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Vin uette une ! azette g 2 0 0 9 1. La naissance d’une gazette, si modeste soit-elle, est toujours une grande aventure tant pour les « journalistes » qui la portent sur les fonds baptismaux que pour les lecteurs avides de savoir ce qu’elle va raconter. C’est aujourd’hui le grand jour. Saluons l’arrivée de notre gazette, la gazette de tous les possibles : Chaussons donc les lunettes (sapristi, où sont-elles celles-là?) pour prendre connaissance des dernières nouvelles de la maison. Quelques exemples... Lundi, séance de tricot sans laisser filer les mailles, mesdames les bavardes ! Mercredi, essai culinaire réservé aux messieurs. Qu’est-ce qu’on va rire. N’oubliez pas le tablier, et souvenez-vous des sages conseils de vos grands mères qui vous priaient, jadis, de ne pas tremper les doigts dans la pâte ! Jeudi: Whist-party ! A la maison, comme ailleurs, on ne fait pas trop de signes cabalistiques à son (sa) partenaire, et on n’annonce pas une grande misère avec deux as ! Et si on s’inventait un cours de gym. Pas n’importe laquelle. De la gym tonique pardi, entraînée par Benabar qui fera peut-être craquer nos vieux os mais nous mettra « A la campagne » l’entrain au cœur et la vigueur aux mollets. Et n’oublions pas que les fêtes approchent. Pour qu’elles soient réussies, place à l’imagination : toutes les suggestions sont bienvenues. Mises en musique par les élèves de l’athénée royal d’Izel, 5 e et 6 e TQ arts et infographie, ces pages sont les vôtres. A vous de leur donner vie. En racontant, en témoignant, en formulant vos souhaits, en râlant ... pourquoi pas ? « Rien de plus simple, disait l’écrivain Henri Bordeaux, que de vieillir jeune. Il suffit de vivre dans la joie tout en donnant le plus possible de son cœur ». Alors, hauts les cœurs (en latin « sursum corda » !!!) Que notre gazette soit le maillon fort de la maison et que chacun - y compris personnel, familles et amis - y mette son grain de sel. Florence Duvivier Directeur Edito ...

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Vin uetteune !azetteg

2009 1.

La naissance d’une gazette, si modeste soit-elle, est toujours une grande aventure tant pour les « journalistes » qui la portent sur les fonds baptismaux que pour les lecteurs avides de savoir ce qu’elle va raconter.C’est aujourd’hui le grand jour. Saluons l’arrivée de notre gazette, la gazette de tous les possibles : Chaussons donc les lunettes (sapristi, où sont-elles celles-là?) pour prendre connaissance des dernières nouvelles de la maison. Quelques exemples...Lundi, séance de tricot sans laisser filer les mailles, mesdames les bavardes ! Mercredi, essai culinaire réservé aux messieurs. Qu’est-ce qu’on va rire. N’oubliez pas le tablier, et souvenez-vous des sages conseils de vos grands mères qui vous priaient, jadis, de ne pas tremper les doigts dans la pâte !Jeudi: Whist-party ! A la maison, comme ailleurs, on ne fait pas trop de signes cabalistiques à son (sa) partenaire, et on n’annonce pas une grande misère avec deux as !Et si on s’inventait un cours de gym. Pas n’importe laquelle. De la gym tonique pardi, entraînée par Benabar qui fera peut-être craquer nos vieux os mais nous mettra « A la campagne » l’entrain au cœur et la vigueur aux mollets. Et n’oublions pas que les fêtes approchent. Pour qu’elles soient réussies, place à l’imagination : toutes les suggestions sont bienvenues.Mises en musique par les élèves de l’athénée royal d’Izel, 5e et 6e TQ arts et infographie, ces pages sont les vôtres. A vous de leur donner vie. En racontant, en témoignant, en formulant vos souhaits, en râlant ... pourquoi pas ?« Rien de plus simple, disait l’écrivain Henri Bordeaux, que de vieillir jeune. Il suffit de vivre dans la joie tout en donnant le plus possible de son cœur ».Alors, hauts les cœurs (en latin « sursum corda » !!!) Que notre gazette soit le maillon fort de la maison et que chacun - y compris personnel, familles et amis - y mette son grain de sel.

Florence Duvivier Directeur

Edito ...

Si j’étais...

Si j’ étais un parapluie, je serais avide de danse, je valserais au son d’une musique.Si j’ étais une musique, je serais un tango renversé.Si j’ étais un tango, je deviendrais un clown.Si j’ étais un clown, les enfants ne pleureraient plus.Si j’ étais une larme, je serais plusieurs.Si j’ étais plusieurs, je jouerais aux cartes.Si j’ étais une carte, j’amènerais les gens au pays des merveilles.Si j’ étais une merveille, je serais la huitième. avec Alain, Christiane, Léonie, Louise, Yvonne

Dessin d’Alain Gotalle

Manifestations à Bastogne, à Libramont, à Bruxelles, à Luxembourg. Rassemblements des agriculteurs, des producteurs de lait venus avec familles et amis, en tracteurs, de tous les pays du Bénélux et de l’Europe. Certains d’entre eux sont au bord de la faillite. Lors de chaque manifestation, un dispositif de sécurité a été mis en place. Des gendarmes, des policiers, des agents de police, sont là pour maintenir l’ordre. Mais les cultivateurs sont trés mécontents et révoltés. C’est pourquoi ils utilisent les grands moyens et déversent du lisier devant des bâtiments publics. D’autres cultivateurs ont déversé des milliers de litres de lait dans les champs. Maintenant, ce sont les gardiens de prison qui font grêve ; les prisonniers deviennent violents. Rien ne va plus... Et si, nous, résidents du home St Jean-Baptiste, nous faisions grêve...

Yves Watelet

Ma première fois « à la mer »

La mer du Nord, c’est à Ostende que je la découvris pour la première fois. J’avais dix ans lorsque mon oncle et sa fille Paula me proposèrent une journée à la côte. A la sortie de la gare d’Ostende, un vent violent nous fouettait le visage; nous respirions l’air à pleins poumons et avancions péniblement. Des bateaux étaient en rade, dont le très impressionnant Mercator. Puis, un bruit sourd est parvenu jusqu’à nos oreilles. D’où provenait - il ? Mais oui, la voici enfin cette mer qui se manifestait à nous par des vagues bondissantes. Je croyais rêver devant l’immense étendue d’eau. Nous la contemplions de la digue et comme c’était la marée basse, nous avons pu nous en approcher et faire nos premiers pas sur la plage. Quelle joie de découvrir tous ces coquillages, couteaux et étoiles de mer ! Nos poches furent vite remplies. A l’horizon, nous aperçûmes un gros paquebot : c’était la malle Ostende-Douvres qui, revenant d’Angleterre, allait rallier son point de départ. Bientôt, nous allions bénéficier des commentaires des nombreux voyageurs qui débarqueraient sur les quais de la gare maritime : découverte des falaises crayeuses, promenade dans la ville de Douvres, bus à deux étages... Le vent du soir, plus vif encore creusait notre estomac. Des crevettes à décortiquer plus un cornet de frites nous combleraient vite fait. Et, c’est le coeur en fête que nous prîmes le chemin du retour vers Arlon.

Louise Lambert

Après le voyage à Westende, du 14 au 16 septembre 2009

A la mer, nous avons roulé en cuistax. De l’hôtel, nous sommes allés en louer quatre. La course a commencé dans le village de Westende. Elle a continué sur les rails du tram de La Panne-Knokke jusqu’à la digue. En tête, se trouvaient Christine et Corinne, suivies de la directrice et de Martine, puis de Régis Conte et moi-même. Sarah et Eric étaient les derniers. Après avoir beaucoup pédalé en quittant la digue, nous sommes arrivés premiers ; et nous sommes rentrés heureux. Yves Watelet

Alain, Louise, Josée et Lucienne ont assisté au spectacle « Polichineur d’écritoire » par la compagnie du éâtre des chemins de terre, à l’Espace Rencontre de Florenville, le 16 octobre.

... To be or not to be ?

... Etre ou ne pas être, là est la question !!!S’agit-il encore d’une question ? Dans le monde dans lequel nous vivons, alors que nous sommes confrontés, jour après jour, à une réelle remise en question de nos valeurs... Je peux dire que, arrivant dans la salle de spectacle, nous avons assisté non pas à une pièce de tradition shakespearienne, mais à une version complètement revue et corrigée, à un « one man show » dépourvu de la suite logique en quatre actes... Malgré l’ambivalence du spectacle, la performance à laquelle nous avons eu le bonheur d’assister m’a laissé bouche bée. Alain Gotalle

À la mémoire de Nestor

Nous croyions bien le connaîtreEt il s’est envolé sans un bruitSans tambour ni trompetteTout doucement, discrètementOr il nous a laissé le souvenir d’une voixRésonnante, tonitruante !

Mais on pouvait compter sur lui :En cas de chuteX ... MEXICOO !!!Il avertissait les INFIRMIERES !!!C’était rassurant pour nousOu stressant pour les INFIRMIERES !!! Louise Lambert, Alain Gotalle et Christiane Feller

Devinettes

A quelles expressions correspondent ces dictons détournés ?

« Tourner 7 fois sa langue dans sa douche » « Qui trop croasse a mal au train » « Rien ne sert d’obéir, il faut hennir dans son coin » « Un copain vaut mieux que deux scélérats »

Solutions en dernière page.

« Janvier et février, il faut se chauffer. Les journées sont courtes, les soirées longues, à jouer aux cartes ou à d’autres jeux. Les saisons se terminent. On pense déjà au renouveau de la nature, pourtant il neige quelquefois beaucoup.» En octobre, après une discussion vive à la suite des déversages de lait, nous avions invité Ariane Charriere de La ferme du maronnier, à Watrinsart (Muno) et présidente du MAP (Mouvement d’Action Paysanne) pour nous en parler.

Ariane : J’ai été enseignante et animatrice à la maison des jeunes de Florenville. Mes enfant ayant cinq ans, trois ans et un an, j’ai décidé de rester à la maison et de rejoindre mon compagnon, à temps plein, dans le travail à la ferme laitière. Depuis six mois, je fais de la maquée, du beurre, de la crème. Je voudrais y développer également un projet de fromagerie.Ce qui vous a énervé ou exaspéré, je pense, c’est l’épandage de lait à Ciney ? Lucienne : Occuper les rues, je ne suis pas contre. Mais, le lait, ça a quand même sa valeur. Christiane : Le lait est le seul aliment complet.

« Nous voici en mars, avec ses gelées blanches et ses giboulées. Le fermier soigne son bétail et le nettoie. Il prépare ses machines, charrues et herses, révise son tracteur.» Ariane : Nous sommes descendus dans la rue pendant un an avant d’en arriver à cet épandage de lait. J’ai été jusqu’à Strasbourg, avec une vache, devant le parlement européen. Nous avons monté des dossiers, parlé, écrit des lettres, des rapport... Personne ne nous écoutait. Pendant ce temps là, nos collègues abandonnaient leurs exploitations. Il fallait faire quelque chose de plus violent pour qu’il reste encore quelqu’un dans les fermes. La violence est d’abord pour nous. Le lait est notre seule source de revenu.

« Avril est là avec ses pluies, déjà des animaux sont au pré. Il commence à retourner la terre.»

Alain : Les gens qui ont vu ça à la télé se sont posé des questions. On se rend compte, qu’à un moment donné, il faut avoir une action vive et claire. Parce que les « politiques », avec ce qu’ils gagnent par mois, ils n’en ont rien à foutre. Mais, l’homme de la rue, oui.

Ariane : Nous avions d’abord cru que les gens allaient nous haïr. Mais les gens ont bien compris que, si nous sommes allés jusqu’à un geste aussi désespéré, c’est que notre situation était compliquée. Nous avons eu beaucoup plus de marques de sympathie depuis l’épandage de lait. Nous ne savons pas ce que c’est qu’un salaire ; notre argent est réinvesti ; nous ne comptons jamais nos heures ; nous ne partons jamais en vacances. Traire les vaches, c’est trois cent soixante-cinq jours sur trois cent soixante-cinq.

Cri

se d

u la

it

La honte n’est pas dans le déversage, elle est dans les quatorze heures de travail d’un homme et d’une femme qui ne sont plus capables de payer leurs factures. La première fois que nous avons ouvert la vanne du lait, mon compagnon est parti ; il a dit : « Je ne peux pas faire ça ». C’est moi toute seule qui l’ai ouverte. La solidarité est notre seule force possible. J’ai fait du beurre avec le lait et j’ai seulement jeté le lait écrèmé. Nous apportions aussi des grands bidons de lait tous les matins dans les écoles. Les agriculteurs de Laiche ont livré du lait à la Concille. Le marché libéralisé, ce sont les grosses exploitations qui vont continuer et les plus petits vont lâcher. Quelle société veut-on pour demain ? Une société où il y a de place pour tout le monde ou une société où le plus grand écrase le plus petit ?

Fernand : Pendant la guerre, j’ai travaillé deux ans dans une ferme, je sais ce que c’est que de traire une vache.Un producteur qui a deux cents vaches achète ses produits moins cher que celui qui en a vingt. Le pot de terre contre le pot de fer.

« Nous voici en mai, les jours s’allongent, les oiseaux chantent et préparent leurs nids. L’agriculteur sème ses champs.»

Ariane : Nous aimerions que l’agriculture sorte de la loi de marché financier, qu’elle revienne au niveau public. Nous demandons un outil de régulation du marché qui soit géré par le politique, mais aussi par les producteurs qui retrouveraient ainsi un peu d’autonomie et leur droit à la parole. Pendant les cinquante dernières années, les agriculteurs ont suivi le modèle agricole européen, libéral et capitaliste; et ça n’était pas le bon modèle. Après la crise de la viande, du porc, du poulet, la crise des céréales est annoncée pour cet hiver. Une ferme aurait dû rester une ferme et non devenir une unité de production qui ne fait que du lait, que de la viande, que du poulet, que des céréales. Il n’est pas rare qu’un fermier serve du lait en boîte ! Nous sommes sortis du bon sens. La nature est bien faite et ça va nous ramener dans le mur à un moment ou a un autre. Nous aimerions arrêter d’exporter le lait et que, vous, à vingt kilomètres, vous puissiez le boire. Quand on me dit que je vais avoir des subventions pour exporter mon lait, j’empêche un paysan africain de nourir sa famille parce que nos produits seront moins chers que les siens. En sauvant ma ferme, je tue un autre paysan. Avant de réfléchir à produire de l’argent, retournons à un fonctionnement paysan.

Programme de la maison des jeunes de Florenville

22 et 23 décembre 2009 : stage de création d’animation musicale ménestrel de type «Naheulbeuk»

28/12/09 : Murder - Jeu de rôle grandeur nature. Cela se déroule dans un espace clos. Chacun doit atteindre ses objectifs sans pour autant connaître ceux des autres joueurs. Le paradis des stratèges et des amateurs d’improvisation. La session du lundi est réservée aux joueurs expérimentés - 13h-24h

29/12/09 : Murder - Jeu de rôle grandeur nature. La session du mardi est réservée aux joueurs débutants- 13h-18h

du 15 au 19 février 2010 : répétition générale de la troupe théâtrale de la MJ. Le spectacle tourne autour du personnage tourment qu’est Don Quichotte. Attention cette version est vue, revue, rerevue, et plus que corrigée...

20/02/10 : Don Quichotte.. et marque ! La pièce de théâtre de la MJ

26/02/10 : Taverne - soirée costumée médiévale. La Taverne est une soirée où l’on pourra gouter au plaisir du Live (jeux de rôle grandeur nature annuel de la MJ). Durant cette soirée, chacun pourra pénétrer dans l’ambiance médiévale et fantastique de l’univers du seigneur des anneaux. Attention, à coté des animations des ménestrels et des jeux proposés dans la taverne, vous risquer de vous faire détrousser par un rôdeur, enchanté par une elfe ou encore égorgé par un barbare...

www.beaucanton.be/maisondesjeunes

Christiane : J’ai des cousins qui ont une grosse ferme. Ils ont des vaches qui arrivent à l’heure toute seule. Elles ont une puce qui contrôle le lait que la bête a donné et l’ordinateur calcule sa nourriture en fonction. J’y étais allée avec mes petits enfants pour voir comment c’est une vache qui donne du lait. La gamine m’a dit : « c’est nul, on ne le voit même pas le lait qui sort, il va directement dans la cuve. Ils n’ont plus de poules, de lapins, d’oies, pas de cochons... » « C’est l’ été, juin, juillet, et août. Le fauchage des foins et la remise au chenil. Les journées sont longues, le travail ne manque pas. » Alain : Quand j’étais enfant, il y avait au moins quatre fermes à Vivegnis. Aujourd’hui, il n’y en a plus une seule. Où sont les enfants des fermiers ? Ils ont fait des études à l’université.

Ariane : Mon mari et moi, nous avons trente-trois ans. Il avait vingt ans quand il a commencé et il savait qu’il allait travailler comme un fou. Je ne connais pas beaucoup de collègues plus âgés qui disent à leurs fils de faire comme eux. Si j’avais quinze ans aujourd’hui, je ne me lancerai pas. Notre litre de lait est actuellement payé vingt-deux cents et, sur notre ferme, il faudrait trente-trois cents pour couvrir les frais de production. Les gens qui achètent nos produits aujourd’hui n’ont pas eu faim et ne nous respectent plus. En Afrique, le producteur est respecté (quand nous avons fait la grève du lait, nous avons donné notre lait et j’ai été étonnée que sur ma propre commune il y ait encore autant de gens qui ont faim).

« L’automne se pointe à l’ horizon. Septembre, octobre et novembre. On remise les dernières denrées. Couper les haies, façonner du bois pour les jours plus froids. C’est la fête de la Toussaint et l’office des morts. »

Christine : Et les filières courtes ? Ariane : Plus on réduit le nombre d’intermédaires, plus j’ai de la chance de gagner de l’argent. Je vends mon lait cinquante cents au particulier et ça me suffit pour dégager un petit bénéfice. Ces cinq ans qui viennent seront un tournant, nous voulons le croire. Récemment, j’ai entendu pour la première fois des représentants du monde politiques parler de « souveraineté alimentaire » et de « modèle de production agricole ». Nous devons agir « local », mais penser « global ». Exporter à l’étranger a du sens dans la mesure où cette population n’a pas d’accès à ce type de nourriture.La croissance est arrivée à son terme et nous devons changer nos modes de consommation. Et nous allons perdre pas mal de compagnons sur la route.

« Décembre vient avec ses petites chutes de neige. On fête Noël. Tout le bétail est rentré. On nous dit que la terre est polluée, que les océans montent. Faisons en sorte de retarder cette histoire. Gardons en encore pour nos enfants et nos petits enfants. ». Roger Mahillon

Ont collaboré à ce numéro : Yves, Alain, Josée, Chantal, Franz, Pol, Fernand, Louise, Marguerite, Josée. Les élèves de 5e et 6e TQ Infographie et Arts de l’Athénée Royal d’Izel

Coordinatrice : Christine Van-Acker (Les grands lunaires asbl) Impression : Imprimerie provinciale

Avec le soutien de : La Promotion des lettres belges (Communauté Française de Belgique) Les ateliers d’écriture La Province de Luxembourg

Cette gazette peut également se lire sur le site : www.ecoles.cfwb.be/arizel

Dans le prochain numéro, ami lecteur, tu auras ta place. Envoie-nous une lettre, un commentaire, une proposition, un poème, une annonce, une recette, un truc, une astuce, une blague, une devinette, une photo, un dessin,... pour que nous les partagions ensemble :

Vinguette, une gazette ! 13 rue des Isles 6821 Lacuisine Belgique [email protected]

Solutions devinettes Tourner sept fois sa langue dans sa bouche. (avant de parler pour ne pas dire n’importe quoi) Qui trop embrasse mal étreint. (qui veut faire trop de choses à la fois, les fait mal) Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. (la certitude est préférable aux promesses incertaines)

« Je recherche » :

Alain recherche un ordinateur à donner, même démodé, juste pour faire du traitement de textes. Merci pour lui.