1er trimestre 2011

N°6

Nous déciderons Ensemblede l’avenir de notre Eglise

Onze médaillés pour un 11 novembre

Le Gros-Morne au Grand Village des CommunesLes Marchés nocturnes du Gros-Morne rencontrent un vif succès

Patrick PAULINEAU, le nouveau DGS du Gros-Morne

TiTom et les calebassesLouis Victor Lazard GERMANY,surnommé « Titom » a de nom-breuses cordes à son arc : pein-ture, sculpture sur calebasse,confection de chachas, tam-bours, maracas, « tambouyé »[...]

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Nos retraités au Morne-Rouge

Ils étaient attendus par les as-sociations péléennes de per-sonnes du troisième âge.Après un accueil chaleureux àl’Hôtel de Ville, le [...]

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Un nouveau DG G r o s - M oPatrick PAULINEAU a le 3 janvier 2011, la codu Gros-Morne en qu nouveau Directeur Gén Services.[...]

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Onze médaillés pour un 11 novemP

Inscriptions Scolaires 2011-2012P

Un écrivain public s’installe au boPa

Notre authenticité exposée

La 4e édition du Grand Villagedes Communes s’est dérouléeles 8 et 9 octobre 2010 au Palaisdes congrès de Madiana. [...]

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« À l’ombre du malfi Écrivain et passionné pa toire de la Martinique, JoLUCE nous présente so nier ouvrage [...]

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L ’ E g l i- Ensemble nous d- Historique-Réunion d’informa

Page

Directeur de la publication :Albert JEAN-ZEPHIRIN, Maire

Directrice adjointe de la publication: Carine CABOT,

Adjointe au Maire, déléguée à la com-

munication

Conception-Réalisation, Maquette :Tedd ETILE

Rédaction :Lydia ORVILLE, Patrick PAULINEAU,

Fred LEGER, Chrislain PIERRE, Carine

CABOT, Tedd ETILE.

Photos : Service Communication,

Droits Réservés

Contact :Mairie du Gros-Morne : 0596-67-50-11

Service Communication : poste 237

Édition : Imprim’flash

Tirage : 4500 exemplaires

www.ville-grosmorne.fr

Dossier

GS aur n e

a intégré ommune ualité de

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mbrePage 6

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Environnement

VHU : On en a marre !La Municipalité rappelle auxcontrevenants, qu’ils risquentune amende de 1500€ pour avoirdéposé, abandonné ou jeté enun lieu public [...]

interdiction de laver lesvoitures dans les rivières

Luttons contre le moustique

Pages 10 et 11

ourgage 11

ini » ar l’his-

osapha on der-

ge 12

Marchés nocturnesLe vendredi, dès 15h00, les par-fums enivrants des fruits et lé-gumes « péyi » envahissent laplace de la Mairie. Ce partenariatde la municipalité et de l’office detourisme du Gros-Morne a pourobjectif de redynamiser le bourg[...]

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Travaux Page 14

Voeux au personnel

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s e éciderons

ation

es 8 et 9

Il y a trois ans ; nous affirmions notre volonté de fairepleinement participer la population aux réflexions qui pré-céderaient toutes les grandes décisions concernant la viede notre collectivité.

Instaurer ce modèle de gouvernance est une demande de la populationqui émerge à la faveur de la relation de proximité et du contrat deconfiance que nous avons établis avec elle. J’en veux pour preuve lesnombreuses sollicitations dont l‘ensemble des élus du conseil munici-pal, et moi-même sommes l’objet de la part de nos concitoyens.Cela démontre que l’opinion est parvenue à un niveau de maturité etun degré d’exigence en matière de gestion, que nous avions en quelquesorte anticipé en jetant les bases de la démocratie participative.

L’équipe actuelle s’attachera donc à consulter de plus en plus lesdiverses instances qui ont été constituées ; et au-delà, toutes les entitésqui souhaiteront apporter leur contribution à l’enrichissement des dé-bats.

Ce cycle a déjà été inauguré par la consultation du comité pa-roissial et des comités de quartier, sur l’épineuse question de notreéglise fortement endommagée par le séisme de Novembre 2007.Dans le but d’informer la population, d’échanger avec elle, et recueillirses avis et ses attentes, nous allons tenir prochainement une granderéunion. La date et le lieu vous seront communiqués ultérieurement. L’avis du Conseil Municipal Junior sera également sollicité.Je sais aussi combien les domaines qui concernent l’amélioration ducadre de vie, la sécurité des biens et des personnes, le développementlocal, et l’accompagnement des publics en difficulté sont l’objet depréoccupations toutes particulières pour nos concitoyens.Ceux qui empruntent les routes communales peuvent se rendrecompte d’eux-mêmes des indéniables progrès qui ont été accomplisen matière d’amélioration de la voirie communale. Ce n’est quel’esquisse d’un plan d’ensemble, incluant l’amélioration de l’existantet le désenclavement de certains îlots ou quartiers.

Nous avons également amorcé la démarche de relance ducontrat local de sécurité afin de réduire les nuisances qui vous affectentdans votre vie au quotidien.Les services municipaux participent largement sous l’impulsion dunouveau Directeur Général des Services à la mise en œuvre de tous lesprojets structurants, malgré une conjoncture budgétaire des plusdifficiles.Cependant nous restons raisonnablement optimistes car la force et laqualité de nos engagements nous ont permis de tisser un réseau par-tenarial très efficace. Je tiens d’ailleurs à saluer le remarquable travail qu’effectuent dansleurs assemblées respectives, notre Conseillère Régionale et notreConseiller Général avec lesquels nous travaillons en totale symbiose.Je ne saurais conclure sans vous rappeler que la gestion des collectivitésterritoriales impose l’équilibre entre la rigueur budgétaire et la nécessitéde réaliser les investissements souhaités par tous.

C’est ce que nous nous appliquons à faire avec beaucoupd’abnégation et de dévouement.

ED ITOAlbert JEAN-ZEPHIRINMaire du Gros-Morne

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«Titom» et les calebassesComment valoriser les produits de la nature ?

Portrait

de nourrir son esprit, son imagination et aussi deformer l’homme qu’il est aujourd’hui.

« Titom » se ramifie entre ses prestations de musi-cien auprès de groupes folkloriques et son passe-temps d’artisan : peintre et sculpteur de calebasses.« Titom » nous raconte avec passion comment ilprocède : « Dans un premier temps, je récupère descalebasses ; ensuite avec une scie je les ouvre etenfin je les vide à l’aide d’une cuillère, » ce qui,selon lui, n’est pas une mince affaire. « Avant decommencer à les sculpter, je dois les laisser sécherquelques jours au soleil ». Pistolet à gravure à lamain, « Titom » laisse sa créativité s’exprimer… Etpetit à petit, ce qui n’était qu’un simple fruit imman-geable, se transforme en nourriture pour les sens :une œuvre d’art est née.«Pour finir, je passe une couche de vernis sur lescalebasses pour les protéger des agressions dutemps ».Homme à multiples talents, « Titom » souhaite

Louis Victor Lazard GERMANY, surnommé « Titom » est ori-ginaire du Lamentin. Il habite le Gros-Morne depuis troisans. Louis Victor surnommé « Titom » a de nombreuses

cordes à son arc : peinture, sculpture sur calebasse, confectionde chachas, tambours, maracas, « tambouyé », danseur de bèlèet danmié etc…Dès l’âge de 14 ans, « Titom » commence la musique avec sonfrère, musicien émérite, adepte des instruments traditionnels. En-semble, ils animent le célèbre « chouval bwa » qui se trouvemaintenant à Fort de France.A 18 ans, il entame une carrière de danseur traditionnel dans leballet folklorique de Loulou Boislaville. Après sa période d’artistedanseur, il devient musicien professionnel avec le groupe deDédé Saint-Prix « Avan van » . Ses découvertes, ses expériences, ses rencontres lui ont permis

transmettre son savoir-faire aux jeunes. Ilpense ouvrir un atelier de sculpture, deconfection d’instruments de musique tradition-nels ; ainsi que des stages d’initiation.

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La calebasse est lefruit d’un arbre endé-mique de la Martiniquede la famille des bigno-niacées : le calebas-sier.Le fruit n’est pas co-

mestible, mais il a toujours été utilisé par nosparents dans la médecine traditionnelle, maisaussi pour fournir de la vaisselle (des couis).La calebasse mûre, vidée et nettoyéeconsciencieusement de sa chair blanche four-nit une coque qui devient dure comme du boisune fois séchée.

Définition ...

Gravures sur calebasse réaliséespar «Titom»

Louis Victor Lazard GERMANY

Mise en espace des créations de «Titom»

5www.ville-grosmorne.fr

Grand Village des communes 2010L’authenticité de notre commune exposée

Initiative...

Des Gros-mornais au Morne-Rougeyon a lot ! ansanm ansanm !

Social

Dans le cadre de la semaine bleue, organisée parl’ALLIAD, le CCAS et la Ville du Gros-Morne,une soixantaine d’aînés de la commune, le

Maire et quelques élus ont pris la direction du Morne-Rouge. Ils étaient attendus par les associations pé-léennes de personnes du troisième âge. Après unaccueil chaleureux à l’Hôtel de Ville, le Maire JennyDULYS invite nos grands-parents à une visite décou-verte du Morne-Rouge et à une visite de l’église duMorne-rouge. Ce lieu de culte, créé en 1851 et recons-truit en 1907, accueille chaque année des « fidèles »venant des quatre coins de la Martinique à l’occasiondu pèlerinage du 30 août.Cette visite passionnante

pour nos « aînés» a été interrompue par le son de la cloche, non pas celle de l’église mais celledu ventre appelant à se diriger vers le restaurant « bambou ». Restauration et animation musicaleétaient au programme de l’après-midi. 17h00, malheureusement c’est l’heure de se quitter. Après avoir remercié nos hôtes, nos ainés, leMaire du Gros-Morne et les autres élus, le cœur heureux et le visage souriant, ont pu regagner leGros-Morne. Rendez-vous l’année prochaine !

La 4e édition du Grand Villagedes Communes s’est dérou-lée les 8 et 9 octobre 2010 au

Palais des congrès de Madiana.Cet événement avait pour objectifde présenter aux divers publics lesactions et réalisations des com-munes et de favoriser d’une ma-nière générale une meilleurecompréhension des mécanismesqui régissent le fonctionnement descollectivités territoriales.La ville du Gros Morne avait optépour la mise en valeur de sesatouts sur le plan touristique, la va-lorisation de son cadre de vie, parun stand original constitué de végé-

taux et présentant unjardin de plantes mé-dicinales.Des panneaux infor-maient également lepublic sur les réalisa-tions ou des initia-tives récentes encours ou program-mées : la démocra-tie participative,l’amélioration ducadre de vie, de l’ac-cueil des adminis-trés, le pland’aménagement et

de rénovation urbaine, le soutien etl’accompagnement du mondesportif et associatif, la déclinaisond’un plan d’action sociale en direc-tion des publics fragilisés ou en dif-ficulté.L’animation du stand était assuréepar des agents municipaux qui ontsu démontrer une grande disponi-bilité, une forte implication et un en-thousiasme réel dans laprésentation et la valorisation deleur collectivité. Une mention spé-ciale est décernée à ceux et cellesqui ont fait preuve d’esprit d’initia-tive, ainsi qu’aux employés du ser-

vice technique et du service envi-ronnement. Soulignons le partena-riat avec le Lycée JosephPERNOCK du Lorrain consistant àpermettre à une de leurs élèves,Gros-mornaise, de mettre en pra-tique son savoir faire.Nous adressons particulièrementnos remerciements aux partenairesqui ont bien voulu mettre leurs pro-duits à notre disposition, à savoirROYAL S.A et SAINT ETIENNE. Nous les adressons également àRose Marie MILLON pour la com-position végétale et fruitière qui adonné un cachet original au standainsi que Marie-Françoise LAMYprésentant ses réalisations à basede végétaux ; qui ont suscité ungrand intérêt du public notammentdes scolaires.

Le Maire, le Directeur de Cabinet etMarie-Françoise LAMY au Grand Village des Communes

Marie-Ange COURSILetElodieLEGENDARThôtesses d’accueil au GVC

Le Maire accompagne nos aînés dans la visitedécouverte de l’Eglise du Morne-Rouge

Al’occasion de la cérémonie commémorative de l’Armis-tice de 1918 du 11 novembre dernier, le Maire a renduhommage et remercié une dizaine de gros-mornais qui

se sont mis au service de toute la population gros-mornaise.L’occasion était donnée à la Ville de montrer aux jeunes gé-nérations la force des valeurs et l’importance de l’engagementau sein de notre société pour le bien-être général.Cette cérémonie a permis de féliciter les sapeurs-pompiersretraités. La médaille et le diplôme d’honneur de la Ville duGros-Morne leur ont été remis. Le Commandant VAUCLIN,Gros-mornais, responsable du groupement nord atlantiquedes pompiers et déjà médaillé, a reçu son certificat de l’OrdreNational du Mérite.

Véritablement placésous le signe du mérite,Jean Alfred GUERE-DRAT Président dépar-temental de l’associationdes membres de l’Ordrenational du mérite de laMartinique, a profité dece 11 novembre pour dé-corer officiellement YvesVICTORIN de la mé-daille de l’Ordre Nationaldu Mérite.Yves VICTORIN est unacteur dévoué de la Villedu Gros-Morne. En plus

d’avoir été un enseignant émerite, il a exercédiverses fonctions telles que Sapeur-Pom-pier volontaire, responsable d’association,administrateur de la MOA, médiateur à laMGPA et bien d’autres. Au quotidien, sonsens du partage, son dévouement, son dy-namisme, sa force de vie et sa déterminationont été des outils indispensables à la réus-site de ses entreprises. Dans son discours, Carine CABOT nous faitremarquer que « cet Homme est un exem-ple d’envergure pour notre Jeunesse Marti-niquaise.Il prône les idéaux de Fraternité, desolidarité, de transmis-sion de lien et favoriseainsi le maintien de lacohésion sociale ». Pour clôturer la céré-monie, José VERSOL,Jean-Philippe MAR-THELY ont rendu hom-mage à celui qui leur afait confiance etqui leur a per-mis de déve-lopper leurtalent et deconnaître lesuccès.

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onze médaillés pour un 11 novembreLa Municipalité rend hommage

aux gros-mornais

Vie communale

www.ville-grosmorne.fr

La Sous-Préfète de l’arrondissement, le Maire, le Maire-junioret bien d’autres étaient présents pour féliciter les médaillés

Les anciens de la MJC étaient présents pour rendrehommage à Yves VICTORIN

Yves VICTORIN, médaillé del’Odre National du Mérité

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Patrick PAULINEAU, nouveau DGS à la mairie Depuis le mois de janvier, il a succédé à RaymondBAPTE au poste de directeur général des services, enmairie...

Actualité

Après plus de 35 ans de serviceau Gros-Morne, l’ancien Direc-teur Général des Services, Ray-

mond BAPTE a fait valoir ses droits àla retraite. Diplômé d’un DESS en RessourcesHumaines, qu’il a complété par uneformation de coaching pour mieuxcomprendre et accompagnerl’homme dans son milieu profession-nel, Patrick PAULINEAU a intégré le3 janvier 2011, la commune du Gros-Morne en qualité de nouveau Direc-teur Général des Services.Après un service militaire dont il dit yavoir puisé des valeurs telles que lasolidarité, l’esprit et le travail d’équipe,il entame une carrière hospitalière quile conduira sur plusieurs champs. Ilexplore d’abord le terrain de la ges-tion économique au Centre Régionald’informatique hospitalière du CHUde Fort-De- France, puis on lui confiela gestion des Ressources Humainesà l’hôpital du Saint-Esprit. C’est d’ail-leurs dans cet hôpital qu’il rencontrerale Directeur qui lui offre d’accompa-gner un établissement de la Marnedans sa reconstruction en prenant laresponsabilité des services Econo-mique et Financier de cette structure.Durant cette séparation d’avec son îlenatale, ce même Directeur lui pro-pose de l’associer à un projet de coo-pération avec l’hôpital de Moroni auxComores dans l’Océan Indien. A l’is-sue de ce périple fort enrichissant, ilrevient au pays.

Quelles sont les raisons qui vousont poussé à revenir en Martnique?Après trois années passées dans ledépartement de la Marne, dans la ré-gion Champagne-Ardenne, oùj’avais pour mission d’accompagnerun établissement hospitalier dans sareconstruction, il était évident pourmoi de revenir travailler pour monpays.

Connaissiez-vous le contexteet la réalité de cette collectivité?Ancien élu municipal, et agent dela fonction publique depuis 14ans, bien au fait des difficultésdes collectivités territoriales, jesavais que la commune du Gros-Morne ne pouvait s’inscrire dansl’exception. Persuadé que mêmedans un contexte difficile, la réus-site d’une organisation passe parla réussite des hommes qui lafont vivre, je voudrais dans le

cadre de mes responsabilités partici-per à révéler les richesses présentesau cœur et au bout des doigts denotre personnel communal.

Pourquoi avoir choisi le Gros-Morne ?C’est une question qui m’émeutquelque peu….. Le Gros-Morne carj’ai une dette envers cette terre, cellequi a donné sa première chance àmon père, originaire du Vert-Pré.

Quels sont vos premiers objec-tifs?Je salue tout d’abord le travail de monprédécesseur qui malgré un calen-drier décalé entre son départ et monarrivée, a fait en sorte de mettre enexergue sur mon bureau, des pointsclés pour faciliter ma prise de poste.

Mes premières actions :Depuis mon arrivée le 03 janvier der-nier, je tente en toute objectivité defaire l’état des lieux des forces et fai-blesses de la collectivité dans les do-maines financier et humain. Je neveux pas me précipiter en imposantma vision des choses qui pourrait êtredictée par mes expériences passées.La collectivité a ses réalités, et je vou-drais m’appuyer sur une capitalisationde ses réussites afin de proposermes orientations.

Si je devais donc hiérarchiser mespremières actions, ce serait d’abordde réconcilier les agents communauxavec l’institution. Il est indispensablequ’il y ait une hiérarchie au sein denotre organisation, cependant, cha-cun, dans son positionnement ausein de la collectivité est important,donc, mérite le respect.

Dans un second temps, il est indis-pensable de se projeter dans une dé-marche d’évaluation qui nouspermettrait de réduire les écarts entre

l’existant et les attendus en termes decompétences des agents par le biaisd’une politique de formation «conqué-rante ».

En troisième lieu, je voudrais fairenaître un fort sentiment d’apparte-nance à une collectivité qui fait face àdes difficultés et qui veut relever latête. Les difficultés de la mairie nesont un secret pour personne auGros-Morne. Cependant la situationva s’inverser si tous nous avons la vo-lonté de faire ensemble. Souvent lesreproches fusent quand il s’agit de laqualité du travail des agents de lamairie. Il conviendrait de faire aussichanger cette image au sein de la po-pulation. Nous avons des agents degrande qualité. Retrouver le respectet une considération réciproque nouspermettrait d’atteindre de meilleursrésultats. Ces professionnels ontdonc à regagner la confiance de lapopulation.

Je ne voudrais surtout pas que l’on aitl’impression qu’un nouveau «com-mandeur » ou « géreur » est arrivé ausein de la commune.Je suis, c’est vrai le nouveau respon-sable administratif de la mairie, ce-pendant chacun des agents de cettecollectivité est dans le périmètre quilui est confié en responsabilité face ànos réussites et nos échecs devant lapopulation du Gros-Morne.

Quels sont vos grands projetspour le Gros-Morne ?Même si mon leitmotiv est d’atteindrel’organisation efficiente, ce serait vainsi le fruit de ce travail n’était pas dirigévers la population et récolté par cettedernière. Notre objectif est avant toutque la population du Gros-Morne soitsatisfaite du service qu’on lui rend.De grands projets structurants pour lacommune sont déjà en marche ettous les services de la collectivité sontdéjà à pied d’œuvre pour qu’ils sor-tent de terre. Je me ferai fort d’accom-pagner toutes ces équipes dans cesens. Il ne m’appartient pas ici d’ex-poser ces grands projets pour ne pasfaire injure à la compétence de l’exé-cutif. Mon rôle est de trouver avec lesdifférentes directions composant l’ad-ministration communale, les moyensnécessaires et mettre tout en œuvrepour leur réalisation, toujours dansl’intérêt du Gros-Morne et des Gros-Mornais.

www.ville-grosmorne.fr

Patrick PAULINEAU Directeur Général des services

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La rénovation ou la recons-truction de l’église se révèleêtre un chantier lourd, long

et complexe. La municipalité, trèssollicitée sur ce dossier tient ab-solument à faire participer la po-pulation aux décisions relatives àl’église. Les solutions concernantce monument de notre patri-moine communal doivent êtretrouvées ensemble, précise leMaire. Faisant suite à cette vo-lonté de concertation, une délé-gation d’élus et d’administratifsrencontre le Conseil paroissial lemardi 25 janvier 2011. Cette réu-nion a permis d’envisager plu-sieurs solutions. Dans un premiertemps, le Maire expose aux par-ticipants l’importance des dégâtscausés par le séisme du 29 no-vembre 2007. Il précise qu’unereconstruction de l’édifice pour-rait s’étendre sur une durée de10 ans. Les estimations des pre-mières expertises font apparaitreun coût sensiblement égal qu’ils’agisse de reconstruction ou deconfortement de l’existant : 4 000000 d’euros. Les élus et les membres duconseil paroissial ont esquissédes solutions palliatives permet-tant de maintenir un ser-vice de culte auGros-Morne. Durant lestravaux de confortementou de reconstruction il seranecessaire d’accueillir lesparoissiens dans un autrelieu. Là encore, plusieursalternatives ont été discu-tées : installer des chapi-teaux provisoires, àtransférer les offices dudimanche au hall dessports ; ou encore à

construire un bâtiment léger en lieu et place de l’école mixte B.Les cérémonies funéraires ainsi que les messes quotidiennespourraient se dérouler dans la salle paroissiale. Cette concertation démocratique, dans ses premiers pas, remplitéminemment sa fonction. La Municipalité sou-haite poursuivre dans ce sens. A l’issue dudébat, le Maire a proposé la création d’un co-mité de pilotage composé à la fois d’élus et demembres du Conseil Paroissial. Ce comitése rencontrera régulièrement afin defaire le point sur l’avancée du dossierde l’église. Le Maire souhaite élargircette démarche d’échange et de dia-logue à tous les citoyens. Vous pour-rez donner votre avis sur le blog de laville : www.vivreaugrosmorne.com.Une réunion sera organisée pour l’en-semble de la population. Ce rendez-vous ne sera pas celui d’une simplecommunication sur un projet déjà fina-lisé, mais bien celui de la démocratieparticipative. Au cours de cetterencontre, chacun pourras’exprimer et proposerdes idées et ensemblenous arriverons aup r o j e tfinal.

L ’ é g l i s e . . .. . . s u r u n f o n d d e

Travaux

www.ville-grosmorne.fr

9

c r i s e !

www.ville-grosmorne.fr

L’église du Gros-Morne a déjà étédétruite et re-

construite quatre foisau cours de son his-toire. En 1730, la pre-mière chapelle futconstruite dans leshauteurs du quartier

Tracée. Le Gros-Morne était alors rattaché àla paroisse de Trinité. En 1743, la premièreéglise a été construite à la place de l’actuelcimetière. Le 02 juillet de cette même année,les habitants du Gros-Morne appuyés par lePère Mane ont présenté une requête augouverneur. Ce dernier accepta et le Gros-Morne fut alors érigé en paroisse. A cetteépoque, le curé avait à la fois une fonctionreligieuse et une fonction sociale. Il rendaitnotamment visite aux malades, il veillaitaussi à la bonne éducation des enfants. Deplus, il devait s’occuper de la tenue des re-gistres de l’état civil. Le 27 juillet 1772, PierreBLANCHETIERE-DULYS a gracieusementdonné un terrain destiné à la nouvelle égliseet au presbytère. Les Gros-Mornais, ensem-ble, ont construit cette église ; les travaux ontduré 18 mois. Elle a vécu 40 ans. Toute enbois, elle n’a pas su résister aux cyclones de1812 et 1813. Elle fut reconstruite en 1825par la municipalité. L’Église a été le premierbâtiment communal édifié. Le tremblementde terre de janvier 1839 causa de gros dé-gâts à l’église et au presbytère. On fut obligéde démolir le clocher qui menaçait des’écrouler. En 1870, d’importants travaux deréparations ont été effectués. En 1883, ellefut reconstruite par la municipalité. Cette fois-ci elle a pu résister au cyclone du 18 aout1891, qui ravagea Saint-Pierre et Fort-de-France, des travaux de toiture et de peinturefurent quand même nécessaires. De nou-veau, le séisme de novembre 2007 fragilisal’édifice. Aujourd’hui, l’édifice est en trèsmauvais état. Pour la première fois de l’his-toire, les Gros-Mornais sont associés à la ré-flexion sur le devenir de notre Eglise.

I n s c r i p t i o n s S co l a i r e s

2 0 1 1 - 2 0 1 2

Historique de notre Eglise

ImportantLe Maire de la Ville du Gros-Morne invitera,

bientôt, la population à une réunion d’infor-

mation et d’échange sur la question de

l’Eglise.

Lors de cette rencontre un court exposé sur

l’historique des démarches déjà entreprises

pour l’Eglise vous sera présenté ; ensuite

vous pourrez participer aux échanges rela-

tifs à l’avenir de notre Eglise.

Le Maire de la Ville du Gros-Morne informe les famillesque les inscriptions scolaires s’effectueront au SER-VICE EDUCATION Immeuble Nazaire 27 RueSCHOELCHER du 14 Mars au 01 Avril 2011 et du 11au 29 Avril 2011 les jours ouvrables de 7h00 à 12h00.

Sont concernés :

- les enfants nés en 2008, - les enfants nés de Janvier à Mars 2009 sous ré- serve des places disponibles,- les enfants entrant en Cours Préparatoire, - les enfants qui étaient déjà scolarisés en 2010-2011et qui relèvent d’un autre secteur géographique (chan-gement de domicile).

LES PIECES A FOURNIR :

- Extrait d’acte de naissance de l’enfant (original datantde moins de 3 mois)- Copie des pages de vaccinations du carnet de santéde l’enfant- Original d’un justificatif d’adresse des parents ou tu-teurs datant de moins de 3 mois : *facture de téléphone(hors portable), *facture d’électricité ou d’eau, *quittancede loyer,- 1 photo d’identité récente de l’enfant,-Notification de la commission de droit à l’autonomie(pour les enfants admis en CLIS)-Copie de l’ordonnance du jugement (pour les parentsséparés ou divorcés)- Original du certificat de radiation de l’école précédentepour les enfants qui étaient déjà scolarisés.

Affaires Scolaires

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mule, Central casse auto, Bé-rald auto) peuvent recevoirgratuitement ou contre unecontribution financière cesVHU.

Aujourd'hui la technologie per-met de retrouver le proprié-taire d'un véhiculeabandonné. Les recherchesaboutiront systématiquementà une verbalisation par la Po-lice Municipale.En parallèle, la Municipalitémettra en œuvre une troi-sième campagne de ramas-sage des VHU. Lespropriétaires pourront, moyen-nant une participation finan-cière, faire enlever leursépaves. Prenons conscience de nosactes et agissons afin de pro-fiter d’un cadre de vie de qua-lité et de le transmettre en bonétat à nos enfants.

Contact :

Police Municipale :

0596-68-31-96

Service environnement :

0596-67-70-45

VHU : cela ne peut plus durer !!Soyons responsables, informés et

préservons notre environnement !!

Environnement

Après une première campagned’enlèvement des épaves réa-lisée par la Ville, les véhicules

hors d’usages (VHU) recommencentà fleurir le long des routes et dans nosquartiers. Ces points noirs du pay-sage enlaidissent et dégradent notreenvironnement. Ils constituent de sur-croît un risque sanitaire important :développement de larves de mous-tiques vecteurs de la dengue ou en-core prolifération des rats et autresnuisibles.

La Municipalité rappelle aux contreve-nants, qu’ils risquent une amende de1500€ pour avoir déposé, abandonnéou jeté en un lieu public, privé ou unemplacement non prévu à cet effet,une épave de véhicule, des ordures,déchets, matériaux. La Municipalitérappelle que quatre établissements(Métal-dom, Casse auto nouvelle for-

A t t e n t i o n !

www.ville-grosmorne.fr

Il est Interdit delaver sa voiture

en rivière !

L’eau de nos rivières estutilisée dans trois domainesrythmant la vie de notreMartinique : l’alimentation eneau potable, l’irrigation, l’in-dustrie. Épargner les rivièresde la pollution induite par lelavage des voitures c’est ré-duire la quantité de produitsde traitement utilisés pourrendre l’eau potable. De plus,nos rivières sont un lieu devie fragile. Les hydrocar-bures asphyxient sansvergogne la faune endé-mique.Le règlement sanitaire dé-partemental prévoit uneamende de 450€ à toutcontrevenant. La police Mu-nicipale sera régulièrementsur les sites pour faire appli-quer la règlementation. Il fautnoter aussi que le code del’environnement prévoitjusqu’à 75 000€ d’amende etdeux ans de prison en cas depollution avérée. L’eau de nos rivières estindispensable à toute la Mar-tinique ; préservons-la dèsaujourd’hui en prenant la dé-cision de ne plus jamais lavernotre voiture en rivière.

En deux ans, près de 300 épaves ontété enlevées par la Municipalité

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Ce samedi 05 février, les membres de l’as-sociation Narcisse, et leurs invitésavaient rendez-vous pour donner vie of-

ficiellement à un « espace écrivain public »: Pa-pyrus. De tout temps, l’objet du métierd’écrivain public a été de se placer comme letrait d’union entre les individus et les nécessitésadministratives ou sociales. L'écrivain public

écrit pour autrui tout type de texte à caractèreprivé, administratif ou professionnel. La langue estsa matière première et l’écrit est la valeur ajoutéequ’il lui impose. En faisant preuve d'écoute etd'empathie, il est un acteur social qui permet auxindividus de répondre à leurs obligations dans unesociété où l'écrit est omniprésent. Aujourd’hui,cette activité répond à un besoin nécessaire d’unesociété rythmée par une communication démesu-rée et une informatisation à outrance. L’associa-tion Narcisse, présidée par Max CLEORON, acréé cet espace « écrivain public » pour accompa-gner les particuliers dans leurs démarches et pro-poser un service aux artisans et aux petitesentreprises. La maîtrise des différents typesd’écrits donne à l’association une palette d’outilsqui la rend polyvalente. De plus, grâce aux tech-nologies de la communication et de l'information,Narcisse développe un large éventail de servicesrédactionnels : documents administratifs, courrierspersonnels, discours, faire-part, pages Web,biographies, récits de vie, textes littéraires, correc-tions, réécritures, etc. Papyrus pourra accompa-gner les projets du plus grand nombre.

Contact :0596-71-88-08

Un écrivain public s’installe au bourgL’association Narcisse inaugure«Papyrus» : un espace «Ecrivain pu-blic» offrant une large gamme deprestations...

Initiative...

Luttons contre le moustique...Ensemble, agissons contre la dengue !

Environnement

Dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de denguequi a touché le département en 2010, la municipalité

a mis en place six brigades définies par secteurgéographique et chargées de la destruction desgîtes larvaires. Ces brigades devaient recensertous les gîtes à moustiques sur le territoire et par-ticulièrement près de chez vous.Sur la période du 30 août au 17 septembre 2010,plus de mille deux cent vingt-huit (1228) gîtes ontété recensés (dépôts d’encombrants, citernes, fûts,pneus, pots à fleurs, stocks de pneus, véhicules horsd’usage…). Pour faire suite à cette première cam-pagne de sensibilisation, la municipalité a fait appelà six agents volontaires du service civique. Après uneformation, ils sont venus renforcer les équipes. Ils ontune première mission de sensibilisation. Ces agentsdoivent aussi intervenir auprès des publics vulnérables; et bien évidemment, participer aux actions de promo-tion de la santé. Une veille régulière est effectuée sur tout

le territoire. Les rapports de visite hebdomadaire sont transmis aux services de l’Agence Régio-nale de Santé pour un meilleur suivi des opérations. Dans la lutte contre le moustique, la Ville a pri-vilégié la proximité. C’est, pour elle, le moyen le plus efficace pour modifier les habitudes.

www.ville-grosmorne.frInauguration de l’espace écrivain public de Narcisse

Écrivain et passionné par l’histoire de la Martinique,Josapha LUCE nous présente son dernier ou-vrage : À l’ombre du mal fini. Homme de partage,

Josapha souhaite faire profiter les foyers martiniquais endonnant à chacun la possibilité de connaître l’histoire deson pays à travers sesœuvres accessibles partous. Après le « diction-naire des personnalités etdes lieux et des hauts faitsde l’histoire de la Marti-nique », sorti en 2007 et «Créoles d’où viens-tu ?»(2008), Josapha revientavec ce nouveau livredans lequel il revisite defaçon agréable et remar-quable les coutumes ettraditions locales de notre

pays. Le récit raconte les aventures et lesnombreuses péripéties d’un groupe d’amisdurant les différentes périodes marquantes

de l’année et dans des situations propres ànotre île. Entre intrigue et récits pédago-giques, « À l’ombre du malfini » redonne dusens aux fêtes et aux croyances locales. Découvrons les us et coutumes «d’antan»,les vidés carnavalesques, les bains de mer,l’illumination de la Toussaint, réveillons deNoël… tout est décodé à la lumière de notrehistoire. Cet ouvrage est véritablement uneouverture sur notre passé et notre patrimoine.

Contact Josapha LUCE : 0696-22-13-62

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« À l’ombre du malfini »« Nos Coutumes et traditions »

Culture

Josapha LUCE, écrivain Gros-Mornais

Séance de présentation du roman «A l’ombre dumalfini» à l’ACSEF de Rivière-lézarde

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Les Marchés Nocturnes du Gros-MorneFruits, légumes et produits artisanaux sont au

rendez-vous dès 15h00

Focus sur...

Depuis le mois de novembre, une fois parmois, le Gros-Morne déballe ses étals. Levendredi, dès 15h00, les parfums enivrants

des fruits et légumes « péyi » envahissent la placede la Mairie. Ce partenariat de la municipalité et del’office de tourisme du Gros-Morne a pour objectifde redynamiser le bourg et de permettre aux gros-mornais de trouver près de chez eux les produitsfrais locaux. Les marchands essentiellement duGros-Morne, émerveillent les yeux des plus petits

avec un camaïeu de couleurs rappelant l’arc-en-ciel. Mille couleurs pour un choix toutaussi important : fruits, légumes, produits ar-tisanaux, meubles, pâtisseries, vêtements,boucherie, etc.…La volonté de l’office et de la Ville est de pé-renniser le concept. C’est ainsi qu’à chaquerendez-vous des thématiques seront propo-sées. Lors des premières éditions, nom-breux sont les Martiniquais qui ont réponduprésents et ont fait le succès de cette mani-festation. Rendez-vous avec les marchés nocturnes du

Gros-Morne, tous les deuxième vendredi du

mois de 15h00 à 21h00 sur la place de la

Mairie et la place René MARAN.

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Depuis quelques mois, des travaux d’exten-sion du réseau d’eau potable ont lieu sur leterritoire de la commune. Ces travaux répon-dent à une doléance formulée par le Maireauprès du SCNA : « Tout mettre en œuvrepour rapprocher les compteurs des Gros-Mor-nais ».Poser une canalisation, un jeu d’enfant? Pas vraiment. Pour assurer l’extension duréseau, il faut d’abord obtenir les autorisationsdes propriétaires fonciers, ensuite creuserdes « tranchées » tout le long des routesconcernées. Entamés en novembre 2010,ces travaux se poursuivent avec notammentdes extensions aux quartiers Croix-Odilon

(chemins Stephen Felixine et Djoni Piéjos), Poirier, Rivière-Pomme(chemin Lejuste) et au Bourg(rue Joseph Simon). 210 200€ sont engagés pour ces travaux. 1096 mètres de canalisation ontété posés. Ces allongements permettront de sécuriser l’arrivée d’eau des 49 riverains concernés.Il s’agit aussi pour la Ville d’améliorer la distribution de l’eau et de garantir une pression suffisanteaux bouches d’incendie. Six mois de travaux ont été nécessaires pour réaliser l’ensemble desextensions prévues dans ce premier programme.

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Extension du resau d’eau potableT r a v a u x

Le quartier Lessema, notamment au niveau de l’intersectionavec le chemin de la Paix, se réveille depuis quelques joursau son des pelleteuses et autres tractopelles. Il y a unebonne raison à ce vacarme quotidien. La Ville a entamé destravaux de réparation de l’ouvrage hydraulique, de pose decanalisation des eaux pluviales, de réfection de la chausséeet de la création d’accotements bétonnés. Ces travaux d’unmontant de 262 000€ bénéficient du Fonds de secoursdébloqué suite aux intempéries du 4 et 5 mai 2009 ;et d’un financement de la ville à hauteur de 56%. À lafin du chantier, les riverains bénéficieront d’une routede meilleure qualité, permettant le croisement de deuxvéhicules dans de bonnes conditions et une sécuritéaccrue notamment en cas de fortes pluies.

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travaux au quartier Lessema

Depuis quelque temps, des miroirs fleurissent aux inter-sections des routes sur le territoire de la commune. Cette

pose de miroirs répond à une véritable volonté mu-nicipale de sécuriser les axes routiers de la com-mune. Ce travail de sécurisation inclut aussi, laréfection des voiries, le renforcement ou la construc-tion d’accotements bétonnés.

Ces miroirs, correctement placés, contribuent à améliorer lasécurité des administrés sur certaines intersections notam-ment à la croisée des routes communales et départemen-tales traversant la commune.

Miroir : Oh mon beau miroir !

Espace réservé aux conseillers n’appartenant pas à la majorité

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Pour faire le bilan l’année 2010, et fixer le cap pour2011, la cérémonie de vœux du Maire au per-sonnel s’est déroulée le 30 décembre à la salle

HIBISCUS chez Serge FREDAL, au quartier DES-SAINT. Cette occasion a permis au Maire de présenterses vœux au personnel pour l’année 2011, de féliciterles 3 agents qui partent à la retraite après de bons etloyaux services rendus à la Commune. La matinée aété aussi marquée par la présentation du nouveau Di-recteur Général des Services qui succède à RaymondBAPTE.Pour cette nouvelle année, malgré les difficultés, leMaire souhaite mettre tout en œuvre pour veiller aubien-être de ses concitoyens et demande à ses agentsde renforcer la cohésion entre eux afin d’agir pour «unmieux-être et un mieux vivre ». Il a encouragé lesagents municipaux à agir en véritables professionnelsau service des administrés sans lesquels, a t’il rappelé,nous n’aurions pas de raison d’être. Il leur a indiqué

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que la réalisation de «ces objectifs passe par l’ac-croissement du niveau de performance tant indi-viduel que collectif et le respect des notionsd’éthique indispensables au bon fonctionnementdu service public».Ensuite trois agents ayant fait valoir leur droit à laretraite ont été mis à l’honneur : Maryse CIREN-CIEN (adjoint administratif — caisse des écoles),Damien LEZIN (agent service technique) et Ray-mond BAPTE (Directeur général des Services). Ilsont reçu un présent pour leurs bons et loyaux ser-vices.Après 30 années passées dans la collectivité,

Raymond BAPTE cède sa place au nouveau Di-recteur général des Services, Patrick PAULI-NEAU.C’est à cette occasion, que le personnel a fait laconnaissance du nouveau DGS.Pour finir, le Maire a souhaité une année de réus-site au personnel et a remercié Serge FREDALqui a mis gracieusement sa structure à dispositionde la Municipalité.

Cérémonie de voeux 2011Le Maire encourage les agents à agir envéritables professionnels au service desadministrés [...] la seule raison d’êtred’une collectivité...

Cérémonie

Le personnel communal du Gros-Morne

Damien LEZINreçoit du Maire et de Jean-ClaudeRENARD (Directeur des Services-Techniques)

les félicitations pour les services rendus à la Ville