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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES 24 Avril 2008 : 93ème anniversaire du génocide arménien de 1915 perpétré par le gouvernement Jeune-Turc 93 ans de déni : ça suffit ! ------------------------------------------------------------------- VEILLE MEDIA Vendredi 07 Octobre 2008 Retrouvez les news sur : http://www.collectifvan.org USA La Turquie espère qu’Obama ne tiendra pas ses promesses Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Après la victoire de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis, la diplomatie turque agite le spectre d’une dégradation des relations américano-turques au cas où le Président américain nouvellement élu s’aviserait de mettre en pratique ses promesses électorales concernant la reconnaissance par les USA, du génocide arménien de 1915. En d’autres termes, tant Monsieur Erdogan, le PM turc, qu’Abdullah Gül, le Président, espèrent que Barack Obama soit un fieffé menteur. Cela en dit long sur la « morale » politique des gouvernants : il y a un temps pour les promesses et un temps pour la réalité… Le Collectif VAN vous propose la traduction de cet article paru dans le journal turc Today’s Zaman : un article parsemé des habituelles formules négationnistes concernant le « prétendu génocide arménien » et les « allégations de génocide arménien ». Jeudi 6 Novembre 2008

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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 Avril 2008 : 93ème anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc93 ans de déni : ça suffit !

-------------------------------------------------------------------

VEILLE MEDIA

Vendredi 07 Octobre 2008

Retrouvez les news sur :http://www.collectifvan.org

USA

La Turquie espère qu’Obama ne tiendra pas ses promesses

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Après la victoire de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis, la diplomatie turque agite le spectre d’une dégradation des relations américano-turques au cas où le Président américain nouvellement élu s’aviserait de mettre en pratique ses promesses électorales concernant la reconnaissance par les USA, du génocide arménien de 1915. En d’autres termes, tant Monsieur Erdogan, le PM turc, qu’Abdullah Gül, le Président, espèrent que Barack Obama soit un fieffé menteur. Cela en dit long sur la « morale » politique des gouvernants : il y a un temps pour les promesses et un temps pour la réalité… Le Collectif VAN vous propose la traduction de cet article paru dans le journal turc Today’s Zaman : un article parsemé des habituelles formules négationnistes concernant le « prétendu génocide arménien » et les « allégations de génocide arménien ».

Jeudi 6 Novembre 2008

Today’s Zaman

Le Premier ministre espère que la promesse sur le 'génocide' restera électorale S’exprimant hier à l’occasion de l’élection de Barack Obama à la Présidence des États-Unis, le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan a dit que les

changements d’Administrations des USA et de la Turquie n’avaient jamais modifié les caractéristiques des relations bilatérales entre les deux pays, qui sont basées sur des intérêts stratégiques mutuels. Il a dit que les relations avec l’Administration du nouveau Président américain élu Barack Obama seraient de la même veine que les précédentes.

Répondant aux questions des reporters, Erdoğan a également dit qu’il s’attendait à ce que certaines idées émises par Obama pendant sa campagne électorale restent simplement des promesses électorales et ne soient pas développées par la Maison Blanche au cours du nouveau mandat, une référence apparente aux promesses fortes faites par Obama de reconnaître officiellement le prétendu génocide arménien.

L’élection d’Obama en tant que premier Président Noir de l’histoire politique des États-Unis a “franchi un seuil” a déclaré Erdoğan.

“Avec ce résultat, nous pouvons dire que le problème des Blancs et des Noirs n’existe plus ici [aux États-Unis], parce qu’il n’aurait pas été possible d’obtenir un tel résultat uniquement avec des votes noirs. Il y a dû y avoir un report important des votes blancs pour atteindre ce résultat. Je félicite Obama, sa campagne énergique et les efforts de son équipe” a continué Erdoğan.

“Le poids qui pèse sur les épaules des États-Unis est très différent de celui des autres pays, car c’est un pays puissant qui a de nombreuses opportunités. Obama subira ce poids pendant une période de crise mondiale. Les USA ont une grande responsabilité dans la paix mondiale. À présent, nous devons juger la rhétorique émise pendant la campagne électorale, qui, nous l’espérons, était limitée à la campagne et le restera” a ajouté le Premier ministre, se référant à l’attitude d’Obama concernant une reconnaissance des allégations de génocide arménien.

Insistant sur le fait que les intérêts stratégiques mutuels ont été un facteur déterminant dans les relations bilatérales des deux pays, Erdoğan a exprimé l’espoir que cette relation ne sera pas pénalisée par la nouvelle Administration qui entrera en fonction. Le Premier ministre n’a pas exclu la possibilité de rencontrer Obama lorsqu’il se rendra à Washington plus tard dans le courant du mois, pour le G-20 organisé par le Président actuel, George W. Bush.

“Nous essayerons de rencontrer Obama, malgré le programme très chargé de son Cabinet” a dit Erdoğan, et, pour finir, il a espéré que le mandat d’Obama contribuera à la démocratie, à la paix et à la solidarité dans le monde, ainsi qu’à une solution de paix au Moyen-Orient.

Le Président Abdullah Gül, lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue de l’Azerbaïdjan, İlham Aliyev, a également félicité Obama pour sa victoire, déclarant qu’il espérait que la présidence d’Obama consolide la stabilité et la sécurité non seulement pour le peuple américain, mais également pour le monde entier.

“J’espère qu’une nouvelle présidence débute pour le monde entier,” a dit Gül. À Rome, lors de sa participation à un forum économique turco-italien, le ministre des Affaires étrangères Ali Babacan a émis les mêmes opinions que Gül et Erdoğan sur l’élection d’Obama.

“Nous espérons que les USA contribueront davantage à la paix dans le monde, à la sécurité et à la stabilité après ces élections” a dit Babacan, notant que le gouvernement turc était déjà en contact avec l’équipe d’Obama. Le ministre a également dit que les questions de politique étrangère prioritaires pour Ankara et Washington correspondaient grandement, car ces questions sont liées à la géographie des régions entourant la Turquie.

©Traduction C.Gardon pour le Collectif VAN - 07 novembre 2008 - 14:20 - http://www.collectifvan.org

http://www.todayszaman.com/tz-web/detaylar.do?load=detay&link=157962

Lire le texte original dans la rubrique Anglais

La victoire d'Obama fêtée en Arménie

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous livre cette traduction d'un artcile en anglais publié sur A1+ le 05 octobre 2008.

Le 4 novembre était la date des élections présidentielles pour les Américains et le monde entier s'est réjouit de la superbe victoire du candidat démocrate.

Ce matin [mercredi 5] un grand nombre de personnes était réuni à l'hôtel « Congress » d'Erevan. Les invités de l'Ambassade des USA en Arménie sont arrivés à l'hôtel à partir de 7h30 du matin.

Avant même la fin du vote et après avoir vu la différence de voix, le candidat républicain John McCain a félicité Obama à l'occasion de sa victoire. Il a également remercié ceux qui avaient voté pour lui. Tous les Américains vivant et travaillant en Arménie ont eu la possibilité de suivre en direct ce moment historique.

« Aujourd'hui, on fête la victoire de Barack Obama, premier candidat afro-américain. C'est vraiment un moment très important, car il y a quarante ans, des Américains tuaient des Africains, à cause d'une discrimination raciale profondément ancrée. Aujourd'hui, nous avons le premier Président afro-américain à remporter la Maison Blanche »,- a déclaré à A1+ Daniel Hastings, le premier secrétaire du département politico-économique de l'Ambassade des Etats-Unis.

A la question des journalistes de savoir si la victoire d'Obama allait mettre fin à la guerre en Irak et si les troupes américaines allaient quitter le pays,

Hastings a répondu:

"Barack a promis de rappeler les troupes d'Irak en l'espace d'un an et de concentrer plus de ressources en Afghanistan. Il a également promis de renforcer les relations avec nos partenaires européens. A mon avis il est important de savoir qui sera le futur ministre des affaires étrangères du pays."

Il est à noter, que pour répondre à notre remarque concernant le fait que les Républicains ont également perdu les élections, le républicain arménien MP Armen Ashotian a répondu: "Je trouve que la défaite des Républicains étaient normale. Si nous avions gouverné l'Arménie avec les méthodes utilisées aux Etats-Unis pendant les 8 dernières années, nous aurions sûrement perdu les élections en Arménie."

Traduction Antenne Erevan/Collectif VAN - 07 novembre 2008 - 08:30 - http://www.collectifvan.org

http://www.a1plus.am/en/?page=issue&iid=65789

Lire le texte original dans la rubrique Anglais

MRAP : Obama ou la volonté de changement des citoyens US

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous présente ce Communiqué de Presse paru sur le site du MRAP (Mouvement contre le Racisme et l'Amitié entre les Peuples) du 05 novembre 2008.

Victoire de Barack Obama : les citoyens des Etats-Unis ont exprimé, par les urnes, leur immense volonté de changement

C'est avec un immense soulagement que le MRAP accueille l'élection de Barak Obama comme 44ème Président des Etats-Unis. Cette élection représente un encouragement et un point d'appui pour persévérer dans les luttes pour l'égalité effective des droits et contre le racisme. Mais cette élection ne produira aucun miracle sans la vigilance et l'engagement inébranlable de tous les citoyens pour le respect universel de la personne humaine et de tous les peuples.

L'élection d'un président noir est un tournant historique de l'histoire des Etats-Unis marquée par l'extermination des Nations Indiennes, l'esclavage et la ségrégation raciale. C'est l'aboutissement de dizaines d'années de luttes

pour les droits civiques, illustrées notamment par Martin Luther King. Le MRAP salue cette victoire contre le racisme et les discriminations.

La victoire de Barack Obama marque l'immense volonté du peuple des Etats-Unis d'en finir avec la politique conservatrice et ultra libérale de G.W. Bush et John Mac Cain. L'augmentation de la participation électorale est aussi un signe fort de cette volonté.

La logique de guerre qui a marqué les deux mandats de G. W. Bush, le recul des libertés individuelles, la régression sociale ont été rejetés par les électeurs des Etats-Unis. Le MRAP salue cette volonté de changement.

Barack Obama a fait naître d'immenses espoirs de changements : les citoyens des Etats-Unis et les peuples du monde attendent des actes concrets en faveur de la justice sociale et de la paix. Il devra y répondre pour ne pas décevoir.

La victoire d'un candidat héritier à la fois des luttes pour les droits civiques et de l'immigration à la tête de la première puissance mondiale est aussi un défi à l'ensemble de la société française, qui n'arrive pas à assumer sa diversité et à la traduire dans la représentation nationale. Alors qu'un Français sur trois est d'origine étrangère, la France, quant à elle, est loin du compte puisqu'elle ne compte aucun élu héritier de l'immigration des ex-colonies. Pour le MRAP, il est urgent de regarder en face l'immense décalage entre les proclamations des valeurs universelles et leurs pratiques, et de passer des paroles aux actes dans tous les domaines de la vie sociale et politique.

Paris, le 5 novembre 2008.

http://www.mrap.fr/

Obama, président noir, pas président des Noirs

Monde 7 nov. 6h51

Analyse

Même s’il défend la discrimination positive, le futur président veut s’affranchir de la question raciale.

«Voilà une famille noire normale, une famille heureuse, avec de très jolies petites filles, entourée de parents qui les aiment et ils vont vivre à la Maison Blanche», expliquait, hier dans le New York Times, une amie de Michelle Obama et future first lady, qui parle «de fierté raciale». L’Amérique avait déjà eu deux secrétaires d’Etat noirs, Colin Powell et Condoleeza Rice, des juges, des généraux noirs, des ambassadeurs. L’acteur le mieux payé d’Hollywood, Will Smith, est un Noir. Tout comme la personnalité la plus

aimée de la télé, Oprah Winfrey. Mais avec Obama, la barrière suprême a été brisée. Interrogé sur le symbole que représente sa réussite, le sénateur dit à la fois parler au nom de tous les Noirs de son pays, mais insiste autant sur son parcours individuel hors du commun. Sur sa mère blanche qui le réveillait à 4 heures du matin pour réviser ses leçons. Sur l’amour de ses grands-parents - blancs - à Hawaii. Sur sa détermination à réussir à la prestigieuse université de Harvard. La position d’Obama sur la discrimination positive a évolué. S’il a toujours soutenu ce programme, il veut aussi l’adapter et faire en sorte que les critères économiques remplacent les critères raciaux. Régulièrement, il explique «ne pas pouvoir savoir si [il] a été admis à Harvard en raison de l’affirmative action, mais si cela a été le cas, je n’en ai pas honte et je dirais que l’affirmative action est justement importante, si celui qui en bénéficie tient ses promesses, une fois que la chance lui a été donnée». «En réalité, Barack Obama aspire à une société dans laquelle le facteur racial a moins d’importance. Où il n’apparaît pas comme un handicap ou comme un élément automatique de promotion sociale», explique Charles Ogletree, le conseiller du président élu sur les questions raciales. «Il veut faire cohabiter responsabilité individuelle et opportunités pour les Afros-Américains.»

Larmes. A 47 ans, Obama est aussi un enfant des luttes pour les droits civiques, qui ont mis fin à la ségrégation raciale aux Etats-Unis dans les années 60. Il ne s’est jamais associé aux militants historiques comme Jesse Jackson, que l’on a vu en larmes, submergé d’émotion, dans la foule qui acclamait Obama à Chicago. Mais il fait partie d’une nouvelle génération de leaders noirs apparus dans les années 90, qui ont su tout à la fois profiter de l’activisme de leurs prédécesseurs et s’affranchir de la dimension uniquement raciale de leur combat. Après avoir été le premier Noir nommé président de la Harvard Law Review, un poste qui ouvre aux Etats-Unis les portes de plus grands cabinets d’avocat, Obama a préféré retourner à Chicago sur le terrain. Pendant quelques années, il a été un travailleur social dans les HLM de la ville, aidant les Noirs à se battre contre les propriétaires et à sortir de la pauvreté. Autant d’histoires émouvantes qu’il décrit longuement dans son autobiographie mais en refusant toute victimisation.

Professeur à l’université de Chicago, puis sénateur local, Obama est entouré de Noirs qui, comme lui, ont réussi. Il représente cette classe moyenne ou supérieure noire qui est apparue depuis une trentaine d’années. Entre 1978 et 2003, le nombre de médecins, magistrats, professeurs noirs a doublé. D’autres ont choisi, comme Obama, la politique, notamment à Chicago qui a élu en 1982 un remarquable maire noir, Harold Washington. Témoin de cette évolution, Clinton restera comme le président qui a fait venir le plus de Noirs dans son administration, dont certains vont se retrouver dans l’équipe d’Obama. Comme Susan Rice, spécialiste de l’Afrique et de politique étrangère, qui pourrait devenir conseillère pour la Sécurité, ou Eric Holder qui pourrait prendre la Justice. Cependant, c’est le républicain Bush qui nommera des Noirs au plus haut poste de responsabilité, secrétaire d’Etat, l’équivalent de ministre des Affaires étrangères.

Transcender. Ces succès spectaculaires pour une brillante minorité de Noirs ne se traduisent pas par une évolution aussi positive pour l’ensemble de la communauté. Le chômage des Noirs est toujours le double de celui des

Blancs ; leur revenu moyen stagne depuis trente ans à 60 % de celui des Blancs ; et il y a toujours quatre fois plus de familles noires sous le seuil de pauvreté. Pour Obama, la question sociale doit transcender la race. Récemment, il a souligné que ses deux filles, Malia et Sasha, «qui ont toutes leurs chances dans la vie», ne devraient pas profiter des programmes de discrimination positive. Il sera un président noir, mais pas un président des Noirs.

http://www.liberation.fr/monde/0101183439-obama-president-noir-pas-president-des-noirs

Obama va devoir affronter le défi de la société post raciale

Publié le 05/11/2008 à 23:32 - Modifié le 07/11/2008 à 08:39 Le Point.fr

Par Patrick Sabatier

Avant même d'avoir pris la moindre initiative, Barack Obama est assuré de laisser son nom dans les livres d'histoire comme l'homme qui a fait sauter, 143 ans après l'abolition de l'esclavage, la dernière chaîne qui limitait encore, symboliquement du moins, la progression des Américains de couleur. Le 20 janvier prochain, il entrera en maître des lieux dans une Maison-Blanche où la présence du dirigeant noir Booker T.Washington, invité par le président (républicain) Theodore Roosevelt, avait fait scandale, il y a un siècle. Le 4 novembre 2008 restera assurément comme la troisième grande date de l'histoire de l'intégration des Afro-Américains, après le 22 septembre 1862 et la signature de la Proclamation d'émancipation par Abraham Lincoln, et le 28 août 1963 et la marche pour les Droits civiques durant laquelle Martin Luther King a proclamé son "rêve".

Il est évidemment tentant de proclamer à cette occasion, comme beaucoup n'hésitent pas à le faire, que l'Amérique a enfin tourné la page du racisme. Barack Obama a lui-même bâti en partie sa carrière, et sa campagne présidentielle, sur l'espoir, et la volonté, de parvenir à un monde "postracial". En un sens, il a même fait de cette volonté le coeur de son message. Le fait de promettre le "changement" en s'en faisant l'incarnation la plus visible qui puisse être a compensé dans une large mesure le handicap de son absence de bilan, et l'orthodoxie (quand ce n'est pas le flou) de sa vision politique, mélange pragmatique et tout ce qu'il y a d'orthodoxe d'idées progressistes et centristes empruntées aux diverses factions idéologiques du parti démocrate.

Sa promesse d'une Amérique postraciale lui a permis de projeter une image à la fois de champion des minorités aux prises avec la discrimination, et de "rédempteur" dont l'élection en forme de catharsis nationale équivaut, de l'aveu de nombre de ses partisans, à laver les États-Unis de leur péché originel (l'esclavage) à leurs propres yeux, et à ceux du reste du monde. Elle a refait du pays cette "ville sur la colline" dont les valeurs, morales et

politiques, éclairent le reste de l'humanité. De fait, comme le notait mercredi dans son éditorial le Los Angeles Times , le plus remarquable en ce jour d'après la victoire d'Obama, "c'est à quel point la race du président-élu paraît, au fond, ce qu'il y a de moins exceptionnel chez lui". Comme si la chose était la plus naturelle du monde, en Amérique tout du moins.

La "race", un facteur important pour 1 électeur sur 5

Pourtant, on sait que "la fin de l'Histoire" est une illusion. Il est certain que Barack Obama n'est pas un "président noir", comme pouvaient aspirer à l'être les politiciens formés à l'école de la politique identitaire qui a prolongé le mouvement des droits civiques (Jesse Jackson, Al Shapton et autres) mais un président des États-Unis qui se trouve être en partie d'origine africaine, donc étiqueté "noir" au rayon de la politique américaine, en partie à son corps défendant (mais consentant). Il est non moins certain que la "carte raciale" a joué un rôle important dans son élection, bien qu'elle se soit avérée un atout au lieu du handicap que beaucoup redoutaient. Le fameux "effet Bradley" (s'il a jamais existé) a été inversé.

Contrairement aux craintes qu'on entendait s'exprimer y compris parmi ses propres conseillers, Obama a gagné largement dans les vieux États industriels du Mid West - Ohio, Pennsylvanie, Michigan, dont on disait l'électorat populaire blanc, ouvrier ou rural, tellement raciste qu'il ne voterait jamais pour un Noir. Il a recueilli au final une plus grande proportion du vote des Blancs (43 %) que ses prédécesseurs démocrates, Al Gore et John Kerry. Dans les sorties des urnes, 20 % des électeurs ont pourtant reconnu que la "race" avait été un facteur déterminant ou important dans leur choix. La majorité de ceux-ci ont fait le choix d'Obama.

Le 44e président n'a certes pas été élu par le seul "vote noir" (qui ne représente que 12 % de l'électorat). Mais il aurait sans doute perdu si les électeurs noirs ne s'étaient pas mobilisés comme ils ne l'avaient jamais fait pour aucun candidat démocrate avant lui, et s'ils n'avaient pas voté en bloc (à plus de 95 %) pour lui. Ce vote noir n'a été qu'une des composantes de la coalition qui a réuni sur son nom les Latinos et les jeunes de toutes les couleurs. Mais il en a été une composante essentielle, et elle lui a permis de l'emporter par exemple dans l'ex-capitale du Sud, la Virginie.

Cette réalité électorale constitue pour lui un vrai défi (ce n'est pas le seul, et peut-être pas le plus redoutable) s'il ne veut pas que la déception remplace très rapidement le moment d'exaltation et de fierté collective légitime de tous les Américains, et des Afro-Américains en particulier qui attendent énormément de lui. Il lui faut trouver les moyens de s'attaquer aux plaies qui rongent une minorité qui reste très largement misérable et marginalisée, en dépit de l'émergence d'une bourgeoisie noire aussi aisée et éduquée qu'influente, dont lui et son épouse Michelle sont de parfaits représentants.

Encore des défis

Plus de la moitié des détenus dans les prisons américaines sont noirs, comme le sont la majorité des condamnés à mort. Plus de 70 % des naissances ont lieu hors mariage. La majorité des enfants noirs vivent dans

des familles monoparentales, et le taux de mortalité infantile est un des plus élevés du monde développé. Les résultats scolaires et universitaires moyens des Noirs américains se sont dégradés en vingt ans, et de manière encore plus spectaculaire quand on les compare à ceux des autres minorités ethniques, les Asiatiques en particulier, mais les Latinos aussi. Le nombre de Noirs dans les institutions universitaires est en baisse spectaculaire, du fait de l'érosion de la politique de "discrimination positive" (dont Obama a indiqué qu'il estime qu'elle peut et doit être remise en cause).

L'élection d'un "frère de race" à la plus haute fonction de l'État est certainement un facteur psychologique très positif pour la communauté noire (et pour les Noirs dans le monde entier). Mais il ne faut pas oublier qu'il y a eu au cours des huit années passées deux secrétaires d'État noirs au sommet de l'État (Colin Powell et Condoleezza Rice), qu'il y a eu, et qu'il y a, des Noirs à la tête d'États (Deval Patrick dans le Massachusetts), de grandes villes (Adrian Fenty à Washington), de sociétés de la liste des 500 de Fortune. Et que les Noirs sont représentés au Congrès en proportion de leur population, sans parler du nombre de stars d' Hollywood, de la NBA (basket), de la NFL (football américain) et de l'athlétisme. Autant de rappels que Barack Obama n'est pas un ovni, mais que son entrée à la Maison-Blanche n'est pas non plus une panacée qui garantit que se referme la page des drames de l'esclavage et de ses séquelles.

"La profonde erreur des sermons du révérend Wright", avait souligné le futur président dans son discours de Philadelphie sur la question raciale, dans lequel il avait rompu avec son conseiller spirituel en raison des imprécations de ce dernier contre l'Amérique, "n'est pas d'avoir dénoncé le racisme dans notre société. C'est d'avoir parlé comme si la société ne changeait pas, comme s'il n'y avait eu aucun progrès et comme si ce pays était à jamais enchaîné à son passé tragique". L'élection de Barack Obama a brisé une nouvelle chaîne, mais il va lui falloir à présent relever le défi de comment avancer vers une société véritablement postraciale...

http://www.lepoint.fr/presidentielle-americaine/obama-va-devoir-affronter-le-defi-de-la-societe-post-raciale/1781/0/289119

Obama commence à se préparer à sa vie à la Maison Blanche

2008-11-07 18:58:25

WASHINGTON, 7 novembre (Xinhua) -- Barack Obama, qui vient de décrocher la présidence des Etats-Unis au terme d'une campagne de 22 mois, n'a pas pris un seul moment de répit avant de se lancer dans les préparatifs de sa prochaine arrivée à la Maison Blanche.

Jeudi, deux jours après son élection en tant que 44e président américain, le sénateur démocrate de l'Illinois était occupé à arranger des rencontres avec des conseillers économiques et à téléphoner à des dirigeants étrangers.

M. Obama a discuté avec les dirigeants de neuf pays du monde après sa victoire sur le sénateur républicain, John McCain, dans la présidentielle.

Ces dirigeants comprennent : le Premier ministre australien, Kevin Rudd, le Premier ministre canadien, Stephen Harper, le président français, Nicolas Sarkozy, la Chancelière allemande, Angela Merkel, le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, le Premier ministre japonais, Aso Taro, le président mexicain, Felipe Calderon, le président sud-coréen, Lee Myung-bak et le Premier ministre britannique, Gordon Brown, a fait savoir la porte-parole de M. Obama, Stephanie Cutter.

Vendredi, le nouveau président devrait consulter ses conseillers économiques pour discuter des solutions à l'actuelle crise financière planétaire, premier souci des Américains comme le démontrent les sondages d'opinions publiques.

M. Obama, dont l'investiture est prévue pour le 20 janvier, va organiser sa première conférence de presse vendredi.

Une autre priorité du nouveau chef d'Etat avant son entrée à la Maison Blanche consiste dans la formation de son cabinet.

Le représentant de l'Illinois au Congrès, Rahm Emanuel, a accepté la nomination de M. Obama pour devenir le futur secrétaire général de la Maison Blanche.

"J'annonce cette nomination en premier parce que le secrétaire général est primordial pour la capacité d'un président et d'une administration à réaliser un programme", a indiqué M. Obama.

M. Obama n'a pas encore déterminé le nom très attendu du prochain secrétaire au Trésor.

Trois personnalités sont données favorites pour accéder à ce poste, à savoir le président de la Réserve fédérale de New York, Timothy Geithner, l'ancien secrétaire au Trésor, Lawrence Summers, et l'ancien président de la Réserve fédérale américaine (FED), Paul Volcker.

Avant d'entamer sa vie à la Maison Blanche la famille Obama compte s'envoler pour Hawaï en décembre prochain afin de rendre hommage à la grand-mère maternelle de M. Obama, décédée dimanche dernier à Honolulu.

http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-11/07/content_757300.htm

TURQUIE

Turquie: Le pouvoir musèle la liberté d’expression sur internet

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous in-vite à lire cet artcile publié sur IPS du 30 octobre 2008.

DROITS-TURQUIE:

Le pouvoir veut aussi museler la liberté d’expression sur internet Mehmet Koksal

ISTANBUL, 30 octobre (IPS) - Les procès, les pressions et les intimidations du pouvoir à l’égard des intellectuels, des journalistes, des éditeurs, des syndi-calistes et des défenseurs des droits humains s’exercent tellement que l’ha-bitude de vivre avec la censure s’installe dans la vie quotidienne des per-sonnes. De plus, une nouvelle forme de répression s’inscrit maintenant dans le livre noir des atteintes à la liberté en Turquie : la répression croissante de la liberté d’expression sur internet, explique un rapport trimestriel de l’agence de presse Bianet à paraître ce vendredi 31 octobre.

« Les pressions et les répressions du pouvoir sont tellement fortes que les gens commencent finalement à avoir l’habitude de vivre dans une société qui pratique systématiquement la censure. La conséquence directe de cette politique est une limitation excessive du champ d’investigation journalistique et scientifique », explique Erol Önderoglu, auteur du baromètre trimestriel sur la liberté d’expression édité par l’agence de presse turc Bianet basé à Is-tanbul. Ce rapport trimestriel d’une trentaine de pages relatif aux mois de juillet, août et septembre 2008 dresse la liste des atteintes à la liberté d’ex-pression dans les médias locaux et nationaux turcs.

« Pour justifier la limitation de la liberté d’expression, le pouvoir invoque tou-jours l’argument de précaution visant à ne pas saboter le travail de l’armée qui lutte officiellement contre le terrorisme. Cette logique a encore été appli-quée dans deux cas récents (Aktütün et Daglica) contre le traitement média-tique relatif à des opérations militaires contre le PKK où l’attitude de la presse dérangeait le pouvoir », ajoute le journaliste qui pointe du doigt l’aug-mentation du nombre de procès contre les idées considérées comme déran-geantes par « l’armée, le gouvernement ou les institutions essentielles de l’Etat ».

L’arsenal juridique utilisé par le pouvoir pour réprimer la liberté d’expression repose essentiellement sur 4 textes juridiques : le code pénal turc, les lois antiterroristes, la loi sur la presse et une loi spéciale de 1951 qui protège la mémoire d’Atatürk [le fondateur de la République]. « Non seulement les pa-ramètres de pression augmentent mais l’impunité aussi car de plus en plus de délits et de crimes commis par les représentants de l’ordre restent impu-nis. Pour les victimes, il ne reste alors plus qu’une seule adresse pour espé-rer obtenir une réparation des dommages causés : la Cour européenne des Droits de l’Homme », déclare Erol Önderoglu.

Blogger, YouTube, Dailymotion inaccessibles en Turquie

Parmi les nouvelles formes d’atteinte à la liberté d’expression, le rapport aborde les carences législatives qui aboutissent à la censure sur internet. Ainsi la loi n° 5651 relatif aux délits commis sur internet dont la portée géné-rale permet aux juges d’ordonner la fermeture totale de n’importe quel site internet sur base d’une seule donnée contestée.

« Cela fait plus de 6 mois que YouTube n’est plus accessible en Turquie car des vidéos portant atteinte à la mémoire d’Atatürk y figureraient. Au lieu de décider sur l’interdiction de ces vidéos, c’est la totalité de YouTube qui de-vient inaccessible pour les internautes surfant à partir du territoire turc. Les autorités exigent non seulement le retrait de ces vidéos des registres d’ac-cès nationaux mais également la suppression des données des registres uni-versels, une demande difficilement acceptable pour les gestionnaires améri-cains. Le site Dailymotion est également suspendu pour des motifs simi-laires. Des sites d’information pro-kurde sont également interdits par le pou-voir et vu le contexte turco-kurde très tendu, les avocats ne font même pas appel de ces décisions judiciaires », explique le journaliste.

L'auteur signale aussi le cas d’un auteur créationniste dénommé Adnan Ok-tar [plus connu sous le pseudonyme de Harun Yahya] dont les avocats at-taquent régulièrement des sites internets qu’ils jugent diffamatoires à l’égard de leur client. C’est ainsi que le site d’un syndicat représentant pas mois de 150.000 membres (egitimsen.org) a été fermé par le Conseil de communication (RTUK). Adnan Oktar, notoirement connu pour ses publica-tions créationnistes dans le monde musulman sous son pseudonyme Harun Yahyah, a ainsi déjà pu faire interdire 61 sites internets (dont le site du so-ciologue Richard Dawkins, les Google Groups et le site du quotidien Vatan) grâce aux procès qu’il a intenté auprès des tribunaux de l’arrondissement de Gebze et Silivri.

Les avocats d’Adnan Oktar ont récemment pris contact avec les gestion-naires de l’agence Bianet en vue de demander le retrait de certains articles jugés « dérangeants » sous peine de poursuite judiciaire. Bianet vient d’an-noncer publiquement son refus de retirer les articles controversés.

La censure sur internet en Turquie ne se limite pas à ces exemples puisque des sites très populaires comme EksiSözlük, Blogger.com ou encore Geoci-ties.com ont également été suspendus sur base de plusieurs plaintes devant les juridictions nationales.

Parmi les délits poursuivis par la loi n° 5651 relatif aux publications sur inter-net, on trouve l’incitation au suicide, la pédophilie, l’incitation à l’usage des drogues et des substances dangereuses, l’obscénité, la pornographie, les jeux de hasards et les délits portant atteinte à la mémoire d’Atatürk. Les édi-teurs et les ONG demandent au gouvernement turc de réformer rapidement cette loi jugée trop générale afin d’y apporter une acception plus restrictive et proportionnelle qui puisse garantir la liberté d’expression en ligne.

(FIN/IPS/20008)

http://ipsnouvelles.be/news.php?idnews=10016

''La Turquie a accompli une révolution silencieuse'' Par Christian Makarian, Gosset Ulysse, publié le 07/11/2008 15:35 - mis à jour le 07/11/2008 15:44

Il a été Premier ministre, puis ministre des Affaires étrangères, avant d'assu-mer la charge de président de la République turque au terme d'une élection mouvementée. C'est dire si ce quinquagénaire, proeuropéen tout en étant issu de la mouvance islamiste, connaît les arcanes politiques et diploma-tiques. Pour L'Express et France 24, il a accepté de répondre aux questions qui se posent au sujet de la Turquie, y compris les plus embarrassantes.

La Turquie est-elle vraiment à l'abri d'un nouveau complot ou d'un coup d'Etat?

Ces hypothèses ne sont plus plausibles dans la Turquie actuelle. Les dangers dont vous parlez étaient hier imaginables mais ne sont plus vraisemblables aujourd'hui. Certes, quand on regarde notre passé politique, on trouve des hauts et des bas. C'est vrai. Mais aujourd'hui, vous le voyez, nous menons à bien des procès importants, avec des actes d'accusation en bonne et due forme, et la défense peut s'exprimer librement... Si un crime ou si un délit a été commis, quel qu'il soit, des tribunaux indépendants sont parfaitement en mesure de procéder à un jugement. Il existe en Turquie un système de droit qui fonctionne. Cela s'inscrit dans la perspective des négociations visant à l'adhésion à l'Union européenne. Il nous faut remplir les critères politiques de Copenhague : la démocratie, la suprématie du droit (au niveau des normes européennes), et le respect des droits de l'homme (là aussi, au niveau des normes européennes). On ne peut pas démarrer les négociations d'adhésion si ces conditions ne sont pas remplies. Nous avons donc procédé à des ré-formes vraiment radicales, que certains ont qualifiées de "révolution silen-cieuse".

La Commission européenne vient de rendre son rapport d'avancement por-tant sur la modernisation de la Turquie. Ce constat contient des réserves. Est-ce que cela vous inquiète?

Le processus de négociation d'adhésion à l'Union européenne est un proces-sus de transformation de la Turquie. Nous avons effectué des réformes tout à fait radicales, mais nous sommes loin d'avoir fini. Nous avons encore beau-coup à accomplir. Nous ne le faisons pas pour satisfaire l'Union européenne, pour que les Européens nous voient d'un bon oeil. Nous le faisons parce que notre peuple a le droit d'avoir accès à ces réformes. Même si l'Union euro-péenne n'existait pas, nous devrions moderniser la Turquie de nous-mêmes, élargir les libertés de la façon la plus étendue possible pour que le peuple turc puisse en jouir. Le pluralisme, la transparence, l'égalité... ce sont des besoins qui vont dans le sens de l'intérêt de la Turquie et du peuple turc. Nous y travaillons. Peut-être aurait-il fallu agir plus rapidement. C'est ce que je pense. Mais, comme vous le savez, il y a des considérations économiques,

des questions de politique intérieure qui ont ralenti les choses, notamment l'année dernière.

Vous êtes issu d'un mouvement politique d'inspiration islamiste. Est-ce que vous êtes très religieux, est-ce que vous effectuez vos prières tous les jours, est-ce que vous allez à la mosquée tous les vendredis?

Il faut séparer la religion de la politique. Dans notre pays, une grande majori-té du peuple est musulmane. Cela relève du domaine personnel. J'ai la foi et, dans la mesure de ma force, je ferai ce que ma foi juge nécessaire. Mais ce sont des questions privées, qui ne concernent que moi, ou ma famille. Je ne fais pas de distinction entre mes concitoyens, parmi lesquels certains ne sont pas musulmans. Je n'effectue aucune discrimination. Il n'en est pas question. Ma propre conviction, ma propre foi, ne regarde que moi.

Pendant des décennies, il y avait un consensus en Turquie autour de la ques-tion de la laïcité. Pourquoi le gouvernement a-t-il voulu modifier ce principe pour autoriser, par exemple, le port du voile à l'université, qui était jusque-là interdit?

Il n'y a pas que le gouvernement qui ait souhaité cet amendement constitu-tionnel, voté par une vaste majorité. Au moins deux des partis de l'opposi-tion l'ont également voté. Un seul groupe de partis d'opposition s'est pronon-cé contre. Plus de 400 députés sur 550 ont voté pour cet amendement constitutionnel destiné à supprimer cet interdit. Mais la Cour constitution-nelle a considéré que cela était contraire à la laïcité et a annulé l'amende-ment en question. Nous nous plions à cette décision de la Cour suprême.

Ce besoin de pouvoir porter le voile à l'université est difficile à comprendre d'un point de vue occidental...

Pourquoi?

Parce que, jusque-là, l'université fonctionnait très bien sans cela...

Que voulez-vous dire par "fonctionnait très bien"?

Le fonctionnement des universités, des écoles, des administrations se faisait dans un consensus laïque - qui était l'une des spécificités de la Turquie. Pourquoi vouloir le modifier aujourd'hui?

Il faut poser cette question aux partis politiques qui ont voulu changer cette règle. C'est sans doute qu'il y avait une demande en ce sens. La Turquie est une société ouverte. Tout cela est débattu. Ce qui est important, c'est que tous ces sujets puissent être discutés et que tout le monde participe à la dis-cussion. Après quoi les instances constitutionnelles décident, pour ou contre. Et la règle de droit s'impose à tous au final.

Le Prix Nobel de littérature Orhan Pamuk considère qu'il y a toujours une vé-ritable menace pesant sur les libertés des journalistes et des écrivains en Turquie, en raison de l'existence de l'article 301 du Code pénal, qui sanc-

tionne durement "l'humiliation de l'identité turque". Que répondez-vous? Et que dites-vous aux Européens concernant cet article, qui devait être aboli mais qui ne l'a jamais été?

Orhan Pamuk est un écrivain turc qui a obtenu le prix Nobel, et nous en sommes naturellement très fiers. Les intellectuels, les écrivains doivent nourrir la critique. Ils souhaitent pour l'avenir une situation meilleure que celle d'aujourd'hui. Je considère que c'est tout à fait naturel de leur part. Il est vrai qu'il y a eu dans un passé récent une série de procès intentés en vertu de l'article 301. Mais cet article a été modifié. Précisément pendant la période où l'on a dit que le rythme des réformes avait ralenti. Cette disposi-tion a été changée cette année. Désormais, les écrivains ne sont plus jetés en prison pour avoir pris la parole. Vous pouvez dire ce que vous voulez en Turquie.

Vous vous êtes récemment rendu en Arménie, pour assister à un match de football, ce qui a représenté un événement historique. Est-ce que cela signi-fie que la Turquie est susceptible d'évoluer sur la question arménienne?

Si vous voulez parler des événements qui se sont produits lors de la Pre-mière Guerre mondiale, je tiens à rappeler que tout le monde a souffert du-rant cette période : les Turcs, les Arméniens, et d'autres. Il y a eu des cir-constances tragiques de part et d'autre. Toutes ces souffrances nous at-tristent tous. Mais dire que les Turcs ont, de façon délibérée, mené un mas-sacre contre leurs propres concitoyens n'est pas vrai. Il faut comprendre ces événements à la lumière de la guerre. Tout le monde était en guerre à l'époque. Nos concitoyens arméniens ont été provoqués par un autre pays alors que nos troupes se battaient sur trois fronts. Je n'y reviendrai pas dans le détail, mais nous répondons aux allégations sur cette question de la façon suivante: étudions ces allégations. Ce n'est pas aux hommes politiques de prendre position sur ces questions. Quelle est l'attitude honnête ? C'est de créer une commission d'historiens indépendante. Mettons nos archives sans restriction à la disposition de cette commission! Que cette commission fasse son travail. Et nous devrons tous accepter ses conclusions. La République de Turquie a fait cette proposition. Nous sommes même allés un peu plus loin : si la France s'intéresse de près à ce sujet, que la France participe à cette commission.

Néanmoins, le génocide des Arméniens est désormais reconnu par de nom-breux Etats démocratiques, et non des moindres. Barack Obama s'est décla-ré favorable à la reconnaissance de ce génocide par les Etats-Unis. La posi-tion de la Turquie sera-t-elle encore tenable dans l'avenir?

Je peux parler de la question arménienne. Mais que l'on nous force à recon-naître quelque chose qui n'a pas eu lieu, simplement parce que des hommes politiques l'ont compris dans ce sens, n'est pas une attitude honnête. Ce se-rait plutôt un problème pour Barack Obama. N'oubliez pas que, pendant un millénaire, les Turcs et les Arméniens ont toujours vécu en paix ensemble. Il n'y a pas eu de conflit entre ces deux peuples. Sauf dans les conditions parti-culières de la Première Guerre mondiale. Il ne faut pas instiller de la haine pour l'avenir. Aujourd'hui, l'Arménie et la Turquie sont deux pays voisins. Et

nous souhaitons développer notre amitié et nos relations avec l'Arménie.

Est-ce que vous avez parlé avec le président arménien du génocide ou est-ce que vous l'avez laissé de côté pendant les entretiens que vous avez eus en-semble?

Je vais vous dire une chose: nous sommes des gens qui vivent côte à côte dans cette région ! Nous sommes obligés de penser à l'avenir des habitants de l'Arménie. Il faut qu'ils vivent dans la prospérité, qu'ils soient heureux. Il faut qu'ils soient en bons termes avec la Turquie. Il faut que la Turquie soit en bons termes avec eux. C'est pour cela que nous devons aider le proces-sus entre la Turquie et l'Arménie. Regarder les choses de loin et essayer de protéger sa propre identité, se focaliser sur cette animosité, rabâcher tout le temps le même sujet, l'utiliser sans cesse comme un instrument politique ne servira à personne. J'ai écrit au président arménien, M. Sarkissian, pour le fé-liciter quand il a été élu. Et je lui ai dit que j'espérais pouvoir résoudre les problèmes que nous avons en commun et améliorer nos relations pendant que nous sommes tous les deux présidents. Et le président de la République arménienne, avec beaucoup de courage, m'a invité dans son pays. Je le féli-cite. J'ai été, moi aussi, critiqué par beaucoup de gens en Turquie. Mais, avec courage, également, j'ai accepté cette invitation et je me suis rendu en Ar-ménie. J'ai été très heureux d'y aller. Nous avons a eu des conversations très constructives. Et je souhaite que ces échanges se poursuivent. Il y a beau-coup de sujets, beaucoup de problèmes ; je ne suis pas entré dans les détails de chacun. C'était notre premier échange et je ne voulais pas aborder tous les sujets fâcheux. Le plus important était de créer un bon climat.

Que pensez-vous des intellectuels turcs, comme Orhan Pamuk, qui n'ont pas de difficulté à parler du "génocide" des Arméniens?

Cela montre justement que tous les points de vue peuvent être exprimés au-jourd'hui en Turquie. Que tout peut être désormais débattu. Certains croient que des gens sont jetés en prison dès qu'ils émettent des opinions de ce type. Mais ce n'est pas le cas. On débat de tout. On écrit ce que l'on veut. Il y a même des livres qui sont écrits à ce sujet. Même si je ne suis pas d'accord avec certains points de vue, je ne suis pas d'avis de faire taire les gens qui les expriment. Cependant, s'il y a une idée que je ne veux pas accepter, je ne vais pas non plus m'y soumettre simplement parce qu'elle fait l'objet d'une pression internationale. Les actions de la diaspora arménienne em-pêchent la normalisation des relations turco-arméniennes.

Concernant les rapports entre l'islam et l'Occident, certains s'inquiètent de voir votre pays participer à la Conférence islamique tout en aspirant à entrer dans l'Union européenne.

Je ne vois pas de contradiction entre le fait que la Turquie soit membre de la Conférence islamique et qu'elle négocie son adhésion à l'Union européenne. La Conférence islamique et l'Union européenne ne sont pas des alternatives exclusives l'une de l'autre dans le monde d'aujourd'hui, caractérisé par la mondialisation. La majorité de la population de la Turquie est musulmane. C'est pour cela que la Turquie est membre de la Conférence islamique. La

Russie en est également un membre observateur parce qu'elle a une forte population musulmane. Mais la Turquie a également commencé à négocier son adhésion à l'Union européenne et continue d'adopter les acquis commu-nautaires. Le fait d'être musulman n'est pas un obstacle pour devenir membre de l'Union européenne. Je ne le pense pas. Quelles sont nos valeurs communes? La démocratie, le respect des droits de l'homme, l'économie de marché. Nous avons accepté ces principes-là. Par ailleurs, les efforts de la Turquie sont soutenus d'une façon très importante dans le monde musul-man. Je pense que la Turquie va apporter une très grande richesse à l'Union européenne en jouant le rôle de pont entre les civilisations.

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/abdullah-gul-la-turquie-a-accompli-une-revolution-silencieuse_689536.html

Quand la Turquie perd ses valeurs La Turquie des années 1930 reste méconnue : ce roman paru en 1940 évoque avec beaucoup de force le marasme intellectuel et moral de la géné-ration qui vécut la succession de Mustafa Kemal Atatürk et la montée des pé-rils en Europe. Sous ce titre aux relents romantiques se cache une critique en règle des tendances fascistes à l’œuvre dans certains cercles intellectuels d’Istanbul.

Néanmoins le cœur du récit s’articule autour d’une histoire d’amour où Maji-dé, la jeune héroïne, est tiraillée entre Ömer, un homme anxieux, idéaliste mais influençable, et Bedri, sérieux, réfléchi, tolérant et emblématique des valeurs positives de la société républicaine. Elle finira par choisir le second puisque Ömer effectue un retour sur lui-même au moment de changer le cours de sa vie, se refusant à entraîner sa jeune femme dans la tourmente. Il s’en ouvrira à son ami Bedri. « A force de ne plus réfléchir à rien, de ne pas juger bon de faire marcher notre cervelle ramollie par l’inaction, nous avons perdu toute volonté, nous allons à la dérive comme un bateau sans gouver-nail : et au moment du naufrage nous incriminons des forces supérieures qui nous dépassent. »

Si l’analyse psychologique est subtile, la peinture de divers milieux (les pe-tits-bourgeois, les intellectuels, les employés désargentés) ainsi que la géo-graphie de l’Istanbul contemporain sont également très efficaces : la misère intellectuelle et les rêves chimériques que nourrissent ces personnages écra-sés par le destin semblent prendre forme dans les rues mornes du quartier, dans les maisons branlantes ou dans les salles de réunion de groupes exal-tés. Une réflexion d’une grande finesse sur le sens de l’existence et les choix qui assaillent une jeune conscience nourrit le récit et préfigure les romans existentiels des années 1960, ceux d’Attilâ llhan par exemple.

La question de la disparition des valeurs, non seulement dans une société qui se désagrège, mais aussi dans la conception du mariage ou de l’amitié, occupe ainsi une place centrale. En arrière-plan, les idées rejoignent l’acte d’écrire lui-même : très critique à l’égard des littérateurs, Sabahattin Ali dis-pose d’une langue alternativement sentimentale et expressionniste qui lui

permet d’évoquer toutes les nuances de personnages aux prises avec leurs démons. Il s’impose comme un des fondateurs de la modernité littéraire.

Dans ce roman à clé, des personnalités en vogue du milieu intellectuel sont identifiables. Nihat et son groupe d’amis, chantres du pantouranisme (pan-turquisme), qui vise l’unité de tous les peuples turcs, Nihâl Atsız, le roman-cier Peyami Safa et divers enseignants de turcologie de l’université d’Istan-bul, bref les « intellectuels de droite » contre lesquels luttaient — parfois physiquement — les « socialistes ». Ali prend plaisir à railler les travers de ces poètes pathétiques, romanciers amateurs, journalistes beaux parleurs.

Le Diable qui est en nous vaudra donc à son auteur un procès retentissant — dont il sortira blanchi — mais pour lequel il paiera le prix fort : restant dans la ligne de mire des ultranationalistes, souvent condamné pour délit d’opi-nion, il finira assassiné en 1948 à la frontière bulgare alors qu’il cherchait à fuir la Turquie.

Timour Muhidine. Édition imprimée — octobre 2008 — Page 28

http://www.monde-diplomatique.fr/2008/10/MUHIDINE/16391

TURQUIE/UE

La République tchèque soutient l'adhésion rapide de la Turquie à l'UE 2008-11-07 12:59:57

PRAGUE, 6 novembre (Xinhua) -- Le ministre tchèque des Affaires étrangères Karel Schwarzenberg a indiqué jeudi que son pays soutenait l'objectif de la Turquie d'adhérer rapidement à l'Union européenne (UE).

La République tchèque est un des partisans fermes de l'adhésion de la Tur-quie à l'UE, a ajouté le ministre Schwarzenberg lors d'une rencontre avec son homologue turc Ali Babacan, arrivé jeudi à Prague pour une visite officielle.

Le ministre turc s'est déclaré certain que des progrès seraient faits lors des négociations sur l'adhésion de la Turquie à l'UE durant la prochaine prési-dence tchèque de l'UE, en 2009.

En recevant M. Babacan, le président tchèque Vaclav Klaus a émis l'espoir que la Turquie pourra adhérer rapidement à l'UE en invitant son homologue turc Abdullah Gul à se rendre en République tchèque l'année prochaine.

http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-11/07/content_757043.htm

GENOCIDE RWANDAIS

Mis en cause par le Rwanda, dix officiers français portent plainte en diffamation Mercredi 5 novembre, 19h45 AFP Pierre ROCHICCIOLI

Dix officiers français de haut rang ayant participé à l'opération militaro-hu-manitaire "Turquoise" au Rwanda en 1994, ont porté plainte en diffamation mardi à Paris après avoir été mis en cause en août dans un rapport rwandais les accusant d'avoir participé au génocide.

Cette plainte contre X avec constitution de partie civile pour "diffamation pu-blique" a été déposée mardi devant la doyenne des juges d'instruction du tri-bunal de grande instance de Paris, a-t-on appris mercredi de source judi-ciaire.

Parmi les plaignants figurent cinq généraux, dont Jean-Claude Lafourcade qui a commandé l'opération Turquoise, et cinq colonels, a indiqué à l'AFP un proche des plaignants.

Ces dix officiers ont tous été cités dans un rapport rwandais sur le rôle sup-posé de la France dans le génocide, présenté à la presse le 5 août par le mi-nistre rwandais de la Justice, Tharcisse Karugarama.

La plainte des militaires vise particulièrement le communiqué du ministre qui rendait compte de ce rapport.

"Ce communiqué a la particularité d'être rédigé en langue française, alors même qu'il est rendu disponible sur un site entièrement en langue anglaise. Il interpelle directement les autorités et l'opinion française et les personnes visées sont connues sur le territoire français", expliquent les avocats des plaignants pour justifier la compétence de Paris.

"Les militaires ayant servi au Rwanda de 1990 à 1994, et en particulier ceux qui ont participé à l'Opération Turquoise", ont été accusés d'avoir "+pleine-ment pris en charge le projet génocidaire+, plusieurs d'entre eux étant dési-gnés nominativement comme comptant parmi les + personnalités militaires françaises les plus impliquées dans le génocide+", rappelle le général La-fourcade, dans un communiqué.

"Des militaires français ont commis eux-mêmes directement des assassinats de Tutsis et de Hutus (...) des militaires français ont commis de nombreux viols sur des rescapées tutsies", dénonçait également le communiqué rwan-dais

"Ces accusations graves et infondées ne pouvaient rester sans réponse. C'est pourquoi, une dizaine d'officiers mis en cause, atteints dans leur hon-neur, ont décidé de donner une suite judiciaire aux accusations ainsi portées, devant la justice de notre pays", explique le général Lafourcade.

Environ 800.000 personnes, selon l'ONU, essentiellement parmi les minorités tutsie et les Hutus modérés, ont été tuées pendant le génocide d'avril à juillet 1994 au Rwanda, planifié et exécuté par les extrémistes hutus.

"Les soldats français ont rempli de manière digne et exemplaire, sous les yeux de nombreux observateurs, la mission qui leur a été désignée au Rwan-da par le gouvernement et le président de la République. Les Nations Unies et la Communauté internationale leur en ont donné acte en 1994", explique l'officier supérieur.

"En 1998, une commission parlementaire française a écarté toute ambiguïté possible sur leur action", poursuit le général en qualifiant les accusations portées d'"indignes et d'inacceptables".

"Je pense que ce rapport est la réponse du président (rwandais Paul) Kagame aux accusations portées par la France sur son implication dans l'attentat contre Habyarimana (ancien président rwandais). Pour moi c'est très poli-tique", avait estimé en août l'amiral Jacques Lanxade, chef d'Etat-major des armées à l'époque du génocide.

Kigali a rompu fin novembre 2006 ses relations diplomatiques avec Paris après que le juge Jean-Louis Bruguière a réclamé des poursuites contre M. Kagame pour sa "participation présumée" à cet attentat.

http://fr.news.yahoo.com/2/20081105/tfr-mis-en-cause-par-le-rwanda-dix-offic-f56f567.html

FRANCE

Manifestation du 22 novembre: Appel du CCAF aux Sé-nateurs Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous pro-pose ce Communiqué de Presse du CCAF (Conseil de Coordination des Organisations arméniennes de France) paru sur leur site le 06 novembre 2008.

06-11-2008

Appel aux Sénateurs

Par sa présence à la manifestation du Samedi 22 novembre, Bernard Henry Lévy appelle le Sénat à faire barrage au négationnisme de l'État turc

Samedi 22 novembre à 15h00, le Conseil de Coordination des organisations Arméniennes de France (CCAF) organise un Rassemblement républicain de-vant le Sénat. Cette mobilisation citoyenne s'inscrit dans le cadre du combat contre le négationnisme, pour le respect de la vérité historique.

Des milliers de citoyens manifesteront pour demander au Sénat l'inscription

à l'ordre du jour d'un texte votée le 12 octobre 2006 à l'Assemblée Natio-nale, pénalisant la négation du génocide arménien. La loi Gayssot revêt un caractère exemplaire. Avec l'adoption de la loi Gayssot, les négationnistes de la Shoah ont été neutralisés et la mémoire des 6 millions de juifs génocidés pendant la seconde guerre mondiale est respectée. Les nouvelles générations ont ainsi accès à la vérité historique telle qu'elle a été vécue par le peuple juif. L'interdiction législative du négationnisme est com-parable à celle du racisme et de l'anti-sémitisme. Il est des comportements qui ne peuvent être tolérés dans la République.

Le génocide des Arméniens fait encore l'objet de propos et d'actes négation-nistes.

Les autorités turques exercent un négationnisme d'État. 93 ans après, alors que les massacres du peuple arméniens ont été reconnus comme correspon-dant à la définition juridique d'un génocide, alors que la France, elle-même, a reconnu, par la loi, le génocide arménien de 1915, il est encore possible de faire preuve de négationnisme, impunément.

Le Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France (CCAF) estime qu'il ne doit plus être possible de faire preuve de négationnisme en France.

Le Sénat doit inscrire cette proposition de loi à l'ordre du jour de ses travaux. Les citoyens anti-négationnistes ne lâcheront pas et iront jusqu'au bout de ce combat.

Contact presse : Nadia- Maro Deghirmendjian 06 74 53 66 15

http://www.ccaf.info/item.php?r=0&id=352

Phonéthon 2008: 5 heures pour 5 coeurs Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN publie l'annonce du Phonéthon qui se tiendra du 13 au 16 novembre 2008.

Appel aux bénévoles

Phonéthon 2008

13 au 16 novembre

Participez activement au Phonéthon 2008, rejoignez dès aujourd'hui nos 600 bénévoles à travers toute la France.

5 heures pour 5 coeurs

En consacrant 5 heures de votre temps, faites battre les 5 coeurs qui font l'avenir de l'Arménie et du Karabakh.

Fonds Arménien de France

Plus nous serons nombreux, plus nous collecterons de dons!

http://www.fondsarmenien.net/5h5coeurs/5heurespour5coeurs.html

Serge Sarkissian : "la diaspora est un trait d'union entre l'Arménie et le monde" Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Serge Sarkissian, pré-sident de la République d'Arménie a été interviewé sur France 24 le Mardi 04 novembre 2008. Invité de l'Entretien, il s'exprime entre autres sur le rôle de l'Arménie dans le Caucase, sur les pourparlers avec l'Azerbaïdjan, les relations avec la Turquie, le rôle de la diaspo-ra arménienne...

Serge Sarkissian, président de la République d'Arménie Mardi 04 novembre 2008

Depuis février 2008, Serge Sarkissian est président de la République d'Armé-nie. Invité de l'Entretien, il s'exprime entre autres sur le rôle de l'Arménie dans le Caucase, sur les pourparlers avec l'Azerbaïdjan, les relations avec la Turquie, le rôle de la diaspora arménienne...

Serge Sarkissian est le président de la République d'Arménie depuis février 2008. Né en 1954, il entre en 1971 à l'Université d'Etat d'Erevan et sert dans les forces armées soviétiques de 1971 à 1972.

Le premier tour de l'élection présidentielle a eu lieu le 19 février 2008. Un second tour était éventuellement prévu pour le 4 mars, mais Serge Sarkis-sian l'a emporté dès le premier tour, avec 52,82 % des voix, selon les résul-tats définitifs de la Commission électorale centrale.

L'opposition emmenée par Levon Ter Petrossian (président de 1991 à 1998) a crié au scandale et à la fraude massive. Selon les observateurs envoyés par l'OSCE, ces élections auraient pourtant grandement satisfait aux stan-dards internationaux.

La vidéo de l'entretien est à suivre sur :

http://www.france24.com/fr/20081104-armenie-russie-georgie-president-serge-sarkissian

http://www.france24.com/fr/20081104-armenie-russie-georgie-president-serge-sarkissian

La famille yézide a décroché la carte de résident Après deux ans d’attente, la famille Chakrovilyan a obtenu le statut de « ré-fugiés politiques ». Un merveilleux cadeau pour ces Yézides (1) qui ont fui l’Arménie, puis la Russie.

Encore émue, Nazeli Chakrovilyan raconte l’épilogue de deux longues an-nées d’espoir et de déception : « Quand nous sommes allés à la préfecture de Vannes pour changer notre récépissé, le monsieur nous a dit qu’il ne pou-vait pas nous le donner. J’ai eu si peur. Puis il a dit " Vous avez gagné ". Je lui ai demandé de répéter trois fois. Je n’y croyais pas. Karam, mon mari, était tellement content qu’il l’a embrassé ». Un dénouement heureux pour la fa-mille caucasienne de quatre enfants, abandonnée par un passeur sans scru-pule, devant la préfecture de Vannes, un beau matin d’avril 2006. Apprendre comment fonctionne l’État français Victimes de persécutions et apatrides, ces Yézides cherchaient une terre d’accueil en Europe. La France vient de leur accorder le statut de réfugiés politiques pour dix ans. Régis Perrot, travailleur social au Centre d’accueil des demandeurs d’asile (Cada) de Lorient, les a suivis et accompagnés de-puis leur arrivée à Lorient. Il est venu leur expliquer la suite du parcours ad-ministratif :

« Vous allez remplir un formulaire pour l’Ofpra (2) pour régler tous vos pro-blèmes d’État civil. Vous passerez ensuite une visite médicale obligatoire. Vous signerez aussi un "contrat d’accueil et d’intégration ". Pour finir, Nazeli et Karma devront suivre une formation civique à la préfecture Vannes ».

Pouvoir enfin travailler « Avec leur carte de réfugiés politiques, tout va devenir plus simple », ex-plique Régis Perrot aux Chakrovilyan. Karam, le père, qui tournait en rond depuis deux ans, va enfin pouvoir travailler. Les demandeurs d’asile ne sont toujours pas autorisés à avoir un emploi. Karam n’a pas perdu de temps. Il vient de s’inscrire à l’ANPE. Il va aussi contacter les agences d’intérim. Naze-li, la maman, était professeur de russe en Arménie. Elle aimerait bien retrou-ver son métier. Le Cada va l’y aider. Tous deux ont un rêve : « On voudrait ouvrir un restaurant caucasien dans quelques années ». « Avec le statut de réfugiés, vous aurez les mêmes droits que les Français », les rassure le re-présentant du Cada. « Et vous pourrez aussi aller voir votre famille en Tur-quie ou en Ukraine, mais pas en Arménie et en Russie où vous avez été per-sécutés. Sauf si vous demandez un jour la nationalité française ».

Devenir français L’idée a déjà fait son chemin, depuis leur installation à Lorient. Pour Nazeli et Karma, ça tombe sous le sens : « Nous sommes des apatrides, nous n’avons pas de pays et ce sera mieux pour les enfants. Nous allons demander la na-tionalité française ». Razmik, 18 ans, Assya, 16 ans, Maria, 5 ans et David, 4 ans, sont d’accord. Ils se sont fait des amis à l’école. Ils veulent tourner la

page. Assya se prépare à devenir traductrice. Elle a toujours été persuadée que la France ferait droit à leur demande d’asile. En revanche, son frère aî-né, Razmik, avait quasiment perdu espoir. « J’y pensais tout le temps. Quand ça me revenait au lycée, je n’entendais même plus le prof. Je me disais que ça ne servait à rien, tous ces efforts que je faisais ». Aujourd’hui, le jeune homme a repris confiance en lui : « Je vais faire un stage chez un architecte ». Maria et David, les deux petits, sont réjouis. Ils viennent d’apprendre que non seulement ils pourront garder leurs maîtresses, mais qu’ils auront aussi le droit d’aller voir leurs grands-parents en Ukraine. Chez les Chakrovilyan, on nage dans le bonheur.

1. Les Yézides forment une communauté religieuse rejetée par tous les pays du Caucase . 2. L’office français pour les réfugiés et les apatrides. Flore Limantour

http://www.letelegramme.com/gratuit/generales/regions/morbihan/refugies-la-famille-yezide-decroche-la-carte-de-resident-20081107-4122972_1523828.php

TURQUIE/CAUCASE

President azerbaïdjanais: la Turquie joue un rôle im-portant pour la paix régionale 2008-11-07 07:42:10

ANKARA, 6 novembre (Xinhua) -- Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a déclaré jeudi à Ankara que la paix sera réalisée dans la région grâce aux ini-tiatives turques et à la bonne volonté des pays régionaux.

Prenant la parole au parlement turc, M. Aliev a souligné l'importance des re-lations bilatérales, tout en appelant à plus de dialogues politiques entre les deux pays.

Le dirigeant azerbaïdjanais a également fait l'éloge du rôle de la Turquie dans la région. "Ce qui se passe au Caucase nous interesse tous. La Turquie mène une politique très active sur les affaires dans le Caucase," a indiqué le président Aliev, ajoutant que la Turquie jouera un rôle plus important dans le futur.

Il a en outre appelé à davantage de coopération bilatérale en matière d'éner-gie dans la région, affirmant que "nous avons fait de grands progrès dans le domaine de l'énergie. Nous effectuons d'importantes activités énergétiques dans la région. Nous avons réalisé le projet de la mer de Shah avec la Tur-quie".

L'Azerbaijan exporte actuellement du gaz naturel, a-t-il ajouté.

Après avoir été réélu, le président azerbaïdjanais a choisi la Turquie pour la destinatition de sa première visite à l'étranger, démontrant les bonnes rela-tions entre les deux pays.

http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-11/07/content_756842.htm

Les présidents turc et azéri appellent au règlement des conflits au sud du Caucase vendredi7 novembre 2008, par Gari/armenews

Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a rencontré le 5 novembre son homo-logue turc Abdullah Gul, pour appeler au règlement des conflits au sud du Caucase, peu après la rencontre qu’il avait eue à Moscou avec les présidents russe et arménien, avec lesquels il avait signé une déclaration commune concernant le règlement pacifique du conflit du Haut Karabagh.

Le président turc a d’ailleurs salué les entretiens de Moscou, estimant qu’ils « annoncent une ère nouvelle », relançant les espoirs de voir la paix et la stabilité s’instaurer dans la région. « La Turquie soutient ce processus et es-père qu’il continuera » a déclaré M. Gul à l’issue de sa rencontre avec M. Aliev, se félicitant de ce que la décision ait été prise de « résoudre les pro-blèmes dans le Caucase ensemble et avec courage ».

Le président Aliev a de son côté exprimé l’espoir que les pourparlers avec l’Arménie conduiraient à un « règlement par étapes » et remercié la Turquie pour ses efforts de paix dans le Caucase, en l’espèce de sa « plateforme pour la sécurité et la coopération dans le Caucase », à laquelle seraient asso-ciées la Russie et la Géorgie.

La Turquie compte sur une percée du processus de paix au Haut Karabagh dans l’espoir de progresser dans le processus de paix engagé avec l’Armé-nie. C’est par solidarité avec l’Azerbaïdjan que la Turquie a rompu ses rela-tions diplomatiques avec l’Arménie, lui imposant un blocus terrestre dras-tique depuis 1993.

Le président Gul avait effectué une visite historique à Erevan le 6 septembre à l’occasion du match de football Arménie-Turquie et depuis, les pourparlers se poursuivent entre les diplomates des deux pays, même si Ankara n’en-tend pas transiger sur les deux conditions posées à la normalisation de ses relations avec l’Arménie, l’abandon par Erevan de l’exigence de la reconnais-sance internationale du génocide de 1915 et le règlement du conflit du Haut Karabagh conformément aux exigences de l’Azerbaïdjan.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=46343

TURQUIE/IRAK

Explosion dans un oléoduc reliant l'Irak au port de Ceyhan

Une explosion s'est produite mercredi soir dans un oléoduc reliant l'Irak au sud de la Turquie, dans la province turque à majorité kurde de Sanliurfa (sud), provoquant une importante fuite de pétrole, a rapporté l'agence Ana-tolia.

Selon les premiers éléments d'informations cités par l'agence turque, l'inci-dent serait dû à un changement brutal de pression au sein du conduit.

Les autorités turques ont décidé de fermer les vannes de l'oléoduc alors qu'une importante quantité de pétrole s'est répandue sur une zone allant jusqu'à deux kilomètres du lieu de l'explosion, atteignant les bords d'un lac de retenue d'un important barrage de la région.

Les séparatistes kurdes, très actif dans cette partie du pays, ont par le passé bombardé cet oléoduc qui relie la ville irakienne de Kirkouk au port turc de Ceyhan, avec une capacité annuelle de transit de 70 millions de tonnes de pétrole brut.

Installation stratégique, cet oléoduc a été également attaqué à plusieurs re-prises par des insurgés depuis l'invasion de l'Irak par une coalition internatio-nale emmenée par les Etats-Unis, en 2003.

Dans l'immédiat, aucune information n'était disponible quant à une éven-tuelle date de réouverture de l'oléoduc. (AFP, 5 nov 2008)

http://www.info-turk.be/363.htm#Explosion

KARABAKH/AZERBAIDJAN/TURQUIE

Haut-Karabakh: rencontre Aliev-Sargsian prochainement à Istanbul

(quotidien turc) 11:55 | 07/ 11/ 2008

ANKARA, 7 novembre - RIA Novosti. Une nouvelle rencontre entre les présidents arménien et azerbaïdjanais sur le règlement du conflit du Haut-Karabakh doit avoir lieu prochainement à Istanbul sous les auspices du président turc Abdullah Gül, a fait savoir vendredi le quotidien turc Zaman.

Cette initiative a été proposée cette semaine par le président azerbaïdjanais Ilham Aliev, lors de sa visite en Turquie, et Ankara y a répondu favorablement. "Maintenant, Ankara doit transmettre cette proposition à l'examen de l'Arménie, après quoi les parties fixeront la date et le lieu de la rencontre", a précisé le journal, citant des sources diplomatiques.

Interrogé par Zaman, le ministre azerbaïdjanais des Affaires étrangères Elmar Mamediarov a indiqué que l'ordre du jour de cette rencontre serait défini par la Turquie.

Selon M. Mamediarov, l'entretien Aliev-Sargsian ne se limitera pas au dossier du Haut-Karabakh, il portera également sur les dossiers d'intérêt mutuel, notamment sur l'initiative de créer une Plateforme de coopération et de stabilité dans le Caucase formulée en août dernier par Ankara.

Réunis le 2 novembre dernier dans le château de Meiendorf, à l'est de Moscou, les présidents russe Dmitri Medvedev, arménien Serge Sargsian et azerbaïdjanais Ilham Aliev ont signé une déclaration par laquelle ils se sont engagés à multiplier les efforts pour régler le conflit du Haut-Karabakh.

Le Haut-Karabakh, enclave à majorité arménienne en Azerbaïdjan, a fait sécession de Bakou au terme d'un conflit armé qui a fait plusieurs milliers de morts entre 1988 et 1994. La situation reste tendue malgré le cessez-le-feu intervenu en 1994 et les efforts de médiation du groupe de Minsk de l'OSCE (Russie, France et Etats-Unis). http://fr.rian.ru/world/20081107/118182569.html

L’ambassadeur turc en Azerbaïdjan s'exprime au sujet des relations arméno-turques

L’ambassadeur turc en Azerbaïdjan : « la Turquie ouvrira ses frontières avec l’Arménie après que cette dernière ait retiré ses forces armées des terres occupés d’Azerbaïdjan »

vendredi7 novembre 2008, par Stéphane/armenews

Commentant la déclaration du Président arménien Serge Sarkissian selon laquelle « l’ouverture des frontières entre la Turquie et l’Arménie pourrait avoir un impact positif sur le processus de résolution du conflit du Nagorno Karabakh Hulusi Kilic a déclaré que « l’Arménie n’a aucun droit de mettre sous pression les agissements de la Turquie sur cette question ».

« La Turquie a fermé ses frontières avec l’Arménie le 4 avril 1993 en signe de protestation contre l’occupation du Nagorno Karabakh et des régions adjacentes du Bas Karabakh de l’Azerbaïdjan par l’Arménie. La Turquie a toujours soutenu l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan et continuera à le faire » a dit l’ambassadeur turc.

M.Kilic a ajouté que si l’Arménie a l’intention d’établir des relations normales avec les états voisins, elle doit passer en revue sa politique et retirer ses forces « des pays occupés de l’Azerbaïdjan ».

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=46254

La Turquie satisfaite du dialogue arméno-azéri

vendredi7 novembre 2008, par Stéphane/armenews

La Turquie s’est déclarée mercredi satisfaite de déclaration commune signée par les chefs d’Etat d’Azerbaïdjan, d’Arménie et de Russie qui se sont réunis le 2 novembre au sujet du conflit du Karabagh.

Selon une déclaration publiée par le Ministère turc des Affaires étrangères, la Turquie indique accueillir favorablement la déclaration commune visant à trouver une solution par un dialogue direct sur la base des règles internationales. Les deux pays ont aussi consenti à continuer les rencontres.

La déclaration du ministère des Affaires Etrangères affirme dit que la Turquie a dès le début soutenu la voie d’une solution par le dialogue qui serait accepté par toutes les parties.

La déclaration affirme que la suggestion de la Turquie d’une Plateforme pour la Coopération et la Stabilité dans le Caucase développé après les affrontements en Géorgie en août, formation vise la formation de conditions nécessaires pour résoudre tous les conflits par le dialogue.

La déclaration dit que la Turquie, qui est en même temps un membre du Groupe de Minsk de l’OSCE continuera à travailler avec toutes les parties pour trouver une solution au problème du Haut Karabakh qui reste une menace importante pour la sécurité et la stabilité de la région.

« La Turquie continuera aussi à soutenir le travail et les efforts du Groupe de Minsk de l’OSCE » ajoute la déclaration.

Abdullah Gul et Ilham Aliyev ont tenu une conférence de presse commune dans la capitale turque mercredi.

« Les relations entre les deux pays ont contribué à la paix, la coopération et la stabilité dans la région » a affirmé Ilham Aliyev.

« Les questions entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie doivent être résolues en premier. L’Azerbaïdjan attend une solution juste. Nous sommes heureux que la Turquie ait manifesté de grands efforts sur cette question et je crois que les initiatives de la Turquie apporteront des résultats favorables » a-t-il dit.

« La déclaration de Moscou signée par les présidents azerbaïdjanais, russe et arménien est un bon fondement pour la résolution du conflit du Haut Karabakh. Les normes du droit international sont réaffirmés dans cette déclaration. Les résolutions et décisions adoptées dans ce cadre sont soutenues. Le règlement par étape est souligné. A mon avis, la déclaration peut servir de base pour la résolution du conflit » a fait savoir le président azéri.

Selon M.Aliyev, l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan doit être rétablie, les territoires « occupés » doivent être libérés et les réfugiés azéris doivent pouvoir regagner leurs maisons : « j’espère que la nouvelle situation dans la région, la mission de paix de la Russie, le travail ardu des autres

coprésidents aboutiront à la résolution du conflit » a fait savoir M.Aliyev.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=46333

ANGLAIS

OBAMA SCORES TRIUMPH[12:55 pm] 05 November, 2008

The November 4 decisive election for the Americans and the whole world ended with the glorious victory of the Democratic candidate. Yerevan's “Congress” hotel was overcrowded today morning. The invitees of the US Embassy in Armenia had gathered at the hotel since 7:30 a.m.

Before the end of the vote, Republican candidate John McCain congratulated Obama on victory after seeing the great difference in votes. He also thanked all people voting for him. All Americans living and working in Armenian could follow the historic moment on live broadcast.

“Today marks the victory of the first African-American candidate Barack Obama. It is really very important as forty years ago Americans murdered Africans because of deeply-rooted race discrimination. Today we have the first African-American president to win the White House,” the first Secretary for the Political-Economic Department of the US Embassy, Daniel Hastings said to A1+.

In reply to our question whether Obama’s victory implies the end of the Iraqi war and whether the American troops will be withdrawn from the country, Hastings said:

“Barack pledged to withdraw the troops within a year and to concentrate more resources in Afghanistan. He also promised to reinforce ties with our European partners. I think it is very important who will be appointed the next foreign minister of the country.”

To note that in reply our remark that Republicans also lose elections, Armenian Republican MP Armen Ashotyan said: “I find Republicans’ defeat as normal. If we ruled Armenia the way they did in the USA during the last eight years, we would undoubtedly lose elections in Armenia.”

http://www.a1plus.am/en/?page=issue&iid=65789

PM hopes 'genocide' pledges remain in electioneering Speaking yesterday on the occasion of the election of Barack Obama to the presidency of the United States, Prime Minister Recep Tayyip Erdoğan said

changes in the administrations of the US and Turkey have never altered the characteristics of bilateral relations between the countries, which are based on mutual strategic interests.

He said relations with US President-elect Barack Obama's administration should continue in the same vein as before. Responding to questions from reporters, Erdoğan also said he expected certain ideas expressed by Obama during his election campaign to remain just part of electioneering and not to be developed further by the White House in the new term, in apparent reference to the strong pledges made by Obama to officially recognize the so-called Armenian genocide.

Obama’s election as the first black president in US political history has “crossed a threshold,” Erdoğan first noted.

“With this result, we can say that the problem of white and black no longer exists there [in the United States], because it was not possible to get such a result only from the black vote. There must have been a serious shift in the white vote so that such a result was achieved. I congratulate Obama, his energetic campaigning and the efforts by his team,” Erdoğan continued.

“The burden on the shoulders of the United States is very different compared to other countries, as it is a strong country with more opportunities in its hands. Obama will carry such a burden at a time of global crisis. The US has a much larger responsibility to contribute to global peace. At this point, we must assess some rhetoric that appeared during the election campaign that we hope was limited to the campaign and will remain there,” the prime minister added, referring to Obama’s approach towards a recognition of Armenian genocide allegations.

Emphasizing that mutual strategic interests have always been a determining factor in bilateral relations between Turkey and the United Sates, Erdoğan expressed hope that the this relationship would not be harmed by the new administration taking office. The prime minister didn’t exclude the possibility of having a meeting with Obama when he travels to Washington later this month to attend a financial summit of the Group of 20 (G-20) countries called by current US President George W. Bush.

“We will try to have a meeting if Obama’s hectic schedule to form his cabinet lets him spare time for such a meeting,” Erdoğan said, while, on his final note, he wished for Obama’s term to contribute to democracy, peace and solidarity in the world as well as to the Middle East peace process.

President Abdullah Gül, at a joint press conference with Azerbaijan’s visiting President İlham Aliyev, also congratulated Obama on his victory, saying he wished Obama’s presidency to cement stability and security not only for the American people, but for the entire world.

“I hope that a new presidency begins for the entire world,” Gül said. In Rome, while participating in a Turkish-Italian forum, Foreign Minister Ali Babacan echoed the same sentiments of Gül and Erdoğan when asked about

Obama’s election.

“We hope the US will make more contributions to the world’s peace, security and stability after these elections,” Babacan said, noting that the Turkish government has been in contact with Obama’s staff already. The minister also said the foreign policy issues of priority for Ankara and Washington match each other to a large extent, as these issues are related to the geography in the region surrounding Turkey.

06 November 2008, Thursday

http://www.todayszaman.com/tz-web/detaylar.do?load=detay&link=157962

Aiyev Calls for Turkish Intervention in Karabakh ANKARA (Combined Sources)--In a widely applauded speech delivered to Turkey's Parliament on Thursday, Azeri President Ilham Aliyev called for increased Turkish intervention in the region, describing a “Turkish-Azerbaijani union” as the solution to  “problems” in the Caucasus--the Nagorno-Karabakh conflict in particular.

"The greatest problem to peace and security in the region, is the occupation of Nagorno-Karabakh by Armenia," Aliyev was quoted as saying by Anatolian Agency.

Peace in the Caucasus will be established with Turkey's initiative and the "good will of regional countries," Aliyev told a parliament full of applauding deputies. “A Turkish-Azerbaijani union is an important factor in the region”

"What is taking place in the Caucasus is of interest to all of us. Turkey conducts very active policy in regard to the problems in the Caucasus. Turkey will intervene more seriously to the regional problems in the future. Such intervention will have positive results. We applaud such initiatives," Aliyev said.

Aliyev said his country is hopeful that all 'Azerbaijani territory' would unite and be free of any 'occupation'.

Describing his country's relations with Turkey as being founded on “historic bonds” of “friendship and brotherhood”, Aliyev said relations and political dialogue between the two countries will continue to take place at the highest level possible.

Azerbaijan's newly elected president arrived in the Turkish capital Wednesday only days after meeting in Moscow with Armenian President Serzh Sarkisian and Russian President Dmitry Medvedev. Following the talks,

the three presidents signed a declaration pledging to step up efforts at finding a political solution to the Nagorno-Karabakh conflict.

Meeting with Turkish President Abdullah Gul on Wednesday, Aliyev thanked Turkey for its efforts in the Caucasus, which Ankara wants to crown with a regional cooperation pact, involving also Georgia and Russia. He also voiced hope that the talks with Armenia would result in a settlement of the Nagorno-Karabakh conflict "through gradual steps."

In a joint press conference after their talks on Wednesday Gul proclaimed that a new era for the resolution of the Nagorno-Karabakh conflict has begun.

“We have courageously started dealing with problems of the Caucasus. Caucasian leaders are displaying the will for resolving these problems on various platforms,” Gul said, while also referring to Turkey's proposal for a regional platform to discuss and resolve conflicts in the troubled Caucasus after a brief war between Russia and Georgia.

With the planned Caucasus Stability and Cooperation Platform, Ankara ostensibly aims to bring Turkey, Armenia, Russia, Azerbaijan and Georgia together around the same table. Analysts close to the region, however, see the platform as an attempt by Turkey to drastically increase its influence in the region and sideline the OSCE Minsk Group in the Karabakh negotiations process.

“Caucasus countries, especially Azerbaijan, are lending support to this [proposal]. We believe that an environment to be created with dialogue and mutual understanding will lead to the resolution of problems in the Caucasus. I can state that a new era concerning the resolution of the Nagorno-Karabakh conflict has begun,” Gul said.

Aliyev said he backed Turkey's proposal for the regional platform while underlining that he applauded Turkey's efforts to bring peace and stability to the region.

According to diplomatic sources in Turkey, Aliyev Wednesday signaled his support for a proposal made by Gul earlier this week to host a second round of trilateral talks with the presidents of Armenia and Azerbaijan.

Gul had already voiced support for the Moscow talks and expressed hope that it will be followed by other steps, while a separate Turkish Foreign Ministry, separately, welcomed the declaration and said that a network of relations based on cooperation and mutual trust within the framework of Turkey's proposal for a regional platform could build confidence between Armenia and Azerbaijan.

The statement also said Turkey, a member of OSCE Minsk Group, will continue to work with Armenia and Azerbaijan for resolution to the Karabakh conflict, which “poses a grave threat to security and stability of the region.”

According to sources, the Turkish side will convey its proposal for a trilateral

summit to the Armenian side. The exact date and venue of the meeting will be decided later; however, %u030stanbul has been mentioned as the probable venue.

"The summit may take place in a few months," a Turkish official, speaking on condition of anonymity, told Today's Zaman.

Turkey's proposal to host a new summit comes after months of intense diplomatic activity aimed at bolstering the prospects of establishing a joint commission with Armenia to examine the history behind the Armenian genocide. The initiative, largely a public relations ploy, is aimed at convincing Washington that its recognition of the Genocide will torpedo 'budding' relations between Turkey and Armenia.

Azerbaijani Foreign Minister Elmar Mammadyarov told Today's Zaman that the decision concerning the meeting's venue and date was up to Turkey, adding that agenda of the trilateral summit didn't necessarily have to be limited to the Nagorno-Karabakh conflict.

Thursday, November 6, 2008

http://www.asbarez.com/index.html?showarticle=36907_11/6/2008_1#AMC=Open&ASBSC=Closed

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AGENDA TV, RADIO & CINEMA

AGENDA TV, RADIO & CINEMA

Agenda Media :

Novembre 2008

Ven 7/11

Darfour, le diable arrive à cheval 02h30-04h09 Planète

Les colombes du Rwanda 03h45-04h00 France 2

Jeu 13/11

Darfour, le diable arrive à cheval 03h00-04h25 Planète

RASSEMBLEMENTS – EXPOSITIONS – CONCERTS - SPECTACLES

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Chers amis et sympathisants,Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme], fondé en 2004, oeuvre pour dénoncer le négationnisme de l’Etat turc exporté en Europe et particulièrement en France. Ce danger, qui menace l’idéal démocratique et les valeurs républicaines de la France, se fait très présent à l’heure où la question de la possible adhésion de la Turquie dans l’Union européenne, se pose avec de plus en plus d’insistance.

Le Collectif VAN étend son action à la lutte contre tous les génocides et tous les négationnismes. A ce titre, il est membre du Conseil d’Administration du Collectif Urgence Darfour rassemblant des associations telles que SOS Racisme, la Licra, etc.

Le Collectif VAN organise son action suivant deux pôles, le Pôle Vigilance Média et le Pôle Evènementiel.Le premier prend en charge la préparation d’une revue de presse [Veille-Média] quotidienne etinternationale, concernant les news traitant du génocide arménien, de son négationnisme, des autresgénocides et de leur négation, des droits de l’homme, de Chypre, de l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne, de la situation géopolitique dans le

Caucase, etc. Cette revue de presse est disponible sur notre site www.collectifvan.org référencé dans les Actualités Google : ce site connait des pics de 8000 visites uniques par jour. La Veille-Média est envoyée gratuitement 5j/semaine sous forme de document électronique, à des milliers de destinataires en France et dans le monde.

L’association travaille aussi sur :• La signalisation de tout fait négationniste (TV, radio, presse écrite, internet, édition, etc.).• La mise en place d’un « Observatoire du négationnisme » en France.• Une réflexion autour d’actions et d’outils pédagogiques destinés à alerter les élèves, étudiants,enseignants, journalistes, etc. sur les pièges du négationnisme.

Le Pôle Evènementiel a organisé plus de 40 actions*, certaines très médiatisées. Il s’agit surtout d’actions de sensibilisation sur le terrain : happenings culturels, évènementiels, débats-conférences, manifestations, etc. En avril 2005, 2006, 2007, 2008, le Collectif VAN a mené 4 années de suite, des actions d’envergure – avec la participation d’artistes - sur le Parvis de Notre-Dame de Paris. Il a initié et réalisé les opérations de communication de plusieurs mairies en France sur le modèle de celle qu’il a créée pour la Mairie de Paris en 2005 : « Génocide arménien, Paris se souvient ».

En 2006 et 2007, le Collectif VAN a communiqué en pleine page dans un quotidien de la presse nationale et a fait tourner dans Paris et la proche banlieue une « caraVAN » de 4 camions, avec un visuel et son slogan « Le négationnisme est un crime. Pour le punir il faut une loi », afin d’attirer l’attention des médias et de l’opinion publique sur la nécessité d’une loi pénalisant le négationnisme.Ces actions ont pu être réalisées grâce à la confiance que nous accordent nos membres et sympathisants. Le travail mené par le Collectif VAN nécessite des moyens conséquents. Notre financement, hormis une subvention reçue de la Ville d’Issy-les-Moulineaux en 2007, repose sur vous.

Si vous estimez notre travail nécessaire, merci de nous encourager à le continuer : 2009 verra le lancement de l’Année de la Turquie en France, de juillet 2009 à mars 2010, avec ce que cela suppose de propagande mensongère à dénoncer et à contrecarrer. Les contribuables ont jusqu’au 31/12/08 pour faire des dons déductibles de leur déclaration 2008 (chèques à envoyer à l’adresse en bas-de-page).En espérant vous compter au nombre de nos donateurs, je vous remercie au nom du Collectif VAN,

Séta Papazian, Présidente

Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme]BP 20083, 92133 Issy-les-Moulineaux - FranceBoite vocale : 0 870 72 33 46 - Email: [email protected]://www.collectifvan.org

Agenda - Foi et traditions des chrétiens orientaux Dimanche 9 novembre 2008 à 9h30 sur France2 Emission "Foi et traditions des chrétiens orientaux" :

80ème anniversaire de l'Eglise évangélique arménienne d'Issy-les-Moulineaux.

C'est par une joyeuse fête populaire à la Mairie puis, le lendemain, par un culte d'Actions de Grâces et un déjeuner amical que les Evangéliques arméniens ont célébré, à Issy-les-Moulineaux, le 80e anniversaire de leur Eglise. (Source : france2.fr)

http://programmes.france2.fr/les-chemins-de-la-foi/index.php?page=article&numsite=42&id_article=45&id_rubrique=43

Agenda - La Croix Bleue fête son 80ème anniversaire avec Navasart

LA CROIX BLEUE DES ARMENIENS DE FRANCE fête son 80ème anniversaire avec

L'Ensemble Arménien NAVASART

Samedi 22 novembre 2008 à 20 Heures 30 au Palais des Congrès Parc Chanot de Marseille 8ème

PAF 40 euros Réservations 06 09 86 06 57 / 06 84 60 94 95

Agenda - Gala souvenir: 20 après le tremblement de terre en Arménie 20 après... le tremblement de terre en Arménie

Gala souvenir

Mélodies arméniennes

Hermineh Yerissians - soprano Hélène Cospen - mezzo soprano Mourad Amirkhanian - Barrot - Baryton-basse

Orchestre de Musique de chambre

Eurydis

Dominique Sourisse Direction

Oeuvres de Khatchatourian, Spendarian, Abrahamian, Yekmalian, Ganatchian, Tcherbachian

Poésie arménienne Artaches Voskanian

Les Chanteurs d'Eole Chant Chorale Arménien - Ensemble vocale français Hermineh Yerissians Direction artistique

Dimanche 23 novembre 2008 à 18h45 Cathédrale Sainte Croix des Arméniens 13, rue du Perche 75003 Paris M Filles du Cavalaire

Organisé par l'association Fa.Sol.La Participation aux frais: le soir du concert 18 euros, pré-vente 15euros, tarif réduit 12 euros Renseignements et réservations: 06 03 02 94 72 ou E-mail: [email protected]

Agenda - Editions Scriptoria: Objets du patrimoine

Les Editions Scriptoria éditent depuis 10 ans des reproductions et des créations d'art ( objet, carteries, affiches, bijoux ...).

Une part importante de nos éditions sont issues du patrimoine religieux, c'est donc naturellement que le patrimoine arménien vient de faire son apparition dans nos collections.

Figure donc dans notre collection une carte reprenant une photographie de Paul Gauthier, un élément de la statuaire extraordinaire de la cathédrale d'Echmiadzine.

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EDITIONS SCRIPTORIA B.P 2 69380 CHASSELAY

Tél : 04.72.54.89.25 Fax : 04.78.47.67.99 Mob : 06.10.94.37.83

Dimanche 9 novembre 2008, de 9 h 30 à 10 heures, Emission TV sur France2

Les 80 ans de l'église évangélique arménienne de Paris - Issy-les-Moulineaux" Émission TV diffusée sur France 2 le dimanche 9 novembre 2008 de 9h30 à 10h00 Contact : Emmanuel Léonian. tél : 06 89 68 43 44 / Internet : http://www.eeaissy.

Agenda - Conférence au Parlement Européen: Dersim 1

Appel à une conférence au Parlement Européen

Dersim 1937-1938: 70 Ans Après

A l'occasion du 70e anniversaire des massacres de Dersim, l'Association pour la reconstruction de Dersim organise une conférence internationale le 13 novembre 2008 à 15h au Parlement européen à Bruxelles: Dersim 1937-1938: 70 Ans Après. Sous la présidence de Mme Feleknas Uca, membre du Parlement européen (GUE/NGL), la conférence sera tenue avec la participation de:

* Ayse Hür, Historienne et écrivaine, Istanbul * Prof. Dr. Ronald Münch, Université de Brème * Hilda Tchobaian, Présidente de la Fédération arménienne en Europe pour la justice et la démocratie * Haydar Isik, Ecrivain et président de l'Association pour la reconstruction de Dersim * Hans Branscheidt, EU Turkey Civic Commission * Serafettin Halis, député DTP de Dersim (Tunceli) au Parlement turc * Aysel Tugluk, députée DTP de Diyarbakir au Parlement turc * Songül Erol Abdil, Bourgmestre de Dersim (Tunceli)

Pour participation à la conférence, la demande d'inscription doit être envoyée à l'adresse e-mail suivante avec la mention de nom, adresse, e-mail et numéro de téléphone:

M. Ahmet Dere

Ci-après la déclaration en anglais de l'Association pour la reconstruction de Dersim:

We will not forget or let forget the Dersim Genocide

It's the 70th anniversary of the Dersim Genocide. Although 70 years have passed since the genocide by the Turkish Government in Dersim in 1937-38, this massacre has never been forgotten nor will it be forgotten, as the culprits have not been brought out into light.

Dersim massacre started with the Turkish Republic regime presenting Dersim as a target by stating, "Dersim is a 'Pandora's Box'".

First by means that aren't very common the name of Dersim was changed to 'Tunceli in 1935.

In order to carry out this massacre, the Council of Ministers came together in Ankara on 4 May 1937 and formed 'Tunceli Questioning Operation' Council of Ministers and signed the half a page document classed as "Top Secret" which was the order for the Dersim massacre.

According to the official figures 12 thousand people were massacred in the Dersim Genocide. According to the people of Dersim 70 thousand people

were massacred. After this atrocious act thousand of people were banished from their homeland.

On 16 November 1937, Seyit Riza who was one of the Kurdish leaders and seven of his comrades were hanged in Elazýð. Despite all attempts by the families, the gravesites of Seyit Riza and his comrades still haven't been disclosed.

Dersim Genocide is not the only genocide the Republican Turkey has committed towards Kurds and Alevis. During the reign of the Ottoman emperor Ahmet I. between 9 December 1606 and 5 August 1611, the "fire wells" of 'Murat Pasha the Well digger' who had murdered almost 100 thousand Kurdish Kizilbash Alevis, are still remembered by many. The problem Yavuz Sultan Selim couldn't solve in 1514 by murdering 40 thousand people by sword was attempted to be solved during 1935-1938 in Dersim once again by a massacre.

The 1938 tragedy has not only left behind the dead, the wounded and banishments, it has left behind a depopulated region whose name and all presence has been banned. The Dersim Kurds has faced a planned, systematic genocide and an extremely cruel assimilation process because of their; identity, language, culture and religious beliefs.

The "one language and one nation" policy of the Republic of Turkey that continues in today's society as been the source of serious massacres first in Kocgiri, then at Seyh Said Revolt, at Zilan and at Dersim.

During the Dersim Genocide the Turkish government has massacred thousands of people, those who survived were banished, Dersim was depopulated. The cause of these merciless acts was being Kurdish, Alevi and Kizilbash. Although 70 years have passed, Turkey is not willing to acknowledge this Genocide like many other Kurdish Genocides. Those responsible for the deaths of thousands of people have never been tried nor have they been brought out into light. The broken families could never discover their past. Thousands of people still haven't received news from their families and close friends. The whereabouts of the Kurdish children taken by the Turkish Government at the time are unknown. Many other world counties who have had a similar experiences and committed genocide against its people have acknowledged the injustice and sorrow they have caused and have apologized. However Turkey is continuing to resist and use "it does not exist" strategy with the Kurdish Genocide just as they have with the Armenian Genocide.

Latin America called it "Making Peace"; the Japan called it "Leaving the past behind"; Italy had the "Cleaning Operation"; Austria took up "Nazi Cooperation"; Switzerland faced the "Nazi Accounts" and the "Nazi Gold". Australia said "Sorry" to the Aborigines. Canada did the same for the Quebecois. South Africa put an end do the racist regime of Apartheid. This and similar examples prove that it is only possible to cleanse ourselves from the outworn traces and influences of the past by abandoning 'denial' and 'destroying strategies'. As evident by these examples, the road to living together in peace goes through a democratic mentality transformation.

However, Turkey has not abandoned its desire for massacre, which it uses as a government policy. Kurdish regions are still being bombed, villages are being emptied, people being murdered because of their identity and culture. To remind the world public of Dersim Genocide in its 70th year, we are organising the "Dersim '38 Conference" at the European Parliament on 13 November 2008. We will be there to face our history, to show that we have not forgotten nor will forget our ancestors and mothers who had been massacred.

We convey that the solution for our difference is not to kill or to die, as it was the case in the Dersim Genocide and various other Kurdish Revolts, but to be seen as cultural richness. The solution for the Kurdish problem can be achieved not by denial or annihilation but by a peaceful approach. However, having a safe and secure future can be achieved if the government can face its past. Otherwise this pain and trauma will not end and it will not contribute to the solution to this problem.

Armenians, Greeks, Kurds, Jews, Alevis-Kizilbashes, Syrians, Assyrians, all citizens of Turkey and those who were classed as "the other" are the real owners of this move for Turkey to accept its past.

It is for this reason the Association for Reconstruction of Dersim is organising a conference regarding the Dersim '38 Genocide at the EU Parliament in Brussels with the Left Party acting as the host.

We invite all EU counties, UN, civil public organisations and Kurdish people to show sympathy to this conference that will take place on 13 November 2008, 3 pm..

Dersim-Gesellschaft für Wiederaufbau e.V. (Gemeinnützig) Holweider Str.40, 51065 Köln Tel.: 00-49-2216160611 www.dersim-wiederaufbau.de Für Ihre Spenden: Postbank Dortmund Kontonummer: 687 152 466; Bankleitzahl: 440 100 46

http://fr.groups.yahoo.com/group/suffrage-universel/message/4024

Agenda - 29 et 30 novembre: Concerts d'artistes arméniens

Samedi 29 novembre 2008 à 20 heures, et Dimanche 30 novembre 2008 à 18 heures, concerts d'artistes arméniens Samedi 29 novembre 2008 à 20 h 30,

Haïk Melykian, piano : Musique contemporaine, atonale, postromantique, graphique, improvisée : programme éclectique et monumental. Petrouchka, d'Igor Stravinsky. Un voyage en rupture, en délicatesse et en découverte.

Dimanche 30 novembre 2008 à 18 heures

Paule-Emmanuelle Gabarra, piano et Haïk Davtian, violon : Un duo d'exception. Chausson, St-Saëns, Massenet Prokofiev, Chostakovitch... Un subtil mélange de passion, de talents et d'émotions.

Lieu : Quai des Voix, 107, rue Molièrens - 94200 Ivry-sur-Seine Tél./Fax. +33 (0)1.46.70.29.25 Mob. +33 (0)6.81.37.82.12 www.quaidesvoix.org

Y aller RER C Arrêt Ivry sur Seine, sortie Ivry Port. Bus 325 Au départ de Bibliothèque Nationale de France. Arrêt Jules Vanzuppe (2 min à pied). Métro 7 Arrêt Pierre et Marie Curie / Mairie d'Ivry. Voiture Périphérique sortie Quai d'Ivry. Batobus Avec un Ticket Métro Bus, 2 minutes à pied.

Agenda - 13 décembre: Festival National du Livre ArménienLe Festival National du Livre Arménien 2008 se déroulera dans les salons de l'Hôtel Sofitel Vieux Port de Marseille le Samedi 13 Décembre 2008.

En partenariat avec l'ACAM, ce festival organisé par l' association TERRE D'ARMENIE et RICHARD FINDYKIAN CONSULTANT qui réunira les auteurs d'ouvrages ayant un lien avec l'Arménie, décernera pour la seconde fois en France le Prix Charles Aznavour. A cette occasion, S.E. Henri Cuny, ex-am-bassadeur de France en Arménie, présentera son dernier essai « L'âme d'un peuple ». Madame Edmonde Charles-Roux, Présidente de l'Académie Gon-court et Présidente d'Honneur du festival, Monsieur Franz-Olivier Giesbert, Directeur de la rédaction de l'hebdomadaire LE POINT et Président du Jury 2008, réuniront les membres du jury autour d'un déjeuner dans le salon As-trolabe du Restaurant « Les Trois Forts ».

Le Festival National du Livre Arménien 2008 sera placé sous le signe du jour-nalisme et rendra un hommage solennel à la mémoire de Hrant Dink. Comme le soulignait Christian Makarian, directeur adjoint de L' EXPRESS et Président du premier Festival National du Livre Arménien lors de la clôture de la cérémonie en 2006 : " Il faut pérenniser ce festival du livre afin de conserver longtemps encore, les traces de notre mémoire... "

Quatre trophées Toros récompenseront des oeuvres de la littérature franco-arménienne : PrixArmenia pour le meilleur essai ; Prix Henri Verneuil pour le meilleur roman. Pour la première fois en France, et, à l'initiative de l'ACAM un Toros spécial Editeur sera décerné, ainsi que le Prix Mesrob Machtots

pour le meilleur ouvrage écrit et édité en 2007-2008 en arménien occidental par un auteur résidant en France. Pour ce dernier prix, l'ACAM a la charge de sélectionner les ouvrages et de les adresser aux membres du jury, dont elle fait partie, pour lecture et appréciation.

Voir la présentation du Festival et les archives du Festival 2006 :

http://www.acam-france.org/bibliographie/fnla/index.htm

Voir la sélection de l'ACAM pour le prix Toros spécial Editeur :

http://www.acam-france.org/bibliographie/fnla/2008-acam-selection.pdf

Christine Gardon dédicacera le roman "Le Vanetsi. Une enfance armé-nienne", la trilogie de son grand-père Victor Gardon (Stock - 2008)

Séta Papazian dédicacera à partir de 14H, le conte pour enfants qu'elle a illustré "La Reine Anahide" (Editions Le Bonhomme Vert - 2007).

Agenda - Fonds Arménien de France : Bénévoles Phonéton 2008

Fonds Arménien de France : DEVENEZ BENEVOLE POUR LE PHONÉTHON 2008 du 13 au 16 novembre. Chaque année, à la mi-novembre, durant la période du Phonéthon, plus de 600 bénévoles prennent part à cette action. Vous aussi participez ! Aidez-nous lors du phonéthon et devenez bénévole pour le Fonds Arménien de France.

Devenir Bénévoles

Chaque année, à la mi-novembre, durant la période du Phonéthon, plus de 600 bénévoles prennent part à cette action.

Vous aussi participez ! Aidez nous lors du phonéthon et devenez bénévole pour le Fonds Arménien de France.

Le rôle du bénévole

Chaque année, durant 4 jours, le fonds Arménien de France contacte par téléphone plus de 50.000 personnes et entreprises. Pour nous aider à relever ce défi, des bénévoles se relaient dans nos centres d'appels à Paris, Lyon, Marseille, Toulouse et Nice. Après une formation, à l'aide d'un argumentaire détaillé et sous la direction d'un chef de plateau, ils contactent par téléphone les personnes présentes sur nos listes afin de les inviter à faire un don. (Cette action permet aux plus jeunes de se familiariser avec les techniques du télémarketing et ainsi acquérir une expérience dans ce domaine. Cette expérience est validée par une attestation de présence envoyée à chaque bénévole qui en fait la demande).

Enfin, au terme du Phonéthon, chaque bénévole se voit remettre un souvenir de son passage afin de le remercier pour son temps et ses efforts.

Inscrivez-vous sur

http://www.fondsarmenien.net/Index.aspx

Agenda - Conference in the European Parliament "Armenian Heritage in Turkey"On November 13 from 9.30am to 1.00pm AGBU Europe will host a conference in the European Parliament entitled «A Journey of Cultural Rediscovery: Armenian Heritage in Turkey ».

The conference, which is part of the official European Year for Intercultural Dialogue, will review the recent public debate in Turkey on the country's forgotten Armenian Heritage in the light of recent groundbreaking artistic and intellectual contributions on the subject and will examine the significance of Armenian cultural heritage in Turkey from a European perspective.

Speakers at the conference will include Fethiye Cetin, author of the book "My Grandmother", Osman Köker, creator of the groundbreaking exhibition "My Dear Brother", art historian Professor Patrick Donabedian as well as historians Vahe Tachjian and Ara Sarafian.

The conference will be opened by Michael Leigh, Director General at the European Commission in charge of enlargement. The conference will conclude with a panel debate. A reception will follow the conference.

This events is organized under the Aegis of Bernard Lehideux MEP, with the support of the Heinrich Böll Foundation's Brussels office.

The conference is open to all but prior registration is indispensable to access the European Parliament's building.

Registration deadline: 4 November 2008.

The conference brochure and registration form can be downloaded at: www.agbueurope.org <http://www.agbueurope.org/>

(Direct access: http://en.ugab.fr/2008/10/02/conference-brussels/

For registration and further information, please contact AGBU at: Tel +331 45 20 03 18. Email: [email protected]

Conference location: European Parliament, Room ASP 3G3 Rue Wiertz/Wiertzstraat 60

B-1047 Brussels

AGBU Europe

Agenda - Concert de David Fray au théâtre des Champs-Élysées

Le Gala du Mémorial de la Shoah CONCERT DE DAVID FRAY, PIANO au théâtre des Champs-Élysées

Lundi 17 novembre 2008, 20h

Chaque année, le Mémorial organise au théâtre des Champs-Élysées un concert permettant de récolter une partie des fonds nécessaires au fonction-nement de l'institution.

Programme :

JEAN-SÉBASTIEN BACH

* Prélude et fugue n°24 en si mineur BWV.869 (extrait du 1er Livre du Cla-vier bien tempéré)

WOLFGANG AMADEUS MOZART

* Adagio en si mineur K.540

FRANZ SCHUBERT

* 4 Impromptus opus 90 D.899 * Allegro molto moderato en ut mineur * Allegro en mi bémol majeur * Andante en sol bémol majeur * Allegretto en la bémol majeur

ENTRACTE

FRANZ SCHUBERT/FRANZ LISZT

* Der Doppelgänger (transcription du Lied extrait du cycle « Schwanenge-sang » D.957)

FRANZ LISZT

* Sonate en si mineur : Lento assai – Allegro energico – Andante sostenuto – Allegro energico – Andante sostenuto – Lento assai

Concert enregistré par France Musique

Lieu : Théâtre des Champs-Élysées Tarifs des places : 260€, 160€, 110€, 60€ Renseignements et réservation tél. 01 53 01 17 15 [email protected]

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David Fray

Rares sont les gloires naissantes qui parviennent à faire autant l’unanimité que David Fray. Deux prix du Concours international de Montréal, le titre de « Jeune soliste de l’année » décerné par la Commission des Radios Publiques Francophones qui lui vaut de devenir aussitôt le protégé de France Musique, le Prix Déclic de l’AFAA, une Révélation classique de l’ADAMI et une nomina-tion comme Révélation de l’année aux Victoires de la Musique 2008 ne vous suffisent pas ?

Nouvelle coqueluche des grandes institutions musicales, ce talent tout neuf l’est aussi des personnalités artistiques dont le suffrage compte dans le mi-lieu : Pierre Boulez, qui le parraine au Festival de la Ruhr où il s’est vu grati-fier du Prix Jeunes talents avant d’y faire sa première apparition à l’été 2006 dans un programme Bach, Beethoven… Boulez ; Jacques Rouvier qui, très tôt, l’avait pris sous son aile, avant même de l’avoir comme élève au CNSM de Paris, où il allait le guider sans anicroche jusqu’au cycle de perfectionne-ment – Christian Ivaldi et Claire Désert veillant à leur tour sur lui en forma-tion supérieure de musique de chambre.

Paul Badura-Skoda, Dimitri Bashkirov, Menahem Pressler et Christoph Es-chenbach se chargeront enfin d’apporter la touche finale à une éducation musicale plus que parfaite. Depuis quatre ans, c’est bien simple, David Fray semble partout – et tout semble lui sourire. De premières tournées interna-tionales au Japon, en Amérique du Nord, en Amérique Latine ou en Europe (l’Italie avec Riccardo Muti, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles) en premiers grands concerts parisiens (à la Cité de la Musique, à l’Auditorium du Louvre, Salle Pleyel avec l’Orchestre de Paris, au Théâtre des Champs-Elysées avec l’Orchestre National de France, au Châ-telet où il a triomphalement remplacé Hélène Grimaud au pied levé en juin 2006), en passant par de belles haltes estivales (Saint-Riquier, Vaison-la-Ro-maine, La Roque d’Anthéron) et une participation à un DVD de la série « Le piano de demain » à La Roque d’Anthéron, ce pianiste de vingt-sept ans s’est déjà taillé, à la seule grâce de ses dix doigts et d’une tête bien faite, une place enviable dans le grand circuit musical.

A venir, une tournée aux Etats-Unis avec Kurt Masur et l’Orchestre National de France, le Musikverein de Vienne et le Wigmore Hall de Londres… Ne manquait plus à cette belle ascension qu’un contrat tout frais signé avec un grand major, dont l’audacieux premier fruit – un récital Bach-Boulez – a déjà fait couler beaucoup d’encre. « Voilà un pianiste qui a des choses à dire et qui a les doigts pour le dire. » (Le Monde de la Musique). Voilà un éloge qui en dit long et qui donne envie d’en entendre davantage…

http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAction.do?type=1&itemId=913

Agenda - Christianisation de l'Arménie - Volume II

Souscription : parution prochaine aux Editions Sources d'Arménie :

Christianisation de l'Arménie - Volume II : L'œuvre de Saint Grégoire l'Illuminateur

Ce volume traitera de la vie et de l'action de saint Grégoire l'Illuminateur, l'apôtre de l'Arménie et paraîtra en 2008. Il réunira les sources sur le règne du roi d'Arménie Tiridate III le Grand et le pontificat de saint Grégoire l'Illuminateur. Sur la base de ses textes, une analyse nouvelle du règne de Tiridate III le Grand sera proposé. Mais surtout c'est l'œuvre de saint Grégoire l'Illuminateur qui constituera le cœur du volume. La date de la conversion de Tiridate sera longuement abordée. Mais aussi les liens de l'Église arménienne avec la Grande Église et la mise en place d'une structure ecclésiale en Arménie seront analysés.

[email protected]

Par Courrier : Sources d'Arménie BP 2566 69217 Lyon cedex 02

Volume II sur l'Histoire du Christianisme Arménien : L’œuvre de saint Grégoire l’Illuminateur http://sourcesdarmenie.com/joomla/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=1

Pour acheter le livrehttp://sourcesdarmenie.com/joomla/index.php?option=com_content&task=view&id=20&Itemid=33

Agenda - Mémoire du génocide arménien : «The River Ran Red»Projection de « The River Ran Red » au Gala d'ouverture du Festival de Film International ARPA à Hollywood :

Le 70ème documentaire de Michel Hagopian, 95 ans, sera présenté en première au Théâtre Egyptien à Hollywood, le Vendredi 24 octobre 2008 à 19:30

Egyptian Theatre 6712 Hollywood Blvd. Hollywood, Californie USA

Plus d'information sur http://www.armenianfilm.org

Agenda - Opération "Houys" [Espoir] pour les enfants d'ArménieMise en place depuis le début de l'année 2008, l'opération « Houys » a per-mis de réaliser cet été plus de 17 000 € de travaux au niveau des sanitaires, cuisine et chambres de l'orphelinat Houys à Gumri.

Une seconde phase avec le soutien de nombreux artistes peintres, sculp-teurs, dessinateurs et photographes a été mise en place.

Vous aussi, participez à cette seconde opération en achetant un Bon de Soutien à 10 €.

Lors de la soirée de clôture du samedi 31 janvier 2009 au Yan's un tirage au sort des numéros de Bon de Soutien permettra de gagner de nombreuses œuvres offertes par ces artistes participants.

Ces Bons de Soutien sont imprimés sur des cartes représentant des œuvres de Jansem.

Commandez dès maintenant ces Bons en téléphonant au 06 19 99 28 37

Consulter le site Internet : http://www.houys.fr/

et le blog : http://blog.houys.eu

Télécharger le pdf et le word document:

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=22316

Agenda -Présentation de “ Le voyage des ombres“La présentation d'un livre destiné à faciliter une meilleure transmis-sion de notre mémoire collective dans les écoles.

“ Le voyage des ombres“ aux éditions du Cygne

C’est au travers d’une chronique poétique des événements les plus doulou-reux du vingtième siècle que l’auteur nous invite à revisiter la planète.

Sa prose concise impose à chaque mot le poids de l’histoire. La parole s’ex-clame : « Cric crac ! » conte la tradition haïtienne. « Me voilà ! » engage la foi. Elle évoque la légende malgache d’un « oiseau cendreux » qui « feint les pleurs du bébé » et « miaule les chiens » ; à « petits pas », elle enterre la chair, expire « les cris de la terre », torture, « tord tue », crie « les silences de la nuit », devient muette « paroles d’yeux ». Elle rappelle les sacrifices

mayas des « épouses aux langues hérissées », interroge la raison africaine : « Qui est le maître de la mort ? »

Son écriture métaphorique n’est présente que pour mieux « penser » une plaie encore béante dans notre mémoire collective. Par ce voyage mémoriel dans l’antre des barbaries humaines, l’auteur rend un vibrant hommage aux innombrables disparus.

Le voyage des ombres de Anick ROSCHI http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-voyage-des-ombres.html

ISBN : 978-2-84924-063-2

13 x 20 cm

62 pages

12,00 €

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Pays visités dans le livre :

Namibie, Arménie, France, Haïti, Pologne, Algérie, Japon, Madagascar, Corée du Nord, Chine, Cameroun, Mozambique, Angola, Nigeria, Israël, Vietnam, Chili, Afrique du Sud, Cambodge, Argentine, Guatemala, Iran, Salvador, Li-ban, Timor, Oriental Irak, Inde, Érythrée, Bosnie-Herzégovine, Rwanda, Sri Lanka, Sierra, Léone, Russie.

Dans la presse pédagogique :

Le voyage des ombres http://www.afef.org/blog/index.php?2008/02/11/228-le-voyage-des-ombres

Extrait du livre :

Boucles

Les boucles du jour

Tombées à vos pieds

Caressent les nuits

De nos mémoires brûlées.

Auschwitz, 3 Septembre 1941, Pologne © 2007 Anick Roschi

http://www.culturactif.ch/ecrivains/roschi.htm

Agenda- Commémoration du 20° anniversaire du trem-blement de terre d'Arménie L'esnemble Ochagan nous envoie ce message:

Madame, Monsieur,

Un événement " la commémoration du 20° anniversaire du tremblement de terre d'Arménie" qui eut lieu le 7 décembre 1988, vous offre une double op-portunité: un concert humanitaire en faveur d'une population toujours dans la détresse.

En reversant à une ONG de votre choix en Arménie le montant de la recette un concert de solidarité envers les artistes d'Arménie "chants de noël d'Ar-ménie" message d'espoir et moment d'émerveillement musical proposé par l'Ensemble Ochagan.

L'Ensemble Ochagan fût l'invité de Radio France à Paris pour l'ouverture de l'Année de l'Arménie en septembre 2006 et du Festival de Toulon à la Collé-giale de Six-Fours en juillet 2007 et du Festival de musique sacrée de Mona-co.

A votre service, pour ce projet doublement généreux envers la culture armé-nienne, ses compositeurs et artistes d'une part et une population toujours démunie et dans la détresse en Arménie. Les conditions financières pour un concert sont de: 10 000 euros plus le logement pour 13 personnes. Nous pre-nons à notre charge les voyages internationaux et nationaux pour 13 per-sonnes, les salaires et charges, assurances et visas, etc...

http://musicarmenie.free.fr/

http://www.radiofrance.fr/francemusique/bio/fiche.php?numero=215180659

http://www.armenie-mon-amie.com/Tradition-et-modernite-de-la.html

http://www.radiofrance.fr/chaines/orchestres/journal/concert/index.php?conc=175000036

A votre entière disposition pour un dossier complet, et un examen détaillé du projet. Très cordialement. MusicArmenie Roger Piranian 15 rue Isoard 13001 Marseille - France Mobile : +33 (0)6 85 90 24 09 Mail : [email protected] http://www.piranian.com

Agenda - La rentrée de la Maison de la Culture Armé-nienne de DécinesC'est la rentrée !

La Maison de la Culture Arménienne de Décines vous accueille du mardi au samedi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h.

Nous vous proposons de nombreuses activités pour la saison 2008-2009 :

-Ecole Arménienne du mercredi, à partir de 5 ans, en partenariat avec la CBAF de Décines

-Cours d'arménien : adultes, collégiens, lycéens (préparation au Bac) tous ni-veaux

-Cours de français

-Ecole de danse traditionnelle arménienne, de 5 à 20 ans

-Ecole de musique, enfants et adultes

-Ecole de musique traditionnelle arménienne, enfants et adultes, en partena-riat avec l'ensemble Spitak

-Atelier de cuisine arménienne

-Atelier de peinture, enfants et adultes

-Gymnastique

Inscriptions le samedi 6 septembre 2008 de 9h à 12h et de 14h à 17h, lors de la Journée Portes-Ouvertes.

Renseignements au 04.78.49.42.97

Agenda - Novembre 2008: rencontres littérairesJeudi 20 novembre 2008, 19 h Rencontre avec Aldo Zargani

Aldo Zargani, né dans une famille juive de Turin en 1933, relate, dans Pour violon seul, ses souvenirs d’enfance entre 1938 et 1945, et restitue tout un monde disparu. Il évoque les figures d’une famille. Certaines survécurent à la Shoah, d’autres ne revinrent pas. Ce magnifique récit littéraire est aussi un témoignage majeur sur l’antisémitisme et la participation de l’État italien à la déportation et l’extermination des Juifs d’Italie. En présence de Aldo Zargani, témoin et écrivain, Marie-Anne Matard- Bonuc-ci, et Olivier Favier, traducteur des ouvrages d’Aldo Zargani.

Aldo Zargani a publié en français Pour violon seul. Souvenirs d’enfance dans l’En-deçà. 1938-1945 (éd. de l’éclat, 2007) ainsi que L’Odeur du lac, recueil de trois courts récits inédits en italien (éd. Alidades, octobre 2008).

Mardi 25 novembre 2008, 19 h Rencontre littéraire avec Rosetta Loy

Figure majeure de la littérature italienne contemporaine, Rosetta Loy est née à Rome en 1931. Dans l’ensemble de son oeuvre, la vie intime de ses per-sonnages est tressée avec celle de l’Italie, la montée du fascisme, l’antisémi-tisme et la Seconde Guerre mondiale. Ses romans sont traduits dans de nombreuses langues et ont remporté les prix littéraires les plus prestigieux.

En présence de Rosetta Loy, écrivain. Animée par Antoine Spire, journaliste.

Elle a notamment publié : Un chocolat chez les Hanselmann, Madame Della Seta aussi est juive, La porte de l’eau, et À l’insu de la nuit.

http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAc-tion.do?itemId=883&type=1

Agenda - Qu'est-ce qu'un génocide ?

Rafaël Lemkin Editeur : Editions du Rocher

ISBN : 978-2-268-06398-0 320 pages - Parution : 01/2008

Présentation par l'éditeur Rafaël Lemkin (1900-1959), juriste polonais d'origine juive, a forgé le mot «génocide », qui apparaît pour la première fois dans son ouvrage Axis Rule in Occupied Europe, publié en 1944, un mot aujourd'hui entré dans le langage courant. Au terme d'une longue et minutieuse enquête sur les persécutions nazies au moment même où elles se déroulaient et à l'issue d'un extraordinaire par-cours personnel, Lemkin répondait indirectement à Winston Churchill qui avait parlé des « crimes sans nom » commis par les nazis.

Il poursuivait, par là, un combat engagé dès les années 1930 pour l'adoption d'une législation internationale permettant de poursuivre les criminels de guerre, les exterminateurs en masse, les coupables de génocide. La réflexion et les combats de Lemkin ont inspiré et suscité la Convention sur le génocide adoptée en 1948 - il y a soixante ans cette année - par les Nations unies au moment même où leur Assemblée proclamait la Déclaration universelle des droits de l'homme.

Justice doit être rendue à Rafaël Lemkin, trop méconnu en France. La publi-cation de ce livre, composé des neuf chapitres théoriques de Axis Rule in Oc-cupied Europe et du Crime de génocide (1946), est une incitation à pour-suivre sa réflexion à propos d'une question centrale de l'histoire du XXe siècle et des prolongements qu'elle connaît de nos jours.

Par l'ampleur des questions abordées, le livre de Lemkin pénètre le coeur de la politique nazie d'occupation durant la Seconde Guerre mondiale ; il fait lé-gitimement figure de précurseur auprès de certains historiens tant son ta-bleau des multiples formes du pouvoir nazi sur l'Europe est riche et com-plexe.

Préface de Jean-Louis Panné.

Lire dans nos Infos Collectif VAN:

Le nom du crime sans nomhttp://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=20224

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------------------------------------------------------------------------------------------N’oubliez pas qu’en tant que téléspectateurs vous pouvez témoigner de votre satisfaction (et de votre mécontentement lorsque c’est le cas) auprès des media qui traitent l’information.

Quelques adresses et tél.:

TF1 - 1, quai du point-du-jour 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 12 34 / 0803 809 810 — Fax : 01 41 41 28 40Internet : www.tf1.fr

France 2 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 98 74Internet : www.france2.frEmail : [email protected]

France 3 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 75 02Internet : www.france3.frEmail : [email protected]@france3.fr

Canal + - 85-89 quai André Citroën 75711 Paris cedex 15Tel : 01 44 25 10 00 Fax : 01 44 25 12 34Internet : www.cplus.fr

France 5 - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9Tel : 01 55 00 74 74 — Fax : 01 55 00 77 00Internet : http://www.france5.fr/Email : http://www.france5.fr/contact/Ecrivez à Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur :http://www.france5.fr/contact/W00069/2/71909.cfm

Arte - 2a rue de la Fonderie 67080 Strasbourg cedexTel : 03 88 14 22 55 — Fax : 03 88 14 22 00Internet : www.arte-tv.comEmail : [email protected]

M6 - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedexTel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10Internet : www.m6.fr

I-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 ParisTel : 01 53 91 50 00— Fax : 01 53 91 50 01Internet : www.itelevision.fr

LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50Internet : www.lci.frQuelques émissions radiosoù les auditeurs peuvent intervenir

Europe 1 www.europe1.frSemaine de 18h55 à 20h00Michel FieldChaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées

tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.Semaine de 10h30 à 12h00Jean-Marc MorandiniCoup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTL www.rtl.frSemaine de 13h00 à 14h00Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la paroleRendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.

France Inter www.radiofrance.frSemaine de 19h20 à 20h00Le téléphone sonneSi vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...- le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h- Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".- le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms)Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralitéLe répondeur « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : [email protected] et nous donnerons suite !

RMC www.rmcinfo.frBOURDIN & Co Le 1er show radio d'infoDu lundi au vendredi de 6h à 10h.Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected]

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Collectif VANVigilance Arménienne contre le Négationnisme

Boîte vocale : 08 70 72 33 [email protected]

Collectif VAN - BP 2008392133 Issy-les-Moulineaux Cedex

Les News en ligne chaque jour sur :www.collectifvan.org