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La Bible était restée là. À leur retour au village, des chrétiensirakiens ont également retrouvé les Saintes Écritures.

sonnes ont déjà changé de vie, voire com-mencé une toute nouvelle vie, grâce à unlivre de spiritualité ou à la biographie d’unsaint ! Il suffit de penser à saint Ignace deLoyola. Soldat blessé, cloué sur un lit d’hô-pital, il lut des vies de saints et s’écria : « Sicela a été possible pour eux, cela le seraaussi pour moi ».

La Bible, le catéchisme, les écrits des saints,la littérature spirituelle, tout bon livre est unguide dans nos vies. Ils inspirent notreprière et notre action et nous enseignent lavérité sur Dieu et sur l’homme. Un bon livrede spiritualité renforce l’âme et nous rendprêts à répondre à « quiconque vous de-mande raison de l’espérance qui est envous » (1 Pierre 3, 15).

Depuis sa création, l’« Aide à l’Église en Dé-tresse » a déjà distribué plus de 51 millionsd’exemplaires de la Bible de l’enfant dans lemonde entier. L’« Aide à l’Église en Détresse »soutient par ailleurs, à travers de nombreuxprojets, la traduction et l’édition de Bibles

Saint Don Bosco a dit un jour : « Tantd’âmes ont été sauvées par de bons livres ;il y en a tant qui ont été préservées de l’er-reur et incitées à faire le bien ! Celui quidonne un bon livre, n’aurait-il éveilléqu’une seule pensée pour Dieu, a déjà acquis des mérites incompara-bles auprès de Dieu. Et pour-tant, le résultat obtenu est engénéral tellement plus élevé ! »

Oui, de même que l’annonce dela Bonne Nouvelle et le témoi-gnage vivant de l’Église, les bons livres despiritualité prennent eux aussi une part es-sentielle à la transmission de la foi. La pre-mière place est, bien sûr, occupée par lelivre des livres, les Saintes Écritures, qui pro-viennent de la source de la révélation di-vine, et par lesquelles Dieu lui-même nousparle. C’est pourquoi notre Œuvre de bien-faisance pastorale est particulièrement at-tachée à la diffusion mondiale des SaintesÉcritures et des livres catéchétiques et reli-gieux. Même si un livre ne peut remplacerl’annonce personnelle de Jésus, Parole vi-vante de Dieu, il peut grandement aider àtrouver le chemin de Dieu et à grandir dansla connaissance de la foi. Combien de per-

et d’autres écrits théologiques, catéché-tiques et spirituels. Ces publications serventla mission pastorale de l’Église. Elles sontégalement nécessaires à la formation desprêtres et des religieux.

La formation religieuse et la catéchèse desenfants et des adolescents font également

partie des préoccupations spé-ciales de l’« Aide à l’Église en Dé-tresse ». C’est dans ce but qu’ellea créé la Fondation YOUCAT,avec sa propre maison d’édi-tion. Cette fondation développe,publie et diffuse du matériel ca-

téchétique qui permet aux enfants et auxadolescents de découvrir la foi de façon at-trayante, comme base de leur vie.

Grâce à de telles publications, nous aidonsdes millions de personnes à connaître Jésuset à trouver en Lui la Vie. Chers amis, aidez-nous à sauver des âmes grâce à de bons livres.

Je vous bénis avec gratitude,

P. Martin Maria BartaAssistant ecclésiastique

« Les livres inspirent notreprière et notre action etnous enseignent la véritésur Dieu et sur l’homme ».

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« Qu’avez-vous donc entre lesmains ? Un livre de littérature ?Quelques belles histoires anciennes ? Non, la lumièreest venue dans le monde parla Parole de Dieu. Vous avezdonc quelque chose de divindans les mains : un livre brûlant comme le feu ! Unlivre dans lequel Dieu parle. » Pape François, Préface du YOUCAT Bible

N° 6 · Août 2019 Huit numéros par an

www.aide-eglise-en-detresse.ch

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Qu’a dit Jésus ? S’exercer à témoignerde sa foi.

On ne cesse de nous demander d’aider lesfidèles sans ressources à disposer desSaintes Écritures sous une forme approu-vée par l’Église. Or, il y a non seulement lespays où il est dangereux de posséder uneBible, par exemple dans les dictatures is-lamistes, telles que l’Arabie saoudite, maisaussi ceux dans lesquels des peuples ontreçu, pendant des décennies, l’éducationathée de dictatures impies et ennemiesde l’Église. Dans ces pays, la littératurereligieuse est d’une urgente nécessité.

Cubaaussi est communiste depuis prèsde 60 ans. Cependant, après deux vi-sites pontificales, l’intérêt pour la fois’est réveillé. L’archidiocèse de La Ha-vane voudrait enseigner aux fidèlesune méthode de lecture de la Bible parla prière et la méditation. Cela oppo-serait par ailleurs la Bonne Nouvelle

au désespoir de nombreux Cubains, dû à leursituation politique et économique, et leur re-donnerait le courage de vivre. Une Biblecoûte CHF 4,34 et 15‘120 Bibles peuvent tenir

Celui qui croit doit avoir des connais-sances. Le témoignage et l’annoncede la Bonne Nouvelle sont précédésde l’étude.

Les coptes catholiques du Caire (Égypte)ont trouvé un moyen d’apprendre amusantet qui motive des milliers d’enfants. Ils orga-nisent un quiz biblique. Cette année, c’est latroisième fois que le concours a lieu. Il duresix mois et une finale accueille les cent meil-leurs participants. 3‘500 jeunes, âgés de 12à 18 ans, y participent. Chacun reçoit une

Bible qu’il doit étudier, il s’agit surtout duNouveau Testament. Au cours du premiermois, c’est l’Évangile selon saint Matthieuqui est à l’honneur, puis saint Marc, saintLuc et saint Jean. L’enthousiasme est grand.En septembre, juste avant le début de l’année scolaire et lors d’un long week-end,les finalistes montreront à quel point ilsconnaissent bien la vie de Jésus et la BonneNouvelle. Les livres, l’organisation, et sur-tout l’hébergement pour le week-end finalimpliquent des frais que les communautéscoptes catholiques, pauvres, ne peuvent pas

entièrement prendre en charge. Nous les aidons à hauteur de CHF 5‘600. Car « vousserez mes témoins ... jusqu’aux confins de laterre » (Actes 1, 8). •

Il y a environ 7‘350 langues dans le monde. La Bible complète est traduite en 692 d’entre elles etle Nouveau Testament en 1‘547. Avant que la Bonne Nouvelle ait atteint tous les peuples,jusqu’aux confins de la terre (cf. Mt 28,19), on ne peut que dire, avec le Père Werenfried : « Il y aencore beaucoup à faire. »

Bibles pour Cuba : même après des décennies d’athéisme, le désir de Dieune s’est pas éteint.

dans un contai-ner de fret. Nous pourrions ainsiapprovisionner les dix autres diocèses deCuba pour cette nouvelle évangélisation.Nous avons promis CHF 71‘000.

Il est fréquent que nous devions traduire lecatéchisme et la Bible, non seulement dansde nouvelles langues, mais aussi dans un lan-gage contemporain. C’est ce qui a été faitavec le Catéchisme de la Jeunesse YOUCATet les autres écrits de cette série, par exempleceux sur la première communion. En atten-dant, le YOUCAT à lui seul a été imprimé àplus de cinq millions d’exemplaires. Cepen-dant, partout dans le monde, c’est aussi parInternet qu’on atteint les jeunes. Les publica-tions du YOUCAT doivent donc être numéri-sées afin que les jeunes puissent avoir lecatéchisme et des informations complémen-taires, sur leur téléphone. Il s’agit d’un véri-table investissement dans l’avenir. C’estcomme cela que la Bonne Nouvelle atteindrales confins de la terre. Il reste encore beau-coup à faire. •

Grâce à l’applicationYOUCAT, je suisbranché sur la

Parole de Dieu, ellene me quitte pas.

« Bosser » joyeusement sur sa Bible

Littérature religieuse

Jusqu’aux confins de la terre

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« Dieu lui-même est l’auteur du mariage », est-il écrit dans « Gaudium et Spes »(1965), et Benoît XVI a ajouté : « Le sacrement du mariage n’est donc pas une inven-tion de l’Église, il a réellement été “co-créé” avec l’homme en tant que tel, en tantque fruit du dynamisme de l’amour, dans lequel l’homme et la femme se trouventmutuellement et trouvent ainsi également le Créateur qui les a appelés à l’amour. »

Cette vérité est valable pour toutes les cul-tures. Mais chaque culture a ses propres pro-blèmes. En Afrique, il s’agit souvent du sida,dû à l’infidélité et à la prostitution. Le sida faittoujours deux catégories de victimes : les per-sonnes qui meurent de la maladie, ainsi queles orphelins, les veuves et les veufs. Leurnombre est en augmentation. Dans l’archi-diocèse de Kisumu (Kenya), Mgr PhilipAnyolo fait donc la promotion d’un pro-

gramme familial de régulation naturelle desnaissances, « afin que les familles de Kisumupuissent vivre selon le plan divin. » Il s’agitd’une nouvelle version de ce programme : parmanque d’argent, il avait dû être interrompupendant des années, ce qui avait immédiate-ment fait augmenter le nombre des victimes.Aujourd’hui, les couples sont formés avecl’expertise appropriée qu’ils diffuseront en-suite dans 45 paroisses. L’objectif est de for-mer 380 couples d’ici un an. Nous aidons Mgr Philippe et son équipe à hauteur de CHF 16‘100.

En Asie, l’égalité des sexes est un enjeu ma-jeur. La Conférence épiscopale du Bangla-desh a donc donné à la vie conjugale lapriorité, dans le cadre du programme triennalde la pastorale familiale. Ce sont surtout lescouples expérimentés qui expliquent com-ment vivre l’amour chrétien sur un piedd’égalité et surmonter les crises. Cela sup-pose de connaître les techniques de commu-nication, les fondements bibliques dumariage et de pratiquer la régulation desnaissances. Après les trois années du pro-gramme, les 95 couples doivent répandredans leurs villes et villages la doctrine catho-

Biélorussie : ensemble, avec l’Église,pour renforcer la famille.

Kenya : unis contre le sida et pour lebonheur conjugal.

Bangladesh : programme pour jeunescouples, sur un pied d’égalité.

lique de la famille, « chef-d’œuvre de Dieu »(Pape François), en tant qu’ambassadeurs dumariage chrétien. Nous soutenons leurs efforts, à hauteur de CHF 7‘200 par an.

Dans les pays de l’ex-Union soviétique,l’Église est aux prises avec les suites de l’inhu-manité du communisme. L’avortement est un moyen courant de régulation des naissances.Consom mation de drogue et suicide augmen-tent, même chez les jeunes. C’est pourquoi, laCommission pour le mariage et la famille dela Conférence épiscopale de Biélorussie aproclamé 2019 « Année de la famille », afin desoutenir la famille. Elle propose des sémi-naires, des cours de préparation à la nais-sance et des psychothérapies. Des retraitesspéciales et un congrès des mouvements familiaux sont également au programme.Nous y renforçons la lutte pour le mariage etla famille, à hauteur de CHF 7‘800. •

Pastorale du mariage et de la

famille

Vivre selon le plan de Dieu

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Proche-Orient

« Puis, prenant un enfant, il le plaça au milieu d’eux ;et après l’avoir embrassé, il leur dit : Quiconque accueille un petit enfant comme celui-ci à cause demon nom, c’est moi qu’il accueille ; et quiconque m’accueille, ce n’est pas moi qu’il accueille, mais Celuiqui m’a envoyé » (Mc 9, 36 - 37). Les enfants sont aucœur du christianisme. Ils sont l’avenir de l’Église.

C’est sous forme de camps d'été que le Pa-triarcat latin de Jérusalem met cette idée enœuvre pour ses 180‘000 fidèles. Cette annéeencore, 6‘000 enfants et adolescents prove-nant de 36 des 55 paroisses participent à cescamps. Les deux à quatre semaines de coursen Israël, en Jordanieet dans les Territoiresautonomes palestiniens sont supervisés pardes prêtres, des animateurs et des caté-chistes.

Le programme comprend du sport, du théâ-tre, de la peinture, des activités artistiques,des services communautaires, de l’instruc-tion religieuse et, bien sûr, la prière en com-munauté et la célébration de l’eucharistie.Des excursions vers les lieux de Terre Sainteoù Jésus a accompli sa mission font aussipartie du programme.

De nombreuses familles, en particulier enprovenance des territoires palestiniens, n’ontpas les moyens de payer à leurs enfants, lesdeux à trois semaines de cours. Elles reçoivent des subventions, car les expé-riences que font les enfants dans ces campsd’été sont sans prix. Les 150 enfants, de quatre à quatorze ans, originaires de la bandede Gaza apprennent par exemple, au cours deces semaines, qu’il y a des enfants commeeux dans toute la région, qu’en Israël des fa-milles chrétiennes cherchent à traiter tout lemonde avec amour, que la sécurité et la joiene sont pas de lointains objets de désir, maisque la paix dans les cœurs est possible ici etmaintenant.

On peut en dire autant des 60 enfants de Na-zareth ou des 80 enfants de 5 à 12 ans de Sma-

Pouvoir être un enfant enTerre Sainte

kiyeh, en Jordanie. Ils apprennent tous, en bri-colant ou en faisant du théâtre, qu’il faut de lapatience et de la persévérance pour atteindreson objectif ; qu’en jouant au basket-ball ou aufootball, il faut s’excuser après une bousculadeou une faute, se supporter et pardonner.

Les enfants et adolescents apprennent ainside façon ludique comment voir l’autre à tra-vers les yeux du Christ, lui qui prend chaqueenfant dans ses bras. Une telle prise deconscience et un tel comportement sont labase d’un avenir pacifique. Le Patriarcat investit beaucoup dans ces camps d’été pro-metteurs. Nous le soutenons à hauteur de CHF 33‘300. En effet, Jésus a dit : « Laissezles petits enfants venir à moi ; ne les empê-chez pas ; car c’est à leurs pareils qu’appar-tient le Royaume de Dieu » (Mc 10, 14). •

Se serrer les coudes et aller de l’avant, c’est aussice que l’on apprend dans le camp de vacances.

Dernières instructions : Sœur Cecilia explique le programme de l’excursion.

La messe est centrale pour les petits et lesgrands, y compris pendant les vacances.

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Avec la bénédiction des papesSaint Jean-Paul II était là et s’est réjoui lorsque la Bible de l’enfant a été présentéepour la première fois à la Conférence épiscopale latino-américaine de Puebla, auMexique, en 1979. Lors de sa visite à la Ferme de l’Espérance, à Guaratinguetá auBrésil, le Pape Benoît XVI a reçu des mains d’un enfant le dix millionième exem-plaire en portugais. Et le Pape François avait déjà demandé des milliers de Biblespour enfants alors qu’il était encore Cardinal de Buenos Aires.

Après quarante ans, 51‘188‘209 exem-plaires ont été imprimés en 191 langues(juin 2019). Et ce n’est pas fini. Chaque jour,de nouvelles commandes et demandesnous parviennent du monde entier. Beau-coup de paroisses, diocèses ou ordres reli-gieux sont trop pauvres pour payer

eux-mêmes les frais d’impression. Parexemple, les sept diocèses du Pakistan(80‘000 exemplaires en langue ourdou,pour un coût de CHF 53‘300) ou l’Églisegréco-catholique d’Ukraine (50‘000 exem-plaires illustrés d’icônes, pour un coût deCHF 27‘800). Le diocèse de Tarahumara,dans le nord du Mexique, n’est pas nonplus en mesure de réunir les CHF 10‘300qu’il faut pour les 10‘000 exemplaires. Nousaidons ainsi les parents qui vont chaque semaine au catéchisme avec les enfants.

Chaque jour, des lettres de remerciementnous parviennent. Pour de nombreux en-fants des pays pauvres, par exemple duMozambique, si durement frappé par descatastrophes naturelles, c’est le seul livrequ’ils possèdent. Il est difficile d’imaginer,écrit le Père Ottorino, quel effet un si petitlivre peut avoir sur le cœur des gens. Dieu-donné, 13 ans, du Togo, remercie par cesmots : « Toutes les paroles de Jésus nous

font réfléchir et donnent un sens à notrevie. » Beaucoup sont touchés. Pour le petitMikel (Albanie), « c’est si triste, ce qu’a subiJésus. » Et des détenus brésiliens nous envoient ces lignes : « Je suis en prisonpour avoir tué quelqu’un. J’ai le sida. Dieuseul sait ce qui se passe en moi. Je ne saispas quoi faire de ma vie, mais une choseest certaine : cette petite Bible m’aidera. »

Personne ne sait quels fruits les 51 millionsde graines semées grâce à la Bible de l’enfant porteront, et combien de millionsd’âmes seront converties grâce à elle pen-dant les décennies à venir. Ce petit livre estbéni, depuis que le Père Werenfried l’alancé en 1979, année de l’enfance, en pro-nonçant ces mots : « Les enfants ont besoinde quelque chose comme une « Bible del’enfant » pour que l’image du Christ viveen eux. » La graine a germé dans le cœurdes enfants, et grâce à votre générosité,elle ne cesse de fleurir. •

La suite de la Bible de l’enfant : le YOUCAT pour les enfants.

Kazakhstan, septembre 2001 : une enfant montre à Jean-Paul II

sa Bible en kazakh.

Brésil : le Pape, les enfants et leur Bible :Benoît XVI, dans laFerme de l’Espérance.

Mexique : la Bibletout au long de lavie – des enfantsavec une édition entzeltal, leur languematernelle.

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40 années de la Bible de l’

enfant

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Détresse, amour et gratitude – Vos lettres

Palina, Krystyna et Valeria avaientvraiment fait beaucoup de chemin.Elles étaient venues au Panamaavec quatre autres jeunes filles deVitebsk, en Biélorussie – et elles ontprofité de chaque instant passé« dans le monde de la jeunesse et dela foi », gardant tout dans leur cœur.Comme elles l’écrivent, les Jour-nées Mondiales de la Jeunesse dejanvier 2019, avec les prières, les discussions, la catéchèse, les ont « infi-niment enrichies » et donc « incitées à agir. » Elles sont « très, très, très re-connaissantes » à Dieu ainsi qu’à vous d’avoir rendu cette expériencepossible. Maintenant, de retour chez elles, elles voudraient transmettre àleurs amis la joie « qui vient de l’Amour de Dieu » et qu’elles ont vécue auPanama. « Le monde traverse une crise amoureuse, » écrivent-elles, « lesjeunes peuvent la surmonter. »

Thomas Heine-Geldern, Président du Conseilexécutif

Chers amis !Nous, les seniors, sommes toujours heu-reux de voir des photos de jeunes,joyeux et engagés, par exemple dans unarticle sur les JMJ ou sur un importantrassemblement de mouvements spiri-tuels. Cela nous montre que notre tâchede guider la génération suivante versDieu et vers une relation directe avecJésus-Christ est réalisable.

Pour y parvenir encore mieux dans lemonde entier, l’« Aide à l’Église en Dé-tresse » s’implique depuis des annéesdans le soutien à la pastorale des fa-milles et des jeunes. Nous soutenonsdes programmes de formation appro-priés, auprès de nos partenaires de pro-jets. Notre Bible de l’enfant, réclaméedepuis quarante ans sur tous les conti-nents, est particulièrement populaire.Les ouvrages de la série YOUCAT, qui sesont rapidement et fortement répan-dus, s’y ajoutent désor-mais. Ils sontdisponibles non seulement pour nosfrères et sœurs de l’Église en détresse,mais aussi pour toutes les familles quicherchent à répandre l’Évangile.

Grâce à votre aide généreuse, nous pou-vons ainsi construire des ponts durablesde connaissances partagées autour denotre foi, et enthousiasmer les jeunespour Dieu et son amour.

Je vous en remercie du fond du cœur

Une profonde solidaritéJ’ai pris une partie de mes économies pouraider nos frères et sœurs chrétiens qui risquent leur vie à cause de leur foi en Jésus-Christ. Je ressens une profonde solidaritépour eux, témoins vivants qui ont été marty-risés, et dont beaucoup ont donné leur vie.C’est pourquoi je me suis abstenue de répon-dre à d’autres appels aux dons et vous envoiece chèque. Veuillez l’utiliser pour répondreaux besoins fondamentaux des Églises lesplus pauvres.

Une bienfaitrice du Portugal

La source de toute action chrétienne Ma mère nous a très tôt éveillés au sort deschrétiens persécutés. L’« Aide à l’Église en Dé-tresse » a toujours bénéficié de son soutien,même lorsqu’il ne lui restait que deux sous.Après son décès en 2011, j’ai voulu prendre lerelais. À mon tour, je tiens, comme tous ceuxqui vous soutiennent, à vous remercier pourtout ce que votre travail rend possible. Maisje vous remercie également pour vos « éditos» qui nous rappellent avec force le cœur de

notre foi, la source de toute action réellementchrétienne. Parmi les phrases mises enexergue sur la première page de vos bulle-tins, j’en relève deux qui m’ont marquée etqui m’accompagnent au quotidien : « Finale-ment, ce n’est pas l’élimination de la détressequi compte, mais l’Amour jusqu’à l’extrême,comme l’Amour infini de Dieu » (P. Barta, jan-vier 2017) et « Toute lumière, toute force spi-rituelle, toute raison d’espérer vient de lacroix » (Mgr Piacenza, mars 2019).

Une bienfaitrice de Belgique

Merci pour votre merveilleuse mission Je vous remercie par avance et vous encou-rage, par ce don, dans cette merveilleusemission d’apaiser les cœurs, d’essuyer leslarmes de nos frères et sœurs persécutés, etde leur redonner de l’espoir, une chaleur hu-maine si nécessaire dans l’obscurité destemps actuels, et de transmettre le flambeaude la lumière de l’Évangile, notre Bon Jésus,Lumière du monde.Merci d’être cette humanité de surcroît !

Un bienfaiteur de France

Poussées à agir

Rédaction: Jürgen Liminski, ACN International, D-61452 KönigsteinTypo mention: Editeur Kirche in Not (ACN), Cysatstrasse 6, CH-6004 Lucerne –Imprimé en Suisse – ISSN 0252-2519 –De licentia competentis auctoritatis ecclesiasticae – Circulaire – huit numéros par an – cotisation CHF 10.-

Aide à l’Église en Détresse (ACN)Bureau national: Cysatstrasse 66004 LucerneT 041-410 46 70

mail@aide-eglise-en-detresse.chwww.aide-eglise-en-detresse.ch

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Antenne romande: Rue de Botzet 2

1700 Fribourg T 026-422 31 60

Merci de transmettre le Bulletin à vos amis, aux personnes intéressées ou à votre paroisse,après lecture.