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cinéma LE DiETRicH Salle classée art et Essai Labels Recherche & Découverte, Patrimoine et Jeune Public camille claudel 1915 Bruno Dumont DJANGO UNCHAINED Quentin Tarantino django Sergio Corbucci SOMEBODY UP THERE LIKES ME Bob Byington ANTIVIRAL Brandon Cronenberg .../... Du 27 FeVRIER au 26 mars 2013

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Poitiers • Dietrich

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Page 1: 27/02 26/03 2013

cinéma LE DiETRicHSalle classée art et Essai Labels Recherche & Découverte, Patrimoine et Jeune Public

camille claudel 1915 Bruno Dumont

DJANGO UNCHAINED Quentin Tarantino

django Sergio Corbucci

SOMEBODY UP THERE LIKES ME Bob Byington

ANTIVIRAL Brandon Cronenberg .../...

Du 27 FeVRIER au 26 mars 2013

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Jusqu’au 12 mars

DJANGO UNCHAINEDWestern de Quentin TarantinoAvec Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo DiCaprio USA – 2012 – 2h44meilleur scénario et meilleur acteur dans un second rôle (Gloden Globes 2013, BaFTa awards 2013)Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qu’il promet d’affran-chir s’il l’aide à traquer les dangereux frères Brittle. Django accepte, sous conditions de re-trouver Broomhilda, sa femme, « propriété » du puissant Calvin Candie.Cette confiance absolue que Tarantino accorde au cinéma et à son pouvoir de bousculer une so-ciété un peu trop policée et correcte à son goût n’est pas une posture. Les débats houleux qui agitent la sortie du film aux États-Unis, à propos de la violence (...) et de la question raciale qui reste, envers et contre tout, une épine dans le pied de l’Amérique, confirment la pertinence, si-non l’efficacité, de ses convictions. Et puis, il y a le film lui-même, formidablement rythmé (...) qui démontre que Tarantino peut puiser indéfiniment dans sa malle à souvenirs et son répertoire à émotions puériles, il en sortira toujours quelque chose de moderne. next.liberation.fr

Jusqu’au 11 mars

djangoWestern de Sergio CorbucciAvec Franco Nero, José Bódalo, Loredana NusciakItalie / Espagne – 1966 – 1h34Un cavalier solitaire s’interpose dans la guerre que se livrent un général américain et un aventurier mexicain.Malgré l’influence évidente de Leone dans le caractère et le physique du personnage de Django, c’est dans sa mise en scène que Cor-bucci s’écarte des codes instaurés par ce der-nier, très proche, pour le coup, d’une esthétique de bande dessinée. (…) Symbole de tout un pan du western italien, celui de la série B ultra vio-lente, Django fait, aujourd’hui encore, office de pièce maîtresse dans la carrière du cinéaste, et dépasse à bien des égards le modèle leonien. Boueux, austère, et baroque à la fois, le film de Corbucci est à l’image de son héros : excessif et jubilatoire. www.ecranlarge.com

Tarantino nous renvoie depuis toujours à l’histoire du cinéma et recompose, depuis quelques films, sa propre vision de l’Histoire. Transgressive certes, mais jouissive et totale-ment cinématographique. nous ne pouvions que lui rendre hommage en programmant LE Django originel de Sergio corbucci, auquel se réfère explicitement celui de Tarantino. Et en diffusant son film en 35 mm (2 copies en France) ! Le Dietrich

Jusqu’au 12 mars

antiviralThriller futuriste de Brandon CronenbergAvec Caleb Landry Jones, Sarah GadonCanada – 2012 – 1h44Prix des étudiants (Festival international du Film indépendant de Bordeaux 2012)Dans un futur proche, les stars vendent leurs virus à des cliniques spécialisées pour les ino-culer à leurs fans. Syd March, commercial pour l’une de ces cliniques, détourne les vi-rus pour les revendre à un réseau parallèle. Lorsqu’il est appelé au chevet de la célèbre Hannah Geist, touchée par un nouveau virus, il en profite pour se contaminer afin de bénéfi-cier d’une exclusivité. Or le lendemain, on ap-prend que la star a succombé à la maladie…Le premier long-métrage du fils de David Cro-nenberg était attendu au tournant. Il est vrai que porter un tel nom met d’emblée la pression, tout comme de se lancer dans une histoire aussi ori-ginale et ambitieuse. Une chose est sûre, Bran-don Cronenberg a bien étudié la question, car son scénario présente toutes les qualités d’un bon film d’anticipation : une idée de base terrifiante mais plausible (l’herpès qu’on se récupère de son idole, c’est quand même mieux qu’un simple autographe), des personnages énigmatiques au physique marquant (...) et une intrigue intelli-gente mêlant thriller scientifique et polar mafieux. (…) Un film qui frappe fort, atteignant d’emblée un très haut niveau. www.abusdecine.com

Jusqu’au 3 mars

SELKIRK LE VeRITABLE ROBINSON CRUSOe

Film d’animation de Walter TournierArgentine / Chili / Uruguay – 2012 – 1h15Selkirk, un jeune corsaire indiscipliné, navi-gue à bord de l’Espérance à la recherche de trésors. Mais un jour, il se met l’équipage à dos, qui l’abandonne sur une île déserte. Il découvre la vie en pleine nature et apprend à se débrouiller pour devenir un véritable Ro-binson Crusoé.Une adaptation colorée et ludique du classique de Daniel Defoe en stop motion (animation de marionnettes). Certes, le cinéaste uruguayen Walter Tournier ne possède ni la virtuosité d’un Burton, ni la cocasserie du tandem Nick Park - Peter Lord (Wallace et Gromit). Mais grâce à un scénario tirant habilement vers le conte moral, de savoureux personnages secondaires, d’idées ma-lignes de décors et d’un sens soutenu du rythme d’exécution, il signe un film d’animation de très belle tenue. cinema.nouvelobs.com

À partir du 13 mars

CAMILLE CLAUDEL 1915

Biopic de Bruno DumontAvec Juliette Binoche, Jean-Luc Vincent, Robert LeroyFrance – 2011 – 1h37Hiver 1915. Internée par sa famille dans un asile du sud de la France – là où elle ne sculp-tera plus – chronique de la vie recluse de Ca-mille Claudel, dans l’attente d’une visite de son frère, Paul Claudel.Ce que Camille Claudel 1915 nous donne avant tout à voir c’est une nouvelle incroyable perfor-mance d’actrice. Juliette Binoche incarne l’artiste avec ferveur et intensité, presque sans garde-fou. Une performance mise d’autant plus en avant par l’extrême dénuement qui l’entoure. Rareté des dialogues, rigueur du cadre qui isole l’actrice autant que le personnage face à un ensemble de comédiens pour la plupart amateurs, souvent handicapés mentaux. On ne voit qu’elle, et tout est fait par Dumont et son actrice pour qu’on se prennent son calvaire en pleine face. Mais ce dé-but est ce que Bruno Dumont appellerait la partie « eau froide » de son film. Une partie exigeante mais nécessaire pour pouvoir mieux savourer « l’eau chaude » à venir. Sans malice, Dumont se sert de cette austérité monacale pour mieux ou-vrir la voie à la grâce. www.filmdeculte.com

À partir du 20 mars

SOMEBODY UP THERE LIKES MEComédie de Bob ByingtonAvec Nick Offerman, Keith Poulson, Jess WeixlerUSA – 2012 – 1h16Prix spécial du jury international (Locarno 2012)Max ne prend pas une ride. Au sens figuré comme au sens propre. Il glisse avec une égale nonchalance sur les vicissitudes de la vie, mariage, divorce, paternité, succès et ban-queroutes. Sous l’œil perplexe de sa seconde femme Lyla et de son acolyte Sal, il trimballe à travers l’existence son éternelle jeunesse et une mystérieuse valise en plastique bleue.Cet emballant petit film indépendant américain flirte avec la fable, et dépeint les moeurs contem-poraines sur un mode ironique et dépressif. Di-vorces, adultère, filiation, banqueroute ou succès, les situations sont là, bien réelles, mais les héros les habitent sans y croire, en locataires, en som-nambules. Dans le cadre impersonnel et lumineux d’une banlieue texane, le récit saute d’ellipse en ellipse, parcourant des décennies par petites séquences décalées, subtilement loufoques. Les meilleurs moments de cette réflexion pointilliste sur le vide affectif sont les tête-à-tête entre Max (...) et son ami Sal (...). Au-delà d’un savoureux ef-fet Laurel et Hardy, ces deux-là traînent ensemble un mal de vivre à la fois profond et léger. On est séduit par leur complicité de hasard, leur amitié aquoiboniste et négligente. www.telerama.fr

inTERDiT- 12 anS

À PaRTiR DE 6 anS

SoRTiE naTionaLE

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inTERDiT - 12 anS

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Le lundi 11 mars à 20h

LA SAISON DES HOMMESDrame de Moufida TlatliAvec Rabiaa Ben Abdallah, Ezzedine GennounTunisie / France – 2000 – 2h02Saïd travaille à Tunis et a laissé sa femme Aicha à Djerba sous l’autorité de sa mère acariâtre. Mais Aïcha veut rompre avec la tradition et le rejoindre. Pour gagner l’argent nécessaire au voyage, Aïcha va passer de longues années à tisser et vendre des tapis qui vont non seulement faire la fortune de Saïd mais aussi étouffer son existence. Aïcha veut fuir...Les Silences du Palais avaient résonné très fort en chacun et trouvé plus de 200 000 spectateurs en France. Ce deuxième film, guidé par les doutes et les interrogations de sa propre fille devenue adolescente, développe cette réflexion autobio-graphique. Il est traversé de scènes magnifiques et émouvantes, comme celle de ces femmes la-vant leur henné dans la mer et qui parlent de ces hommes qu’elles attendent onze mois de l’année. Eux sont à Tunis à tenir leur boutique, elles sont à Djerba à attendre ce mois de vacances, la saison des hommes… Mais leur venue ne sera que dé-ception. « Les hommes ne vieillissent pas, seules les femmes ont ce privilège. » (...) Moufida Tlatli saisit avec finesse la connivence et la solidarité des femmes tout comme les troubles qui leur ré-vèlent le désir, d’autres hommes, d’une autre vie, d’un ailleurs, de sortir de la norme… (...) Un film profondément féminin, un appel douloureux mais déterminé, loin des slogans partisans, à prendre la vie autrement. www.africultures.comFilm suivi d’une discussion avec Gildas Simon, géographe et ancien professeur à l’Université de Poitiers.

Le vendredi 15 mars à 16h

SI LE VENT SOULeVELES SABLESDrame de Marion HänselAvec Issaka Sawadogo, Carole KaremeraFrance / Belgique – 2006 – 1h36D’un côté, la saison sèche qui n’en finit plus. De l’autre, la guerre qui menace. Au village, le puits est à sec. Le bétail meurt. Les habitants fuient vers le Sud. Rahne, seul lettré, décide de partir avec Mouna, sa femme et ses trois enfants vers l’Est.La fiction de Marion Hänsel se joue, dans une subtile douceur, du contraste entre les tumultes et drames de cette famille et la beauté des lieux où ils se déroulent. Après son premier long-métrage, Nuages, entièrement consacré à ces habitants du ciel qui la fascinent, la cinéaste voulait de nou-veau filmer la nature. Mais pas seulement. Le livre de Marc Durin-Valois, Chamelle, dont Si le vent soulève les sables est l’adaptation, lui a offert l’Afrique comme source d’inspiration. Le résultat : un film engagé et une source de plaisir partagé entre le cinéaste et son spectateur.www.avoir-alire.comFilm suivi d’une discussion avec Véronique Lassailly-Jacob, géographe et professeure à l’Université de Poitiers.

Le vendredi 15 mars à 20h30

CEUTA, DOUCE PRISONDocumentaire de Jonathan Millet et Loïc H. RechiFrance – 2012 – 1h30Ce film suit les trajectoires de cinq migrants dans l’enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc. Ils ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe et se retrouvent enfermés aux portes du vieux continent. Ils vivent parta-gés entre l’espoir d’obtenir un « laissez-passer » et la crainte d’être expulsés vers leur pays.Infos sur www.ceuta-douce-prison-le-film.comFilm suivi d’une discussion avec le réalisateur Jonathan millet.

Santé mentale et insertion dans la villechaque année, des professionnels de la santé, des patients et leurs proches partici-pent sur une semaine à des manifestations de réflexion sur la santé mentale. cette an-née, la 24e édition de la SiSm se déroulera du 14 au 18 mars et le Dietrich, en parte-nariat avec l’UnaFam 86, relaye cet événe-ment national pour la 5e année consécutive.

Le mardi 19 mars à 18h30

LE FILS DE LA FAMILLEDocumentaire de Mickaël HamonFrance – 2012 – 59 min.Robert, c’est le père de Karim, malade psychique. Jeune trentenaire, ce dernier alterne des phases de repli avec des périodes d’exaltation. Seuls ses parents et sa soeur, qui ont quitté Soissons pour vivre à Nantes, l’empêchent de sombrer. (…) Pour ce film, il a fallu les convaincre, grâce à un long travail d’approche. Mickaël, avec son vécu et sa connaissance de la maladie, y est parvenu. (...) « J’ai souvent laissé les choses se faire. » Sans occulter les situations tendues, les confrontations difficiles, le désarroi du père face aux interroga-tions permanentes du fils. (...) Le résultat est là, un film sensible sur un sujet complexe qui dérange.www.ouest-france.frSéance suivie d’une intervention de soignants et de familles qui dispensent des formations en direction des aidants familiaux.apéritif offert à l’interséance.

Le mardi 19 mars à 21h

a PEINE OMBREDocumentaire de Nazim DjemaïFrance – 2012 – 1h26Prix Georges de Beauregard national (FiD mar-seille 2012)À peine ombre est situé dans la clinique de La Borde, dans la campagne du Loir et Cher. Fon-dée en 1953 par Jean Oury (qui y pratique encore), elle est régie par le refus de la notion d’enfermement, de hiérarchie entre patients et thérapeutes. Dans un rapport de confiance, ils gèrent ensemble les aspects matériels de la vie collective. Les uns après les autres, soignants et malades apparaissent à l’image. (…) Jamais il n’est spécifié si nous avons affaire à un patient, à un thérapeute ou à toute autre personne tra-vaillant à La Borde (...). On le comprend parfois, ou bien on le devine, on hésite, on est troublé. Par son dispositif, le film assimile ainsi le fonc-tionnement de la clinique où les frontières tradi-tionnelles se brouillent. Nous sommes face à des gens, peu importe leur statut. www.critikat.com

Tarifs habituels. Séance suivie d’une discus-sion avec des éducateurs et éducateurs tech-niques spécialisés.

EnTRéELiBRE

Ciné DiversCitéinitié en 2005 par l’équipe de recherche migrinter relevant du cnRS et de l’Université de Poitiers, ce festival (11-15 mars) vise à offrir une manifestation scientifique et culturelle autour de thèmes en rapport avec les migrations internationales.migrinter, l’association Soledev et le Dietrich vous proposent cette année 3 séances sur le thème des migrations Sud-Sud.TaRiF UniqUE PaR SéancE : 3 € / LES coUPonS nE SonT PaS accEPTéS.

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Films accessibles aux étudiants détenteurs de la carte arts du Spectacle

* En présence d’un ou plusieurs intervenants

Le Dietrich reçoit le soutien de

Le Dietrich adhère à

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événement

Du 27 février au 5 mars mer 27 jeu 28 ven 1er sam 2 dim 3 lun 4 mar 5

DJANGO UNCHAINED (2h44) 20h30 17h45 21h 20h30 17h30 20h30 18h

DJANGO (1h34) 21h 18h30 20h45

ANTIVIRAL (1h44) 18h15 18h45 21h15

SELKIRK (1h15) JEUnE PUBLic 16h30 16h 15h30

Du 6 au 12 mars mer 6 jeu 7 ven 8 sam 9 dim 10 lun 11 mar 12

DJANGO UNCHAINED (2h44) 20h 17h45 20h15 20h45

DJANGO (1h34) 21h15 19h 21h 16h 18h

ANTIVIRAL (1h44) 19h 21h 18h 18h30

LA SAISON DES HOMMES (2h02) 20h*

Du 13 au 19 mars mer 13 jeu 14 ven 15 sam 16 dim 17 lun 18 mar 19

CAMILLE CLAUDEL 1915 (1h37) 16h3018h45

21h

16h3018h45

21h18h15

16h3018h45

21h

16h3018h45

21h

16h3018h45

21h16h15

SI LE VENT SOULèVE LES SABLES (1h36) J. PUBLic 16h*

CEUTA, DOUCE PRISON (1h30) 20h30*

LE FILS DE LA FAMILLE (59 min.) 18h30*

A PEINE OMBRE (1h26) 21h*

Du 20 au 26 mars mer 20 jeu 21 ven 22 sam 23 dim 24 lun 25 mar 26

CAMILLE CLAUDEL 1915 (1h37) 19h 21h 19h 16h4521h

16h18h30 19h 21h

SOMEBODy UP THERE LIKES ME (1h16) 21h15 19h 21h15 19h 21h 21h15 19h

34 Bd chasseigne 86000 Poitiers05 49 01 77 [email protected]

Accès par bus :- Lignes 7, arrêt Jardin des Plantes- Lignes 1/3/4/5/7/8/9/11, arrêt Voie Malraux- Lignes 2A/2B/3/N2A/N2B, arrêt Pont Le Nain

Tarif plein : 7 € Tarif réduit : 5 €Tarif réduit adhérent : 4 €Carte 6 places : 30 € Bourse Spectacles : 2,5 €Adhésion : 12 €

Somebody up there likes me Bob Byington La fièvre dans le sang Elia KazanPierre Rabhi, au nom de la terre Marie-Dominique Dhelsingquinzaine italienne

en continuation / prochainement

Réservation groupes en séance privée (+ de 30 personnes) ou publique (+ 10 personnes) au 05 49 01 77 90 ou par mail à : [email protected]

Indépendant, le cinéma Le Dietrich n’appartient à aucun groupe. Sa gestion est assurée par l’association Ciné-U et repose sur l’engagement de son équipe salariée et bénévole. L’association offre ainsi à ses spectateurs des films de qualité, loin des logiques commerciales. Adhérer, c’est pour nous un soutien moral, politique et économique indispensable. Et pour vous l’occasion de voir des films de qualité à des tarifs très spéciaux et d’assister gratuitement à certains événements.

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BULLETIN D’ADHÉSION SAISON 2012-2013

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Pot ou collation offert(e)

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Le Dietrich remercie ses partenairesMigriner / Soledev / L’UNAFAM 86 et les intervenants.