinant attentivement, d@

ie ~rmer une idée p!ut Vrai<enlb!ab!e g

qu*i!aduccre primitivetnenf un Livre

cnfuite pauan~ plus avant, un Livre de

PMto(opnie &: ettnn renfermant !<?

~lu<hautes fciences hutnaines t

S! on t~Mve que lesplus hau,res

fe!ëM~

Page 185: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

-!7! ¡i

ces dotent su nombre de ) ainh

~ue je t'ai dit, peut-on douter qu'un

JLtyre de phi!o(ophiefait

parceux qui

~uwoK'nt ces trois Pences,!a Reiigton~

toutes tes branches de i.tPhyttque

oc"

eukc & rctprit ces tcicnces vulgaires,

B*y&ient ab(o!ument traces ï Ce que

)*&n ai dit,& les trois autres vo!umes~ nous

<Mg~gefoMa!ccro!r~, & tans doute à

aider routeur dans un travail où!agïoi<-

Mptasq~e taforcune attend ceux qui

t'en oec~peronc.

~8~ «~<& P&tf~~

<~M~f~ye ne ~u~ pas encore

plus in&rott Jfuf k ~cFede cec Ouvrage

m (uEfa~nnee qu')iiut)!mp~tB€; ma~sit

~Sc~e ~~f~ unq y~tc pou~ qu'e!te

~c~n~ ~)!)qM~e~ de ~e~ee.,

pjMti~~f~~nt ~ons~de~ns qu~

6~ïes~A~~iens. Auteurs;~ ceux de~

d~rn~ o& yi~oM: Z~A~

~~deJaf~io~tEe~nt~tnuÏe,

propren;e~er ~M~S~~

~a. ~N%Bm~

Page 186: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

('7p)1 A 1

AV

y

ayantîui-men'e trouve un remède ex-

eeUenc pour preve'nr div~ies m~iadies~

B y s, /Kf~ ~&ela ~A'

Page 04.. ~4/tt'7<:r,cu/<

~7' <r en-à-dire pour

~ecendte raison, en s'appuyjncfur u:ï

Bpmbretju! correipondotta ttur te~ s:

te! ~ur,pa~ex:mp)ecelui de ~<$o ~'ouf

tadiviGondu Çerc!e,aJntts ch.z tous

tespcup!esd€ !arerre~ parce quece notn-'

bre eft celui qui trouve laplus grande

~uanthé d~ Di<'tkuts;amh 78 fur te

npmbfe de <.hotx par tes Sages Ë~ypnens,

parce qu'iLo~foK ibus ~s itens une plus

grande quanme de n'oyens deporter de

l'Univers enner &r cnën parce cp'e "8

c8u.nnon)bre qui corretpondacouces

les Subdivisons des Scitnces daines &:

bun~ines :ceci fo!t pourm'r fntenduen

cgar-dau non'tbte de~ t-cui)it. rs car !e ras

nombrem~neriauet.~ 7-' & tur cecre

di~itict on ~t~e je prore~e (.jue t'on

jrc~ uh ecnre u~ vo!ume de dttcuurs

&M! ne v~u'o!E c~n pAUer ~us htence r

€~n j~~i fû~peimis j~a~ieuce d@.

Page 187: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

Ï~

tracer ce qu*eHe iadtque ti. y 7.

&~&'e.&c.

Page~ ~<to~~B~<M~: Oni~

naus atmoas {a ,v~é; ~âi~ cbmme Ïc~

rayons j~nc.a~jmaat~ & ~a~ AtttKnc

tsujosis SMeeMïëyce qa~B~~as pour

!mJ& moniongë, qui, comm~ un bri"

gaad, a t!~ Mes .pôwt &s rettattes

tMt~ peuL~ ~h6~<:€"héus Eut ~cc6:

t@j t~ naMe' !€~v~@S~l6s pÏ&<6rs dan-

gëteuï~onr' vane~ m~M~Sës. Nôas

aa~ans tâ~e~Ee ~€~înEa~ ~oos aimons

potages ~té~~e<npeiQt les autres

iot~e moas ~~m<S! à t'àM~r ce rap-

port qui n*e& paS~s~ws~ppEy; Efen e~

pa& mcips vrai, paro~ tct ïor!qu*OŒ

regarde lé cété ~oêMateur voit p!u<N:tï~

huâtes ~e'e&nv€f~ d~ eMën d~

Bergcr.f.

~agë ~6. ~t~ <&CM& ~o~

Pt~r6ttWeà!a pt&e dnrPb*&e, H

~natteeaeiUtr tous &&Ouvrage:, & ie~

Ere avec attention ~am6 ea e&-tl de

tous ecttx de& Eert~aMS qui ont traita

de$ AMematï~ae~ de ??0~ de

Page 188: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ï~! 1

P~que,de h Mcdecme, &fe. ~e.

A~ennon que n'unr pas ces EcrivaŒers

quine vivenC) je ne dis pas

de brigan"

ehge, comms !es Phtgnires,n~!isde

~~cr j~ec outrance, & de medtre <'ms

Science s'â{Tujen:i~nr a!goûc

du heds

qu'ils onc atdé à garer,

Ces chiens A~ degoAre'i!:les

jeunes Ec~va;ns: par les ~nrômes cju'i!~

leur o~ënf t &porcenr

!es hon)ine~

j~ir-à déch~4c~rs nnnL!fcr!)'s,ne vou-

Ïanc p~ pa'r-'r p~r!<i!)gue enventmee

décès niepriubtes A~ui~rcurs de lArc

du menfon~e & du fauxgouf

U Elue

ctre ~~ourd'hu! cr.'s(j~? ou rrcs Fou t

pour o~er ~ireimprimée !es penfees.

Que !'on ~t~e des Porcrairsg*ticraux

~air nm<s que t'OM s'acharn: A un hom-

me de Lèpres quelque ~bi'e qu'il

~))r, quand même~es tenDmsns~eroienî:

erronés, s't! n'e~coupable que d'igno-

f~nce ceia e~ o lieux. Il ~r parler

eoncre !~s vices, &; non contre les hom-

~nes à mohis qu'ils ne ~ermcm les;

Page 189: Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se

ïSt

,~eux "JI.1]' ~a~~r~é. ~c~a~t ât~ea:x &h îutMSM ~e Jh v~fKe. QcaBt

M) 0~, apprends, vtifËttyn~ue qu'u~

l3evin n~â pas mo~daMe par!e de me&

cettvfës, j'y con&nj!, dis que m ne ks

e~en~ ~s~jme~nte~a~s

mieux ~i~e.n~ ~~ene~

totechMetës~c~~ j~g~s, <:hé"

ïM toas'~s,~omme~