2011 sgm auteur : esnouf claude clym séminaire 5 methode du sin² pour la mesure des contraintes
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2011
SGM
Auteur : ESNOUF ClaudeCLYM
Séminaire 5
METHODE du sin² pour la mesure des contraintes
Introduction
Vous êtes autorisé : • A reproduire, distribuer et communiquer, au public, ce document,• A modifier ce document, selon les conditions suivantes : Vous devez
indiquer la référence de ce document ainsi que celle de l’ouvrage de référence : ESNOUF Claude. Caractérisation microstructurale des matériaux : Analyse par les rayonnements X et électronique. Lausanne: Presses polytechniques et universitaires romandes, 2011, 596 p. (METIS Lyon Tech) ISBN : 978-2-88074-884-5.
• Vous n'avez pas le droit d'utiliser ces documents à des fins commerciales.
• Vous pouvez accédez au format PDF de ce document à l’adresse suivante :http://docinsa.insa-lyon.fr/polycop/download.php?id=170621&id2=4
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Accès aux autres séminaires1 - Séminaire « Rappels cristallographie 1 »
2 - Séminaire « Rappels cristallographie 2 »
3 - Séminaire « Emission, détection, propagation, optique des rayons X »
4 - Séminaire « Méthode des poudres en DRX »
5 - Séminaire « Méthodes X rasants et mesure des contraintes »
6 - Séminaire « Emission électronique – Conséquence sur la résolution des microscopes »
7 - Séminaire « Diffraction électronique »
8 - Séminaire « Projection stéréographique »
9 - Séminaire « Imagerie CTEM »
10 - Séminaire « HAADF »
11 - Séminaire « HRTEM »
12 - Séminaire « Ptychographie »
13 - Séminaire « EELS » 3
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METHODE du sinMETHODE du sin22
pour la mesure des contraintes pour la mesure des contraintes
Claude ESNOUFClaude ESNOUF -- CLYMCLYM
Contraintes à l’interface tête/cupule d’une prothèse Contraintes à l’interface tête/cupule d’une prothèse
Séminaires du CLYMSéminaires du CLYM
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Séminaires du CLYMSéminaires du CLYM
PlanPlan
METHODE du SINMETHODE du SIN22
PRINCIPE DE LA METHODEPRINCIPE DE LA METHODEEquation de l’élasticitéEquation de l’élasticité
METHODE EXPERIMENTALEMETHODE EXPERIMENTALECondition de diffractionCondition de diffraction
EXEMPLE : Revêtement TiN/CrN/acierEXEMPLE : Revêtement TiN/CrN/acier
METHODE GIXRDMETHODE GIXRD
PRINCIPE DE LA METHODEPRINCIPE DE LA METHODEPénétration du faisceauPénétration du faisceauEtude du facteur de formeEtude du facteur de forme
GISAXSGISAXSGIXRDGIXRDREFLECTIVITE XREFLECTIVITE X
Milieu semi-infiniMilieu semi-infiniCouche déposée : Franges de KiessigCouche déposée : Franges de KiessigMesure d’épaisseur de couchesMesure d’épaisseur de couchesEtude de la rugositéEtude de la rugosité
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PRINCIPE de la METHODEPRINCIPE de la METHODE
Equation de l’élasticitéEquation de l’élasticité : La déformation est mesurée par : = (d-do)/do
(d= dhkl du cristal contraint dans la direction .
La déformation est reliée aux composantes des contraintes, dans un formalisme de l’élasticité isotrope, par :
E : module d’Young ; : coefficient de Poisson (souvent proche de 0,3).
2 2 2ψ xx xy yy zz
zz xx yy zz
xz yz
1 + νε = {σ cos + σ sin2 + σ sin - σ }sin ψ
E1 + ν ν
+ σ - {σ + σ + σ }E E
1 + ν+ {σ cos + σ sin }sin2ψ
E
2 2 2ψ xx yy xx yy
1 + ν νε = {σ cos + σ sin }sin ψ - {σ + σ }
E E
x
y
z
X
Y
Z
d
Plans (hkl)
Echantillon
Dans le cas d’une contrainte plane (zz = xz = yz= xy= 0) :
Mais : 2 2xx yyσ = σ cos + σ sin ψ o 2
xx yyo
d - d 1 + ν ν = σ sin ψ - {σ + σ }
d E E
(Hypothèse pas toujours juste - estimer la
pénétration de RX)
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Principe de la méthode (suite)Principe de la méthode (suite) : - Consiste à mesurer le rapport (d- do)/do pour différentes valeurs de - Tracer le graphe (d- do)/do en fonction de sin2 et en extraire la pente.
- Expressions équivalentes : aa - Le rapport (d- do)/do est donné par : d/d = - /tg (2dsin = )Entre et + et +
2xx yy
1 + ν ν = σ sin ψ - {σ + σ }
tg E E
2 2xx yy
1 + ν ν = σ [sin ψ + (sin ψ)]- {σ + σ }
tg E E
21 + ν = σ (sin ψ)
tg E
2
Eσ = cotg
1 + ν (sin ψ)
sin2
(xx+yy)/E
/E
= Cte
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Principe de la méthode (suite)Principe de la méthode (suite) :
bb - Puisque : dhkl = do+do ( petit), Ln[dhkl/do] = Ln(1+) = (dhkl- do)/do =
+ dans le cas d’un cristal cubique :
+ déformation isotrope dans le plan : xx = yy (à voir en fonction du process)
De fait :
: contrainte résiduelle moyenne (contrainte du premier ordre).
2hkl xx yy o
1 + ν νLn d = σ sin ψ - (σ + σ ) + Ln d
E E
222dhkl lkh/a d
2d xx yy o
1 + ν νLn a = σ sin ψ - (σ + σ ) + Ln a
E E
222oo lkh/a d
ao : paramètre cristallin hors contrainte ad : paramètre sous contrainte
Ne nécessite pas la mesure du paramètre hors
contrainte
2 2xx yy xxσ = σ cos + σ sin = σ = σ
2d I o
1 + ν 2νLn a = σ sin ψ - σ + Ln a
E E
2 2 2 2I o
1 + ν 2νou Ln (1/sin ) = σ sin ψ - σ - Ln(λ h + k + l /2 a )
E E
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METHODE EXPERIMENTALEMETHODE EXPERIMENTALECondition de diffractionCondition de diffraction :
- Diffractomètre travaillant aux grands angles (meilleure précision),- Choisir une raie {hkl} convenable ; augmenter la longueur d’onde (pas trop pénétrer !),- Enregistrer le diffractogramme dans une étroite région localisée autour de 2hkl,
- Basculer l’échantillon autour d’un axe fixe ( = Cte), - Régler les problèmes de la divergence du faisceau à cause du défaut de focalisation (les plans diffractants ne sont plus parallèles à la surface),- Les raies de diffraction sont larges (défocalisation + contraintes du deuxième ordre), d’où un problème de précision dans la mesure de la position des pics (stratégie de recherche de la position !)
= hkl – i
{hkl}{hkl} {h
kl}
i
hkl
hkl
Echantillon polycristallin
Z
Variation de l’angle
- Les courbes à < 0 et > 0 peuvent indiquer la présence de contraintes de cisaillement (voir équation).
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Cercle de Cercle de focalisation focalisation primaireprimaire
hkl
Fais
ceau
{hkl
}
Détecteur
Echantillon Source X
Cercle de Cercle de focalisation focalisation primaireprimaire
hkl
Fais
ceau
{hkl
}
Détecteur
Echantillon Source X
Défaut de focalisationDéfaut de focalisation :
Solution : Travailler avec des faisceaux quasi-parallèles en utilisant des fentes de Soller.
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{220} {220} {220
}
220
Echantillon polycristallin
{111}
EXEMPLE : REVETEMENT TiN/CrN/ACIEREXEMPLE : REVETEMENT TiN/CrN/ACIER
Acier
TiN/CrN Période : 10 à 60 nm
Grains :7-26 nm
TiN - CrN : cfc
aoTiN = 0,4241 nm ; E = 350 GpaaoCrN = 0,4140 nm ; E = 256 GPa
MesureMesure :
Synchrotron du LURE à = 0,253 nm (4,906 keV ; 2{220} 115° + évite la fluorescence du Ti à 4,965 keV),Diffractomètre 4 cercles + détection sur 15°,Pics utilisés {200} et {220}.
Rocking curvesRocking curvesTexture <111> Texture <111> majoritaire et majoritaire et <100> minoritaire<100> minoritaire
EchantillonEchantillon (mono ou multi-couches) : Monocouche TiNMonocouche TiN
Monocouche CrNMonocouche CrN
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TiNCrN
Lin
(Cou
nts)
0
1000
2000
3000
4000
5000
6000
7000
8000
9000
10000
11000
12000
13000
14000
15000
16000
17000
18000
2-Theta - Scale
111 112 113 114 115 116 117 118 119 120
TiN
Lin
(Cps
)
0
100
200
300
400
500
600
700
800
900
1000
1100
1200
2-Theta - Scale
111.4 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121
5°-65°
Résultats brutsRésultats bruts :
Monocouche TiN {220}
Multicouche TiN/CrN {220}
TiN
CrN
Fe {200}
5°-65°
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Exemple (suite)Exemple (suite) :
Monocouche TiNMonocouche TiN
Monocouche CrNMonocouche CrN
Multicouches TiN/CrNMulticouches TiN/CrNPériode
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Exemple (résultats)Exemple (résultats) :
Période (nm) (Gpa) ao (nm) G (nm)
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ProblèmesProblèmes
Les conditions requises sont :Les conditions requises sont :
- Direction des contraintes principales parallèle à la surface,- Direction des contraintes principales parallèle à la surface,
- Comportement du matériau : quasi isotrope élastique,- Comportement du matériau : quasi isotrope élastique,
- Structure homogène.- Structure homogène.
Les difficultés apparaissent lorsque :Les difficultés apparaissent lorsque :
- Le système de contraintes est - Le système de contraintes est triaxialtriaxial ((xz, yz, xy 0) : hystérésis 0) : hystérésis
ou ou
- le matériau est - le matériau est texturétexturé ou à ou à gros grainsgros grains ou ou non isotropenon isotrope
sin2
sin2
< 0
> 0
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Séminaire 4 :Séminaire 4 :
METHODE GIXRDMETHODE GIXRD
(Grazing Incidence X Ray Diffraction)(Grazing Incidence X Ray Diffraction)
Claude ESNOUFClaude ESNOUF -- MATEISMATEIS GISAXS de Ge/Si au synchrotron de ESRF GISAXS de Ge/Si au synchrotron de ESRF 16
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PRINCIPE de la METHODEPRINCIPE de la METHODE
La pénétration du faisceauLa pénétration du faisceau :La réfraction et la pénétration des rayons X sont traduites par l’indice associé : nn = = 1 1 i i où où = = /4/4(( : coefficient d’absorption linéaire) : coefficient d’absorption linéaire).
Une frontière, la réflexion totale à :
100
1000
/c10 0,5 1,51 2
10
z1/e (nm)
Ondes évanescentes
Réflexion partielle
1/e i2 2 2 2 2 2
c ci i
hc 2z (θ )=4πE (θ -θ ) +4β -(θ -θ )
θ 2δci
i
r
Exemple : Le photon cuivre ( 8 keV) dans du silicium.
www.henke.lbl.gov/www.henke.lbl.gov/optical_constantsoptical_constants
= 7 10-6
= 2 10-7
= 163 10-8Å-1
= 141 10-8Å-1
dans les Tables Internationales)
c = 0,21°
Cu
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La pénétration du faisceau (suite)La pénétration du faisceau (suite) : Pénétration à = c (cas Cu/Si) : zi=c
= 28 nm
zi=c/2 = 3,8 nm
zi=2c = 400 nm
zi=1° = 1,05 µm zi=2° = 2,14 µm
zi=10° = 10,8
µm
Si i >>c (mais sin i i):
zi >>c= (hc/4)(i/)
Pour le rayonnement Cu :
zi >>c= 2,15 10-3(i/)
(z en Å, i en °)On faudra distinguer 2 domaines d’incidence :
i < ou c (GISAXSGISAXS) et ipetit mais >> c (GIXRDGIXRD)
Etude du facteur de formeEtude du facteur de forme : Nu v wN N N
L = exp(2πi Δk r ).
Nw nz NL = exp(2πi Δk r ) = exp(2πi Δk nc)
Lx = Nx et Ly = Ny (Nx et Ny >> 1)
(n = entier)On pose : k·c = lk·c = l (nombre non entier a priori)
zz
cc
x
y
i
d00l
kk
zi
z z z zz z
2µnc 2(πil - η)N- 0 0sinθ2πinl 2πinl - 2ηnz 2(πil - η)
n - n -
πil(N - 1) - (N - 1)ηz z
cos(πN l) sh(N η) - isin(πN l) ch(N η)
cos(πl) sh(η) - isin(πl) ch(η)
1- eL = e e = e =
1- e
L = e e (N )
= µc/sini (effet d’absorption)
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Etude du facteur de forme (suite)Etude du facteur de forme (suite) : L’intensité est reliée au carré de la norme du facteur de forme, soit :
Si restefaible,
22z,maxi
1Maxima pour l = entier, L
4η
i=c = µc/sinc = 150 10-8 ·3/(0,21 · /180) = 1,23 10-3
2z 2 2 2
1
cos (πl) η sin (πl)
1L =
4 + 2
z,mini
1Minima pour l = entier +1/2, L
4
Faisceau X
1/
l
= 0,01
= 0,2
= 1 =
l0 1 2
Espace réciproque = nœudsnœuds et ventresventres d’intensité selon z.
Fonction Lz(l)
On retrouve progressivement la loi classique de Bragg (correspondant à l’indice de Miller l entier).
k·c = lk·c = l
2η2
z 2 2
e
sh (η) sin (πl)
1L =
4 + Lz 1 pour tout l, si (aucune pénétration)
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F. Leroy EPF Lausanne (ligne ID32 ESRF)
La méthode est surtout utilisée pour l’analyse cristallographique des surfaces :• Reconstruction des surfaces,• Structure des dépôts d’épaisseur nanométrique (couche continue, discontinue,
avec nano-agrégats, interfaces, ...)
GISAXSGISAXS
Croissance de Ge (e = 1 nm) sur Si(001) + Recuit 15 ’ à 900 K : c = 0,18° - h = 10 keV - Faisceau X // [110] - formation d’îlots facettés.
Si
Ge
Modèle :
i = 0,1° i = 0,2° i = 0,4°
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La méthode s’apparente à la diffraction classique (méthode des poudres). La seule différence réside dans le contrôle de l’épaisseur analysée par l’angle d’incidence.
Profondeur analysée sini/2µ
GIXRDGIXRD
i
/2µ
sini/2µ
• L’échantillon fait un angle fixe (0,3 -5° en général) par rapport au faisceau incident. La configuration est dite asymétrique.• Besoin d’un faisceau incident parallèle car problème de focalisation (le cercle de focalisation ne coïncide pas avec le cercle de mesure) et d’une fente de Soller devant le détecteur (élimine du bruit dû à la rugosité de surface, par exemple).• Gradient de phases : Possibilités d’analyse de phases en fonction de la profondeur.
B. Beaugiraud, ECL
i = 1°
220 30 40 50 60 70 80
Al2O 3 Al
2O 3
Al2O 3
Al2O 3
Al2O 3
Al2O 3
Al2O 3
Al2O 3
Al2O 3
Al2O 3
TiO 2
TiO 2
TiO 2 Ti
O 2
TiO 2
TiO 2
TiO 2Al2O 3Al
2O 3Al
2O 3
Al2O 3Ti
O 2
Dépôt mince d’Al et de Ti sur substrat Ti
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La réflectivité X consiste à envoyer sur une surface ou sur des interfaces un faisceau de rayon X avec une incidence très rasante par rapport à la surface ( 0° - 2°) et à enregistrer la réponse donnée par le faisceau en réflexion spéculaireréflexion spéculaire.
REFECTIVITE X ou REFLECTOMETRIE XREFECTIVITE X ou REFLECTOMETRIE X
Réflectivité X : Etude de R(Réflectivité X : Etude de R(ii) = I() = I()/I)/Ioo
1 - Cas du matériau semi-infini :1 - Cas du matériau semi-infini :
Un site utile : http://henke.lbl.gov/optical_constantsUn site utile : http://henke.lbl.gov/optical_constants//
c
iRéflexion spéculaire
2
2c
2ii
2c
2ii
ii2
i2 )R(
1
n
1/(sini/)4
Décroissance dû au facteur de diffusion 1/sin2
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i22 θcosn2e
Franges de Kiessig
i
Intensité2 - Cas d’une monocouche déposée :2 - Cas d’une monocouche déposée :
pλsinsin2e c2
i,p2
Ecrire que la différence de marche est un multiple de :
p sin 2ne t
Mais : n = 1- ; cos i = n cos t ; cos c = n 2
i2 /ncos -1 2ne
i2
c2 θcosθcos2e c
2i
2 θsinθsin2e
i,p i,p+1
Franges de KiessigFranges de Kiessig
3 - Cas d’un multicouche :3 - Cas d’un multicouche :Même approche, mais interférences plus compliquées (simulations).Même approche, mais interférences plus compliquées (simulations).
1i
InterférencesIIoo
I(I())
te n
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ApplicationsApplications :
• Mesurer l’épaisseur d’un film :a) Tracer le graphe (i,p)2 en fonction de p2.a) Mesurer l’intervalle entre 2 maxima :
Dépôts de BaTiO3 sur substrat de SrTiO3
B. Beaugiraud, ECL
Inte
nsité
20,2 0,4 0,
6
0,8
e = 36 nm
pλsinsin2e c2
i,p2
222c
2i,p /2e)(p
Droite de pente (/2e)2 et d’ordonnée à l’origine c
2.ou :
12pp - 1)(psinsin4e 22i,p
21i,p
22
p,i2
1p,i2 sinsin
1p2
2 e
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Applications (suite)Applications (suite) :
• Estimer la rugosité : ]e )θ,f([II2
i
22 )/sin(σ16cioR
Rugosité surface = 0 nmRugosité interface = 2 nm
Rugosité surface = 2 nmRugosité interface = 2 nm
Rugosité surface = 0 nmRugosité interface = 0 nm
Rugosité surface = 2 nmRugosité interface = 0 nm
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Applications (suite)Applications (suite) :
• Mesurer la densité électronique moyenne d’une couche :
n = 1 - - i avec : = µ/4 et = e re 2/ 2
Fin des séminaires dévolus à la diffraction X
ec e θ 2δ = λ r /π ρ
Ce qui donne accès à la masse volumique :
e = Nbre e-/Vmole mais : (masse volumique) = Matom./Vmole
Nbre e- = Z Vmole/Vatom. = Z NA
e = Z NA /Matom. ou = e Matom/ Z NAmais ?
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