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INSTANT PLURIEL – 10, rue Bleue – 75009 Paris Contact : Martine Croce, directrice générale – [email protected] - 05 61 90 20 00

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présente

RICHARD GALLIANO SEXTET

Mis à jour le 12/06/2012

INSTANT PLURIEL – 10, rue Bleue – 75009 Paris Contact : Martine Croce, directrice générale – [email protected] - 05 61 90 20 00

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PRÉSENTATION DU PROJET Richard Galliano Sextet Accordéon Richard Galliano Violon 1, Jean-Marc Phillips-Varjabédian / Sébastien Surel / Bertrand Cervera / Nicolas Dautricourt Violon 2, Sébastien Surel / Marc Vieillefon / Saskia Lethiec / Bertrand Cervera Alto, Jean-Marc Apap / Jean-Paul Minali-Bella Violoncelle, Éric Levionnois / Éric Picard Contrebasse, Stéphane Logerot / Stanislas Kuchinski / Philippe Noharet / Philippe Aerts Durée : de 1h30 environ

Pour l’accompagner dans l’aventure de son CD Bach - « aboutissement de quarante-cinq ans d'expérience musicale "tout terrain" », Richard Galliano avait pensé à plusieurs solutions orchestrales. Mais, après un album et trois cents concerts en compagnie des musiciens classiques rencontrés pour le projet Piazzolla For Ever, le choix était naturel : « Le sextet est une formule très dynamique, très originale, bien équilibrée avec l’accordéon dans la perspective d’un enregistrement acoustique. » Richard Galliano a donc retrouvé avec bonheur ses complices, les violonistes Jean-Marc Phillips et Sébastien Surel, l’altiste Jean-Marc Apap, le violoncelliste Eric Levionnois et le contrebassiste Stéphane Logerot.

Avec de tels musiciens, Richard Galliano ne recule pas devant le plaisir d’interpréter certaines des plus grandes mélodies de la culture occidentale, parfois avec un petit clin d’œil dans le choix de l’instrument, comme la version à l’accordina de la célébrissime Badinerie, la lecture au bandonéon de l’Air de la Suite pour orchestre en ré majeur ou encore une incursion, en tant que compositeur, dans l’univers sensible et mélodique de la musique baroque, avec son Aria inspirée de manière lointaine de la Messe en si mineur de Jean-Sébastien Bach. Mais c’est aussi pour rendre hommage à Astor Piazzolla (1921-92) à l’occasion des anniversaires de sa naissance et de sa disparition que le sextet se retrouve 10 ans après Piazzolla For Ever.

Le Richard Galliano Sextet vous propose deux programmes :

• Richard Galliano rencontre Bach, le programme du CD Bach sorti en avril 2010, continue sa tournée exceptionnelle ; un DVD de ses concerts est paru en édition limitée en octobre 2010 ;

• From Bach to Piazzolla, un programme mixte Bach / Galliano / Piazzolla, rend hommage au maître du tango nuevo ; un digipack contenant un CD et un DVD du programme Piazzolla Forever enregistré à Montréal en 2003 paraîtra début 2012.

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RICHARD GALLIANO

Né le 12 décembre 1950 à Cannes (France). Alors que l'accordéon semblait n'avoir jamais vraiment connu de soliste majeur et que, par les connotations qui l'entourent, il paraissait irrémédiablement éloigné du swing, Richard Galliano est parvenu, avec une détermination sans pareille, à imposer l'idée que son instrument était digne de figurer aux côtés des saxophones et trompettes qui sont au coeur de la musique de jazz. Inspiré par son admiration pour son ami Astor Piazzolla, inventeur du « Tango Nuevo », l'accordéoniste a réussi, en outre, avec son « new musette », à revitaliser une tradition bien française qui semblait ne jamais devoir connaître de renouveau. Fils de Lucien Galliano, professeur d'accordéon d'origine italienne, Richard a débuté l'instrument à l'âge de quatre ans. Parallèlement à son apprentissage, il suit une formation au conservatoire de Nice, étudiant l'harmonie, le contrepoint et le trombone. A l'âge de 14 ans, il découvre le jazz au travers de Clifford Bro wn dont il relève les chorus et s'étonne que l'accordéon soit si peu présent dans cet te musique. Il s'intéresse alors aux accordéonistes brésiliens (Sivuca, Dominguinhos), découvre les spécialistes américains qui se sont frottés au jazz (Tommy Gumina, Ernie Felice, Art Van Damme) et les maîtres italiens (Felice Fugazza, Volpi, Fancelli), rejetant en bloc le jeu traditionnel qui domine dans l'Hexagone. En 1973, Galliano « monte » à Paris où il séduit Claude Nougaro. Pendant trois ans, il assure la fonction d'arrangeur, de chef d'orchestre et même de compositeur dans un groupe où il côtoie d'authentiques jazzmen. Il participe, en outre, à de nombreuses séances d'enregistrement de variété (Barbara, Serge Reggiani, Charles Aznavour, Juliette Gréco, etc...) et à des musiques de film. Dès le début des années 1980, il multiplie les occasions de fréquenter des jazzmen de toutes obédiences et de pratiquer l'improvisation à leurs côtés : Chet Baker (sur un répertoire brésilien), Steve Potts, Jimmy Gourley, Toots Thielemans, le violoncelliste Jean-Charles Capon (avec qui il signe son premier disque), Ron Carter (avec qui il enregistre en duo en 1990), etc. En 1988, Richard Galliano créé le célèbre « Festival des Nuits de Nacre » à Tulle qu'il dirigera durant 5 années (de 1988 à1992) en tant que Directeur Artistique (voir le DVD de Pierre Barouh Accordéons). En 1991, sur les conseils d'Astor Piazzolla qu'il a rencontré en 1983 à la faveur d'une musique de scène

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pour la Comédie-Française, Richard Galliano fait retour sur ses racines, revenant au répertoire traditionnel de valses musettes, de java, de complaintes et de tangos, qu'il avait longtemps ignoré. Renouant avec l'esprit de Gus Viseur et Tony Murena, il permet à l'accordéon de se défaire de son image « vieillotte » par un travail sur le trois temps, une autre conception rythmique, un changement des harmonies, qui l'acclimate au jazz. Réalisé avec Aldo Romano, Pierre Michelot et Philip Catherine, son disque-manifeste « Ne w Musette » (Label bleu) lui vaut de recevoir le prix Django-Reinhardt de l'Académie du Jazz en 1993, récompense qui salue le « musicien français de l'année ». S'ensuit une série d'albums dans lesquels Richard Galliano révèle, sur un modèle Victoria qu'il ne quitte plus, une aisance à adapter l'accordéon aux libertés du jazz, virtuose dans le phrasé, totalement décomplexé, d'une grande richesse dans la sonorité, habile à décloisonner les musiques à l'aide d'un instrument qui ignore les frontières. En 1996, il traverse l'Atlantique pour enregistrer son « Ne w York Tango », avec George Mraz, Al Foster et Biréli Lagrène, disque pour lequel il obtient une Victoire de la musique. La réputation de Richard Galliano prend alors une envergure internationale et les collaborations se multiplient. Il s'engage dans des duos, dont certains à l'instrumentation insolite, avec des personnalités aussi diverses qu'Enrico Rava, Charlie Haden, Michel Portal (« Blo w Up », en 1997, est un vrai succès commercial avec plus de 100 000 exemplaires vendus), son confrère Antonello Salis (en Italie) ou encore l'organiste Eddy Louiss (2001). Il est fidèle pendant des années au trio qu'il forme avec Daniel Humair et Jean-François Jenny-Clarke (de 1993 jusqu'à la disparition du contrebassiste en 1998), puis renoue avec ce format en 2004 avec une rythmique « new-yorkaise » composée de Clarence Penn et Larry Grenadier. Des rencontres plus ponctuelles ont également lieu avec Jan Garbarek, Martial Solal, Hermeto Pascoal, Anouar Brahem, Paolo Fresu et Jan Lundgren, Gary Burton... En 1999, avec un orchestre de chambre, il fait entendre ses propres compositions aux côtés d'oeuvres écrites par Astor Piazzolla. Ce travail trouve un prolongement en 2003 dans « Piazzolla Forever », hommage dans lequel Galliano rejoue les pièces de son mentor. D'une rare polyvalence, Richard Galliano possède ainsi les moyens de s'exprimer avec musicalité dans n'importe quel contexte, du solo (tel le « Paris Concert » au Châtelet, paru en 2009) jusqu'au big band (avec le Brussels Jazz Orchestra en 2008). Désormais reconnu comme un soliste exceptionnel, il continue d'explorer un large éventail de musiques, sans se défaire de ce lyrisme qui irrigue son jeu lorsqu'il enregistre les ballades de « Love Day » avec Gonzalo Rubalcaba, Charlie Haden et Mino Cinelu, ni se départir de cette « French Touch » qui lui permet d'établir avec le trompettiste Wynton Marsalis le trait d'union qui relie Billie Holiday et Edith Piaf. Soucieux de transmettre sa riche expérience, il est l'auteur, avec son père Lucien, d'une méthode d'accordéon saluée en 2009 par le prix Sacem du Meilleur ouvrage pédagogique. Pour honorer l’anniversaire des 20 ans de la disparition d’Astor Piazzolla (1992-2012), l’ami et mentor de Richard Galliano, Dreyfus Jazz réédite un coffret contenant un Cd et un Dvd du mythique programme Piazzolla Forever Septet (sorti en janvier 2012). Plusieurs concerts en France et à l’étranger sont déjà prévus tout au long de l’année 2012. En 2010, Richard Galliano signe un contrat d'exclusivité discographique avec Universal_Deutsche Grammophon. Il enregistre dans la foulée un Cd consacré entièrement à la Musique de Jean Sébastien Bach (qui devient, avec 40 000 exemplaires vendus la Meilleure Vente Classique de l'Année). En 2011, sort un nouveau Cd dédié aux musiques de film du fameux compositeur italien Nino Rota. Avec, notamment, John Surmann au saxophone soprano, Richard Galliano donne ici une lecture résolument jazz aux célèbres mélodies de La S t rada, The Godfather (qu'il joue au Trombone solo sur la première plage du disque), La Dolce Vita, Amarcord, Ot to e Mezzo (Huit e t demi)... Désormais, Richard Galliano est le seul accordéoniste concertiste à avoir le privilège d'enregistrer pour le prestigieux Label Allemand Universal_Deutsche Grammophon (au même titre que Pierre Boulez, Hélène Grimaud, Daniel Barenboim, Chick Corea...) Son rêve d'adolescent est enfin réalisé à l'âge de... 60 ans. 2004 Chevalier dans l'ordre National du Mérite 2009. Officier dans l'ordre des Arts et des Lettres 2011. Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres Vincent Bessières

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PRESSE

Midi Libre // 2 août 2011 Bach et Piazzolla magnifiés par le « Galliano Sextet » dimanche à l’Abbaye de Sylvanès

La prestation de l’accordéoniste et ses musiciens a enthousiasmé le public. Richard Galliano et son quitet de cordes ont enchanté le public sylvanésien, dimanche soir. Quelquefois le commentateur est sujet à la maladie des superlatifs. Là, qui peut le contester, les 700 spectateurs ont assisté au meilleur concert de l’été. Tout y était, communion avec le public, virtuosité, générosité, talents d’interprétation. Fusionnelle serait l’adjectif le plus adapté à la façon de jouer de Richard Galliano. Imbriqué dans son accordéon qui l’enserre de ses bras de cuir noir, il danse avec lui avec frénésie et joie. La transe légère du musicien qui sait qu’il touche au cœur son public. Bach, Piazzolla, frères ou cousins sous les doigts de Galliano. Là, rien de convenu. On applaudit entre les mouvements du Kantor de Leipzig, quelle importance ! L’essentiel étant la joie du plaisir partagé. À ses côtés, Galliano a parmi les musiciens les plus en vue du moment. À leur tête, le premier violon, Nicolas Dautricourt joue avec la puissance du tailleur de pierre et la précision d’un horloger suisse. Avec lui, Bertrand Cervera, second violon, Jean-Marc Apap, alto, Eric Levionnois, violoncelle, Stéphane Lorgerot, contrebasse. Tous les cinq heureux de jouer sous ses voûtes médiévales. Richard Galliano et ses musiciens jouent avec le plus efficace des amplificateurs : l’acoustique de l’abbatiale de Sylvanès. Où que l’on soit dans le public, assis dans les chapelles, près de l’orgue ou proche du chœur, la qualité sonore explose en feu d’artifice duquel personne n’aurait voulu se détacher. Trois rappels. Pas de ceux consentis parce que « bon, on bâcle ça et puis on rentre ». Non ! Des rappels enthousiastes et dynamiques. Jusqu’au bout. Très tard, après plus de deux heures de concert, tous les musiciens debout et unis dans la volonté de donner le mieux et – osons le – avec amour. Richard, permet-nous, reviens quand tu veux…

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RICHARD GALLIANO RENCONTRE BACH On a beaucoup arrangé Jean-Sébastien Bach. On l’a adapté, on l’a transcrit. Mais pas ici. Richard Galliano joue Bach, et rien que Bach. « La musique de Bach est universelle. Lorsque je la joue, je ne change pas une note, pas une respiration, pas un silence… je joue le texte intégral sans aucune adaptation ». Pour son premier album chez Deutsche Grammophon, Richard Galliano se consacre donc à un compositeur qu’il a toujours fréquenté : « J'ai débuté et poursuivi mes études musicales avec Bach. (…) Mais d'un point de vue discographique je n'ai pas commencé par Bach, c'est vrai. Pour moi ce disque Bach est l'aboutissement de quarante-cinq ans d'expérience musicale "tout terrain" ». Même s’il est apparu plus d’un siècle après sa mort, l’accordéon aurait sans doute passionné Jean-Sébastien Bach. Comme l’orgue, il dispose d’une stéréo naturelle, de la polyphonie, de la registration, en même temps qu’il est plus expressif : « L’accordéon, comme le bandonéon, sont des instruments qui peuvent très facilement se substituer à d’autres instruments à cordes, à vent ou encore à clavier ». C’est pour cette raison que Galliano a décidé de ne pas se cantonner aux pièces pour orgue. Il a choisi pour ce programme des partitions pour violoncelle, pour hautbois, pour violon, pour clavier, pour flûte. Il ouvrira même le concert par son Aria, inspirée de manière lointaine de la Messe en si mineur de Jean- Sébastien Bach.

Accordéon Richard Galliano Violon 1, Jean-Marc Phillips-Varjabédian / Sébastien Surel / Bertrand Cervera / Nicolas Dautricourt Violon 2, Sébastien Surel / Marc Vieillefon / Saskia Lethiec / Bertrand Cervera Alto, Jean-Marc Apap / Jean-Paul Minali-Bella Violoncelle, Éric Levionnois / Éric Picard Contrebasse, Stéphane Logerot / Stanislas Kuchinski / Philippe Noharet / Philippe Aerts Programme en 2 sets avec entracte

Durée : 1h40

Programme (susceptible de modifications)

R. GALLIANO Aria (solo) 4’10

J.S. BACH Concerto pour violon en la mineur n° 1 BWV 1041 14’04 1 – Allegro moderato 3’40 2 – Andante 6’49 3 – Allegro assai 3’35

Suite pour violoncelle n° 1 en sol majeur BWV 1007 Prélude (solo) 2’21

Sonate pour flûte N° 2 en mi bémol majeur BWV 1031 Sicilienne (duo) 2’06

Concerto pour clavecin en fa mineur N°5 BWV 1056 10’18

1 – Allegro 3’24 2 – Largo 3’06 3 – Presto 3’48

ENTRACTE (20’)

Suite pour orchestre n°3 en ré majeur BWV 1068 Air 5’09

Partita pour flûte en la mineur BWV 1013 Allemande (solo) 3’01

L’Art de la fugue BWV 1080 Contrapunctus n°1 (solo) 4’32 Contrapunctus n°9 (quintet) 2’30

Double concerto pour hautbois et violon en do mineur BWV 1060 13’57 1 – Allegro 4’53 2 – Adagio 5’19 3 – Allegro 3’45

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FROM BACH TO PIAZZOLLA L’admiration de Richard Galliano pour Astor Piazzolla, inventeur du Tango Nuevo est certainement à l’origine d’une trajectoire hors du commun qui a ouvert à l’accordéon les portes de la scène jazz. C’est à la suite de sa rencontre en 1991, et sur ses conseils, que Richard Galliano entreprend de revisiter les racines de son instrument, exploration qui sera à l’origine d’un renouveau inattendu de la place de cet instrument dans le paysage musical, avec la création du « new musette ». Depuis les premiers concerts mariant ses propres compositions et celles de Piazzolla en 1999 avec un orchestre de chambre, Galliano n’a cessé d’explorer, avec ses complices, l’œuvre de son ami et mentor. Ce travail trouve un prolongement en 2003 dans Piazzolla For Ever, hommage dans lequel les musiciens du Richard Galliano Septet rejouent les pièces de Piazzolla. C’est donc tout naturellement que Galliano a choisi, avec son sextet, de rendre un nouvel hommage au compositeur à l’occasion des anniversaires de sa naissance et de sa disparition, dans un programme original retraçant un itinéraire musical, From Bach to Piazzolla.

Accordéon Richard Galliano Violon 1, Jean-Marc Phillips-Varjabédian / Sébastien Surel / Bertrand Cervera / Nicolas Dautricourt Violon 2, Sébastien Surel / Marc Vieillefon / Saskia Lethiec / Bertrand Cervera Alto, Jean-Marc Apap / Jean-Paul Minali-Bella Violoncelle, Éric Levionnois / Éric Picard Contrebasse, Stéphane Logerot / Stanislas Kuchinski / Philippe Noharet / Philippe Aerts

Durée prévisionnelle : 1h30 (sans entracte)

Liste des œuvres (ordre et programme susceptibles de modifications) J. S. BACH

Double concerto pour hautbois et violon en do mineur BWV 1060 13’57 1 – Allegro 4’53 2 – Adagio 5’19 3 – Allegro 3’40

Concerto pour clavecin en fa mineur N°5 BWV 1056 2 – Andante 3’06

Concerto pour violon en la mineur n°1 BWV 1041 7’15 1 – Allegro moderato 3’40 3 – Allegro assai 3’35

R. GALLIANO

Opale Concerto 2 - Moderato 4’45

La valse à Margaux 3’30

Tango pour Claude 3’30

Petite Suite Française 13’00

Habanerando 5’30 R. GALLIANO / A. PIAZZOLLA

Aria / Libertango 4’00 A. PIAZZOLLA

Vuelvo al Sur (Regresso al Amor) 3’45

Otono Porteno 5’30

Oblivion 3’30

Escualo 3’20