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AGENDA

Le 19 juin 2018, à Paris 14ème (75) Séminaire de restitution Projet MUSCARI : Mélanges fleuris Utiles aux Systèmes de Culture et Auxiliaires pour favoriser une Réduction des Intrants https://wiki.itab-lab.fr/muscari/?AcTualites Le 20 juin 2018, à la ferme d'Armenon, Les Molières (91) Rendez-vous Tech&Bio Grandes cultures – Cultures de diversification http://www.tech-n-bio.com/ Le 21 juin 2018, à Creys-Mépieu (38) Ateliers Tech & Bio Grandes cultures et diversification Tél : 04 75 20 28 00 / [email protected] Du 27 au 29 juin 2018, à Capri Island (Naples), Italie 2nd International GRAB-IT Workshop “Organic farming and agroecology as a response to global challenges” http://capriworkshop.centrodiportici.it/ Le 29 juin 2018, à Paris 14ème (75) Colloque final Projet Casdar Optialibio : Optimisation de l’autonomie et de la résistance aux aléas climatiques des systèmes alimentaires en élevages bovins biologiques Contact : Loïc MADELINE : 02 31 25 46 14 ; [email protected] Le 5 août 2018, à Villeneuve sur Lot (47) Foire Bio http://www.agrobio47.fr/foire-bio Du 5 au 8 septembre 2018, à Dornach, en Suisse 1st International Conference on Biodynamic Research : “Evolving Agriculture and Food - Perspectives in Biodynamic Research http://www.sektion-landwirtschaft.org/home/aktuell/ Du 11 au 14 septembre 2018, à Rennes (35) SPACE 2018 http://www.space.fr/ Le 18 septembre 2018, à Metz (57) Formation organisée par la FNAB : « Posture, méthodes et outils pour accompagner la transition agricole dans les territoires » http://www.eauetbio.org/evenements/posture-methodes-outils-accompagner-transition-agricole-territoires-metz/ Les 23 et 24 septembre 2018, à Eurexpo, à Lyon (69) Salon NATEXPO https://natexpo.com/ Le 24 septembre 2018, à Lyon (69) Forum de Structuration des Filières 2018, organisé par l'Agence Bio (se tiendra dans le cadre du Salon Natexpo) http://www.agencebio.org/agenda/forum-structuration-de-filieres-2018 Les 25 et 26 septembre 2018, à Rennes (35) Formation organisée par la FNAB : « Posture, méthodes et outils pour accompagner la transition agricole dans les territoires » http://www.eauetbio.org/evenements/posture-methodes-outils-accompagner-transition-agricole-territoires-rennes/ Les 25 et 26 septembre 2018, à Vienne (Autriche) 12th European Organic Congress http://organic-congress-ifoameu.org/ Du 25 au 28 septembre 2018, à Perpignan (66) Congrès « Natural Products and Biocontrol » http://biocontrol2018.fr/

AGENDA (SUITE)

Les 26 et 27 septembre 2018, à Retiers (35) Salon La Terre est notre métier http://www.salonbio.fr/ Du 29 au 30 septembre 2018, à Bilbao (Espagne) Salon BioCultura http://www.biocultura.org/ Du 3 au 5 octobre 2018, à Clermont-Ferrand (63) Sommet de l’Elevage http://www.sommet-elevage.fr/fr/home/ Le 9 octobre 2018, à Paris (75) CORE Organic Plus Final Research Seminar [email protected] Du 16 au 18 octobre 2018, au Parc des Expositions, à Avignon (84) Rendez-vous Tech&Bio Cultures méditerranéennes http://www.tech-n-bio.com/ Les 17 et 18 octobre 2018, à Toulouse (31) RFL2, 2èmes Rencontres Francophones sur les Légumineuses https://www.rfl-legumineuses.com/ Les 22 et 23 octobre 2018, en Bourgogne-Franche-Comté Formation organisée par la FNAB : « Posture, méthodes et outils pour accompagner la transition agricole dans les territoires » http://www.eauetbio.org/evenements/posture-methodes-outils-accompagner-transition-agricole-territoires-bourgogne-franche-comte/ Du 1er au 4 novembre 2018, à Madrid (Espagne) Salon BioCultura http://www.biocultura.org/ Du 3 au 11 novembre 2018, à Paris (75) Salon Marjolaine https://www.salon-marjolaine.com/ Le 27 novembre 2018, à Paris (75) Séminaire co-organisé par l'INRA et l'ITAB : « Le sol, ressource essentielle dans les systèmes en agriculture biologique : Quelles recherches construire ? » https://www6.inra.fr/comite_agriculture_biologique/Accueil/Actualites/Seminaire-sol Le 22 janvier 2019, à Paris (75) 2èmes Rencontres des Grandes Cultures Bio http://www.itab.asso.fr/ Du 28 au 30 janvier 2019, à Montpellier (34) Salon Millésime Bio 2019 https://www.millesime-bio.com Du 13 au 16 février 2019, à Nuremberg (Allemagne) BIOFACH 2019 et VIVANESS 2019 https://www.biofach.de/en Du 23 février au 3 mars 2019, à Paris (75) Salon International de l'Agriculture https://www.salon-agriculture.com/ Du 8 au 10 mars 2019, à Séville (Espagne) Salon BioCultura http://www.biocultura.org/

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3 Biopresse 244 - Mai 2018

SOMMAIRE

Productions animales ............................................ 4Apiculture .................................................................. 4Elevage .................................................................... 4

Productions végétales ......................................... 13Arboriculture ........................................................... 13Grandes cultures .................................................... 14Jardinage ................................................................ 15Maraîchage ............................................................. 17Plantes aromatiques et médicinales ....................... 19Protection phytosanitaire ........................................ 20Sol .......................................................................... 22Viticulture ................................................................ 23

Marché ................................................................... 25Filière ...................................................................... 25Qualité .................................................................... 32Santé ...................................................................... 34Statistiques ............................................................. 35

Ecologie et ruralité ............................................... 36Agriculture durable ................................................. 36Agriculture-environnement ...................................... 37Développement rural .............................................. 38Energie ................................................................... 41

Vie professionnelle ............................................... 42Annuaire ................................................................. 42Conversion ............................................................. 42Economie ................................................................ 44Etranger .................................................................. 46Formation ............................................................... 49Organisation de l'Agriculture Biologique ................. 50Réglementation ...................................................... 52

Recherche et système spécifique ....................... 53Agriculture Biodynamique ....................................... 53Agroforesterie ......................................................... 54Recherche .............................................................. 55Ressources génétiques .......................................... 57

BREVES ABIODOC ............................................... 59Bulletin d'abonnement ............................................ 65Tarifs du service documentaire ............................... 65Bon de commande ................................................. 66Coordonnées des éditeurs des ouvrages cités ......... 67

DIRECTEUR DE PUBLICATIONEtienne JOSIEN - Directeur général adjoint de VetAgro Sup

RÉDACTRICE EN CHEFSophie VALLEIX - Responsable d'ABioDoc

RÉALISATIONEsméralda RIBEIRO et Anna CARRAUD

ONT COLLABORÉ À CE NUMÉRO :Anna CARRAUD, Anaïs CORBIN-CORNET, Julie GRENIER, CécileMARCUS, Esméralda RIBEIRO, Agnès ROUSSEL, Myriam VACHERVALLAS, Sophie VALLEIX

Revue éditée et imprimée par ABioDocCentre National de Ressources

en Agriculture Biologique,avec le soutien du ministère de l’Agriculture,

de l’Agroalimentaire et de la Forêt,du Commissariat de Massif - Massif Central,

de la DRAAF Auvergne-Rhône-Alpes

VetAgro SupCampus agronomique de Clermont

89, Avenue de l’EuropeBP 35 - 63370 LEMPDES (France)

Tél : 04.73.98.13.99 - Fax : 04.73.98.13.98 [email protected] - www.abiodoc.com

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PRODUCTIONS ANIMALES

Biopresse 244 - Mai 2018 4

PRODUCTIONS ANIMALES

APICULTURE

Forme de ruches et qualité de vie desabeilles

BORDAGE Thierry

Si l’on observe une colonie d'abeilles qui s’installe dansun tronc d’arbre ou que l’on trouve les constructionsde cire laissées par une colonie, la forme ronde esttoujours présente, quelle que soit la forme de l’espace.L'évolution des formes de ruches à travers le temps estliée à l’évolution de l'apiculture. Les premières ruches enÉgypte étaient en terre cuite et horizontales, en Crête,verticales, et elles reproduisaient cette forme circulaire.C’est l'observation des constructions des abeilles quia influencé la forme et les matériaux des premièresruches : tressage végétal, modelage en terre, etc. Deuxfacteurs ont cependant changé l'apiculture, les modèlesde ruche avec la construction fixe ou mobile des rayonset l'introduction de la feuille de cire gaufrée, et ensuitel'élevage des reines. Ces évolutions ont bouleverséla santé des abeilles... Cet article s'intéresse auxdifférentes formes et matériaux des ruches, à traversles époques et selon les pays, en se questionnant surles liens avec la santé et le bien-être des abeilles et ens’inspirant des principes de la biodynamie.

Mots clés : RUCHER / AGRICULTURE BIODYNAMIQUE /APICULTURE / OBSERVATION / BIEN-ÊTRE ANIMAL /ABEILLE / SANTE ANIMALE / SAVOIR-FAIRE / MATERIAU /ELEVAGE BIOLOGIQUEBIODYNAMIS N° 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25)

réf. 244-096

ÉLEVAGE

Vaches laitières : de la féverole toastéedans la ration

PINOT François

Début 2017, deux éleveurs laitiers bretons enconversion bio, accompagnés par Agrobio 35, ont testépendant 1 mois l'utilisation de la féverole toastée dansles rations des vaches. Le but était de mesurer l'effetcomparé de l'utilisation de la féverole crue par rapportà la féverole toastée. Sur chaque exploitation, deuxlots de vaches équivalents ont été constitués. Lescritères observés étaient le niveau de production et lestaux (TP, TB) avec comparaison des analyses laitièresindividuelles des vaches avant et après le déroulementdu dispositif. Une analyse avec la méthode OBSALIMa également été réalisée. Les résultats du test sontprésentés. Globalement, l'incorporation de la féveroletoastée dans les rations n'a pas permis d'améliorationnotable ni au niveau du lait, ni au niveau des taux(augmentation quand même du TB, de 1,1 point surune des 2 exploitations), mais elle a produit moinsd'azote fermentaire. Des études sur le sujet ont montrédes résultats différents, d'autres travaux sont en cours.Albert Béchu, un des deux éleveurs en conversion(56), apporte son témoignage. A l'issue du test, ilpense travailler avec la féverole crue combinée avec del'épeautre.

Mots clés : CONVERSION / ELEVAGE BIOLOGIQUE / RATIONALIMENTAIRE / TOASTAGE / AUTONOMIE EN PROTEINES /COÛT / TEMOIGNAGE / TEST / ALIMENTATION DESANIMAUX / VACHE LAITIERE / BOVIN LAIT / PROTEAGINEUX /FEVEROLE / BRETAGNESYMBIOSE N° 226, 01/09/2017, 3 pages (p. 24-26)

réf. 244-034

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PRODUCTIONS ANIMALES

5 Biopresse 244 - Mai 2018

Quelles sont les difficultés imaginéesou vécues lors du passage enagriculture biologique pour les éleveursde chèvres ?

BORDEAUX Célia

La demande des laiteries et des consommateurs enlait bio de chèvre augmente, mais la collecte peineà se développer dans le Grand Ouest. Au sein duprojet de recherche DevCap AB, mené dans les Paysde la Loire, une trentaine d’éleveurs caprins livreursde lait en conventionnel, en conversion ou certifiésAB ont été enquêtés, afin d’identifier les freins aupassage en bio. Les inquiétudes exprimées par leséleveurs conventionnels ou récemment convertis sontnotamment : - l’impact sur la production ; - un foncierinsuffisant ; - la maîtrise des charges ; - la margedisponible ; - des évolutions réglementaires ; - lafilière (évolutions des prix, engagement des laiteries).Finalement, les points de convergence entre lesinquiétudes projetées et la réalité des obstacles vécuspar les éleveurs bio se situent principalement autourdes freins techniques : - la maîtrise du parasitisme enlien avec la conduite au pâturage ; - l’appropriationde compétences en grandes cultures pour produiresuffisamment de matières premières de qualité etnourrir le cheptel ; - l’insémination artificielle enAB (capacité à ne pas utiliser d’hormone desynchronisation). Dans le contexte actuel, la questionéconomique ne représenterait pas un problème. Enconclusion, d’après les éleveurs bio, au-delà desquestions techniques, la principale difficulté se trouvedans la nécessité de prendre des décisions avec unevision globale du système.

http://www.pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr/innovation-rd/agriculture-biologique/bulletins-techniques/technibio/Mots clés : CONVERSION / FREIN A LA CONVERSION /CAPRIN LAIT / ELEVAGE BIOLOGIQUE / FILIERE CAPRINE /AUTONOMIE ALIMENTAIRE / DEBOUCHE / ENQUETE /CAPRIN / PAYS DE LA LOIRE / PROJET DE RECHERCHEDEVELOPPEMENTTECHNI BIO N° 74, 01/10/2017, 1 page (p. 7)

réf. 244-015

S'adapter au contexte climatique de2017 - témoignage du GAEC des prairies

HUCHON Jean-Claude

Mathieu est producteur de lait en agriculture biologiquedans un système tout herbe, au sein du GAEC desPrairies, à Severac, en Loire-Atlantique. Sur une SAUde 80 ha (74 ha de prairies longue durée et 7 hade mélange triticale pois féverole, ensilé en mai),les objectifs de production sont de 245 000 litres delait avec un troupeau de 45 vaches Prim’Holstein et25 UGB génisses et bœufs (chargement de 0.8 UGB/ha de SFP). La situation en avril 2017 et lesadaptations réalisées sur la campagne 2016/2017 auGAEC des prairies sont présentées : - au 31 mars2017, 5 tonnes de MS de reports de stocks d’herbe(soit 0.1t de MS/UGB) ; - objectifs de rendementsrevus à la baisse ; - adaptations mises en œuvrepour équilibrer le système fourrager ; - ouverturedu silo d’herbe début mai ; - un tiers de récoltesd’herbe en moins, compensées par des achats àl’extérieur ; - situation au 30 septembre 2017 ; - Rationhivernale à caler ; - Assolement 2018.

http://www.pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr/innovation-rd/agriculture-biologique/bulletins-techniques/technibio/Mots clés : ADAPTATION / ALÉA CLIMATIQUE / DONNEETECHNIQUE / SYSTEME TOUT HERBE / BOVIN LAIT /ELEVAGE BIOLOGIQUE / CHANGEMENT CLIMATIQUE /TEMOIGNAGE / ALIMENTATION DES ANIMAUX / RATIONHIVERNALE / RENDEMENT / SYSTEME FOURRAGER / LOIREATLANTIQUETECHNI BIO N° 74, 01/10/2017, 1 page (p. 10)

réf. 244-017

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PRODUCTIONS ANIMALES

Biopresse 244 - Mai 2018 6

ADMM - 4 avril 2017 - journée d'échangesur agriculture économe et autonomesur le Massif Central

CIVAM / ADMM

Une journée d’échange sur l’agriculture économe etautonome sur le Massif Central a été organisée parle réseau Agriculture Durable de Moyenne Montagne(ADMM). Les interventions sont visualisables autravers de 18 vidéos indépendantes. Elles démarrentpar l’introduction de Cédric Deguillaume, agriculteurréférent du projet ADMM, et de Xavier Coquil (INRA),enrichies par une intervention du CGET du MassifCentral. Lore Blondel présente ensuite le projet ADMM« Identifier, accompagner et encourager l’adoption despratiques économes et autonomes pour des fermesproductrices de valeur ajoutée sur le Massif Central »dont elle est la coordinatrice. Didier Gomes, animateurCivam, explique ce qu’est un système de productionéconome et autonome, avant que deux producteursne témoignent : Jean-Michel Favier, éleveur de bovinsallaitants à Carlencas (34), et Christian Galtier, éleveurovin en sud Aveyron. Pauline Garcia, installée dans leCantal et spécialiste du comportement pour chevauxet vaches partage la table ronde « santé animale »avec Gilles Grosmond, vétérinaire. Dans la 9e vidéo,Maxime Vial, animateur Civam, reprend une étude surle changement climatique sur le Massif Central, puisdeux agriculteurs exposent l’adaptation de leurs fermesau changement climatique. Le sujet de l'engraissementà l'herbe et de la qualité de la viande est illustrépar un témoignage (Felix Dessu, éleveur de bovinsLimousin) et une intervention de chercheuse (BrigittePicard, INRA). Pour terminer, le lien entre l'ADMM etl'enseignement agricole est illustré par 2 témoignagesd’enseignants de lycées et celui d’une agricultrice. Aufinal, Cédric Deguillaume et Xavier Coquil apportentchacun leur conclusion sur cette journée.

https://www.youtube.com/playlist?list=PLNw0LX1HE_Eb1dnN0fhnyqLQs4K1WPbulMots clés : ADAPTATION / PRATIQUE AGRICOLE /QUALITE DE LA VIANDE / CHANGEMENT CLIMATIQUE /AUTONOMIE / TEMOIGNAGE / ENGRAISSEMENT / SANTEANIMALE / FRANCE / MASSIF CENTRAL / SYSTEMEECONOME EN INTRANTS / JOURNEE TECHNIQUE / BOVIN /OVIN / SYSTEME DE PRODUCTION / RECHERCHE /COMPORTEMENT DE L'ANIMAL / ENSEIGNEMENTAGRICOLE / ELEVAGE2017, 3 h. 05 min., éd. RÉSEAU CIVAM

réf. 244-010

Ils ont choisi les dérobées

D'ALTEROCHE François

Vincent Caillez, climatologue à la Chambre d’Agriculturede la Creuse, précise les incidences agronomiques desévolutions du climat (+0,4°C tous les dix ans). Pours’y adapter, les éleveurs ont de plus en plus recoursaux cultures fourragères dérobées. Compte-tenu ducoût de leur mise en place, un rendement de 2t MS/ha est un seuil minimal si elles doivent être ensiléesou enrubannées ; en-deçà, leur intérêt est limité. Untableau des valeurs alimentaires de 6 modalités dedérobées mises en place en Meurthe-et-Moselle et dansla Meuse est présenté (en moyenne UFL de 0,77 ; PDINde 130 et PDIE de 85), avec l’analyse du prix de revient(entre 105 et 125€/t MS) et le calcul du coût par tonne deMS récoltée (entre 175 et 85€/t MS selon le rendement)en système conventionnel. Sur les neuf dernières pagesdu dossier, cinq agriculteurs, naisseurs-engraisseursou polyculteurs-éleveurs non bio témoignent de leurspratiques en termes de cultures fourragères dérobées(en Meurthe-et-Moselle, dans l’Aisne, la Drôme et leCher).

Mots clés : DONNÉE TECHNICO-ÉCONOMIQUE / ELEVAGE /PRIX DE REVIENT / TEMOIGNAGE / ALIMENTATIONDES ANIMAUX / VALEUR ALIMENTAIRE / RENDEMENT /CULTURE DEROBEE / FOURRAGE / MELANGE CEREALESPROTEAGINEUX / QUALITE DES FOURRAGES / SYSTEMEFOURRAGER / GESTION DU PATURAGE / MEURTHE ETMOSELLE / MEUSE / AISNE / DROME / CHER / CHANGEMENTCLIMATIQUE / ESSAIREUSSIR BOVINS VIANDE N° 253, 01/11/2017, 14 pages(p. 16-30)

réf. 244-019

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PRODUCTIONS ANIMALES

7 Biopresse 244 - Mai 2018

AutoSysEl, un outil de sensibilisation etde conseil sur l'autonomie alimentaire

VAN DEN BROEK Mathilde / SARZEAUD Patrick /PAVIE Jérôme

Dans le cadre du programme Autosysel (Autonomiealimentaire et protéique des systèmes d’élevage), unbilan des facteurs d’arbitrage (motivations, pratiques…)des éleveurs a été réalisé concernant l’autonomiealimentaire. Ces facteurs ont été utilisés pour mettre enplace un accompagnement des éleveurs d’herbivores,sous forme d’une plateforme en ligne. Au traversd'un premier questionnaire sur les motivations quipeuvent expliquer une évolution vers plus d’autonomie(6 choix proposés), et un second questionnaire surles pratiques utilisées, l’internaute accède à des fichesconseil illustrant différents leviers (notés selon leurdurabilité), ainsi qu’à des témoignages. Au total,entre 40 et 50 fiches par filière animale (ruminants)ont été rédigées en valorisant les résultats dedivers dispositifs de recherche conduits par l’Ideleet ses partenaires. Un module indépendant permetd’estimer son niveau d’autonomie, de manière trèsbrève. Cet outil se présente comme une plateforme(www.autosysel.idele.fr) de sensibilisation qui amènerales éleveurs et les sonseillers à trier les solutionsindividuelles les plus adaptées aux contraintes del’exploitation et aux objectifs des éleveurs.

Mots clés : LEVIER D'ACTION / OUTIL D'AIDE A LA DECISION /SENSIBILISATION / INTERNET / ELEVAGE / PRATIQUED'ELEVAGE / AUTONOMIE ALIMENTAIRE / AUTONOMIEEN PROTEINES / CONSEIL TECHNIQUE / RECHERCHE /FRANCE / BOVIN / OVIN / CAPRINTRAVAUX ET INNOVATIONS N° 242, 01/11/2017, 2 pages(p. 18-19)

réf. 244-021

Des granulés de sainfoin contre lesnématodes

HARDY Damien

Le sainfoin est une légumineuse vivace riche enprotéines et en tanins aux propriétés antiparasitaires.Un peu oublié, il revient dans les rations fourragèressous forme de granulés déshydratés, en offrant unfourrage équilibré en énergie et en protéines (avec 16 à17 % de MAT et 0,77 UFL/kg/MAT). Ses tanins retardentle développement des nématodes gastro-intestinauxchez les petits ruminants, selon les observations deplusieurs essais. Elodie Barbier, qui a réalisé sathèse sur le sujet et qui est aujourd’hui responsablescientifique de la firme service MG2Mix, préconiseune cure préventive de deux semaines minimum auprintemps et à l’automne. Des éleveurs de chèvres dela Drôme, du Rhône et des Deux-Sèvres témoignent del’amélioration de leur rendement fromager, de la qualitédu lait en oméga 3, et de la diminution de la pressionparasitaire suite à l’introduction de sainfoin dans lesrations.

Mots clés : ELEVAGE / CAPRIN LAIT / ALIMENTATIONDES ANIMAUX / LUTTE PREVENTIVE / FOURRAGE /SAINFOIN / SANTE ANIMALE / NEMATODE / PARASITISMEGASTROINTESTINAL / FRANCE / DROME / RHONE / DEUXSEVRES / MALADIE PARASITAIRE / QUALITE DU LAIT /TEMOIGNAGEREUSSIR LA CHEVRE N° 343, 01/11/2017, 2 pages (p. 32-33)

réf. 244-024

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PRODUCTIONS ANIMALES

Biopresse 244 - Mai 2018 8

Toaster ses protéagineux pour plusd'autonomie et de traçabilité

BARGAIN Véronique

Initié en bovins et volailles, le toastage des grainesde protéagineux commence à intéresser les éleveurscaprins pour ses multiples intérêts. Cette techniquepermet de : - limiter la dégradation des protéines dans lerumen, en assurant une meilleure assimilation de celles-ci dans l’intestin ; - augmenter les PDIE et PDIA desprotéagineux ; - éliminer des facteurs antinutritionnels,du soja notamment ; - améliorer la conservation (95%MS). Dans les Deux-Sèvres, Anthony Maupoint etPatrice Ayrault élèvent 380 chèvres et 40 vaches sur105 ha. Depuis 2016, ils se sont tournés vers unfabricant d’aliment pour toaster le lupin qu’ils produisent,avec un coût de 60€/t. Ils témoignent d'une améliorationdu niveau de production (970 l/chèvre avec du lupintoasté contre 850-900 l avec du lupin cru) ainsi que dumétabolisme (moins de diarrhées). Un tableau compareles valeurs alimentaires des graines toastées à cellesdes graines crues du lupin, de la féverole, du soja etdu pois. Depuis deux ans, de nombreuses initiativespermettant de toaster ont vu le jour : mobile ou à postefixe, acquis en CUMA ou par des entreprises. Il permetde valoriser aussi du soja produit sur l’exploitation, afinde gagner en autonomie et en traçabilité. Plusieurséleveurs caprins témoignent, dont Erramun Elichiry, ensystème bio dans les Pyrénées-Atlantiques, qui cultive7 ha de soja et l’apporte, toasté, à ses 80 chèvres (350g/jour avec du maïs et du méteil).

Mots clés : ELEVAGE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / TOASTAGE /AUTONOMIE ALIMENTAIRE / AUTONOMIE EN PROTEINES /TEMOIGNAGE / ALIMENTATION DES ANIMAUX / VALEURALIMENTAIRE / CAPRIN / SOJA / FEVEROLE / LUPIN / POISPROTEAGINEUX / FRANCE / PYRENEES ATLANTIQUES /DEUX SEVRESREUSSIR LA CHEVRE N° 343, 01/11/2017, 3 pages (p. 34-36)

réf. 244-025

Une production petite mais dynamiqueen Bretagne

BARGAIN Véronique

Avec moins d’une trentaine d’éleveurs et 4 000 à5 000 brebis, la Bretagne est une petite région pourla production de lait de brebis. La filière de Triballat-Noyal s’est tournée vers le bio en 2000. Elle rassemblesept éleveurs d’Ille-et-Vilaine avec chacun 300 brebisen moyenne de race Lacaune. Environ 600 000 litresy sont collectés et transformés en fromages frais etfromages affinés toute l’année, vendus sous la marqueVrai. En plus de cette filière organisée, une vingtained’éleveurs transformateurs conduisent des troupeauxde 60 à 120 brebis, principalement en bio. Avecdes pratiques d’élevage extensives, le plus souvent àl’herbe, sans désaisonnement, le lait est transformé enyaourts, fromages blancs et tommes vendus en directsur les marchés, en Amap, en Biocoop et en magasinsde producteurs. Les agneaux sont engraissés sur placeou vendus à 10kg à la coopérative Ovi-Ouest. AlainGouedard, de la Chambre d’Agriculture de Bretagne,témoigne que la plupart des éleveurs s’en sortent bienet sont plutôt en manque de lait.

Mots clés : CHIFFRE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / FILIEREOVINE / PRODUIT FERMIER / FROMAGE DE BREBIS / BREBISLAITIERE / BRETAGNE / ILLE ET VILAINE / OVIN LAIT / LAITDE BREBIS / ELEVAGE / TRANSFORMATION / FILIERE LAITRLF - REVUE LAITIERE FRANÇAISE N° 777, 01/12/2017, 1 page(p. 18)

réf. 244-029

Page 9: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS ANIMALES

9 Biopresse 244 - Mai 2018

Que penser des vaccinations dans lecadre de l'approche globale de la santéen agriculture biologique ?

GIE ZONE VERTE

Cet article invite à penser la vaccination des animauxd'élevage en la contextualisant, selon qu'on se situedans une démarche de prévention dite de prophylaxiemédicale (vaccins, antibiotiques...) ou dans unedémarche de prévention globale. C'est cette approcheglobale que revendiquent les éleveurs bio. Elle secaractérise par une prise en compte de l'ensembledes facteurs inter-agissants : lieux, climat, bâtiments,concentrations, sélection, etc., pouvant favoriser oucontrarier l'expression du bien-être et de la santé desanimaux. Dans cette approche, les virus et les bactériessont des compagnons historiques et inséparables desanimaux, entretenant en permanence des rapportssymbiotiques complexes. En agriculture bio, l'accentest mis sur les conditions globales d'existence desanimaux, l'environnement, mais aussi la qualité etl'équilibre des rations alimentaires, l'ambiance affective,l'état d'esprit de l'éleveur, la cohérence du projet...Tout est fait pour diminuer les stress et les risquesd'affaiblissement. Pour les éleveurs bio, l'apparitiond'une maladie indique un déséquilibre dont il conviendrad'identifier les causes. Les éleveurs bio sont doncsouvent réticents à utiliser la vaccination, en particulierlorsqu'ils ont bien équilibré leur système. L’utilisation dela vaccination est réservée aux seules maladies gravespour lesquelles aucune thérapeutique efficace, avec lesmédecines naturelles ou allopathiques, n’est disponible.Pour les auteurs, l'explosion des maladies néonatalesen élevage est consécutive à l'augmentation de lataille des cheptels et à la concentration des animaux.Dans l'élevage intensif, la prophylaxie sanitaire des30 dernières années a eu un recours de plus en plusmassif aux vaccinations, alors que, comme l'a montrél'exemple des diarrhées (collibacillaires, puis virales,suivies par les BVD - diarrhées virales bovines...) dansles cheptels de bovins allaitants, à partir des années1980, l'escalade à la vaccination n'a fait que contraindreà l'abattage de milliers d'animaux sains et coûterune fortune aux éleveurs. Les auteurs incitent doncà pratiquer la vaccination le moins possible, toujoursavec discernement, en réfléchissant en permanenceaux conditions d’élevage et aux effets à long terme desvaccinations sur la capacité globale de résistance d’unepopulation aux agressions.

Mots clés : CONTROVERSE / ALTERNATIVE / ELEVAGE /CONDITION D'ÉLEVAGE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / ELEVAGEINTENSIF / APPROCHE GLOBALE / BATIMENT D'ELEVAGE /BIEN-ÊTRE ANIMAL / COMPORTEMENT DE L'ANIMAL /VACCIN / SANTE ANIMALE / FRANCENATURE & PROGRES N° 115, 01/11/2017, 2 pages (p. 31-32)

réf. 244-086

Des références sur la production laitièredes Limousines en vêlage d’automne

BOURGEOIS Sophie

La Ferme expérimentale en AB de Thorignéd’Anjou (Maine-et-Loire) a comparé, sur 3 ans, lesperformances, en termes de production de lait, devaches Limousines en vêlage d’automne (en septembreet octobre). Ces vaches étaient réparties en 2 lots,avec chacun un régime alimentaire économe, l’unà base de foin (foin de luzerne et foin de prairieà flore variée) et le second à base de foin deluzerne et d'ensilage d’une association de céréaleset protéagineux. Chaque régime apportait la mêmequantité d’UF et de PDI. Étaient relevées la productionlaitière, la note d’état corporel des vaches, la croissancedes veaux. Ces derniers avaient du foin à dispositionet une complémentation d’au maximum 2 kilos parjour (2/3 de triticale-pois et 1/3 de féverole). L’étude apermis d’établir des références sur la production laitièrede Limousines en vêlage d’automne (ex : 7.5 litres/jour en moyenne, 70 jours après vêlage). Elle a aussimis en évidence l'absence de différence en termesde volumes de lait produits, d’état corporel ou encorede croissance des veaux entre les 2 lots, suivantle régime alimentaire. Par contre, il existe de fortesvariations de production de lait d’une vache à l’autre(de 3-4 litres par jour pour certaines à plus de 10 litrespour d’autres), avec notamment une production plusfaible pour les primipares. La Ferme Thorigné d’Anjoutravaille aujourd’hui à évaluer l’effet de la mise à l’herbede vaches en vêlage d’automne sur la production de lait.

Mots clés : BOVIN VIANDE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / REGIMEALIMENTAIRE / AUTOMNE / ESSAI / ALIMENTATION DESANIMAUX / VEAU / VACHE ALLAITANTE / ETAT CORPOREL /PRODUCTION LAITIERE / RACE BOVINE LIMOUSINE /LACTATION / VELAGE / CROISSANCE DES ANIMAUX / FERMEEXPERIMENTALE / MAINE ET LOIREREUSSIR BOVINS VIANDE N° 256, 01/02/2018, 2 pages(p. 44-45)

réf. 244-001

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PRODUCTIONS ANIMALES

Biopresse 244 - Mai 2018 10

Portrait du mois : L’art du cochon

BESNARD Antoine

Pierre-Yves Govin, éleveur naisseur-engraisseur enAB, installé en 1999 en Ille-et-Vilaine, pilote uneexploitation de 40 truies sur 28 ha de SAU. Cesystème compte 2.5 UTH et combine divers circuitsde commercialisation : vente directe en magasin deproducteurs, circuit long (Bio Direct) et vente deporcelets pour l’engraissement. Pour cet éleveur, deuxpoints sont importants : s’organiser, et savoir évoluer.S’organiser par exemple, pour optimiser sa productionsans pour autant crouler sous le travail, d’où le choixde mises bas en plein air, système moins gourmanden temps. Savoir évoluer : il fait évoluer ses circuitsde commercialisation selon les opportunités et lesaléas. Pour lui, dans le contexte changeant actuel,avec l’arrivée de nouveaux acteurs en AB, l’éleveurdoit rester maître de ses marchés, en combinant parexemple divers circuits de commercialisation, maisaussi en s’investissant pour rester au plus près duconsommateur et développer les partenariats construitsselon ses conditions. Aujourd’hui, avec un systèmealimentaire autonome à 50 %, ce producteur resteconscient qu’une autonomie plus élevée serait un atout.Mais son système actuel ne lui permet pas de produireplus d’aliments. Le coût d’achat d’aliment restant stableet le prix de vente de ses animaux adapté, le systèmeactuel offre un bon équilibre entre charges de travail etcoûts de production. Mais les choses peuvent changeret cette autonomie limitée peut devenir, à terme,un handicap : cet éleveur sait qu’il devra alors seréorganiser pour évoluer et s’adapter.

Mots clés : CONDUITE D'ELEVAGE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /NAISSEUR ENGRAISSEUR / COMMERCIALISATION / VENTEDIRECTE / CIRCUIT LONG / MAGASIN DE PRODUCTEURS /TEMOIGNAGE / PORCIN / PORCELET / BATIMENTD'ELEVAGE / ILLE ET VILAINESYMBIOSE N° 231, 01/02/2018, 2 pages (p. 24-25)

réf. 244-002

Rhône : Une ferme laitière en quasi-autonomie

RICHARD Samuel

Sur le GAEC des Chartreux, à Frontenas, dans leRhône, François Grange et Aymeric Morel parviennentà produire la quasi-totalité de l’alimentation de leurtroupeau sur 105 hectares. Ils conduisent leur cheptelde 45 vaches laitières (Holstein pures et croiséesmultiples) en bio, depuis 2002, en se basant sur lepâturage, le séchage du foin en grange, l’introductionde légumineuses (féverole semée pure et en méteil).Vingt-cinq euros d’aliments sont achetés pour produire1000 litres de lait. La production de 280 000 litres(7 200 l/VL/an) est livrée à Biolait. Les deux associésont trouvé leur rythme de travail, en se répartissant lesweek-ends et les traites.

Mots clés : DONNEE ECONOMIQUE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /BOVIN LAIT / AUTONOMIE ALIMENTAIRE / TEMOIGNAGE /RHONE / TRAVAIL EN AGRICULTURECAMPAGNES SOLIDAIRES N° 334, 01/12/2017, 1 page (p. 16)

réf. 244-061

Comment convertir en bio un systèmerobot de traite - zéro pâturage ? :Interview : Nicolas Roybin, éleveur laitierau GAEC de la Goula

CLEMENT Amandine

Dans cet interview, Nicolas Roybin, éleveur laitierbio au GAEC de la Goula (38), explique commentil a mis en place un système de pâturage tournantdynamique suite à la conversion. Auparavant, undistributeur d'alimentation fonctionnait 24h/24. 22 ha deprairie temporaire ont été implantés, et le distributeurne fonctionne plus tout le temps. Un passage a étéaménagé pour permettre aux vaches d'accéder aurobot de traite. Nicolas évoque les difficultés, lesinvestissements qu'il a dû réaliser, et aussi les actionspour aller vers plus d'autonomie. Sa stratégie consisteà voir les résultats sur la production en sécurisant sapremière année en bio, conscient que des progrès sontencore réalisables.

http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : ELEVAGE LAITIER / CONVERSION / ELEVAGEBIOLOGIQUE / INVESTISSEMENT / ROBOT DE TRAITE /TEMOIGNAGE / DISTRIBUTION DES ALIMENTS / PÂTURAGETOURNANT DYNAMIQUE / ISERE / BOVIN LAIT / AUTONOMIELA LUCIOLE N° 17, 01/10/2017, 2 pages (p. 13-14)

réf. 244-102

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PRODUCTIONS ANIMALES

11 Biopresse 244 - Mai 2018

Les prairies au service de l'élevage :Comprendre, gérer et valoriser les prairies

COUVREUR Sébastien / DELABY Luc /DOLIGEZ Etienne / ET AL.

Les prairies, qu'elles soient permanentes outemporaires, constituent aujourd'hui un enjeu majeurpour l'élevage, tant leurs atouts sont nombreux aussibien à l'échelle de la parcelle, de l'animal, du systèmed'élevage que du territoire. De ce fait, les prairiessont au cœur de l'évolution de l'agriculture versl'agroécologie. Néanmoins, la formation des futurséleveurs, conseillers, techniciens et ingénieurs laissepeu de place aux prairies. L'enjeu est donc deconvaincre les différents acteurs de l'intérêt des prairiesqui produisent généralement la ration de base desherbivores tout en contribuant à la performance, à lacompétitivité et à la durabilité des élevages, sans êtreparticulièrement complexes à gérer. Ainsi, sur la basedes ressources existantes recensées grâce au réseauconstitué par le RMT Prairies Demain, cet ouvragede référence a été créé dans l'objectif principal derassembler et simplifier les messages sur les prairies,en les recentrant sur les idées clés, en les illustrantpar des cas pratiques convaincants et opérationnels eten faisant appel à des expériences de formation. Ausommaire : - De l'espèce au couvert prairial ; - Gérer etvaloriser les prairies ; La prairie dans le système ; Lesrôles des prairies à l'échelle des élevages, des territoireset des filières : 8 cas concrets. Un guide à destination del'enseignant a été rédigé en complément de ce manuel.

Mots clés : SYSTEME HERBAGER / VALEURNUTRITIONNELLE / TERRITOIRE / FORMATION /CONDUITE TECHNIQUE / GESTION DU PATURAGE /AUTONOMIE ALIMENTAIRE / ALIMENTATION DES ANIMAUX /PERFORMANCE AGRONOMIQUE / PERFORMANCEENVIRONNEMENTALE / FOURRAGE / LEGUMINEUSEFOURRAGERE / PRAIRIE / COUVERT PRAIRIAL / PATURAGE /PRAIRIE PERMANENTE / PRAIRIE TEMPORAIRE / SYSTEMEFOURRAGER / SEMENCE PRAIRIALE / ELEVAGE /FRANCE / DONNÉE TECHNICO-ÉCONOMIQUE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / BOVIN / OVIN / CAPRIN / PATURAGE MIXTE /FERMOSCOPIE / ROBOT DE TRAITE2018, 328 p., éd. EDUCAGRI ÉDITIONS

réf. 244-103

Dossier spécial élevage herbivore

MOUCHARD Thierry / DUMET Fanny /LEBEAU Noëllie / ET AL.

Ce dossier aborde différentes thématiques : - l’arrivéede deux nouvelles espèces fourragères sur le marché(le Lablab, plutôt associé au maïs ensilage ou au sorghofourrager monocoupe, et le Cow-Pea, plutôt associéavec un moha ou un millet) destinées à augmenter letaux de protéines dans les fourrages ; les 1ers résultatsétaient encourageants, mais à confirmer ; - des résultatsd’essais menés par la Chambre d’Agriculture de laCreuse sur les méteils immatures afin de déterminerles mélanges les plus adaptés à la Creuse et lesdates de récolte optimales ; les rendements varientde 3 à 6.7 T MS/ha et les MAT de 12 à 19 %. Ilest particulièrement important de surveiller le stade derécolte pour un fourrage de qualité ; - des premièrestendances observées sur 4 variétés de maïs en Creuse(vigueur, productivité, précocité…) ; - l’alimentation,première médecine : l’alimentation ne doit pas êtredéséquilibrée ou carencée et la présence des micro-éléments (vitamines, oligoéléments comme le cuivre, lemanganèse, le zinc, le sélénium…) est essentielle pourmaintenir les animaux en bonne santé.

http://www.nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr/filieres-et-territoires/agriculture-biologique/publications/profilbio/formulaire-profilbio/profilbio/Mots clés : CONDUITE TECHNIQUE / DONNEE ECONOMIQUE /ESSAI VARIETAL / ELEVAGE BIOLOGIQUE / ESSAI /PREVENTION / ALIMENTATION DES ANIMAUX / BOVIN /CAPRIN / OVIN / RENDEMENT / FOURRAGE / MAISFOURRAGE / METEIL IMMATURE / LEGUMINEUSE /LEGUMINEUSE FOURRAGERE / LABLAB / NIÉBÉ / MELANGECEREALES PROTEAGINEUX / PLANTE FOURRAGERE /PROTEINE / SANTE ANIMALE / CREUSEPROFILBIO N° 1, 01/12/2017, 7 pages (p. 10-16)

réf. 244-122

Page 12: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS ANIMALES

Biopresse 244 - Mai 2018 12

Résultats technico-économiques2017 de l’atelier de naissage plein-airbiologique de la ferme porcine desTrinottières

MAUPERTUIS Florence

Les résultats technico-économiques 2017 de l’atelier denaissage plein-air biologique de la ferme expérimentaleporcine des Trinottières ont été impactés par la caniculeestivale. Cette dernière a notamment entraîné unebaisse de la fertilité des truies ou encore un plusfort taux de pertes de ces dernières. Cependant, unecharge alimentaire diminuée a limité l’impact négatifde ces indicateurs sur la marge sur coût alimentairepar truie, qui s’établit à 586 euros. Cette baisse dela consommation d’aliments s’explique en partie par lamise en place d’un essai pâturage tournant, dans lecadre duquel des truies gestantes ont eu à consommer,pendant 3 mois, une herbe riche en légumineuses. Pourles inciter à pâturer, elles recevaient un aliment pluspauvre en protéines (10.1 % de MAT contre 13.6 %) eten quantité plus réduite. L’analyse du gain d’épaisseurde lard dorsal en gestation a montré que le pâturagede légumineuses a compensé la restriction alimentaire.Par contre, une baisse du gain de poids vif en gestationa été observée sur les femelles ayant pâturé, en lienavec un moindre appétit en fin de gestation. Ce résultatmontrerait l’intérêt de distribuer, pour les truies aupâturage, une ration complète en aliments concentréspendant les 3 dernières semaines de gestation.

http://www.pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr/publications/publications-des-pays-de-la-loire/detail-de-la-publication/actualites/resultats-technico-economiques-2017-de-latelier-de-naissance-plein-air-biologique-de-la-ferme-porci/Mots clés : ELEVAGE BIOLOGIQUE / NAISSEUR / PLEIN-AIR / RESULTAT TECHNICO-ECONOMIQUE / ESSAI /ALIMENTATION DES ANIMAUX / PORCIN / PATURAGETOURNANT / FERME EXPERIMENTALE / PAYS DE LA LOIRE /MAINE ET LOIREL'AGRICULTURE BIOLOGIQUE EN PAYS DE LA LOIRE :RÉSULTATS DE RECHERCHE - PORC N° 151, 01/01/2018,2 pages (p. 1-2)

réf. 244-009

Page 13: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

13 Biopresse 244 - Mai 2018

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

ARBORICULTURE

Soigner bio tous les fruitiers : Reconnaîtreet maîtriser les maladies et ravageurs

JULLIEN Elisabeth / JULLIEN Jérôme

Ce guide permet d’identifier, de soigner et de prévenirles maladies et ravageurs des fruitiers. Il présente tousles traitements de biocontrôle autorisés au jardin etdes conseils de culture pour prévenir les maladies etles ravageurs. Si certains parasites sont spécifiquesd’un fruit, d’autres ennemis sont communs à plusieursfamilles de végétaux et fréquemment observés auverger. Un chapitre leur est consacré. Un autre chapitredétaille les maladies et ravageurs spécifiques et lesmoyens de lutte appropriés, fruit par fruit (abricotier,agrumes, petits fruits, cerisier, châtaignier, cognassier,figuier, néflier, noisetier, pêcher, poirier, amandier…).

Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / METHODE DELUTTE / PREVENTION / JARDIN / ARBORICULTURE /VERGER / PROTECTION DES VEGETAUX / RAVAGEUR /LUTTE BIOLOGIQUE / BIO-CONTROLE / FRUIT / MALADIE /PETIT FRUIT / FRANCE2018, 64 p., éd. EDITIONS ULMER

réf. 244-049

Les atouts de l'enherbement

LE CORRE Maude

En arboriculture, l’enherbement sur le rang présente denombreux atouts : maîtrise des adventices, améliorationde la structure, de la fertilité du sol et de la disponibilitéen eau, protection des cultures. Xavier Creté, de SudExpé Marsillargues dans l’Hérault et le Gard, aborde lespoints clés pour un enherbement adapté : déterminerl’objectif, quelles espèces et quelle gestion. Claude-Eric Parveaud, du Grab, souligne l’importante variationselon les systèmes et les pratiques. Différents essaisen cours s’intéressent aux potentiels des trèfles violet etblanc, de la fétuque ovine, de l’achillée millefeuille, dela petite pimprenelle). Le projet Placohb a pour objectif,d’ici 2020, de caractériser les effets d’un enherbementdu rang sur la culture et son potentiel pour favoriser labiodiversité fonctionnelle. Au cours d’un essai Grab-Inrade Gotheron (Drôme) conduit sur pêches, l’implantationde trèfle blanc nain a permis de : - diviser par deux laquantité d’azote apportée, sans perte de rendement nide qualité ; - augmenter la porosité du sol ; - diminuerles monilioses grâce à un effet tampon du couvert sur ladisponibilité en eau. Cependant, pour éviter les pertesde rendement, il convient de rester vigilant vis-à-vis descampagnols et de l’impact sur les jeunes vergers.

Mots clés : MONILIOSE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /COUVERT VEGETAL / FERTILISATION AZOTEE / FERTILITEDES SOLS / ARBORICULTURE / CONTROLE DESADVENTICES / ENHERBEMENT SUR LE RANG / PROTECTIONDES VEGETAUX / TRÈFLE BLANC / TRÈFLE VIOLET / PÊCHEFRUIT / EXPERIMENTATION / DROME / GARD / HERAULTREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 376, 01/10/2017, 2 pages(p. 34-35)

réf. 244-011

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PRODUCTIONS VÉGÉTALES

Biopresse 244 - Mai 2018 14

GRANDES CULTURES

Quelques préconisations pour le semisdes céréales et protéagineux cetautomne

BOISSINOT François

Une première partie de l'article est consacrée auchoix variétal de céréales à paille. Une synthèsedes résultats du réseau de criblage variétal, conduiten Pays de la Loire, permet d’identifier les variétésles mieux adaptées à l’agriculture biologique dansla région. Selon les objectifs et les débouchés,différentes variétés sont présentées en blé tendred’hiver, triticale, épeautre et seigle (profil variétal selonle potentiel de rendement et la résistance aux maladies).Une deuxième partie revient sur la préparation dessemences : - la récolte de 2017 offre une qualitéde grain encourageante ; - quelques précautions pourla multiplication de semences ; - comment effectuerun test de germination ; - la prévention contre lacarie. Une troisième partie s’intéresse à l’associationde céréales et de protéagineux. Des exemples demélanges sont proposés en fonction des objectifsde récolte recherchés (produit riche en protéagineux,mélange équilibré en céréales et protéagineux, produitriche en blé panifiable).

http://www.pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr/innovation-rd/agriculture-biologique/bulletins-techniques/technibio/Mots clés : CRIBLAGE VARIETAL / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / GRANDE CULTURE / BLÉ TENDRE /EPEAUTRE / SEIGLE / TRITICALE / MELANGE CEREALESPROTEAGINEUX / PRODUCTION DE SEMENCES / SEMENCEDE FERME / VARIETE / CARIE DU BLE / PAYS DE LA LOIRETECHNI BIO N° 74, 01/10/2017, 2 pages (p. 8-9)

réf. 244-016

La recherche s'empare des associationscéréales et protéagineux

NOËL Valérie

Les associations céréales-protéagineux présententde nombreux avantages et suscitent un grandintérêt en agriculture biologique, mais pas seulement.Les conseillers, techniciens et scientifiques ytravaillent sous plusieurs angles : - variétés mieuxadaptées ; - architecture du couvert. François Boissinot,en charge du bio à la Chambre d'Agriculture des Paysde la Loire, confirme l’augmentation systématique dela teneur en protéines du blé en association (d’environun point). Cependant, il n’est pas évident de prédire lerésultat d’une association (forte dépendance au climat,à la disponibilité en azote…).

Mots clés : PAYS DE LA LOIRE / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / QUALITE DU BLE / RENDEMENT / GRANDECULTURE / ASSOCIATION DE CULTURES / MELANGECEREALES PROTEAGINEUX / TENEUR EN PROTEINES /EXPERIMENTATIONREUSSIR GRANDES CULTURES N° 319, 01/12/2017, 3 pages(p. 36-38)

réf. 244-066

Le triage, nouvelle activité utile auxagrobiologistes

ROUSSEL Jean-Marc

A Plouaret, dans les Côtes d’Armor, la Cumades Ajoncs vient d’investir dans une trieuse mobile(74 000 €) dédiée aux récoltes AB en regroupant unequinzaine d’exploitations et avec le soutien financierdes Conseils Régional et Départemental. Le choixs’est porté sur une trieuse avec quatre grilles, dotéed’élévateurs spécifiques assurant une manutentiondes graines en douceur, et d’un cyclone ventilépour évacuer les poussières et les éléments légers.Cette nouvelle activité de la Cuma va permettre auxadhérents de réaliser plusieurs tâches : préparer lessemences, séparer des mélanges céréaliers, nettoyerdes récoltes…

Mots clés : TRI / COOPERATIVE D'UTILISATION EN COMMUNDU MATERIEL AGRICOLE / GRANDE CULTURE / MATERIELDE RECOLTE / TEMOIGNAGE / RECOLTE DES CEREALES /COTES D'ARMORENTRAID'OUEST N° 461, 01/11/2017, 1 page (p. 60)

réf. 244-067

Page 15: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

15 Biopresse 244 - Mai 2018

Techniques culturales simplifiées etcouverts végétaux : où en est-on en bio ?

L'ORPHELIN Samuel

AgribioDrôme et la fédération des CUMA de la Drômeont enquêté, en 2017, sur les pratiques mises enplace dans les fermes bio et concernant les techniquesculturales simplifiées et les couverts végétaux. Cetteenquête a permis d’identifier les obstacles spécifiquesà l’agriculture biologique et les leviers pour avancer surle sujet selon les systèmes de culture. Le non-labourn’est pas la panacée en bio et les TCS sont un outilparmi d’autres. Il est donc primordial pour chacun deconnaître ses besoins réels (contrôle des adventices,augmentation de la fertilité des sols…) et de reveniraux fondamentaux agronomiques. Il faut égalementbien prendre en compte le contexte environnementalde son exploitation et les moyens que l’on a à sadisposition pour mettre en place ces techniques. Unrecueil d’expériences sur les couverts végétaux et lesTCS est disponible sur le site internet www.produire-bio.fr. Différents travaux sont en cours ou à venir sur lesujet en Région AURA (ADABIO, AgribioDrôme, ISARA,etc).

https://www.produire-bio.fr/archives-lettres-filieres/Mots clés : PRATIQUE AGRICOLE / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / COUVERT VEGETAL / ENQUETE / SOL /TRAVAIL DU SOL / NON LABOUR / GRANDE CULTURE /ROTATION DES CULTURES / TECHNIQUE CULTURALESIMPLIFIEE / AUVERGNE-RHONE-ALPES / DROMELETTRE FILIÈRES FNAB - GRANDES CULTURES N° 11,01/01/2018, 3 pages (p. 1-3)

réf. 244-123

JARDINAGE

Soigner bio tous les légumes : Reconnaîtreet maîtriser les maladies et ravageurs

JULLIEN Elisabeth / JULLIEN Jérôme

Ce guide permet d’identifier, de soigner et de prévenirles maladies et ravageurs des légumes. Il présente tousles traitements de biocontrôle autorisés au jardin etdes conseils de culture pour reconnaître et prévenir lesmaladies et les ravageurs. Si certains parasites sontspécifiques d’un légume, comme la hernie du chou, parexemple, d’autres ennemis sont communs à plusieursfamilles de végétaux et fréquemment observés aupotager : limaces, larves du sol, chenilles défoliatrices,pucerons, oïdium…. Un chapitre leur est consacré.Un autre chapitre détaille les maladies et ravageursspécifiques de certains légumes et indique des mesuresde prévention des risques phytosanitaires, légumepar légume (artichaut, asperge, aubergine, betterave,carotte, chou, haricot, melon, poireau, pomme deterre…).

Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / METHODE DELUTTE / PREVENTION / BIO-CONTROLE / MARAICHAGE /PROTECTION DES VEGETAUX / RAVAGEUR / LUTTEBIOLOGIQUE / INSECTE AUXILIAIRE / LEGUME / MALADIE /FRANCE / JARDINAGE2018, 64 p., éd. EDITIONS ULMER

réf. 244-050

Page 16: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

Biopresse 244 - Mai 2018 16

La taupe

BOSSE-PLATIERE Antoine

La taupe (Talpa europae) peut creuser jusqu'à20 mètres de galerie avec ses pattes en forme de pellesmunies de griffes solides. Au jardin, elle est accuséede couper les racines des fruitiers, de bouleverserla surface du gazon où elle crée des monticules,d'impacter le capital fertilité du sol en dévorant un grandnombre de vers de terre... Cependant, la cohabitationreste possible et les dégâts à relativiser... Selon l'Inra,sa prédation vis-à-vis des lombrics ne modifie guère ladensité de leur population sur la durée. Par contre, lataupe aère la terre et draine le sol, enrichit ce dernierdes minéraux issus des couches profondes et se nourritaussi de quelques ravageurs comme les vers blancs, lesvers gris, les hannetons, les tipules, etc. Pour éloignerles taupes sans les tuer, diverses astuces peuventêtre testées : installer à proximité du nid un émetteurd'ultrasons, mettre dans les galeries des bulbes defritillaire impériale, de jacinthe, d'oignon ou d'ail...

Mots clés : TAUPE / METHODE DE LUTTE / SOL / JARDINAGE /PROTECTION DES VEGETAUX / ENNEMI DES CULTURES /RONGEUR / AGRICULTURE BIOLOGIQUEQUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES) N° 229, 01/03/2018,2 pages (p. 18-19)

réf. 244-089

Dossier : Jardiner sans se ruiner

DUPONT Perrine / LAPOUGE-DEJEAN Brigitte /LOQUET Alan / ET AL.

Quatre articles composent ce dossier destiné à donnerdes idées et des conseils pour "jardiner sans seruiner" : - Mon jardin, cette quincaillerie ; Comments'y prendre pour toujours avoir disponibles purinsde plantes, paillages, tuteurs... ; - Multiplier, c'estgagner ; Comment multiplier les plantes et réussirles boutures ; - Les graines se font la malle ;Pour mieux connaître les grainothèques et leurfonctionnement ; - S'équiper à moindre frais.

Mots clés : PAILLAGE / PURIN DE PLANTES / BUDGET /RECYCLAGE / PETIT OUTILLAGE / COÛT / JARDINAGE /POTAGER / BOUTURAGE / SEMENCE VEGETALE / GRAINE /FRANCEQUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES) N° 229, 01/03/2018,15 pages (p. 24-38)

réf. 244-090

L'échalote, droit au bulbe

GOEPFERT Josiane

Un minimum de chaleur s'avère nécessaire pourdémarrer la culture de l'échalote. Si, dans les régionsau climat méditerranéen, la plantation s'effectue ennovembre ou en décembre, elle peut être commencéedans bien des cas au printemps. On trouve deux grandstypes d'échalotes : la grise et la Jersey, reconnaissableà sa tunique cuivrée. Il en existe aussi des variétésanciennes locales, comme "D'Alançon", "Mikor", ouencore "Limador". Le choix de la variété se fera enfonction de la région et de la saison (encart). Quelquesconseils de culture permettront de mener à bien laculture de l'échalote, réputée comme le bulbe le plusfacile à produire.

Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / JARDINAGE /TECHNIQUE CULTURALE / ECHALOTE / VARIETE / FRANCEQUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES) N° 229, 01/03/2018,4 pages (p. 40-43)

réf. 244-091

Poivrons sur le gril

BOSSE-PLATIERE Antoine

Un essai variétal sur les poivrons a été mené auCentre de Terre Vivante en 2017. Huit variétés ont étécommandées chez des producteurs de semences bio :"Rosso duemila", "Sweet banana", "Chocolat", "Trèslong des Landes", "Giant szegedi", "Corno di toro rosso","Petit marseillais" et "Pantos". Les faits marquants del'essai sont décrits, puis chaque variété fait l'objet d'uneappréciation, en termes de précocité, de rendement, detexture et de goût.

Mots clés : ESSAI VARIETAL / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /GOÛT / TEXTURE / ESSAI / RENDEMENT / JARDINAGE /POIVRON / VARIETE / ISEREQUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES) N° 229, 01/03/2018,3 pages (p. 58-60)

réf. 244-092

Page 17: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

17 Biopresse 244 - Mai 2018

Guérilléros des potagers

NOBLET Jean-François

Le campagnol est l'auteur de nombreux forfaits aujardin. En France, selon les régions, on trouve lecampagnol terrestre fouisseur, le campagnol deschamps et le campagnol provençal. Il se distingue dumulot et du rat qui, l'un comme l'autre, consommentdes fruits et légumes généralement sur le sol, alorsque le campagnol opère en souterrain. Il se distingueaussi de la taupe. Les dégâts causés par le campagnolsont d'autant plus importants en cas de pullulation(jusqu'à 1000 individus à l'hectare...). Les moyens pourse débarrasser du campagnol passent par certainsaménagements (construction, d'un mur autour du jardin,pose de grillage au sol...) et, en dernier recours, lapose de pièges. Favoriser les prédateurs du campagnolconstitue aussi une solution pour réguler les populationsde ce ravageur. Aménager un espace reculé plusfavorable (laisser des noix tombées au sol, laisser fleurirune prairie, etc.) peut aussi avoir une efficacité, cetespace offrant au petit animal une alternative qui pourral'éloigner des cultures.

Mots clés : JARDIN / PROTECTION DES VEGETAUX /RAVAGEUR / PIEGEAGE / RONGEUR / CAMPAGNOL /JARDINAGE / FRANCEQUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES) N° 229, 01/03/2018,5 pages (p. 62-66)

réf. 244-093

MARAÎCHAGE

Les modes de destruction des engraisverts

BARGAIN Véronique

Dans le cadre du projet régional Pays de la LoireAtila 2016-2019, des essais sont menés au Ctiflde Carquefou (Loire-Atlantique) sur les modes dedestruction des engrais verts. Implantés avant uneculture de chou-fleur, deux couverts hivernaux sonttestés (Chlorofiltre 31, mélange d’avoine rude, de vescecommune et de trèfle d’Alexandrie ; ainsi que Chlorofiltre30H, associant du seigle, de la vesce commune etdu trèfle incarnat) selon trois modalités de destruction.Une première modalité en travail du sol classique(enfouissement), une deuxième en travail modéré oustrip-till (roulage avec rouleau Faca) et une troisième paroccultation (roulage, puis bâchage pendant deux-troissemaines). Les premiers résultats montrent des pointspositifs et négatifs pour chacun des trois modes, entermes de structure du sol, de sensibilité aux ravageurs,ainsi que d’enracinement et de rendement du chou. Ladestruction par occultation semble un bon compromis,estime Sébastien Picault, ingénieur de recherche etd’expérimentation au Ctifl. Les essais vont se poursuivreavec un engrais vert moins robuste et qui ne monte pastrop haut, comme le trèfle. Un encart décrit la méthodestrip-till issue de l’agriculture de conservation.

Mots clés : ROULAGE / STRIP-TILL / DESTRUCTION / ENGRAISVERT / TRAVAIL DU SOL / MARAICHAGE / DESHERBAGEPAR OCCULTATION / TECHNIQUE CULTURALE SIMPLIFIEE /CHOU FLEUR / EXPERIMENTATION / LOIRE ATLANTIQUEREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 376, 01/10/2017, 2 pages(p. 36-37)

réf. 244-012

Page 18: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

Biopresse 244 - Mai 2018 18

La maladie de la tache de la carotte

LASNIER Adrien

La maladie de la tache de la carotte ou cavity spotest l’un des soucis majeurs de la production decarottes. Elle touche tous les types de carottes etprovoque des baisses de rendement jusqu’à 30%(hausse de la mortalité des jeunes plantules, arrêtde la tubérisation…). Dans les années 1980, leschampignons du genre Pythium ont été identifiéscomme responsables de la maladie. Les moyens deprotection préconisés sont : - choisir des variétés plustolérantes ; - respecter un délai de retour pour lacarotte de 5 ans dans la rotation ; - apporter ducalcium ; - éviter les zones d’accumulation d’eau quifavorisent le développement des champignons.

Mots clés : CAVITY SPOT / METHODE DE LUTTE /MARAICHAGE / PROTECTION DES VEGETAUX / LUTTEPREVENTIVE / CAROTTE / MALADIE CRYPTOGAMIQUE /CHAMPIGNON PATHOGENE / SYMPTOME / FRANCEREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 376, 01/10/2017, 1 page(p. 42)

réf. 244-014

Serre mobile : Le maraîchage comme surdes roulettes

MIARRA Jonas

L'exemple des serres mobiles est une bonne illustrationde la façon dont les agriculteurs innovent et partagentleurs découvertes pour faciliter la transition despratiques agricoles. A la ferme maraîchère "Le Potagerde Marie-Line" (88), Marie-Line a mis au point uneserre équipée de roulettes et montée sur des rails. Elleen tire de nombreux avantages : hâter et prolongerles cultures, mais aussi ne pas surexploiter les partiescouvertes (ce qui est le cas avec des tunnels fixes),amplifier la diversité des cultures, etc. Après la lectured'un article de l'Atelier Paysan sur l'autoconstruction desserres mobiles du Potager de Marie-Line, un groupede maraîchers lorrains a commencé à réfléchir auxpossibilités d'autoconstruire à moindre coût cet outil.Avec l'aide de l'Atelier Paysan, un premier prototypagea été réalisé et le chantier de construction a prisplace. Objectif : transformer un tunnel existant enserre mobile. Depuis cette expérience réussie, lesserres mobiles font désormais partie des "communs"à partager, comme de nombreux outils autoconstruitsgrâce à cette dynamique collective. L'Atelier Paysancontinue d'améliorer le modèle, en travaillant sur latransformation d'autres types de serres, avec d'autresagriculteurs.

Mots clés : GROUPE D'AGRICULTEURS /AUTOCONSTRUCTION / INNOVATION / MATERIELAGRICOLE / SERRE / MARAICHAGE / LORRAINE / VOSGESSYMBIOSE N° 231, 01/02/2018, 2 pages (p. 18-19)

réf. 244-054

Page 19: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

19 Biopresse 244 - Mai 2018

Maraîchage : Rémi, acteur d'un collectifde progrès

CHATENET Sophie

Rémi Bergeot est installé en maraîchage bio depuis2015, sur 3,5 ha, à Saint-Germain-Lembron (63). Tousses légumes sont vendus quasiment exclusivementen vente directe, sur la ferme et sur un point devente à côté de Clermont-Ferrand. Afin de progressertechniquement, il a rejoint le réseau des Fermes Dephy,qui compte 11 maraîchers en Auvergne. Mehdi Aït-Abbas, technicien maraîchage bio à la FRAB Auvergne-Rhône-Alpes, accompagne le réseau. "La maîtrise desadventices constitue l'une de nos priorités", souligne-t-il. Ainsi, trois types d'expérimentations vont êtremenées dans ce cadre : la solarisation ou l'occultation,l'association de cultures et le test de matériel dedésherbage automatisé. Il s'agit de comparer l'intérêttechnique, mais aussi de prendre en compte larentabilité, l'organisation, la pénibilité...

Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / VENTEDIRECTE / TEMOIGNAGE / MARAICHAGE / CONTROLE DESADVENTICES / EXPERIMENTATION / AUVERGNE-RHONE-ALPES / PUY DE DOMEAUVERGNE AGRICOLE (L') N° 2749, 22/03/2018, 1 page (p. 7)

réf. 244-058

PLANTES AROMATIQUES ETMÉDICINALES

"Le couvert végétal limite ledépérissement de la lavande"

DEBREGEAS Kévin

Kévin Debregeas, conseiller grandes cultures et PPAMà la Chambre d’agriculture de la Drôme, aborde l’intérêtd’un couvert végétal contre le dépérissement de lalavande. Depuis 1987, lavandes et lavandins subissentdes attaques du phytoplasme du Stolbur, transmispar une cicadelle, sèchent et finissent par mourir.Associer l’implantation de plants sains et l’applicationd’argile kaolinite, avec la mise en place d’un couvertvégétal semé en inter-rang, semble une bonne piste.Depuis 2015, cette modalité est testée, mais la largeurtrop importante du couvert a conduit à une baissedu rendement en huile essentielle. Un agriculteur atesté avec succès une réduction de 90cm à 50cm dela largeur de son couvert végétal (60% de fétuquerouge gazonnante et 40% de RGA gazonnant) :le rendement a plus que doublé dans la modalitéenherbée, principalement dû à un dépérissementmoindre. La Chambre préconise un couvert végétalde graminées permanentes à condition que la largeurdu couvert soit au maximum de 30% de la largeurde l’inter-rang. Le machinisme constitue le principalfrein à cette méthode. Un groupe d’agriculteurs s’estconstitué autour de cette problématique dans le cadredu programme de recherche CASDAR Recital.

https://www.reussir.info/fruits-legumes/kevin-debregeas-le-couvert-vegetal-limite-le-deperissement-de-la-lavandeMots clés : DEPERISSEMENT / INTERVIEW / COUVERTVEGETAL / ENHERBEMENT INTER-RANG / ESSAI / PLANTEA PARFUM AROMATIQUE ET MEDICINALE / LAVANDE /LAVANDIN / PROTECTION DES VEGETAUX / MALADIEPHYTOPLASMIQUE / DROMEREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 376, 01/10/2017, 1 page(p. 41)

réf. 244-013

Page 20: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

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Biopresse 244 - Mai 2018 20

Distillerie à la ferme : un outilà dimensionner techniquement etéconomiquement

WRIGHT Julia

Carole Roux s'est installée en bio dans la Drôme, en2001, sur 137 ha, dont 18 ha cultivables (montagnesèche). Une dizaine d'années auparavant, elle a eul'idée d'installer une distillerie sur la ferme, pour pouvoirvaloriser elle-même les petits volumes de plantes issusde ses cueillettes. Son mari, Manu, s'occupe de ladistillerie, qui fonctionne aujourd'hui avec 5 vases. Enmatière d'investissement, l'ensemble de la distilleriea représenté autour de 15 000 à 20 000 euros,sans compter la main-d’œuvre pour l'autoconstruction.La question de la rentabilité est centrale dans leurprojet et motive un certain nombre d'améliorations enréflexion, comme réintroduire l'eau chaude issue durefroidissement dans le circuit. Mais, qu'elle soit neuveou pas, une distillerie à la ferme demande d'acquérir denouvelles compétences, y compris pour être en capacitéd'entretenir et de réparer soi-même le plus possible.

http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : DISTILLERIE / MATERIEL / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / TRANSFORMATION A LA FERME / HUILEESSENTIELLE / AUTOCONSTRUCTION / INVESTISSEMENT /TEMOIGNAGE / CUEILLETTE / PLANTE A PARFUMAROMATIQUE ET MEDICINALE / DROMELA LUCIOLE N° 17, 01/10/2017, 1 page (p. 10)

réf. 244-100

PROTECTIONPHYTOSANITAIRE

Index Acta biocontrôle - 2018

CHARBONNIER Edwige / DIONISIO Clément /PRINGARD Nathalie

Le biocontrôle est un ensemble de méthodes deprotection des végétaux basé sur la gestion deséquilibres biologiques et des mécanismes naturels. Ilsuscite beaucoup d’espoir dans un contexte sociétalet réglementaire de réduction de l’utilisation desproduits phytosanitaires. Quelles sont les solutionsde biocontrôle existantes ? Comment sont-ellesutilisées, quels sont les produits de biocontrôlecommercialisés et pour quels résultats ? Que dit laréglementation ? L’index biocontrôle propose : - Unedéfinition du biocontrôle, ainsi qu’une descriptionprécise des agents qui le composent (macro-organismes, micro-organismes, médiateurs chimiques,substances naturelles) ; - Un point sur la réglementationen vigueur ; - Des fiches d’exemples d’utilisation dessolutions de biocontrôle sur le terrain pour illustrerleur contribution dans la protection intégrée descultures (lutte contre la pyrale du maïs, le Sclerotiniasclerotinium sur colza, les limaces et les escargots,l’otiorhynque du fraisier, le carpocapse des pommeset des poires, la pourriture grise sur vigne, l’oïdiumen horticulture, la pyrale du buis, l’otiorhynque enpépinière) ; - Un répertoire des produits avec leursusages, leur classification toxicologique, les conditionsd’emploi...

Mots clés : BIOPRODUIT / PRODUITPHYTOPHARMACEUTIQUE / REGLEMENTATION /PROTECTION DES VEGETAUX / LUTTE BIOLOGIQUE / BIO-CONTROLE / PHEROMONE / FRANCE / ENTREPRISE2018, 374 p., éd. ACTA - LES INSTITUTS TECHNIQUESAGRICOLES

réf. 244-130

Page 21: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

21 Biopresse 244 - Mai 2018

Basic and low-risk substances underEuropean Union pesticide regulations: anew choice for biorational portfolios ofsmall and medium-sized enterprises

Substances de base et à faible risque selon lesrèglements de l'UE sur les pesticides : un nouveau choixpour les portefeuilles de biocontrôle des PME (Anglais)

MARCHAND Patrice

La directive 2009/128/CE du Parlement européen etdu Conseil du 21/10/2009 a établi un cadre pourl'action de la Communauté visant à assurer unusage des pesticides en phase avec la durabilitéet à encourager le biocontrôle à faible niveau depréoccupation. Les substances de base décritesà l'article 23 du règlement phytosanitaire CE n° 1107/2009 consistent en une nouvelle catégorieopérationnelle pour les substances phytosanitaires,avec 16 substances approuvées jusqu'à présent. Unautre statut, régi par l'article 22, s'applique égalementà 11 substances à faible risque approuvées (voirla base de données de l'UE sur les pesticides).Aujourd'hui, les petites et moyennes entreprisesont la possibilité d'enregistrer des substances debiocontrôle au niveau de l'UE dans l'une des2 catégories. L'ITAB a déjà fourni une expertisetechnique sur la façon de remplir la demande desubstance de base (BSA), avec une description despremiers résultats. Cependant, il est clair qu'il estnécessaire d'effectuer une enquête plus courte sur les2 procédures parallèles pour les PME. Une séquenceconcise des étapes nécessaires pour les PME estprésentée, y compris une approche stratégique, unedescription rapide des étapes, un calendrier pourl'organisation globale, jusqu'à la dernière étape, aprèsapprobation du Comité permanent des végétaux,des animaux, des aliments et de l'alimentation. Lesavantages et les limites des 2 lois sont présentés.L'introduction de substances approuvées dans l'AB estégalement discutée. Actuellement, les voies d'accèsaux substances de base et à faible risque sontaccessibles aux produits bio-rationnels (bio-contrôle)gérés par les PME. Par conséquent, les PME ontmaintenant 2 options : la possibilité de rechercher uneapprobation des substances actives à faible risqueavec des autorisations de mise sur le marché ou uneapprobation de substance de base sans revendicationde produit phytopharmaceutique, selon la stratégiechoisie.

http://www.plantprotection.pl/index.php?option=com_content&task=view&id=863&Itemid=122Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AGRICULTURECONVENTIONNELLE / PME / REGLEMENTATIONEUROPEENNE / PROTECTION DES VEGETAUX / BIO-CONTROLE / SUBSTANCE DE BASE / EUROPEJOURNAL OF PLANT PROTECTION RESEARCH N° Vol. 57, n° 4, 21/11/2017, 8 pages (p. 433-440)

réf. 244-131

Novel Plant Protection Regulation: NewPerspectives for Organic Production

Nouvelle réglementation sur la protection des végétaux :nouvelles perspectives pour la production biologique(Anglais)

MARCHAND Patrice

Les "substances actives" (A.S.) dites "autorisées dansla production biologique" sont régulièrement critiquéespour différentes raisons. Auparavant, bien qu'autoriséesen agriculture biologique, certaines substances n'étaientpas homologuées en vertu de la réglementationgénérale des produits phytopharmaceutiques (PPP)de l'UE ; elles ont donc été éliminées pour leurtoxicité ou leurs caractéristiques exposées (persistance,large spectre). Des approbations récentes au titrede différents nouveaux articles du règlement (CE) n° 1107/2009 ont abouti à des substances accordéessans limites maximales de résidus (LMR). L'auteura déjà décrit la catégorie "substance de baseapprouvée" (article 23) comme candidat potentiel pourl'agriculture biologique ; ici sont décrites es substancesà faible risque (article 22) comme de nouveauxinstruments de substitution des biopesticides utilisés enAB controversés et, en conséquence, comme candidatà la substitution (article 24).

http://www.librelloph.com/organicfarming/article/view/of-4.1.3Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AGRICULTURECONVENTIONNELLE / SUBSTANCE A FAIBLE RISQUE /REGLEMENTATION EUROPEENNE / PROTECTION DESVEGETAUX / CUIVRE / EUROPEORGANIC FARMING N° Vol. 4, n° 1, 17/05/2018, 4 pages (p. 3-6)

réf. 244-008

Page 22: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

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Biopresse 244 - Mai 2018 22

SOL

Dossier : Le sol vivant n'est pas uneoption

DE BELLEFROID Fabrice

Le sol n'est pas une matière minérale inerte etinterchangeable. C'est dans la forêt que l'on observe lemieux la richesse du sol, car c'est là qu'il est le moinsperturbé. Le sol est la couche intermédiaire, faite deterre, qui sépare la roche-mère, en-dessous, de la litière,faite de feuilles, de morceaux de bois décomposés...,au-dessus. Ce sol peut aller de quelques centimètresd'épaisseur seulement à beaucoup plus, en fonction deson histoire et surtout de l'intensité de son activité. Lesol travaille en permanence la matière minérale, il digèrela matière organique, mélange les deux en présencede l'eau et élabore cette "terre" qui va nourrir lesplantes. L'auteur explique très clairement le processusde minéralisation de la matière organique et comment lamatière organique nourrit le sol qui va nourrir la plante àson tour... L'article s'attache à montrer ce qu'est un solvivant, quelles sont les bonnes pratiques agricoles quien respectent la vie et l'équilibre, quelles sont les cléspour maintenir une bonne fertilité des sols, etc.

Mots clés : PEDOLOGIE / SUBSTANCE MINERALE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AMENDEMENT / COMPOST /MATIERE ORGANIQUE DU SOL / SOL / COMPOSITIONDU SOL / HUMUS / FERTILITE DES SOLS / TRAVAIL DUSOL / VIE BIOLOGIQUE DU SOL / RELATION SOL PLANTE /MYCORHIZE / AZOTE / PHOSPHOREVALERIANE N° 130, 01/03/2018, 8 pages (p. 6-13)

réf. 244-082

Agriculture biologique, une approchescientifique

DE CARNÉ-CARNAVALET Christian

L’agriculture biologique est l’art de cultiver les bactérieset les champignons en les nourrissant de matièresorganiques, pour aboutir à la mise à disposition desplantes de tous les minéraux nécessaires à l’obtentionde récoltes abondantes et saines. Ce livre décrit etexplique le fonctionnement d’un monde souterrain,en perpétuel mouvement, où animaux et végétaux,la plupart du temps microscopiques, se côtoient, sedévorent, s’empoisonnent, s’associent, se livrent desguerres ethniques ou fratricides pour s’emparer dela nourriture disponible. Ils rejettent ainsi dans le soldes quantités de substances chimiques de plus enplus fines, des antibiotiques, des enzymes… sous lecommandement implacable des plantes qui orchestrentces guerres telluriques pour leur seul bien-être. Celivre est le résumé des nouvelles pratiques agricolesmises au point par les chercheurs et les agriculteurspionniers depuis 40 ans. Il se veut pratique. Le lecteurest invité à entrer au cœur des écosystèmes pourcomprendre pourquoi la « vraie agriculture biologique »est simple. L'ouvrage présente les diverses applicationsde la biologie du sol à toutes les formes d’agriculture :céréaliculture, maraîchage, viticulture, arboriculture,jardinage… Dans la 2ème partie, par métier, l’auteurmontre comment chaque agriculteur peut concrètementaméliorer ses pratiques de production et préparerl’agriculture de demain.

Mots clés : ALGUE MARINE / GUIDE PRATIQUE / INGÉNIERIE /PRATIQUE AGRICOLE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /AGRICULTURE DURABLE / ECOSYSTEME / AGRONOMIE /AMENDEMENT / FERTILISATION / MATIERE ORGANIQUE DUSOL / SOL / ACTIVITE BIOLOGIQUE DU SOL / MICROFAUNE /STRUCTURE DU SOL / TRAVAIL DU SOL / JARDINAGE /ARBORICULTURE / ASSOLEMENT / CEREALICULTURE /MARAICHAGE / VITICULTURE / TECHNIQUE CULTURALE /CHAMPIGNON / VIE BIOLOGIQUE DU SOL / MICROFLOREDU SOL / RACINE / MICRO-ORGANISME / BACTERIE /SYMBIOSE / MYCORHIZE / LOMBRIC / RECHERCHE /NEMATODE2018, 574 p., éd. EDITIONS FRANCE AGRICOLE

réf. 244-129

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23 Biopresse 244 - Mai 2018

VITICULTURE

Développer le bio et préserver l'eau :un collectif de viticulteurs du Gard semobilise

ALIM'AGRI

Dans le Gard, autour de Vergèze, les vignes cultivéespar la SCA de la voie d’Héraclès longent la voieantique « via Domitia ». Elles côtoient les forages dela société source Perrier, propriétaire de 980 hectares.Préserver l’eau des nitrates et herbicides, activerles plans d’actions de préservation des zones decaptage d’eau potable, résister à la pression foncièreet développer la viticulture biologique, les enjeux sontmultiples sur ce territoire. Pourquoi créer un groupementd’intérêt économique et environnemental (GIEE) ? Pourrépondre à toutes ces problématiques et dégager descompromis.

http://www.dailymotion.com/video/x554yba_developper-le-bio-et-preserver-l-eau-un-collectif-de-viticulteurs-du-gard-se-mobilise_newsMots clés : TERRITOIRE / PROTECTION DEL'EAU / DEVELOPPEMENT DE L'AB / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT /VITICULTURE / BASSIN D'ALIMENTATION DECAPTAGE / GARD / PROVENCE-ALPES-COTE-D'AZUR /FONCIER / GROUPEMENT D'INTÉRÊT ÉCONOMIQUE ETENVIRONNEMENTAL (GIEE)2016, 1 min. 22 sec., éd. ALIM'AGRI

réf. 244-031

Des animaux et des vignes

FURET Arnaud

Dans le Gard, l’association de vignerons bio Grappe3 asouhaité diminuer la pression environnementale dueaux passages de tracteurs dans les vignes. Lepastoralisme en plaine et en vignoble, qui se pratiquaitpar le passé, pourrait être une solution. Les vigneronsont lancé le projet "La vigne Bêêêle" pour permettrel'installation d'un berger, dont le troupeau de brebisRaïoles viendrait paître dans les vignes de chacunselon un planning prédéfini. Pour d'autres vignerons,la solution animale a été mise en place à l'échellede la ferme. C'est le cas de Fabrice Pariat (74), parexemple, avec des brebis Thônes-et-Marthod, ou deJacques Carroget, en Pays de la Loire, avec 20 moutonsd'Ouessant et 20 brebis Bleu du Maine. Dans le Bugey(01), Guillaume Lavie et Aline Ziemniack ont repris1,5 ha de vignes, tout en travaillant aussi en dehors dela viticulture. Ils ont installé des moutons, uniquementaprès la vendange, mais ont cherché aussi un auxiliairede maîtrise de l'herbe à l'année... Ils ont ainsi introduit,dans une parcelle de 25 ares, dix oies et quelquespoules, avec un résultat encourageant.

http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : ASSOCIATION ANIMAL CULTURE / OVIN /TEMOIGNAGE / OIE / POULE / BREBIS / VITICULTURE /DESHERBAGE / VOLAILLE / VIGNE / AIN / HAUTE SAVOIE /GARD / PAYS DE LA LOIRE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /CONTROLE DES ADVENTICESLA LUCIOLE N° 17, 01/10/2017, 2 pages (p. 11-12)

réf. 244-101

Page 24: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

PRODUCTIONS VÉGÉTALES

Biopresse 244 - Mai 2018 24

Vignoble bio : Soigner la taille pourassurer la pérennité

GIRARD Michel

Les maladies du bois (Eutypiose, ESCA…) causentdes dégâts importants sur les vignobles de lafaçade atlantique. Or, les contaminations se fontessentiellement par les plaies de taille. Il semble doncutile d’adopter des mesures prophylactiques (dont lesoin apporté à la taille) pour protéger le vignoble.Un essai a ainsi été mis en place en 2008 chez unviticulteur, en partenariat avec Vitibio Poitou-Charentes,afin de comparer deux modes de taille : taille Guyottraditionnelle et taille Guyot Poussard. La taille GuyotPoussard respecte les courants de sève, n’est pasmutilante et limite les plaies de taille. Elle favorise descoursons de rappel situés sous les bras des ceps. Desobservations de symptômes d’eutypiose et d’ESCA/BDA ont lieu chaque année sur les 240 ceps. Cetessai a été mis en place dès la plantation, la vigneest actuellement en 10ème feuille. A ce jour, aucunsymptôme de maladies du bois n’a été observé, maiscet essai s’inscrit dans le temps.

http://www.nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr/filieres-et-territoires/agriculture-biologique/publications/profilbio/formulaire-profilbio/profilbio/Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ESSAI /VITICULTURE / PROTECTION DES VEGETAUX / TAILLE /MALADIE DU BOIS / POITOU-CHARENTESPROFILBIO N° 1, 01/12/2017, 2 pages (p. 21-22)

réf. 244-121

Page 25: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

25 Biopresse 244 - Mai 2018

MARCHÉ

FILIÈRE

L'APLB Grand Est : L'union des éleveursnon coopérateurs

BARRERE Céline / GIRARD Danaé

L'APLB Grand Est est une organisation de producteurscréée en avril 2014, dans le but de fédérer lesproducteurs laitiers bio non coopérateurs d'Alsace,de Lorraine, de Franche-Comté et de Champagne-Ardenne. Elle regroupe 85 producteurs de deux laiteries(Mulin et Lactalis) et représente 17 millions de litresde lait annuels. Aujourd'hui, elle apparaît comme unevéritable opportunité de rassembler le plus grandnombre de producteurs, afin de rééquilibrer les forcesdans les discussions de l'après quotas.

http://www.bioenlorraine.org/lettres-abMots clés : ELEVAGE BIOLOGIQUE / FILIERE LAIT /ORGANISATION DE PRODUCTEURS / FRANCHE COMTE /GRAND-EST / ALSACE / CHAMPAGNE ARDENNE /LORRAINE / BOVIN LAIT / ORGANISATION DE L' ABLES LETTRES AB - MAGAZINE DES PRODUCTEURS BIO DUGRAND EST N° 2, 01/12/2017, 1 page (p. 12)

réf. 244-037

Perspectives pour le lait bio en France etconcurrences étrangères, regard sur lesprincipaux producteurs en Europe

COCAUD Elisabeth

Lors du SPACE de septembre 2017, des intervenantsont présenté les chiffres de la filière lait bio, ainsi que sesperspectives. Le marché français des produits laitiersbio montre une croissance soutenue depuis 10 anset atteint un chiffre d’affaires de 700 millions d’euros.La transformation et les ventes en GMS des produitslaitiers bio se développent rapidement, particulièrementpour les produits ultra-frais et les fromages (+17 %et +15 % par an). Cependant, des filières de laitsdifférenciés (avec des notions de proximité, santé)se mettent en place. A l’échelle mondiale, l’Amériquedu Nord et l’Europe sont les principaux bassins deproduction et de consommation de lait bio. En Europe,la collecte de lait bio atteint 5 milliards de litres (soit3,3 % du lait total collecté), avec une augmentationde 11 % entre 2016 et 2018 qui est absorbée par laforte demande des marchés allemands et chinois. Lafilière lait bio allemande repart avec une augmentationde 10 % de son volume de collecte. La filière laitbiologique danoise reste très tournée vers l'export (50 %de la production) avec des fermes très intensives (SAU198 ha, 170 VL en moyenne). Quant à la filière lait bioautrichienne, composée de petites fermes de montagne(SAU 22 ha, 16 VL), elle exporte 40 % de sa productionprincipalement vers l'Allemagne.

http://www.pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr/innovation-rd/agriculture-biologique/bulletins-techniques/technibio/Mots clés : CHIFFRE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /COLLECTE LAITIERE / CONCURRENCE / FILIERE LAIT /MARCHE DU LAIT / PRODUIT LAITIER / DEMANDE /PERSPECTIVE / EUROPE / ALLEMAGNE / AUTRICHE /DANEMARK / FRANCE / ELEVAGE BIOLOGIQUETECHNI BIO N° 74, 01/10/2017, 2 pages (p. 5-6)

réf. 244-018

Page 26: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 26

Distribution spécialisée : Bilan 2017

BIO-LINEAIRES

Avec 265 ouvertures de magasins bio, l’année 2017 aconnu les investissements les plus importants del’histoire de la bio. Les chiffres 2017 de la distributionspécialisée bio sont présentés. Ils concernent l’évolutiondu marché, les chiffres d'affaires réalisés par lesprincipales enseignes nationales et régionales et pardes groupements, un bilan de la situation des ouvertureset des fermetures de magasins bio, les données desGMS à fin novembre 2017, ainsi que les résultatsd'une enquête réalisée auprès de 1129 points de vente(évolution du panier moyen, de la fréquentation, duchiffre d'affaires alimentaire et non alimentaire, du rayonvrac…).

Mots clés : VRAC / DISTRIBUTION / ENSEIGNE / GRANDESURFACE / MAGASIN BIO / FILIERE / PRODUIT BIOLOGIQUE /CONSOMMATION / STATISTIQUES / CHIFFRE D'AFFAIRES /FRANCE / MARCHÉ / ENQUETE / AGRICULTUREBIOLOGIQUEBIO LINEAIRES N° 75, 01/01/2018, 10 pages (p. 59-77)

réf. 244-040

Biofruisec : des fruits d'exception pourfaire la différence

BIO-LINEAIRES

Biofruisec est spécialisé, depuis ses débuts en 1981,dans le commerce de fruits secs et séchés. Entreprisecréée par Jean-Marie Lamaud en 1981, il a été rejointpar Vivien, son fils, en 2014. Il s'est donné comme règlede poursuivre la voie de son père, à savoir défendrela qualité et le vrai goût des bons produits. Cela passenotamment par une vision du marché qui repose surune philosophie simple, mais source d'un travail defond permanent : associer à une variété précise de fruitun terroir spécifique lui permettant d'exprimer toute saquintessence. Et qui dit terroir dit savoir-faire, technique,mais aussi en matière de culture et de cueillette. Chaqueproduit est le fruit d’une rencontre avec un terroir uniqueet des hommes qui les connaissent. Ainsi, la datteDeglet Nour, produit phare de la gamme, provient dela région de Tolga, au nord-est de l’Algérie. Cueilliesà la main à maturité, puis mises ensuite directementen boîtes sans le moindre traitement, elles constituentun produit haut de gamme. La filière a été créée parJean-Marie, et, depuis qu’elle est passée en bio, lesproducteurs bénéficient d’un marché à l’export. D’autresfruits et spécialités ont fait la renommée de la marque,notamment en magasin bio : mangue sauvage duCameroun séchée, myrtille sauvage des Balkans, baiede Goji du Qinghai, etc.

Mots clés : DATTE / MANGUE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /FILIERE / FRUIT SEC / PRODUIT BIOLOGIQUE /ENTREPRISE / QUALITE / FRUIT / ANANAS / OLIVE /MYRTILLE / FRANCEBIO LINEAIRES N° 75, 01/01/2018, 2 pages (p. II-III)

réf. 244-043

Page 27: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

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English Tea Shop

BIO-LINEAIRES

English Tea Shop a d'abord commercialisé des thésen conventionnel, avant de résolument se tourner versle bio. Basée en Angleterre, cette entreprise s'estconstruit un réseau d'environ 2000 petits producteursbio, principalement au Sri Lanka. Ces producteursont laissé la monoculture conventionnelle pour seconsacrer à la polyculture bio, ajoutant à leur palette deproduction des épices ou des fruits. Suranga Herath,le Président Directeur Général d'English Tea Shop,est particulièrement attaché à ce modèle responsableet durable basé sur des engagements profonds etconcrets. Parallèlement à ce partenariat de long termeavec les producteurs, l'entreprise a développé unmanagement collaboratif. Les 400 collaborateurs sontconsidérés comme les co-propriétaires de l'entreprise ;à ce titre ils ont accès aux informations, participent auxdécisions et reçoivent les mêmes primes. Aujourd'hui,English Tea Shop est présent dans 53 pays et proposeprès de 600 références de thés et infusions à partir de150 plantes bio différentes.

Mots clés : PETIT PRODUCTEUR / FILIERE / THE /INFUSION / PRODUIT BIOLOGIQUE / RELATION NORDSUD / ENTREPRISE / RESPONSABILITÉ SOCIETALE DEL'ENTREPRISE / MANAGEMENT / PLANTE A PARFUMAROMATIQUE ET MEDICINALE / SRI LANKA / GRANDEBRETAGNEBIO LINEAIRES N° 75, 01/01/2018, 2 pages (p. IV-V)

réf. 244-044

Sonett : laver et nettoyer en respectantl'eau porteuse de vie

BIO-LINEAIRES

"Nous devons laver autrement, car les lessivesconventionnelles sont un véritable poison pour l'eau",c'est ce constat qui a motivé Werner Geibel à créerl'entreprise Sonett, en 1977. Un système de lavage"modulaire" a été mis au point, puis ce sont lescomposantes qui ont fait l'objet de recherches pourarriver à 100 % de biodégradabilité. Aujourd'hui, Sonettfait partie des rares marques de détergents à remplirles critères très stricts imposés par le syndicat allemanddes grossistes et détaillants de produits naturels.Ses lessives sont composées exclusivement à partirde produits d'origine végétale et minérale, sans lamoindre pétrochimie. Elles ne comportent pas non plusd'enzymes et d'ingrédients issus d'OGM, comme lerappellent Gerard Heid et Beate Oberdorfer, co-gérantsdepuis 1992. L'entreprise est désormais une fondation,qui ne pourra pas être vendue à des tiers. C'est ce qu'ontsouhaité Gerard Heid et Beate Oberdorfer, considérantque Sonett a toujours eu une approche idéaliste,promouvant un comportement responsable envers lanature. A ce titre, elle est un bien commun. Une partiedes bénéfices issus de son activité est reversée à lafondation, qui soutient des projets de recherche surl'eau, l'agriculture biodynamique, des projets sociaux...

Mots clés : DEMARCHE RESPONSABLE / INGREDIENTVEGETAL / LESSIVE / PRESERVATION DEL'ENVIRONNEMENT / FILIERE / PRODUIT ECOLOGIQUE /RESSOURCE NATURELLE / PROTECTION DE L'EAU /ENTREPRISE / MINERAL / RECHERCHE-DEVELOPPEMENT /ALLEMAGNEBIO LINEAIRES N° 75, 01/01/2018, 2 pages (p. VI-VII)

réf. 244-045

Page 28: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 28

Dossier : Volailles de chair bio : Tout àconstruire

RIEFFEL E.

Encore peu développée dans la région Grand Est,la production de volailles de chair intéresse lesproducteurs bio. La filière Plumes Bio du Grand Esta été lancée en 2010, dans un contexte où la bio sedéveloppait encore "doucement". Elle évolue cependantaujourd'hui dans un environnement tout autre, plusconcurrentiel. 200 000 poulets/an sont produits etvendus en filière longue. L’OPABA (OrganisationProfessionnelle de l’Agriculture Biologique en Alsace),consciente de la nécessité de faire évoluer la filièrepour faire face au changement d'échelle, avec à lafois un besoin de satisfaire la demande et celui,pour chaque éleveur, d'atteindre l'autonomie financière,doit organiser le dialogue entre ses membres, faciliterl'échange, susciter le débat et, surtout, assurer unecommunication régulière entre les partenaires. Leséleveurs doivent plus que jamais, et malgré leursimpératifs quotidiens, se serrer les coudes et continuerde participer au projet collectif. Il en va du maintien, dudéveloppement et de la pérennité de cette filière.

http://www.bioenlorraine.org/lettres-abMots clés : ASPECT JURIDIQUE / STRUCTURATION DESFILIERES / ELEVAGE BIOLOGIQUE / DISTRIBUTION / CIRCUITCOURT / CIRCUIT LONG / FILIERE AVICOLE / PROJETCOLLECTIF / ALIMENTATION DES ANIMAUX / VOLAILLE DECHAIR / GRAND-EST / AVICULTURELES LETTRES AB - MAGAZINE DES PRODUCTEURS BIO DUGRAND EST N° 5, 01/03/2018, 2 pages (p. 6-7)

réf. 244-056

Dossier : Agriculture bio

GODEMENT Valérie / JAHNICH C.

Trois articles composent ce dossier : 1) Le secteur bioa le vent en poupe. Il est fait état des chiffres 2017 dela bio en France. Ceux-ci montrent la progressionimportante de la bio, et, dans certaines régions, plusparticulièrement dans les filières de la viticulture, desfruits, des légumes et des volailles (de chair et œufs). Unzoom sur la bio en Europe est proposé ; 2) "En viande, ilfaut aller jusqu'à la finition". Cézallier Bio, Bio 15 et Bio63 ont organisé une journée portes ouvertes chez Jean-François Pagès, éleveur allaitant bio qui engraisse sesanimaux pour les valoriser au maximum. Cette journéea été l'occasion de rappeler qu'il manque encore, enAuvergne, une filière pour valoriser les broutards bio.Un zoom sur l'abattoir de Neussargues (15), agréé enbio, est proposé ; 3) Collectif. Bio Massif, point de ventecollectif de producteurs avec des produits 100 % locauxet bio à Besse (63), a été inauguré le 21 mars.

Mots clés : CHIFFRE / DEVELOPPEMENT DE L'AB /PRODUIT LOCAL / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / BOVINVIANDE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / MAGASIN COLLECTIF /ABATTOIR / FILIERE / FILIERE VIANDE / PRODUITBIOLOGIQUE / SURFACE AGRICOLE UTILE / TEMOIGNAGE /ENGRAISSEMENT / FINITION / BROUTARD / EUROPE /FRANCE / PUY DE DOME / AUVERGNEAUVERGNE AGRICOLE (L') N° 2750, 29/03/2018, 2 pages(p. 6-7)

réf. 244-060

Page 29: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

29 Biopresse 244 - Mai 2018

Mon projet bio : Avec quelle enseigne ?

LEJEUNE Agathe

Quelles sont les enseignes qui recrutent des candidatspour l'ouverture de nouveaux magasins bio ? Lesfranchisés interrogés dans cet article, dans l'ensemble,ne regrettent pas leur choix. Tous étaient "bioconvaincus" avant de se lancer, et affirment avoir faitun choix de vie. Un éventail hétérogène d'enseigness'offre aux candidats bio. Outre le mode de contrat,les positionnements diffèrent sérieusement. Cet articlefait une présentation des différentes enseignes, enmettant en avant ce qui les différencie les unes desautres : - Naturalia : "Nous cherchons des franchisésayant l'ambition de développer une ville ou unerégion" ; - Les Comptoirs de la bio, compagnonsdes Mousquetaires ; - Biomonde, l'indépendance(témoignage de Jean-Pierre Simonnot, gérant deBiomonde à Carqueiranne (83)) ; - Le Grand Panier bio :Le réseau familial (témoignage de Bertrand Moureau etEléonore Clessin, à Plouër-sur-Rance (22)) ; - Biocoop :militant et mature ; - Carrefour Bio opte pour la location-gérance ; - L'Eau Vive, refroidie par les candidatsGMS ; - Le Marché de Léopold : Affaire à suivre(11 magasins pour le moment, pas encore de franchiseproposée).

Mots clés : DISTRIBUTION / ENSEIGNE / FRANCHISE /MAGASIN BIO / FILIERE / PRODUIT BIOLOGIQUE / FRANCE /CREATION D'EMPLOI / EMPLOILINEAIRES N° 344, 01/03/2018, 11 pages (p. 22-33)

réf. 244-085

Dossier : La filière bio à un tournantstratégique

BARGAIN Véronique

La production et le marché de lait bio en France sont enplein essor. Cette progression importante concerne tousles produits (lait conditionné, ultrafrais, poudre de lait,beurre et même les fromages qui étaient jusqu’à présentmoins développés en bio) et toutes les filières (bovin,ovin et caprin). La collecte 2017 est ainsi supérieure de30 % à celle de 2016 et les perspectives en matièrede débouchés sont prometteuses. Ainsi, les opérateursprévoient tous d’augmenter fortement leur collecte ettransformation (Sodiaal, Biolait, Eurial, Lactalis, TriballatNoyal, Danone, La Lémance, Terra Nova…). Lesdistributeurs suivent le même mouvement : plusieursenseignes ont annoncé qu’elles allaient développerle bio : Carrefour, Intermarché, Auchan, Leclerc.Le secteur des magasins spécialisés poursuit sadynamique (croissance à 2 chiffres pour Biocoopen 2016 et 2017). Lors des Etats généraux del’alimentation, la filière laitière s’est engagée à doublerla production bio à 5 ans pour être en adéquation avecla demande. On voit ainsi, à travers ce dossier et lesdifférents témoignages d’acteurs de la filière laitière,que la bio change d’échelle. Dans ce contexte, leprésident de Biolait souligne l’importance de revenir auxfondamentaux du bio et notamment à l’autonomie dessystèmes qui reste primordiale.

Mots clés : CONJONCTURE / DEVELOPPEMENT DE L'AB /INTERVIEW / ORGANISATION DE L' AB / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / CONVERSION / ELEVAGE BIOLOGIQUE /COLLECTE LAITIERE / RESTAURATION COLLECTIVE /DISTRIBUTION / GRANDE SURFACE / MAGASIN BIO /TRANSFORMATION LAITIERE / MARCHÉ / FILIERE LAIT /PRODUIT LAITIER / BEURRE / FROMAGE / LAIT / LAIT DEBREBIS / LAIT DE CHEVRE / LAIT DE VACHE / POUDRE DELAIT / YAOURT / ULTRA-FRAIS / PRIX / OFFRE ET DEMANDE /ENTREPRISE / FRANCERLF - REVUE LAITIERE FRANÇAISE N° 779, 01/03/2018,10 pages (p. 14-23)

réf. 244-033

Page 30: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 30

L’industrie convoite les légumes bio

LASNIER Adrien

L’essor de la bio touche également la filière légumesbio transformés, avec une croissance exponentielledans un marché très porteur (offre très inférieure àla demande). Dans cette filière, la maîtrise techniqueest de rigueur et le système de production est basésur la contractualisation avec des prix déterminés àla fin de l’hiver ou au début du printemps avantsemis ou plantation. De nouveaux contrats sont misen place, avec par exemple une durée de troisans reconductibles avec surfaces et prix définisafin d’accroître la visibilité du producteur en termeséconomiques et agronomiques. Dans cette filière, lesindustriels commencent également à s’intéresser àl’origine France, voire régionale des produits.

Mots clés : CONTRACTUALISATION / DEVELOPPEMENTDE L'AB / DONNEE ECONOMIQUE / ORIGINEGEOGRAPHIQUE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / INDUSTRIEAGROALIMENTAIRE / TRANSFORMATION / FILIÈRELÉGUMES / PRIX / TEMOIGNAGE / LEGUME / TOMATE /FRANCEREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 380, 01/02/2018, 2 pages(p. 38-39)

réf. 244-111

Le supermarché paysan participatif LaFève franchit un nouveau palier

MOLINEAUX Benoît

A l’occasion de la table ronde « Je choisis ceque je mange », organisée à Meyrin, en Suisse, le21 septembre 2017, Benoît Molineaux fait un état deslieux du projet de supermarché paysan participatif LaFève. Basé à Meyrin, ce projet compte aujourd’hui250 membres. En se basant sur l’échange et lacoopération, les membres cherchent à s’émanciper dumarché de niche, à proposer des produits abordableslocaux et de qualité, ainsi qu’à intégrer une dimensionpaysanne. A terme, le supermarché paysan participatifvise un chiffre d’affaires de trois millions de francspar an. Benoît Molineaux présente les exemples dontil s’inspire : - La Louve à Paris, comportant sixmille membres en 2017, c’est-à-dire un an après sonouverture ; - Park Slope Food Coop, aux États-Unis, quiexiste depuis plus de 50 ans.

Mots clés : PRODUIT LOCAL / APPROVISIONNEMENTLOCAL / FRANCE / CIRCUIT DE DISTRIBUTION /SUPERMARCHE / SUPERMARCHE COLLABORATIF /MAGASIN DE PRODUCTEURS / PROJET COLLECTIF / ETATSUNIS D'AMERIQUE / SUISSE / ASPECT SOCIALLaRevueDurable N° 60, 21/12/2017, 2 pages (p. 62-63)

réf. 244-065

Sival 2018 : Tour des innovations ; Vu auSITEVI

BIOFIL

Du 16 au 18 janvier, une multitude d’innovationstechnologiques ont été exposées au Sival, dontune dizaine sont décrites dans l’article. On ytrouve le procédé d’irrigation Aqualone, basé sur undéclenchement mécanique de l’irrigation en fonctiondes besoins de la plante, procédé « low tech »et « low cost » ne demandant aucune électriciténi intervention humaine et s’adaptant à tous typesde cultures et de sols. LM Innovation, quant à lui,présente un système dynamisant l’eau (effet vortexautour d’un tube de porcelaine) afin que cette dernièreretrouve ses fonctions naturelles (autoépuration,qualités détergentes, transport des micro-aliments dansles cellules, élimination des toxines, etc). Destinéeaux agriculteurs bio dont la production doit êtredifférenciée des produits conventionnels, ECI Conceptpropose une emballeuse de plein champ (pour choux,salades, melons, éventuellement radis) installée dansune remorque qui, en plus d’emballer, étiquetteet range la production en cagettes. A découvrirégalement : - Eclairvale de Canne Vale, la seuleéclaircisseuse pouvant agir au stade jeunes fruitsdes arbres à pépins ; - 2 références en substrats(GreenFibre à base de résineux), de Klasmann-Deilmann, utilisables en bio ; - l’enjambeur viticoleélectrique de la société Saudel ; - pour se prémunir dugel, la machine à brouillard artificiel (issu d’un mélanged’eau et d’un produit Bloc gel) permettant un gainde 5 degrés ; - la station agro-météo connectée deSencrop ; – le prototype de tracteur viticole électrique(avec une autonomie de 4 heures dans les conditionsde travail les plus difficiles).

Mots clés : LUTTE CONTRE LE GEL / STRUCTURE DE L'EAU /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /EMBALLAGE / EAU / QUALITE DE L'EAU / ENTREPRISE /INNOVATION / MATERIEL AGRICOLE / TRACTEUR /IRRIGATION / STATION MÉTÉO / ARBORICULTURE /MARAICHAGE / VITICULTURE / ECLAIRCISSAGE /ECLAIRCISSAGE MECANIQUE / SUBSTRAT / FRANCE / ALÉACLIMATIQUE / CONTROLE DES ADVENTICESBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 5 pages (p. 78-83)

réf. 244-120

Page 31: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

31 Biopresse 244 - Mai 2018

Note de conjoncture et d'actualités pour lesproduits biologiques - Février 2018

AGENCE BIO

Au sommaire de la note de conjoncture etd'actualités pour les produits biologiques (février2018) : - Synthèse : - Filières animales : Secteurlaitier ; Secteur des viandes bovines, ovines et porcines ;Secteur des viandes de volailles et œufs ; - Filièresvégétales : Secteur des grandes cultures ; Secteurdes fruits et légumes ; - Évolution du marché biofrançais ; - Échos du monde.

Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / COMMERCIALISATION / VENTE / GRANDESURFACE / MARCHÉ / FILIERE FRUITS ET LEGUMES /FILIERE LAIT / FILIERE VIANDE / PRODUIT LAITIER /PRIX / STATISTIQUES / ENQUETE / OEUF / GRANDECULTURE / MONDE / EUROPE / FRANCE / CONJONCTUREECONOMIQUE / FILIERE CEREALES2018, 46 p., éd. AGENCE BIO (Agence Française pour leDéveloppement et la Promotion de l'Agriculture Biologique)

réf. 244-105

Conjoncture laitière biologique : Lait devache - 1er trimestre 2018

CNIEL

En janvier 2018, la collecte de lait de vache biologique,en France, était en hausse de 46,4 % par rapport aumême mois de l'année 2017, tandis que la collecte delait de vache hors lait biologique était en hausse de3 % sur le même mois. 2792 producteurs de lait bioont été recensés. La collecte de lait de vache bio enjanvier 2018 a représenté 3 % de la collecte totale de laitde vache. L'évolution de la collecte est présentée, parbassin de production. Sont également indiqués : les prixpayés aux producteurs bio français, les prix du lait bio enAllemagne et en Autriche, et un comparatif avec les prixdu lait bio français. Une partie du document est ensuiteconsacrée aux produits laitiers bio et aux différentesfabrications qui sont, globalement, en progression parrapport à 2017, ainsi qu’aux ventes et prix moyens desproduits laitiers bio dans la grande distribution et dansle commerce en ligne.

Mots clés : COMPARAISON BIO-CONV / PRIXA LA PRODUCTION / ELEVAGE BIOLOGIQUE /COMMERCIALISATION / COLLECTE LAITIERE / CIRCUIT DEDISTRIBUTION / GRANDE SURFACE / PRIX DE VENTE /TRANSFORMATION LAITIERE / FILIERE LAIT / PRODUITBIOLOGIQUE / PRODUIT LAITIER / LAIT DE VACHE /ECONOMIE / STATISTIQUES / ALLEMAGNE / AUTRICHE /FRANCE / CONJONCTURE ECONOMIQUE / COMMERCEELECTRONIQUE2018, 45 p., éd. CNIEL (Centre National Interprofessionnel del'Economie Laitière)

réf. 244-107

Ultrafrais, poudres, fromages : Denouveaux projets et produits sur lemarché de la bio

PRUILH Costie

La filière bovins lait biologique continue à se développer,en matière de conversions, mais aussi en matièred’arrivée de nouveaux opérateurs et de nouveauxproduits. La demande restant forte, de nouveauxopérateurs cherchent à se faire une place dans cemarché quand d’autres, déjà présents, cherchent àdiversifier leurs produits. Comme l’indique le présidentde Biolait : "il y a 3 ans, plus de 45 % des produits laitiersbio étaient du lait de consommation et de la crème.Aujourd’hui, le lait de consommation pèse moins d’untiers des produits laitiers bio. Et la diversification devraitse poursuivre". En 2017, l’offre a été insuffisante faceà la demande. Mais 2018 verra les 1ers impacts de laforte vague de conversions de 2016. Si 2018 devraitrester tendu, qu’en sera-t-il pour 2019 ? Ceci illustre undes enjeux de la filière qui doit tout faire pour maîtriserl’offre et maintenir des prix rémunérateurs, dans uncontexte de risque de baisse des aides. Le marchépeut-il d’ailleurs compenser la perte de ces aides ?Une augmentation de quelques centimes des prix restepeut-être possible. Cependant, dans tous les cas, celasous-entend une offre bien maîtrisée. La diversificationpeut aussi être une clé. Reste par ailleurs la questiondes moyens que mettra en œuvre le gouvernementpour favoriser une plus forte incorporation de produitsbiologiques en restauration collective. Est-ce qu’unepartie des aides sera réorientée en appui à cettepolitique, sachant que le marché de la restauration horsfoyer n’est pas le plus valorisant, les prix étant trèsbataillés ?

Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / COLLECTE LAITIERE / TRANSFORMATIONLAITIERE / MARCHÉ / FILIERE LAIT / PRODUIT LAITIER /PRIX / OFFRE ET DEMANDE / ENTREPRISE / POLITIQUEPUBLIQUE / FRANCE / LAIT DE VACHEREUSSIR LAIT N° 320, 01/01/2018, 3 pages (p. 8-10)

réf. 244-124

Page 32: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 32

Note conjoncture viandes bio : Edition09 02 2018

COMMISSION BIO D'INTERBEV

Cette note de conjoncture fait un point sur les grandestendances du marché des viandes biologiques (grosbovins, veaux, agneaux et porcs) sur 2017 et sur début2018. La filière gros bovins a continué de se développeren 2017 (abattages : +15 % versus 2016), mais avecune certaine irrégularité ayant amené à des manqued’animaux. En 2018, avec une offre et une demandeprobablement plus équilibrées, il sera nécessaire d’êtrevigilant : la croissance du marché du steak haché biorisque d’amener à une baisse des prix. Aussi, il estimportant de continuer à développer les ventes, parexemple en restauration hors domicile. La filière veauxa poursuivi son développement en 2017, mais se posela question de la pérennité de l’intérêt du consommateurpour une gamme très marquetée à un tarif élevé. Pourles agneaux, en 2017, la tendance est plutôt versune stagnation des volumes versus 2016. La difficultémajeure est toujours la difficulté de valoriser en bio,les pics de production n’étant pas en phase avec lademande. Cependant, l’augmentation de l’offre, suiteaux conversions plus nombreuses ces deux dernièresannées, amène les opérateurs à réfléchir aux moyensde mettre en avant l’agneau bio sur l’automne. Côtéporcs, 2017 a vu les abattages croître d’environ 5 %versus 2016. L’offre devrait être plus fournie en 2018,ce qui est une note optimiste pour la filière qui voit sedévelopper les ventes dans les principales familles deproduits de charcuterie.

Mots clés : CONJONCTURE ECONOMIQUE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / VENTE / DISTRIBUTION / FILIERE VIANDE /VIANDE BOVINE / STEAK HACHE / VIANDE OVINE / VIANDEPORCINE / PRIX / PORCIN / GROS BOVIN / VEAU / AGNEAU /FRANCE2018, 3 p., éd. INTERBEV

réf. 244-126

QUALITÉ

Produits « bio » : de quelle qualité parle-t-on ? : 3ème édition

RAIFFAUD Christine

L'organisation des signes officiels de la qualité etde l'origine des produits, ainsi que la réglementationde l'agriculture biologique ont continué à évoluerces dernières années et de nouvelles études ontété réalisées sur la qualité des produits bio. Dansce contexte évolutif, cette nouvelle édition mise àjour revient tout d’abord sur la notion de qualitéet sur ses différentes facettes et propose uneprésentation de l'agriculture biologique. Un point surles règlements européens en termes de qualité estexposé, puis sont présentées les attentes des différentsintervenants de la chaîne alimentaire, jusqu'auxconsommateurs. Les méthodes d'évaluation de laqualité sont aussi présentées en privilégiant l'approchepar filière. Enfin, sont examinés les derniers résultatsissus des publications de différents organismes afinde tendre vers une plus grande objectivité. Des fichespédagogiques mises à jour sont disponibles en ligne.Elles ont vocation à outiller les enseignants sur le thèmede la qualité des produits bio.

Mots clés : PRODUCTEUR / CUISINIER / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / CONSOMMATEUR / DISTRIBUTION / QUALITEORGANOLEPTIQUE / REGLEMENTATION / FILIERE /PRODUIT BIOLOGIQUE / CERTIFICATION / SECURITEALIMENTAIRE / SIGNE DE QUALITE / ENSEIGNEMENT /DURABILITE / QUALITE / EVALUATION / RECHERCHE /SANTE / FRANCE / SOCIETE / VALEUR NUTRITIONNELLE /TRANSFORMATION / EUROPE / ETUDE / COMPARAISON BIO-CONV2017, 214 p., éd. EDUCAGRI ÉDITIONS

réf. 244-038

Page 33: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

33 Biopresse 244 - Mai 2018

Le goût des pesticides dans le vin

DOUZELET Jérôme / SÉRALINI Gilles-Eric

Le vin, en tant que produit fermenté, a des vertusdétoxifiantes insoupçonnées quand il n’est pas traité.Mais la viticulture conventionnelle fait partie des plusgros consommateurs de pesticides au monde. Cessubstances, outre les risques de toxicité, déformentle goût des vins par leur proximité chimique avec lesarômes naturels. C’est ce que montrent les auteursde ce livre, où l’on découvre aussi qu’il est possibled’apprendre à reconnaître le goût des pesticides, pourpouvoir ensuite éviter les produits qui en contiennent.En effet, les auteurs ont proposé à des cuisiniers et àdes vignerons une expérience inhabituelle : goûter despesticides dilués dans de l’eau aux doses où ils ont étéidentifiés dans des vins. Une palette de nouveaux goûtset de sensations s’ébauche dans le cerveau, qui permetpeu à peu de déceler et de reconnaître la présence depesticides. Un “Petit guide” détaille les caractéristiques,au nez et à la bouche, de onze pesticides parmi lesplus répandus dans les vins. Ce livre n’est pas un guideœnologique. Il se conçoit plutôt comme un outil original,de science pour tous, plaidant pour une recherche dubien-vivre et du bien-manger qui passe par l’éradicationdes substances chimiques nocives.

Mots clés : OENOLOGIE / CUISINIER / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / AROME / BOISSON ALCOOLISEE /VIN / FRANCE / PRODUIT BIOLOGIQUE / QUALITEORGANOLEPTIQUE / GOÛT / VINIFICATION / QUALITE /TEST / VITICULTURE / PESTICIDE / TRAITEMENTPHYTOSANITAIRE / SANTE2018, 144 p., éd. EDITIONS ACTES SUD

réf. 244-039

Conservation des fruits et légumesadaptée aux circuits courts : Exemple dematériel

LE MAIRE Brice

L'article présente des modules de conservation enatmosphère contrôlée naturelle placés en chambrefroide, proposés depuis une dizaine d'années par lasociété Janny MT. Ces modules permettent d'allonger ladurée de vie des fruits. Le principe : un caisson étanche,à couvercle, équipé de membranes à perméabilitésélective aux gaz. Ce système permet de stocker etde conserver environ 300 kg par module. Un tableau"avantages" et "inconvénients" complète la description.

http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : MATERIEL AGRICOLE / STOCKAGE /FRUIT / ARBORICULTURE / MARAICHAGE / LEGUME /CONSERVATION DES PRODUITS / CIRCUIT COURT /FRANCELA LUCIOLE N° 17, 01/10/2017, 1 page (p. 9)

réf. 244-099

Journées techniques fruits et légumesbiologiques : Qualité et conservation

CARRIERE Julie / CONSEIL Mathieu /PARVEAUD Claude-Eric / ET AL.

Les Journées techniques Fruits & Légumes biologiquesdes 24 et 25 janvier 2018 ont rassemblé de nombreuxpartenaires et des acteurs des filières fruits et légumes :représentants de la recherche et du développement,producteurs, transformateurs, distributeurs, jusqu’auconsommateur. La thématique centrale était la qualitéet la conservation des fruits et légumes bio. Cedocument présente les résumés des interventions, quiabordent : la recherche/expérimentation en France,les systèmes agroforestiers associant fruitiers etcultures maraîchères, la conservation des fruits etlégumes et les techniques post-récolte (effet despratiques culturales, autoconstruction d’outils pour laconservation, douchage à l’eau chaude, stockagedes légumes d’hiver…), la biodiversité au verger, labioélectronique de Vincent.

http://www.itab.asso.fr/publications/jt-f-l.phpMots clés : BIO-ELECTRONIQUE / CONDUITE DU VERGER /CONSERVATION DES PRODUITS / HYGROMETRIE /JOURNEE TECHNIQUE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /AGROALIMENTAIRE / STOCKAGE / FILIERE FRUITS ETLEGUMES / AUTOCONSTRUCTION / BIODIVERSITE /QUALITE / TECHNIQUE / TEMOIGNAGE / PERFORMANCEAGRONOMIQUE / DESINFECTION / RECOLTE /AGROFORESTERIE / ASSOCIATION ARBRES CULTURES /ARBORICULTURE / MARAICHAGE / PROTECTION DESVEGETAUX / BIO-CONTROLE / RECHERCHE / WALLONIE /FRANCE / ITALIE2018, 31 p., éd. ITAB (Institut Technique de l'AgricultureBiologique)

réf. 244-108

Page 34: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 34

SANTÉ

The New Nordic Diet as a prototypefor regional sustainable diets :In : MEYBECK, A. et REDFERN,S.. Sustainable Value Chains forSustainable Food Systems : a workshopof the FAO/UNEP Programme onSustainable Food Systems. Rome : Foodand Agriculture Organization of theUnited Nations, 2016. 353 p.

Le nouveau régime alimentaire nordique commeprototype pour une alimentation durable régionale(Anglais)

BÜGEL Susanne / HERTWIG Jostein /KAHL Johannes / ET AL.

Un des principaux challenges des systèmesalimentaires durables est de lier une productionrespectueuse de l’environnement à un régimealimentaire sain. Le nouveau régime alimentairenordique s’appuie sur le régime méditerranéen, enutilisant des ingrédients et des saveurs des climatsscandinaves. De la même manière, il contribue àpréserver les espaces naturels locaux et la santé desconsommateurs. Les principes et lignes directrices dece régime peuvent être mis en œuvre dans n’importequelle région du monde.

http://static-curis.ku.dk/portal/files/184670701/Bugel_et_al_2016_The_New_Nordic_Diet_as_a_prototype_for_regional_sustainable_diets_109_116.pdfMots clés : AGRICULTURE DURABLE / ALIMENTATIONHUMAINE / ALIMENTATION DURABLE / REGIMEALIMENTAIRE / GASTRONOMIE / PROTECTION DEL'ENVIRONNEMENT / DEVELOPPEMENT DURABLE / ETUDE /RECHERCHE / SANTE / EUROPE DU NORD / SCANDINAVIE /DEVELOPPEMENT LOCAL2016, 16 p. (p. 109-116), éd. FAO (Organisation des NationsUnies pour l'Alimentation et l'Agriculture)

réf. 244-004

Dossier : Agriculture bio et santé

AUBERT Claude

Ce dossier est composé de deux articles : - Agriculturebio et santé : la fin des polémiques. Trois principalesquestions ont fait l'objet de controverses au coursde ces quarante dernières années : Les produitschimiques, et particulièrement les résidus de pesticides,présents dans les aliments, menacent-ils notre santé ? ;La valeur nutritionnelle des produits bio est-ellesupérieure à celle des produits conventionnels ? ;Les consommateurs de produits bio se portent-ilsmieux que les autres ? L'auteur revient sur lesarguments et les données existantes qui permettent derépondre positivement à ces trois questions, avec lesnuances nécessaires. - L'agriculture bio, bénéfique pourl'environnement. Claude Aubert revient sur les atouts del'agriculture biologique pour restaurer la fertilité des sols,lutter contre l'érosion, protéger les végétaux, favoriserla biodiversité, freiner le réchauffement climatique, etc.Des références bibliographiques pour aller plus loincomplètent chaque article.

Mots clés : COMPARAISON BIO-CONV / CONTROVERSE /EXTERNALITE / LUTTE CONTRE L'EROSION /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AGRICULTURE ETENVIRONNEMENT / RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE /POLLUTION / BIODIVERSITE / PESTICIDE / SANTE / ETUDE /RESIDU DE PESTICIDE / VALEUR NUTRITIONNELLE /PRODUIT BIOLOGIQUEBIO LINEAIRES N° 75, 01/01/2018, 6 pages (p. 79-89)

réf. 244-041

Les plantes médicinales de nos régions :Alchémille, ou Alchémille vulgaire,manteau de Notre-Dame, manteau de laVierge ; Epine-vinette, ou Vinetier

COUPLAN François

Le genre Alchemilla est très complexe, et l'onen distingue plus d'une centaine d'espèces enFrance : alchémille glabre, alchémille rampante,alchémille coriace, alchémille brillante, alchémillefendue, alchémille hybride... Riche en tanins, la planterenferme aussi des flavonoïdes, des triterpènes et del'acide salicylique. L'épine-vinette (Berberis vulgaris) estun arbrisseau touffu, à l'écorce grisâtre, dont les tigesportent des épines. Les fleurs produisent de petits fruitsrouges allongés, au noyau mince et pointu. L'auteur,ethnobotaniste, auteur d'ouvrages sur les plantes et lanature, présente les vertus médicinales de ces planteset les différentes façons de les utiliser.

Mots clés : PROPRIETE MEDICINALE / ÉPINE-VINETTE /PLANTE MÉDICINALE / BOTANIQUE / ALCHEMILLE / SANTEVALERIANE N° 130, 01/03/2018, 2 pages (p. 34-35)

réf. 244-083

Page 35: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

MARCHÉ

35 Biopresse 244 - Mai 2018

STATISTIQUES

Observatoire régional de l'agriculturebiologique des Pays de laLoire - Données 2016

CHAMBRE D'AGRICULTURE PAYS DE LA LOIRE

En 2016, 2536 exploitations en bio ou en conversionont été identifiées en Pays de la Loire (345 nouvellesconversions), portant la SAU en bio à 7,2 %. Cedocument présente un panorama de l’AB en Pays de laLoire : - Les chiffres clés de l'agriculture biologique enPays de la Loire ; - Les exploitations ; - Les installationset les conversions ; - La main-d'œuvre ; - Lessurfaces ; - Les grandes cultures ; - La viticulture ; - Lesfruits et les légumes ; - Les PPAM et lessemences ; - Les surfaces fourragères ; - La productionde bovins viande ; - La production de bovins lait ; - Laproduction de volailles de chair ; - La productiond'œufs ; - La production porcine ; - La productionovine ; - Les évolutions marquantes entre 2009 et 2016.

http://www.pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr/publications/publications-des-pays-de-la-loire/detail-de-la-publication/actualites/observatoire-regional-de-lagriculture-biologique-en-pays-de-la-loire-donnees-2016/Mots clés : CHIFFRE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /CONVERSION / BOVIN LAIT / BOVIN VIANDE / INSTALLATIONAGRICOLE / MAIN D'OEUVRE AGRICOLE / SURFACEAGRICOLE UTILE / STATISTIQUES / PRODUCTION ANIMALE /PORCIN / VOLAILLE DE CHAIR / CAPRIN / OVIN / OEUF /PRODUCTION VEGETALE / GRANDE CULTURE / PLANTEA PARFUM AROMATIQUE ET MEDICINALE / VITICULTURE /FOURRAGE / FRUIT / LEGUME / SEMENCE VEGETALE / PAYSDE LA LOIRE / ELEVAGE BIOLOGIQUE2018, 48 p., éd. CHAMBRE D'AGRICULTURE DES PAYS DE LALOIRE

réf. 244-046

Observatoire de la production bio :2730 fermes bio en Bretagne

SYMBIOSE

En 2017, 383 nouvelles fermes bio ont été dénombréesen Bretagne, dont 83 en production laitière. Ladynamique globale de conversions est restée soutenuelors du 1er semestre, puis s'est atténuée, tandis que laproduction de légumes a conservé une forte dynamiquede conversions, avec 72 nouveaux engagements. Leschiffres concernant l'ensemble des nouvelles fermes en2017 sont présentés.

Mots clés : CHIFFRE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /CONVERSION / ELEVAGE BIOLOGIQUE / BRETAGNE /DYNAMIQUE / STATISTIQUES / DEVELOPPEMENT DE L'ABSYMBIOSE N° 231, 01/02/2018, 1 page (p. 14)

réf. 244-051

Céréales bio : Une collecte en hausse en2017

SYMBIOSE

Les années 2015-2016 ont été marquées par uneaugmentation importante des surfaces céréalièresengagées en AB, en France et en Bretagne : + 50 %pour la France et + 37 % pour la Bretagne en 2 ans.Au 1er novembre 2017, les chiffres montrent une netteaugmentation de la collecte de céréales bio par rapportau 1er novembre 2016. Par projection, la collectetotale de la campagne en cours (céréales, oléagineux,protéagineux en bio ou en 2ème année de conversion)serait estimée à environ 525 000 tonnes, comme lemontre le graphique. Les utilisations de céréales bio etC2 par les meuniers et les fabricants d'aliments pouranimaux étaient, elles aussi, en hausse (+ 15 %), au 1ernovembre 2017.

Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / COLLECTE /FILIERE CEREALES / EVOLUTION / CEREALE / OLEAGINEUX /PROTEAGINEUX / FRANCE / CHIFFRE / GRANDE CULTURE /DEVELOPPEMENT DE L'ABSYMBIOSE N° 231, 01/02/2018, 1 page (p. 15)

réf. 244-052

Page 36: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

ÉCOLOGIE ET RURALITÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 36

ÉCOLOGIE ET RURALITÉ

AGRICULTURE DURABLE

Dossier : Permaculture

BROUSTEY Benjamin / DETREZ Salvador /DENNERY Cyril / ET AL.

Dans les années 1970, Bill Mollison définissait lapermaculture comme une "démarche de conceptionéthique visant à construire des habitats humainsdurables en imitant le fonctionnement de la nature".Dans ce dossier, de nombreux éclairages permettentde mesurer les applications de la permaculture, deses principes et de son éthique, pour accélérerla transition écologique vers un monde durable etpréparer l'humanité aux défis de demain. Les articlesqui composent ce dossier abordent tant les notionsthéoriques (dont la notion de design) que les principestechniques de culture ou encore la philosophie. Car lapermaculture est aussi un mouvement qui permet derepenser nos modes de vie dans tous les aspects duquotidien : - Origines et principes : pour y voir plusclair - De Fukuoka à Mollison et Cie ; - Faire grandir sonjardin et son esprit ; - Concilier habitat et nature ; - Quandla permaculture s'invite en cuisine ; - Vers une sociétérésiliente ; - Globale et durable : la santé aussi.

Mots clés : PERMACULTURE / RESILIENCE / TRANSITIONECOLOGIQUE / AGRICULTURE DURABLE / HABITAT /DURABILITE / MARAICHAGE / SANTE / BIEN-ÊTRE /RELATION HUMAINE / SOCIETE / MODE DE VIE / ETHIQUEBIOCONTACT N° 288, 01/03/2018, 23 pages (p. 50-92)

réf. 244-055

Nourrir le monde sans manger plus deterres

PAULAIS Anne-Marie

Comment faire face à l’augmentation annoncée de lademande mondiale en produits animaux, sans accroîtreles surfaces occupées par l’élevage ? Les expertsdu GIS Élevage Demain se sont penchés sur laquestion. Pendant deux ans, ils ont affiné l’estimation del’efficience nette des systèmes d’élevage, en établissantun ratio entre les protéines animales produites etles protéines végétales consommables par l’hommeutilisées par les animaux. Avec cette évaluation, lesélevages de ruminants consommateurs de fourragesse révèlent particulièrement performants. La FAOs’intéresse à l’éventuelle compétition feed/food (del’alimentation animale par rapport à l’alimentationhumaine), en se basant sur le taux de conversiondes productions animales. Selon Anne Mottet, encharge des politiques d’élevage à la FAO, l’élevageconsomme un tiers des céréales produites au niveaumondial et occupe 40% des terres arables de laplanète. Néanmoins, 86% des aliments qui constituentla ration des animaux ne sont pas consommables parl’homme et l’élevage valorise deux milliards d’hectaresde prairies, dont seulement 700 millions seraientconvertibles en terres arables. Selon l'étude, desgains d’efficience modestes seraient suffisants pourempêcher l’expansion des terres face à l’accroissementde la demande mondiale.

Mots clés : CHIFFRE / SECURITE ALIMENTAIRE /PROTEINE ANIMALE / PROTEINE VEGETALE / ELEVAGE /DEMANDE ALIMENTAIRE / TERRE ARABLE / EFFICIENCE /ALIMENTATION DES ANIMAUX / COMPETITION /RECHERCHE / MONDE / CONTROVERSERLF - REVUE LAITIERE FRANÇAISE N° 777, 01/12/2017, 1 page(p. 10)

réf. 244-028

Page 37: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

ÉCOLOGIE ET RURALITÉ

37 Biopresse 244 - Mai 2018

Biofil fête ses 20 ans ! : Essuyer lesplâtres

RIVRY-FOURNIER Christine / ROSE Frédérique /MARCUS Cécile / ET AL.

Regroupant seize témoignages, à travers toute laFrance, d’agriculteurs et d’éleveurs bio de toutes lesproductions, ce dossier fait parler les pionniers de labio, qui ont connu cette agriculture dans un marché deniche et ont contribué à ce qu’elle prenne une véritablepart de marché. Sont évoqués les faits marquants deleur parcours, les défis technico-économiques qu’ilsont relevés, mais aussi les difficultés rencontrées. Cesavant-gardistes de la bio aboutissent aujourd’hui àdes systèmes de production performants, enrichis deplus de vingt ans d’expérience bio, et conservent untemps d’avance en travaillant sur des projets et essaistoujours plus novateurs (s’approcher de l’autonomietotale, faire du zéro phyto (bio), etc.). En introductionde ce dossier, figure une interview du coordinateur del’agriculture biologique depuis 1993 à l’APCA, JacquesPior, qui revient sur le rôle joué par le réseau deschambres d’agriculture dans l’émergence de la bioet celui des conseillers bio très tôt mobilisés dansl’accompagnement de terrain.

Mots clés : ACCOMPAGNEMENT TECHNIQUE / CONDUITETECHNIQUE / DEVELOPPEMENT DE L'AB / INTERVIEW /ORGANISATION DE L' AB / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /AGRICULTURE BIODYNAMIQUE / BOVIN LAIT / BOVINVIANDE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / OVIN VIANDE /APICULTURE / REGLEMENTATION / TRANSFORMATION /ENTREPRISE / PERSPECTIVE / TEMOIGNAGE / PORCIN /POULE / VOLAILLE DE CHAIR / CAPRIN / ARBORICULTURE /GRANDE CULTURE / MARAICHAGE / PLANTE APARFUM AROMATIQUE ET MEDICINALE / PRODUCTIONLEGUMIERE / VITICULTURE / PROTECTION DES VEGETAUX /PRODUCTION DE SEMENCES / FRANCE / HISTORIQUEBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 17 pages (p. 16-33)

réf. 244-114

AGRICULTURE-ENVIRONNEMENT

Edward Mitchell : il faut libérer la planèteentière des pesticides de synthèse

LaRevueDurable

Edward Mitchell, écologue à l’Université de Neuchâtel,en Suisse, s’intéresse aux effets des néonicotinoïdessur les abeilles. Au cours de cette interview, il revientsur sa dernière publication portant sur la contaminationdes miels du monde entier par cinq néonicotinoïdes.Apportant un état des lieux mondial, cette étude révèleque les trois quarts des miels analysés contiennent aumoins une de ces substances et que 50% des abeillesy sont exposées à des concentrations létales. L'étudene s'est pas particulièrement penchée sur les miels bio.Cependant, Edward Mitchell s'inquiète d'avoir trouvéces pesticides même dans des régions reculées etreconnaît l'enjeu de l'apiculture biologique. Le chercheuraborde également l’initiative citoyenne en cours « Pourune Suisse libre de pesticides de synthèse », dontles signatures s’arrêteront le 29 mai 2018. Un état dela législation suisse, française et européenne sur lesnéonicotinoïdes est présenté.

Mots clés : INTERVIEW / POLITIQUE / MIEL / POLLUTIONPAR LES PESTICIDES / NÉONICOTINOÏDE / RESIDU DEPESTICIDE / ABEILLE / RECHERCHE / MONDE / SUISSE /ACTION CITOYENNE / AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT /ETUDELaRevueDurable N° 60, 21/12/2017, 6 pages (p. 11-16)

réf. 244-063

Page 38: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

ÉCOLOGIE ET RURALITÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 38

Emissions de gaz à effet de serreet fertilisation azotée : Initiativescollectives et territoriales

DENHARTIGH Cyrielle / DUMAS Mélissa /LEBAHERS Goulven

Le secteur agricole émet 20 % de gaz à effet deserre sur le territoire français (environ 100 millions detonnes éqCO2). Près de la moitié de ces émissionssont dues à la fertilisation azotée. Celle-ci peut êtreissue d'engrais minéraux de synthèse (obtenus par unprocessus industriel entre l’azote et l’hydrogène) oud'apports organiques (fumier ou lisier). Cette pratiqueentraîne en particulier des émissions de protoxyded’azote, l’un des trois principaux gaz à effet de serre,directement au champ après l’épandage au sol, ouindirectement, après transfert de l’azote vers les eauxsous forme de nitrate ou via l’atmosphère sous formed’ammoniac. À cela, il faut ajouter les émissions de gazà effet de serre liées à la fabrication et au transportdes engrais azotés sur le sol français ou liées auxengrais importés. Cette publication a pour objectif defaire la lumière sur l’état des connaissances relativesaux émissions de gaz à effet de serre liées à lafertilisation azotée et aux politiques et mesures liées.Elle décrit de façon complète sept initiatives collectiveslocales, identifie les freins rencontrés et dégage desrecommandations en matière de politiques publiques.Son but est, en particulier, d’inspirer d’autres porteursde projet pour qu’ils se saisissent de ce champ d’actionen identifiant les possibilités d’actions collectives.

https://reseauactionclimat.org/publications/gaz-a-effet-de-serre-et-fertilisation-azotee-initiatives-territoriales/Mots clés : TRANSITION ECOLOGIQUE / POLITIQUEAGRICOLE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / SYSTEME HERBAGER / REGLEMENTATION /INITIATIVE LOCALE / AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT /RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE / CAPTAGE / COUVERTVEGETAL / METHANISATION / GAZ A EFFET DE SERRE /AIDE / PROJET COLLECTIF / FINANCEMENT / POLITIQUEPUBLIQUE / COMPOSTAGE / FERTILISATION AZOTEE /FERTILISATION MINERALE / FERTILISATION ORGANIQUE /AZOTE / FRANCE / BRETAGNE / MARNE / NOUVELLE-AQUITAINE / GARD / GERS2018, 48 p., éd. RAC-F (Réseau Action Climat-France) / RÉSEAUCIVAM

réf. 244-110

DÉVELOPPEMENT RURAL

1/2 - Entretien avec Anton Sidler - LaVache Heureuse pour des AgriculteursHeureux

VER DE TERRE PRODUCTION

Anton Sidler est co-fondateur de « La VacheHeureuse ». Suisse d’origine, il présente l’historique deson exploitation, située en Normandie, en polyculture-élevage. Celle-ci dispose d’un troupeau composé de100 vaches laitières et 100 génisses et d’une surfaceagricole utile de 145 ha. Pour changer de système,aller vers une agriculture plus naturelle et simplifiéeet devenir aussi « éleveur de vers de terre », il s’estrenseigné et groupé avec d’autres. Il souhaite pratiquerla double culture (cultures associées ou alternées) enconservation des sols, et aller vers l’autonomie enprotéines et en énergie. Anton Sidler termine par uneliste de conseils pour ceux qui désirent changer desystème (avoir des stocks…) et insiste sur le conseilsuivant : s'entourer avant de se lancer.

https://www.youtube.com/watch?v=gpxPvfIaQz4&t=8sMots clés : ENTRETIEN / ELEVAGE / BOVIN LAIT / BILANCARBONE / AUTONOMIE EN PROTEINES / AUTONOMIE DEL'EXPLOITATION / CONSEIL / TEMOIGNAGE / ALIMENTATIONDES ANIMAUX / SOL / INTERCULTURE / NORMANDIE2017, 25 min. 04 sec., éd. VER DE TERRE PRODUCTION

réf. 244-006

2/2 - Entretien avec Anton Sidler - LaVache Heureuse pour des AgriculteursHeureux

VER DE TERRE PRODUCTION

Seconde partie de l’interview d’Anton Sidler, co-fondateur de "La Vache Heureuse" (LVH) encollaboration avec Konrad Schreiber. Dans cette vidéo,Anton Sidler discute avec Thomas, qui se met à laplace d'un jeune agriculteur qui souhaite en connaîtredavantage sur les pratiques du sol vivant avec La VacheHeureuse. Anton lui explique les différentes étapes, encommençant par un bilan de l’exploitation pour arriverjusqu'aux formations proposées tout au long de l'annéeet les échanges possibles au sein du groupe La VacheHeureuse.

https://www.youtube.com/watch?v=K3uQ-C0RyzsMots clés : ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL / GROUPED'ECHANGE / AGRICULTURE / ELEVAGE / FORMATION /APPROCHE GLOBALE / AUTONOMIE / TEMOIGNAGE /BOVIN / FRANCE / NORMANDIE2017, 8 min. 00 sec., éd. VER DE TERRE PRODUCTION

réf. 244-007

Page 39: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

ÉCOLOGIE ET RURALITÉ

39 Biopresse 244 - Mai 2018

Sur les chemins de l'agroécologie :Parcours d'agriculteurs et de salariésagricoles

TRAME

Dans toutes les régions françaises, des agricultrices,des agriculteurs et des salariés agricoles cheminentvers l’agroécologie. Au quotidien, ils innovent, testent,prennent des risques, doutent, échangent en groupe,échouent, réussissent… Ce recueil de témoignagesmet en lumière 17 agricultrices, agriculteurs ousalariés agricoles engagés dans un projet de transitionagroécologique. Tous ces témoins n’en sont pas aumême point dans leurs trajectoires et leurs réflexions etdans la gestion de leurs priorités : santé du troupeau,méthanisation, agriculture de conservation des sols,circuits courts... Ces récits éclairent sur les motivationsà changer de pratiques, sur les conditions de réussiteet les bénéfices retirés des actions et des projets qu’ilsportent. Pour chaque témoignage, une fiche présentel’exploitation et les personnes qui y travaillent, sur quoia porté le changement, dans quel contexte, comments’est produit le déclic, comment se sont amorcées lespremières transformations, ce qui a pu être mis enœuvre et avec quels résultats, etc. Tous les témoinsrencontrés s’accordent sur le fait qu’appartenir à uncollectif les a aidés dans leurs projets agro-écologiques.

http://www.pardessuslahaie.net/frontend.php/trame/2306Mots clés : GROUPE D'AGRICULTEURS / TRAJECTOIRE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AGROECOLOGIE /CONVERSION / DEVELOPPEMENT RURAL / REVENUAGRICOLE / TRAVAIL EN AGRICULTURE / TEMOIGNAGE /COLLECTIF / FRANCE / CHANGEMENT / PRATIQUEAGRICOLE2017, 44 p., éd. TRAME (Association nationale de développementagricole et rural)

réf. 244-047

Des jus de fruits et légumes bio, extraitsà froid, 100 % Aura

MARUEL Karen

Après un premier emploi dans le marketing, CharlineSpeziale a séjourné au Canada où elle a, notamment,travaillé dans une entreprise de barres de céréales bioà Vancouver, avant de rentrer en France fin 2017. Ellevient de se lancer dans la fabrication de jus de fruits etlégumes pressés bio. Elle a finalisé son projet en partiegrâce à un financement participatif, notamment pourl'achat d'un extracteur de jus à froid. Avec son entreprise"KiluCru", elle souhaite faire découvrir des mélangesde légumes et fruits en Auvergne, en privilégiant lescircuits courts. Dans des bouteilles de 250 ml en fibre decanne à sucre compostables, elle propose une gammede jus élaborés avec une diététicienne. Les fruits etlégumes utilisés sont 100 % locaux. La pression àfroid permet de conserver toutes les vitamines. Nonpasteurisés, sans conservateur ni additifs, ces jus fraiscomportent des associations de fruits et légumes crus,d'herbes fraîches, d'épices et de supergraines. Sesrecettes ne manquent pas de saveurs : gingembre,céleri, concombre, carotte... et Charline a encore desidées plein la tête pour développer une gamme créative"100 % Auvergne-Rhone-Alpes".

Mots clés : EPICE / HERBE FRAICHE / PRODUIT LOCAL /TRAJECTOIRE / JUS DE FRUIT / JUS DE LEGUME / PRODUITBIOLOGIQUE / ENTREPRISE / GRAINE / AUVERGNE-RHONE-ALPES / DEVELOPPEMENT LOCAL / FRUIT / LEGUMEAUVERGNE AGRICOLE (L') N° 2749, 22/03/2018, 1 page (p. 15)

réf. 244-059

Page 40: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

ÉCOLOGIE ET RURALITÉ

Biopresse 244 - Mai 2018 40

Lurzaindia préserve la terre nourricièredu Pays basque

LOPEPE Maritxu

Lurzaindia est l’équivalent basque de Terre de Liens : cecollectif acquiert des terres agricoles de façon collective,grâce à l’épargne de particuliers et d’entreprises, et luttecontre la spéculation sur le foncier agricole. En deuxans, trois fermes ont été achetées en Soule. Lurzaindiavise maintenant le rachat d’une chèvrerie bio et de26 hectares, à Roquiague, pour 71 200 €. Anne Lavis yélève une cinquantaine de chèvres, et transforme le laiten tommes ; son activité est en danger suite à la miseen vente de la ferme par son propriétaire. Le collectifdénonce également des ventes de terres agricoles enzones périurbaines à des prix très élevés (550 000 €pour 1,5 hectare de prairie).

Mots clés : SPECULATION FONCIERE / TERRE AGRICOLE /ELEVAGE BIOLOGIQUE / FONCIER / ACQUISITIONCOLLECTIVE / EPARGNE SOLIDAIRE / ASSOCIATION /CHEVRE / PAYS BASQUE / CAPRIN / TEMOIGNAGECAMPAGNES SOLIDAIRES N° 334, 01/12/2017, 1 page (p. 17)

réf. 244-062

La Gartencoop, un exempled'agriculture solidaire

FONTENY C.

A Tunsel, à quelques kilomètres de la frontièrefranco-allemande, la Gartencoop existe depuis 2009.Cette coopérative cultive 9 ha de légumes biodiversifiés et distribue 70 espèces de légumesdifférents pour 80 foyers coopérateurs. Elle emploieaujourd'hui 4,5 ETP. Un lien fort s'est établi entre lescoopérateurs et la ferme qui produit leurs légumes. Lemodèle fonctionne aussi grâce à l’investissement descoopérateurs bénévoles dans les travaux de la fermeet dans la distribution, à hauteur de 5 demi-journéespar an (désherbage, récolte, préparation des paniers,livraison...). L'originalité de cette ferme, comme ontpu le constater les maraîchers et porteurs de projetsqui l'ont visitée à l'occasion du Mois de la Bio 2017,consiste dans une organisation du travail horizontale.Une réunion de coordination bimensuelle, ouverte àtous les membres, permet de prendre les décisionsimportantes. Depuis 2016, un groupe de bénévolesappuie les salariés dans la gestion des problématiquesliées au monde du travail et à l'autogestion de laferme. Dans toutes ses actions, La Gartencoop essaiede trouver un équilibre entre faisabilité technique etambition environnementale. La démarche de la fermes'inscrit dans l'écologie, mais aussi dans la recherched'autonomie (en énergie, en intrants...).

http://www.bioenlorraine.org/lettres-abMots clés : GOUVERNANCE / SOCIETÉ COOPERATIVED'INTÉRÊT COLLECTIF (SCIC) / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / VENTE DIRECTE / COOPERATIVE AGRICOLE /PROJET COLLECTIF / TRAVAIL EN AGRICULTURE /MARAICHAGE / ALLEMAGNE / FRANCE / DEVELOPPEMENTLOCAL / TEMOIGNAGELES LETTRES AB - MAGAZINE DES PRODUCTEURS BIO DUGRAND EST N° 3, 01/01/2018, 2 pages (p. 10-11)

réf. 244-095

Page 41: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

ÉCOLOGIE ET RURALITÉ

41 Biopresse 244 - Mai 2018

ÉNERGIE

SAS Gazteam Énergie lance une grandeunité en voie sèche

BOURGEOIS Sophie

Dans les Deux-Sèvres, près de Combrand, le GAECLa Touche Neuve, le GAEC l’Abeille et la SARLGabard se sont associés au sein de la société SASGazteam Énergie, pour construire une grande unitéde méthanisation agricole en voie sèche (processKompagas à digesteur à axe horizontal, avec undigestat pâteux annoncé à 24% MS). Les septagriculteurs élèvent environ 450 vaches allaitantesmais, pour assurer la rentabilité de l’unité, ils ont misen place un partenariat avec 18 éleveurs voisins ensystème fumier. Le contrat liant l’éleveur à GazteamÉnergie est sur la base d'une unité d’azote entrée sousforme de fumier qui donne accès à une unité d’azotesous forme de digestat (soit 500 t de digestat pour1000 t de fumier livrées) avec une valorisation de 2 € partonne de fumier. Selon le prévisionnel, l’unité recevra48 000 tonnes de fumier, pailles, menues pailles etintercultures par an, afin d’injecter 320 Nm3 (normalmètre cube) par heure de biométhane dans le réseau degaz naturel. Cette unité représente un investissementde plus de 14 millions d’euros. Son lancement est prévumi 2018.

Mots clés : DIGESTEUR / BOVIN VIANDE / METHANISATION /BIOMETHANE / TEMOIGNAGE / VALORISATION / DEUXSEVRES / PARTENARIAT / ELEVAGEREUSSIR BOVINS VIANDE N° 253, 01/11/2017, 2 pages(p. 32-33)

réf. 244-020

Agriculture et énergies renouvelables :Contributions et opportunités pour lesexploitations agricoles - Synthèse

ADEME

En France, en 2015, le monde agricole a contribuédirectement et indirectement à la production de 20 %des énergies renouvelables nationales, soit 4.5 Mtep,c’est-à-dire la quantité d’énergie qu’il a consomméepour ses activités. A ce jour, cette contribution estessentiellement liée à la production de biomasse etau développement de l'éolien sur des terres agricoles.A l'horizon 2030, la contribution des exploitationsagricoles devrait être multipliée par 2, pour atteindre,en 2050, 15.8 Mtep, grâce au développement dela méthanisation, du photovoltaïque et de l'éoliennotamment. Selon la méthode développée dans cetteétude, en 2015, la contribution du secteur agricole àla production d'énergies renouvelables représentait unchiffre d'affaires d'1,4 milliard d'euros, soit l'équivalentde 2 % du chiffre d'affaires de l'agriculture. Ledéveloppement des énergies renouvelables permetaux agriculteurs de diversifier et de renforcer leurrevenu, pour des montants pouvant aller de quelquesmilliers d'euros de réduction de leur facture énergétiqueà plus de 15 000 € de revenus complémentaires.Ces chiffres sont à mettre en perspective avecle revenu agricole moyen en 2015 évalué à25 400 € pour l'ensemble des filières. L'étudea identifié plus d'une cinquantaine de modèlespossibles offrant aux agriculteurs des opportunitésselon leur filière, leur contexte pédo-climatique, leurniveau d'implication dans la gouvernance des projets,d'investissements financiers, de temps de travail, derisques et d'acceptabilité sociale. Compte tenu desperspectives, l'ADEME recommande le renforcementd'une animation locale axée sur la fourniture de conseilstechniques, administratifs et financiers, ainsi qu'unaccompagnement au montage de projets.

http://www.ademe.fr/agriculture-energies-renouvelablesMots clés : ACCOMPAGNEMENT DE PROJET / ANALYSEECONOMIQUE / AGRICULTURE / DIVERSIFICATION /ENERGIE RENOUVELABLE / METHANISATION / BIOGAZ /POMPE A CHALEUR / ENERGIE EOLIENNE / ENERGIESOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE / ENERGIE SOLAIRETHERMIQUE / PROSPECTIVE / REVENU AGRICOLE / ETUDE /FRANCE2018, 21 p., éd. ADEME - Agence de l'Environnement et de laMaîtrise de l'Energie

réf. 244-048

Page 42: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

VIE PROFESSIONNELLE

Biopresse 244 - Mai 2018 42

VIE PROFESSIONNELLE

ANNUAIRE

La carte des bonnes adresses bio dansle Puy-de-Dôme : Edition 2018

CREVEL Aurélie

Cette brochure fournit, pour le Puy-de-Dôme, une listede producteurs bio en vente directe de fruits et légumes,lait et produits laitiers, viandes, œufs et poissons, miels,épices, plantes à parfum, aromatiques et médicinales,vins... Les artisans et magasins bio sont aussi indiqués,ainsi que les Amap, les événements, les marchés...

http://www.auvergnerhonealpes.bio/qui-sommes-nous/bio-63Mots clés : PRODUCTEUR / TRANSFORMATEUR / ANNUAIRE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /FOIRES ET MARCHES / FILIERE / DISTRIBUTEUR / AMAP /PUY DE DOME / ADRESSE / PRODUIT BIOLOGIQUE /MAGASIN BIO / COMMERCIALISATION2018, 20 p., éd. BIO 63

réf. 244-127

Où trouver des produits bio ? 2017-2018

AGRIBIOVAR

Cette brochure recense les agriculteurs bio et enconversion en vente directe dans le département du Var,avec pour but d'aider les consommateurs à trouver desproduits bio et locaux, dans toutes les productions.

http://www.bio-provence.org/Guide-Ou-trouver-des-produits-bio-dans-le-VarMots clés : ANNUAIRE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /MARCHÉ / FILIERE / VIN / FRUITS ET LEGUMES / HUILED'OLIVE / MIEL / PAIN / PRODUIT BIOLOGIQUE / VIANDE /PRODUIT LAITIER / FROMAGE / OEUF / PLANTE A PARFUMAROMATIQUE ET MEDICINALE / CEREALE / FOURRAGE /PLANT / VAR2018, 37 p., éd. AGRIBIOVAR

réf. 244-128

CONVERSION

Guide régional de la conversion àl'agriculture biologique en Normandie

AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRED'AGRICULTURE NORMANDIE

12 fiches pratiques présentent la conversion enagriculture biologique grâce à une approche complèteallant de la réflexion à la conversion auxdémarches administratives, en passant par les contactsrégionaux : - La bio, c'est quoi ? ; - Lesbonnes questions à se poser avant d'aller plusloin ; - Les techniques de base en agriculturebiologique ; - Comprendre la conversion ; - Lesdémarches administratives pour engager la conversionen bio ; - Les incidences techniques sur les systèmesde production ; - La mixité entre agriculture biologiqueet conventionnelle ; - Fournisseurs et collecteursen Normandie ; - Repères de valorisation en filièrelongue ; - Les aides à l'agriculture biologique ; - Pour ensavoir plus ; - Les documents administratifs de traçabilitéen AB.

http://www.eure.chambres-agriculture.fr/toutes-les-publications-normandes/detail-publication/actualites/guide-regional-de-la-conversion-a-lagriculture-biologique-en-normandie/Mots clés : DEMARCHE ADMINISTRATIVE / MIXITEBIO-NON BIO / TECHNIQUE AGRICOLE / AIDE ALA CONVERSION / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /CONVERSION / REGLEMENTATION / INSTALLATIONAGRICOLE / NORMANDIE / AIDE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /FOURNISSEUR / ADRESSE / ABATTOIR / ATELIER DEDÉCOUPE / COLLECTEUR / PRIX DE VENTE2017, 38 p., éd. CHAMBRES D'AGRICULTURE DE NORMANDIE

réf. 244-042

Page 43: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

VIE PROFESSIONNELLE

43 Biopresse 244 - Mai 2018

Après la conversion : Produire etmanger bio pour rester cohérent

PERRIN Agathe

La démarche de conversion est un cheminement quipeut être long, et chacun a un parcours qui lui estpropre. Les agriculteurs qui entament une conversionchangent-ils aussi leur façon de consommer ? C'est cethème qui est abordé, grâce à l'exemple de 2 jeuneséleveuses soucieuses de mettre en cohérence modede production bio et mode de consommation. MarieHenry et Cécile Le Corfec se sont rencontrées au DéfiFamilles à Alimentation Positive dans le Trégor (29 et22), en 2016. Elles ont ainsi entraîné conjoints et enfantsdans une démarche de changement en modifiant petità petit leurs habitudes pour aller vers des modesd'approvisionnement et de consommation cohérentsavec la bio, tout en n'augmentant pas leur budget.La conversion a ainsi été, pour elles, une véritableremise en question de leur consommation personnelleet familiale.

Mots clés : CONVERSION / CONSOMMATION ALIMENTAIRE /CIRCUIT COURT / BUDGET / TEMOIGNAGE / BRETAGNE /COTES D'ARMOR / FINISTERE / FAMILLE / AGRICULTEUR /SOCIOLOGIESYMBIOSE N° 231, 01/02/2018, 2 pages (p. 16-17)

réf. 244-053

Des producteurs de lait bio libérés ?

GUIHÉRY ÉRIC / CHIRON Jacques

Dès le début de la conversion en bio, la question de lavente du lait se pose. Il faut premièrement observer lesconditions de résiliation du contrat en cours, passé avecle collecteur conventionnel. Puis en choisir un nouveau.Depuis 2016, l'article L631-24 du Code rural reconnaîtle produit bio comme un produit différent d'un produitconventionnel. La résiliation du contrat conventionnelen est facilitée et peut prendre plusieurs formes (simplepréavis, respect de la durée de l'engagement mais avecune valorisation du produit en AB...).

Mots clés : ELEVAGE BIOLOGIQUE / CONVERSION / BOVINLAIT / COMMERCIALISATION / COLLECTE LAITIERE /CONTRAT DE VENTECAMPAGNES SOLIDAIRES N° 334, 01/12/2017, 1 page (p. 6)

réf. 244-030

En direct de l’Inao : Conversion enélevage : cela se mérite !

JACQUET Serge / CATROU Olivier

Si la vague des conversions en élevage ne s’atténuepas, la période de conversion en elle-même n’en est pasmoins complexe. Sachant que l’éleveur, durant cettephase de transition, ne pourra pas valoriser le fruitde son travail au prix bio, le choix de la modalité deconversion est crucial. Dans le cas d’une conversionprogressive en polyculture élevage, la conversion desanimaux ne démarre qu’après la fin de la premièreannée de conversion des terres et a une durée quipeut s’étendre de 6 semaines (volailles destinées àla production d’œufs) à 12 mois (bovins et équidésdestinés à la production de viande et au moinsles ¾ de leur vie en conversion). En conversionsimultanée, les animaux deviennent bio au bout de24 mois, sous condition qu’ils soient nourris en majoritéavec des produits de l’exploitation. L’article décrit laréglementation spécifique à l’introduction de volaillesdans une unité biologique et de mammifères dans uneexploitation bio aux fins de reproduction.

Mots clés : ADAPTATION / TRANSITION / CONVERSION /ELEVAGE BIOLOGIQUE / REGLEMENTATION /REPRODUCTION ANIMALE / POLYCULTURE ELEVAGE /FRANCE / VOLAILLE / BOVINBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 2 pages (p. 75-76)

réf. 244-118

Page 44: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

VIE PROFESSIONNELLE

Biopresse 244 - Mai 2018 44

ÉCONOMIE

L'AB : Une chance pour l'emploi ?

SOLANA Pascale

La progression de la bio a un effet notable surl'emploi et le marché du travail : + 38 % d'emploisde 2012 à 2016, selon l'Agence BIO. La bio attire etrecrute, et ses métiers sont multiples. Les filières biototalisent 118 000 emplois directs dans de nombreuxsecteurs : 77 750 ETP dans les fermes bio (10,8 %des emplois agricoles), 12 800 emplois dans lesentreprises de transformation et de conditionnement,2000 emplois dans les activités de service, conseil,recherche, formation et 25 400 emplois dans ladistribution (1600 grossistes et 23 800 commercesde détail). La plupart de ces emplois sont à la foistrès techniques, parfois même pointus et exigeants.Ils requièrent pour la plupart une grande polyvalence.Des savoir-faire sont aussi à réinventer. Dans lavente, par exemple, le retour des rayons traiteur dansla distribution spécialisée incite les responsables demagasin bio à vouloir s'entourer de professionnels dequalité, capables d'initiatives, impliqués, connaissantbien les produits, capables d'en raconter l'histoireaux clients, etc. De nouvelles compétences émergentqui bousculent la façon d'exercer les métiers. Moteurde la transition écologique, la bio pourrait apporterune partie des réponses au chômage et redynamiserles territoires. C'est pourquoi la formation doit êtreplacée au centre des priorités. Elle permettra de faireémerger les compétences et de les faire reconnaître.Les régions ont leur rôle à jouer dans cette évolution,en soutenant la formation, mais aussi en favorisantl'animation territoriale.

Mots clés : DEVELOPPEMENT DE L'AB / EVOLUTION DEL'AB / EMPLOI / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / CONVERSION /DISTRIBUTION / MAGASIN BIO / TRANSFORMATION /SERVICE / EXPLOITATION AGRICOLE / PRODUCTION /COMPETENCE PROFESSIONNELLE / CONSEIL / FRANCECULTURES BIO N° 98, 01/03/2018, 4 pages (p. 14-17)

réf. 244-057

La lutte contre la précarité alimentaire :60 initiatives locales pour unealimentation solidaire

ROUILLE D'ORFEUIL Henri / DOUILLET Mathilde /PATUREL Dominique / ET AL.

Les États Généraux de l’Alimentation se sont déroulésde juillet à décembre 2017. RESOLIS a notammentparticipé aux travaux de l’atelier 12 « Lutter contrel’insécurité alimentaire, s’assurer que chacun puisseavoir accès à une alimentation suffisante et de qualitéen France et dans le monde ». L'insécurité alimentairetouche, en France, 8 millions de personnes, dont4,8 millions sont soutenues par différents dispositifsd’aide alimentaire. Ce numéro du Journal RESOLISrend compte de la dynamique de cet atelier et dela rencontre entre le travail sur des initiatives localespionnières concernant ce domaine de l’alimentationsolidaire ou de la lutte contre la précarité alimentaireet le débat national qui a eu lieu au cours de l’atelier12. Il rassemble les paroles d'acteurs ayant œuvréà l'animation de ce débat et celles d'acteurs dusystème alimentaire et agricole, engagés dans la luttecontre la précarité alimentaire. 60 initiatives locales delutte contre la précarité alimentaire en France et enEurope ont été répertoriées. Elles ont été caractériséesselon les éléments suivants : localisation, périmètregéographique, famille d’acteurs à l’origine de l’initiativeet place dans la chaîne alimentaire, finalité spécifiquede l’initiative au sein de la chaîne de productionet de consommation des aliments, externalités ouperformances non marchandes recherchées…

http://www.resolis.org/journalMots clés : PRECARITE / PROJET SOLIDAIRE / TRANSITIONALIMENTAIRE / ALIMENTATION HUMAINE / ALIMENTATIONDURABLE / SYSTÈME ALIMENTAIRE / PLAN ALIMENTAIRETERRITORIAL / SECURITE ALIMENTAIRE / INITIATIVELOCALE / TERRITOIRE / SOLIDARITE / POLITIQUEPUBLIQUE / ETUDE / SANTE / EUROPE / FRANCE / ASPECTSOCIAL2018, 60 p., éd. RESOLIS

réf. 244-087

Page 45: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

VIE PROFESSIONNELLE

45 Biopresse 244 - Mai 2018

Des monnaies pour une prospérité sanscroissance

LaRevueDurable / ARNSPERGER Christian /BLANC Jérôme / ET AL.

La création monétaire est un véritable enjeu dedéveloppement écologique et social. Ce dossierprésente des moyens pour le contrôle de la créationd’argent et de sa mise en circulation, ainsi quedes moyens de renforcer l’élan autour des monnaieslocales complémentaires. Les points suivants sontabordés : - fonctionnement du système actuel decréation monétaire ; - durabilité d’un système à plusieursmonnaies selon Richard Douthwaite ; - permettre auxÉtats de contrôler la création monétaire ; - présentationdu principe de « monnaie pleine » ; - les monnaieslocales en France ; - créer de la monnaie pour financerla transition énergétique ; - création monétaire et limitesécologiques ; - monnaies locales complémentaireset transition écologique ; - le Léman, monnaieélectronique.

Mots clés : ECONOMIE GENERALE / ECONOMIE CIRCULAIRE /ECONOMIE LOCALE / POLITIQUE ECONOMIQUE / MONNAIE /EUROPE / FRANCE / SUISSE / BANQUE / ECONOMIELaRevueDurable N° 60, 21/12/2017, 45 pages (p. 17-61)

réf. 244-064

Bricoler à l'ère libre

VAN HOUDENHOVE Ingrid

Christophe André a créé Entropie en 2008, en réactionà l’obsolescence programmée dont il a pris consciencependant ses études d'ingénieur. L'association compteaujourd'hui 4 salariés et de très nombreux contributeurs.Les notices de fabrication de nombreux objets (dumobilier au four solaire, en passant par les outilsde jardinage) sont publiées sous la licence Art libre,qui autorise copie, diffusion, transformation, et mêmevente d'un objet conçu par l'équipe d'Entropie, souventavec la participation des usagers invités à proposerdes améliorations, ou à l'initiative d'une demandeparticulière. Ainsi l'objectif repose-t-il aussi sur unengagement : contribuer à l'autonomie technique,faire des objets des biens publics, réparer plutôtque jeter... Pour l'Atelier Paysan, même volonté :permettre aux agriculteurs de concevoir par eux-mêmesleurs machines et bâtiments agricoles adaptés à uneagriculture biologique et paysanne, et s'affranchir desprofessionnels de l'agroéquipement. Née en 2009, laSCIC est basée en Isère et possède une antennedans le Grand Ouest. Le projet de l'Atelier Paysan viseà recenser les savoir-faire paysans pour les diffuserà la communauté qui peut ainsi se les réapproprier.Tous les plans et tutoriels sont publiés en libre sous lalicence Creative Commons. Entropie et l'Atelier Paysanorganisent de nombreux stages de formation à l'auto-construction et conçoivent en permanence de nouveauxprojets. Autant de chantiers qui visent à remettrel'intelligence collective au centre des techniques deproduction, et à considérer les objets et les outils commedes biens communs à partager.

Mots clés : SOCIETE / OUTIL / PROJET PARTICIPATIF /SAVOIR / SAVOIR FAIRE / AUTOCONSTRUCTION / PROJETCOLLECTIF / ASSOCIATION / MATERIEL AGRICOLE /FRANCEQUATRE SAISONS DU JARDIN BIO (LES) N° 229, 01/03/2018,5 pages (p. 86-90)

réf. 244-094

Page 46: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

VIE PROFESSIONNELLE

Biopresse 244 - Mai 2018 46

ÉTRANGER

Sustainable agriculture within the BalticSea Region : Do policy measuresrespond to policy objectives ?

Agriculture durable dans la région de la mer Baltique :les mesures issues des politiques publiques répondent-elles à leurs objectifs ? (Anglais)

SPIJKERS Jessica / HAHN Thomas

Le programme de recherche international BERAS(Building Ecological Recycling Agriculture andSocieties) s’intéresse à la promotion de l’agriculturedurable pour préserver la mer Baltique, qui subit deplus en plus le phénomène d’eutrophisation. Ce rapportsynthétise les politiques publiques et les stratégies degestion mises en œuvre pour développer et soutenir uneagriculture durable dans les pays de la mer Baltique.Il se base sur les discussions ayant eu lieu lorsd’une réunion entre les parties prenantes (agriculteurs,chercheurs, ONG et législateurs) de huit pays, àStockholm (Suède), en septembre 2012, ainsi que surla littérature scientifique et sur une analyse de décisionmulticritère.

http://beras.eu/wp-content/uploads/2013/08/SUSTAINABLE-AGRICULTURE-WITHIN-THE-BALTIC-SEA-REGION.pdfMots clés : MER BALTIQUE / POLITIQUE AGRICOLE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AGRICULTURE DURABLE /CHAINE ALIMENTAIRE / EUTROPHISATION / POLITIQUE DEL'ENVIRONNEMENT / PROTECTION DE L'EAU / POLITIQUEPUBLIQUE / EUROPE DU NORD / AGRICULTURE ETENVIRONNEMENT / SCANDINAVIE / AGRICULTURE ETPOLLUTION2013, 31 p., éd. BERAS INTERNATIONAL (Building EcologicalRecycling Agriculture and Societies)

réf. 244-003

Sosève : Une production wallonne issuede la forêt, bio et peu commune

GIOT Francis

Depuis toujours passionnée de nature, de nutritionsaine et de bien-être, Sandrine s'est formée à lanutrithérapie. C'est en découvrant la forêt de Oignies-en-Thiérache (Wallonie) et ses bouleaux que l'idéea germé : produire une sève de bouleau de qualité,artisanale et non pasteurisée. Sandrine s'est entouréede personnes intéressées par l'aventure, puis elle s'estformée à la manière de prélever le précieux liquide.L'entreprise "Sosève" est née. Environ 1000 arbres ontété sélectionnés comme "donneurs". Sandrine travaillede façon artisanale et respectueuse des arbres. La sèverécoltée est conditionnée sans traitement ni adjonction.Le processus de lactofermentation démarre tout de suiteaprès, en chambre froide. Une fois la sève stabilisée,différents extraits de bourgeons peuvent y être adjoints.La sève de bouleau est un produit santé, elle a un effetdiurétique sur les reins et dépuratif sur le sang.

Mots clés : SEVE DE BOULEAU / COMMERCIALISATION /PRODUIT NATUREL / ENTREPRISE / BOULEAU / SANTE /WALLONIE / BELGIQUE / TEMOIGNAGEVALERIANE N° 130, 01/03/2018, 5 pages (p. 45-49)

réf. 244-084

Page 47: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

VIE PROFESSIONNELLE

47 Biopresse 244 - Mai 2018

Agroécologie : Capitalisationd'expériences en Afrique de l'Ouest :Facteurs favorables et limitantsau développement de pratiquesagroécologiques ; Evaluation deseffets socio-économiques et agro-environnementaux

LEVARD Laurent / MATHIEU Bertrand

Le projet CALAO – Capitalisation d’expériencesd’acteurs pour le développement de techniquesagroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a étémis en œuvre au cours de l’année 2017, dans le cadredu Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique del’Ouest (PASANAO). Sous le pilotage et la coordinationd’AVSF (Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières), leprojet CALAO a impliqué diverses ONG et universitésfrançaises et africaines et des partenaires au BurkinaFaso, au Sénégal et au Togo. Les agricultures familialesde la région ouest-africaine sont confrontées à des défiset à des difficultés auxquels le modèle de la révolutionverte, basé sur l'usage intensif d'intrants de synthèse etle recours à des variétés commerciales à haut potentielde rendement, ne semble pas en mesure d'apporterdes solutions durables et adaptées aux besoins etaux capacités des familles paysannes. Le projet aconsisté en un travail d’évaluation et de capitalisationvisant à mettre à disposition des praticiens, décideurspolitiques et institutions de coopération des référencessur les effets et impacts agro-environnementaux etsocio-économiques des pratiques et des systèmesagroécologiques, ainsi que des éléments d’analyse desfreins et leviers pour le développement de ces pratiques.Ce document de capitalisation présente les résultatsissus principalement d'études de terrain, réalisées auBurkina Faso, au Sénégal et au Togo.

http://www.gret.org/publication/agroecologie-capitalisation-dexperiences-afrique-de-louest/Mots clés : CONDUITE TECHNIQUE / EMPLOI / AIDEAU DEVELOPPEMENT / AGRICULTURE DURABLE /AGROECOLOGIE / ECONOMIE / RELATION NORD SUD /AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT / SOLIDARITE /ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE / ETUDE /PROJET DE RECHERCHE DEVELOPPEMENT / AFRIQUE DEL'OUEST / BURKINA FASO / SENEGAL / TOGO2018, 82 p., éd. ÉDITIONS DU GRET

réf. 244-088

L'Afrique du Sud, terre de contrastesextrêmes !

FLORIN Jean-Michel

L'auteur a rencontré les principaux acteurs dudéveloppement de la biodynamie en Afrique duSud, à l'occasion du congrès annuel de l'AssociationAgriculture Biodynamique d'Afrique du Sud, auprintemps 2017. 12 étudiants sud africains de laformation longue en biodynamie étaient présents aucongrès, noirs, blancs, métis, de différentes régions etde différentes classes sociales, qui étudient ensemblela biodynamie. Dans ce pays qui souffre encore dudouloureux passé de l'apartheid, mais aussi d'unmanque de formation agricole des jeunes et despaysans noirs à qui le gouvernement a redistribuédes terres, c'était là un bel exemple d'intégration. Laformation d'agriculteurs est un grand défi pour l'Afriquedu Sud. A Spiers, où se déroulait le congrès, ledomaine familial géré par Mariota Enthoven et AngusMcIntosh est en biodynamie. A la fois parc et jardinpotager, c'est aussi un lieu d'accueil touristique et unlieu de rencontre où les locaux viennent se détendreet découvrir l'alimentation bio dans un environnementsain. L'initiative d'Abalimi, dont l'auteur a rencontrél'un des piliers, Rob Small, a aussi de quoi donnerespoir. Son objectif : développer l'agriculture urbaine etl'action environnementale dans les bidonvilles autour duCap. Abalimi soutient les organisations individuelles etcommunautaires visant à produire des aliments bio, àprotéger la nature, à créer des emplois, à réduire lapauvreté et à restaurer l'environnement. Actuellement,5 paysans urbains sont en chemin vers la biodynamie.Les autres sont tous en bio. L'auteur partage ses visiteset les rencontres inspirantes qu'il a faites.

Mots clés : DEVELOPPEMENT DE L'AB / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / AGRICULTURE BIODYNAMIQUE /AGRICULTURE DURABLE / AFRIQUE DU SUD / ASPECTSOCIAL / FORMATIONBIODYNAMIS N° 100, 01/12/2017, 8 pages (p. 26-33)

réf. 244-097

Page 48: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

VIE PROFESSIONNELLE

Biopresse 244 - Mai 2018 48

Bio Suisse : Le bio en chiffres 2017

BIO SUISSE

Fin 2017, 6 423 producteurs de Suisse et duLiechtenstein travaillaient selon le Cahier des chargesde Bio Suisse (279 de plus qu’en 2016), correspondantà 13,6 % de l'ensemble des fermes. Les denréesalimentaires bio ont aussi atteint un record en réalisantun chiffre d'affaires de plus de 2,7 milliards de Francssuisses et une part de marché de 9 %. C'est en Suisseromande que la progression a été la plus forte. Sontprésentés les chiffres d'affaires et les parts de marché,qui ont progressé pour toutes les catégories de produits.

https://www.bio-suisse.ch/fr/bioinzahlen.phpMots clés : DEVELOPPEMENT DE L'AB / LICHTENSTEIN /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / CIRCUIT DE DISTRIBUTION /MARCHÉ / FILIERE / CONSOMMATION / EXPLOITATIONAGRICOLE / SURFACE AGRICOLE / STATISTIQUES / SUISSE /CHIFFRE D'AFFAIRES2018, 20 p., éd. BIO SUISSE

réf. 244-106

19ème Congrès mondial d'Ifoam enInde : La bio en réponse à la criseécologique

RIVRY-FOURNIER Christine

Le Congrès mondial d’Ifoam a rassemblé, à Delhi (Inde),du 9 au 11 novembre 2017, près de 3000 participants,agriculteurs, scientifiques, conseillers, consultants,transformateurs, pouvoirs publics… venus de 110 pays.Avec plus de 600 000 fermes bio, l’Inde concentre leplus grand nombre d’agriculteurs bio au monde, sur1,5 million d’hectares certifiés en 2016 (entre 0.7 et1% de la SAU). C’est ce pays qui a inspiré l’anglaisEdward Howard, un des pionniers de l’agriculture bio.Cependant, la révolution verte indienne basée sur lesengrais et les pesticides a fait des dégâts. Le soutienfédéral à la bio, démarré en 2002, a été réaffirmé lorsdu Congrès (objectif officiel : 14 millions d’hectaresen bio en 2025). Il peut s’appuyer sur la démarchedu Sikkim, petit État himalayen du nord de l’Inde, quiest totalement bio depuis 2016 sur ses 76 000 ha deSAU et qui vient d’interdire l’importation de produitsconventionnels sur son territoire. Plusieurs États dunord de l’Inde, peu touchés par l’agriculture intensive,comptent suivre cet exemple. Mise en place en 2001,la réglementation bio indienne bénéficie, depuis 2009,d’un système d’équivalence avec la réglementationeuropéenne, uniquement sur les produits bruts, quise veut fiable malgré quelques failles. Un systèmeparticipatif de garanties soutenu par l’Etat fédéral, pourles petits paysans, est aussi opérationnel depuis 2015.Au cours de ce Congrès, la candidature française pourl’organisation de la prochaine édition a été validée, cettedernière se tiendra donc à Rennes en 2020.

Mots clés : CHIFFRE / DEVELOPPEMENT DEL'AB / CONGRES / RENCONTRE PROFESSIONNELLE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / REGLEMENTATION /TERRITOIRE BIO / STATISTIQUES / INDEBIOFIL N° 115, 01/01/2018, 4 pages (p. 18-21)

réf. 244-125

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VIE PROFESSIONNELLE

49 Biopresse 244 - Mai 2018

FORMATION

Biofil fête ses 20 ans ! : Se former,s’informer

RIVRY-FOURNIER Christine / POUPEAU Jean-Martial

La formation est indispensable à la réussite d’un projetagricole bio, qui requiert un haut niveau de technicité.Dans l’enseignement agricole, tous les cursus abordentaujourd’hui le mode de production bio. Le nombre defermes ou d'ateliers de lycées agricoles conduits en ABexplose, les stages orientés vers la bio augmentent.Jean-Marie Morin, co-animateur de Formabio, revient,dans une interview, sur les étapes de l’intégration dela bio dans l’enseignement agricole et l’évolution del’offre de formations bio depuis 1985, date d’entrée despremiers modules bio dans les formations diplômantes.Au Lycée agricole du Valentin, dans la Drôme, lesprofesseurs mettent en avant des pratiques bio, dansune démarche de pédagogie participative consistantà construire, sur mesure, un outil pour le semisdirect sous couvert de légumineuses pérennes. Outrela formation diplômante (initiale ou continue), lesmoyens ancestraux d’apprentissage (par l’empirisme etle partage de connaissances) continuent de tenir uneplace prépondérante. Exemple en Inde où l’organisationSarg Vikas Samiti diffuse les techniques biodynamiquesauprès des paysans alentours, grâce à un verger de cinqhectares devenu centre de formation et embauchantune vingtaine de salariés.

Mots clés : DEVELOPPEMENT DE L'AB /INTERVIEW / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AGRICULTUREBIODYNAMIQUE / SECURITE ALIMENTAIRE /AUTOCONSTRUCTION / ENSEIGNEMENT AGRICOLE /LYCEE AGRICOLE / FORMATION / POLITIQUE PUBLIQUE /MATERIEL AGRICOLE / BINEUSE / SEMOIR / TRACTIONANIMALE / ANE / INDE / FRANCE / DROMEBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 8 pages (p. 66-74)

réf. 244-117

Les prairies au service de l'élevage :Enseigner la prairie : Guide pédagogique

COUVREUR Sébastien / MAHMOUDI Paule /DOLIGEZ Etienne / ET AL.

Les prairies sont des supports de formation trèspolyvalents. Elles permettent d'aborder des notionsd'agronomie, de zootechnie, d'économie, d'écologie,de fonctionnement de systèmes fourragers oud'exploitation. Elles constituent aussi aujourd'hui unenjeu majeur pour l'élevage tant leurs atouts sontnombreux aussi bien à l'échelle de la parcelle, del'animal, du système d'élevage que du territoire. Dece fait, les prairies sont au cœur de l'évolutionde l'agriculture vers l'agroécologie. L'enseignementde la prairie représente un enjeu pour la mise enplace et la maîtrise de la conduite de systèmesd'élevages agroécologiques par les éleveurs et lesconseillers. Ce guide à destination des acteurs de laformation a été rédigé en complément de l'ouvrage« Les prairies au service de l'élevage : Comprendre,gérer et valoriser les prairies ». Il recense unetrentaine d'expériences pédagogiques rédigées par lesenseignants et formateurs qui les ont réalisées. Ellesmontrent comment la prairie peut être enseignée à despublics divers et sur des thèmes variés.

Mots clés : GRAMINEE / OUTIL D'AIDE A LA DECISION /OUTIL DE DIAGNOSTIC / ELEVAGE / BOVIN LAIT /SYSTEME HERBAGER / INITIATIVE LOCALE / TERRITOIRE /ENSEIGNEMENT AGRICOLE / FORMATION / PEDAGOGIE /BIODIVERSITE CULTIVEE / DURABILITE / GESTIONDE L'EXPLOITATION AGRICOLE / ALIMENTATION DESANIMAUX / OVIN / PRAIRIE / DIAGNOSTIC PRAIRIAL /PATURAGE / SYSTEME FOURRAGER / GESTION DUPATURAGE / PÂTURAGE TOURNANT DYNAMIQUE / FRANCE2018, 100 p., éd. EDUCAGRI ÉDITIONS

réf. 244-104

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VIE PROFESSIONNELLE

Biopresse 244 - Mai 2018 50

ORGANISATION DEL'AGRICULTUREBIOLOGIQUE

Jean-Marc Lévêque, co-fondateur deBiofil : "Des années stratégiques pour labio"

RIVRY-FOURNIER Christine

Dans le cadre de ses 20 ans d’existence, la revueBiofil interviewe un de ses co-fondateurs, Jean-MarcLévêque. Ce dernier, d’abord en charge d’un sitede fabrication de la laiterie Tante Hélène dans leCalvados, prend la responsabilité du Setrabio (Syndicateuropéen des transformateurs et distributeurs deproduits biologiques) de 1992 à 2013 où il co-rédige, entre autres, la réglementation bio française eteuropéenne jusqu’au Codex Alimentarius. L’agriculturebiologique, alors en pleine transition entre les pionnierset la génération suivante au visage plus technique,a besoin de moyens de partage de connaissances.En réponse, Jean-Marc Lévêque (avec Jean-LucDemas) crée la revue Biofil, en tant qu'outil devalorisation, outil qu’il considère encore fidèle à l’axetechnique donné au départ. Le co-fondateur et actueldirecteur du développement durable chez Triballat-Noyal poursuit ses actions de développement del’agriculture biologique à travers son engagementauprès d’acteurs clés : le Synabio, l’Inao et l’Ifoam.

Mots clés : DEVELOPPEMENT DE L'AB / INTERVIEW /TRAJECTOIRE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / HISTORIQUE /PERSPECTIVE / TEMOIGNAGE / MONDE / FRANCEBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 2 pages (p. 6-7)

réf. 244-112

Biofil fête ses 20 ans ! : Le cheminparcouru

RIVRY-FOURNIER Christine / MONOD Marianne

Biofil retrace, dans un dossier, l’histoire des vingtdernières années de l’agriculture biologique. Dans unpremier temps, la PDG du Moulin Marion et présidentede Générations Futures, Maria Pelletier, apporte, dansune interview, son regard sur l’essor de la bio (réactionà une prise de conscience des problèmes causéspar l’agriculture conventionnelle, création du cahierdes charges en 1991), sur les freins qui persistentet empêchent d'opérer un changement de modèled’agriculture, et sur la manière d’envisager l’avenir de labio (avec une responsabilité sociétale des entreprisesrenforcée et l’appui de la société civile). Dans un secondtemps, est détaillé l’historique de l’ambitieux PlanRiquois, premier Plan pluriannuel de développement del’agriculture biologique (PPDABio 1998 - 2002), dont lebut était de multiplier par 10, en 10 ans, les surfacesbio françaises. Le dossier conclut sur un état des lieuxdes ambitions politiques, des soutiens publics, de ladynamique du marché à travers une série de mots-cléstels que « Aide au maintien », « Crédit d’impôt », « FondsAvenir Bio », « Eurofeuille »…

Mots clés : DEVELOPPEMENT DE L'AB /INTERVIEW / ORGANISATION DE L' AB / PLAN DEDEVELOPPEMENT / POLITIQUE AGRICOLE / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / CONVERSION / ALIMENTATION DURABLE /REGLEMENTATION / FILIERE / PRIX / AGRICULTURE ETENVIRONNEMENT / AIDE / FINANCEMENT / POLITIQUEPUBLIQUE / HISTORIQUE / PERSPECTIVE / SANTE /FRANCE / SOCIETEBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 8 pages (p. 8-15)

réf. 244-113

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VIE PROFESSIONNELLE

51 Biopresse 244 - Mai 2018

Biofil fête ses 20 ans ! : Changementd’échelle

RIVRY-FOURNIER Christine / ROSE Frédérique /POUPEAU Jean-Martial / ET AL.

Explosion du nombre de conversions, fortesattentes du marché et exigences du consommateurplacent aujourd’hui l’agriculture biologique à untournant, un changement d’échelle incontournableque doivent appréhender les acteurs de la bio.Biofil, dans ce dossier, pose le cadre et interrogecoopérateurs, organisations de producteurs et experts.En introduction : l’interview de Stéphanie Pageot,présidente sortante de la Fnab, qui balaie les chantiersen cours (renouer avec le logo AB aux règles françaises,accueil et installation des nouveaux arrivants, justerémunération du producteur, futur de la Fnab, etc.).De son côté, Bio Loire Océan, association deproducteurs de fruits et légumes bio, présente unmodèle d’organisation collective et autonome pionnier(en laissant les producteurs libres de choisir leurs prixet débouchés et en proposant un cahier des chargesaux valeurs écologiques, économiques, sociales etsociétales). Autre modèle de réussite : celui dela coopérative des agriculteurs bio du Sud-Ouest,Cabso, qui a pérennisé un tissu de producteursgrâce au maintien des prix, élaborés selon les coûtsde production des adhérents. Christophe Lecuyer,président de la commission bio de Coop de France,apporte son expérience et fait part de ses satisfactionset craintes sur l’avenir de la bio, qui « n’est pas laseule à bénéficier des faveurs des consommateurs ».Pour finir, le dossier aborde les défis majeurs del’élevage sur la santé et le bien-être animal (mieuxappréhender la santé animale par auto-surveillance etauto-prévention) du point de vue de Catherine Experton,de l’Itab, et de Thierry Mouchard, de la Frab Nouvelle-Aquitaine. L’interview de la vétérinaire Christine Filliat,en fin de dossier, complète les propos précédents avecl’éclairage de ses pratiques anti-poux et notamment del’efficacité du Lentypoux (produit ingéré par les poulesvia l’eau de boisson, mis au point avec l’Itavi).

Mots clés : ACCOMPAGNEMENT / DEVELOPPEMENT DE L'AB /INTERVIEW / ORGANISATION DE L' AB / POU / VALEUR /POLITIQUE AGRICOLE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /AGRICULTURE DURABLE / AVICULTURE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / REGLEMENTATION / COOPERATIVEAGRICOLE / FILIERE / FRUITS ET LEGUMES / ABATTAGE DESANIMAUX / PRIX / CAHIER DES CHARGES / ASSOCIATION DEPRODUCTEURS / PREVENTION / TEMOIGNAGE / BIEN-ÊTREANIMAL / GRANDE CULTURE / SANTE ANIMALE / FRANCE /ORNE / PAYS DE LA LOIRE / SUD-OUEST FRANCE / SOCIETE /ETHIQUE / RELATION NORD NORDBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 16 pages (p. 34-49)

réf. 244-115

Biofil fête ses 20 ans ! : La bio dans20 ans

RIVRY-FOURNIER Christine / ROSE Frédérique /RIPOCHE Frédéric

L’agriculture biologique est à un tournant de sonhistoire et, tout en devant progresser sur desquestions qu’elle s’est depuis longtemps appropriées(sélection variétale, génétique animale, évaluation desexternalités), elle doit s’emparer de sujets émergents,comme celui des nouvelles technologies - robotique,intelligence artificielle, monitoring. Le dossier s’ouvresur l’implication de l’INRA durant ces vingt dernièresannées, à travers une interview de Marc Benoit, co-directeur du Comité interne de l’agriculture biologiquedont la création en 2000 a réellement lancé les travauxsur la bio au sein de l’institut de recherche (avec desrecherches pluridisciplinaires sur le long terme, classantl’INRA premier publieur international sur la bio depuis3 ans). Un tour d’horizon des filières, des enjeux actuelset perspectives est ensuite proposé. Si la filière vinbio s’appuie sur une série de scénarios pour élaborerson plan d’action, la filière semences bio est, quant àelle, impulsée par la réglementation (de plus en plusde variétés hors dérogations, obligation d’utiliser en2035 des semences et plants entièrement bio). Après unarticle sur la génétique bovine (présentation de résultatsdes programmes d’études GenAB et 2-Org-Cows),place aux nouvelles technologies (questionnement surleurs plus-values et dangers potentiels). Le thèmede la protection des cultures clôt ce dossier. Quelavenir du biocontrôle chez les bio et quel devenirdes substances actives composées de cuivre et desrecherches alternatives à leurs utilisations (suite à laparution, en janvier 2018, du rapport final d’évaluationde l’Efsa) ?

Mots clés : ALTERNATIVE AU CUIVRE / INTERVIEW /ORGANISATION DE L' AB / SCENARIO PROSPECTIF /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /REGLEMENTATION / FILIERE VIN / TECHNOLOGIE /PROSPECTIVE / ROBOT DESHERBEUR / ROBOTIQUEAGRICOLE / DEBAT / ETUDE / PERSPECTIVE / BOVIN / RACE /PROTECTION DES VEGETAUX / BIO-CONTROLE / LEGUME /SEMENCE VEGETALE / GENETIQUE ANIMALE / CUIVRE /RECHERCHE / PROJET DE RECHERCHE DEVELOPPEMENT /EUROPE / FRANCEBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 15 pages (p. 50-65)

réf. 244-116

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VIE PROFESSIONNELLE

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RÉGLEMENTATION

Le point avec Ecocert : Traces :sécuriser les importations

EUTIQUE Julie

Depuis le 20 octobre 2017, les importateurs de produitsbio hors UE doivent enregistrer tous leurs mouvementsdans le logiciel Traces (logiciel créé en 2003 parl’UE suite aux épizooties et zoonoses). Le certificatd’inspection est désormais électronique et passe parune validation qui n'est plus assurée par les servicesdes douanes, mais par la DGCCRF (Direction généralede la concurrence, de la consommation et de larépression des fraudes) ou la DGAL (Direction généralede l’alimentation), selon le type de marchandise. Enaccélérant et en fluidifiant les échanges d’informations,le nouveau dispositif offrira une meilleure réactivitéen cas de suspicion de non conformité des produits(sanitaire, fraude sur la qualité biologique…). Mais,ce logiciel ne comportant pas encore de signatureélectronique, les documents papiers continuent jusqu’àprésent à coexister.

Mots clés : GESTION DES RISQUES /SECURISATION / LOGICIEL / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / IMPORTATION / PRODUIT BIOLOGIQUE /CERTIFICAT D'INSPECTION / CERTIFICAT D'INSPECTIONELECTRONIQUE / TRAÇABILITE / REGLEMENTATIONEUROPEENNE / CONTROLE / FRANCEBIOFIL N° 116, 01/03/2018, 1 page (p. 77)

réf. 244-119

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RECHERCHE ET SYSTÈME SPÉCIFIQUE

53 Biopresse 244 - Mai 2018

RECHERCHE ETSYSTÈME SPÉCIFIQUE

AGRICULTUREBIODYNAMIQUE

Le sarrasin et le quinoa

ACREMANT Joël

Après un rappel sur les graminées, qui constituent lescéréales (blé, riz, maïs...), cet article s'intéresse aux"pseudo-céréales" que sont le quinoa et le sarrasin.Leurs graines peuvent être moulues, réduites enfarine et utilisées comme celles des céréales, maiselles n'appartiennent pas à la famille des graminées(Polygonacées pour le sarrasin, Chénopodiacées pourle quinoa). La déclinaison alimentaire la plus courantepour le sarrasin se rencontre sous forme de galettes.Le quinoa, quant à lui, facile à cuisiner, se prête à denombreuses préparations. Vénéré et consommé depuislongtemps en Amérique du Sud, il est désormais cultivéen Europe, et même en France. Des recettes sontproposées pour préparer sarrasin et quinoa.

Mots clés : GRAMINEE / POLYGONACÉE / QUINOA /AGRICULTURE BIODYNAMIQUE / ALIMENTATION HUMAINE /CEREALE / SARRASIN / RESSOURCE VÉGÉTALE /CHENOPODIACEEBIODYNAMIS N° 100, 01/12/2017, 5 pages (p. 34-38)

réf. 244-098

Biodynamie et fertilité des sols

DREYFUS Laurent / DOSSO Mireille /MASSENOT Dominique / ET AL.

Ce Hors-série est consacré au thème "Biodynamie etfertilité des sols". Au sommaire : - Le sol : là où lavie s'enracine (M. Dosso, agronome, pour qui l'étudedu sol est fascinante) ; - Le sol, la vie du sol, la viede la plante (D. Massenot, formateur, agronome etchercheur en biodynamie, partage ses connaissancesen pédologie, et développe son point de vue surl'humus, le compostage, la fumure et les préparationsbiodynamiques) ; - Biodynamie et fertilité des sols(J. Fourès, conseiller en biodynamie, rappelle le rôleessentiel de la biodynamie dans le maintien de lafertilité des sols, en particulier la bouse de corne et lecompost) ; - Le sol, la plante et les micro-organismes (G.Baudouin introduit la notion de symbioses entre planteset micro-organismes du sol) ; - Portrait des sols et ducompost : couleur, forme et motif (par B. Follador, duNature Institute of New York, dont le travail est orientésur les méthodes de compostage biodynamique et lamorphochromatographie, selon la méthode d'EhrenfriedPfeiffer) ; - Maintenir et améliorer la fertilité du sol (extraitdes "Principes de la fertilité des sols", article paru dansla brochure suisse du FiBL) ; - Augmenter les tauxd'humus en viticulture (L. Dreyfus décrit les pratiquesmises en œuvre par P. Meyer, viticulteur biodynamiquedans le Bas-Rhin, notamment son utilisation des engraisverts et des ferments microbiens) ; - Les sabots d’argilebiodynamiques (A. Régnault, maraîcher sur une terreargileuse et argilo-calcaire, dans l’Allier, expose ce quela biodynamie a apporté dans ses champs) ; - Lesplantes spontanées, pour nourrir le sol (D. de laPorte, polyculteur-éleveur de vaches normandes dansle Calvados, explique ses pratiques en permaculture etle rôle des associations végétales) ; - Des tisanes pour lachoucroute (L. Dreyfus présente la ferme de J-P. Sirlin,dans le Haut-Rhin, qui produit, en plus du lait de vache,une choucroute réputée, en biodynamie depuis plus de60 ans) ; - Une fertilité durable sans animaux ? ; - Nosamis les vers de terre ; - La traction animale, respectdu sol et fumure (expérience de Catherine et VincentSegretain, en Auvergne, en plantes aromatiques etmédicinales).

Mots clés : RELATION PLANTE ANIMAL / AGRICULTUREBIODYNAMIQUE / PREPARATION BIODYNAMIQUE / BOUSEDE CORNE / TRACTION ANIMALE / COMPOST /COMPOSTAGE / THE DE COMPOST / ENGRAIS VERT /SOL / FERTILITE DES SOLS / MARAICHAGE / PLANTE APARFUM AROMATIQUE ET MEDICINALE / POLYCULTUREELEVAGE / VITICULTURE / VIE BIOLOGIQUE DU SOL /MICRO-ORGANISME / SYMBIOSE / LOMBRIC / FRANCEBIODYNAMIS N° Hors-série n° 20, 01/11/2017, 80 pages (p. 1-80)

réf. 244-035

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RECHERCHE ET SYSTÈME SPÉCIFIQUE

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AGROFORESTERIE

Élever des volailles sous les arbres :témoignage d'un éleveur NicolasPetit - La Ferme en Coton

SCOP AGROOF

Nicolas Petit présente son exploitation située à Auchet composée de 40 ha en agriculture biologique,dont 30 ha en céréales destinées à l'alimentationdes animaux. Les deux espèces présentes sont desvolailles (poulets, pintades) et des porcs noirs élevésen plein air (40 à 50/an). Les volailles évoluent sur10 hectares en agroforesterie, en cabanes en bois.La présence d'arbres sur le parcours permet de fairesortir les poulets. Chaque semaine, environ 170 volaillessont vendues en vente directe à la ferme et sur lesmarchés. Nicolas Petit expose les modifications qui onteu lieu suite à la mise en place de l'agroforesterie, lesdifférentes étapes qu'il a suivies pour la mettre en placeet des conseils pour d'autres agriculteurs. Il expliqueaussi les intérêts (meilleure répartition de la bandesur l'espace, ce qui entraîne moins de stress et unediminution du parasitisme ; paysage agréable).

https://www.youtube.com/watch?v=DNo7E9yiQO4Mots clés : AGRICULTURE BIOLOGIQUE / TEMOIGNAGE /ELEVAGE BIOLOGIQUE / VOLAILLE / AGROFORESTERIE /GERS / PLEIN-AIR / ASSOCIATION ARBRE ANIMAL /COMPLEMENT ALIMENTAIRE / CROISSANCE DES ANIMAUX /AVICULTURE2016, 15 min. 24 sec., éd. SCOP AGROOF

réf. 244-005

A la Germinière, l'arbre est un beausymbole de la durabilité !

COUSINIE Philippe / DUROX Claire

Dans la Sarthe, le Lycée agricole de La Germinière,près du Mans, et le GIEE « Concevoir à l’échellede l’exploitation un système agroforestier doublementperformant », porté par la Chambre d’Agriculture, ontmis en place un projet d’agroforesterie sur pâturagetournant dynamique. Près de 190 arbres de haut-jet, de 14 espèces différentes, ont été implantés enintra-parcellaire, protégés des bovins par des clôturesélectriques sur 8,4 hectares. Ce système agroforestierbovins lait a été pensé en prenant en compte lagénétique, la résilience, la pédologie, la biodiversitéet les services écosystémiques rendus. La réflexioncommune et inter-filière a permis de rendre sa place àla thématique « arbre » au sein des formations agricolesdu lycée. Initialement élaboré par les élèves du BTSA« Gestion forestière », en 2014, le projet solliciteratoutes les disciplines pour divers diagnostics et suivis.

Mots clés : AGRICULTURE DURABLE / BOVIN LAIT /ENSEIGNEMENT AGRICOLE / LYCEE AGRICOLE /INNOVATION / AGROFORESTERIE / ELEVAGE /ASSOCIATION ARBRE ANIMAL / PÂTURAGE TOURNANTDYNAMIQUE / EXPERIMENTATION / SARTHETRAVAUX ET INNOVATIONS N° 242, 01/11/2017, 3 pages(p. 20-22)

réf. 244-022

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RECHERCHE ET SYSTÈME SPÉCIFIQUE

55 Biopresse 244 - Mai 2018

La forêt-jardin : Créer une forêt comestibleen permaculture pour retrouver autonomieet abondance

CRAWFORD Martin

L’auteur s’intéresse depuis plus de 20 ans à laculture et à l’usage des plantes pérennes dansl’alimentation humaine. Il s’est lancé dans la mise enplace d’une forêt-jardin dans le Devon, au Royaume-Uni. Son expérience fait de lui, aujourd’hui, une despersonnes les plus compétentes dans le domaineémergeant des forêts-jardins. Cet ouvrage de référencepourra autant être utile aux permaculteurs confirmés,aux paysagistes et professionnels des aménagementsforestiers, qu’inspirer tous ceux qui se sont engagésdans une démarche de recherche de l’autonomiealimentaire, avec pas moins de 500 références devégétaux majoritairement comestibles pour créer leursystème forestier autonome et résilient. Créer une"forêt-jardin", ou "forêt comestible", consiste à planterune large palette de plantes comestibles à différenteshauteurs, en s'inspirant des systèmes forestiers. Grâceà leurs interactions mutuelles, les espèces choisiesdemandent peu de travail du sol, de désherbage ou decontrôle des ravageurs, et aboutissent à un systèmeproductif et en bonne santé. Ce livre donne toutesles clés pour créer une forêt-jardin adaptée à notreclimat, quelle que soit la taille du projet : conception,conseils de plantation et d'entretien ; répertoire de plusde 500 arbres, arbustes, vivaces, annuelles, légumes etgrimpantes, tous comestibles ou utiles, tous cultivableset disponibles dans nos régions.

Mots clés : PERMACULTURE / PLANTE EXOTIQUE /PLANTE GRIMPANTE / PLANTE INDIGENE / PLANTEPERENNE / PREPARATION DU SOL / AGRICULTUREDURABLE / CHANGEMENT CLIMATIQUE / BIODIVERSITEFONCTIONNELLE / SECURITE ALIMENTAIRE / SOL /FERTILITE DES SOLS / JARDIN-FORÊT / AGROFORESTERIE /PLANTE MÉDICINALE / TECHNIQUE CULTURALE /RAVAGEUR / ARBRE / ARBUSTE / ARBUSTE FRUITIER /CHAMPIGNON / PLANTE VIVACE / PLANTE ANNUELLE /PLANTE COMESTIBLE / INSECTE / TECHNIQUE DE L'AB2017, 352 p., éd. EDITIONS ULMER

réf. 244-109

RECHERCHE

L'essor des sciences participatives

CATHALA Agnès

Depuis une quinzaine d’années, les contributions decitoyens dans des projets de recherches participativesse multiplient, notamment grâce au développementdes nouvelles technologies de l’information et de lacommunication. En 2016, un rapport a été élaborésur ce sujet, faisant l’état des lieux de ces initiativesen France. Dans le domaine agricole et agronomique,trois exemples sont présentés : - l’Observatoire agricolede la biodiversité (OAB) implique les agriculteursdans l’observation et la création de références surla biodiversité des milieux agricoles, en proposantdes protocoles d’observation ; - le projet Pl@ntnetest un système collaboratif d’aide à l’identificationdes plantes par l’image (application smartphonegratuite), visant à contribuer au suivi de la biodiversitévégétale ; - l’application Agiir est dédiée aux insectesintroduits ou espèces invasives. Grâce à un outil dereconnaissance, l’utilisateur peut déclarer la présencede ces nuisibles en un lieu géoréférencé.

Mots clés : APPLICATION SMARTPHONE / SUIVIFLORISTIQUE / BIODIVERSITE / OBSERVATOIRE NATIONAL /OBSERVATION / INSECTE RAVAGEUR / RECHERCHE /RECHERCHE PARTICIPATIVE / FRANCE / SOCIETE /RELATION CHERCHEUR AGRICULTEURTRAVAUX ET INNOVATIONS N° 242, 01/11/2017, 4 pages(p. 26-29)

réf. 244-023

Page 56: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

RECHERCHE ET SYSTÈME SPÉCIFIQUE

Biopresse 244 - Mai 2018 56

Consommation de viande : nosnouveaux péchés de chair ?

BERTHIER Sylvie

Aujourd’hui, les consommateurs de viande se retrouventperdus entre deux visions opposées : d’un côté,celle des associations de protection des animaux,revendiquant l’arrêt de l’exploitation animale, et, del’autre, celle des agriculteurs défendant l’élevage,activité ancestrale, traversant eux-mêmes une sévèrecrise (un suicide tous les deux jours au sein dela profession). Jean-Paul Poulain, sociologue del’alimentation (Certop), s’est intéressé aux aspirationset inquiétudes des consommateurs, entre 2009 et2016. Son étude met en évidence l’existenced’inquiétudes sanitaires (hygiène, présence de produitsnocifs) et vis-à-vis du bien-être animal (conditionsd’élevage et d’abattage). Selon les dernières enquêtes,les végétariens et végans restent une minorité(1,7% des foyers français comptait un ou plusieursvégétariens en 2016). Cependant, une lourde tendanceà manger moins de viande se dessine, et seretrouve également dans les pays émergents, soulignel’anthropologue Geneviève Cazes-Valette. Néanmoins,la consommation de viande reste un marqueurculturel fort. A l’image de ces deux courants, lesgrandes surfaces proposent aujourd’hui des linéairesde « steaks », « saucisses » végétariens (+82%en un an). Les chiffres de la consommation deviande en 2015, par habitant et par an (en kg eten kg équivalent carcasse), pour l’Union européenneet la France, sont présentés par Philippe Chotteau,directeur du département économie des filières àl’Institut de l’Élevage. Ce dernier relève l’érosion dela consommation totale de viande depuis la fin desannées 90 jusqu’en 2013, avec une petite reprise depuislors ; et commente que ce bilan global masque lesévolutions qualitatives du type de produit consommé (deplus en plus de produits élaborés industriellement) etdes modes de distribution.

http://revue-sesame-inra.fr/Mots clés : VEGETARISME / CONSOMMATION ALIMENTAIRE /REGIME ALIMENTAIRE / ATTENTE DU CONSOMMATEUR /COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR / VIANDE /EVOLUTION / BIEN-ÊTRE ANIMAL / SANTE / SOCIOLOGIE /RECHERCHE / FRANCE / ETUDE / CONTROVERSESÉSAME N° 1, 01/05/2017, 3 pages (p. 14-16)

réf. 244-026

Au nom d'une humanité carnivore

BURGAT Florence / LARRERE C.

« Pourquoi l’homme mange-t-il de la viande ? »,« Comment l’humanité pourrait-elle changerradicalement de cap et préférer les végétaux auxanimaux ? » C’est à ces questions que FlorenceBurgat, philosophe, directrice de recherche à l’INRA,répond dans son livre « L’humanité carnivore ».Catherine Larrère, également philosophe et membredu comité d’éthique de l’INRA, a accepté de lui porterla contradiction. Le débat en résultant est retranscritdans l’article. En s’écartant d’une question purementbiologique ou nutritionnelle, les deux philosophess’interrogent autour de l’alimentation carnée à proposdes points suivants : - son aspect légal ou moral ; - entrenature et culture ; - de la désacralisation dusacrifice ; - entre patrimoine et hypertechnicisation.

http://revue-sesame-inra.fr/Mots clés : ALIMENTATION HUMAINE / REGIMEALIMENTAIRE / VIANDE / RECHERCHE / SOCIOLOGIE /TRADITION / CONSOMMATION ALIMENTAIRE /CONTROVERSE / FRANCESÉSAME N° 1, 01/05/2017, 5 pages (p. 19-23)

réf. 244-027

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RECHERCHE ET SYSTÈME SPÉCIFIQUE

57 Biopresse 244 - Mai 2018

RESSOURCES GÉNÉTIQUES

Dossier : Des semences bio...paysannes

RINGEISEN Christophe / VIDIE Claire /MICHAUD Yoan

L'association lorraine "L'Or des Graines" et l'associationalsacienne "Kerna Un Sohma" effectuent actuellementun travail sur les semences paysannes en blé,potagères et maïs, notamment en conservant lesvariétés anciennes et en les rendant accessibles auxpaysans. Au sommaire de ce dossier : - Les semences,on n'y comprend rien ; - Conservation et évaluationdes blés caucasiens, un nouveau défi pour la FermeMoyses ; - Produire ses semences de légumes, c'estpossible ? ; - Maïs populations : Essais encourageantsen Lorraine.

http://www.bioenlorraine.org/lettres-abMots clés : CATALOGUE OFFICIEL DES VARIETES /CERTIFICAT D'OBTENTION VEGETALE / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / REGLEMENTATION / DEROGATION /CERTIFICATION / ASSOCIATION / BLE / EPEAUTRE / MAIS /SEMENCE DE FERME / SEMENCE PAYSANNE / SEMENCEPOTAGERE / VARIETE ANCIENNE / VARIETE POPULATION /VARIETE DE CONSERVATION / RESSOURCE GENETIQUE /GRAND-EST / ALSACE / LORRAINELES LETTRES AB - MAGAZINE DES PRODUCTEURS BIO DUGRAND EST N° 2, 01/12/2017, 4 pages (p. 6-9)

réf. 244-036

Le châtaignier : un arbre généreux

ASTIER Eliane / BERTRAND Bernard

Le châtaignier ou "arbre à pain" a nourri les hommespendant plusieurs générations, en Corse, dans lesCévennes, en Ardèche, dans le Limousin. Il aégalement été une ressource précieuse dans denombreuses autres régions. Ce livre dresse un portraitdu châtaignier, dont la culture a été répandue en Gaulependant l'Antiquité, et raconte son histoire à travers lessiècles. Il est le feuillu de nos forêts dont le bois ale plus d'usages. Ses très nombreuses qualités et sesatouts justifient qu'on l'appelle l'"arbre à tout faire". Sonbois, gorgé de tanins, n'a pas besoin de traitementspour être utilisé à l'extérieur. On l'emploie en agriculture,en viticulture, en ostréiculture, dans la construction…La châtaigne n’est pas seulement un fruit sauvage.De nombreuses variétés sont cultivées : Aguyane,Bouche rouge, Comballe, Pellegrine, Tricciuda… Cetouvrage propose un panorama complet du châtaignieret de la châtaigne : botanique, écologie, histoire,traditions, variétés, culture… Les propriétés médicinalesdu châtaignier sont présentées, ainsi que ses utilisationsau fil des saisons, en teinture, apiculture, vannerie et,bien sûr, en cuisine.

Mots clés : CUISINE / CULTURE / PROPRIETEMEDICINALE / TEINTURE / VANNERIE / BOIS / FORET /ARBORICULTURE / CHATAIGNE / VARIETE / VARIETEANCIENNE / RESSOURCE GENETIQUE / CHATAIGNIER /APITHERAPIE / GEMMOTHERAPIE / HISTOIRE / TRADITION /FRANCE2017, 152 p., éd. ÉDITIONS DE TERRAN

réf. 244-081

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RECHERCHE ET SYSTÈME SPÉCIFIQUE

Biopresse 244 - Mai 2018 58

Le maïs population – Rencontresnationales et échanges de pratiques ;Le maïs population du 42 : plus qu'ungroupe, une dimension sociale

CHOUIN Dominique / DESPREZ Léopoldine /PITIOT Raymond / ET AL.

Au début des années 2000, notamment suite à unproblème de contamination de semences de maïs pardes OGM, des agriculteurs de Dordogne s’engagentdans une démarche de sélection de maïs populationsur leurs fermes. La dynamique s’est développée etimplique maintenant plusieurs groupes de producteursen France. En 2015, s’organisait un réseau national.2016 voyait les premières rencontres nationales sur lemaïs population en Périgord. La seconde édition a eulieu les 7 et 8 septembre 2017, en Loire-Atlantique. C’estl’histoire de cette dynamique et de leurs expériences ausein de leur collectif que décrivent Dominique Chouin,éleveur bio de Loire-Atlantique, et Raymond Pitiot,producteur dans la Loire. Les journées nationales, ainsique le travail en groupe au niveau local, sont essentielsd’après ces agriculteurs : ainsi, le paysan se réapproprieson métier, les prises de décision sont confortées,l’autonomie de décision ou encore l’autonomie del’exploitation sont renforcées et le lien social devientfondamental.

Mots clés : GROUPE D'AGRICULTEURS / GROUPED'ECHANGE / RENCONTRE PROFESSIONNELLE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /ALIMENTATION HUMAINE / RESEAU / AUTONOMIE / ESSAI /TEMOIGNAGE / ALIMENTATION DES ANIMAUX / MAIS /SEMENCE VEGETALE / SEMENCE PAYSANNE / SELECTIONVEGETALE / VARIETE POPULATION / FRANCE / LOIRE /LOIRE ATLANTIQUEVOIX BIOLACTEE (LA) N° 90, 01/12/2017, 5 pages (p. 52-56)

réf. 244-032

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LES BRÈVES

59 Biopresse 244 - Mai 2018

BRÈVES

Nouveau règlement bio adopté par le Conseil desministres

Le texte du nouveau règlement pour l'agriculturebiologique a été adopté, le 22 mai, par le Conseil desministres européen.

Il s'agit du texte de base (basic acts). Il entreraen vigueur le 1er janvier 2021. D'ici là, le travaild'élaboration des actes secondaires (actes déléguéset d'exécution), visant à préciser certaines règles, sepoursuivra jusqu'en 2020.

Source(s) : IFOAM France, mai 2018

Appel d'offre pour une étude sur les produits bio enrestauration

L'Agence BIO lance un appel d'offre pour une étude surl’introduction des produits de l'agriculture biologique enrestauration collective et commerciale en France.

Cet appel d'offre sera clos le 21 juin 2018.

Pour en savoir plus : http://www.agencebio.org/actualites/lancement-dun-appel-doffre-sur-les-produits-biologiques-en-restauration

Source(s) : Agence BIO, 29 mai 2018

Création de FORÉBio

Plus de 7000 fermes bio de France se rassemblent pourparler d’une seule voix au travers de leurs organisationséconomiques.

Les organisations EBF (Éleveurs Bio de France), BIODIRECT, BIO GALLINE, BIOLAIT, BVB, COPEBIO,LANN BODIGUEN, SCA PRE VERT, UNEBIO etVBO, avec COCEBI, CORAB, BIOCER, PROBIOLOR,NORABIO et BIO BREIZH se sont donc réunies enAssemblée Générale Constitutive, le 20 avril 2018,pour fonder FORÉBio, la Fédération des ORganisationsÉconomiques 100 % bio des agrobiologistes de France.

FORÉBio commercialise, sur le marché bio français :31 % du lait, 60 % de la viande, 20 % des fruits etlégumes, des céréales et protéagineux, des volailles dechair et des œufs.

Cette place sur le marché français donne toute lalégitimité à ces productrices et producteurs engagés autravers de leurs organisations économiques 100 % bio,à pouvoir se réunir, comme le prévoient leurs statuts,pour :

• Favoriser l’organisation collective entreorganisations économiques d’agricultrices (eurs)biologistes ;

• Les représenter auprès de toutes lesinstances syndicales, politiques ou économiquesconcernées ;

• Développer et promouvoir la production desagricultrices (eurs) biologistes français, latransformation et la distribution, en particulier parla création et la gestion de filières spécifiques àl’agriculture biologique ;

• Entreprendre toute action, y compris juridique,visant à préserver la crédibilité et l'image del'agriculture biologique ;

• Favoriser une cohérence et un partage desprincipes fondamentaux entre les organisations,afin de renforcer les liens entre les filièresvégétales et animales.

Le conseil d’administration a élu un bureau composéde :

Président : Philippe Jaunet – 49 – UNEBIO (viande) ;Vice-présidente : Christelle Garnier – 89 – COCEBI(céréales) ; Trésorier : Mathieu Lancry – 59 – NORABIO(fruits et légumes) ; Secrétaire : Michel Ragot – 61 –BIOLAIT (lait).

Site internet : https://sites.google.com/view/forebio/accueil

Source(s) : Communiqué de presse FORÉBio ,2 mai 2018

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LES BRÈVES

Biopresse 244 - Mai 2018 60

Chiffres 2017 de la bio

La conférence de presse de l’Agence BIO du 1er juin aporté notamment sur :

• Les chiffres du bio de l’année 2017, de laproduction à la consommation ;

• Le programme Ambition Bio 2022 : point d’étapesur la concertation ;

• Le bio dans les territoires : Printemps BIO et sesanimations.

Fin 2017, la France comptait 8,3 % de fermes en bio et6,6 % de la SAU en bio.

La France totalise 88 400 emplois directs dans lesfermes (en ETP) et près de 134 500 emplois directsdans toute la filière bio. Le marché du bio atteint plus de8,3 milliards d’euros.

Pour avoir accès aux dossiers de presse("L’agriculture biologique, un accélérateur économique,à la résonnance sociale et sociétale", "Lebio dans les territoires : Le Printemps BIOet les actualités") et revoir la conférence depresse : http://www.agencebio.org/actualites/dossiers-de-la-conference-de-presse-de-lagence-bio-du-1er-juin-2018

Source(s) : Agence BIO, 31 mai 2018

Annuaire d'IFOAM - Organics International

Le nouvel annuaire regroupant les contacts, à l'échellemondiale, des membres, associés et soutiens d'IFOAM- Organics International est en ligne : https://directory.ifoam.bio/

Source(s) : IFOAM - Organics International,mai 2018

Vote à l'Assemblée nationale du projet de loiAgriculture et Alimentation

Le 30 mai 2018, après huit jours de discussionsanimées, les députés ont approuvé le projet deloi Agriculture et Alimentation, mais une partie del'Assemblée reste sur sa faim à propos du rééquilibragedes relations commerciales au profit des agriculteurs, oude la protection de l'environnement.

Le texte, qui va maintenant aller au Sénat, a été voté enpremière lecture par 339 voix, avec 84 votes contre et130 abstentions.

Parmi les principales mesures du projet de loi "pourl'équilibre des relations commerciales dans le secteuragricole et alimentaire et une alimentation saine etdurable", figurent :

• Les coûts de production des producteursdeviendront la base de la construction du prix.Incitation au regroupement des producteurs ;

• Les repas dans la restauration collective publiquedevront comprendre, au plus tard en 2022, aumoins 50 % de produits issus de l'agriculturebiologique ou tenant compte de la préservationde l'environnement. La part pour le bio est d'aumoins 20 % de la valeur totale ;

• Au-delà de 200 couverts, plan pluriannuelde diversification de protéines incluant desalternatives à base de protéines végétales ;

• Mesures pour favoriser la lutte contre legaspillage alimentaire (par ordonnance) ;

• Etiquetage renforcé pour certaines denréesalimentaires à partir de 2023. Mentions tellesque "nourri aux OGM", le mode d'élevage,l'origine géographique, ou encore "le nombrede traitements par des produits phytosanitairessur les fruits et légumes frais". Conditionsd'application précisées par décret ;

• Les producteurs de miel devront indiquerl’ensemble des pays d'origine d’un produit issud’un mélange de miels à partir du 1er septembre2019 ;

• Statut de lanceur d’alerte pour le responsableprotection animale dans les abattoirs etsensibilisation au bien-être animal dans laformation des agriculteurs ;

• Extension du champ de l’interdiction desnéonicotinoïdes aux substances chimiques quiont des modes d’action identiques ;

• Rétablissement de la possibilité de vendre auxjardiniers amateurs des variétés de semencesrelevant du domaine public ;

• Séparation des activités de vente et de conseilpour les produits phytopharmaceutiques (parordonnance).

Lien : http://www.france24.com/fr/20180530-projet-loi-agriculture-alimentation-principales-mesures

Source(s) : http://www.france24.com/fr/, mai 2018

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LES BRÈVES

61 Biopresse 244 - Mai 2018

Débats parlementaires sur le projet de loiAgriculture et Alimentation

Pour avoir accès aux débats parlementaires et auxcomptes-rendus des séances du 22 mai au 30 mai 2018de l'Assemblée nationale :

https://www.legifrance.gouv.fr/affichLoiPreparation.do?idDocument=JORFDOLE000036562265&type=general&typeLoi=proj&legislature=15

Source(s) : Légifrance, mai 2018

La PAC après 2020

Les propositions sur la PAC après 2020 ne permettrontpas à l'UE d'atteindre ses objectifs de maintiend'une agriculture familiale et d'un tissu rural vivant,selon le Comité européen des régions, du faitnotamment des coupes drastiques dans le budgetconsacré au développement rural, de l'augmentation ducofinancement pour la politique de développement ruralet de la sortie du cadre de la politique de cohésion dufinancement du développement rural par la PAC.

IFOAM EU s'inquiète de la capacité de la nouvellePAC (2021-2027) à inciter les agriculteurs à adopterdes pratiques favorables à l'environnement, au climat etaux communautés rurales. Pour IFOAM EU, l'adaptationdes aides aux réalités nationales, même si ellesemble être une bonne idée, devrait néanmoins êtreaccompagnée de priorités européennes fortes enmatière de mesures agro-environnementales et deprogrammes écologiques.

Source(s) : Communiqué de presse Comitéeuropéen des régions, Communiqué de presse

IFOAM EU, juin 2018

Pétition pour l’interdiction du glyphosate

Les députés réunis en première lecture autour du projetde loi sur l’Agriculture et l’Alimentation ont rejeté lesamendements visant à inscrire dans cette loi la sortie duglyphosate.

Emmanuel Macron s’était engagé en novembre dernierà interdire le glyphosate en France "au plus tard danstrois ans" et plusieurs organisations souhaitent que cetengagement soit inscrit dans la loi.

34 organisations de la société civile ont lancé unepétition pour que l’engagement du Président soit tenu.Plus de 200 000 citoyens ont déjà signé cet appel.

Les organisations signataires sont :

Foodwatch, Générations Futures, Greenpeace, FNH,Agir pour l'Environnement, Les Amis de la Terre, JusticePesticides, LPO, Fédération Artisans du Monde, ATTACFrance, UFC-Que Choisir, Confédération Paysanne,Collectif de soutien aux victimes des pesticidesde l'Ouest, Bio Consom’acteurs, Bloom, RéseauEnvironnement Santé (RES), Terre d'abeilles, SyndicatNational d'apiculture, Solidaires, Miramap, Commerceéquitable France, Union Nationale de l'ApicultureFrançaise, WeMove.eu, WECF, La Ligue contre lecancer, Alerte des médecins sur les pesticides, RéseauAction Climat, CCFD-Terre-Solidaire, France NatureEnvironnement, WWF, CFSI, Terre & Humanisme,SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires,CCLV, WeMove, Power Foule, SumOfUs, Slow Food,Mouvement de l'Agriculture Bio-Dynamique.

Source(s) : Communiqué de presse desorganisations signataires, 30 mai 2018

Dossier INRA sur le glyphosate

Un dossier qui donne des éléments informatifs surles recherches menées à l'INRA concernant différentsaspects de la problématique du glyphosate est en ligneà l'adresse :

http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Systemes-agricoles/Tous-les-dossiers/Le-glyphosate-un-pesticide-parmi-les-autres

Source(s) : INRA, 28 mai 2018

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LES BRÈVES

Biopresse 244 - Mai 2018 62

Nouveau bureau à IFOAM-EU

L’assemblée générale d'IFOAM-EU s’est tenue, mi-mai, à Bruxelles et a conduit à l’élection d’un nouveaubureau, qui comprend deux Français et qui est composécomme suit :

• Jan Plagge, President (Bioland) ;• Marian Blom, Board Vice President (Bionext) ;• Jiri Lehejcek, Board Vice President (Czech

Technology Platform for Organic Agriculture) ;• Thomas Fertl, Board Member and sector

representative for farming (Bio Austria) ;• Roberto Pinton, Board Member and sector

representative for processing & trade (AssoBio) ;• Michel Reynaud, Board Member and sector

representative for certification (Ecocert) ;• Sylvie Dulong, Board Member (FNAB) ;• Kristin Karlsson, Board Member (Organic

Sweden) ;• Virginija Lukšiene, Board Member (EKOAGROS

PI).

Source(s) : IFOAM France, mai 2018

Mesures de la CE pour lutter contre le déclin desinsectes pollinisateurs

Le 1er juin, la Commission européenne a émis une sériede propositions pour lutter contre le déclin des insectespollinisateurs.

Il s’agit notamment d’améliorer la connaissance dece déclin, de ses causes et de ses conséquences,grâce à un système de surveillance qui fournira desdonnées sur l’état et l’évolution des différentes espècespollinisatrices. La Commission propose aussi d’établirune liste des habitats importants des pollinisateurs, etd’en évaluer l’état sur la base des déclarations desEtats membres. Bruxelles souhaite également lancer unprojet de surveillance de la présence de pesticides dansl’environnement.

Par ailleurs, la Commission prévoit des mesures delutte contre le déclin, telles que la mise en placede plans d’action pour la protection des habitats despollinisateurs les plus menacés. Enfin, il est questiond’améliorer la sensibilisation des citoyens, notammentconcernant le secteur agroalimentaire. « Du matérielpédagogique sur les pollinisateurs sera fourni auxécoles via le Corps européen de solidarité », est-ilajouté.

Pour rappel, le 1er mars 2018, le Parlement européena adopté son rapport sur les enjeux du secteur apicolede l’Union européenne, qui demandait alors à laCommission et aux Pays membres la mise en placed’un véritable plan de lutte pour la protection despollinisateurs.

Source(s) :http://www.environnement-magazine.fr/, 4 juin 2018

Nouveau Pacte agricole en Île-de-France

Le Pacte agricole 2018-2030 doit permettre àl'agriculture francilienne de répondre aux enjeuxenvironnementaux et économiques qui l'attendent. 30M€ seront investis chaque année jusqu'en 2022 par laRégion et 150 M€ sont prévus pour l'ensemble de lapériode 2018-2022.

Les principaux objectifs sont :

• Tripler les surfaces cultivées en agriculturebiologique pour atteindre 45 000 ha en 2022 ;

• Permettre l’installation de 200 nouveauxagriculteurs par an ;

• Accélérer la diversification des exploitations pourla porter de 10 % à 25 % d’ici 2022 ;

• Accroître de 10 à 15 % le nombre d’exploitationsélevant des animaux.

Les 5 axes du Pacte agricole sont :

• Préserver les terres et lutter contre le mitage ;• Soutenir l'installation des jeunes agriculteurs ;• Aider à la diversification (investissements

matériels pour silos de céréales, ateliersd'élevage, ateliers de stockage et detransformation, etc. ; Un nouveau dispositif d'aideà l'agriculture biologique pour compenser, pourpartie, le retrait de l'État dans l'aide au maintien,va être élaboré. L'ambition est de parvenir à 25 %de surfaces agricoles en bio d'ici 2030, contre 2 %en 2015 ;

• Accompagner la transition écologique eténergétique ;

• Favoriser le « mangeons francilien ».

Source(s) : https://www.iledefrance.fr/, 31 mai 2018

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LES BRÈVES

63 Biopresse 244 - Mai 2018

Risque d'accaparement des terres agricoles enFrance

Les terres agricoles françaises sont très convoitées.

Le bilan 2017 des marchés fonciers ruraux, publiéle 31 mai par la Fédération nationale des sociétésd’aménagement foncier et d’établissement rural(FNSafer), le prouve. Sur l’année écoulée, les ventesde surfaces ont atteint un niveau record. Le nombrede transactions progresse de 7,6 %, et s'établit à 86260, pour un montant qui bondit, lui, de 15,5 %, à 4,6milliards d’euros. Au total, 381 000 hectares ont changéde mains.

En 2017, 6 900 projets de cession de parts socialesou d’actions de sociétés agricoles ont été notifiés auxSafer, soit près de 20 % du marché du foncier agricole.A priori, les achats bouclés par les étrangers sont peuimportants. Ils sont évalués à 122 millions d’euros etsont essentiellement le fait d’Européens. Toutefois, cesmontants ne prennent pas en compte les achats faitspar des sociétés immatriculées en France, mais dont lecapital pourrait être détenu par des étrangers.

« Ces chiffres prouvent la réalité de la financiarisationet du risque d’accaparement des terres », affirmeEmmanuel Hyest, président de la FNSafer, qui tirela sonnette d’alarme. « La vitalité des territoires esten péril », estime l’organisme. « La tendance àl’agglomération de grandes surfaces au sein d’unnombre limité d’exploitations agricoles se développe.Cette concentration est préjudiciable aux transmissions,aux installations et à la consolidation des exploitations.Elle s’accompagne souvent d’une diminution de lavaleur ajoutée et de l’emploi. »

La question de la pérennité du modèle d’agriculturefamiliale, marque de fabrique française, et de lapréservation des paysages se pose. D’autant plus quele renouvellement des générations sera l’un des grandsenjeux des dix prochaines années.

M. Hyest, qui prône un renforcement législatif, met enexergue une des failles du dispositif actuel : « Il suffitpour les investisseurs de racheter 99 % des parts d’unesociété agricole et de laisser 1 % à l’ancien exploitantpour éviter que la Safer puisse faire jouer son droit depréemption. »

Une loi sur le foncier agricole est prévue début 2019.

Source(s) : http://www.lemonde.fr/, 31 mai 2018

Etude sur l'impact de la pollution atmosphérique enFrance sur la santé du fœtus

Des chercheurs INSERM de l’équipe d’épidémiologiedes maladies allergiques et respiratoires (EPAR) ontanalysé les données sur les risques de naissancesd’enfants accusant un retard de croissance lié à lapollution atmosphérique.

Cette étude révèle que l’impact de la pollutionatmosphérique durant la grossesse, ainsi que lesrépercussions sur l’enfant après la naissance coûtentcher. Le montant pour la société est ainsi estimé à 1.2milliard d’euros. Ces résultats ont été publiés dans larevue Archives de Pédiatrie de mai 2018.

Ainsi, en France, en 2012, 2,3 % d’enfants sont néshypotrophes (une naissance à terme avec un poidsà la naissance inférieur à 2,5 kg), dont la moitié enraison de l’exposition de la mère pendant la grossesseaux particules atmosphériques. Cette hypotrophieentraîne par la suite de nombreuses conséquencessur le développement avec, pour certains enfants, unimportant retard de développement intellectuel.

Plus d'informations : https://presse.inserm.fr/pollution-atmospherique-en-france-un-impact-sur-la-sante-du-foetus-et-un-cout-de-1-2-milliards-deuros-pour-la-societe/31319/

Source(s) : Communiqué de presse INSERM,15 mai 2018

Nouveau Complexe agricole biologique au Québec

Le nouveau Complexe agricole biologique du Cégepde Victoriaville (Québec), le plus important centre deformation et de recherche en agriculture biologique auCanada, vient d’être inauguré.

Pour acquérir la terre et bâtir son Complexe – unefacture totale de 16,7 millions de dollars canadiens – leCégep a pu compter sur une subvention de 9,4 millionsde dollars canadiens du ministère de l’Éducation ; de4,3 millions du Fonds d’investissement stratégique dugouvernement fédéral.

Le Complexe, installé sur une terre de 55 hectaresavec 4 serres, abritera les activités d’enseignementen agriculture biologique de quelque 250 élèves, ainsiqu’ une partie de l’équipe du CETAB+, lequel mèneune vingtaine de projets de recherche, toujours enagriculture biologique.

Lien : https://www.lanouvelle.net/le-bio-cest-a-victo-quon-se-le-dise/

Source(s) : https://www.lanouvelle.net,1er juin 2018

Page 64: AGENDA - ABioDocBIODYNAMIS N 100, 01/12/2017, 12 pages (p. 14-25) réf. 244-096 ÉLEVAGE Vaches laitières : de la féverole toastée dans la ration PINOT François Début 2017, deux

LES BRÈVES

Biopresse 244 - Mai 2018 64

"Victoires des cantines rebelles" 2018

Pour la troisième édition, programmée le 7 novembre2018 à l’Hôtel de ville de Paris, les "Victoires descantines rebelles" récompenseront cinq acteurs de larestauration collective bio et locale dans trois grandescatégories :

• trois collectivités locales qui servent de moins de1000 à plus de 5000 repas par jour ;

• un collectif citoyen qui plaide pour le changementdes pratiques alimentaires sur son territoire ;

• une collectivité locale ou structure qui faitde l’introduction des protéines végétales unedémarche exemplaire en restauration collective.

Plus d’informations : http://www.unplusbio.org/inscrivez-vous-aux-victoires-des-cantines-rebelles-2018/

Source(s) : http://www.unplusbio.org/, mai 2018

Plan pour la biodiversité

Nicolas Hulot a annoncé, le 18 mai, un Plan pourla biodiversité. Plusieurs ministères devraient êtreassociés.

Les mesures concrètes de ce plan ne sont pas encoreconnues, mais cinq axes sont définis :

• Protéger la biodiversité pour améliorer notrecadre de vie et nous adapter au changementclimatique ;

• Faire de la biodiversité le moteur duchangement de nos sociétés de production etde consommation pour réduire notre empreinteécologique en France et dans le monde ;

• Protéger et restaurer la nature dans toutes sescomposantes ;

• Créer un cadre européen et internationalambitieux pour la protection de la biodiversité ;

• Rendre la connaissance et l'action pour labiodiversité accessibles à tous.

Source(s) : http://campagnesetenvironnement.fr/,23 mai 2018

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65 Biopresse 244 - Mai 2018

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Biopresse 244 - Mai 2018 66

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COORDONNÉES DES ÉDITEURS DES OUVRAGES CITÉS

67 Biopresse 244 - Mai 2018

COORDONNÉESDES ÉDITEURS DESOUVRAGES CITÉS

ACTA - LES INSTITUTS TECHNIQUES AGRICOLES149 Rue de Bercy, 75 595 PARIS CEDEX 12 - FRANCETél. : 01 40 04 50 50 - Fax : 01 40 04 50 [email protected]://www.acta.asso.fr

Index Acta biocontrôle - 2018CHARBONNIER Edwige / DIONISIO Clément /PRINGARD Nathalie - 374 p. - 36 €

ADEME - Agence de l'Environnement et de laMaîtrise de l'Energie27 Rue Louis Vicat, 75 737 PARIS CEDEX 15 -FRANCETél. : 01 47 65 20 00 - Fax : 01 46 45 52 36http://www.ademe.fr

Agriculture et énergies renouvelables :Contributions et opportunités pour les exploitationsagricoles - Synthèse

http://www.ademe.fr/agriculture-energies-renouvelablesADEME - 21 p.

AGENCE BIO (Agence Française pour leDéveloppement et la Promotion de l'AgricultureBiologique)6 Rue Lavoisier, 93 100 MONTREUIL-SOUS-BOIS -FRANCETél. : 01 48 70 48 30 - Fax : 01 48 70 48 [email protected]://www.agencebio.org

Note de conjoncture et d'actualités pour les produitsbiologiques - Février 2018

AGENCE BIO - 46 p.

AGRIBIOVARZAC de la Gueiranne, Maison du paysan, 83 340 LECANNET DES MAURES - FRANCETél. : 04 94 73 24 83 - Fax : 04 94 50 54 [email protected]://bio-provence.org

Où trouver des produits bio ? 2017-2018http://www.bio-provence.org/Guide-Ou-trouver-des-produits-bio-dans-le-VarAGRIBIOVAR - 37 p.

ALIM'AGRIMinistère de l’Agriculture et de l'Alimentation, 78 Rue deVarenne, 75 349 PARIS 07 SP - FRANCETél. : 01 49 55 49 55http://agriculture.gouv.fr

Développer le bio et préserver l'eau : un collectif deviticulteurs du Gard se mobilise

http://www.dailymotion.com/video/x554yba_developper-le-bio-et-preserver-l-eau-un-collectif-de-viticulteurs-du-gard-se-mobilise_newsALIM'AGRI - 1 min. 22 sec.

BERAS INTERNATIONAL (Building EcologicalRecycling Agriculture and Societies)Kulturcentrum 13, 153 91 JÄRNA - SUEDETél. : +46 (0)8 551 577 [email protected]://beras.eu/

Sustainable agriculture within the Baltic SeaRegion : Do policy measures respond to policyobjectives ?

http://beras.eu/wp-content/uploads/2013/08/SUSTAINABLE-AGRICULTURE-WITHIN-THE-BALTIC-SEA-REGION.pdfSPIJKERS Jessica / HAHN Thomas - 31 p.

BIO 6311, allée Pierre de Fermat, BP 70007, 63171 AUBIERECedex - FRANCEtéléphone : 04 73 44 45 55 télécopie : 04 73 44 45 50http://www.chambre-agri63.com/bio63.html

La carte des bonnes adresses bio dans le Puy-de-Dôme : Edition 2018

http://www.auvergnerhonealpes.bio/qui-sommes-nous/bio-63CREVEL Aurélie - 20 p.

BIO SUISSEPeter Merian-Strasse 34, CH-4052 BÂLE - SUISSETél. : +41 (0)61 204 66 66 - Fax : +41 (0)61 204 66 [email protected]://www.bio-suisse.ch

Bio Suisse : Le bio en chiffres 2017https://www.bio-suisse.ch/fr/bioinzahlen.phpBIO SUISSE - 20 p.

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COORDONNÉES DES ÉDITEURS DES OUVRAGES CITÉS

Biopresse 244 - Mai 2018 68

CHAMBRE D'AGRICULTURE DES PAYS DE LALOIRE9 Rue André Brouard, CS 70510, 49 105 ANGERSCEDEX 02 - FRANCETél. : 02 41 18 60 00 - Fax : 02 41 18 60 [email protected]://www.paysdelaloire.chambagri.fr/

Observatoire régional de l'agriculture biologique desPays de la Loire - Données 2016

http://www.pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr/publications/publications-des-pays-de-la-loire/detail-de-la-publication/actualites/observatoire-regional-de-lagriculture-biologique-en-pays-de-la-loire-donnees-2016/CHAMBRE D'AGRICULTURE PAYS DE LA LOIRE -48 p.

CHAMBRES D'AGRICULTURE DE NORMANDIE6 Rue des Roquemonts, 14 000 CAEN - FRANCETél. : 02 31 47 22 [email protected]://www.chambre-agriculture-normandie.fr/

Guide régional de la conversion à l'agriculturebiologique en Normandie

http://www.eure.chambres-agriculture.fr/toutes-les-publications-normandes/detail-publication/actualites/guide-regional-de-la-conversion-a-lagriculture-biologique-en-normandie/AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRED'AGRICULTURE NORMANDIE - 38 p.

CNIEL (Centre National Interprofessionnel del'Economie Laitière)42 Rue de Châteaudun, 75 314 PARIS Cedex 09 -FRANCETél. : 01 49 70 71 11http://www.cniel.com/

Conjoncture laitière biologique : Lait de vache - 1ertrimestre 2018

CNIEL - 45 p.

EDITIONS ACTES SUDPlace Nina-Berberova, BP 90038, 13 633 ARLESCEDEX - FRANCETél : 04 90 49 86 91 - Fax : 04 90 96 95 25http://www.actes-sud.fr

Le goût des pesticides dans le vinDOUZELET Jérôme / SÉRALINI Gilles-Eric - 144 p. -14,80 €

ÉDITIONS DE TERRAN2 Rue Gutenberg, 31 750 ESCALQUENS - FRANCETél. : 05 61 88 81 08 - Fax : 05 61 88 80 [email protected]://www.terran.fr

Le châtaignier : un arbre généreuxASTIER Eliane / BERTRAND Bernard - 152 p. - 12,50 €

ÉDITIONS DU GRETCampus du Jardin tropical, 45 bis Avenue de la BelleGabrielle, 94 736 NOGENT SUR MARNE CEDEX -FRANCETél. : 01 70 91 92 00 - Fax : 01 70 91 92 [email protected]://www.gret.org

Agroécologie : Capitalisation d'expériences enAfrique de l'Ouest : Facteurs favorables et limitantsau développement de pratiques agroécologiques ;Evaluation des effets socio-économiques et agro-environnementaux

http://www.gret.org/publication/agroecologie-capitalisation-dexperiences-afrique-de-louest/LEVARD Laurent / MATHIEU Bertrand - 82 p.

EDITIONS FRANCE AGRICOLE8 Cité Paradis, 75 493 PARIS CEDEX 10 - FRANCEhttp://www.lafranceagricole.fr/

Agriculture biologique, une approche scientifiqueDE CARNÉ-CARNAVALET Christian - 574 p. - 65 €

EDITIONS ULMER24 Rue de Mogador, 75 009 PARIS - FRANCETél. : 01 48 05 03 03 - Fax : 01 48 05 02 [email protected]://www.editions-ulmer.fr

Soigner bio tous les fruitiers : Reconnaître etmaîtriser les maladies et ravageurs

JULLIEN Elisabeth / JULLIEN Jérôme - 64 p. - 7,90 €Soigner bio tous les légumes : Reconnaître etmaîtriser les maladies et ravageurs

JULLIEN Elisabeth / JULLIEN Jérôme - 64 p. - 7,90 €La forêt-jardin : Créer une forêt comestibleen permaculture pour retrouver autonomie etabondance

CRAWFORD Martin - 352 p. - 35 €

EDUCAGRI ÉDITIONS26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999,21 079 DIJON CEDEX - FRANCETél. : 03 80 77 26 32 - Fax : 03 80 77 26 [email protected]://www.editions.educagri.fr

Produits « bio » : de quelle qualité parle-t-on ? :3ème édition

RAIFFAUD Christine - 214 p. - 25 €Les prairies au service de l'élevage : Comprendre,gérer et valoriser les prairies

COUVREUR Sébastien / DELABY Luc / DOLIGEZEtienne / ET AL. - 328 p. - 32 €

Les prairies au service de l'élevage : Enseigner laprairie : Guide pédagogique

COUVREUR Sébastien / MAHMOUDI Paule / DOLIGEZEtienne / ET AL. - 100 p. - 12 €

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COORDONNÉES DES ÉDITEURS DES OUVRAGES CITÉS

69 Biopresse 244 - Mai 2018

FAO (Organisation des Nations Unies pourl'Alimentation et l'Agriculture)Viale delle Terme di Caracalla, 00153 ROME - ITALIETél. : +39-06-57051 - Fax : +39-06-57053152 [email protected]://www.fao.org

The New Nordic Diet as a prototype for regionalsustainable diets : In : MEYBECK, A. et REDFERN,S.. Sustainable Value Chains for SustainableFood Systems : a workshop of the FAO/UNEPProgramme on Sustainable Food Systems. Rome :Food and Agriculture Organization of the UnitedNations, 2016. 353 p.

http://static-curis.ku.dk/portal/files/184670701/Bugel_et_al_2016_The_New_Nordic_Diet_as_a_prototype_for_regional_sustainable_diets_109_116.pdfBÜGEL Susanne / HERTWIG Jostein / KAHLJohannes / ET AL. - 16 p. (p. 109-116)

INTERBEV207 Rue de Bercy, 75 587 PARIS CEDEX 12 - FRANCETél. : 01 44 87 44 [email protected]://www.interbev.fr/

Note conjoncture viandes bio : Edition 09 02 2018COMMISSION BIO D'INTERBEV - 3 p.

ITAB (Institut Technique de l'AgricultureBiologique)149 Rue de Bercy, 75 595 PARIS CEDEX 12 - FRANCETél. : 01 40 04 50 64 - Fax : 01 40 04 50 [email protected]://www.itab.asso.fr/

Journées techniques fruits et légumes biologiques :Qualité et conservation

http://www.itab.asso.fr/publications/jt-f-l.phpCARRIERE Julie / CONSEIL Mathieu / PARVEAUDClaude-Eric / ET AL. - 31 p.

RAC-F (Réseau Action Climat-France)47 avenue Pasteur, 93 100 MONTREUIL - FRANCETél. : 01 48 58 83 92 - Fax : 01 48 51 95 [email protected]://www.rac-f.org/

Emissions de gaz à effet de serre et fertilisationazotée : Initiatives collectives et territoriales

https://reseauactionclimat.org/publications/gaz-a-effet-de-serre-et-fertilisation-azotee-initiatives-territoriales/DENHARTIGH Cyrielle / DUMAS Mélissa / LEBAHERSGoulven - 48 p.

RÉSEAU CIVAM58 Rue Regnault, 75 013 PARIS - FRANCETél. : 01 44 88 98 [email protected]://www.civam.org/

ADMM - 4 avril 2017 - journée d'échange suragriculture économe et autonome sur le MassifCentral

https://www.youtube.com/playlist?list=PLNw0LX1HE_Eb1dnN0fhnyqLQs4K1WPbulCIVAM / ADMM - 3 h. 05 min.

RESOLIS4 rue de la Sorbonne, 75 005 PARIS - FRANCETel. : 01 56 81 64 [email protected]://www.resolis.org/

La lutte contre la précarité alimentaire : 60 initiativeslocales pour une alimentation solidaire

http://www.resolis.org/journalROUILLE D'ORFEUIL Henri / DOUILLET Mathilde /PATUREL Dominique / ET AL. - 60 p.

SCOP AGROOF19 Rue du Luxembourg, 30 140 ANDUZE - FRANCETél. : 04 66 56 85 47http://www.agroof.net/

Élever des volailles sous les arbres : témoignaged'un éleveur Nicolas Petit - La Ferme en Coton

https://www.youtube.com/watch?v=DNo7E9yiQO4SCOP AGROOF - 15 min. 24 sec.

TRAME (Association nationale de développementagricole et rural)6, rue de la Rochefoucauld, 75 009 PARIS - FRANCETél. : 01 44 95 08 00 - Fax : 01 40 74 03 02http://www.trame.org

Sur les chemins de l'agroécologie : Parcoursd'agriculteurs et de salariés agricoles

http://www.pardessuslahaie.net/frontend.php/trame/2306TRAME - 44 p.

VER DE TERRE PRODUCTION13 Chemin des Peltier, 27 160 BRETEUIL-SUR-ITON -FRANCEhttp://www.verdeterreprod.fr/

1/2 - Entretien avec Anton Sidler - La VacheHeureuse pour des Agriculteurs Heureux

https://www.youtube.com/watch?v=gpxPvfIaQz4&t=8sVER DE TERRE PRODUCTION - 25 min. 04 sec.

2/2 - Entretien avec Anton Sidler - La VacheHeureuse pour des Agriculteurs Heureux

https://www.youtube.com/watch?v=K3uQ-C0RyzsVER DE TERRE PRODUCTION - 8 min. 00 sec.

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Biopresse 244 - Mai 2018 70

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71 Biopresse 244 - Mai 2018

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- L'emploi en agriculture biologique sur le

territoire français, 2017 (PDF)

- Marché et consommation Bio en France et

dans le Monde, 2017 (PDF)

- Les prairies à flore variée, 2017 (PDF)

- Biopresse Hors-Série : "Agriculture biologique

et changement climatique", 2015 (PDF)

- L'autonomie alimentaire dans les élevages

bovins laitiers et allaitants biologiques, 2015

(PDF)

- Annuaire des organismes européens de la bio,

2012 (PDF)

- Les céréales immatures, 2012 (PDF)

- L'Agriculture Biologique au Brésil, 2013 (PDF)

- etc.

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et durable

Infolettres thématiques : infolettres spécialisées sur une production, une filière ou un

thème particulier

Service questions-réponses : permet de commander des listes bibliographiques

personnalisées, des photocopies de documents, des prêts d'ouvrages et autres ;

Acteurs de la Bio : base de données regroupant des intervenants et des organisations

en lien avec l'AB, principalement dans les domaines de la formation, de la recherche ou

du conseil

Flux d'actualités : collecte automatique sur Internet d'informations liées à la bio

Accueil sur place : pour un appui documentaire et un accès à l’ensemble du fonds

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