Les mots gardent la mémoire (Odette et Michel Neumayer)

Hors de photo

Dedans mon âme

J’aime emporter une émotion personnelle où il est imprimé dans mon cœur. C’est tableau d’huile que je dessine aux 2011 pleins de vers, des contes, des prières, des poésies qui enchantaient mes sentiments de temps à autre.

. Ce tableau représente un paragraphe très important de mon enfance ; que je ne peux pas oublier cette image qui ne quitte pas mon conscient.

C’est ma grand-mère qui travaille tout le temps, elle travaille la poterie à l’argile ,elle fait des marmites de poteries et « makali » des œufs, qu’ Assia est célèbre de cette activités depuis longtemps .Ou ils ont vendu les objets a Bechari (liban- Nord) – et au Tripoli…. pour acheter les  mortier pour l’hiver ,ou échanger les marmites de « fekar » la poterie par pommes de terre, ou des graines (blé, haricots ,homos….et quelque chose pour manger en hiver ). Quand l'argent est abondant, mes grands-parents achètent la terre.Dans ce tableau vous entendez les histoires des : « les chèvres et les sept petits agneaux et le méchant loup, le petit chaperon rouge qui n’obéit pas sa grand –mère, la princesse qui marie le jeune homme qui l’aime, les histoires des saints et les nouvelles anciennes de mon village celui qui me fait pleurent et autre qui me font plaire et rire.Ma grand-mère s’appelle « Frouzia » n’ai su pas lire ni écrire, mais elle est poétesse .Elle avait un portfolio de poèmes en forme de cœur que son père écrivaient à propos de l'une des dates et des évènements de cette époque.Ce pour cela que j’aime les vers et je l’écris parfois surtout en arabe.Vous voyez dans ce tableau la petite fille rêveuse c’est la Violette « moi » que je regarde toujours vers la porte dans un autre horizon, j’entends ma grand-mère et j’imagine …….Je n'ai pas appris à remplir la poterie malgré les tentatives de ma grand-mèreJe n'ai pas maîtrisé ce métier.Mais dans la dernière étape, j'avais l'habitude d’aider d’appliquer la poterie avec un objet quand appelle « Salta », qui est un type de caillou ou on trouve sur la plage ou sur les rives de la rivière.Elle a toujours prié et n'a pas parlé pendant la prière, elle n'a répondu à aucune question, le chapelet était proche d'elle, elle m'a appris à prier, la patience et le pardon tout est dirigé vers la paix.L’atelier où elle travaille la poterie c’est la cuisine, la fenêtre ouverte, en été, pour les rayons solaires.En hiver, ou elle allume le feu sous la grande marmite pour manger toute la famille.Et pour chauffer la cuisine. Et la fumée du feu va sortir de la fenêtre, mais quand il fait mauvais temps, on a fermé la fenêtre on a quitté la porte ouverte sauf quand il y a beaucoup de pluie ou de la neige. Ce pour cela que la fume saluer mes vêtements et mes cheveux et parfois mes larmes aux yeux. Donc, ma mère était en colère, et reprends – moi.

Le plaisir de visiter ma grand-mère dans toutes les saisons enrichit mon âme et maintenant enrichie mon mémoire. Ma grand-mère et toujours en plein temps elle travaille toujours et beaucoup. Que Je vous transmets cette description, et que Je partage une partie de mes souvenirs. Dans ce dessin plein des pages dès mon enfance.

Violette youseph Attieh5-2-2018

Les poteries d’Assia