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CREATION 2015 Au catalogue Saison 13 – 2015/2016 Avec le soutien de : Ville d’Aix-en-Provence, Conseil Général 13. Partenaire : Ville de Venelles à voir en famille dès 7 ans !

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CREATION 2015

Au catalogue Saison 13 – 2015/2016

Avec le soutien de : Ville d’Aix-en-Provence, Conseil Général 13. Partenaire : Ville de Venelles

à voir en famille

dès 7 ans !

CREATION 2015

A voir en famille à partir de 7 ans

Direction artistique, Agnès Pétreau Texte, Sylvain Levey Mise en scène, Agnès Pétreau Scénographie, Marine Dubois Avec : Julien Asselin et Agnès Pétreau Montage son, Guillaume Saurel Création lumière, Jocelyne Rodriguez Production : Senna’ga Cie Résidence de création: Service culturel de Venelles Aide à la création : Ville d’Aix-en-Provence

La création Arsène et Coquelicot ouvre un cycle de travail artistique consacré à la Famille et en adresse au jeune public. Ce chantier se déroulera sur une période de trois ans.

Un titre pour ce triptyque : « La famille dans tous ses états »

Trois œuvres contemporaines seront montées en théâtre autour de trois thèmes :

La généalogie – texte de Sylvain Levey « Arsène et Coquelicot » - A partir de 7 ans

La place dans la fratrie – texte de Sébastien Joanniez « J’aime pas ma petite sœur »

Le divorce et les familles recomposées – recherche de textes en cours

Au sortir de ses dernières créations « Vache sans herbe » et « Trace(s) » de Sabine

Tamisier, Agnès Pétreau poursuit sa logique de création et s’intéresse à des thèmes touchant à la fois à l’intime et à l’universel. L’humain en est le centre. Les parcours, les géographies intimes, les fractures ou cahots inhérents au chemin, les blessures et écorchures humaines, les méandres intérieurs et les recoins secrets de l’être sont autant d’attentions qui sous- tendent son travail et nourrissent sa créativité.

Dans le cadre de ce chantier une réflexion sera menée sur le public. Il s’agira pour nous

- l’équipe artistique - de questionner notre rapport et adresse au jeune public. Nous nous attacherons à clarifier l’endroit d’où le créateur parle et quelle expérience « de partage » il propose aux enfants ou aux familles. Il me semble qu’un des intérêts de ce thème c’est de s’adresser aux familles, c’est-à-dire à cette question même du lien entre... L’une des impressions que la contemporanéité me suggère c’est l’ouverture d’un espace de vie où les âges dialoguent pour éviter que le monde futur soit coupé en théâtre pour enfants, théâtre pour adolescents, théâtre pour femmes, théâtre pour adultes, pour vieux, pour handicapés… Le théâtre peut aussi faire le lien entre les générations dans le sens inverse quand les enfants amènent les parents au théâtre. Le théâtre pour petits doit toucher également le grand qui accompagne, chacun à son niveau. C’est dans ce lien, ce trait d’union, cette relation, que tout se joue. Enfin, en adepte de Françoise Dolto, je reprendrai la formule des « mots pour des maux ». « Je pense – disait-elle – que les enfants sont intelligents et qu’ils réfléchissent à tout ce qu’ils voient. » Mettre des mots sur des maux, agir le théâtre dans sa fonction cathartique, raconter des histoires donnent la possibilité à l’enfant de comprendre, de savoir qu’il n’est pas seul, de verbaliser ce qu’il a à dire, d’entendre de l’altérité et peut-être de panser ou guérir ses blessures. Ce qui retient également mon attention chez Dolto c’est qu’elle parle de l’enfant comme d’un être responsable. Si l’adulte a des droits et des devoirs, l’enfant en a aussi au sein de la famille. Ce qui va m’intéresser dans mon travail c’est de m’adresser à un être, certes en construction, mais qui a sa part en terme « d’agir » dans la famille.

La pièce

Deux histoires, deux époques… Ecrit par Sylvain Levey une histoire sur la transmission, composée comme les éléments disparates de la mémoire.

Pourquoi Arsène, le vieil oncle d'Hippolyte, a-t-il une fleur tatouée sur le bras ? Pourquoi Coquelicot, l'arrière-arrière-grand-mère de Mirabelle, a-t-elle eu un seul enfant ? C'est une grande et longue histoire. Mirabelle et Hippolyte, deux enfants d’aujourd’hui, ont une dizaine d'années et ils se demandent d'où ils viennent. Au fil des rencontres et des conversations, ces deux jeunes détectives amoureux débroussaillent leurs arbres généalogiques et font ressurgir des souvenirs enfouis. Ils reconstituent ensemble l'histoire de deux amants séparés par la guerre. À travers le regard tendre et innocent de deux enfants qui questionnent leurs origines, Sylvain Levey aborde les thèmes de l'amour, de la séparation, de la naissance, de la vieillesse et de la mort comme des épisodes qui constituent le feuilleton de nos vies. Ponctuée de références historiques populaires et universelles, la lecture de cette pièce sera un moment de transmission et de partage.

La création / Notes d’intentions

Dans ce texte où il est question du passé, des souvenirs, de la mémoire et de nos racines, le parti pris s’inscrit dans de la contemporanéité, dans le temps de Mirabelle et Hippolyte. La nostalgie ne sera pas notre propos, voir elle s’annonce comme un piège. La dynamique du texte réside dans l’élan de ces jeunes gens happés par le désir de savoir, de comprendre, de connaître. Un mystère de famille les y pousse.

Mirabelle : « Je ne sais plus comment elle s’appelle vraiment. Tout le monde l’appelle Coquelicot parce qu’elle a, sur le bras, depuis sa naissance, une tache. - Ce n’est pas une tache voyons. - C’est quoi ? - C’est un coquelicot - C’est pour cela que tout le monde t’appelle comme ça ? -Evidemment. - Dis Coquelicot pourquoi tu n’as eu qu’un seul enfant ? - Ça c’est une longue histoire. - Dis Coquelicot ? Pourquoi tu as une alliance ? - Ça aussi c’est une longue, très longue histoire. » A travers cette quête ils apprennent eux-mêmes à se construire. Ils sont les éléments interdépendants, pièces qui s’enchevêtrent, de toute une famille, de générations. Il faut s’emparer de cette force. Hippolyte se confronte à ses parents qui le trouvent beaucoup trop jeune pour se poser les questions liées à ses ancêtres. Il va cependant être confronté à la mort d’Arsène. Mirabelle et Hippolyte vont être ceux qui dénouent la parole familiale. Ils nous apprennent l’histoire d’amour cachée d’Arsène et Coquelicot. A la clarté de ce nœud défait ils vont pouvoir s’approprier leur passé et regarder l’avenir. L’histoire généalogique des familles et la transmission entre les générations apportent des réponses pour aller de l’avant et construire sa propre vie. La romance d’Arsène et Coquelicot s’ancre dans l’histoire sociale et politique de notre pays. Mirabelle et Hippolyte sont nés en 2000 et font partis d’une génération de jeunes qui n’ont pas connu la guerre. Leurs grands-parents se sont rencontrés avant la seconde guerre mondiale. Le départ d’Arsène pour le front les a séparé. Sylvain Levey aborde la guerre en parlant de l’humain. Sous sa plume, Arsène nous parle de ses compagnons, de l’absence de lettres de Coquelicot, du manque d’amour, de la souffrance, de l’endurance. Et puis de l’espoir, de ce qui maintient en vie… A la libération, envers du décor, certains allemands, pour se venger, saccagent des villages. Coquelicot fuit, Arsène ne la retrouvera pas. L’auteur s’attache à nous faire regarder la guerre avec la précaution de celui qui n’aime pas la distinction entre les bons et les méchants, les perdants et les gagnants… Au cœur de ces massacres, arbitrés par les politiques et leurs généraux, il y a des hommes. La scène 7 montre ce soldat allemand qui, perdu, égaré, perché dans son arbre raconte comment ceux, qui portent le même uniforme que lui, ont brûlé le village pour montrer qu’ils étaient les plus forts.

Notons enfin que ce texte a la force de l’amour. La famille d’Hippolyte comme celle de Mirabelle nous montre des portraits de couple aimants, amants comme au premier jour. Les regards des enfants se tournent quand un baiser de l’un des parents vient effleurer la bouche de l’autre. La force de l’amour distillée par Arsène et Coquelicot remontant les générations… Sylvain Levey interroge le hasard. Le chiffre 8 relie amoureusement tous ces personnages, comme un fil d’Ariane. Peut-être pour nous dire que la vie est faite de signes. Il faut savoir s’en saisir ou en tout cas ne pas les ignorer…. Un fil, des signes qui nous conduit à la rencontre en 2011 de Mirabelle et Hippolyte.

Mise en jeu Pour mettre en jeu ce texte un comédien et une comédienne. Julien Asselin interpréte Hippolyte et Arsène et Agnès Pétreau joue Mirabelle et Coquelicot. Les chœurs et autres personnages sont interprétés par les deux acteurs. La scénographie Avant propos Sylvain Levey parle de son récit en ces termes : « une histoire sur la transmission, composée comme les éléments disparates de la mémoire ». La reconstitution de notre histoire familiale se fait par bribes, éclats, fragments. C’est une sorte de puzzle. Il manque souvent des pièces. Un souvenir, une photo, un objet, une anecdote ou un témoignage raconté par un proche nous aide à recoller les morceaux. Mais il reste toujours des blancs. La reconstitution pose le problème de la vérité. Que l’on parle de notre histoire familiale ou de la Grande Histoire nous admettrons qu’elle appartient à celui qui la raconte. C’est un point de vue, une interprétation. Dans la famille notre mère nous parlera de son arrière grand-mère différemment que ce quand dira sa mère. L’espace/le décor Nous avons imaginé une machine à jouer qui permet de refaire revivre le passé. Il s’agit de reconstituer le passé à partir des éléments disparates du récit. Archéologues des temps modernes, fins limiers, Hyppolite et Mirabelle vont, chacun de leur côté, assembler les pièces du puzzle familial. Dans une aire de jeu, un espace vacant qui peut-être apparentée à un grenier, une salle de classe désertée…plusieurs lieux sont reconstitués : le lieu de la noce, la gare, la maison de Coquelicot,le front sur lequel se bat Arsène, la place du village.

Pour exprimer cette reconstitution sur le plateau et mettre l’accent sur la subjectivité de tout point de vue, le processus de jeu sera identique à celui du cinéma. Les scènes seront composées par petites touches, d’aller/retour, afin d’approcher au plus près une forme de réalité et en dégager l’émotion. La scénographie fait apparaître deux espaces parallèles, deux histoires familiales isolées qui, à un moment, vont être en interaction. Si le parcours d’Arsène et de Coquelicot reste séparé, celui de Mirabelle et d’Hippolyte va se rejoindre. Pour faire vivre les aïeux et aïeules dans un rapport concret à l’image, pour rendre vivant ce monde familiale, nous inventerons des arbres généalogiques ou le public visualisera les illustrations des personnages racontés. La construction de cet arbre pour Mirabelle est faite sous une forme verticale et fait apparaître, comme dans le texte, la méthode de description. Des images seront le support de ce voyage dans le passé. Pour Hippolyte l’arbre ressemble à un enchevêtrement de chaises qui déployées dans l’espace devient la représentation d’une flopée de grand parents, de cousins, d’arrière-arrière…laissant aux spectateurs le soin d’imaginer le portrait de chacun. Un travail sur l’objet miniature est exploré : photos, guirlandes, accessoires et éléments de costumes. Il est intéressant de trouver la coexistence ou le contraste entre le monde d’aujourd’hui et celui d’hier, celui du passé et celui du présent. Le son Un monde sonore sous forme de musiques, de sons et de voix off accompagne la quête des deux enfants. Des musiques référencées en terme de dates feront revivre des époques et des évènements. La reconstitution de la Grande Histoire pose question. Comment reconstituer le front, comment traduire la guerre. Nous travaillons sur le matériau sonore pour toucher en nous ce qui est de l’ordre du souvenir collectif. Un souvenir peut rejaillir à partir d’une image mais également d’une odeur, un son, un geste. La lumière La lumière sera intégrée à la machine à jouer et gérer par les comédiens sur le plateau : lampadaires, guirlandes, lampe de poches, rampes….

Répétitions à la Voûte Chabeau à Venelles, janvier 2015

Parallèlement à nos répétitions, et en partenariat avec l’équipe culturelle, nous avons sollicité les élèves de la classe de CE2 de l’école élémentaire Marcel Pagnol pour être nos premiers spectateurs critiques, nos «garde-fous ». Le 9 janvier dernier, à l’issu de notre résidence, nous avons invité les enfants au théâtre pour une ultime rencontre. C’est parce que le spectacle était encore fragile et en chantier nous avons jugé important de leur jouer l’intégralité de la pièce. C’est parce que le travail était encore en friche et en mouvement que leurs perceptions et remarques à la fin du filage faisaient sens. C’est avec leurs retours que nous allons maintenant cheminer et aboutir notre spectacle. Les prochaines répétitions reprendront en mars.

Sylvain Levey

BIOGRAPHIE

Né en 1973 à Maisons-Laffitte (Yvelines), Sylvain Levey est comédien

et auteur. Il travaille principalement dans la compagnie Felmur sous la

direction de Gweltaz Chauviré et dans la compagnie Zusvex sous la

direction de Marie Bout. Il a un temps dirigé le théâtre du Cercle à

Rennes où il crée le P’tit Festival (théâtre par les enfants pour tout public). Il est auteur

associé au Festival Vingt Scènes organisé par la municipalité de Vincennes en 2005. Il est

accueilli en résidence à l’ADEC 35 en 2006.

Il fait parti des jeunes auteurs de théâtre les plus prometteurs.Il aime souffler le chaud et le

froid, manier un constat révolté et une tendresse sur le monde. On trouve ce même

mouvement de balancier entre des formes dialoguées à l’écriture orale et rythmée et des

instantanés bruts et serrés pour dire toute la complexité de vivre dans une société

hostile. Avec Ouasmok ?, publié en 2004, il ouvre son œuvre jeunesse. Se dessine une

écriture en connexion profonde avec l’univers de l’adolescence et de l’enfance. Sylvain

Levey, même dans son théâtre généraliste écrit le monde du point de vue de la jeunesse.

Depuis 2004, il a écrit près de vingt textes de théâtre aussi bien pour les enfants, les

adolescents que les adultes.

Bibliographie

PAR LES TEMPS QUI COURENT

Recueil La scène aux ados, vol 1 – Lansman -2004

OUASMOK ?

Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2004

QUELQUES PAGES DU JOURNAL DE LA MIDDLE CLASS OCCIDENTALE

Recueil Théâtre en court 1 – Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2005

INSTANTANÉS

Recueil Court au théâtre 1 - Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2005

L’EXTRAORDINAIRE TRANQUILITÉ DES CHOSES

(écrit en collaboration avec Lancelot Hamelin, Philippe Malone et Michel Simonot) –

Éditions Espace- 2006

RECUEIL ENFANTS DE LA MIDDLE CLASS

(Ô CIEL LA PROCRÉATION EST PLUS AISÉE QUE L’ÉDUCATION / JULIETTE,SUITE

ET FIN TROP PRÉCOCE / JOURNAL DE LA MIDDLE CLASS OCCIDENTALE)

Éditions Théâtrales – Collection Répertoire Contemporain – 2005

DIS-MOI QUE TU M’AIMES

Recueil 25 Petites pièces d’auteurs – Éditions Théâtrales – 2007

POUR RIRE POUR PASSER LE TEMPS / PETITES PAUSES POÉTIQUES

Éditions Théâtrales – Collection Répertoire Contemporain – 2007

ALICE POUR LE MOMENT

Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2008

VIKTOR LAMOUCHE

Recueil Théâtre en court 3 – Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2008

CENT CULOTTES ET SANS PAPIERS

Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2010

RECUEIL COMME DES MOUCHES, PIÈCES POLITIQUES

(AU PAYS DES / AVEC UN GRAND F / RESPECTER LA PROCÉDURE / DANS LA JOIE

ET LA BONNE HUMEUR)

Éditions Théâtrales – Collection Répertoire Contemporain – 2011

COSTA LE ROUGE

Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2011

LYS MARTAGON

Éditions Théâtrales – Collection Théâtrales Jeunesse – 2012

Agnès Pétreau Directrice artistique de la Senna’ga Compagnie Comédienne et metteur en scène Avant de créer la Senna’ga Compagnie Agnès Pétreau est comédienne pendant 11 ans au théâtre du Kronope ( Avignon) dirigé par Guy Simon. Elle y interprètera plus de 20 rôles. En 1994 elle écrit et joue son premier spectacle jeune public « Le tiroir aux pirouettes ». En 1995, elle crée la Senna’ga compagnie. Elle est auteur, interprète et metteur en scène de son 1er spectacle « Le Blues de la Poubelle ». Par la suite, elle est comédienne dans l’ensemble des créations de la Compagnie : « A pieds joints sur un tambour », « Le journal d’un chat assassin », « Ouasmok ». De 1999 à 2012 Agnès Pétreau est également comédienne dans d’autres structures théâtrales aixoises. En 2012 son projet sur Picasso est sélectionné par le collectif « Par les villages ». Elle écrit et met en scène « Picacubes ».

Comédienne – Auteur : 2013 : Trace(s)de Sabine Tamisier - Senna’ga Cie. Mise en scène Agnès Pétreau. 2012 : Vache sans herbe de Sabine Tamisier - Senna’ga Cie. Mise en scène Agnès Régolo. 2011 : Le llano en flammes de Juan Rulfo – lecture à 2 voix avec Sabine Tamisier – Commande de lecture de la BDP de Marseille. 2010 : De retour chez Gripari - La paire de chaussures et Le marchand de fessées de Pierre Gripari - Senna’ga Cie. Assistante à la mise en scène Brigitte Quittet. 2010 : Contes sur les chemins de l’orient - Senna’ga Cie. Assistante à la mise en scène Patricia Vignoli. 2009 : Brigade d’intervention clownesque – L’auguste Théâtre – Mise en espace Claire Massabo. 2009 : Lecture sur Picasso - Cie Fragments. Mise en espace Micheline Welter. 2009 : Lecture autour du thème de la littérature japonaise - Cie Fragments. Mise en espace Micheline Welter. 2008 : Ouasmok ? de Sylvain Levey - Senna’ga Cie. Mise en scène Patricia Vignoli 2007 : Lecture autour du thème de la littérature scandinave - Cie Fragments. Mise en espace Micheline Welter. 2006 : Le journal d’un chat assassin d’Anne Fine - Senna’ga Cie. Mise en scène Agnès Pétreau. 2005 : D’où, je viens d’où d’Agnès Pétreau - Senna’ga Cie. Mise en scène Agnès Pétreau. Assistante à la mise en scène Christel Rossel. 2004 : Dialogues de sorcières. Adaptation théâtrale de 3 contes de A. Bertron, T. Lenain et Y. Rivais. - Senna’ga Cie - Mise en scène et adaptation : Agnès Pétreau 2003 : Contes sur les chemins de l’orient. Conte traditionnel - Senna’ga Cie. 2003 : Les Précieuses Ridicules de Molière. Cie Olinda. Mise en scène Christel Rossel. 2001 : L’étrange voyage de Zébuline de G.Allegret-Boyer - Cie Senna’ga. Mise en scène Patricia Vignoli. 2000 : A pieds joints sur un tambour de Gilles Cailleau - Cie Senna’ga. Mise en scène Patricia Vignoli. 2000: Trois lettres de mon moulin d’après Alphonse Daudet - Cie Olinda. Mise en scène et adaptation Christel Rossel. 1999 : La Sorcière du Placard aux Balais d’après le conte de P.Gripari - Senna’ga Cie. Mise en scène et adaptation Patricia Vignoli. 1996 : Le Blues de la Poubelle d’Agnès Pétreau - Senna'ga Cie. Mise en scène Agnès Pétreau. Assistante à la mise en scène : Valérie Bournet-Car.

1994 : Notre Dame de Paris d'après Victor Hugo - Théâtre du Kronope. Mise en scène Guy Simon. Adaptation Gilles Cailleau 1992 : Lear, les Princes, les Sorcières et les mendiants d'après Shakespeare - Théâtre du Kronope. Adaptation Gilles Cailleau. Mise en scène Guy Simon. 1992 : Le Tiroir aux Pirouettes d’Agnès Pétreau - Théâtre du Kronope. Mise en scène Guy Simon. 1990 : Le Médecin Volant de Molière - Théâtre du Kronope. Mise en scène Guy Simon. 1988 : Le Faucon Maltais d’après Dashiell Hammett - Théâtre du Kronope. Mise en scène Guy Simon. Adaptation Gilles Cailleau. 1987 : A Chacun sa Lune d’Agnès Pétreau - Théâtre du Kronope. Mise en scène Agnès Pétreau. 1987 : Arlequin poli par l'Amour de Marivaux - Théâtre du Kronope. Mise en scène Guy Simon. 1985 : Les Précieuses Ridicules de Molière - Théâtre du Kronope. Mise en scène Guy Simon.

Metteur en scène : 2011 : Les petits riens à partir de textes de Philippe Delerm - Senna’ga Cie. 2009 : Trio de Kado Kostzer - Cie Les Ritournelles. 2009 : Picacubes de Calouan et d’Agnès Pétreau - Opening Night. 2002 : La maman des poissons était une sirène d’Agnès Pétreau - Senna’ga Cie. 2005 : Des riches et trois pauvres de Louis Calaferte - Cie Les Ritournelles. 2001 : Parole de femmes de Dario Fo - Cie Les Ritournelles. 1997 : Jeu de Dames d’après des textes de Roland Dubillard et de Raymond Devos - Senna’ga Compagnie.

Julien Asselin Comédien

Théâtre 2011 : Même pas peur - C. Ruiz - Cie 3 hangars. Marseille, Salon de Provence 2010 : Peau d’Ane - C.Ruiz - Cie 3 hangars. Salon de Provence

2010 : Ouasmok ? - de Sylvain Levey - Senna’ga Compagnie. Aix-en-Provence 2009 : Le petit prince - JL. Kamoun - Cie 3 hangars. Salon de Provence 2007/2008 : Scaramouche - F. Muhl - Cie Carboni. Marseille

2007/2008 : Les petites fuites - E. Audibert - Cie 36 du mois. Paris 2007 : Idoles - E. Bichucher - Cie Clandestine. Montagnac 2006 : Petites Cruautés - C. Massabo - Cie Auguste théâtre. Aix-en-Provence 2006 : La Ciseraie - D. Delaire - Pitchik Production. Paris 2005 : La Vénus d’Ille - Anaïre Théâtre. Marseille 2005 : Anatole - A Pleis - Taxi Théâtre. Théâtre 27. Marseille 2003 : Zorro, La Légende - F. Muhl - Cie Carboni. Marseille 2002 : L’école des femmes - L. Veras Neiva - Cie Carboni. Marseille Cinéma - Télé 2010/2011 : Système D pour ARTE – 14 épisodes (rôle principal) E. Bernaud 2006 : Demain – Série 6 épisodes – M. Cravatte 2004 : Immortels - F. Bourgeois 2003 : Bella Ciao - S. Giuti 2006 Embrionik – Installation et Performance. B. Goutet. 2002 : Moteur - R. Levandovski 2001 : Daisy et Mona – C. d’Anna Cabaret - Cirque 2010 : Cabaret Opening Nights – Par les Villages – Aix-en-Provence 2004 : Arbeit : C. Lucas – Nikolaus – Cie Pré O S Coupé. Paris 2004 : Michel Cornier - Solo Acrobatik. Julien Asselin. Cie 36 du mois. Paris 2004 : Tournée Cirque 360 – Le jour et la nuit. Le cabaret de Kiki. E. Audibert 2003 : Cabaret Courant d’Air - Création Collective. Articole Palace. Marseille 2002 : Cabaret Achille Tonic– Shirley et Dino. Chapiteau Roquette. Paris Rock 2006 : Tournée de Garage Rigaud - Guiguette Pirate. Paris. Biplan - Lille.Festival Guillotine - Paris. Expérimental 2006 Embrionik - Installation et Perfomance. B. Goutet Divers Intervenant Maison d’Arret Chroniqueur Paris première. Marquebielle production Voix pour documentaires. Post Syncro. Bande son spectacles

Coordinateur Carnaval de Marseille et Fête du Panier Responsable d’ateliers stages. Ecole Coulisses. Marseille Direction d’acteur : Spectacle C’est pas Pareil – Cie Clandestine Formation Deug LAEC : Lettres, Art, Expression et Communication – Sorbonne Nouvelle Paris. Comédia dell’arte : Carlo Boso Jeu d’acteur : P. Pradinas. E. Audibert. D. Delaire. Combats Scénique : B. Heddle Roboth. P. Rouba. F. Rostain Danse : K. Sebar Chant : Leda Atomaica Musique

SENNA’GA COMPAGNIE

Le PATIO- 1 place Victor Schoelcher 13090 Aix-en-Provence

Tél.: 04 42 51 47 32 - Email : [email protected]

Site : www.sennaga.com