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Idées pour les futurs Parlons- en : - Les aides du CPAS - Les maisons médicales - Explication des LES NOUVELLES DE Le départ de notre animateur offre l’opportunité de faire le point sur le Parlons-en et sur les attentes des participants. Deux éléments ressortent des discussions : - Fixer des thématiques à l’avance. Plusieurs sujets proposés : garder son logement, les aides du CPAS. On peut inviter des intervenants mais ça ne sera pas pour parler des situations individuelles. Ce n’est pas le cadre. Par contre, c’est le lieu pour se renseigner et prendre ses contacts. - Manque de finalités au Parlons-en ; que faire des interpellations ? On peut déjà les laisser en toile de fond des Parlons-en et réfléchir à la manière de communiquer autour. Important de rappeler également qu’il s’agit d’un lieu d’égalité entre les travailleurs, les citoyens et les utilisateurs des services. - l’animation. A Grenoble, le Parlons-en est co-animé par des usagers ou travailleurs. Le Relais social souhaiterait tester ce concept. Des interrogations persistent concernant la neutralité de l’animateur Salles de consommation : Réflexion en cours au niveau de Charleroi. Ces salles, dans une volonté de réduction des risques, permettraient de : travailler sur la transmission de maladies, sur la visibilité du phénomène dans l’espace public et de permettre de mieux Parlons-en ! Mai 2018 PARLONS-EN ; FAISONS LE POINT SALLE DE Le prochain Parlons-en aura lieu le 6 juin à 10h Beaucoup de tentes ont brûlé dernièrement. Ce phénomène soulève le manque de sécurité pour les personnes vivant en squat. Difficile d’identifier les coupables ; externes ou internes ? Les éducateurs de rue encouragent les campeurs à ne laisser le campement vide. Denis a été s’informer auprès de plusieurs représentants dont celui de la police. Il conseillait aux SDF de venir porter plainte mais les personnes concernées ont peur des représailles ou ont d’autres préoccupations. Faudrait- il mettre en place un système de boîte aux lettres anonyme ? Au niveau de la mendicité, beaucoup d’interpellations pour le moment. Une parole partagée pout lutter contre la grande précarité !

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Le départ de notre animateur offre l’opportunité de faire le point sur le Parlons-en et sur les attentes des participants. Deux éléments ressortent des discussions :

· Fixer des thématiques à l’avance. Plusieurs sujets proposés : garder son logement, les aides du CPAS. On peut inviter des intervenants mais ça ne sera pas pour parler des situations individuelles. Ce n’est pas le cadre. Par contre, c’est le lieu pour se renseigner et prendre ses contacts.

· Manque de finalités au Parlons-en ; que faire des interpellations ? On peut déjà les laisser en toile de fond des Parlons-en et réfléchir à la manière de communiquer autour.

Important de rappeler également qu’il s’agit d’un lieu d’égalité entre les travailleurs, les citoyens et les utilisateurs des services.

· l’animation. A Grenoble, le Parlons-en est co-animé par des usagers ou travailleurs. Le Relais social souhaiterait tester ce concept. Des interrogations persistent concernant la neutralité de l’animateur extérieur. Emmanuel Duval se lance pour le prochain parlons-en en compagnie de notre Capteur Logement, Laurent Ciaccia.

· Quelle place pour les citoyens investis dans la grande précarité ? Les citoyens jouent un rôle essentiel car ils parviennent parfois à toucher un public différent et plus vaste. Le Parlons-en est le lieu où ils peuvent se faire des contacts et discuter sur des thématiques en lien avec leurs actions. L’occasion aussi de se faire connaitre Quid de l’organisation d’une nouvelle réunion citoyenne ?

Une parole partagée pout lutter contre la grande précarité !

Le prochain Parlons-en aura lieu le 6 juin à 10h au Relais social

Idées pour les futurs Parlons-en :

· Les aides du CPAS

· Les maisons médicales

· Explication des « Travailleurs sans emploi » de la FGTB

La tenue vestimentaire des sans-abris et l’image qu’ils renvoient peuvent aussi être en cause. On associe ceux-ci à une propreté douteuse, à une mauvaise odeur, etc. Pourtant, l’hygiène des personnes sans-abri, le fait de ne pas être « trop propre », n’est-elle pas aussi liée à leur identité? A une manière de se protéger ?

Salle de consommation

Salles de consommation :

Réflexion en cours au niveau de Charleroi. Ces salles, dans une volonté de réduction des risques, permettraient de : travailler sur la transmission de maladies, sur la visibilité du phénomène dans l’espace public et de permettre de mieux consommer.

L’objectif de ces salles sera aussi d’avoir un dispositif qui travaille l’accueil et le soin.

Beaucoup de tentes ont brûlé dernièrement. Ce phénomène soulève le manque de sécurité pour les personnes vivant en squat.

Difficile d’identifier les coupables ; externes ou internes ?

Les éducateurs de rue encouragent les campeurs à ne laisser le campement vide.

Denis a été s’informer auprès de plusieurs représentants dont celui de la police. Il conseillait aux SDF de venir porter plainte mais les personnes concernées ont peur des représailles ou ont d’autres préoccupations. Faudrait-il mettre en place un système de boîte aux lettres anonyme ?

Au niveau de la mendicité, beaucoup d’interpellations pour le moment.

Beaucoup de morts pour cette année 2018, Solidarités Nouvelles via Denis voudrait réinvestir le Collectif Morts de la Rue et avoir un meilleur dispatching des tâches. Voir Avec Jean Michel De Carolo Rue.

· Comment donner plus de force à ces sujets ? Interpellations ?

Parlons-en !

Mai 2018

Les nouvelles de la rue

Parlons-en ; faisons le point