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Healthy Living in New Brunswick Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 Tackling Men’s Health Tackling Men’s Health Parlons de la santé des hommes Parlons de la santé des hommes

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Page 1: Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 Tackling Men’s Healthen.horizonnb.ca/media/33721/vibrant_winterspring2010.pdfanswers to popular questions from our very own health experts from

Healthy Living in New Brunswick Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick

Winter/Spring | Hiver/printemps 2010

Tackling Men’s HealthTackling Men’s Health

Parlons de la santé

des hommes

Parlons de la santé

des hommes

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Contents / Table des matières

Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick | www.HorizonNB.ca | Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 . . . . . . . Page 3

Noteworthy 2 2 Points d’intérêt

Ask the Expert 4 5 Demandez aux experts

Please DON’T pass the Salt! 6 7 S’il vous plaît,

NE PASSEZ PAS le sel!

Sleepless Nights 8 9 Les nuits blanches

Men – Keep Your Heart Healthy! 10 11 La santé cardiaque

des hommes

Raising a Bilingual Child 12 13

Comment élever un enfant pour qu’il devienne bilingue

Energy Drinks 16 17 boissons énergisantes

Happy, Healthy Travels 18 19 Des voyages agréables et sains

Safe snow fun 20 21 Profiter de la neige en toute sécurité

Dinner and kids 22 23 L’heure du repas et les enfants

For the love of lifting 24 25Pour l’amour

des poids et haltères

Volunteering It’s Good for You! 26 27 Le bénévolat,

c’est bon pour vous!

On the cover: Dr. Colm McGrath from Woodstock enjoys an afternoon of kayaking in mid-November. The photo was taken by his daughter Clare McGrath.

Sur la page couverture, Dr Colm McGrath, de Woodstock, profite d’un bel après-midi de la mi-novembre pour faire du kayak. La photo a été prise par sa fille Clare McGrath.

NoteworthyWelcome to the first issue of Vibrant for the entire Horizon Health Network.

It’s a new era in health care for this province, and our Health Authority recently highlighted that perspective by changing its name from Regional Health Authority B to Horizon Health Network. We also have a new Vision of leading for a healthy tomorrow and a new Mission to care for people, educate, innovate, and foster research.

The new brand symbolizes everything in health care we have to look forward to – a bright and clear future, with healthier people and healthier families living in healthier New Brunswick communities.

Our Health Network aims to provide accessible care and promote healthier living for all people we serve, serving people with excellence no matter where they live or which language they speak. It is truly a broad and inclusive organization.

As part of its broad mandate, Horizon Health Network has expanded Vibrant magazine, previously a Moncton-area publication, to serve the entire network. In the following pages, you will read about tackling men’s health, how to deal with insomnia, the health benefits of weightlifting for women, tips for safe and healthy travel, and answers to popular questions from our very own health experts from across the region – articles about things that affect your daily life.

Take some time to enjoy this publication as you learn along the way. The goal of this magazine is the same as Horizon Health Network’s – to make your life happier and healthier. We hope that as you read the following stories, you will see that message shining through.

Sincerely,

Digne de mentionBienvenue au premier numéro de Vibrant à être publié pour l’ensemble du Réseau de santé Horizon.

Une nouvelle ère commence dans la province pour les soins de santé, et notre régie de la santé a récemment mis cette perspective en valeur en changeant de nom. La Régie régionale de la santé B est devenue le Réseau de santé Horizon. Ce changement s’accompagne d’une nouvelle vision : ouvrir la voie à un avenir plus sain, de même que d’une nouvelle mission : soigner les gens, les sensibiliser, faire preuve d’innovation et encourager la recherche.

Notre nouvelle marque symbolise tout ce que nous pouvons espérer des soins de santé : un avenir clair et brillant, dans lequel les gens et les familles du Nouveau-Brunswick vivent en meilleure santé dans des collectivités plus saines.

Notre réseau de santé a pour but d’offrir des soins accessibles et de promouvoir des modes de vie plus sains auprès de tous les gens qu’il sert, tout en leur fournissant d’excellents services, peu importe où ils vivent ou la langue qu’ils parlent. Il s’agit véritablement d’une organisation diversifiée et inclusive.

Comme partie intégrante de son mandat général, le Réseau de santé Horizon a élargi la portée du magazine Vibrant, une publication autrefois limitée à la région de Moncton, afin de servir

l’ensemble du réseau. En lisant les pages qui suivent, vous obtiendrez des renseignements sur la santé

des hommes, des moyens de lutter contre l’insomnie, des renseignements sur les

bienfaits des poids et haltères pour la santé des femmes, des conseils pour voyager en sécurité et en santé et des réponses à des questions populaires, venant de nos propres experts en matière de santé : bref, des articles qui parlent de choses de la vie de tous les jours.

Prenez le temps, en cours de route, de profiter de cette publication. La revue Vibrant a le même objectif que le Réseau de santé Horizon : une vie plus heureuse et plus saine. Nous espérons que c’est le message qui transparaîtra pendant votre lecture des articles qui suivent.

Sincèrement,

Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick | www.HorizonNB.ca |Page 2 . . . . . . . Winter/Spring | Hiver/printemps 2010

Donald J. Peters, P.Eng./ing.

President and CEO of Horizon Health Network Président-directeur général du Réseau de santé Horizon

John D. Laidlaw, Q.C.

Board Chair for Horizon Health Network Président du Conseil d’administration du Réseau de santé Horizon

Healthy Living in New Brunswick Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick

Vibrant PublisherHorizon Health NetworkDonald J. PetersPresident and CEO

ÉditeurRéseau de santé HorizonDonald J. PetersPrésident-directeur général

Vibrant Content:Janet Hogan506-623-5500Editor-in-Chief

Erin Squires506-648-6139Managing Editor

Contenu de Vibrant :Janet Hogan506-623-5500Rédactrice en chef

Erin Squires506-648-6139Directrice de la rédaction

Design and Layout:Sheena Dougan Mosher

Design et mise en page :Sheena Dougan Mosher

Information provided in this publication is in no way meant to take the place of professional medical advice. Please consult a health professional for any medical condition or treatment. The opinions and views expressed in Vibrant are not necessarily those of Horizon Health Network. Reproduction in whole or in part without written permission is prohibited.

Les renseignements contenus dans cette revue ne remplacent en rien les conseils médicaux. Si vous croyez avoir un problème de santé, vous devriez consulter votre professionnel en soins médicaux. Les opinions exprimées dans la revue Vibrant ne sont pas nécessairement représentatives de celles du Réseau de santé Horizon. La reproduction intégrale ou partielle de la revue sans autorisation écrite est interdite.

Story ideas and letters to the editor can be submitted to:Erin SquiresPO Box 5200 400 University AvenueSaint John, NB, E2L [email protected]

Faites parvenir vos suggestions de textes ou vos lettres à : Erin SquiresC. P. 5200 400, avenue UniversitySaint John (N.-B.) E2L [email protected]

Visit Vibrant online: / Lisez Vibrant en ligne à l’adresse :

www.HorizonNB.ca

Volume 4, Number 2 Volume 4, numéro 2

Horizon Health Network155 Pleasant Street Miramichi, New Brunswick E1V 1Y3(506) 623-5500

Réseau de santé Horizon155, rue PleasantMiramichi (Nouveau-Brunswick)E1V 1Y3506-623-5500

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Healthy Living in New Brunswick / Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick | www.rhab-rrsb.ca | Fall / Automne 2009 . . . . . . . Page 11Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick | www.HorizonNB.ca | Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 . . . . . . . Page 5Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick | www.HorizonNB.ca |Page 4 . . . . . . . Winter/Spring | Hiver/printemps 2010

Ask the ExpertDemandez

aux experts

• Change your sleeping position. If you habitually sleep on your back, try the “tennis ball trick”. Sleep with a tennis ball attached to the back of your pajama top. The ball is uncomfortable if you lie on your back, and you will respond by turning onto your side.

• Clear your nasal passages so that a stuffy nose isn’t making your breathing difficult. While antihistamines can help with allergies, they relax throat muscles and cause snoring. Nasal decongestants may help you breathe more easily while sleeping and nasal dilators, also known as nose strips, may also help open up your nasal valve.

Q : Y a-t-il un remède non chirurgical contre le ronflement?Dre Simona ParascanMédecin, Médisanté Saint-Jean

R: À condition qu’il n’y ait pas de syndrome d’apnée obstructive du sommeil, on recommande de traiter le ronflement chez les personnes qui veulent maximiser la quantité et la qualité de leur sommeil, déranger le moins possible le sommeil de leur partenaire ou éliminer tout embarras causé par le ronflement. Avant qu’on vous oblige à coucher sur le divan, voici quelques conseils qui pourraient vous arrêter de ronfler.

Dr. /Dre Simona Parascan

• Évitez les produits laitiers ou de lait de soja à haute teneur en gras avant de vous coucher. Ils peuvent entraîner une accumulation de mucus dans la gorge, ce qui peut causer le ronflement.

• Songez à perdre du poids. Chez les personnes obèses, la perte de poids permet de réduire la quantité de tissu adipeux à l’arrière de la gorge, ce qui constitue souvent un remède efficace pour le ronflement léger à modéré.

• Évitez de consommer des boissons alcoolisées avant de vous coucher. L’alcool, le tabac et certains médicaments ont pour effet de détendre les muscles de la gorge et de la langue, ce qui augmente la tendance à ronfler.

• Changez de position pour dormir. Si vous dormez habituellement sur le dos, essayez le « truc de la balle de tennis ». Dormez avec une balle de tennis attachée au dos de votre haut de pyjama. La balle vous incommodera si vous vous couchez sur le dos, alors vous réagirez en vous tournant du côté.

• Nettoyez vos voies nasales de sorte à ne pas avoir de difficulté à respirer à cause d’une congestion. Bien que les antihistaminiques soient efficaces pour les allergies, ils détendent les muscles de la gorge et font ronfler. Les décongestionnants nasaux peuvent vous aider à mieux respirer quand vous dormez et les dilatateurs nasaux, c’est-à-dire les bandes nasales, peuvent aussi aider à dégager les voies nasales.

Q: How important are prenatal vitamins?Dr. Ward Murdock OB/GYN, Fredericton

A: It is important to take prenatal vitamins if possible. There is some evidence that prenatal vitamins have benefits related to fetal growth, especially in patients who do not always maintain healthy eating habits. As well, it is important to take folic acid prior to pregnancy (up to six months prior) to decrease the risk of spinal defects in the baby. The majority of prenatal vitamins on the market today contain the required vitamins to ensure a healthy pregnancy.

Q : Quelle est l’importance des vitamines prénatales?Dr Ward MurdockObstétricien-gynécologue, Fredericton

R: Il est important de prendre des vitamines prénatales si possible. Certaines études indiquent qu’elles sont bénéfiques pour la croissance du fœtus, surtout chez les femmes qui n’ont pas toujours de bonnes habitudes alimentaires. Il est important aussi de prendre de l’acide folique avant de tomber enceinte (jusqu’à six mois avant la grossesse) afin de réduire le risque de troubles de la moelle épinière chez le bébé. La majorité des suppléments prénataux vendus de nos jours contiennent les vitamines requises pour assurer une grossesse en santé.

Dr. / Dr Ward Murdock

Q: Do “lifestyle changes” really make a difference in blood pressure control?Dr. Jeff Moore FRCPC Internal Medicine, Fredericton

A: Patients with high blood pressure (hypertension) are often treated with medications. However, many studies have proven that basic lifestyle changes can be just as effective at helping to improve blood pressure. The benefits are often underappreciated. For example, blood pressure decreases by about 1 mmHg for every 1 kg of weight loss. Reducing salt (both “hidden” and table salt) can make a significant difference. Drinking one alcoholic beverage (women) or 2 beverages (men) appears to have a protective effect for the heart. One beverage equals one ounce of alcohol. Amounts beyond this however can worsen hypertension. Regular aerobic exercise can reduce blood pressure by 5 to 15 mmHg! Quitting smoking helps lower blood pressure and markedly reduces the risk of heart disease and stroke, not to mention cancer and lung disease. Decreasing caffeine intake can have modest benefits. The above benefits are additive and together may be enough to normalize blood pressure with or without needing medications. Here’s a tip: Read your food labels and aim for less than 2,000 mg per day total of salt intake (about the amount in 1 tsp. of salt).

Dr. / Dr Jeff MooreQ : Les changements apportés au mode de vie influencent-ils vraiment la tension artérielle?Dr Jeff Moore, FRCPC Médecine interne, Fredericton

R: Les patients qui souffrent d’hypertension sont souvent traités à l’aide de médicaments. De nombreuses études indiquent toutefois que des changements de base apportés au mode de vie peuvent être tout aussi efficaces pour diminuer la tension artérielle. Les bienfaits de ces changements sont souvent sous-estimés. Du point de vue de la perte de poids par exemple, chaque kilogramme perdu fait baisser la tension artérielle d’environ 1 mmHg. Réduire l’apport en sel (autant le « sel caché » que le sel de table) peut aussi faire une différence marquée. La consommation d’un verre de boisson alcoolisée (l’équivalent d’une once d’alcool) chez les femmes et de deux verres chez les hommes semble avoir un effet protecteur pour le cœur. Toute quantité supérieure risque toutefois d’aggraver l’hypertension. La pratique régulière d’exercice d’aérobie peut réduire la tension artérielle de 5 à 15 mmHg! La renonciation au tabac aide à réduire la tension artérielle et diminue de façon marquée le risque de maladies du cœur, de cancer et de maladies pulmonaires. La réduction de l’apport en caféine peut être légèrement bénéfique. Les bienfaits susmentionnés sont cumulatifs et ensemble peuvent suffire à normaliser la tension artérielle avec ou sans médicaments. Voici un conseil : lisez les étiquettes alimentaires et visez un apport maximal total de moins de 2 000 mg de sodium par jour (à peu près l’équivalent d’une cuillerée à thé de sel).

Q: Is there any non-surgical help for snoring?Dr. Simona Parascan, Physician, Médisanté Saint-Jean

A: In the absence of obstructive sleep apnea, treatment of snoring is recommend-ed for people who want to maximize the quality and quantity of their sleep, minimize disruption to their bed partner’s sleep, or relieve themselves of any embarrassment caused by snoring. Before you’re banished from the bedroom, here are some things you can try to stop snoring:

• Avoid high-fat milk products or soy milk products before bed - they can cause mucus build up in the throat which can lead to snoring.

• Consider weight loss. For obese people, weight loss can reduce fatty tissue in the back of the throat and is often an effective cure for mild to moderate snoring.

• Avoid consuming alcohol before bed. Alcohol, tobacco, and certain medications can increase relaxation of throat and tongue muscles, which makes snoring more likely.

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What about Nutrition Claims?Look for foods labeled:

• Unsalted - no salt used to process

• Sodium free - less than 5 mg of sodium

• Low sodium - less than 35 mg of sodium

• Reduced sodium - the usual sodium level has been reduced by 75%

Worst SALT offenders:

• Bacon, deli meats, hotdogs

• Processed cheeses

• White breads and rolls

• Pickled foods

• Salty snacks like pretzels, potato chips, and nuts

• Canned soups

Andrea AndersonRegistered Dietitian / diététiste

Upper River Valley Hospital / Hôpital du Haut de la Vallée

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S’il vous plaît, NE PASSEZ PAS le sel!

Pork Chops with Pineapple Sauce

(Recipe courtesy of Canadian Pork Council)

DiReCtiONS:

Sauce: Heat margarine over medium-high heat in a skillet. Add onion,

peppers and garlic; cook until onions become translucent, about 5 minutes.

Add diced pineapple and heat through. Add flour and stir vigorously to

combine thoroughly. Whisk in stock or bouillon and thyme, bring to a boil,

and simmer for five minutes.

Chops: In a non-stick skillet, pan-fry

chops for about five minutes per side

over medium heat, depending on

thickness, or until internal temperature

reaches 155°-160° (68°C-70°C) using a

meat thermometer.

Just before serving, add lime juice to

sauce and spoon over chops.

For more information

check out these websites:

www.sodium101.ca,

www.healthcheck.org,

www.dietitians.ca

Makes: 6 servings

iNgReDieNtS:

• 1 Tbsp (15ml) soft,

non-hydrogenated margarine

• 1 medium onion, finely

chopped

• ¼ cup (50 ml) diced red

pepper

• 1 tsp (5ml) minced garlic

• 1 cup (250 ml) diced

pineapple,

fresh or canned

• 1 Tbsp (15ml) flour

• 1 cup (250 ml) sodium

reduced beef broth

• 1 tsp (5ml) dried thyme

• 6 Pork Chops, trimmed

(about 100 g each)

• 1 Tbsp (15 ml) lime juice

Nutritional Information

Pork Chops with Pineapple

Sauce (1 chop, 75g cooked)

Per 1 person serving

Calories192

Fat Saturated Monounsaturated

Polyunsaturated

4.9 g 2.3 g 1.8 g 0.6 g

Cholesterol 60 mg

Sodium207 mg

Carbohydrate 11.4 g

Fibre1.4 g

Protein25.1 g

Côtelettes de porc nappées de sauce à l’ananas(Recette gracieuseté du Conseil canadien du porc)

PRÉPARAtiONSauce; Réchauffer la margarine dans une poêle sur un feu moyen. Y ajouter l’oignon, le poivron et l’ail; faire cuire jusqu’à ce que l’oignon devienne translucide, soit environ 5 minutes. Ajouter l’ananas coupé en dés et bien réchauffer. Ajouter la farine et brasser vigoureusement pour bien mélanger. Y verser le bouillon et le thym en fouettant. Portez à ébullition et laisser mijoter pendant cinq minutes.

Côtelettes: Dans une poêle antiadhésive, faire griller les côtelettes pendant environ cinq minutes par côté sur un feu moyen, selon l’épaisseur ou jusqu’à ce que la température interne atteigne entre 155 ° et 160° (68 °C-70 °C) au thermomètre à viande.Avant de servir, ajouter le jus de lime à la sauce et en arroser les côtelettes.Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter les sites suivants : www.sodium101.ca,www.healthcheck.org,www.dietitians.ca

Donne 6 portionsiNgRÉDieNtS :• 1 c. à soupe (15 mL) de margarine molle non hydrogénée• 1 oignon moyen, haché fin• ¼ tasse (50 mL) de poivron rouge, coupé en dés• 1 c. à thé (5 mL) d’ail émincé• 1 tasse (250 mL) d’ananas frais ou en boîte, coupé en dés• 1 c. à soupe (15 mL) de farine• 1 tasse (250 mL) de bouillon de bœuf à teneur réduite en sodium• 1 c. à thé (5 mL) de thym séché• 6 côtelettes de porc, parées (environ 100 g chacune)• 1 c. à soupe (15 mL)

de jus de lime

Information nutritionnelleCôtelettes de porc nappées de sauce à l’ananas (1 côtelette, 75 g cuite) Par portionCalories 192Graisses saturées monosaturées polysaturées

4,9 g 2,3 g 1,8 g 0,6 gCholestérol 60 mgSodium 207 mgGlucides 11,4 gFibres 1,4 gProtéines 25,1 g

Please DON’T pass the Salt!Ah salt! We think it adds life to chips, balance to bread and flavor to scrambled eggs, tomato sauce or just about anything else that comes in a can, jar or squeeze bottle. But the truth is – we eat more than double the recommended amount of salt that we should!

The Heart and Stroke Foundation suggests Canadians use no more than 1 tsp (5 mL) of salt a day. One tsp of salt contains 2300 mg of sodium. About one-third of people are sensitive to the sodium component of salt. This means that excess dietary salt can increase the amount of blood in the arteries, raising blood pressure and increasing the risk of heart disease and stroke. If you can lower your intake little by little each day, you can reduce blood pressure. Because our diets are generally so high in salt, everybody, even those with normal blood pressure, can benefit from reducing salt intake.

To reduce SALT in your diet:• Avoid adding salt at the table.• Choose fresh foods prepared

with little or no salt more often.• Eat a variety of vegetables and

fruits.• Instead of salt, season your

foods with herbs and salt-free spices, lemon, vinegar, garlic and onion.

• Rinse canned beans or legumes before adding to a recipe.

• When cooking pasta, skip the salt in the cooking water.

• Enjoy eating out less often as many fast food restaurants offer tempting foods which are very high in salt.

Ah! Le sel! Nous sommes convaincus qu’il confère de la vie aux croustilles, de l’équilibre au pain et de la saveur aux œufs brouillés, à la sauce aux tomates ou à tout aliment présenté dans une boîte, un pot ou un flacon pressable. La vérité, c’est que nous mangeons deux fois plus de sel que la quantité de sel recommandée!

La Fondation des maladies du cœur suggère aux Canadiens de se limiter à une cuillerée à thé (5 mL) de sel par jour. Une cuillerée à thé de sel contient 2300 mg de sodium. Environ un tiers des personnes sont sensibles au sodium du sel. Cela signifie que le sel excédentaire peut augmenter la quantité de sel dans les artères et augmenter la tension artérielle ainsi que le risque de maladie du cœur et d’AVC. Si vous réduisez progressivement votre quantité de sel quotidienne, vous abaisserez

votre tension artérielle. Comme nos régimes

sont généralement

trop riches en sel, tous, même les personnes ayant une tension artérielle normale, peuvent profiter de la réduction de la consommation de sel.

Pour réduire le SEL de votre régime :• Évitez d’ajouter du sel à la table.• Choisissez plus souvent des aliments

frais contenant peu ou pas de sel.• Mangez une variété de légumes et de

fruits.• Au lieu du sel, assaisonnez vos

aliments d’herbes et d’épices sans sel, de citron, de vinaigre, d’ail et d’oignon.

• Rincez les haricots ou les légumineuses en boîte avant de les ajouter à une recette.

• Évitez de saler l’eau de cuisson des pâtes.

• Évitez de manger souvent aux restaurants-minute qui offrent des aliments tentants très riches en sel.

Allégations concernant la nutritionRecherchez les étiquettes suivantes :

• Non salé – aucun sel utilisé dans la transformation

• Pas de sodium – moins de 5 mg de sodium

• Peu de sodium – moins de 35 mg de sodium

• Teneur réduite en sodium – le niveau habituel de sodium a été réduit de 75 %

Les aliments contenant le plus

de sel :• Bacon, charcuterie,

hot-dogs

• Fromages transformés

• Pains et petits pains blancs

• Aliments marinés

• Grignotines salées comme les bretzels, les croustilles et les noix

• Soupes en boîte

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If you spend countless nights counting sheep, tossing and turning, and watching the hours on the clock tick by, you may be one of the 25 to 30 percent of people in New Brunswick who suffer from insomnia. Insomnia includes difficulty initiating or maintaining sleep, or both. Many people do not realize that insomnia is actually a symptom - not a disease. There are a number of different causes of insomnia such as lifestyle, environmental and physical. Lifestyle causes may include medications, smoking, caffeine, alcohol and sleep routine (or more likely, lack of routine). Noise, light, pets and temperature in the bedroom can be environmental causes of Insomnia. Physical causes include an undiagnosed sleeping disorder such as obstructive sleep apnea, restless legs syndrome or periodic limb movement disorder. Pain is another physical cause of insomnia.

There is no wonder drug to treat insomnia. The first step is to figure out what is causing the symptom. Next, you must rule out any medical or psychological causes of insomnia. If you feel you may have a sleeping disorder you should talk to your family physician. A psychological problem could be causing the insomnia, and getting the issue resolved may help.

The next step is to rule out bad sleep routines and habits. Sleep “hygiene” can be defined as controlling all behavioral and environmental factors that precede sleep and may interfere with sleep.

Sleepless Nights

If you find you can not fall asleep after about 30 minutes,

get out of bed and do something boring.

Avoid television and computers. When you feel tired

go back to bed.

• Keep a regular sleep schedule. Go to bed and wake up at the same time each day.

• Avoid napping as this may hinder your ability to sleep later.

• A good sleep environment is quiet, cool and dark with a comfortable bed and pillows.

• Avoid stimulants late in the day (i.e. caffeine and nicotine).

• Dinner should be eaten at least two hours before bedtime. If hungry at bedtime have a light snack or glass of milk.

• Avoid alcohol near bedtime. Alcohol may help you fall asleep faster but you will have a fragmented sleep.

• Regular exercise is good to reduce stress and facilitate a better sleep so long as it is completed a few hours before bedtime.

• Give yourself a routine at bedtime.

• If you seem to think all the time and worry then keep a notepad beside the bed. Write down your thoughts, ideas or worries. This will ease your mind and help you to fall asleep.

• Keep pets out of the bedroom. Their movements and snoring can wake you.

• Try to keep your bedroom as a relaxing sanctuary.

Barb RichardSleep Technologist , Atlantic Sleep Centre, Saint John Regional Hospital

Technologue du sommeil, Centre du sommeil de l’Atlantique, Hôpital régional de Saint John

Sleep Tips:

Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick Page 8 . . . . . . . Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 . . . . . . . Page 9

Les nuits blanches

Si vous ne dormez pas après 30 minutes, sortez du lit et faites quelque chose d’ennuyeux. Évitez la

télévision et l’ordinateur. Lorsque vous vous sentirez

fatigué, remettez-vous au lit.

• Ayez un horaire régulier pour le sommeil. Couchez-vous et levez-vous à la même heure chaque jour.

• Évitez de faire des siestes, car elles pourraient nuire à votre sommeil.

• Un environnement propice au sommeil est tranquille, frais et sombre, et le lit et les oreillers sont confortables.

• Évitez les stimulants tard le soir (p. ex. : caféine, nicotine).

• Le repas devrait être pris au moins deux heures avant l’heure du coucher. Si vous avez faim à l’heure du coucher, prenez une collation légère ou un verre de lait.

• Évitez l’alcool avant de vous coucher. Vous pourriez vous endormir plus rapidement, mais votre sommeil sera fragmenté.

• Il est bon de faire de l’exercice régulièrement pour réduire le stress et favoriser un meilleur sommeil, à condition de le faire quelques heures avant d’aller au lit.

• Adoptez une routine pour l’heure du coucher.

• Si vous êtes toujours en train de penser et de vous inquiéter, gardez un calepin à votre chevet. Notez-y vos pensées, vos idées et vos inquiétudes. Cela vous tranquillisera et vous aidera à vous endormir.

• Ne gardez pas les animaux familiers dans votre chambre à coucher. Leurs mouvements et leurs ronflements pourraient vous réveiller.

• Essayez de faire en sorte que votre chambre devienne un sanctuaire de relaxation.

Conseils pour mieux dormir

Si vous passez d’innombrables nuits à compter les moutons, à vous tourner et à vous retourner et à regarder les heures s’écouler sur le réveil, vous pourriez être parmi les 25 à 30 p. 100 des gens au Nouveau-Brunswick qui souffrent d’insomnie. L’insomnie comprend la difficulté à s’endormir et à rester endormi, ou les deux. De nombreuses personnes ne se rendent pas compte que l’insomnie est en fait un symptôme, non pas une maladie. L’insomnie a plusieurs différentes causes : le mode de vie, l’environnement et la santé physique. Le mode de vie peut inclure les

médicaments, le tabagisme, la caféine, l’alcool et les habitudes de sommeil (ou plus probablement le manque d’habitudes). Le bruit, la lumière, les animaux familiers et la température de la chambre à coucher peuvent être des causes environnementales de l’insomnie. Les causes physiques peuvent inclure un trouble du sommeil non diagnostiqué, comme le syndrome d’apnée obstructive du sommeil, le syndrome des jambes sans repos ou le mouvement involontaire des membres. La douleur est une autre cause physique de l’insomnie.

Il n’existe pas de remède miracle pour traiter l’insomnie. La première étape consiste à comprendre ce qui cause le symptôme. Il faut écarter toute cause médicale ou psychologique de l’insomnie. Si vous pensez avoir un trouble du sommeil, vous devriez parler à votre médecin de famille. Si un problème psychologique est à la source de l’insomnie, il pourrait être bénéfique de le résoudre.

La prochaine étape est d’éliminer les mauvaises habitudes de sommeil. L’« hygiène » du sommeil peut être définie comme le contrôle de tous les facteurs comportementaux et environnementaux qui précèdent le sommeil et qui pourraient y nuire.

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Cardiovascular disease (heart disease, diseases of the blood vessels and stroke) accounts for the death of more Canadians than any other disease according to Statistics Canada. In 2005 this disease accounted for 30 per cent of all male deaths.

In addition, men represent the largest group of smokers, one of the leading contributors of heart disease. Health Canada’s survey on Tobacco use in Canada found that 20 per cent of the male population smoke; this number increases to 28 per cent amongst men in the 20 to 24 age group.

Gentlemen, the facts remain consistent; if you don’t take care of your heart it can’t take care of you! Here are a few changes that you can make to help keep it pumping for the long haul.

Reduce alcohol intakeDrinking too much alcohol can, over time, damage your heart and raise your blood pressure. If you enjoy sitting down to a cold one, you should do so moderately. For men, this means no more than two drinks per day. Saving them all up for one night does not count – this is just as harmful.

Research suggests that moderate drinkers are less likely to develop heart disease

than people who don’t drink any alcohol or who drink too much. Research has also indicated that red wine seems to offer some degree of prevention against heart disease. Red wine contains flavonoids (FLAY-vuh-noidz), which are thought to prevent plaque buildup.

Weight management Being overweight predisposes us to risk factors for heart disease, such as high blood pressure, high cholesterol and diabetes. For men, the greatest area of concern is around their mid-section. A man’s waist circumference should be no greater than 40 inches – so guys, if your waist exceeds that it is time to start a weight loss program.

How much you eat is as important as what you eat so fight that urge to supersize your combo or to have a

second helping of dinner. If you are still feeling hungry enjoy a second helping of vegetables or finish off your meal with a bowl of fruit salad. A

healthy Canada’s Food Guide diet is your target; “fad” diets rarely work for the long term.

Eat less salt. Eating too much salt has been linked to high blood pressure. Use less when cooking and try not to add any salt at the table.

Reduce fat. A certain amount of

fat is good for a well balanced diet, just reduce the amount of fat and alter the type of fat you eat. Saturated fat raises blood cholesterol levels, so try to eat less full-fat dairy products, sweets, and burgers and replace with monosaturated fats such as olive and grapeseed oil, nuts or pears.

Get ActiveBeing active doesn’t mean that you have to endure a two hour workout everyday at the gym. Generally speaking 30 to 60 minutes of moderate exercise daily is recommended. Be active doing the things you love to do! Enjoy the fall hunting season hiking through the woods, or take a bike ride (see side bar). But remember to move briskly enough to raise your heart rate for a sustained time.

Kick the habit! Stop smoking. Quitting smoking is one of the most important things you can do. It dramatically cuts your chances of getting heart and respiratory diseases, cancer and emphysema. It isn’t easy but there are various cessation programs and support tools available to help you!

Even if you haven’t done much to date to get your heart in to shape…it is never too late to start!

Men – Keep Your Heart Healthy!

Dr. / Dr Mike Pelkey, MD, FRCPC

Waterville

One drink counts as:

• 5 ounces of wine

• 12 ounces of beer (the light variety)

• 1½ ounces of 80-proof hard liquor

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Kayaking is becoming more and more

common, especially for those who live along

the Saint John River. Dr. Colm McGrath (on the

cover) encourages men to try it as an enjoyable

way to stay fit and enjoy the outdoors.

Kayaking is good for your health!

• Paddling is indeed great exercise. It provides fantastic aerobic and cardiovascular effects as well as improves upper body strength. Both canoes and kayaks will offer you this benefit, regardless of the type of paddling you choose to do.

• Kayaking burns the same amount of calories as moderate swimming or jogging.

• Kayaking increases core strength.

The abdominals are constantly being worked when keeping the balance of the boat and

paddling and maneuvering in the

water.

Selon Statistique Canada, la maladie cardiovasculaire (maladie du cœur, maladie des vaisseaux sanguins et accident vasculaire cérébral) cause plus de décès chez les Canadiens que toute autre maladie. En 2005, elle a été responsable de 30 % de tous les décès chez les hommes.

En outre, les hommes représentent le plus grand groupe de fumeurs, l’une des plus grandes causes de la maladie du cœur. L’enquête de Santé Canada sur le tabagisme au Canada a conclu que 20 %de la population masculine fume; ce taux passe à 28 % chez les hommes âgés de 20 à 24 ans.

Messieurs, les faits ne changent pas : si vous ne prenez pas soin de votre cœur, il ne prendra pas soin de vous. Voici quelques changements que vous pouvez apporter pour l’aider à continuer à pomper sur le long terme.

Réduisez votre consommation d’alcool Une trop grande consommation d’alcool peut, au fil du temps, endommager votre cœur et augmenter votre pression artérielle. Si vous aimez prendre une bonne bière froide, buvez modérément. Pour les hommes, cela veut dire un maximum de deux verres par jour. Les garder tous pour le même soir ne compte pas; cela est tout aussi nuisible.

Selon la recherche, les personnes qui boivent modérément sont moins susceptibles d’avoir une maladie du cœur que les personnes qui ne boivent pas d’alcool du

tout ou qui boivent trop. La recherche indique également que le vin rouge semble offrir un certain degré de protection contre la maladie du cœur. Il contient des flavonoïdes, qui semblent prévenir l’accumulation de plaque.

Gestion du poids La surcharge pondérale nous prédispose aux facteurs de risque des maladies du cœur, comme l’hypertension artérielle, un taux élevé de cholestérol et le diabète. Pour les hommes, la plus grande préoccupation est l’abdomen. Le tour de taille d’un homme ne devrait pas dépasser 40 pouces, donc, les gars, si votre tour de taille dépasse 40 pouces, c’est le temps de commencer un régime pour perdre du poids.

La quantité d’aliments que vous consommez est tout aussi importante que ce que vous mangez, alors combattez la tentation d’opter pour le très grand format ou de vous resservir au souper. Si vous

avez encore faim, reprenez des légumes ou finissez votre repas avec un bol de salade aux fruits. Vous devez viser un régime sain fondé sur le Guide alimentaire

canadien; les régimes à la mode donnent rarement de bons résultats à long terme.

Réduisez votre consommation de sel. Il existe un lien entre une trop grande consommation de sel et l’hypertension artérielle. Utilisez moins de sel pour la cuisson et essayez de ne pas ajouter de sel à la table.

Réduisez votre consommation de graisses. Il est bon d’en consommer une certaine

quantité pour avoir un régime bien équilibré; vous n’avez qu’à diminuer la quantité et à changer le type de graisses que vous consommez. Les graisses saturées augmentent les niveaux de cholestérol sanguin, donc essayez de consommer moins de produits laitiers riches en graisses, de sucreries et de hamburgers et de consommer davantage de graisses monosaturées, comme l’huile d’olive et de canola.

Soyez actifÊtre actif ne veut pas dire endurer un entraînement de deux heures au gymnase tous les jours. En règle générale, il est recommandé de faire de 30 à 60 minutes d’exercice modéré par jour. Soyez actif en faisant les choses que vous aimez faire. Profitez de la saison de chasse à l’automne pour faire des randonnées dans les bois, ou faites une promenade à vélo. Rappelez-vous qu’il faut bouger assez vivement pour augmenter votre rythme cardiaque pendant une période soutenue.

Arrêtez de fumerRenoncez au tabac. C’est l’une des choses les plus importantes que vous puissiez faire. Arrêter de fumer diminue énormément les risques de contracter une maladie du cœur, une maladie respiratoire, le cancer ou l’emphysème. Il n’est pas facile d’arrêter de fumer, mais il existe de nombreux programmes de renonciation et outils de soutien pour vous aider.

Même si vous n’avez pas fait grand-chose jusqu’ici pour remettre votre cœur en forme, il n’est jamais trop tard pour commencer.

La santé cardiaque des hommes

Un verre équivaut à :

• 5 onces de vin;

• 12 onces de bière (légère);

• 1 once et demie de spiritueux.

Le kayak est une activité de plus en plus populaire, surtout dans les régions le long de

la rivière Saint-Jean. Dr McGrath (sur la page

couverture) encourage les hommes à essayer

cette activité qui, selon lui, est une façon plaisante de maintenir sa forme physique et

de profiter du plein air.

Faire du kayak est bon pour la santé!

• Pagayer est en effet un excellent exercice, offrant des bénéfices aérobiques et cardiovasculaires tout en renforçant la partie supérieure du corps. Que vous pagayiez en canoé ou en kayak, les avantages pour votre santé restent les mêmes.

• En faisant du kayak, vous brûlez autant de calories qu’en nageant ou en joggant à une intensité modérée.

• Faire du kayak augmente la force centrale du corps, car les muscles abdominaux sont constamment sollicités lorsque vous effectuez des manœuvres avec la pagaie afin de tenir l’embarcation en équilibre sur l‘eau.

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Kim and Frank Aridano are parents to three active boys. They are parents that encourage their boys to succeed in whatever extra-curricular activity they choose through school or community and are always there cheering them on.

They are also raising their boys as bilingual children. Their oldest, Seth, now in grade four, began French immersion in grade one. His brothers, Caleb and Joshua will follow their big brother’s footsteps, in a grade three entry point. But the outcome will be the same: three bilingual children.

Kim is herself bilingual, and also a speech language pathologist. Although it can be challenging at times, she feels it is of the utmost importance for her children to learn both languages for many reasons: culture, family, community, employment and travel. Frank is unilingual but echoes Kim’s feelings.

Horizon Health Network Miramichi Speech Language Pathologist, Lesley Wood says the Aridano’s are not alone in their desire to raise bilingual children. She is seeing more parents looking for tools to help them make the decision to raise their children bilingually, and tools to assist them in the sometimes difficult journey.

When Wood first speaks to parents, she asks why they want their child to be bilingual.

“A growing number of Canadian parents view bilingualism as a family goal. The reasons for this trend may be a desire to keep a parent’s heritage language and culture, to provide children with academic advantages, or to teach their children an understanding of other cultures. Research has shown that parent’s beliefs, attitudes, and interactions with their children are important in helping children become bilingual.”

Wood says some parents may have a more difficult time making the decision to raise bilingual children because of the myths around the subject. “Many parents question if learning a second language will lower their child’s proficiency in both languages.

Kim et Frank Aridano sont les parents de trois jeunes garçons actifs. Ils encouragent leurs enfants à réussir dans toutes les activités qu’ils entreprennent, à l’école ou au sein de la communauté, et ils sont toujours là pour les appuyer.

M. et Mme Aridano élèvent aussi leurs garçons de façon à ce qu’ils deviennent bilingues. L’aîné, Seth, maintenant en quatrième année, suit des cours d’immersion en français depuis la première année.

Ses frères, Caleb et Joshua, suivront ses traces à compter de la troisième

année. Le résultat sera toutefois le même : trois enfants

bilingues.

Elle-même bilingue, Mme Aridano est aussi orthophoniste. Bien que ce soit parfois difficile, elle croit qu’il est extrêmement

important que ses enfants apprennent

les deux langues pour plusieurs raisons liées

à la culture, à la famille, à la communauté, au travail et au tourisme. M. Aridano partage l’opinion de sa conjointe, même s’il est unilingue.

Selon Lesley Wood, orthophoniste du Réseau de santé Horizon pour la zone de Miramichi, les Aridano ne sont pas les seuls parents à vouloir que leurs enfants soient bilingues. Lesley constate qu’un nombre croissant de parents cherchent des outils qui les aideront dans leur décision d’élever des enfants bilingues, ce qui est parfois une aventure difficile.

Lorsque Mme Wood discute avec les parents pour la première fois, elle leur demande pourquoi ils veulent que leurs enfants soient bilingues.

« Un nombre croissant de parents canadiens considèrent le bilinguisme comme un objectif familial. Parmi les raisons qui expliquent cette tendance, on retrouve le désir de préserver la langue et le patrimoine culturel d’un parent, d’offrir des avantages aux enfants sur le plan scolaire ou de leur enseigner la tolérance

Raising a Bilingual Child

Kim and Frank Aridano enjoy a quiet evening home reading with their boys Seth, Caleb and Joshua.

M. et Mme Aridano passent une soirée tranquille à la maison à faire de la lecture avec leurs garçons,

Seth, Caleb et Joshua.

Clarissa HarrisCommunications Specialist, Miramichi

Spécialiste des communications, Miramichi

Comment élever un enfant pour qu’il devienne bilingue

“A growing number of

Canadian parents view bilingualism

as a family goal.”

« Un nombre croissant de

parents canadiens considèrent le

bilinguisme comme un objectif familial. »

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They question if children learning more than one language will become confused. They also wonder, if their child has a language delay, is adding a second language too overwhelming and will the second language be further compromised.

“We address these commonly held beliefs with research statements and facts to help parents see both sides.” Wood says that on a global scale, bilingualism is ‘normal,’ adding that in the world today, approximately 4,000 languages are spoken in 200 countries with two thirds of the population being bilingual.

So when should a second language be introduced?

In the Aridano home, French is a common language heard from mother

Kim and Seth’s homework consists of French worksheets and books. It is more of a gradual transition with a very comfort-like setting.

Wood agrees. “While no critical age for bilingual development has been found, the native-like pronunciation is achieved if introduced before adolescence. It is also important that second language development be low stress for the person learning.”

Parents should decide what the objective is for the desired level of proficiency they are looking to achieve. “Do they want their child to speak a few words of French to Grandma every now and then, or do they want them understanding, speaking, reading and writing equally well in both languages?” She adds that dual language development requires

consistent, continuous and rich exposure to both languages on a full-time basis.

Giving it time is probably the best lesson learned says Wood. “Learning a language for unilinguals and bilinguals could take several years. Give the child time. Don’t give up or change mid-term. It possibly could take your child two to five years to be socially and educationally proficient.”

Back at the Aridano house, it is a relaxed, confidant atmosphere for Kim, Frank and their three boys. They feel this is the best way to create bilingualism for their family.

“We teach them that bilingualism is an asset and seeing it that way makes for a success. We provide lots of positive reinforcement for all attempts and we do give it time.”

wà l’égard des autres cultures. Des recherches indiquent que les croyances et les attitudes des parents, de même que les relations des parents avec leurs enfants, sont importantes afin d’aider ces derniers à devenir bilingues. »

Mme Wood ajoute que certains parents peuvent avoir de la difficulté à prendre la décision d’élever leurs enfants de façon à ce qu’ils deviennent bilingues en raison des mythes à ce sujet. « Plusieurs parents se demandent si l’apprentissage d’une langue seconde réduira la maîtrise des deux langues chez l’enfant et si le fait de parler plus d’une langue peut être une source de confusion pour l’enfant. Aussi, dans le cas où l’enfant affiche un retard sur le plan du langage, ils se demandent si l’ajout d’une langue seconde sera trop déroutant et si cette deuxième langue sera compromise davantage. »

« Nous abordons ces croyances répandues au moyen de conclusions et de faits tirés d’études qui permettent aux parents de voir les deux côtés de la médaille ». Mme Wood souligne que le « bilinguisme est un phénomène normal », et ajoute que l’on compte aujourd’hui, à l’échelle mondiale, 4 000 langues parlées dans 200 pays et que les deux tiers des habitants de la planète sont bilingues.

Dans ce cas, quand doit-on commencer l’apprentissage d’une langue seconde?

Fredericton 452-5830

1-877-691-8800 (toll free/sans frais)

Miramichi 623-6363

1-888-623-6363 (toll free/sans frais)

Moncton870-2993/

1-888-746-1333 (toll free/sans frais)

Saint John643-7561

1-877-492-8255 (toll free/sans frais)

Chez les Aridano, la maman s’exprime régulièrement en français et Seth fait ses devoirs à l’aide de feuilles d’exercice et de manuels de langue française. Cette transition graduelle s’effectue ainsi dans un cadre très confortable.

Mme Wood acquiesce. « Bien que l’on n’ait pas établi d’âge critique pour maîtriser deux langues, il importe, pour acquérir une prononciation semblable à celle d’un locuteur natif, d’être exposé à la langue seconde avant d’atteindre l’adolescence. Autre point important : l’apprentissage d’une langue seconde ne doit pas être une expérience stressante pour l’apprenant. »

Les parents devraient établir l’objectif désiré quant au niveau de maîtrise de la langue seconde. « Veulent-ils que leurs enfants soient capables de s’adresser à mamie en français de temps à autre, ou souhaitent-ils qu’ils comprennent, parlent, lisent et écrivent aussi bien dans une langue que dans l’autre? » Mme Wood ajoute que pour devenir bilingue, l’enfant

doit être exposé aux deux langues de façon constante, continue et marquée, et ce, à temps plein.

Selon Mme Wood, le point le plus important à retenir, c’est qu’il faut du temps. « L’apprentissage d’une langue peut exiger plusieurs années, tant pour la personne unilingue que pour la personne bilingue. Donnez du temps à votre enfant. N’abandonnez pas la partie et ne changez pas d’idée à mi-chemin. Il se peut que votre enfant ait besoin de deux à cinq ans avant de maîtriser la langue sur les plans social et pédagogique. »

La famille Aridano vit dans une atmosphère de confiance et de détente. M. et Mme Aridano croient que c’est ce qu’il y a de mieux pour que les enfants deviennent bilingues.

« Nous leur enseignons que le bilinguisme constitue un atout et le fait de le concevoir ainsi permettra d’avoir du succès. Nous leur offrons beaucoup de renforcement positif et nous donnons du temps aux garçons. »

The Speech-Language Pathologists from the

“Parle-moi/Talk With Me” Early Language Services have

summarized the research and are ready to answer

your questions and concerns regarding bilingualism. We address the answers to the

above questions, as well as others, in our 1 ½ hour

session. If you are interested in attending this workshop,

contact your local “Parle-moi/Talk With Me” program.

L’orthophoniste des services de langage précoce

« Parle-moi/Talk With Me » a résumé l’étude et est prête à répondre à vos questions concernant le bilinguisme.

Nous répondons aux questions susmentionnées, ainsi qu’à d’autres, dans le cadre de notre séance de

une heure et demie. Si vous souhaitez assister à cet

atelier, communiquez avec la personne responsable du programme « Parle-moi/Talk With Me » de votre localité.

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What’s in Energy Drinks?Most energy drinks contain caffeine, a stimulant that can be found on the labels listed as Guarana, yerba mate, or caffeine. Many energy drinks have at least 80 to 250mg of caffeine per 250 ml can. In comparison, a soft drink has about 50mg and a cup of coffee has 100mg. This is double that of soft drinks, and exceeds the recommendations for children. Health Canada suggests no more than 45 mg/day for children 4-6 years, 62.5 mg/day for 7-9 years and 85 mg/day for children 10-12 years. Many energy drinks also contain herbs such as Gingko biloba and ginseng. These can interact with drugs like warfarin and affect blood clotting. Other ingredients that may be added to

these drinks include; artificial sweeteners, sugar, and

vitamins.

Jessica McCallum, Registered Dietitian / diététiste

Mango Program, MiramichiProgramme Mango, Miramichi

Quels ingrédients trouve-t-on dans les boissons énergisantes?La plupart des boissons énergisantes contiennent de la caféine, cachée parfois sous les noms « guarana » ou « yerba mate » dans la liste des ingrédients.De nombreuses boissons énergisantes contiennent au moins 80 mg de caféine par canette de 250 ml (et un bon nombre d’entre elles en contiennent davantage). Leur teneur en caféine est donc deux fois plus élevée que celle des boissons gazeuses, et bien au-delà de la quantité recommandée pour les enfants. Santé Canada recommande de ne pas dépasser 50 mg de caféine par jour pour les enfants âgés

de 4 à 6 ans, 62,5 mg par jour, pour ceux qui sont âgés de 7 à 9 ans, et 85 mg par jour, pour ceux qui sont âgés de 10 à 12 ans. Les boissons énergisantes contiennent souvent aussi des herbes comme le ginkgo et le ginseng. Ces herbes peuvent agir sur

des médicaments comme la warfarine et avoir des effets

sur la coagulation sanguine. Les édulcorants de

synthèse, le sucre et les vitamines sont d’autres ingrédients qui sont parfois ajoutés à ces boissons.

Ces boissons sont-elles inoffensives? Une mauvaise utilisation des boissons énergisantes, par exemple une consommation excessive ou mélangée à l’alcool, peut avoir des effets dangereux sur la santé. Elle peut causer, entre autres, un déséquilibre électrolytique, la nausée, des vomissements et des irrégularités du rythme cardiaque. Les gens consomment ces boissons pour maintenir leur énergie pendant les périodes d’activité physique ou pour se désaltérer après avoir fait de l’exercice, mais les boissons énergisantes peuvent déshydrater l’organisme au lieu de l’hydrater. Certaines

boissons énergisantes vendues sur le marché n’ont pas encore été évaluées par Santé Canada.

Pour voir si le produit a été jugé sécuritaire, vérifiez si la canette porte un numéro

de produit naturel (NPN). Si vous décidez de consommer une boisson

énergisante, suivez les directions indiquées sur la canette et ne la mélangez pas à l’alcool.

Energy Drinks...What’s the buzz?

C’est quoi la rumeur au sujet des boissons énergisantes?

Consommée régulièrement, la

caféine peut entraîner chez certaines personnes la

nervosité, l’anxiété, l’agitation, des troubles d’estomac ou

intestinaux, une augmentation de la fréquence cardiaque et des troubles

du sommeil. Les symptômes d’abstinence comprennent les maux de tête, la fatigue, l’irritabilité et les troubles

de concentration.

Energy drinks are popular with teens and pre-teens. They claim to “energize” you and make you more alert. About 40 per cent of those aged 11-18 years have tried energy drinks and occasionally drink multiple servings at one time.

Are they safe? Improper use of energy drinks, such as consuming too many energy drinks or mixing them with alcohol, can have serious health effects. Some reactions to improper use include electrolyte disturbances, nausea and vomiting, and heart irregularities. People drink these to keep up their energy during times of physical activity or drink them after exercise to quench their thirst, but rather than re hydrating their bodies, having an energy drink may lead to dehydration. Some energy drinks sold on the market have not been evaluated by Heath Canada yet; look for a Natural Product Number (NPN) on the can to determine if it has been

approved as safe. If you choose to consume an energy drink, follow

the directions on the can and do not mix with

alcohol.

Registered Dietitian Jessica McCallum says about 40% of those aged 11-18 years have tried energy drinks and occasionally drink multiple servings at one time.

Jessica McCallum, diététiste, explique qu’environ 40 % des adolescents de 11 à 18 ans ont essayé des boissons énergisantes et qu’ils en boivent parfois plusieurs portions d’affilée.

Caffeine can

cause nervousness, anxiety, jitteriness,

stomach/intestinal upset, rapid heart rate and trouble sleeping in some individuals and withdrawal symptoms such as headache, fatigue,

irritability and poor concentration among those who consume

it regularly.

Les boissons énergisantes sont populaires auprès des adolescents et des préadolescents. Elles promettent de donner de l’énergie et de rendre plus alerte. Environ 40 p. 100 des jeunes âgés de 11 à 18 ans ont essayé ces boissons et en boivent parfois plusieurs à la fois.

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Heading south to a warmer climate during those cold winter months is common for many Maritimers. The ritual of getting geared up for a holiday includes making reservations, researching your destination and of course packing your swimsuit! But it’s also important to take care of your health as part of your planning - whether it’s getting a vaccination, refilling prescriptions or purchasing sunscreen.

The most important thing you can do before taking a trip is to ensure that you are healthy. Book routine dental check-ups or other routine medical appointments before you leave. Medical and dental care outside Canada can be very costly.

Get your shotsThere are few vaccines that provide complete protection – so make sure you take care of your health everyday with nutritious foods, exercise and proper personal hygiene.

When you visit your physician, it is a good idea to review your medical history, current state of health, medications and any allergies. A good tip is to keep your immunization certificates and list of current medications with your passport for use during your travels.

The vaccinations you need will depend on the country you are visiting. Check with your family physician; he or she will be able to give you specific, up-to-date information on the vaccinations required for your destination of choice.

Don’t forget your medicationRemember to pack any medications you are currently taking. Make sure to have your prescriptions refilled if required so that you have enough to last for the duration of your trip. Having a small supply of over-the-counter medications on hand (i.e. for headaches, nausea and vomiting, etc.) is a good idea as well.

At the beachEven on cloudy days ultraviolet (UV) rays can be harmful, so protect yourself by using a sunscreen with a high sun protection factor (SPF). Remember to reapply every couple of hours and don’t forget to protect your ears, lips, and the tip of your nose. Apply sunscreen even more often if you are in and out of the water.

It is a good idea to stay in the shade between 11:00am and 3:00pm when the rays are at their most damaging. Why not use that time to visit local shops or markets!

Wearing good protective sunglasses is important as well in protecting your eyes from the sun.

Don’t let illness or poor health spoil your holiday. Planning ahead can make all the difference and allow for a far more pleasant vacation. Enjoy and healthy traveling!

Happy, Healthy Travels

Nicole Moore, BN / B.Sc.inf.

Emergency Department, Dr. Everett Chalmers Regional HospitalService d’urgence, Hôpital régional Dr Everett Chalmers

• Drink plenty of water before, during and after the flight to avoid dehydration.

• Avoid alcohol and taking unnecessary medication while in flight.

• Sleep well before the flight and during long journeys if you can.

• Exercise while on the plane. Don’t just walk around the cabin - stretch in your seat as well. (e.g., do neck rotations or stretch your arms straight up to the ceiling and hold for a few minutes.) This will help your blood circulation and reduce swelling of the feet and legs.

Your guide to a healthy vacation

Tips for avoiding jet lag:

Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick | www.HorizonNB.ca |Page 18 . . . . . . . Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick | www.HorizonNB.ca | Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 . . . . . . . Page 19

Il y a beaucoup de gens des Maritimes qui se dirigent vers les climats plus chauds du Sud pendant les mois froids de l’hiver. Les préparatifs de voyage comprennent les réservations, les recherches sur la destination et, bien sûr, il ne faut pas oublier son maillot. Cependant, il est important aussi de s’occuper de sa santé pendant les préparatifs, c’est-à-dire obtenir les vaccins nécessaires, faire renouveler ses ordonnances ou acheter un écran solaire.

La chose la plus importante que vous puissiez faire avant de partir en voyage est de vous assurer d’être en bonne santé. Faites un rendez-vous pour un examen dentaire ou médical de routine avant de partir. Les soins médicaux et dentaires à l’extérieur du Canada peuvent être très dispendieux.

Faites-vous vaccinerIl y a très peu de vaccins qui fournissent une protection complète. Vous devez donc vous assurer de prendre soin de votre santé tous les jours en mangeant des aliments sains, en faisant de l’exercice et en veillant à votre hygiène personnelle.

Lorsque vous voyez votre médecin, c’est une bonne idée de passer en revue vos antécédents médicaux, votre état de santé actuel, vos médicaments et toute allergie. Un bon truc consiste à garder vos dossiers d’immunisation et une liste de vos médicaments avec votre passeport pour les utiliser pendant vos voyages.

Les vaccins dont vous aurez besoin dépendront de votre pays de destination. Informez-vous auprès de votre médecin de famille; il pourra vous donner de

Des voyages agréables et sains :votre guide pour des vacances saines

l’information précise et à jour sur les vaccins nécessaires pour votre destination de choix.

N’oubliez pas vos médicamentsN’oubliez pas d’apporter vos médicaments. Assurez-vous de faire renouveler vos ordonnances, au besoin, pour vous assurer d’en avoir suffisamment pour la durée de votre voyage. Il est bon également d’apporter quelques médicaments en vente libre (p. ex. : pour les maux de tête, la nausée et les vomissements).

Sur la plageLes rayons ultraviolets (UV) peuvent être nocifs même lorsque le temps est couvert. Vous devez donc vous protéger en utilisant un écran solaire ayant un facteur de protection solaire (FPS) élevé.

N’oubliez pas d’en remettre toutes les deux heures, et n’oubliez pas de protéger vos oreilles, vos lèvres et le bout de votre nez. Appliquez l’écran solaire plus souvent si vous vous baignez.

C’est bon de rester à l’ombre de 11 h à 15 h, lorsque les rayons sont les plus nuisibles. Vous pouvez profiter de ce temps pour visiter les boutiques ou les marchés de la localité.

Il est important également de porter de bonnes lunettes de soleil protectrices pour protéger vos yeux du soleil.

Ne laissez pas la maladie ou un mauvais état de santé ruiner vos vacances. Planifier à l’avance peut tout changer et rendre votre voyage beaucoup plus agréable. Profitez-en et voyagez en santé!

Conseils pour éviter le décalage horaire• Buvez beaucoup d’eau avant, pendant et après le vol pour

éviter la déshydratation.

• Évitez de boire de l’alcool et de prendre des médicaments inutiles pendant le vol.

• Dormez bien avant le vol, et dormez pendant les longs vols si cela est possible.

• Faites de l’exercice dans l’avion. Ne vous contentez pas de marcher dans la cabine; faites aussi des étirements dans votre siège (p. ex. : faire des rotations du cou ou tendre les bras vers le plafond et les garder dans cette position pendant quelques minutes). Cela améliorera votre circulation sanguine et réduira l’enflure des pieds et des jambes.

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Joignez-vous à votre enfant pour profiter d’activités amusantes en plein air. Faites une marche, bâtissez un fort en neige, dirigez-vous vers les pentes pour faire du

ski, de la planche à neige ou de la glissade ou trouvez un endroit sécuritaire où patiner. Avec un peu de planification, vous pourrez éviter les blessures.

N’oubliez pas que les blessures ne sont pas des « accidents ».

Ann HoganTrauma Coordinator, Saint John Trauma Program

Coordonnatrice de la traumatologie, Programme de traumatologie de Saint John

Did you know

Even with warm clothing children should not play outside if the

temperature is -25C or the wind chill is -25C or

lower.

1 www.smartrisk.ca/news/csa_develops_alpine_helmet_standard.html)

Join your child in some fun outdoor activities. Take a walk, build a snow fort, hit the slopes for some skiing, snowboarding, sliding or find a safe place to skate. With a bit of planning, injuries can be avoided. But remember, injuries are not “accidents”.

Did you know Ice thickness should be:

• 15 cm (6 inches) for walking or skating alone

• 20 cm (8 inches) for skating parties or games

• 25 cm (10 inches) for snowmobiles

(Safe Kids Canada)

| www.HorizonNB.ca |Page 20 . . . . . . . Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 | www.HorizonNB.ca | Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 . . . . . . . Page 21

1www.smartrisk.ca/news/csa_develops_alpine_helmet_standard.html.

Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick Healthy Living in New Brunswick | Mener une vie saine au Nouveau-Brunswick

Habillez-vous convenablement

Toutes les activités hivernales nécessitent des vêtements secs et chauds, y compris un

chapeau et des vêtements faits de fibres tissées serrées, comme la laine. Il est très important de

protéger le visage, les doigts, les orteils, les

oreilles et le nez contre les engelures. Les mitaines sont plus chaudes que les gants. Utilisez un cache-cou tubulaire au lieu d’un foulard pour diminuer le risque d’étranglement. Si vous devez utiliser un foulard, rentrez-le dans le manteau de l’enfant. Essayez d’acheter un manteau et capuchon sans cordelières de serrage, ou enlevez les cordelières. Il est préférable de porter une seule paire de chaussettes faites de laine ou d’un

mélange de laine (avec soie ou polypropylène) que de porter des chaussettes de coton, surtout si elles deviennent

mouillées. Évitez les chaussettes très épaisses. Les bottes doivent être sèches et pas trop serrées. Il est très important d’enlever les vêtements et les bottes mouillés le plus rapidement possible afin de prévenir

les engelures. N’oubliez pas d’appliquer un écran solaire sur la peau exposée

pendant les mois d’hiver, même lorsque le temps est couvert.

La sécurité d’abordRappelez aux enfants qu’ils doivent

faire plus attention aux voitures lorsqu’ils traversent la rue l’hiver. Il est plus difficile de voir la circulation, et les bancs de neige nuisent à la visibilité des conducteurs qui pourraient avoir besoin de plus de temps pour arrêter leur véhicule.

Si les enfants construisent un fort en neige, assurez-vous qu’il est situé à l’écart des voies d’accès et des chemins. Il est préférable de le faire sans toit.

La glissade est très amusante l’hiver lorsqu’on la fait en toute sécurité. Les parents devraient vérifier la pente pour repérer les choses contre lesquelles l’enfant pourrait buter, par exemple les roches, les clôtures ou les arbres. Assurez-vous que votre enfant regarde en bas de la pente avant de commencer à glisser afin d’éviter les collisions avec d’autres.

Portez toujours un casque de sécurité lorsque vous faites du ski ou de la planche à neige. Les casques de sécurité ont permis de réduire les traumatismes crâniens de 60 p. 1001.

Beaucoup de ruisseaux, de lacs et de rivières gèlent pendant les mois d’hiver, fournissant la possibilité d’y patiner ou d’y glisser. Il faut toutefois être prudent, car de nombreux facteurs peuvent influer sur l’épaisseur de la glace, y compris les suivants : • la profondeur de l’eau;• les courants, les marées

et les autres masses d’eau en mouvement;

• les produits chimiques, y compris le sel;

• les fluctuations des niveaux d’eau;

• les billots, les roches et les quais qui absorbent la chaleur du soleil;

• la température variable de l’air.

(SécuriJeunes Canada)

Rappelez-vous que neuf blessures sur dix sont évitables. Les slogans de Smartrisk, un organisme national de prévention des blessures, vous aideront à vous amuser en toute sécurité pendant les mois d’hiver : regardez où vous allez, portez l’équipement nécessaire, mettez votre ceinture de sécurité, suivez une formation et restez sobre au volant.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur les façons d’assurer la sécurité de votre enfant pendant les mois d’hiver, visitez le site http://www.safekidscanada.ca/securijeunescanada/default.asp. Vous pouvez aussi communiquer avec le Programme de traumatologie de Saint John du Réseau de santé Horizon en composant le 648-6056.

Le saviez-vous?

Même s’ils sont chaudement habillés,

les enfants ne devraient pas jouer à l’extérieur si la température est inférieure à -25 oC

ou si le refroidissement éolien est inférieur à -25 oC ou plus.

Le saviez-vous? L’épaisseur de la glace doit

atteindre :

• 15 cm (6 pouces) pour y marcher ou y faire du patin seul;

• 20 cm (8 pouces) pour les groupes de patineurs ou les matches;

• 25 cm (10 pouces) pour les motoneiges.

(SécuriJeunes Canada)

Dress ProperlyAll winter activities require warm, dry clothing including a hat and clothing made of tightly woven fibers like wool. It is very important to protect face, fingers, toes, ears and nose from frostbite. Mitts are warmer than gloves. Use tube-shaped neck warmers instead of scarves to decrease the risk of strangulation. If a scarf must be used, tuck it into your child’s jacket. Try to buy jackets and hoodies without drawstrings or remove the strings. A single pair of socks, either wool or a wool blend (with silk or polypropylene) is better than cotton especially if socks get wet. Avoid extra thick socks. Boots

should be dry and not too tight. It is very important to remove wet clothes and footwear as quickly as possible to prevent frostbite. Also, don’t forget sunscreen in the winter months for any exposed skin, even on cloudy days.

Safety FirstRemind children when crossing the street during the winter that they need to be extra careful looking

for oncoming vehicles. It is harder to see traffic coming and drivers have a difficult time seeing around snow banks and may need more time to stop their vehicle.

If children are making a snow fort it should be built away from driveways or roads and it is best to make it without a roof.

Sliding in winter is lots of fun when done safely. Parents should check the hill for things sliders

could crash into like rocks, fences, or trees. Make sure your child looks down the hill before beginning to slide so they do not collide with other sliders.

Always wear a helmet when skiing or snowboarding. Helmets have been linked to a 60 per cent reduction in head injuries.1

There are lots of streams, brooks, lakes and rivers that freeze over during the winter months providing opportunities for skating or sliding. Care must be taken because there are many factors affect ice thickness including: • how deep the water is • currents, tides and other moving water • chemicals in the water including salt • changes in water levels • logs, rocks and docks in the water that absorb

heat from the sun • changing air temperature

(Safe Kids Canada)

Remember nine out of ten injuries are preventable! The Smartrisk (a national injury prevention organization) slogans “look first”, “wear the gear”, “buckle up”, “get trained” and “drive sober” can help you to stay safe and fun during the winter months.

For more information about keeping your child safe in winter check out www.safekidscanada.ca or contact the Horizon Health Network Saint John Trauma Program at 648-6056.

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If someone could give you a look at the future health of your children, would you do anything different?

Statistics Canada reports that obesity rates among children have increased substantially during the past 25 years. In 1978/79, 3% of children aged 2 to 17 were obese, however by 2004 that number had doubled, with an estimated 8% of Canadian children being obese.1

So, as a parent what should you do?

First, it is important to realize that children come in different shapes and sizes. Your child’s size is mainly determined by heredity. Some children carry the genes for obesity. Nonetheless, as much as we would like to blame bad genes for childhood obesity, the environment in which children grow up is also a big part of the problem.

Parents need to understand that they are the most powerful role models in their children’s lives. They can influence how their children will grow up to achieve healthy bodies that are right for them. One way to prevent childhood obesity is to understand, set up and maintain a positive feeding relationship. Feeding is the area of a child’s life where nutrition, parenting, and human development meet.

Parents have the responsibility to their children to choose and prepare healthy foods, provide regular healthy meals and scheduled healthy snacks, while at the same time make eating time pleasant. Family sit down meals should be encouraged. Teaching children what to eat is part of being a good role model.

Parents should be encouraged to divide responsibility when it comes to feeding by managing the what, when and where of eating. They must then trust children to decide how much and whether or not to eat what they put on the table. Parents who cross the lines of the division of responsibility impair their children’s eating capabilities. To be capable eaters, children must have support from their parents.

Dinner and kids The tricky task of getting kids to eat right

Lisa Doucet, RD, diététiste

Clinical Nutrition , MiramichiNutrition clinique, Miramichi

What parents need to know?

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L’heure du repas et les enfants :la tâche délicate de nourrir sainement les enfantsSi quelqu’un pouvait vous faire voir l’état de santé de vos enfants dans quelques années, changeriez-vous certaines choses?

Selon les statistiques, les enfants ont une plus grande charge pondérale et mènent une vie moins active. Statistique Canada indique que les taux d’obésité chez les enfants ont considérablement augmenté au cours des 25 dernières années. En 1978-1979, 3 % des enfants âgés de 2 à 17 ans étaient obèses. En 2004, ce chiffre avait doublé; le nombre d’enfants canadiens obèses était estimé à 8 %.1

Que devriez-vous faire comme parent?

Tout d’abord, il est important de savoir que la forme et la taille des enfants varient. La taille de votre enfant est déterminée principalement par l’hérédité, et certains enfants portent le gène de l’obésité. Toutefois, on a beau dire que

Horizon Health Network employee Monique Comeau enjoys a family meal with her husband, Marcel and sons Alexandre and Patrick. Family sit down meals should be encouraged and teaching children what to eat is being a good role model.

Monique Comeau, une employée du Réseau de santé Horizon, savoure un repas avec son mari, Marcel, et ses fils, Alexandre et Patrick. Il est important de favoriser les repas à la table et en famille. Apprendre aux enfants ce qu’il faut manger fait partie du rôle des parents en tant que modèles de comportement.

l’obésité des enfants est due aux mauvais gènes, il reste que le milieu dans lequel les enfants grandissent est une grosse partie du problème.

Les parents doivent comprendre qu’ils sont les modèles de comportement les plus puissants dans la vie de leurs enfants. Ils peuvent déterminer si leurs enfants grandiront dans un corps sain qui leur convient. Une bonne façon de prévenir l’obésité chez les enfants est de comprendre ce qui constitue une relation positive en matière d’alimentation ainsi que d’établir et d’entretenir une telle relation. Dans la vie d’un enfant, l’alimentation est l’aspect qui réunit la nutrition, le rôle parental et le développement humain.

Les parents ont la responsabilité de choisir et de préparer des aliments sains pour leurs enfants, de leur offrir régulièrement, à heures fixes, des collations et des repas sains et de s’assurer de rendre l’heure des repas agréable. Il est important de favoriser les repas à la table et en famille. Apprendre aux enfants ce qu’il faut manger fait partie du rôle du parent en tant que modèle de comportement.

Il faut encourager les parents à partager avec leurs enfants les responsabilités concernant l’alimentation, en gérant ce qu’on mangera, quand et où. Ils doivent ensuite avoir confiance dans la capacité de leurs enfants à déterminer la quantité d’aliments dont ils ont besoin ou à décider de manger ou non les aliments qui se trouvent sur la table. Les parents qui dépassent les frontières du partage des responsabilités nuisent aux capacités alimentaires de leurs enfants. Les enfants ont besoin du soutien de leurs parents pour apprendre à manger sainement.

1 Statistique Canada, http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/050706/dq050706a-fra.htm.

Ce que les parents doivent savoir :

• Il est impossible de prévoir

les aliments que les enfants

accepteront.

• Les enfants mangent ce qu’ils

aiment et ce qui a bon goût.

• L’acceptation des aliments

dépend de la structure des

repas et des collations de la

famille.

• Les repas et les collations

à heures fixes permettent

de s’assurer que les enfants

mangent et mangent

suffisamment.

• Les repas fournissent

l’occasion aux enfants d’être

en contact constant avec

leurs parents.

• Pour être prêt à essayer

divers aliments, il faut avoir

faim au moment de se mettre

à table.

• Il est important de répondre

aux besoins affectifs des

enfants pour leur permettre

d’acquérir de bonnes

habitudes alimentaires.

• Forcer les enfants à manger

diminue leur acceptation

des aliments. Un contrôle

rigoureux des portions

favorisera une obsession

alimentaire qui rendra les

enfants enclins à trop manger

et à prendre de l’embonpoint.

• Le repas idéal comprend une

portion de viande, de poulet

ou de poisson, accompagnée

de riz, de pommes de terre ou

de pâtes alimentaires. Il est

servi avec du pain, un fruit, un

légume, ou les deux, du lait,

du beurre ou de la margarine,

de la vinaigrette, de la sauce,

etc.

Il existe de nombreux livres et ressources que les parents peuvent consulter.

Pour obtenir de plus amples renseignements,

songez à consulter le site www.ellynsatter.com.

• A child’s food acceptance is unpredictable

• Children eat what they like and what tastes good

• Food acceptance depends on the family meal and structured snacks

• Scheduled meals and snacks reassure children they will be fed and fed enough

• Meals give children consistent access to their parents

• Going to the table hungry is the key to being willing to experiment with food

• To do well with eating, children must get their emotional needs met

• Forcing children to eat reduces food acceptance. Strict portion control will lead to excessive concern with food, make them prone to overeat and a tendency to become overweight.

• The ideal meal consists of a serving of meat, poultry or fish; with rice or potatoes or pasta with bread, a fruit or vegetable or both, milk, butter or margarine, salad dressing, gravy etc.

There are many excellent resources and books for parents to refer to.

For more information consider consulting www.ellynsatter.com.

1 Statistics Canada, http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/050706/dq050706a-eng.htm

Page 13: Winter/Spring | Hiver/printemps 2010 Tackling Men’s Healthen.horizonnb.ca/media/33721/vibrant_winterspring2010.pdfanswers to popular questions from our very own health experts from

Back in 2001, I was a nursing student at UNB Moncton and had never been inside a fitness facility or participated in sports of any kind. With some encouragement, I finally decided to take the first step and join a gym. And so, my fitness journey began. Nervous, intimidated and unsure, I began to incorporate weight training into my daily life with some help from a fitness trainer. As time passed, I began to actually enjoy going to the gym and eventually became a personal fitness trainer as well so I could help others. I have since decided to take it to the next step and I am competing in a figure model competition this fall.

So, why should women weight train? That is a question that some of us may ask ourselves on the occasion, when family commitments, work schedules and social lives make it difficult to find extra time. However, the importance of resistance training should not be overlooked. Devoting some extra time during the week can make big improvements to your health. For some, joining a gym or a fitness class helps them feel committed to the exercise regime, and many programs are offered across the province. Other people have a difficult time attending a gym or class and need flexibility to work out at home. If this is the solution for you, there are many resistance training methods out there for home use. You can simply buy a set of free weights or go all the way with a full home gym system. When it comes to deciding whether you should work out alone, with a friend or in a group, again the decision comes down to individual preference. Be creative and try them all out to see what will suit you.

For the love of liftingMoncton nurse shows weight lifting isn’t just for the guys!

Michelle Kelly, RN / I.I.

Moncton

something is uncomfortable or hurting you, then by all means discontinue the exercise and seek expert advice. However, nothing feels more stimulating than the sensation of your muscles and body working hard!

• Lastly remember – the sky is the limit ladies!

Try to discover a weightlifting workout you enjoy - then doing it won’t be a chore, it will be fun. This will also help you integrate it as part of your lifestyle.

Regardless of how you choose to go about this fitness endeavor, there are a few ground rules:

• Attempt to do some form of weight training three times per week if possible for maximum benefit.

• If you need some guidance, be sure to consult with a certified personal fitness trainer to avoid any injury or misinformation.

• The old adage, “No pain, no gain” does not apply to weight training. If

Some benefits of weight training

include:

1. Increase in muscle size, tone and strength

2. Increase in bone, tendon and ligament strength (great for helping to prevent osteoporosis)

3. Increase in self esteem, confidence, decrease in stress.

4. Increased metabolism

En 2001, j’étais étudiante-infirmière à l’UNB, à Moncton, et je n’avais jamais mis les pieds dans une installation de conditionnement physique ni participé à une forme quelconque de sport. Avec un peu d’encouragement, j’ai fini par faire le premier pas et m’inscrire à un gymnase. C’est ainsi qu’a commencé mon parcours dans le domaine du conditionnement physique. Nerveuse, intimidée et ne sachant pas trop quoi faire, j’ai commencé à incorporer l’entraînement aux poids et haltères dans ma vie

Pour l’amour des poids et haltèresUne infirmière de Moncton est la preuve vivante que les poids et haltères ne sont pas seulement pour les gars!

quotidienne avec l’aide d’un entraîneur. Au fil du temps, j’ai commencé à vraiment aimer me rendre au gymnase, et je suis devenue entraîneuse personnelle afin de pouvoir aider les autres. J’ai depuis décidé de passer à la prochaine étape : je participerai à un concours de modèle de forme physique à l’automne.

Pourquoi les femmes devraient-elles s’entraîner aux poids et haltères? C’est une question que nous pouvons nous poser à l’occasion lorsque nous avons de la difficulté à trouver du temps supplémentaire en raison de nos engagements familiaux, de nos

horaires de travail et de nos activités sociales. Il ne faut toutefois pas négliger l’importance de l’entraînement contre résistance. Y consacrer du temps pendant la semaine peut grandement améliorer la santé. Le fait de s’inscrire à un gymnase ou à un cours de conditionnement physique peut aider certaines personnes à prendre un engagement à l’égard d’un régime d’exercice, et il existe de nombreux programmes partout dans la province. D’autres personnes ont de la difficulté à fréquenter un gymnase ou à suivre un cours et

ont besoin de flexibilité pour s’entraîner à la maison. Si vous optez pour cette solution, vous pouvez utiliser à domicile plusieurs méthodes d’entraînement contre résistance. Vous n’avez qu’à

acheter des poids et haltères, ou vous pouvez aller jusqu’au bout et acheter un appareil complet de gymnastique à domicile. Pour ce qui est de décider si vous devez vous entraîneur seule, avec une amie ou en groupe, cela dépend de vos préférences personnelles encore une fois. Soyez créative et essayez les différentes formes d’entraînement pour voir laquelle vous convient le mieux.

Peu importe comment vous choisirez de vous lancer dans ce projet de conditionnement physique, voici quelques règles de base :

• Si possible, essayez de faire une forme quelconque d’entraînement aux poids et haltères trois fois par semaine afin d’en retirer les plus grands bienfaits.

• Si vous avez besoin de conseils, assurez-vous de consulter un entraîneur personnel certifié en conditionnement physique pour éviter de vous blesser et de recevoir de la fausse information.

• L’ancien adage « aucune douleur, aucun gain » ne s’applique pas à l’entraînement aux poids et haltères. Si vous ressentez un malaise ou de la douleur, vous devez arrêter l’exercice et obtenir des conseils d’un expert. Rien, toutefois, n’est plus stimulant que la sensation des muscles et du corps qui travaillent fort.

• En dernier lieu, rappelez-vous, Mesdames, que tout est possible!

Essayez de découvrir une séance d’entraînement aux poids et haltères qui vous procure du plaisir. De cette façon, ce ne sera pas une corvée; vous vous amuserez. Cela vous aidera aussi à intégrer l’entraînement dans votre mode de vie.

Voici certains bienfaits de

l’entraînement aux poids et

haltères :

1. augmentation de la taille, du tonus et de la force musculaires;

2. renforcement des os, des tendons et des ligaments (excellent pour aider à prévenir l’ostéoporose);

3. augmentation de l’estime de soi et de la confiance et diminution du stress;

4. accroissement du métabolisme

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Jennifer Z. Young BPR, CAVR

Volunteer Resources, Auxiliary & Alumnae Relations, MonctonGérante des bénévoles, des auxiliaires et les anciens, Moncton

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Volunteering It’s Good for You!

“Giving a warm blanket

to a patient is like they’re receiving a

hug.”

« Quand vous donnez une

couverture chaude à un patient, c’est

comme s’il recevait un câlin, m’a un jour dit une infirmière

dévouée. »

Pat Burrows knows the feeling of helping out. The long-time volunteer at The Moncton Hospital describes the feeling of lending time to others as a joyous, rewarding experience, even after years of service.

“Giving a warm blanket to a patient is like they’re receiving a hug, a dedicated nurse once said to me,” said Burrows. “As a volunteer, it is one of several little offerings that we can do to help brighten the day for someone. A weekly volunteer day at the hospital is well spent as you meet the nicest people, patients, family and staff. It all has a boomerang effect. It is both a privilege and a joy to be there.”

No matter what the time of year or the cause they are working for, many discover the same deep joy and contentment that comes with helping others. In Canada, we owe much of our quality of life to volunteers. We depend on volunteers to meet a wide variety of needs in virtually every aspect of society including health, education, social services, youth, sports and recreation, culture, the arts and the environment. In Canada, 80 per cent of firefighters are volunteers. Volunteers are the social capital of our society and play a significant part in our country’s economic and community development.

Why volunteer? In short, to make the world a better place. Humankind has always sought to improve the imperfect world in which it lives. Volunteering is an extension of being a good neighbour. As human beings we crave this sense

of purpose. Caring and sharing are essential characteristics of human behaviours, indicative of a community’s attempts to look after the weakest and most vulnerable. Voluntary action in most cultures is deeply embedded in long-established ancient tradition of sharing.

But volunteering isn’t just good for the soul – it’s healthy too. Did you know that volunteers live longer than their non-volunteering counterparts? Regardless of sex, ethnicity or other demographics, people who give time to help others have proven longer life expectancies.

Maybe it is because volunteers step out of

their own lives and make the time to help others; maybe they enjoy enhanced friendships through a volunteer activity;

maybe it’s just because they enjoy

what they do. Whatever the reason, volunteers get

more out of life and make life better for the people around them. And volunteering is FUN! One study recently stated that volunteering was the second greatest joy after dancing.

Volunteering at Horizon Health NetworkCommunity support is strong throughout the Horizon Health Network and part of the heritage of many of our facilities. Whether they are leading our older patients in a sing-a-long or cuddling our youngest patients, many volunteers would attest to the benefits of volunteering, saying they receive far more than they give.

Moncton Hospital volunteer Pat Burrows assists a patient.

Pat Burrows, bénévole à L’Hôpital de Moncton, aide un patient.

To volunteer with Horizon Health Network,

please call the number listed below for your local area:Pour faire du bénévolat au Réseau de santé Horizon,

veuillez composer le numéro ci-dessous pour votre

région :Carleton County /

Comté de Carleton: 506-375-2541

Fredericton: 506-452-5322

Oromocto:506-357-4714

Moncton:506-857-5433

Miramichi:506-623-3190

Saint John:506-648-6523

Pat Burrows sait ce que c’est que d’aider. Cette bénévole de longue date de L’Hôpital de Moncton décrit le sentiment de donner du temps aux autres comme étant une expérience joyeuse et enrichissante, même après de nombreuses années de service.

« Quand vous donnez une couverture chaude à un patient, c’est comme s’il recevait un câlin, m’a un jour dit une infirmière dévouée, a déclaré Pat Burrows. Comme bénévoles, il s’agit de l’une de plusieurs petites choses que nous pouvons faire pour aider à égayer la journée de quelqu’un. Une journée par semaine à faire du bénévolat à l’hôpital est du temps utile, car vous rencontrez des gens, des patients, des membres de la famille et des membres du

Le bénévolat, c’est bon pour vous!

personnel des plus gentils. Cela a un effet de boomerang. C’est à la fois un privilège et une joie d’être ici. »

Quel que soit le moment de l’année ou la cause pour laquelle ils travaillent, beaucoup de bénévoles découvrent la même joie profonde et le même contentement en aidant les autres. Au Canada, nous devons beaucoup de notre qualité de vie aux bénévoles. Nous dépendons des bénévoles pour combler une grande variété de besoins dans pratiquement tous les domaines de la société, y compris la santé, l’éducation, les services sociaux, la jeunesse, les sports et les loisirs, la culture, les arts et l’environnement. Au Canada, 80 p. 100 des pompiers sont des bénévoles. Les bénévoles sont le capital social de notre

société et ils jouent un rôle significatif dans le développement économique

et communautaire de notre pays.

Pourquoi faire du bénévolat? En bref, pour améliorer le monde. L’humanité a toujours cherché à améliorer le monde imparfait dans lequel elle vit.

Le bénévolat c’est comme être un bon voisin, mais dans un autre contexte. En

tant qu’êtres humains, nous avons besoin d’une

raison d’être. Prendre soin des autres et

partager sont des comportements

humains essentiels qui se

manifestent notamment dans les efforts de la collectivité pour prendre soin

des plus faibles et des plus vulnérables. Dans la plupart

des cultures, le bénévolat est profondément ancré dans une tradition de partage de longue date.

Le bénévolat n’est pas seulement bon pour l’âme,

mais pour la santé en général. Saviez-vous que les

personnes qui font du bénévolat vivent plus longtemps? Il a été démontré que quels que soient le sexe, l’ethnicité ou d’autres données démographiques, les personnes qui donnent de leur temps pour aider les autres ont une espérance de vie plus longue.

Cela s’explique peut-être par le fait que les bénévoles oublient leur propre vie et trouvent le temps d’aider les autres; peut-être qu’ils apprécient des liens d’amitié améliorés grâce à une activité de bénévolat; peut-être que c’est simplement parce qu’ils apprécient tout simplement ce qu’ils font. Quelle que soit la raison, les bénévoles profitent davantage de la vie et ils améliorent celle de leur entourage. Et c’est aussi AGRÉABLE de faire du bénévolat! Une étude récente a révélé que le bénévolat était la deuxième plus grande joie après la danse.

Le bénévolat au Réseau de santé Horizon Le soutien communautaire occupe une place importante dans l’ensemble du Réseau de santé Horizon et il s’inscrit dans la culture d’un bon nombre de nos établissements. Qu’ils dirigent une séance de chant avec nos patients plus âgés ou qu’ils réconfortent nos plus jeunes patients, beaucoup de bénévoles attesteraient des avantages du bénévolat en disant qu’ils reçoivent beaucoup plus qu’ils ne donnent.

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OUR VISION:Leading for a Healthy Tomorrow

OUR MISSION:Care for People, Educate, Innovate

and Foster Research

OUR VALUES:Compassion, Respect, Integrity,

Collaboration, Excellence, Sustainability, Innovation

NOTRE VISION :Ouvrir la voie à un avenir en santé

NOTRE MISSION :Soigner, éduquer, innover et

favoriser la recherche

NOS VALEURS :Compassion, respect, intégrité,

collaboration, excellence, durabilité, innovation