5961 rapport essai mise en page 1 - carsat nord-est...malades et/ou handicapés, ainsi que les...

Rapport d’activité 2017du service social régional

protéger la santéAssurer la retraite,

3 044bénéficiaires

de sortie d’hospitalisation

26 453assurés sociaux

suivis par le servicesocial

8 334bénéficiaires d’unaccompagnementdu service social

en PDP

Chiffres-clés 4

Missions 5

Le service socialRÉGIONAL

L’activité en 2017 9

Zoom « Contribution au déploiement de la Plateforme d’Intervention Départementale pour l’Accès aux Soins et à la Santé (PFIDASS) » 10

Le service social des ARDENNES


Zoom « Inscription du Service social de l’Assurance maladie dans le parcours d’installation des nouveaux professionnels de santé : médecins et infirmier(ère)s. » 8

Le service social de l’AUBE

Le service social de la MARNE


Zoom « La Prévention de la Désinsertion Professionnelle : ou comment le « faireagir » prend toute sa place en s’appuyant sur un travail transversal et concerté » 12

Le service social de la HAUTE-MARNE


Zoom « Conjuguer handicap et emploi ! » 14

Le service social de la MEURTHE-ET-MOSELLE


Zoom « Parcours Seniors : Parcours coordonné - Parcours d’avenir » 16

Le service social de la MEUSE


Zoom « La sécurité sociale et les jeunes » 18

Le service social des VOSGES

Glossaire 21

Annuaire 22

Carte de la circonscription 23

Pèle-mèle 24

La Carsat en chiffres 25


Zoom « La Mosaïque des âges : Une rencontre intergénérationnelle dans les Vosges » 20

4

Service social RÉGIONAL

DANIÈLE COMPAIN Responsable Régionale du service social

“

« L’année 2017 s’est traduite par la poursuite d’un fortinvestissement des équipes auprès des assurés.

De par son expertise et sa spécialisation dans la priseen charge des difficultés liées à la santé,

le Service social de l’Assurance maladie est un acteurmajeur dans l’accompagnement attentionné

des publics fragilisés.2017 a vu également l’aboutissement des projets d’une

nouvelle implantation des équipes du service social au siège des Cpam de Troyes et Charleville ainsi que le regroupement de 2 sites

sur l’agglomération nancéienne.Une proximité physique qui devrait encore contribuer

au renforcement des collaborations. »

26 453assurés sociaux suivis par le servicesocial dont :

• 20 963individuellement aucours de 48 331 entretiens dont12,9% à domicile

• 5 490collectivement aucours de 629séances dans différents domaines

8 334bénéficiaires d’unaccompagnement du service social enPDP dont :

• 7 904en individuel

• 430en collectif

3 044bénéficiaires de sor-tie d’hospitalisationdont 673 de moinsde 60 ans

Enquête de satisfaction : Indice de satisfactionglobale : 95 %(pour un objectifCPG de 90 %)

“

MISSIONSACCOMPAGNER LES ASSURÉS FRAGILISÉS ET FACILITER L’ACCÈS AUX SOINSLe Service social de la Carsat Nord-Est contribue à la lutte contre l’exclusion so-ciale et au maintien de la cohésion sociale.Il informe les assurés en situation de précarité ou fragilisés par la maladie, le han-dicap ou l’accident et dont l’état de santé affecte leur vie quotidienne ou profes-sionnelle. Il les conseille et les accompagne dans leurs démarches. Il les aide àtrouver des solutions adaptées en matière de prévention et d’éducation à la santé.

AIDER LES ASSURÉS À PRÉVENIR LE RISQUE DE DÉSIN-SERTION PROFESSIONNELLELe Service social informe les personnes en arrêt de travail encore titulaires d’uncontrat de travail, confrontées à des difficultés de maintien dans l’emploi. Il lesconseille, les accompagne et les aide à l’élaboration d’un projet socioprofessionneladapté. Il travaille en coordination avec des services spécialisés afin de prévenirles risques de précarisation ou de rupture professionnelle et de favoriser le main-tien dans l’emploi.

CONTRIBUER AU MAINTIEN À DOMICILE ET PRÉVENIRLA PERTE D’AUTONOMIELe Service social informe sur leurs droits et aide les assurés de moins de 60 ans,malades et/ou handicapés, ainsi que les retraités du régime général, en situationde perte d’autonomie, ou connaissant des difficultés dans leur vie quotidienne(ressources, isolement, santé, situation de rupture notamment liée à la perte d’unproche) et/ou sortant de l’hôpital. Il les accompagne aux démarches et dans lesactions de prévention de la perte d’autonomie.

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FAITS MARQUANTS• Progression de la généralisation du déploiement PFIDASS• Rapprochement avec les professionnels de santé pour une meilleure

connaissance de l’offre du service social• Contribution aux travaux menés dans le cadre du PRITH Grand Est• Développement de la promotion de la démarche PDP

- Participation aux matinées employeurs- Table ronde CTR (Comités Techniques Consultatifs)- Semaine des travailleurs handicapés

• Expérimentation d’accueil coordonné en Meurthe-et-Moselle : Parcoursseniors

• Rencontre intergénérationnelle dans les Vosges : Mosaïque des âges

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PERSPECTIVES 2018MISE EN ŒUVRE DES ORIENTATIONS STRATÉGIQUES ET DUPLAN D’ACTION DANS LE CADRE DE LA COG 2018-2022 SUR LES5 AXES DÉFINIS LORS DE LA MISSION NATIONALE :

• Santé et accès aux soins- Contribution au déploiement et mise en œuvre de la PFIDASS- Poursuite de l’offre de service en faveur du public fragilisé (passage à la re-

traite…)

• Santé et employabilité- Nouvelle dynamique de la cellule régionale et développement de l’axe com-

munication- Renforcement des collaborations avec le Service médical et le Département

des Risques professionnels- Lancement et appropriation de l’espace partagé PDP- Contribution à l’axe de travail « maintien dans l’emploi » dans le cadre du

PRITH Grand Est

• Santé et bien vieillir- Amélioration de la détection des fragilités par le front office des services de

l’Assurance retraite- Poursuite de l’expérimentation du parcours seniors en 54

• Prévention- Relais des messages prévention auprès des publics accompagnés en indivi-

duel ou en collectif

POURSUITE DE L’AMÉLIORATION DE L’EFFICIENCE DE L’ORGA-NISATION DU RÉSEAU

• Poursuite de la démarche d’écoute clients et de suivi des insatisfactions• Mise en œuvre du Référentiel National de Processus (RNP) « Accompagne-

ment social »• Réflexion autour de la mutualisation de l’accueil téléphonique• Refonte de la base documentaire et d’informations régionales• Partage des pratiques interservices départementaux avec l’organisation

d’une journée régionale au second semestre 2018.

7

Service social des ARDENNES

L’ACTIVITÉ EN 2017L’année 2017 se caractérise par une augmentation d’activité de l’ordre de 7,2%.Le Service social a accompagné 3 036 personnes dont 1 181 ayant bénéficié d’uneaide dans le cadre des Interventions Sociales d’Intérêt Collectif. La part du collectif asensiblement évolué (+2%).Sa progression peut s’expliquer par plusieurs facteurs :- Ajustement des offres de service- Meilleure connaissance des actions par les partenaires- Relais de l’information plus efficaces auprès des assurés- Diversification et renforcement du partenariatLa répartition de ses modes d’intervention (visite à domicile, réception sur rendez-vous et entretien téléphonique) reste quasiment identique à l’année précédente.Il est à noter que 73% des personnes rencontrées ont bénéficié d’un accompagne-ment social individuel.L’offre de service en direction des personnes en arrêt de travail et/ou ayant un risquepour leur retour à l’emploi représente 56% du public rencontré. La Prévention de laDésinsertion Professionnelle est un axe majeur dans l’activité du service social. Afinde mobiliser les assurés à rencontrer l’assistant(e) social(e) pendant leur arrêt de travail(en individuel ou en collectif), la communication auprès des acteurs incontournablesque sont les employeurs et les professionnels de santé s’est développée.Deux actions se sont mises en place :- Proposition de rencontre conjointe avec la déléguée employeur CPAM ou le médecin

du travail de l’Association Santé au Travail 08 (AST08) ou le contrôleur sécurité duservice Prévention des risques professionnels de la Carsat Nord-Est aux entreprises

- Rencontre systématique des médecins traitants et des infirmiers(ères) nouvellementinstallés.

Le retour de ces échanges est très positif.

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INSCRIPTION DU SERVICE SOCIAL DE L’ASSURANCEMALADIE DANS LE PARCOURS D’INSTALLATION DESNOUVEAUX PROFESSIONNELS DE SANTÉ : MÉDECINSET INFIRMIER(ÈRE)S.Le Service social des Ardennes intervient sur un territoire principalement rural, oùl’isolement social et géographique est une variable importante dans la détectiondes besoins en matière de santé et la mise en œuvre d’une offre de service adap-tée.Comment faciliter et renforcer cette détection des fragilités ?Lorsque l’assistant de service social les rencontre, la majorité des assurés meten avant le rôle primordial joué par les professionnels de santé qui apparaissentsouvent comme des interlocuteurs incontournables du fait de leur proximité et deleurs relations privilégiées avec leurs patients.Les Délégués de l’Assurance maladie (DAM) accompagnent l’installation et le suivide l’exercice des médecins généralistes et des infirmier(ère)s.Après différents échanges au cours des réunions de la cellule locale Préventionde la Désinsertion Professionnelle (PDP), de rencontres avec la Cpam, une expé-rimentation permettant le positionnement du service social de l’Assurance mala-die dans le parcours d’installation des nouveaux professionnels de santé a étémise en œuvre. Ainsi il peut présenter son offre de service et initier la mise enplace d’un nouveau relais entre les professionnels.Le service Relation avec les Professionnels de Santé de la Cpam informe le ser-vice social de la date d’installation du professionnel de santé, l’assistant de ser-vice social du territoire concerné prend alors contact avec celui-ci afin de convenird’un rendez- vous dans les 4 à 6 mois qui suit le démarrage de son activité.Les professionnels de santé rencontrés ont apprécié de connaitre l’existence duservice, et de pouvoir l’interpeller rapidement, soit pour obtenir des informations,soit pour orienter leur patient vers un nouveau professionnel identifié comme« personne ressource » en matière d’accès aux droits et aux soins.Les assistants de service social jugent cette procédure bénéfique : elle permetd’enclencher un dialogue avec les professionnels de santé autour de leurs diffi-cultés et attentes mais aussi d’échanger sur les situations individuelles rencon-trées par chacun.

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Service social de l’AUBE

L’ACTIVITÉ EN 2017En 2017, 3 148 personnes ont bénéficié de l’intervention du Service social dont 2 621 accompagnées individuellement et 527 rencontrées lors d’actions collectives.Comme les années précédentes, on constate une augmentation de l’activité de12% par rapport à 2016. Cette progression a essentiellement porté sur les inter-ventions collectives par la mise en place de partenariats avec les trois missionslocales du département dans le cadre de la Garantie Jeunes. Deux actions col-lectives innovantes ont aussi été expérimentées, l’une, avec la Caf en utilisantl’habitat comme vecteur de message sur la santé « Bien chez soi et bien dansson corps », l’autre, en co-animation avec une psychothérapeute et destinée auxpersonnes souffrant de pathologies lourdes « Regards croisés sur la maladie ».Si la répartition des différentes offres de service reste stable, on peut constaterune progression de 5% en matière de PDP.La mise en place de la PFIDASS dans l’Aube a été l’occasion de mettre en valeurla richesse du travail partenarial avec la Cpam et le Service social autour du diag-nostic, des formations et des comités d’analyse.L’année 2017 a aussi été marquée par la réintégration du Service social dans leslocaux de la Cpam. Aussi, un groupe de travail d’assistantes sociales et secré-taires a élaboré des outils de communication afin de se faire connaître au sein dela même structure et de renforcer le partenariat avec les collègues de la Cpam etdu Service médical. Citons : • La création d’un set de table avec la photo de l’équipe qui a été déposé sur

chaque plateau à la cantine de la Cpam accompagné d’un jeu de mots mêlésreprenant 29 termes essentiels au service social comme : respect, solidarité,empathie, écoute, secret professionnel…

• La création d’un questionnaire avec 9 questions « vrai ou faux » distribué àchaque agent de la Cpam lors de la visite des services organisée avec la char-gée de communication de la Cpam.

Ce souci de mieux se faire connaitre a rencontré un grand succès et a facilité leséchanges.

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CONTRIBUTION AU DÉPLOIEMENT DE LA PLATEFORMED’INTERVENTION DÉPARTEMENTALE POUR L’ACCÈSAUX SOINS ET À LA SANTÉ (PFIDASS)

La PFIDASS est un dispositif initié par l’Assurance maladie permettant de détecterles situations de non recours aux droits en s’appuyant sur une synergie partena-riale entre les services administratifs, le Service médical et le Service social. Aprèsune phase expérimentale dans plusieurs départements dont la Meurthe-et-Mo-selle, la phase de déploiement s’échelonne sur 2017/2018. En mai dernier, laCpam de l’Aube a fait partie de la première phase de généralisation.

Le partenariat fort préexistant au sein du réseau Assurance maladie de l’Aube apermis une collaboration active des différents acteurs dès la phase diagnostiquedu dossier de candidature. La mobilisation de chacun a renforcé la transversalitéet la complémentarité entre les services. Les acteurs aubois ont ainsi été amenésà témoigner de leur expérience lors d’un séminaire organisé par la DCGDR GrandEst.

La démarche repose sur 3 étapes :

• Réaliser un diagnostic : 1 128 questionnaires complétés dont 109 par le Servicesocial.

• Mettre en œuvre un dispositif de détection des difficultés d’accès aux soins. 26situations ont déjà fait l’objet d’un signalement du service social vers la PFI-DASS.

• Accompagner et traiter ces difficultés pour parvenir à la réalisation effective dessoins.

La participation de la responsable du Service social et de l’assistante sociale ré-férente aux 6 comités d’analyse qui ont déjà eu lieu a permis de redéfinir lescontours des missions du service social et les nécessaires articulations avec laPFIDASS. La particularité du travail social s’en trouve affirmée avec la prise encompte de la dimension psycho-sociale du renoncement et le développement dupouvoir d’agir de l’assuré.

Service social de la MARNE

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L’ACTIVITÉ EN 2017En 2017, 4 748 personnes ont bénéficié d’une aide du Service social dont 13%en collectif soit 702 personnes.Les entretiens téléphoniques connaissent une légère hausse de 3% (45% en2016) et demeurent une activité en constante augmentation, les visites à domicilesont à un niveau identique (14%). On note une diminution des réceptions sur ren-dez-vous à 38% (-3%).Plus de la moitié de l’activité (57%) concerne la prévention des risques de préca-risation liés aux arrêts de travail supérieurs à 90 jours dont 29% sur la préventionde la désinsertion professionnelle, on peut noter, une nouvelle fois, une nette pro-gression de 6% (pour rappel +9% en 2015). Le niveau de signalement du servicemédical reste élevé et en progression.La sortie d’hospitalisation reste relativement stable 15% (16% en 2016), l’équili-bre, dans la charge d’activité, avec les structures évaluatrices externes de la Car-sat Nord-Est, semble atteint. L’activité en lien avec les problématiques del’invalidité baisse de 2% (de 13% à 11%).Le service a animé, dans les 4 sites de la Cpam, des réunions d’information col-lectives dans le cadre des arrêts de travail de plus de 90 jours et le passage eninvalidité.Des actions spécifiques ont également été menées :- 2 actions en faveur des jeunes,- 4 Parcours Prévention Santé dans le cadre du passage à la retraite,- 1 action dans le cadre de la PDP.

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LA PRÉVENTION DE LA DÉSINSERTION PROFESSION-NELLE (PDP) : OU COMMENT LE « FAIRE AGIR » PRENDTOUTE SA PLACE EN S’APPUYANT SUR UN TRAVAILTRANSVERSAL ET CONCERTÉFin 2017, une réflexion a été réalisée par les assistants du Service social de laMarne sur le thème de la PDP. La PDP concerne principalement des assurés dans une situation de rupture oude risque de rupture.L’assuré est le plus souvent orienté vers le Service social suite à un signalementdu Service médical ou de la Cpam.Le Service social prend en compte, dès le début de son action, ce contexte defragilité ; la personne doit « affronter » la maladie et se projeter dans sa reprised’emploi en tenant compte de ses capacités et difficultés. Il va poser des actesprofessionnels garantissant un accompagnement adapté et sécurisé afin d’aideret soutenir l’assuré dans son projet personnel et professionnel.• 1er temps : mesurer le niveau de compréhension et d’adhésion de l’assuré (Sait-

il pourquoi il me voit ? Est-il d’accord sur le « motif » du signalement ?)• 2e temps : expliquer qui agit dans le cadre de la PDP en situant l’assuré dans

l’environnement (à l’aide d’un schéma si besoin).Le Service social agit dès le début en faisant le lien entre les différents acteurs :Il les identifie, les qualifie et hiérarchise leur place dans le dispositif (décideurs,organismes supports…) avec l’assuré en s’assurant de sa compréhension. Ilponctue l’accompagnement dans le temps en intégrant la contrainte de durée del’arrêt de travail en accord avec le Service médical et les médecins traitant et dutravail. Il permet à l’assuré de s’exprimer sans contrainte et facilite la mise enœuvre de son projet en lien avec les différents acteurs (SAMETH, organismes deformation, MDPH…).Son rôle, dans les cellules locales réunissant les acteurs du réseau de l’Assurancemaladie, est de favoriser l’expression du vécu, des compétences, capacités etdifficultés de l’assuré. Son évaluation permet la validation des actions à meneren faveur du retour à l’emploi.En 2017, le Service social a rencontré 1 529 personnes dans le cadre de la PDPet toutes ont bénéficié d’un accompagnement adapté et individualisé.Paroles d’assurés :« C’est plus clair, heureusement que je vous ai vu car je ne comprenais plus rien… »« On m’avait mal expliqué ! »Des actions toujours renouvelées :Depuis décembre 2017, deux assistants de service social ont initié une nouvelleaction avec l’Institut Jean Godinot (spécialisé en oncologie) : agir au plus tôt dèsla fin des soins avec pour objectif de parler du projet de vie pour avancer dans leretour à la vie professionnelle.Le Service social renouvelle sans cesse ses modes d’action et poursuit sa réflexionen fonction de l’évolution de la législation, des situations des assurés et du travailde réflexion mené avec ses partenaires privilégiés de l’Assurance maladie.

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Service social de la HAUTE-MARNE

L’ACTIVITÉ EN 2017En 2017, 2 802 personnes ont bénéficié de l’intervention du Service social soitune progression de 19%.1 697 assurés ont été accompagnés individuellement et 1 105 rencontrées dansun cadre collectif soit 37%.Cette année encore la progression la plus forte se situe au niveau des interven-tions collectives avec une augmentation de 25,6% (880 participants en 2016). Ef-fectivement, ce mode d’intervention est adapté aux différents publics cibles etaux sollicitations des partenaires.L’activité tend à s’équilibrer entre les différentes offres de service avec, cependant,une proportion plus marquée pour les assurés en arrêt de travail de plus de 90jours (PDP) et pour les publics jeunes en situation de vulnérabilité. Viennent en-suite les offres de service dans le cadre des sorties d’hospitalisation et des assu-rés en invalidité et au moment du passage à la retraite.Enfin, s’agissant des modes de contact entre le Service social et les assurés, lapart des entretiens téléphoniques a diminué (54% contre 61% en 2016) au profitdes rendez-vous (30% contre 23% en 2016). Les visites à domicile restent stables(16%) et correspondent essentiellement aux interventions dans le cadre des sor-ties d’hospitalisation.

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CONJUGUER HANDICAP ET EMPLOI !

Pour certains assurés la reprise d’activité ou le maintien dans l’emploi peut êtredifficile du fait de leur état de santé et/ou de leur handicap. En 2017, le Servicesocial s’est engagé, aux côtés de plusieurs partenaires, pour proposer des actionsd’information et de sensibilisation auprès de publics fragilisés par la maladie etdes travailleurs handicapés :

OSEZ LA RECONNAISSANCE DU HANDICAP.Les assurés confrontés à des problèmes de santé ont des difficultés à déposerune demande de reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé : « Je n’ensuis pas là, il y a pire que moi, ça va m’empêcher de retrouver du travail. ».Sollicité par l’Espace Métiers, dans le cadre de la semaine pour l’emploi des per-sonnes handicapées, le Service social a participé à un forum. Il y a co-animé unetable ronde avec ses partenaires : la Maison Départementale des Personnes Han-dicapées (MDPH) et le Service d’Aide au Maintien dans l’Emploi des TravailleursHandicapés (SAMETH), dont l’objectif était de mieux informer, changer les repré-sentations et le regard sur le travailleur handicapé. Des vidéos, des échanges etdes témoignages ont permis de dédramatiser et lever les freins vers la réalisationde cette démarche, en mettant en avant les ouvertures vers l’emploi. Une cin-quantaine de personnes y ont participé et ont pu, aussi, pour ceux qui le souhai-taient, rencontrer le Service social sur le stand de l’Assurance maladie.

LE RETOUR À L’EMPLOI APRÈS UN CANCER.Les personnes atteintes d’un cancer ont généralement un arrêt de travail long, et au-delà de la phase aiguë du traitement, doivent composer avec le risque de rechute,les effets secondaires de la maladie et des traitements, mais aussi le regard d’autrui.La maladie cancéreuse induit la peur de mourir et génère souvent une remise encause de soi, des doutes et des interrogations sur l’avenir, le projet de vie et pro-fessionnel. De plus, quel que soit le cancer, les malades se heurtent aux repré-sentations de cette maladie dans leur entourage. Leur projet de retour à l’emploiintègre toutes ces dimensions.

En partenariat avec l’Espace Métiers, une action collective de remobilisation aréuni un groupe d’une dizaine de personnes d’octobre à décembre sur 5 ateliers :- Informations sur les aides- Les outils du retour à l’emploi- Les partenaires- Partage des projets professionnels- Partage d’expériences

Réalisée avec le soutien d’un psychologue du travail, cette action a permis à cegroupe de se projeter dans l’avenir.

Déclarations d’assurés au démarrage de l’action :« Mes collègues me disent que mon retour leur fait peur. Je croyais que nousétions amies, j’étais tellement contente de reprendre le travail, leurs réactionsm’ont rendu malade ! »

« J’ai peur de ne pas être à la hauteur dans mon travail, ne pas tenir le rythme. Je suisfatiguée et n’arrive plus à me concentrer, j’ai peur des autres, ils vont me juger ! »

… Et en fin d’action :« Ça fait du bien : on se comprend, on n’est pas jugée »« On n’est pas dans la maladie, on se projette »« Ça re-booste, ça redonne confiance »« On a moins peur de ce que pensent les autres, c’est leur problème ! »

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Service social de laMEURTHE-ET-

MOSELLE

L’ACTIVITÉ EN 2017En 2017, 5 939 personnes ont bénéficié de l’accompagnement du Service socialdont 5 230 individuellement et 709 lors d’actions collectives.L’entretien téléphonique (6 509 en 2017) constitue un type de contact prépondé-rant dans le cadre du développement d’une démarche proactive destinée à pré-venir les risques de précarisation socioprofessionnelle. Une primo-évaluationpermet de proposer un accueil personnalisé (2 774 en 2017) dans l’un des 22lieux de réception du département ou une visite à domicile (1 421 en 2017).Plus de la moitié de l’activité (53%) porte sur la prévention des risques de préca-risation liés aux arrêts de travail supérieurs à 90 jours (dont 28% sur la PDP).L’accompagnement à la sortie d’hospitalisation (10%) propose, aux assurés re-traités ou non, un plan d’aide personnalisé en fonction des besoins repérés parle Service social. Son objectif consiste à favoriser le retour et le maintien à domi-cile et éviter les ré-hospitalisations.L’accompagnement au titre du passage à la retraite (12%), du passage en invali-dité (10%), auprès d’assurés atteints de pathologies lourdes et invalidantes (11%),constituent des offres de services ciblées complétant les offres attentionnées del’ensemble des partenaires du réseau de l’Assurance maladie.L’accompagnement des jeunes en situation de vulnérabilité (2%) cible les jeunessuivis par les missions locales. Une offre de service collective leur est proposée,coordonnée par le Service social en concertation avec le réseau de l’Assurancemaladie (Cpam, CMP).En 2017, le Service social a été partenaire du déploiement du dispositif PFIDASSavec le réseau de l’Assurance maladie, et de la mise en place de l’expérimentationParcours Seniors Coordonné avec les réseaux de l’Assurance maladie et de l’As-surance retraite.

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PARCOURS SENIORS :PARCOURS COORDONNÉ - PARCOURS D’AVENIRNée de la volonté d’un accueil coordonné entre l’Assurance maladie et l'Assu-rance retraite, une expérimentation qui vise à déployer un « parcours séniors »permettant le signalement croisé entre leurs différents services (Cpam deMeurthe-et-Moselle, du Centre de médecine préventive et de la Carsat Nord-Est)afin d’améliorer la prise en charge des publics fragiles de plus de 55 ans.Ce parcours vise 3 finalités :• accompagner les assurés lors de leur passage à la retraite et durant leur vie de

retraité• repérer et aiguiller le public fragile vers l’offre de service correspondant à ses

besoins (accès aux droits, aux soins, aide à la vie quotidienne, prévention de laperte d’autonomie)

• orienter les publics qui en ont besoin vers les actions de prévention de l’actionsociale et vers le centre de médecine préventive.

Durant les 6 mois d’expérimentation, 149 détections ont été réalisées dont 102orientées vers le Service social. Sur 25% de ces situations qui ont été prises encharge, 17% l’ont été dans le cadre d’un accompagnement social principalementdans le domaine du non accès/non recours aux soins, et 8% dans le cadre de laperte d’autonomie. Les autres situations relevaient d’une Information conseil, dont38% en lien avec les missions du Service social. Les autres situations ne rele-vaient pas du Service social ou sont restées sans réponse.Après bilan avec les caisses nationales, la poursuite, en 2018, de l’expérimenta-tion est actée avec des ajustements avant d’envisager une généralisation. D’oreset déjà, on constate le renforcement de la concertation, de la coopération et dela collaboration entre les différents services de la Sécurité sociale au service desassurés.

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Service social de la MEUSE

L’ACTIVITÉ EN 2017Pour l’anné 2017, 80% des assurés sont accompagnés en individuel et 20% encollectif. La progression des interventions collectives est liée à l’augmentationdes réunions d’informations collectives à destination des publics fragiles :• Les jeunes dans le cadre de l’accès aux soins et aux droits :

relevant du dispositif « garantie jeune » à la mission locale de Verdun et entranten apprentissage au Centre de formation des apprentis de Bar-le-Duc.

• Les personnes fragilisées par la maladie, la précarité :lors de leur passage à la retraite ou en retraite.

Depuis 2015, le nombre d’assurés accompagnés en individuel augmente (+129personnes soit +6%) ainsi que le nombre d’assurés rencontrés lors d’informationscollectives (+199 personnes soit +41%). Il s’agit principalement de la forte aug-mentation des jeunes rencontrés dans le cadre de la garantie jeunes.La moitié des assurés est rencontrée sur rendez-vous ou en visites à domicile.Toutefois, des entretiens téléphoniques permettent, selon les accompagnementset les démarches à entreprendre, de rester à proximité des personnes tout en li-mitant leur déplacement sur un térritoire majoritairement rural.Les offres de service sont, pour plus de la moitié (58%), orientées vers les per-sonnes en arrêt de travail et vers le dispositif prévention de la désinsertion pro-fessionnelle. Les autres offres de service sont équilibrées entre les jeunes (10%),les sorties d’hospitalisation (9%), les personnes en passage à la retraite (9%) etl’accès aux soins (7%).

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LA SÉCURITÉ SOCIALE… « BOF ! »« CONNAIS PAS ! »

« CONNAIS PAS GRAND-CHOSE ! » Paroles de jeunes

Voilà, en général, la première approche des jeunes sur la Sécurité sociale.

Deux assistantes sociales formées à l’animation auprès des jeunes ont rencontré,en groupe, 125 jeunes à la Mission locale de Verdun et 189 au centre de formationdes apprentis (CFA) de Bar-Le-Duc.

À la mission locale, les jeunes intégrant le parcours de la « garantie jeunes » ontété reçus par les assistantes sociales pour une première sensibilisation sur la pro-tection et les droits puis en rendez-vous individuel à la Cpam de Verdun par unagent d’accueil et au centre de médecine préventive pour un bilan personnalisé.

Une approche plus spécifique sur les attentes des jeunes s’est concrétisée parl’animation d’un groupe d’une douzaine de jeunes sur plusieurs séances (parcoursprévention santé) sur ces mêmes thématiques puis à leurs demandes sur lesrisques au travail. Les assistantes sociales ont sollicité le département Préventiondes risques professionnels pour répondre aux questions et engager les jeunesdans une réflexion sur la santé au travail.

Au CFA, c’est dans le cadre de la rentrée scolaire que les élèves et les parentsont participé, par classe, à une réunion animée par le Service social et la Cpamsur les mêmes thématiques. Ils ont pu se rendre ensuite, pour des renseignementsplus personnalisés, sur le stand Sécurité sociale mis à leur disposition.

Les jeunes ont appris, c’est sûr, ont découvert des services et se sont montréstrès responsables quant aux postures de prévention à engager dans leurs futursmétiers, notamment lors du parcours prévention santé.

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Service social des VOSGES

L’ACTIVITÉ EN 2017En 2017, le Service social a suivi 3 694 assurés, dont 2 903 en accompagnementindividuel et 791 lors d’actions collectives.L’entretien téléphonique est le mode de contact prépondérant (+5% sur un an) avecles primo-demandeurs ou avec les assurés en file active. Néanmoins, près d’untiers des interventions ont lieu dans l’une des 15 permanences du département.Chez les assurés les plus fragiles, la visite à domicile (12%) permet de répondre àdes besoins spécifiques (sortie d’hospitalisation, difficulté de mobilité…).L’activité du Service social est stable depuis 2016 et centrée sur la préventiondes risques de précarisation liée à un arrêt de travail supérieur à 90 jours pourplus de moitié (57%) dont 23% au titre de la PDP, favorisée (+5%) par la diminu-tion progressive, depuis 2016, de l’accompagnement en sortie d’hospitalisation(-6%). Cela s’explique, en partie, par l’orientation des évaluations ARDH des re-traités les moins fragiles vers la structure évaluatrice IMA Services depuis le 1erfévrier 2017. L’activité autour de l’offre Passage à la retraite connait égalementune évolution sensible (+3%) qui la porte au même niveau que l’accompagnementen sortie d’hospitalisation.En 2017, 22 actions collectives ont été organisées auxquelles ont participé 791personnes : 18 sur le non-recours ou non-accès aux soins et 4 sur la PDP.Ces résultats sont le fruit d’une dynamique partenariale intra et extra institution-nelle forte sur le département.2018 sera marquée par le déploiement de la PFIDASS au sein de la Cpam desVosges avec la contribution du Service social et la nécessité de poursuivre à ren-forcer et développer les synergies internes au réseau de l’Assurance maladie.

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LA MOSAÏQUE DES ÂGES : UNE RENCONTRE INTERGÉ-NÉRATIONNELLE DANS LES VOSGESCette manifestation a été organisée fin septembre 2017 à Hadol par le Servicesocial de l’Assurance maladie des Vosges, en partenariat avec les 4 Missions lo-cales vosgiennes, l’association SIEL BLEU, l’atelier nutrition de la Fédération mé-dico-sociale (FMS) des Vosges, et avec la participation de l’EHPAD d’Epinal, del’association Les blouses roses et des seniors des ateliers de Prévention santéanimés par SIEL BLEU.Cette action avait pour objectif de permettre aux jeunes, suivis par les missionslocales et souvent en rupture, de comprendre l’intérêt pour la recherche et/ou latenue d’un emploi, de rester en forme et en bonne santé pour préserver son ca-pital santé.Cette journée a aussi été l’occasion d’une prise de conscience de la richesse dulien social, de découvrir des activités physiques adaptées, de découvrir les mé-tiers en EHPAD, de l’intérêt de cuisiner et du plaisir de partager un repas.Ce sont au total 28 jeunes et 30 seniors qui ont participé à cette rencontre desgénérations.Cette journée a été un réel succès grâce à l’investissement de chacun des par-tenaires, des parrains et marraines, des jeunes et des seniors qui ont participéjusqu’en fin de journée, en terminant par un « flash mob » toutes générationsconfondues.

Tout au long de la journée, des ateliersd’activité physique ont été animés parSIEL BLEU, ici des jeux de ballon :- Kinball pour la dextérité, la coordina-

tion et la coopération dans le groupe.- Torball pour comprendre ce qu’est la

cécité, apprendre à se diriger dans l’espace et faire confiance à son co-équipier

La sécurité routière avec la MAIF et sa voiture culbuto, suivi d’un parcoursen fauteuil roulant, et pour comprendrel’intérêt de se bouger dès le plus jeuneâge un parcours avec simulateur devieillissement.

21

ARDH : Aide au Retour à Domicile après HospitalisationAST : Association Santé au TravailCAF : Caisse d’Allocations FamilialesCFA : Centre de Formation des ApprentisCMP : Centre de Médecine PréventiveCOG : Contrat d’Objectifs et de GestionCPG : Contrat Pluriannuel de GestionCPAM : Caisse Primaire d’Assurance MaladieCTR : Comités Techniques ConsultatifsDAM : Délégués de l’Assurance MaladieDCGDR : Direction Coordonnée de la Gestion Du RisqueEHPAD : Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées DépendantesFMS : Fédération Médico-SocialeGAIA : Gestion des Actions et Interventions en faveur des AssurésJNSS : Journée Nationale du Service socialMDPH : Maison Départementale des Personnes HandicapéesMILO : Mission LocaleMIT : Médecin Inspecteur du TravailODS : Offre de ServiceP3A : Proximité Autonomie de l’Avancée en ÂgePDP : Prévention de la Désinsertion ProfessionnellePFIDASS : Plateforme d’Intervention Départementale d’Accès aux Soins et à la

SantéPLANIR : Plan Local d’Accompagnement du Non-recours, des Incompréhensions

et des RupturesPRITH : Plan Régional d’Insertion des Travailleurs HandicapésRNP : Référentiel National de ProcessusSAMETH : Service d'Appui au Maintien dans l'Emploi des Travailleurs HandicapésSIG : Système d’Information Géographique

glos

saire

RESPONSABLE DÉPARTEMENTAL

14 avenue George Corneau 6 assistantes sociales1 assistante08001 Charleville-Mézières Cedex

(depuis février 2018)

3 rue de Mirbritz 3 assistantes sociales08200 Sedan 1 secrétaire

9 assistantes sociales113 rue Étienne PédronCS 9050010030 Troyes Cedex

1 assistante1 assistante fonctionnelle

14 rue du Ruisselet 9 assistants sociaux

2 secrétairesBoîte Postale 40251064 Reims Cedex

1 assistante

2 Allée Saint Jean 7 assistantes sociales51043 Châlons-en-Champagne 1 assistante fonctionnelleCedex 1 secrétaire

HAUTE

-MARNE

L'Assurance Maladie - service social Nord-Est au 31/12/2017

ARD

ENNES

Blandine HULIN12

AUBE 10

Marie-Christine GRENAUT

10

MARN

E

18 boulevard de Lattre de Tassigny 3 assistantes socialesCS 2202852915 Chaumont Cedex 9

7 rue du Brigadier Albert52100 Saint-Dizier

1 secrétaire

2 secrétaires3 assistants sociaux

9 boulevard Joffre54047 Nancy Cedex

11 assistantes sociales

1 gestionnaire de projets

8 rue des Maillys54270 Essey-lès-Nancy

1 assistante

3 avenue Raymond Poincaré

1 assistante fonctionnelle

54400 Longwy 4 assistantes sociales1 assistante

1 rue de Polval 3 assistantes sociales

55015 Bar-le-Duc Cedex 1 assistante

24 rue d'Anthouard55113 Verdun Cedex

14, rue de la Clé d'Or 7 assistantes sociales BP 10231 2 secrétaires

1 assistante88006 Épinal Cedex49 rue de la Bolle 3 assistantes socialesCS 87265 1 secrétaire88107 Saint-Dié-des-Vosges 1 assistante fonctionnelle

Patricia RICHARD

Marie-ChristineFROMENT

7Marie-Catherine

GUILLAUME

22

Catherine BLONDEL

Sarah RANGO

Responsable adjointe

15

MEU

RTHE-ET

-MOSE

LLE

VOSG

ESMEU

SE

3

ADRESSES EFFECTIFSLIEUX

D'ACCUEIL

2 secrétaires

1 assistante fonctionnelle1 secrétaire

1 secrétaire3 assistantes sociales1 secrétaire

2 secrétaires

3 secrétaires


1 secrétaire

Muriel PETIT

14 avenue George Corneau

L'Assurance Maladie - service social Nord-Est

14 avenue George Corneau


ADRESSES



EFFECTIFS DÉPARTEMENRESPON

au 31/12/2017L'Assurance Maladie - service social Nord-Est

CCUEILD'ALIEUX

TALDÉPARTEMENSABLE RESPON

au 31/12/2017

08200 Sedan

10030 Troyes Cedex


CS 90500113 rue Étienne Pédron

3 rue de Mirbritz

08001 Charleville-Mézières Cedex14 avenue George Corneau

AUBE

ARD

ENNES

08200 Sedan

10030 Troyes Cedex


CS 90500113 rue Étienne Pédron

3 rue de Mirbritz

08001 Charleville-Mézières Cedex14 avenue George Corneau

1 secrétaire

assistante fonctionnelle

1 assistante

1 1 assistante9 assistantes sociales



3 secrétaires

GRENAUTMarie-Christine

10

12 Blandine HULIN

GRENAUTMarie-Christine

Blandine HULIN

10030 Troyes Cedex

Cedex

18 boulevard de Lattre de Tassigny

51064 Reims Cedex

51043 Châlons-en-Champagne 2 Allée Saint Jean

Boîte Postale 40214 rue du Ruisselet

HAUTE

-MARNE

MARN

EAUBE

10030 Troyes Cedex

51043 Châlons-en-Champagne


51064 Reims Cedex

2 Allée Saint Jean

Boîte Postale 40214 rue du Ruisselet

assistante fonctionnelle

1 secrétaire


1 assistante

1 assistante fonctionnelle7 assistantes sociales

2 secrétaires

9 assistants sociaux

1 2 secrétaires

10

GRENAUT

FROMENTMarie-Christine

GRENAUT

FROMENTMarie-Christine


54047 Nancy Cedex

52100 Saint-Dizier

HAUTE

-MARNE

52915 Chaumont Cedex 9

9 boulevard Joffre

7 rue du Brigadier Albert

CS 22028

MEU

RTHE-ET

-MOSE

LLE


54047 Nancy Cedex

52100 Saint-Dizier

52915 Chaumont Cedex 9

9 boulevard Joffre

7 rue du Brigadier Albert

CS 22028 1 secrétaire

assistante

3 assistants sociaux

1

1 gestionnaire de projets4 assistantes sociales

secrétaires2


RICHARDPatricia

Catherine

3 RICHARDPatricia

Catherine

54270 Essey-lès-Nancy

54400 Longwy 3 avenue Raymond Poincaré

8 rue des Maillys

MEU

RTHE-ET

-MOSE

LLE

54270 Essey-lès-Nancy

54400 Longwy 3 avenue Raymond Poincaré

8 rue des Maillys

assistante

fonctionnelle

1 assistante4 assistantes sociales

secrétaire

1 assistante 11 assistantes sociales

1 2 secrétaires

1 secrétaire

1 assistante fonctionnelle1 adjointe

Responsable RANGOSarah

BLONDELCatherine

22

adjointeResponsable

RANGOSarah

BLONDELCatherine

49 rue de la Bolle

55113 Verdun Cedex

55015 Bar-le-Duc Cedex

88006 Épinal CedexBP 1023114, rue de la Clé d'Or

24 rue d'Anthouard

1 rue de Polval

MEU

SEVOSG

ES

49 rue de la Bolle

55113 Verdun Cedex

55015 Bar-le-Duc Cedex

88006 Épinal CedexBP 1023114, rue de la Clé d'Or

24 rue d'Anthouard

1 rue de Polval


secrétaire

1 assistante

1 assistante2 secrétaires7 assistantes sociales


1 secrétaire

1 3 assistantes sociales

15

GUILLAUMEMarie-Catherine

7

PETITMuriel

GUILLAUMEMarie-Catherine

PETITMuriel

Saint-Dié-des-Vosges88107 CS 8726549 rue de la Bolle

VOSG

ES

Saint-Dié-des-VosgesCS 8726549 rue de la Bolle

1 assistante fonctionnelle1 secrétaire3 assistantes sociales

Téléphone : 36 46 (Service 0,06/min + prix appel)

22

23

80points accueil

24

PÊLE-MÊLE

26

LA CARSAT NORD-EST : UN ACTEUR SOCIO-ÉCO-NOMIQUE DE PREMIER PLAN EN LORRAINE ET ENCHAMPAGNE-ARDENNE.La Carsat Nord-Est est un organisme de Sécurité sociale. Structurede droit privé exerçant une mission de service public, elle intervientauprès des salariés, des retraités et des entreprises de la région,au titre de la retraite, de l'action sociale et de la gestion des risquesprofessionnels.Elle assure ses missions sous l'égide de deux caisses nationales :• la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (l'Assurance Retraite), • la Caisse Nationale de l'Assurance Maladie (l'Assurance Maladie).Depuis son siège social situé à Nancy et au travers de son réseaud'agences retraite, d’antennes prévention et services sociaux, ellerenseigne et conseille les assurés et les entreprises des sept dé-partements de Lorraine-Champagne-Ardenne (sauf la Moselle).La Carsat Nord-Est apporte une contribution déterminante à la vieéconomique et sociale régionale. C’est d’abord une entité importante en termes d’emplois : la Car-sat compte un effectif de 842 agents dont 509 présents au siège.Annuellement, la Caisse d’assurance retraite et de santé au travailredistribue et injecte plus de 4,7 milliards d’euros au titre de l’as-surance vieillesse à plus de 595 000 retraités.Sa participation financière à l’amélioration des lieux de vie collec-tifs pour personnes âgées (plus de 3,5 millions d’euros en 2017)en fait un acteur incontournable des politiques publiques.En 2017, plus de 4 milllions euros ont été versés aux entrepriseslorraines et champardennaises dans le cadre de la prévention desrisques professionnels.Son maillage de proximité la place aux plus près de ses assurés,entreprises, partenaires, décideurs.

595 676 bénéficiaires d’une prestation retraite pour un montant de 4,7 milliards d’euros

177 800 appels téléphoniques traités

16 979 bénéficiaires d’un plan d’action personnalisé dans le cadre de l’actionsociale

4 014 bénéficiaires de sortie d’hospitalisation

3 223 129 euros de prêts accordés pour l’amélioration des lieux de vie collectifs

26 453 assurés suivis par le service social

599 901 salariés assurés au titre des risques professionnels

4,5 millions versés aux entreprises dans le cadre de la prévention des risquesprofessionnels

La Carsat Nord-Esten chiffres

27

NANCY

NANCY

CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE

REIMS

CHAUMONT

SAINT-DIZIER

TROYES

CHARLEVILLEMÉZIÈRES

14 av. George Corneau41 av. Charles-de-Gaulle

LONGWY

12 rue Jean Jacques Rousseau

CPAM -14 rue du Ruisselet

7 rue du GanteletCPAM - 2 allée Saint-Jean

CPAM3 avenue Raymond Poincaré

Place Saint-PaulVERDUN

BAR-LE-DUC

CPAM - 1 rue Polval

CPAM - 24 rue d’Anthouard

CPAM - Bld Joffre CPAM - 8 rue Maillys

VANDŒUVRELÈS-NANCY

2 rue CarnotLUNÉVILLE

7 rue René Basset

49 rue Louis Ulbach

MSA - Allée CassandreCPAM - 18 bld de Lattre

de TassignyÉPINAL

SAINT-DIÉ

10 avenue DutacCPAM - 14 rue de la Clé d’Or

49 rue de la Bolle

CPAM - 7 rue duBrigadier Albert

SiègeRetraiteService socialPrévention

CPAM - 113 rue Étienne Pédron

3 rue de Mirbritz

SEDAN

ESSEY-LES-NANCY

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5961 -

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018 -

Cré

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hoto

s : Isto

ck

Nord-EstNord-EstService SocialNord-Est

Carsat Nord-Est, 81-83-85 rue de Metz54073 Nancy Cedex

www.carsat-nordest.fr

5961 rapport essai mise en page 1 - carsat nord-est...malades et/ou handicapés, ainsi que les...

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