« la petite lézarde » journal scolaire du collège...

Décembre 2011 n°7

Prix: 1 € Année scolaire

2011-2012

« La petite Lézarde »

journal scolaire du

collège Edouard

Glissant

Des algues qui agacent!

page 3

Saint-Pierre d’hier à aujourd’hui.

2

Au secours, mes

parents divor-

cent! Page 11 Les délégués risques majeurs: ça

sert à quoi? Page 5

Editorial

Cette année le journal revient avec de nouveaux articles pour tous

les curieux et de nouvelles recettes : de quoi nous tenir informés

sur les dernières nouveautés et ravir les petits gourmands !

Vous connaissez les journaux people ? Et bien celui-ci est encore

mieux !

Nous vous souhaitons une bonne lecture, une bonne

dégustation d’avance ainsi que de joyeuses fêtes!

L’équipe de rédaction du journal

Sommaire :

Invasion d’algues sargasses (page 3)

Que faire le midi au collège? (page 4)

Les délégués risques majeurs ^(page 5)

Les métiers liés à la santé (page 5)

Les projets de la SEGPA (pages 6 et 7)

Les dessous de l’Histoire (page 8)

Comment faire un documentaire? (page 9)

Tartuffe (page 9)

La Martinique de demain (page 10)

Au secours! Mes parents divorcent (page 11)

St-Pierre d’hier à aujourd’hui (page 12)

La recette des pâtés de noël

(page 13)

Nos jeux (page 14)

Mur d’expression (page 15)

La BD d’Andréa (page 16)

L’actu!

Invasion d’algues sargasses

L’algue sargasse est une algue brune très répandue dans la mer des

sargasses (au large de la Floride). C’est une algue qui flotte sur l’eau,

et qui se déplace au gré des courants.

Ces algues envahissent les plages de Martinique depuis quelques mois.

Cette brusque invasion peut s’expliquer par deux phénomènes : la pol-

lution de la mer, et le réchauffement climatique.

En effet plus l’eau est chau-

de et plus elle est riche en

nitrates (présents dans les

engrais) plus l’algue se repro-

duit.

Cette invasion pose plusieurs

problèmes :

- Elles enlaidissent les plages

et ne donnent pas envie de se

baigner (c’est mauvais pour le

tourisme).

- En s’accumulant elles se dé-

composent en libérant un gaz (le sulfure d’hydrogène) qui a une

odeur d’œuf pourrie et qui peut, être toxique à forte dose.

- Elles obligent la fermeture de certaines plages à la baignade pour

des raisons sanitaires.

Pour se débarrasser de ces algues, une

seule solution : le ramassage à la pel-

leteuse et à la main.

Nous sommes bien impuissants face à

une telle invasion et nous nous rendons

compte que nous en sommes responsa-

bles par nos comportements de pol-

lueurs.

Soyons responsables ar-

rêtons de polluer !!!

Richefal Axel (6eme5 )

Cassius-De-Linval Guillaume (6eme5 )

Le p’tit savant

Que faire entre 12 et 14h?


journal scolaire du collège

Edouard Glissant

ROSE-ANTOINETTE Brice (6ème1) et AURORE Auriane (6ème3)

Nom de l’atelier Responsable Objectifs Jour et heure

Atelier numérique Mme MARVEAUX Apprendre à utiliser

les ordinateurs

Lundi et jeudi

12h30 – 13h30

Défi lecture 5ème Mme MARVEAUX Permet de lire Mardi 12H30 –

13H30

Liaison CM2/6ème Mme MARVEAUX Faciliter l’intégration

au collège des futurs

élèves de 6ème

Vendredi

14-16h

Maths par le jeu M. CHOMERAU-

LAMOTTE

Mme BETZI

Il s’agit de faire des

maths autrement, de

façon ludique pour

développer des stra-

tégies et améliorer

son raisonnement

Lundi 12h45 – 13h45

Good Food style Mme CASTRY Apprendre à se nour-

rir de façon équilibrée

en utilisant les pro-

duits locaux.

Mardi 12h45 – 13h45

Développement dura-

ble

Mme CASTRY

Mme ROTH

Sensibilisation aux

problèmes environne-

mentaux en Martini-

que

Mardi 12h15

Volley Ball M. MAVILLE travailler sur la capa-

cité à coopérer et on

développe la dextéri-

té.

Lundi et jeudi

12h30 – 14h

Danse et musique

traditionnelles

Mme CASTRY

Mme LAPOUSSINIERE

Lundi et jeudi 16h-

17h

Découverte de la

culture cubaine à tra-

vers les danses

Mme NAUD Découvrir les diffé-

rentes danses cubai-

ne et la culture cubai-

ne

Lundi 12h30-13h30

Crochet Mme ADELAÏDE

Habillement Mme ODINA Leur permettre de

progresser de façon

agréable et artistique

Mardi et jeudi

12h30 – 13h30

Chorale M. LOISEAU Préparer la produc-

tion de fin d’année en

tandem avec d’autres

collèges.

Lundi et vendredi

12h45-13h45

Théâtre et vie civique Mme GERME S’exprimer

Former les futurs ci-

toyens.

Mardi 12h45-13h45

Après la cantine, nous avons la chance de pouvoir participer à des ate-

liers. Ils nous permettent d’apprendre des choses, de nous détendre et

de devenir plus autonomes. La preuve avec la liste ci-dessous:

Année scolaire 2011-2012

Page 3

Les délégués risques majeurs (DRM)

Se soigner est important. Lorsque vous vous sentez mal, vous devez aller chez

le médecin généraliste. Celui-ci peut alors vous demander de vous rendre chez

un médecin spécialisé. En voici quelques uns :

-Le podologue, qui s’occupe des pieds et de leurs maladies.

-Le dermatologue, qui s’occupe de la peau et de ce qui s’y rapporte.

-Le cardiologue, qui s’occupe du cœur et de ses problèmes.

-L’ORL (Oto-rhino-laryngologiste), qui s’occupe des conduits internes (le nez,

les oreilles et la gorge).

-L’orthodontiste, qui place des appareils dentaires.

Comme métier lié à la santé, il y a aussi les pédiatres qui soignent les enfants et les vétéri-

naires (de ville ou de campagne) qui soignent les animaux.

La DP3 travaille cette année sur les métiers liés à la santé. Les élèves étudient chacun un

métier comme dentiste ou technicien. Ils sont déjà allés au CIO et l’infirmière Mme Roy Bel-

leplaine leur a rendu visite. Voici leurs impressions sur la DP3.

Qu’est-ce qu’un délégué risque majeur ?

Un délégué risque majeur est un élève d’une classe qui est chargé d’aider le professeur et

d’encadrer ses camarades en cas de risque majeurs (séisme, nuage toxique, tsunami etc.)

Quelles sont les qualités d’un délégué risques majeurs ?

Pour être un bon délégué, il faut :

-être responsable

-sérieux

-avoir le gout de l’entraide

-posséder des connaissances en matière de secourisme.

Pourquoi est-ce important d’avoir ces délégués dans les classes ?

M. DEFONTIS (correspondant risques majeurs) : « Il est important d’avoir des délégués

dans la classe parce qu’en cas de problèmes, ils pourront faire leur travail: au moment de la

crise, il faut plusieurs personnes pour ne pas céder à la panique. En cas d’incapacité momen-

tanée du professeur la classe ne sera pas livrée à elle-même »

AURORE Auriane (6ème 3), CADARE Juliana (6ème 6) et LAHELY Shanaèle (6ème 5)

Les métiers liés à la santé

Suite en page 6



Edouard Glissant

Le coin de la

SEGPA

Notre projet à la SEGPA « Patrimoine et environnement »

Nous avons travaillé ce trimestre sur le thème : « EAU , Source

de vie »

Le mardi 22 novembre 2011, une employée de l’O.D.E. (office départemental

de l’eau) nous a appris à économiser l’eau en jouant.

Le jeu GASPIDO ressemblait au jeu de l’oie. Le dé est lancé. Le pion est dépla-

cé sur les cases en fonction du nombre de points sur le dé. Chaque équipe est

composée de 4 joueurs.

Les joueurs de chaque équipe peuvent tomber sur une case défi ou une case

question ou une case réparation.

Par exemple :

la case défi : Le circuit de l’eau domestique ( l’eau à la maison)

La case question : A quel moment de la journée faut – il arroser les plan-

tes ?( le matin ou le soir)

La case réparation : Une fuite d’eau.( réparer ce problème avec du vérita-

ble matériel de plomberie)

L’équipe gagnante est celle qui a su préserver sa ressource en eau.

Les élèves des classes de 6ème 8 et 5ème 9.

« C’est intéressant. »

« Moi j’aime bien. »

« ça remonte la moyenne. »

« Il y a une bonne ambiance… »

Elèves interrogés : Leïla LAURENCINE, Prisca

ARMEDE, Sébastien FALGUIERE

BUGAUD Lucas (3ème 5) et JEAN-LOUIS Anthony (3ème 7)

LE CYCLE DE L’EAU

Le moteur de ce cycle est le SOLEIL qui fournit l’ENERGIE nécessaire :

Le soleil réchauffe tous les réservoirs liquides ( rivières, fleuves, lacs, mers et océ-

ans ) . Par la chaleur, les eaux se réchauffent , s’évaporent et forment les NUAGES. C’est l’

EVAPORATION .

Le soleil réchauffe aussi toutes les espèces vivantes ( végétales et animales. ), on

parle alors d’EVAPO-TRANSPIRATION.

Ces deux actions sont à l’origine de la formation des nuages qui par CONDENSATION

redonneront :

De la neige qui donnera les GLACIERS

De la pluie qui alimentera les eaux des :

NAPPES PHREATIQUES SOUTERRAINES

FLEUVES

RIVIERES

LACS

MERS et OCEANS .

Et le cycle recommence…. Ce dernier peut être modifié par l’action de l’homme ou des ca-

tastrophes naturelles.

Les élèves de la classe de 4ème 9



journal scolaire du collège Edouard Glissant

)

LE PALAIS DES COURANTS D’AIR

En 1680, le roi Louis XIV est victime d’une terrible rage de dents.

A l’époque, l’anesthésie n’existe pas ! Le médecin royal, monsieur

Daquin décide de lui extraire la molaire cariée. Malheureusement la

situation empire et le dentiste, pour éviter une infection, se lance

courageusement (pour le roi) dans l’arrachage de toutes les dents

de la mâchoire supérieure ! L’horreur est à son comble quand les

morceaux du palais royal sont arrachés...Le dentiste maladroit pro-

pose alors une solution : le bouton de feu… Cette méthode ‘radicale’

consiste à appliquer une tige de fer rougie dans la braise sur la

plaie afin de la cicatriser … C’est chose faite (pas moins de 15

fois ! ). Le roi( encore vivant !) ne peut plus mâcher ses aliments et

une odeur infecte le suit partout où il passe (il ordonne d’ailleurs

d’ouvrir les fenêtres pour ménager ses courtisans ). Quant aux ali-

ments qu’il mastique, ils ressortent parfois par le nez.

Moralité : il ne fallait pas tomber malade au XVIème siècle, vus les

piètres soins médicaux prodigués.

Quand vous irez chez le dentiste pour un prochain rendez-vous,

ayez une petite pensée pour le roi Louis XIV. La fraise et la piqûre

dans la gencive devraient être plus supportables !!!

Andy SAINT-AIME (6eme3)

Les dessous de l’Histoire

« J’ai vu »


Au centre culturel de Fort-de-France, l’Atrium, il y a eu une représenta-

tion de « Tartuffe », une pièce de Molière mise en scène par Hervé

Deluge avec en tête d'affiche, Joby Barnabé et Orlane (nos photos). Le

21 octobre de 8h00 à 11h00 (les chanceux), les élèves de 3ème1 et de

4ème4 y sont allés, accompagnés de Mme Marveaux, de Mme Bucher et de

Mme Milot. Les élèves ont apprécié car c’était drôle.

MARIE-REINE Maud (3ème 1)

La DP3, la DP6, la 4ème2 et nous, deux élèves du journal, sommes allés à la médiathèque

municipale du Lamentin, le jeudi 17 Novembre 2011 de 8h30 à 11h50. Après trente minu-

tes de marche sous le soleil, nous y sommes arrivés pour assister à un film documentaire

et regarder une exposition à l’occasion du mois du film-documentaire. Pour commencer,

nous avons vu le film réalisé par Kharmélioud Moïse, qui était en avant-première. C’était

l’histoire de six jeunes en Haïti âgés de 18 à 29 ans. Ils pratiquaient des métiers diffé-

rents : peintre, vendeuse, caméraman, étudiante en médecine, comédien et prostituée. On

pouvait les voir exposer leur point de vue sur l’Haïti d’aujourd’hui et les problèmes sociaux

qui existent là-bas. Il y a eu une coupure de courant, mais ça n’a pas été très grave. Hors

de la salle, une exposition composée de onze pancartes nous attendait, présentée par une

animatrice-géographe. Cette exposition nous expliquait les différents aspects d’un docu-

mentaire. Puis, nous sommes revenus au collège.

BUGAUD Lucas (3ème5)

JEAN-LOUIS Anthony (3ème7)

Compte rendu de la sortie du 17 novembre

Tartuffe

« L’appren-

ti citoyen »

La Martinique de demain



Edouard Glissant

La Martinique de demain est vue différemment par chacun. Certains

ont une vue négative d’elle, mais d’autres au contraire voient bien

leur avenir en Martinique. Nous avons réalisé une enquête auprès des

élèves et des professeurs du collège pour qu’ils nous confient leur vi-

sion de l’avenir en Martinique.

Question : Comptez-vous rester en Martinique ?

Voilà ce que certains de nous ont répondu :

Mathieu 3e1 : « Je compte rester en Martinique, mais partir en mé-

tropole pour faire mes études universitaires et revenir pour y tra-

vailler. »

Zoé 6e1 : « Non, parce qu’il fait trop chaud et c’est trop petit ! Et je

ne pense pas y trouver un travail. »

Inès 6e5 : « Oui, c’est tout de même mon pays d’origine !!! Mais je

pars pour mes grandes études. »

Question : Comment pouvons-nous changer la Martinique ?

Anonyme : « Bien éduquer mes enfants si j’en ai !!! »

Cindy 6e3 : « Faire des travaux pour renouveler la Martinique. »

Jeanne 6e5 : « Améliorer notre comportement envers l’environne-

ment. »

Questions : Qu’espérez –vous des jeunes pour l’avenir de la Martini-

que

Certains des professeurs ont aussi répondu :

M.Chomereau-Lamotte (maths) : « Qu’ils soient autonomes. »

Mme.Dauvin (allemand) : « Qu’ils soient bien dans leur peau. »

En conclusion : La Martinique peut compter sur la nouvelle génération

pour s’investir dans l’avenir de leur île. La situation ac-

tuelle n’est pas une fatalité et nous sommes tous acteurs

de notre avenir.

CYRILLE —JOLI Ines, HONORE Julie-Anne, JEAN—GILLES Naïma et LAUZEA Jeanne (6ème5)

Année scolaire 2011-2012 Au secours! Mes parents divorcent

Le divorce (dissolution définitive du mariage) est de plus en

plus fréquent. En France, on compte 110 000 divorces par an,

et ce nombre ne cesse d’augmenter. En effet, si 5% des cou-

ples mariés finissaient par divorcer en 1914, ils sont 10% en

1970, 30% en 1985 et 45% en 2011.

Il est donc possible que parmi vous chers lecteurs, il y ait des victimes col-

latérales du divorce !

D’après les témoignages recueillis certains élèves du collège ont souffert

du divorce de leurs parents.

Par exemple, D. nous confit avoir beaucoup pleu-

ré même s’il s’attendait à la nouvelle. Il nous a

également raconté l’épisode du tribunal qui a

décidé que la garde reviendrait à sa maman, son

père versant une pension alimentaire et l’ac-

cueillant un week-end de temps en temps.

Finalement, notre regard sur le divorce est mi-

tigé. C’est un épisode douloureux dans la vie de

nos parents et dans la nôtre mais avec le temps,

on s’y fait. Nos parents, s’ils se sont mis d’accord sur les conditions du di-

vorce, entretiennent une relation apaisée et ils ne se disputent plus.

Autre avantage et pas des moindres : on se retrouve avec deux maisons, on

peut avoir de nouveaux frères et sœurs dans le cadre d’une famille recom-

posée et puis surtout… deux fois plus de cadeaux à Noël et aux anniversai-

res !

Laurianne TOUSSAINT et Cyrielle BRULU (6eme3)

.

« On se retrou-ve avec deux maisons (…) deux fois plus de cadeaux de noël »

Notre territoire



Edouard Glissant

Saint-Pierre: d’hier à aujourd’hui

Autrefois, Saint-Pierre située sur la côte Nord Caraïbe était la princi-

pale ville de notre île. On parlait même de la « Petite Paris des Antil-

les ». Tout s’est pourtant arrêté le 8 mai 1902 avec le réveil de la

Montagne Pelée.

Historiquement, il ne s’agit

pas de la première catas-

trophe de ce genre puisque

des archives témoignent

d’éruptions en 1635, 1851

et 1852.

La dernière est la plus dé-

vastatrice. Elle a détruit

totalement la capitale de

l’époque et fait plus de 30 000 victimes. Lorsque les secours parvien-

nent à Saint-Pierre au lendemain de la catastrophe, seul, le prisonnier

Cyparis a survécu, son cachot lui ayant servi de protection.

Aujourd’hui, Saint-Pierre a un autre visage

avec ses ruines mais aussi sa baie. La ville

d’art et d’histoire compte de nombreux pro-

jets. Il existe par exemple le projet du

« Grand Saint-Pierre » lancé par le Conseil

régional et confié à l’ écrivain Patrick CHA-

MOISEAU. Il s’agit d’un projet ambitieux qui

vise à faire de la ville le cœur culturel de la

côte caraïbe. Les Pierrotains ont été invités

en octobre dernier à une réunion visant à dé-

finir le projet. Les habitants participent donc directement à la trans-

formation de leur ville.

En attendant la grande métamorphose dame Pelée retient son souffle.

Gageons que ce projet permettra de redynamiser cette partie du

Nord de notre île.

David INIMOD (6ème 3)

L’écrivain Patrick CHAMOISEAU.

Source: France-antilles.fr

NOEL APPROCHE

La S.E.G.P.A. vous propose une recette facile à réali-

ser.

PATES DE PORC

Pour 12 pâtés.

La pâte brisée :300g de farine-150g de margarine-sel –eau.

La farce :150g de viande de porc maigre-3 tranches de pain – 1/5L

de lait-sel– huile-piment-bois d’inde en poudre– girofle en poudre-3

gousses d’ail –1 gros oignon – oignon pays – thym – persil.

La dorure:1 œuf .

Préparer la pâte brisée: tamiser la farine, ajouter le sel puis la mar-

garine. Bien mélanger le tout. Mettre ensuite de l’eau de façon à ob-

tenir une pâte ni trop molle, ni trop cassante. Faire une boule avec

la pâte, la fraiser et la laisser reposer à peu près 20 minutes.

Préparer la farce : hacher très finement la viande,l’ail, l’oignon,

l’oignon pays,

Le thym et le persil : les mettre dans une russe avec l’huile, le sel, le

bois d’inde et le girofle; ajouter du piment selon ses goûts . Faire re-

venir le tout sur feu vif pendant 15 minutes environ. Sortir du feu et

lier cette farce avec le pain au préalable trempé dans le lait, pressé et

écrasé très finement.

Préchauffer le four.

Abaisser la pâte brisée; faire avec 24 petits disques; garnir la moitié

avec la farce, humidifier leur contour; poser par dessus les autres

disques de pâte et faire tout au tour une légère pression pour

souder les pâtés. Les dresser sur tôle garnie de papier cuisson, les

dorer et les enfourner pour une cuisson d’environ 20 minutes à four

chaud. Déguster

Les élèves de la classe de 3ème 9

Année scolaire 2011-2012 Les pâtés de noël, tout chauds!

Miam!!!

Courrons voir si

tout cela est

bon!

« Jeux »

Solution

des jeux

Nos jeux

pour les enfants sont rares. Il est encore plus rare qu'un peintre représente le thème de l'enfance. Ce tableau est donc un véritable trésor pour connaître les jeux des jeunes Euro-péens du XVIème siècle. En observant attentivement les différentes scénettes, tu vas sans doute reconnaître certains jeux qui ont réussi à traverser le temps et qui sont joués, encore aujourd'hui.

Trouve à quels numéros du tableau correspondent les lettres/jeux ci-dessous :

Sur cette huile

sur bois du peintre

flamand Pieter

Bruegel (1525-

1569) de 1560, in

titulé "Les Jeux

d'enfants", figu-

rent près de 250

enfants et près de

80 jeux du XVIè-

me siècle. A cette

époque, les jouets

fabriqués

A. Glissade sur muret F. Chaise K. Cerceaux

B. Saute-mouton G. Galipettes L. Colin-maillard

C. Echasses H. Cochon pendu M. Osselets

D. Combat de chevaliers I. Passe l'allée N. Barre d'équilibre

E. Tonneau-balançoire J. Marteau-ciseaux-papier 0. Touche bassine

Solution : A.10 - B. 5 - C.8 - D.6 - E.9 - F.3 - G.13 - H.14 - I.11 - J.4 - K.1 - L. 15 - M.7 - N. 12 - O.2 -

La violence

Sur la Terre, c’est la galère, il y a des pè-

res et mères qui sont en colère. Les acci-

dents inquiètent tous les parents et les

enfants. Quand il y a des motards qui

meurent pour définir ça, je fais de l’art

sur un car. Ne buvons pas beaucoup de

bière parce quand je vois des accidents

sur la route, mes yeux coulent avec de

grosses gouttes et ta vie devient un enfer

sur l’univers donc respectons la sécurité

routière. Quand je pense à la violence, je

pense à l’ambulance qui ne fait pas de la

danse. Le jeune TEDDY sa vie est fini, il

est parti et est détruit. Il ne faut pas

faire de fleurs à ses agresseurs parce

qu’ils n’ont pas de cœur et je crois qu’ils

ont eu peur d’être arrêtés.

ARRETONS LA VIOLENCE CAR CE N’EST

PAS UN JEU !

MARIE-LUCE Ismaël-Morgan (6ème 5).

Mentions légales

Un grand merci

pour vos poèmes !

« Mur d’ex-

pression »

Responsable de la publication:

M. CHOMONO (Principal)

Rédacteurs en chef

Mmes GERMÉ, POLLET-THIOLLIER

et ROTH

Comité de rédaction:

AURORE Auriane 6ème 3

BATARBOT Anthony

BRULU Cyrielle 6ème 3

BUGAUD Lucas 3ème 5

CADARE Juliana 6ème 6

CASSIUS DE LINVAL Guillaume 6ème 5

CYRILLE-JOLI Ines 6ème 5

HONORE Julie-Anne 6ème 5

INIMOD David 6ème 3

JEAN-GILLES Naïma 6ème 5

JEAN-LOUIS Anthony 3ème 7

LAHELY Shanaëlle 6ème 5

LAUZEA Jeanne 6ème 5

MANGEOT Zoé

MARIE-REINE Maud 3ème 1

MONGINY Gaëlle 6ème 1

NKOUNOU Xavier

RICHEFAL Axel 6ème 5

ROSE-ANTOINETTE Brice 6ème 1

SAINT-AIME Andy 6ème 3

TRAVAILLEUR Julia 6ème 1

TOUSSAINT Lauriane 6ème 3

RECHERCHE D'IMAGES: Xavier NKOUMOU, Cindy MARIE-JOSEPH, BATAR-

DOT Anthony (6eme3)

La BD d’Andréa

LENERAND Andréa 3ème

« la petite lézarde » journal scolaire du collège...

Documents