Une compétition, ou un défi

Pour qu’il y ait compétition il doit obligatoirement y avoir intention de compétition, comme entre aumoins deux partis dotés de la Raison(pensée spirituelle). Pour ce qui est des machines, elles ne sont quedes instruments d’exécutions, donc il ne peut y avoir compétition. Par contre, il peut y avoir défipersonnel (ou dire plus simplement, défi).

L’animal pure n’a qu’un raisonnement de survie, il répond à ses besoins de bases comme à ceux de sessemblables, tandis que l’être humain possède un raisonnement tout autre qu’est le spirituel ; ce quipermet à l’Homme de développer sa personne(qu'est l'âme) pour l’améliorer ou la détériorer enraisonnant hors contexte de ses besoins de bases, et cela jusqu’à se diviniser lui-même…et ce qui nedevrait pas l’être, ou l’être.

Donc, les animaux ne compétitionnent(ou ne rivalise) pas comme le fait l’Homme. À la limite, onpourrait même dissocier rivalité animal de compétition, puisque l’animal défend son territoire, sedéfend, ou s’empare d’un autre pour sa survie autant qu'il désire simplement s'amuser pour éprouver duplaisir et non compétitionner...ou faire la guerre en voulant devenir un héro. Tandis que l’Homme deson côté attaque, tue, viole, vol et etc., pour des raisons politiques, religieuses(supposées), économiquesou simplement vaniteuse en détruisant l’environnement de ces territoires ou même de son proprehabitat, tout comme les innocents qui s’y trouvent de même que les plus faibles d’entre eux afin demieux s’y imposer. L’Homme transforme plus souvent qu’autrement ses intentions en une compétitionsanguinaire et sans fin.

Les animaux n’ont pas d’intérêts semblables à la pensée humaine, ils se contentent de réagiradroitement à la main qui les nourrit comme de chercher à combler un plaisir innocent. On dit quel’Homme est pavé de bonnes intentions mais il n’en est rien. L’Homme se remplit plutôt de sesmauvaises intentions par sa méchanceté aux travers de ses illusions, jusqu’à tout vouloir détruire pourmieux s’approprier du pouvoir et du terrain de son prochain.

Les animaux n'ayant jamais été Homme ne peuvent avoir d'intérêts pour la pensée humaine, maisl'Homme ayant jadis été animal a encore forcément de l'intérêt dans la pensée animale. C'est ce que leChrist cherche à faire comprendre aux siens quand il leur dit que la chair combat l'esprit et l'esprit lachair. Le simple animal, l’animal pure, n’est coupable de rien mais l’Homme de toute sa méchanceté àcause de cette humaine dualité. L'être humain ayant déjà connu l'état bestial(sa sous-évolution(ousouches matérielles)) conservera des intérêts face à ces souvenirs millénaires. L'Homme estdéfinitivement la bête témoignée par le Christ Jésus, soyez-en convaincu.Comme le cite l'ancienTestament dans ses premiers Livres : Dès qu'il vient au monde, celui-ci est semblable à un serpent.

Les gens qui cherchent, ceux qui s'informent sur l'actualité et l'histoire de ce monde, savent.Moi, je suis maintenant humain et de plus en plus croyant à cause des événements mondiaux et ce quice qui a été prédit, donc je défendrai ici adroitement ce qui nourrit maintenant mon esprit, et non justece qui sait nourrir ma chair.Comme il est dit : L'Homme ne se nourrira pas que de pain mais aussi de laraison divine(Parole de Dieu). Puisque cette chair-ci, est vouée à disparaître comme en a témoigné leSauveur de ceux qui croient en Celui(him) qui vient(o) de El.Si pour la nature ils sont deux, pour la« sur-nature » il ne fait qu'Un, c'est la Vérité.

Le sentiment d'importance par le pouvoir sur autruiQue des gens veuillent connaître(ou reconnaître) une civilisation plus ancienne que la leur afin decontinuer à cheminement avec eux, à la limite c'est compréhensible et faisable...mais que des individusultra matérialistes veuillent entrer en contact direct(découvrir) avec la Source de toute existence, çac'est idiot en grand, et surtout quand ceux-ci nient l'évidence physique et mathématique qu'une matièretransformée est issue d'un stade moindre avant de parvenir à quelque chose d'autre.

Si j'étais le Diable, alors je chercherais de toute évidence à vous convaincre par toutes les technologiespossibles que l'âme et l'esprit distincts n'existent pas, et là, vous vous perdriez à tour de rôle en ycroyant, continuant de vivre dans ce vide matériel sans fond qu'est notre univers quotidien. Entraînantin-extrémiste vos semblables dans votre chute, laquelle serait aussi la mienne en passant.Ainsi, l'êtreavec l'idée immature que la justice hors de ce monde n'existe pas ce détruirait de lui-même par simplemanque à gagner.

Plus nos vies sont faciles plus elles sont simplifiées par le confort matériel sans l'effort du spirituelqualitatif, il est donc plus difficile de s'allier au surnaturel puisqu'on prend un plaisir excessif dans cetétat éphémère et dissuasif du divin comme de la justice spirituelle, celle qui cherche à reprendre saplace parmi nous pour nous sauver de nous mêmes. Mais étant conforme à la demande d'évolutionspirituelle qui nous a été faite par le Christ, nous sommes maintenant en mesure de parvenir àcomprendre leur raison d'Êtres(d'exister).D'un côté ceux qui se disent spirituel mais qui en réalité sontpro monde ou pro matériel, c'est-à-dire pro bancaires-prestiges-luxes-luxures-...et de l'autre l'infimeminorité qui se dit spirituelle mais qui l'est, ou du moins s'efforce de l'être tant bien que mal dans lesens qu'elle ne banalise pas les défauts de son monde et leurs désastreuses conséquences sur la foi enl'Esprit(la Source).

Il n'y a toujours eut que deux clans sur cette planète...Les premiers sont à la ressemblance des prêtres etdes rois de l'époque du Christ, lesquelles constataient l'évidence en la rejetant par souci de confortphysique et mental, puis ces seconds constatant la même évidence mais en l'acceptant parmi eux àcause de la courtesse de leur vie.Et ces deux clans, l'un étant la maxime du Monde et l'autre la minimede la véritable foi chrétienne, se débattant pourtant en même temps dans les mêmes tribulations(commela même évidence qu'autrefois) qu'a engendrée l'époque de Sodome et Gomorrhe.

Un monde pollué et diviseur où les maux causés à l’esprit sont un peu plus banalisés à tous les jours parl’hymne du Monde, ce refrain idolâtre interprété par des médias toujours aussi représentatifs de lamajorité que jadis, tel monde ne mérite que d’être défendu que par ce qu’il aura défendu. C’est letempo d’un monde qui s’est perdu en perdant ses meilleures valeurs, celui qui ne sait plus que glorifierson propre nombril par ces entreprises et ses prestiges tous aussi polluants qu’abusifs, lesquelles sont àla ressemblance de cette technologie qui le noie continuellement dans l’illusion de la fausse arnaque,face à son insouciance grandissante.

Prendre plaisir dans un monde où l’argent est roi est maître, dans un monde de violence du mêmegenre, du genre égoïste, c’est vouloir de ce monde, le désirer. Car là où les marchés crapuleuxdeviennent toujours un peu plus crapuleux en se répandant à la manière des gens qui en gèrent lesengrenages, là est le méritas du fléau. On ne doit pas prendre plaisir dans l’esprit de compétition de cemonde et bénir cette partie compétitrice, cette gangrène spirituelle bien à la mode maintenant, quidepuis l’aube de notre civilisation suscite tous les conflits du désordre, engendrant ainsi toute guerredepuis toujours; vous en hériterai si tel est votre cas. Hériter d’un tel monde pour l’éternité!?! C’est-à-dire sans jamais qu’il n’y ait de fin à ce qui nous cause malheur les uns comme aux autres ?

Souvenez-vous que l’on hérite comme on mérite le sort de ce que nous suivons, comme ce en quoinous croyons, pour ainsi en subir les conséquences ici comme ailleurs ; et cela, jusque dans ce quecertains croient encore être une mort hollywoodienne, c’est-à-dire un endroit neutre où tout le monde ilest bien, il est beau et gentil, peu importe ce que l’on a fait ou dit de son terrestre, qui on n’a défendu…puisque leurs dieux tout comme leurs pouvoirs magiques imaginaires les sauveront en les faisant régnerlà où ils n’auront point à subir les conséquences de leur délinquance envers El(Dieu).

Donc, nous héritons de ce que nous méritons, c’est aussi simple que cela. Car il ne peut y avoir de zonegrise dans l’équité puisque celle-ci est semblable à une balance sur laquelle des quantités de mesuresdifférentes ou de mêmes mesures sont déposées pour êtres jugées selon leur poids respectif. Le pied decette balance agit donc comme juge et maître de ces pesées.

Quiconque s’efforce à la vertu est de bonne volontéQuiconque pratique la vertu est de religion harmonieuseTelle la piété qui donne une ligne directrice durable à la vieMais quiconque tente d’échapper à cette direction est un fier compétiteur…Car, qui dit système monétaire dit compétition… Qui dit prestige dit compétition… Qui dit luxe ditcompétition… Qui dit commerces dit compétition… Et quiconque pratique la violence témoigne d’unecompétition d’intérêt animal(bassesse d'esprit)… Comme celui qui envie et jalouse cherche à contrôleret posséder pour lui-même, celui-là ne témoigne que de sa stupidité, l’animalité de son manque dematurité, puisqu’il incite et ne profite qu’à la vengeance et la médisance. Comme l’animal qui abuseattire la rivalité, l’Homme violent fait pareillement afin de combler au travers de son égoïsme sadomination, son désir de détruire… Rappelez-vous l’histoire de Caïn et Abel.

Quiconque rend témoignage de ces choses témoigne de leur véracité comme de la sienne.

Admettez que cela ne serait pas très intelligent ni payant de laisser traîner des choses comme mestextes pour quelqu’un qui aurait le désire de s’enrichir matériellement en visant la célébrité ;)

Du ventre, jusqu’à la Vallée de Dieu

Il subsiste un petit temple Pilier au milieu de la Vallée de Dieu

Belle demeure où la pensée des cieux inspira la forme des lieux

Sous les yeux du dieu argenté où toute âme trouve sa demeure

Là survit l’harmonie des édifices où prit naissance la fondation

De la rosée où circule le sang de la nature qui jamais ne meure

Où du sol jaillit l’arbre qui donne ses racines à l’ultime création.

L’oisillon cri à la louange au-dedans du nid de matière fait mère

Le chant de sa naissance retentit jusque dans le cordon d’airain

Qui inspire la flamme à joindre l’être pour y consumer son mal

Du fil argenté qui peut sonder l’animal dans le ventre du destin

Où s’entremêleront la pensée des actes et la raison des tristesses

Lorsque l’amour aura tissé ses toiles dans les vestes de la chair.

À la lumière des jours sort le templier de sa demeure maternelle

Lorsque s’enracine le pilier du gène de son existence à son heure

Par lequel il reproduit le perpétuel cycle du mouvement éternel

Depuis la fondation en s’élevant par la prière dans son évolution

Du verdoiement des chants de toute vie jusqu’à l’Église du Cœur

Y longeant sa vie en payant mille malheurs au grand bonheur

Avant le retour au froid quand dans l’Onde renaîtra sa valeur.

Aie pitié des doux amoureux de la foi, qui t’aiment !

Quelle heure est-il, Seigneur ? -Es-tu capable de me dire quelle heure il est, toi ?

-Il est trois heure de l’après-midi, pourquoi ?

-Parce que je dois y être pour jouer de mon instrument. Quel temps fait-il ?

-Il fait froid. Les gens ont froid, ils s’habillent tellement que l’on a du mal à les reconnaître.

-Pourquoi es-tu si triste dis-moi ?

-Parce que j’ai froid moi aussi. Et je n’ai aucun vêtement pour leur ressembler.

-Pourquoi veux-tu leur ressembler au point de remettre ta foi en question ?

-Parce qu’ils ont l’air bien, mieux que moi. Et moi, je suis triste et me tourmente avec toutes sortes dechoses.

-Regarde, je n’ai aucun vêtement à t’offrir pour l’instant. Cependant, j’ai de l’espoir et de l’amour pourtoi. Ces choses ne rempliront pas ton ventre ni te vêtiront comme un roi, mais mon affection te garderapour toujours avec moi.

-J’ai l’air d’un imbécile! Je me sens inutile, ma vie semble s’être vidée de tout son sens. Je crois, maisje n’éprouve pas la foi à laquelle je m’attendais.

-Quoi ? Tu voudrais quoi, devenir célèbre, devenir riche en biens et te vanter d’être respecter de ceuxqui t’entourent !?

-Oui, c’est un peu ça.

-Mais à quoi te servirait le respect si mon amour n’y est pas ? Et à quoi te servirait la fortune si lacharité n’y est pas ! Redeviens donc comme le petit enfant que tu étais et crois en ces choses que tu nepouvais voir mais que tu savais présente au-dedans comme au-dehors de toi.

-Je ne sais pas trop…pour le temps que la gloire et la fortune dureraient elles me soulageraient de cemal de vivre qui me met à l’épreuve tous les jours de ma vie, puisque pendant ce temps j’arrêterais deme comparer à ceux-là.

-Alors je te le jure, je reviendrai à neuf heure pour t’enlever à ce mal qui attaque ta vie à chacun de sesjours. Je te revêtirai d’un vêtement que ni les imprévus ni le temps ne pourront détruire. Et je tedonnerai des richesses que nul ne pourra voler.

-Encore des promesses, des promesses…

-Prends patience fils, il ne reste que six heure.

Si Dieu nous connaît mieux que nous nous connaissons nous-mêmes, alors il connaît de mêmefaçon le Diable et ses complices.

J’attendrai jusqu’à la fin de mes jours

Seigneur de l’amour,

J’attendrai ton retour jusqu’à la fin de mes jours

Seigneur de lumière,

D’aujourd’hui et d’hier, jusqu’à la fin des jours.Esprit venu sur ma Terre pour y promettre la viePrince de l’amour, grand prince depuis toujoursD’où tu viens les anges y demeurent eux aussiTon royaume est l’image du miroir de la vieQuand du souffle tu rassembles tes anges.

Tu es né du désert, de la terre ma mèreDe l’oasis où fleurit l’amour des lumièresSous l’étoile bergère qui a jaillit des Cieux

Nul autre n’est semblable devant DieuNul autre comme toi pour les pieux.

Voyageur des Cieux, grand sauveur devant DieuDe toutes prières tes puissances font présenceDe la mort du sommeil jusqu’à la renaissanceDes cendres dispersées font renaître ma vieDu réveil du dormeur jusque dans l’infini.

Puisses-tu intervenir pour ceux qui t’entendentDu souvenir fidèle jusqu’aux cœurs des élus :

Que ce règne pour l’éternité s’accomplisseQue les anciennes choses ne soient plusQue les nouvelles te soient complices.

Seigneur d’amour,

Apprend l’humilité à ceux qui m’entourent afin que par eux j’entende ta voix.

Écoute encore ses mots

Ô doux Seigneur,

Amène-moi à ta foi

Entend la voix qui cri

Écoute encore ses mots:

Le noble Ange vivra en lui

Telle la Lumière qui l’éclaire

Quand ta force allonge ses pas

Reste omniprésent sous son toit

Sois à ses côtés lors de l’ascension

Parfais ses voies jusqu’à tes maisons

De ton seul mot il verra son mal guéri

Ne fais qu’un geste et il te suivra partout

Ne fais qu’un vœu et le royaume est en lui

Tu étends ta droite et ses démons faiblissent

Crois en lui pour que tes vérités resplendissent

Aide-le à comprendre ce qu’il ne peut encore voir

Renseigne-le, que sa volonté ne fasse qu’un avec toi

Participe à sa prière pour en faire l’un de tes serviteurs

Guide-le, que sa voie éclaire le monde dans ses ténèbres

Ô Seigneur, puisses-tu garder l’enfant qui s’est fondu en toi

Ameyn.

Je t’aime parmi les Cieux, au milieu des enfants de Dieu

Je t’aime moi aussi

Quand je te regarde écrire, je te dis je t’aime

Quand je te vois souffrir, je te dis je t’aime

Quand je pense à toi, je te dis je t’aime

Parce que je n’ai plus honte de toi.

Puisses-tu enfin être en paix avec toi-même

Puisses-tu rêver en paix et être tranquille

Et redevenir le petit enfant que tu étais

Tout au cœur de la Famille des Cieux .

En ce qui nous concerne :

Regarde où mène le Monde mon frère

Nul part ailleurs que dans l’absurde

Notre réalité est devenue absurde

Tandis que la tienne est nouvelle

Elle est honorable à l’Esprit.

De celui qui prie par le Cœur de l’Esprit :

À toi, que je considère comme mon frère

Puisses-tu devenir ce pourquoi tu es né

Puisses-tu être ce royaume, toi-même

Afin de rompre le monde à sa chaîne

Que l’esprit resplendisse à nouveau

Comme il est en ceux qui croient

En toi, nous sommes de lumière

Sans toi nous sommes aveugles

Par toi nous pouvons entendre

Pour Dieu, nous les sauvons.

Le monde autour de moi n’est plus qu’un blasphème

Qu’une grotesque parodie qui se moque de l’Esprit

Un gouffre profond où les moqueurs se perdent

Sans avenir et pleins de soupirs veulent mourir

Avec mille visages au cœur vidé de son sens.

Samarie

Samarie remontait en direction du Sanctuaire quand elle entendit la voix du tonnerre lui adresser paroleen ces mots :

- Écoute ce que mon frère te dit, il te dit de redescendre à terre pour y éteindre la solitude et ledésespoir qui y règne. Prends sept mesures d’eau et organise un grand feu pour confondre ceux qui sesont attachés à la bête des vents. Asperge d’eau ceux qui vivent dans la solitude et le désespoir à causede son nom afin que le feu ne puisse les atteindre. Et enflamme le cœur de ceux qui le déshonore afinqu’ils se brûlent d’eux-mêmes avec leur langue et tout leur corps.

Alors Samarie descendit parmi le monde et alla de l’orient jusqu’à l’occident asperger d’eau ceux quisouffraient à cause du nom du Très-Saint ; elle en répandit sur la solitude, puis sur les âmes désespéréesd’attendre le Retour. Le lendemain elle alluma une torche avec son souffle et brûla les sens de ceux quise soulageaient du malheur des justes qui croyaient en Celui qui Est. Afin que ceux-ci se laissentembraser de plein consentement par leurs passions pour les choses qui périssent. Une fois sa missionaccomplie elle remonta et retourna au Sanctuaire. Il se passa un temps avant que la voix du tonnerre nel’interpelle à nouveau à même le Sanctuaire.

- Samarie, écoute ce que mon frère dit, il te dit de descendre à nouveau à terre pour révéler ce qui a étécaché. Afin que le monde ne puisse se justifier de leur ignorance pour ce qui est des choses que monfrère a dites. Voici je te montrerai les caches des Hommes et tu en dévoileras leur contenu.

Samarie redescendit parmi le monde et laissa la voix du tonnerre la guider vers les caches scellées desHommes, là où les secrets du ciel y étaient gardés. Elle prit leur contenu et le répandit de l’orientjusqu’à l’occident afin que tous, grands et petits, ne puissent désormais plus se justifier de leurignorance. Puis, sa mission accomplie elle retourna auprès des siens dans le Sanctuaire. Un peu detemps s’écoula avant que la voix du tonnerre ne revienne pour lui demander une troisième et dernièrefois d’accomplir ce que Celui qui Est demande :

- Samarie, j’ai une dernière chose à te demander. Va parmi le monde et donne à ceux qui espèrent etqui souffrent en son nom, ce secret…

Samarie redescendit pour la dernière fois parmi le monde et alla répandre dans toutes les pièces de lamaison des fidèles le secret.

Quand la moitié du monde regardera, comme un spectacle, l’autre moitié mourir, ce sera la fin.

Délirium et son délire

Un matin d’été, Délirium s’éveilla assit sur un banc dans le Parc Nowhere , comme il était écrit sur legrand panneau à l’entrée. Soudain, il vit un chien surgir de nulle part en courant vers lui. Le cabot toutsale et trempé se mit à lui parler :

- Hé le bipède m’entends-tu !?

- Quoi, un chien qui parle !

- J’ai perdu mon pied mec, tu sais c’est quoi un pied Einstein hein ! Tu l’aurais pas vu passer parhasard dit ?

- Non…je n’ai…pas vu de pied…ton pied passé.

- En tout cas fais attention le bipède il est violent ce pied là, je l’ai eu en pleine gueule avant qu’il mefile d’entre les dents ! Bon ben salut mon gars, faut que j’y aille, j’ai un os à rattraper.

Le cabot continua sa course folle vers l’extrémité jusqu’à ce qu’il disparaisse dans les buissons. Lepauvre homme complètement décontenancé prit quelques minutes afin de reprendre ses esprits. Il se diten lui-même qu’il avait dû rêver, que cela ne se pouvait quant même pas. Depuis quand les chiensparlent-ils ?

Dans la minute suivante une femme entièrement vêtue de noir, le visage voilé d’un voile tout aussi noirque sa longue robe ornée de dentelles raffinées lui apparut sortant du boisé. La femme s’avança vers luien boitant, elle prenait appui sur une longue branche en guise de canne pour l’aider à marcher.

- Hé jeune homme t’aurais pas vu un sale con de clébard courir après un pied ?

- Ben…y a à peine une minute il y avait un chien oui, mais…

- Est-ce qui parlait ?

- Ou…ais…mais qui êtes-vous ?

- Peu importe ce bâtard m’a arraché le pied, tu vois. Je lui ai lancé un sort pour qu’il puisse parler.Comme ça les gens le reconnaîtront tout de suite quand je leur demanderai où il est passé.

- Vous êtes une sorcière !?!

- Oui, si on veut oui.

- Il m’a dit de faire attention à ce pied parce qu’il est violent, est-ce vrai ?

- Ah, vous savez tel pied telle maîtresse comme on dit !

- On dit ça ?!?

- Bon, où il est allé ce bâtard dites ?

- Ben…par là je crois, à travers les buissons au bout du petit sentier là-bas.

- Merci, vous n’avez pas l’air bien monsieur on dirait que vous êtes dans un mauvais rêve ; au revoir.

La femme allant boitant se dirigea vers l’endroit que lui avait indiqué Délirium et vint à disparaître deson champ de vision quand elle eut atteint l’extrémité du parc.

Il se dit en lui-même que tout ça était impossible : un chien qui parle en courant après le pied d’unesorcière qui court après pour récupérer son morceau, c’est fou !

Un peu plus loin se tenait un hibou sur la plus grosse branche d’un chêne. Le rapace le fixait de sesgrands yeux perçants comme s’il lui en voulait d’être simplement assit là sur ce banc en face de lui.

Puis, le grand rapace déploya ses ailes et s’élança à toute vitesse en vol plané vers Délirium, qui apeurépar la soudaine réaction du hibou eut le réflexe de lever les mains devant son visage pour se protégerd’une éventuelle attaque. Au même moment il entendit une petite voix crier vers lui :

- Monsieur, monsieur aidez-moi ! Ne laissez pas ce bouffeur de rongeurs me dévorer, je vous ensupplie !

- Hein ? Quoi, une souris qui parle maintenant !!

La petite bête frêle blanche et grise se tenait entre ses pieds debout sur ses pattes de derrière en leregardant d’un air piteux.

- Le laissez pas faire monsieur, et je vous dirai où se cache le pied de cette noire folle !

- Ah oui, bon.

Le rapace se posa devant Délirium et se mit à fixer la souris cachée entre ses pieds.

- Laisse-la moi, cette chose c’est ma bouffe maintenant mon gars j’ai pas le choix faut que je m’yhabitue, c’est ça où je meurs tu comprends ! Alors laisse-moi ce p’tit parasite blanc, je vais t’endébarrasser.

- Euh, non ! Non…elle est à moi c’est ma souris domestique tu entends, va t’en !

- Espèce de menteur ! Si cette sorcière ne m’aurait pas transformé en hibou je te botterai le cul mongars pis je te déferai ta sale gueule de menteur monsieur Ducon…sale connard va !

Et le rapace renonça à sa victime pour s’en aller rejoindre un autre arbre un peu plus loin afin d’yguetter une nouvelle proie.

- Oh merci monsieur, mille fois merci !!

- Mais pourquoi tous les animaux d’ici parle-t-ils !…qu’est-ce qui se passe au juste ici ?!

- Laissez-moi vous expliquer. Vous avez sûrement dû voir une sorcière qui courrait après un chien pourtenter de récupérer son pied non ?

- Oui, mais…

- Bon écoutez, le hibou c’était le maître du chien en question ; cette femme lui a lancé un sort à lui et àson chien parce qu’il a laissé son fou de cabot lui arracher le pied !

- Mais toi qui es-tu ?

- Moi…euh, je suis l’ancien amant de cette folle furieuse. Elle m’a transformé ainsi quand j’ai voulu laquitter. Maintenant les rencontres sont assez rares, disons. Depuis ce temps là, je ne cesse del’espionner pour parvenir à découvrir le sort inverse qui me rendrait mon apparence ; c’est comme çaque j’ai pu tout voir ce matin, vous comprenez ?

- Euh, ou…ais.

- Comme promis je vais vous montrer où est le pied monsieur, suivez-moi !

L’homme se leva de son banc et suivit le petit rongeur là où il le menait. Ils arrivèrent à un vieux puitsabandonné.

- Regardez au fond de ce puits monsieur et vous le verrez.

Délirium se pencha afin de pouvoir apercevoir le pied quelque part au fond de ce puits qui semblaitvide et très profond. À ce même moment surgit le hibou comme une fusée qui fonça droit sur lui, maisle chien tout près se rua sur le rapace et dans la mêlée Delirium fut poussé basculant tête première dansle puits à l’intérieur duquel il fit une longue chute avant…

…qu’il ne se réveille dans son lit ; le cadran affichait 6 :32 AM. Quel mauvais rêve, comme les rêvespeuvent êtres fous parfois se dit-il à voix haute. Il se leva et alla se prendre un café frais du percolateur.Au même moment il entendit cogner à la porte de devant. Il alla répondre choqué que l’on puissecogner aux portes de si bonne heure. Quand il ouvrit la porte il vit à son grand étonnement une femmeidentique à la femme de ce rêve étrange.

- Où est mon foutu pied, où est-il ? Je sais que c’est toi qui l’a sale hypocrite, la souris me l’a avouéquand je l’ai débarrassé du connard de hibou en le faisant bouffer par son propre chien. Alors, où il est,sinon…?!!

…La morale de cette courte histoire doit faire comprendre que certaines personnes sont plus puissanteset rusées que nous l’aurions cru. Et que parfois certains rêves peuvent devenir réalité même quand sesrêves paraissent absurdes. Aussi que l’on peut facilement être déçu par celui qui veut nous aider,comme un ami dit fidèle, ou celui qui se détourne de son maître en obéissant à un autre maître…maisce que l’on ignore ne rend pas coupable, du moment que l’on ne fait pas semblant d’ignorer.

…Mieux, la véritable morale : «Ce n’est pas l’histoire et sa lettre qui comptent, mais ce qu’on retire debon et de profitable, comme le message que l’histoire porte en elle.»

Ninie et Émidie

Ninie et Émidie, deux androïdes sur une planète lointaine, assissent sur une grande dalle de bétondiscutent :

- Pourquoi Émi es-tu toujours aussi songeuse ?

- Parce que je m’ennuie du temps où j’étais avec mon père.

- Pourquoi ?

- Il y a longtemps, mon père me racontait des histoires, j’aimais ça.

- Mais les politiciens et toute notre société nous racontent pourtant que des histoires tous les jours, çadevrait te suffire, non !?

- Non ! C’est pas de ces histoires là que je te parle, voyons. C’étaient des histoires qui se passaientailleurs qu’ici, des histoires où il y avait encore de l’amour dans le cœur des gens. Ce monde dont il meparlait vivaient en harmonie les uns avec les autres, ils partageaient tout ce qu’ils avaient et aidaientleur prochain sans leur demander quoi que ce soit. C’était un peuple beau qui aimait manger, fêter,travailler la terre, dormir pour rêver et inventer des histoires pour s’aimer en s’aimant…

- Voyons, tu fabules ma belle tes circuits vont finir par brûler ! Un monde comme ça ça n’existe pas. Etqu’est-ce qu’il a de pas beau notre monde à nous, hein !?…Quand notre batterie est à plat on nous larecharge gratos, on n’a pas besoin de se casser les puces pour se ravitailler autrement, parce qu’on ajamais faim ni soif…Pis la merde ça pue ! Nous imagines-tu en train de déféquer comme ton père et mamère le faisaient, woach ?! Pas moi. Pis ont a pas de ces maladies ni de soucis de survie, même cettechose affreuse qu’est la mort n’existe pas pour nous. Nous verrais-tu mourir, ça doit être terrible !

- Tu vois que le côté noir et tragique des choses toi. Mon père était exceptionnel parce qu’il étaithumain, et il s’efforçait d’apprécier chaque minutes de sa courte vie en aimant et en rêvant à ceshistoires qu’il me racontait sur son monde. Moi, ça me faisait croire qu’il pouvait y avoir mieux ailleursqu’ici, ce sont les rares moments de mon existence où j’ai pu rêver comme lui le faisaitnaturellement…ce sont les seuls moments où je me suis sentie précieuse, comme eux, ce moment oùl’on m’a véritablement aimé, comme quand il me disait qu’il m’aimait.

- C’est toi qui dramatise je trouve. C’est pas pour rien que ton père et tous les autres comme lui sontpartis de cet endroit…la Terre je crois ??…c’est parce que ce monde n’était pas tout beau comme tul’imagines Émi !

- Peut-être…mais je crois que mon père était si triste d’avoir dû la quitter qu’il aurait voulu y retourners’il aurait pu…pour la sauver cette planète bleue, tu vois. Après tout, c’est elle qui les a vus naîtredepuis leur début. Tu comprends Ninie…ils ont réussi avec nous ce qu’ils n’ont pas réussi pour eux-mêmes mais il nous manque à nous ce qu’eux croyaient avoir perdu…apprécier les choses qui passentavant qu’elles ne meurent tout en restant amoureux et reconnaissant de ce qui nous entoure.

- Je crois qu’il t’a mal programmé ton paternel, fais attention Émi où tu vas finir par ressentir lasouffrance qu’ils ressentaient quand ils parlaient d’amour, de tristesse, de pitié…toutes ces chosesquoi ! Même qu’il n’aurait jamais dû nous programmer à l’ennui; mieux vaut être comme on est là,crois-moi…non ?

- Oui, je crois que…que t’as raison Ninie…mieux vaut pas penser à tout ça, ce doit être ce qu’ilsappelaient l’amour qui nous a créé…Quand même, j’aimerais être ce qu’ils étaient, comme j’aimeraisêtre amoureuse moi aussi.

«Le meilleur moment pour réfléchir sur le sens de notre vie afin d’y trouver des solutionssensées, c’est quand on s’ennuie.»

Jordan et le monde

- Est-ce que t’as vu le soleil comme il est beau Jordan ?

- Moi, je le trouve comme d’habitude. Prrrp !

- Non. Regarde-le comme il faut, il est plus joli que d’habitude. On dirait qu’il est plus éclatantaujourd’hui. Et regarde ce ciel, comme il est d’un bleu splendide et d’une grandeur céleste ! Il y a pleinde petits nuages blancs, on dirait des boules de cotons collés sur le fond de la toile d’un grand peintre,ne trouves-tu pas !?

- Le ciel, il est souvent comme ça. C’est ordinaire je trouve.

- Les gens sont beaux, regarde, ils ont tous des couleurs différentes ! Ils ont tous ont éclat différent lesuns des autres même si quelques-uns semblent avoir le même, il y a toujours une différence quand l’onregarde attentivement. Puis, leurs cheveux, leurs yeux, leurs peaux…ils sont encore différents même siquelques-uns semblent être identiques, ils ont quant même des différences quand l’on s’y attarde justeun peu !

- Moi, je les trouve ordinaire tous ces gens là. Je trouve qu’ils y en a qui s’habillent mal, qui se coiffemal, il y en a d’autres qui puent du corps ou encore de leur parfum trop fort. Regarde celui-là qui sedécrotte le nez, c’est dégueulasse ! Et celle-là qui fouille dans les poubelles, ça aussi c’est pire…ça medonne le goût de vomir. Et regarde ce gros obèse, il fume en plus, on dirait un gros sac à merde quiboucane ses déchets toxiques à la gueule de tout le monde !

- Voyons Jordan ! Ne vois-tu pas que parmi eux ils y en a qui souffrent!? Ne vois-tu que la laideur dumonde autour de toi ? Pourquoi ne les regarderais-tu pas comme s’ils étaient encore des petits enfants ;Parce qu’ils sont encore ainsi, c’est leur corps qui a changé, leur esprit, lui, est resté le même qu’au jourde leur naissance et leur âme n’a fait que suivre les chemins qu’ils ont emprunté.

- Ça va changer quoi même si je me les imagine comme des enfants. De plus, ils y a des enfants quisont arrogants, d’autres violents et d’autres qui sont mêmes méchants !

- Non Jordan. Ça, c’est ce que tu crois, ce n’est pas ce qu’il en est vraiment. Vois-tu, nous naissons avecce que nous avons, nous vieillissons avec ce que l’on nous enseigne, nous pensons et réagissons selonles croyances que nous avons et de même nous mourons avec ce bagage de connaissances, c’est-à-direavec ce qui nous a été enseigné, avec les croyances que nous avons acquises et une âme qui abritetoutes ces choses. Alors, certains ont eu un mauvais bagage pour commencer leur vie, ils ont vieilliavec des enseignements trompeurs et de mauvaises croyances, ont leurs a fait des accroires sur demauvaises choses qui les poussent à vouloir se détruire…alors ces gens finissent par mourir dansl’ignorance de ce qui aurait pu les rendre plus heureux tout en sauvant leur âme de ce qui les a inspiré àse détruire eux-mêmes. Par contre, d’autres sont venus en ce monde avec un meilleur bagage, ils ontvieilli avec de bons enseignements, ont leurs a enseigné de bonnes croyances qui font que ces gens vontbien. Ces gens sont biens et ils se sauvent par eux-mêmes, ils n’ont pas besoins davantaged’enseignement puisqu’ils ont cette capacité de se parfaire par eux-mêmes, ce que les autres n’ont pas,comprends-tu ?…Mais ces gens seront jugés au double de leur fautes s’ils prennent à la légère lesjugements qu’ils prononcent.

Ils y en a qui ont besoin davantage qu’on les aime et qu’on les guide vers ce qu’ils n’ont pas eu leprivilège de recevoir à leur naissance de même qu’au cours de leur existence…dis-moi Jordan, si tuétait le Christ : Qui chercherais-tu à aimer et a guider vers le bonheur et la liberté entre les deuxgenres ?

- Ceux qui ont moins reçu…c’est certain Emmanuelle, ceux qui ont moins reçu.

«Plus tu as de talents, plus le poids qui pèsera contre toi sera lourd au jour du Jugement.»

La falaise des solitudes

Il y avait une petite maison au sommet d’une très haute falaise. Dans la petite demeure vivait uneorpheline, seule, qui rêvait de vivre dans un espace plus grand sur de meilleures terres. Le vent soufflaitfort parfois, tellement qu’elle n’entendait que cela, ce bruit effrayant qui dans toute sa force essayaittant bien que mal de détruire sa maisonnette, mais en vain. Elle demeurait ainsi bien en place parce queson père l’eut construite de façon à ce que ses fondations résistent à la pire des tempêtes de par sonfoyer. En sécurité elle se sentait à l’abri…à l’abri du danger elle se croyait.

Mais un soir alors qu’elle s’était assoupie près de son foyer qui la gardait amoureuse, on cogna à saporte. Personne n’était encore venu à sa porte depuis la mort de sa mère. Surprise et apeurée à la fois,elle fut figée par l’indécision dans sa raison. Devait-elle répondre ou faire semblant d’être absente. Lescoups se firent entendre à nouveau, insistants. Elle s’ennuyait tant, depuis si longtemps ; jamais soncœur ne connu l’amitié ni l’amour d’un amant. Le vide qu’elle éprouvait, lentement s’agrandissait pourdevenir un gouffre qui l’enlisait dans sa tristesse, jour après jour, comme quand l’air sec et froid nousétouffe dans la détresse.

Elle prit son courage à deux mains se leva et alla répondre à l’étranger. L’orpheline inquiète, demanda àl’étranger de se présenter. Il lui répliqua promptement lui disant qu’il se nommait Amour. De sa voixmielleuse elle fut aussitôt charmée et décida de lui ouvrir la porte de sa demeure pour en éloigner sespeurs. Un homme élégant tout vêtu de blanc se tenait devant elle, lui souriant gentiment.

L’homme était très beau, il enivrait déjà ses sens de par son regard charmeur, son allure de fier, commecelle d’un héros de guerre. Il la pria de l’accueillir dans son intimité prétextant qu’il s’était perdu,s’étant écarté de son chemin premier. Elle le fit entrer sans hésiter et lui offrit une place à ses côtésauprès de son foyer. Mais l’homme, de fait, n’était qu’un imposteur, un être mesquin dont les intentionsétaient de la déposséder de tous ses biens ; de tout ce que contenait sa petite maison bien rangée que nuln’était encore venu saluer.

Il contemplait et convoitait tous les atouts de sa demeure, étant imprégné d’un vicieux intérêt. Sesparoles coulaient dans les oreilles ensorcelées de la jeune fille, comme coule l’eau des ruisseaux audégel du renouveau, sublimée par le charme fou de l’esprit du loup. Les heures passèrent et l’ivressegagnait son cœur de chaleurs. Les finesses de l’étranger la séduisaient et l’étourdissait jusqu’à n’en voirtourner l’antre de son foyer comme un tourbillon étoilé. L’hypocrite l’a convoitait ardemment, larendant ivre de son plaisir et pleine de désirs. Il prit ainsi sa chair et son intimité. Et le princier loup sefondit en elle comme la nuit dans le jour, telle une lune dévorant tout un soleil.

Quand l’aurore apparut, elle se réveilla confuse de la veille et s’interrogea en surprise de l’absence deson charmant flatteur. Ce fin stratège lui avait tout dérobé, jusqu’au bois de son petit foyer, même soncœur en fut emporté. L’orpheline dupée se mit à pleurer, à crier, jusqu’à en étouffer la douleur de soncœur. Folle de rage ayant l’âme emplie de tristesse, sa jeunesse dépossédée de sa propreté, jura de neplus jamais ouvrir sa porte à qui que ce soit. N’ayant plus de bois pour son foyer elle se mit à rêver dufroid. La nuit glacée finit par la rendre malade ne laissant sa fièvre de mourir redescendre. Elle posa unvoile sur sa fenêtre et renia le ciel de l’avoir fait naître.

Puis, un jour un second homme vint cogner à sa porte. Elle était si pleine d’amertume et de méprisqu’elle en resta étendue sur son lit, faisant la sourde oreille à ce nouvel appel. La voix épuisée parl’effort la supplia de la croire fort; l’étranger affirmant être son père. Mais n’ayant comme choix de sonpassé de la laisser très jeune aux bras de sa mère, sa terre, elle ne le reconnu pas. Son père étaitmaintenant revenu pour l’emmener au loin afin de l’éloigner du calvaire de sa maison vidée de son senset des cris ses tempêtes violentes; pour la secourir de sa fragilité, de sa falaise qui s’effondrait sous sespieds, risquant à tout moment de la perdre dans le néant.

Là où il voulait l’emmener la plaine y était verdoyante, un endroit où elle pourrait y cultiver ses rêves àson gré. Un havre de paix dans lequel il y aurait du bois à la tonne pour la réchauffer des nuits un peuplus froides, jusqu’à la lampe qui éclaire et réconforte de la noirceur des nuits blanches. Mais la portede sa maisonnette ne s’ouvrit pas, le silence elle garda. Son père, attristé, ne pu contenir sa tristesse etse mit à pleurer ; puis, la croyant morte demanda pardon au ciel en disant : mon enfant, pardonne monabsence, puisse mon ciel te réconforter pour t’aider…comme je t’ai toujours aimé. Puis, il s’en retournavers le lointain, le cœur amer, emportant comme seul bagage le souvenir de la lourdeur du chagrin.

Un matin, à l’aurore, l’orpheline voulu se rendre au bord de la falaise pour y contempler la mer. Maisaffaiblit par la maladie du prince perdu, elle sombra dans les bras du vide en trébuchant de sa hauteur,se perdant ainsi insouciante dans la mer noire de son désespoir. La falaise usée par le temps, par lesmarées et vents de ses tempêtes finit de même par céder à la mer étoilée, se couchant à son côté.Emportant du même coup cette petite maison, ce lourd passé, cette courte durée.

Cette histoire est celle d’une âme brisée par le chagrin d’amour et de confiance, semblable à celles quihantent les solitaires dans les déserts de la nuit…jusqu’aux rêves qui se noient dans les larmes de cesmers sans eau. C’est l’histoire d’un souffle qui vécu seul sur le haut d’une falaise, comme s’il n’eutjamais existé.

Un dernier pour l’au-revoir

Je partage ma vie comme ma foi Redonnant à l’amour le don de soi

Étant le reflet de celui en qui je crois Toujours près du Père, dans tes pas.

Quand mon âme se détourne des désirs du Monde Je me soulève avec Elle pour m’envoler vers son rêve Où sa prière me mènera pour m’élever jusque chez Lui Parcourant son savoir le temps que ce rêve me ramène.

Ah, oui… ;)En conclusion, l’illusion ne vient pas par automatisme, nous la provoquons en la désirant(recherchantle soulagement immédiat par le plaisir(amants du plaisir) et les artifices, subissant ainsi leursdépendances.). Ce n’est que par la piété d’une vie humble et modeste que certains d’entre nousparviennent à s’en détacher, on appelle cela le contentement.

Par les enseignements du Christ et des apôtres, de même que par les gens de vie pieuse, il nous estpossible à tous de parvenir à garder nos distances face à l’illusion qui divise pour détruire; et celamême au travers des pires souffrances, comme à l’exemple de notre sauveur s’étant fait petit parmi lesplus petits. Endurer et subir la souffrance ne veut pas dire la fuir en se mentant à soi-même simplement pour endiluer les effets, mais bien d’apprendre à grandir avec et par elle en évitant justement les désirs abusifsque provoque la chair pour s’en soulager.

Souvenez-vous toujours de la façon que ces rebelles de jadis ont convaincu nos tous premiers ancêtres,c’est en leur promettant qu’ils ne souffriraient plus, il n’y avait pas que la fausse promessed’immortalité mais aussi ce grand mensonge que la souffrance est inutile à la croissance de l’âme pourson perfectionnement vers la béatitude.

Accepter de s’ennuyer, accepter d’être seul, accepter de souffrir

Accepter de s’ennuyer pour apprendre la maîtrise de soi, visant la modération et l’abstinence. Accepterd’être seul pour apprendre à méditer pour s’améliorer. Accepter de souffrir dans la foi pour comprendrele don de soi, pour grandir de l’endurance et de la persévérance afin d’apprendre la seule façon d’aimer,c’est-à-dire aimer pour pardonner en s’investissant dans la discipline de la foi en Dieu, sansmanipulation ni malhonnêteté. Acceptez ses trois principes en vous-mêmes et vous y parviendrez,atteignez votre maturité, ce fruit mûr de l’arbre divin.

Il n’y a pas de bonheur plus important que celui de ton prochain. Il n’y a pas d’amour plus grand que cequi donne la vie. Il n’y pas de mérite sans effort comme de victoire sans Dieu, c’est l’espoir avec la Foi.Aimer sans partage, c’est aimer que soi pour n’être que pour soi-même.

Note : Nous consommons en abondance des narcotiques, des médicaments, toutes sortes depsychotropes comme la caféine et l’alcool, du sexe, de la nourriture, de la violence, du matériel en toutgenre, et tout ça de manière excessive pour la majorité d’entre nous¡ au lieu de partager sans retour, deprier pour les autres, de méditer pour comprendre son efficacité, de jeûner pour apprendre sa force, dese sacrifier pour le bonheur des autres en s’abandonnant à la Foi par l’humilité de l’amour…afind’apprendre à mieux vivre avec soi-même comme avec les autres par cette souffrance intérieure,apprenant à la gérer pour s’en énergiser, comme le Seigneur l’a fait, et ainsi parvenir à un summumd’évolution comme aucune autre espèce ne l’a encore faite, même pas ses anges.

Nous consommons l’illusion comme nous mangeons une viande très saignante, à la manière desanimaux.

Le Seigneur dit : Tu n’auras plus à souffrir de cette souffrance en mon royaume, puisque tu y serasparvenu.

Quelques versets supplémentaires

Apocalypse 21; 4…Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus nideuil, ni cri, ni douleur, car les premières(anciennes) choses ont disparu.

1 Pierre 4; 3…afin de vivre, non plus selon les convoitises des hommes, mais selon la volonté udeDieu, pendant le temps qui lui reste à vivre dans la chair…(versets 3 à 6).

Actes 20; 33…Je n’ai désiré ni l’argent, ni l’or, ni les vêtements de personne…Actes 20; 35…et serappeler les paroles du Seigneur, qui a dit lui-même qu’il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.(C’est l’inverse de charité bien ordonnée commence par soi-même.)

2 Corinthiens 1; 6…Si nous sommes affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut; si noussommes consolés, c’est pour votre consolation, qui se réalisera par la patience à supporter les mêmessouffrances que nous endurons.

Colossiens 1; 24…Je me réjouis maintenant dans mes souffrances pour vous ; et ce qui manque auxsouffrances de Christ, je l’achève en ma chair, pour son corps, qui est l’Église.

2 Timothée 4; 5…Mais toi, sois sobre(fais preuve de modération) en toutes choses, supporte lessouffrances, fais l’œuvre d’un évangéliste, remplis bien ton ministère.(On ne peut pas s’abstenir detoutes choses, hein…alors apprenez à devenir sensés m’adressant à ceux qui n’avaient encore comprisce que sobriété signifie.)

1 Pierre 3; 4…Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornementsd’or, ou les habits qu’on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptibled’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu.

1 Pierre 4; 5 et 6…Ils rendront compte à celui qui est prêt à juger les vivants et les morts. Carl’Évangile a été aussi annoncé aux morts, afin que, après avoir été jugés comme les hommes quant à lachair, ils vivent selon Dieu quant(grâce) à l’Esprit.

Jean 11; 25…Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même ilserait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?

Je crois qu’on peut maintenant se dire un au revoir sincère…qu’y avait-il sur cette montagne ce jour-là ;)

Nathanael

En vérité au nom du Père, en vérité au nom de l’Esprit, je vous le dis…Ameyn par la grâce du Père,Ameyn par la grâce de l’Esprit.

Trop de souvenirs dans la chair…?

L’accumulation de souvenirs sans processus de sélection de ces souvenirs…serait-ce dangereux pourêtre atteint de folie, de débilité à long terme ?On dit que la mémoire est une faculté qui oublie; ici-bas c’est valable, ou plutôt comprenable, avec lelot énorme de souffrances et de douleurs physiques que nous nous infligeons et subissons. Nousrefoulons donc une quantité innombrable de souvenirs au quotidien soit en dormant, ou par négation etdéniement que cela soit conscient ou non. C’est ce qui empêche la folie dépressive de nous atteindre eneffet de masse.

Mais ce processus de sélection des souvenirs, d’où vient-il ? Qui règle l’ordre de cette sélection, quirègle l’ordre des choses ??? Est-ce que la souffrance et la douleur peuvent déclencher ce processus ?Certainement. Est-ce que le surnaturel le gère ? Selon ma foi et mes connaissances, c’est certain,puisqu’il n’y a pas d’explication valable aussi scientifique soit-elle. Étant donné qu’un simple amas dechairs neuronales ne pourrait emmagasiner des millions d’années d’informations(de souvenirs) sansnous faire exploser intérieurement, spirituellement. Nous finirions à coup sûr par nous rebeller contretout bon principe quel qu’il soit, allant même jusqu’à nous détruire mutuellement vu l’impasse de cettefolie naturelle(pertes de bons principes et de bonnes valeurs) qui atteindrait chacun d’entre nous; unpeu à la manière de ce que certains vivent déjà sur terre…mais en beaucoup plus pire.

Que serait alors une vie charnelle éternelle, si nous nous ne souvenions même plus de la majorité deschoses que nous avons vécu, et même de la totalité du début de cette vie éternelle ?

Nous souviendrions-nous de nos origines seulement quelques millions d’années après notrenaissance…ou encore, nous souviendrions nous de toutes nos anciennes et antiques vies aprèsseulement des centaines de recommencement par clonage(Admettant que l’âme n’existe pas, et quenous serions seuls maîtres abord à la dérive dans ce grand navire universel…désespoir d’aller au-delàde la souffrance et la douleur d’un corps trop sensible, trop fragile !).

En conclusion, la vie terrestre telle que nous la connaissons est une génératrice d’illusions quis’alimente par nos souffrances, nos douleurs et des frustrations quotidiennes qui en découlent.

À quoi cela servirait-il à Dieu de désirer incorporer en ses lieux quiconque avec la mémoire effacée,puisque cette personne ne serait dès lors plus la même, mais une autre ?

Notre univers…une coïncidence, un pur hasard ?

Clair, nette et précisSi la manifestation d’un univers tel que le nôtre ne serait que pure coïncidence, alors cela signifieraitque nulle âme n’existe, puisque nulle conscience, ou intelligence, ne ce serait charger de l’engendrer dece que nous avons nommés : le néant du commencement. Donc, nous serions tous fous au sens propredu mot, peu importe qui nous sommes dans cet univers-ci ?! Et si nulle âme n’existerait, et que laraison ne serait attribuable qu’à cette chair du plan matériel, nous nous souviendrions même pas d’avoirdéjà existés sur notre petite planète bleue, quel cauchemar…quelle impasse existentielle titanesque,quelle mal de vivre...quelle mal de la comparaison ceci engendrerait !!

Dans ce cas, si des gens pensent comme tel, alors je me tiendrais bien loin d’eux parce ceux-ci neredoutent que les simples autorités et les prisons de ce monde; selon mon jugement, ces gens comme jel’ai déjà mentionné font indéniablement partie des personnalités les plus dangereuses de la planète.Étant donné qu’ils ne vivent que pour exister, le temps de faire comme bon leur plaît, sans remord nihonte de leurs mauvaises actions ou paroles; s’abstenant ainsi de prises de conscience nécessaires à labonne entente par le respect dans la charité qui a pour but d’harmoniser nos environnements dans lapaix et la confiance.

N’oubliez pas que les croyances des hypocrites et des menteurs comme celles des violents n’onttoujours été que prétextes et manigances ne servant que leurs propres intérêts, que leurs propresguerres, afin d’assouvir des besoins primaires pervertis par un intellect à tendance vaniteuse, cupide etavaricieuse; et non en l’honneur d’un quelconque dieu d’amour, puisque aucun dieu créateur etstabilisateur de cette magnificence universelle ne pourrait subsister par le conflit et la division, autantde l’intérieur qu’à l’extérieur de lui-même.

Quelqu’un, il y a fort longtemps maintenant, m’a dit : Si tu n’es pas parfaitement honnête avec toi-même comme avec les autres quand tu parles…sois-le quand tu parles de moi par rapport à toi.

Nous sommes dimanche Michel, alléluia et ameyn. Et puisses-tu continuer de ne leur demander qued’écouter sans rien leur demander en retour ;)

À quoi bon un royaume sans illusion sur Terre ???

Un royaume sans illusion ne servirait qu’à celui qui ne souffre jamais. (Quand j’ai trop mal à l’âme, quand selon moi ma souffrance devient trop grande, je me ferme les yeuxet je m’imagine ailleurs…dans un endroit paisible, un lieu qui n’existe qu’à l ‘intérieur de moi. Mais ilfaut bien apprendre, alors tiens bon et apprends le plus que tu peux…en attendant la fin de cette illusionqui nous aide à persévérer pour survivre à nos faiblesses et la fragilité de notre longévité. Dieu pense àtout, il calcule tout, n’oublie jamais ça, même après.)

Imaginez posséder un gigantesque royaume, un royaume tel que seul le rêve peut faire naître. Mais surtout son territoire cette magnifique richesse n’offre nulle âme qui vivent, nulle créature quelle qu’ellesoit…à part vous. Vous êtes assis sur votre trône étant roi et maître d’un luxe d’une valeur inestimable.Mais en ce vaste monde il n’y a personne pour vous envier, pour vous jalouser, plus rien pour vousvaloriser. Personne pour vous admirer, ni même vous regarder, pour vous parler…pour vous aimer.Alors à quoi bon tout posséder, si plus rien d’autre que vous-même êtes présent en un tel lieu, en un sigrand désert de silence où même la mort ne voudrait plus de vous ?

Comprenez-vous que les valeurs que nous accordons aux objets ainsi qu’a tout autre chose qui nousentoure pour les rendre glorieux n’est en fait qu’une programmation collective prédestinée à nousillusionner toute notre vie au travers d’un monde qui ne fait que nous supporter le temps d’un tempsavant de disparaître à jamais ? C’est la folie des artifices, l’imbécillité des illusionnés que noussommes, et cela depuis l’aube de ces temps dis civilisés.

Donnons-nous davantage notre raison à la vie ou à la valeur que nous accordons aux objets et auprestige ? Remettons-nous notre sort entre les mains de Dieu ou entre les mains de ce qui est mortet éphémère ? Quelle valeur un objet a-t-il lorsqu’on le compare à ce qui vit ?

Et si vous trouvez que mon titre est inapproprié, alors réfléchissez-y bien. Pensez à ce qui génèrel’illusion à sa base, à ce qui fait qu’un royaume ou un empire sur cette terre en est devenu un…quitourne immanquablement à la corruption et la division. Quel empire terrestre a survécu aux millénairesdu temps des Hommes ? Aucun. Ici-bas, la longévité des règnes est alimentée par les souffrances de ces fidèles, jusqu’à ce quel’illusion des uns et des autres y mette fin, causant ainsi leurs divisions jusqu’à l’extinction.

Souvenez-vous qu’une illusion est ce qui détruit l’être et son royaume à court ou à long terme, même sicertaines de ces illusions sont considérées par plusieurs comme étant nécessaires au moral comme à lapersévérance dans la survie, ici-bas. Imaginez que vous êtes au courant d’absolument tout ce qui passe sur cette terre, jusque dans lemoindre recoin de la pensée de chacun. Comprenez vous que ce grand Dieu ne peut pas être un simplecorps composé de la même matière que nous ?

Ce qui génère l’illusion à sa base c’est simplement la souffrance. C’est pour cela que le Christ nous a promit qu’il n’y aura ni souffrance ni deuil dans le Royaume desÉternels.

Une illusion c’est un mensonge qu’on crée en soi-même et qu’on communique aux autres afin de diluerune souffrance que les événements et les réflexions provoquent.

Souffrez-vous de la peur de ne plus avoir l’importance désiré auprès d’autrui ?…il y a des milliersd’autres questionnements sur l’impact de la souffrance au quotidien. ;)

Avons-nous tous prédestinés notre terre à nous détruire à cause des illusions desquelles nous nousalimentons depuis l’aube d’une humanité qui se dit de plus en plus civilisé…semons-nous toujours ladivision, ou l’harmonie, depuis ces temps immémoriaux ?

Je n’aime pas les fables, comme vous pouvez voir Comme vous pouvez voir et entendre, je n’aime pas les fables. Je ne crois ni à la fée Clochette ni auPère Noël ou toute autre chose qui désoriente ce monde de El. Je préfère de loin m’en tenir à ma foi enChrist, en mon unique sauveur. Alors ne me parlez pas de commerces, d’argent ou de toute autre chosequi génère le conflit comme la guerre en ce monde-ci. Je suis un être croyant, qui croit en ce qui estsensé, et cela sans même avoir à le voir pour y croire.

All my soul (de toute mon âme)

All my soul

My God, my God,All the soul which you placed in me -My God…

Yes, there is a lot of secrecy and deceit.And loves that cannot be.As we are bornInto this life.What remains?

Yes, about the many, many days About the pain that hasn’t stopped As we are born And ask for a little mercy My God…

My God, all the soul which you placed in me My God, all the soul What, what is it?

My God, give only strength to everyoneMy God, give only strength forever

Ce que tu désires de bon pour toi-même tu dois aussi le désirer pour les autres; et ce que tudésires de mauvais ne le désire que pour toi-même.

"Elohi, elohi, lama sabachthani?": quelle peur est-ce ?…elohi, elohi, pourquoi m’abandonner ? Je mesentais déjà si seul de ma personne en ce monde avant tout ça.

Jésus récita deux fois cette phrase, la première en demandant à son peuple avant son arrestation, et ladeuxième en le demandant directement à son père lorsqu’il portait son gibet.

Note: Elohi n’est évidemment pas le nom de ce qu’on nomme Dieu, puisque le nom est au pluriel, ilidentifie une civilisation. Le nom commun elohi ne peut pas être traduit d’une quelconque façon, à parten extraire la signification. Donc, ce n’est pas Eli, ni Dieu, c’est elohi ou ceux qui viennent de El.

L’erreur est humaine, mais persévérer dans cette erreur est stupide et diabolique.

Intelligence visible et invisible.

Toute matière est reconstructible et modifiable, comprenant celle qui nous compose. Par contre, lapersonnalité ne l’est qu’à l’intérieur de la matière qui la façonne; une fois ce véhicule disparu, cetteâme est dès lors ni reconstructible ou modifiable. C’est pourquoi l’intelligence intellectuelle n’est queprofitable qu’à l’évolution de son contenu, celui qui se glorifie par cette matière charnelle, ne rendgloire qu’à lui-même.

Dieu, El, porte un grand intérêt pour l’intelligence de l’amour du respect de soi et des autres parl’entreprise de la charité; mais celui-ci n’a que faire d’une matière-véhicule qui prochainement devraêtre détruite pour revêtir son manteau d’éternité, ailleurs. Dans un monde meilleur.

Plus nous accordons de pouvoir(d’importance) à ce qui est matériel ou intellectuel, plus nousrégressons spirituellement: C’est la révolution intellectuelle et l’évolution matériel en mode coop, immanquablement nousdélaissons la vertu pour faire place à la moquerie et l’insouciance si la foi en cette vertu n’y est pas.

Publié le 5 décembre 2012 • Poster un commentaire

C’est à vous de comprendre le sens de sa parole.

Document PDF : Ouvrage_Chr é tien_txt

On ne le répétera jamais assez…