Visagesdu

RajasthanReflets éphémères d’un vagabondage au Rajasthan (partie 1) Bernard GEORGES 2012 Tous droits non réservés!

Ces images ont été subtilisées au fil incertain de rencontres , ici et là, lors ducircuit ci-dessus, de 3100 km. Le Rajasthan est une contrée désertique d’où surgissent des villes comme des perles. La beauté, la misère, la vie difficile coexistent, se frôlent dans un contexte où les couleurs des saris et des turbans contrastent avec celle de la terre ocre ou sableuse., où les visages ridés par la vie côtoient des sourires frais spontanés.

Ce baladorama impressionniste n’a d’autre ambition que d’en être, un peu, le reflet!

Pour commencer hommage à un philosophe qui n’a pas croqué la pomme lui etqui nous observe, sans doute plus hamain que bien des humains…

Les femmes portent des saris à plusieurs couleurs, toujours choisies enharmonie. Dans la foule bigarrée elles sont comme des fleurs ambulantes,des fleurs fragiles, souvent soumises à un système machiste impitoyable.Dans les villes elles luttent pour faire progresser leurs droits, non sans peine,du fait d’un gouvernement d’hommes, reflet d’une société patriarcale

Les hommes portent des turbans différents selon les lieux, les villages, lescommunautés religieuses, les castes: ils sont un signe d’appartenance et sontnoués de dizaines de façons différentes…

Les couleurs symphoniques de saris impeccables n’empêchent pas les durs travaux : ici lepétrissage de l ’argile pour en faire des briques…

Zi end !

‘Partie 1)