un socle principal pour la prevention routiere · 2 revue de la gendarmerie nationale mars 2012 n°...

LE CENTRE D’INFORMATION ET DE COORDINATION ROUTIEREDE LA GENDARMERIE NATIONALE

UN SOCLE PRINCIPAL POURLA PREVENTION ROUTIERE

La Gendarmerie Nationaleau secours des citoyensplus de 9500 interventions sur les routes

et 4800 interventions d’aide et assistance aux citoyens

2012CICR

n° 44 Mars 2012

Revue de la Gendarmerie Nationale Mars 2012 N° 44 1

La Gendarmerie Nationale entame cette nouvelle année avec une vue rétrospective de tout ce qui a été réalisé en 2011 ainsi que les objectifs que l’institution s’est fixées pour la nouvelle année.

L’année 2011 s’est achevée par un bilan positif de plusieurs réalisations planifiées par le commandement et exécutées avec un sentiment de fierté et de dévouement de la part de l’ensemble des militaires de l’arme.

Des défis majeurs ont été relevés par la Gendarmerie Nationale pour mieux servir le citoyen et la patrie et mieux protéger les biens et les personnes

Comme chaque fin d’année, un bilan d’activité est établi dans le but d’être étudié, analysé et comparé avec celui élaboré l’année précédente que ce soit au niveau local, régional ou central.

Ce bilan, avec tous ses aspects, reflète les actions menées au service du pays et du citoyen et le volume de travail accompli dans le domaine de la prévention, la lutte et la répression de toutes les formes de la criminalité ainsi que tous les efforts consentis par les éléments de l’arme dans le but de concrétiser un état de droit.

Par ailleurs, les indicateurs puisés dans cette optique portent en eux des signes

positifs des différents aspects des résultats obtenus qui s’incarnent par un sentiment de tranquillité et de sécurité par le citoyen qui est désormais conscient des efforts fournis et des moyens mis à la disposition des services de sécurité pour le servir dans les domaines de la sécurité routière, la sécurité publique, la santé publique, la protection de l’économie nationale ainsi que le domaine de la lutte contre la criminalité transfrontalière.

La Gendarmerie Nationale sur le plan organisationnel ou sur le plan opérationnel a relevé tous les défis conjoncturels, et elle continue à mener à terme tous ses projets novateurs. Chaque année, de nouvelles infrastructures sont réalisées, un nouveau potentiel humain et de nouvelles dotation en moyens de plus en plus perfectionnés et mieux adaptés pour se mettre au diapason des menaces qui guettent la sécurité des personnes et des biens.

Tous les bilans positifs des différents organes de la Gendarmerie Nationale sont le fruit de l’effort de toutes les personnes qui y travaillent et qui sont convaincues qu’elles contribuent à une noble mission au sein d’une honorable institution.

La Gendarmerie nationaLe: BiLans et PersPectives

REVUE DE LA GENDARMERIE NATIONALE

CLI

N D

’OEI

LPar: le Lieutenant-Colonel KERROUD abdelhamid

Revue de la Gendarmerie Nationale Mars 2012 N° 442

N° 44 mois de Mars 2012

CLIN D’OEIL

- coordinateur Principal :Lt-Colonel KERROUD abdelhamid, Chef de la Cellule Communication

- conception : PCa : EDDaIKRa MerouanePCa : SIMaM Hichem - correction : PCa KHETab Hayet PCa LaMRaNI Leila

- designer : adjudant-Chef baRHOUMI brahim, assistant au Chef de la Cellule Communication

- images : Cellule Communication

- correspondance : bP n° 42 Chéraga, les Dunes alger. Tel: 021 37.56.23 - Fax: 021.37.24.56 - impression et flashage :Centre d’impression et diffusion de la Gendarmerie Nationale Reghaia - alger.

SOMMAIRE 44

La Gendarmerie nationaLe: BiLans et PersPectives

Activités des unités du 5éme CR/GNcampagne de sensibilisation aux dangers de la route organisée par

le 5éme commandement régional de la Gendarmerie nationale 14

COOPéRATION 04

«Il est temps de prendre conscience et de respecter le code de la route», est le slogan choisi par le Cinquième Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale pour sa campagne de sensibilisation aux dangers de la route lancée le 15 novembre 2011 au niveau des 15 wilayas de l’Est du pays.

Evénement

Le cesseZ -Le-FeU.

visite d’une délégation des magistrats stagiaires à l’incc.Gn de Bouchaoui

08

07

06

Bilan annuel des accidents de la route.16

Le commandant de la Gendarmerie nationale a reçu Le secrétaire Général adjoint au département Politique du ministère Brésilien des relations extérieures ... et son exelence l’ambassadeur des etats-Unis du mexique, et l’attaché de defense au près de l’ambassade des etats-Unis d’amirique et son exellence l’ambassadeur du Qatar

issus de l’incc. 100 officiers de la GN désignés experts judiciaires


N° 44 mois de Mars 2012 REVUE DE LA GENDARMERIE NATIONALEActivités de la Gendarmerie Nationale

10 La sécurisation des sites et infrastructures

25 ...et à Ain temouchent et Ouargla plus de 22 quintaux de cannabis

32 Les Gendarmes partagent les peines avec les personnes Handicapées

36 La Gendarmerie Nationale crée les « Pelotons de l’autoroute Est-Ouest »

28 Des constructions risquent l’effondrement

29 Chlef, plaque tournante du trafic de véhicules

30Séminaire sur « la dynamisation de

l’exploitation du Système d’Information et de Télécommunication de la GN »

12 Les catastrophes naturelles et leurs gestion

Trafic d’huile de moteurs des véhicules L’affaire vient d’être découverte par la Gendarmerie nationale

Le phénomène de la délinquance juvénile 3281 mineurs arrêtés en 2011

Importantes quantités de stupéfiants saisies ... à Tlemcen...

22

23

24

Bilan des appels sur le 10 55.

- La Gn au scours des citoyens18

SPORT54

55

Championnat national inter unités de natation au niveau de l’école supérieure de

la GN des Issers du 06 au 07/12/2011

Le centre d’information et de coordination routière de la Gendarmerie nationale 38

RE

PO

RTA

GE

52

Prévention: Quelques conseils de conduite en temps d’intempéries

Conseils pratiques

célébration de la journée

mondiale des droits de l’enfant

34

La Gendarmerie nationale au cœur de l’évenement

SCIENCES FORENSICS & TECHNOLOGIES

46 Technologies d’énergie de la Gendarmerie Nationale

48 Le journalisme Participatif.

Grande opération des compagnies de l’Ouest: 100 kg de drogue et 1000 faux billets de 1000 DA saisis

26

Championnat national militaire inter écoles du volley-ball du 20 au 22/02/2012.


Dans le cadre de la coopération dans le domaine de la lutte contre la criminalité organisée, le Commandant de la Gendarmerie Nationale, le Général-Major, ahmed bousteila a reçu le 06 octobre 2011, M.Paulo Cordeiro, Secrétaire Général adjoint au Département Politique du Ministère brésilien des Relations Extérieures accompagné de son Excellence, M.Henriqué Fardinha Pinto, ambassadeur du brésil à alger.

Le Commandant de la Gendarmerie Nationalereçoit le Secrétaire Général Adjoint au Département Politique

du Ministère Brésilien des Relations Extérieures

... et son Exellence l’Ambassadeur des Etats-Unis du Mexique

Dans le cadre de la coopération dans le domaine de la lutte contre la criminalité organisée, le Commandant de la Gendarmerie Nationale, le Général-Major, ahmed bousteila, a reçu le 1er décembre 2011, son Excellence, l'ambassadeur des Etats-Unis du Mexique, M.Eduardo Roldan.

Ont été présents à cette visite, le Directeur de la Sécurité Publique et l'Emploi, le Chef du bureau Coopération et Relations Internationales, le Chef de la Division Police Judiciaire, le Chef du Service Central des Investigations Criminelles ainsi qu'un représentant de l'Institut National de Criminologie et de Criminalistique.

Coopération


Coopération

Dans le cadre de la coopération dans le domaine de la lutte contre la criminalité organisée, le Commandant de la Gendarmerie Nationale, le Général-Major, ahmed bousteila, a reçu le 9 Janvier 2012, le colonel Kait Li Filips, attaché de défense au près de l’ambassade des Etats Unis d’amirique en algerie accompagné de son adjoint le colonel Din Vital.

Ont été présents à cette rencontre, le chef des unités des gardes frontières, le Directeur de la Sécurité Publique et l'Emploi, le directeur général de l’Institut National de Criminologie et de Criminalistique ainsi que le Chef de la Division Police Judiciaire.

... et l’attaché de défense au près de l’Ambassade des Etats-Unis d’Amirique en Algerie

Dans le cadre de la coopération dans le domaine de la lutte contre la criminalité organisée, le Commandant de la Gendarmerie Nationale, le Général-Major, ahmed bousteila, a reçu le 12 janvier 2012, son Excellence, l'ambassadeur du Qatar.

Ont été présents à cette rencontre, le Chef des unités Gardes Frontières ainsi que le Chef du bureau Coopération et Relations Internationales.

... et son Exellence l’Ambassadeur du Qatar


Une délégation composée de vingt deux (22) Magistrats stagiaires de dix (10) pays arabes à savoire l’Irak, l’Egypte, le Soudan, la Tunisie, l’Emirats arabes Unis, le Maroc, El bahrein, la Palestine, le Liban et le Sltanat d’Oman, accompagnés du Directur des Formations et du Secrétaire Général de l’Ecole Superieure de Magistrature, a effectué une visite d’information le 21 décembre 2011 à l’Institut National de Criminalitique et de Criminologie de la Gendarmerie Nationale, de bouchaoui.

après une présentation sur l’organisation et les missions de l’Institut National de Criminalitique et de Criminologie de la Gendarmerie Nationale, la délégation a visité le bureau Saisine Scellés et quatre (04) départements: l’examen des documents, les empreintes digitales, la balistique et l’informatique et l’électronique.

a l’issue de la visite, les membres de la délégation ont été accueillis par le Directeur Général, où une collation leur avait été offerte.

visite d’une délégation des Magistrats Stagiaires à l’INCC.GN

de Bouchaoui

Coopération


Evénement

visite d’une délégation des Magistrats Stagiaires à l’INCC.GN

de Bouchaoui

C’est une première en algérie. Le commandement de la Gendarmerie nationale vient de désigner 100 officiers supérieurs, tous issus de l’Institut national de la criminologie et de la criminalistique (INCC) de bouchaoui pour appuyer les services de la justice dans ses requêtes liées aux recherches de preuves dans toutes sortes de délits et de crimes.

Ces experts judiciaires, qui ont prêté, serment au tribunal de blida, interviendront dans 11 filières scientifiques pour appuyer la justice et accompagner les orientations des parquets, des cours et des tribunaux sur le terrain pour faire valoir les droits des justiciables. Ces officiers seront déployés notamment dans la médecine légale et la biologie, la toxicologie, l’environnement, la balistique, les empreintes digitales, la criminologie, l’expertise des documents, les incendies et explosions, les microanalyses, l’examen des véhicules, l’électronique et l’informatique.

Ce sont des compétences formées dans des grands instituts nationaux et étrangers. assermentés à blida, ces cadres auront une compétence nationale. C’est-à-dire qu’ils sont appelés à intervenir dans les 48 wilayas

sur demande d’un tribunal ou d’une cour afin d’expertiser tout cas de figure qui pourrait se présenter et qui nécessiterait une expertise scientifique”.

avec ce nouveau cap, l’INCC de bouchaoui confirme sa tendance à devenir un pôle d’excellence surtout qu’il développe les nouvelles techniques d’investigations et de recherches, avec en appoint des outils de pointe pour les pratiques d’expertise et d’analyses récentes et les technologies appropriées en mesure de fournir à la justice les preuves scientifiques afin de confondre ou disculper d’éventuels suspects dans le respect des procédures, des normes nationales et internationales en matière de droit.

ISSUS DE L’INSTITUT DE CRIMINOLOGIE ET DE LA CRIMINALISTIQUE

100 officiers de la Gn désignés experts judiciairesAssermentés et inscrits sur le registre des experts judiciaires, ils jouissent d’une

compétence nationale contrairement aux autres fonctionnaires limités dans leur champ d’intervention.

PAR FARID. B


Evénement

LE CESSEZ-LE-FEU

Les négociations de melunle Gouvernement Provisoire de la République algérienne désigna Messieurs Mohamed Seddik benyahia et ahmed boumendjel pour entamer le 25 juin 1960 dans la ville française de Melun, des pourparlers avec la partie française. Ces pourparlers durèrent jusqu’au 29 juin mais furent voués à l’échec après que se soient confirmées les mauvaises intentions de la France et que les divergences entre les deux parties soient apparues clairement autour de bon nombre de questions dans lesquelles les français ont voulu dicter leurs conditions afin d’accélérer le cessez-le-feu, sans plus.Dans un appel adressé au peuple algérien le 5/7/1960, M.Ferhat abbès, président du GPRa avait explicité la position de son gouvernement lors des pourparlers de Melun en disant : « ...Lorsque nous avions pris le 20 juin la décision d’envoyer une délégation en France, nous n’avions pas omis de préciser qu’il existait de grandes divergences entre nous et le gouvernement français et à Melun il est apparu que ces divergences étaient encore plus importantes que nous ne le pensions... Non seulement, il n’y eut pas de concordance des points de vue mais nos deux émissaires se sont retrouvés devant un refus catégorique d’entamer des négociations. .. et même lors des négociations, le gouvernement français adopte l’attitude du colonialiste entêté et refuse absolument de discuter d’égal à égal... »aussi et en dépit des pertes subies, la Révolution

a continué à enregistrer des succès, faisant échec au plan Challe. L’occasion fut ainsi ratée pour De Gaulle et son projet d’ « algérie algérienne » lorsque le peuple algérien répondant à l’appel du Front – lors de la visite effectuée par De Gaulle en algérie le 9 décembre 1960, et sortit manifester en décembre 1960 dans les différentes villes d’algérie à alger, Oran, Constantine, bejaia, blida et autres, donnant une image impressionnante de sa solidarité et de son nationalisme. Sur le plan externe, les délégations du FLN ont activé à tous les niveaux , ce qui a contraint le gouvernement de De Gaulle à retourner à la table des négociations.Suite aux bons offices des suisses, représentés en la personne d’Olivier Lang, les contacts ont repris entre les délégations du GPRa et le gouvernement français à Lucerne et Neuchâtel, regroupant ahmed boumendjel, ahmed Francis et Saad Dahlab avec les représentants du gouvernement français Raqueroque ( ?) puis Chayet . Plus tard, Georges Pompidou et De Leusse eurent une rencontre avec M. Tayeb boulahrouf à Neuchâtel.Les premières négociations d’evianPrévues pour le 7 avril 1961, elles furent reportées en raison de la situation politique de la France caractérisée par une crise profonde, en plus du refus par le FLN de l’idée d’associer d’autres parties aux négociations (après que Louis Joxe eut dévoilé le 30/03/1961 l’intention du gouvernement de son

conformément aux termes des textes des accords d’evian signés entre le Gouvernement Provisoire de la république algérienne et la France, la journée du 19 mars 1962 fut considérée comme celle du cessez-le-feu à travers l’ensemble du territoire algérien.a cette occasion, mr Krim Belkacem fit la déclaration suivante à l’agence algérienne de Presse: «en vertu d’un mandat du conseil national de la révolution algérienne et au nom du Gouvernement Provisoire de la république algérienne, nous avons signé le 18 mars1962, à dix sept heures trente, un accord cadre avec les représentants délégués du gouvernement français. aux termes de cet accord cadre, un accord a été conclu pour un cessez-le-feu qui entrera en vigueur sur tout le territoire national le lundi 19 mars 1962 à douze heures précises.»


Evénement

pays d’associer le Mouvement National algérien) , de l’assassinat du maire d’Evian et les évènements qui s’en suivirent en raison des pressions exercées par les colons extrémistes, fervents défenseurs de l’algérie Française qui sont allés encore plus loin en constituant une organisation terroriste : l’Organisation de l’armée Secrète (OaS).Les généraux extrémistes partisans de l’algérie Française tels que Salan, Jouhaud, Zeller et Challe tentèrent de renverser le président De Gaulle le 22 avril 1961 ; ce qui entraîna le report des négociations au 20 mai 1961 à Evian.Les membres de la délégation algérienne composée de messieurs Krim belkacem, Mohamed Seddik benyahia , ahmed Francis , Saad Dahlab, Réda Malek et ahmed boumendjel rencontrèrent Messieurs Louis Joxe, Claude Chayet et bruno De Leusse... En dépit des réunions successives tenues entre le 20 mai et le 13 Juin 1961, les questions essentielles ne furent pas tranchées dans la mesure où leur fut opposé l’insistance de la partie française à débattre du dossier du cessez le feu en l’isolant du reste des dossiers et l’atteinte à l’unité territoriale de l’algérie dans le cadre de la politique de séparation du Sahara ainsi que la question de la tentative d’imposer la double nationalité aux Français algériens.Mais la partie algérienne a refusé de négocier à propos des principes fondamentaux, inscrits dans la Déclaration du 1er Novembre 1954, ce qui a conduit M. Louis Joxe, président de la délégation française à suspendre les négociations le 13 juin 1961.Les pourparlers de LugrinLes pourparlers reprirent à Lugrin entre le 20 et 28 juillet 1961 sans déboucher sur aucun résultat. C’est la partie algérienne qui a alors entrepris cette fois-ci de les interrompre en raison de la persistance du gouvernement français à nier la souveraineté algérienne sur le Sahara, soutenant une thèse antihistorique selon laquelle le Sahara serait une mer intérieure appartenant en commun à tous les pays , et ce dans le but de porter atteinte à l’unité nationale, affaiblir la Révolution et monter contre elle les pays limitrophes. Les discussions furent donc suspendues compte tenu de l’éloignement des points de vue entre les deux parties notamment en ce qui concerne l’intégrité territoriale.Le gouvernement Provisoire ne reprit ses contacts

qu’après avoir obtenu une reconnaissance explicite à travers le discours du président français Charles De Gaulle le 5 septembre 1961 dans lequel la France a reconnu la souveraineté de l’algérie sur son Sahara.Suite à cela, les rencontres préliminaires reprirent les 28 et 29 octobre 1961 puis le 9 novembre 1961, dans la ville de bâle en Suisse, regroupant Reda Malek et Mohammed Seddik benyahia avec Chayet et De Leusse pour la partie française.Les 9,23 et 30 décembre 1961, Saad Dahlab rencontra Louis Joxe aux Rousses pour étudier les points essentiels et discuter les questions de coopération, de maintien de l’ordre durant la période transitoire ainsi que la question de l’amnistie générale.après que le négociateur algérien eut garanti le respect des principes fondamentaux et de souveraineté à travers les négociations qui s’étaient déroulées aux Rousses du 11 au 19 février 1962 et après l’approbation par le Conseil National de la Révolution algérienne des minutes des pourparlers des Rousses, il se déclara prêt à entamer la phase finale des négociations.Les deuxièmes négociations d’evianaprès que le Conseil National de la Révolution algérienne eut approuvé les minutes des Rousses, le Gouvernement Provisoire annonça sa volonté de poursuivre officiellement les négociations dans la ville française d’Evian où Krim belkacem, Saad Dahlab, Mohammed Seddik benyahia, Lakhdar bentobbal, amar benaouada, Réda Malek et Seghir Mostefaï rencontrèrent la délégation française composée de Louis Joxe, Robert buron, bernard Tricot, bruno De Leusse, Claude Chayet et le Général de Camas pour une dernière série de discussions qui se sont étalées du 7 au 18 Mars 1962 et couronnées par l’annonce de la signature des accords d’Evian, la proclamation du cessez-le-feu, la détermination d’une période transitoire et l’organisation du référendum d’autodétermination. Ces accords comportaient également un ensemble d’accords de coopération dans les domaines économiques et culturel qui resteront en vigueur pour une période de 20 ans.Centre National des Etudes et Recherches sur le mouvement National et la Révolution du 1er novembre


Réalisé par le PCA CHAMAME Boudjemâa

ans le cadre de l’élaboration du programme de culture générale tracé par le ministère de la Défense Nationale au profit de ses éléments, la direction des

projets de la Gendarmerie Nationale a organisé une conférence sur la sécurité des sites et infrastructures présentée par M.Volker Kraiss, consultant et propriétaire de la société d’ingénierie «Krebs and Kiefer» qui est également l’auteur de nombreuses publications et interventions sur des thèmes de gestion intégrée de la sécurité.

infrastructures&La sécurisation

des sites

Activités de la Gendarmerie Nationale Activités de la Gendarmerie Nationale



Le conférencier, M.Volker Kraiss, a présenté un petit résumé sur le bureau d'étude "Kraiss et Wilke Security Consult" et sa philosophie de travail, suivi d’un petit aperçu sur les ouvrages auxquels il a contribué et il a fini par présenter son thème de conférence.

Volker Kraiss, a commencé sa présentation par une définition des objets à protéger car dans toute réalisation, ouvrage où infrastructure, le volet sécurité est pris généralement en considération, selon le degré et l'importance du site (habitation, entreprise, banque, site abritant les archives…etc).

Et pour arriver à un degré élevé de sécurité, il faudrait tout d'abord, identifier les menaces et leurs évaluations car une menace criminelle telle

que les vols, sabotages d'infrastructures abritant les réseaux informatiques, archives, perturbation de l'activité commerciale, n'est pas équivalente à celle produite par un acte terroriste, tel qu'une attaque chimique, biologique où à l'explosif où aussi dû à une catastrophe naturelle, telle que (les crues, les inondations, les tremblements de terre).

a travers l'identification des menaces, on peut évaluer les

risques de menace et aussi le calcul potentiel du risque pour les menaces identifiées.

D'autres étapes sont également requises, à savoir la probabilité d'occurrence et les résultats des dommages du moins jusqu'au plus important.

Ces calculs nous mènent à la mise en place de mesures opératoires et techniques, à savoir:

- La vérification des droits d'accés.

- La vérification des personnes et des véhicules.

- L'utilisation des détecteurs.

- L'installation des clôtures, des caméras, des barrières…etc.


et leur

Dans le cadre de l’élaboration du programme de culture générale au profit, des éléments de la Gendarmerie Nationale, le commandement de

la Gendarmerie Nationale, a organisé une conférence sur les catastrophes naturelles et leur gestion, présentée par le professeur Benouar Djillali du laboratoire de recherches « Bâti dans l’environnement» Faculté de Génie Civil (USTHB), maitre de conférence à l’université de Bab-Ezzouar.

gestionnaturelles

Les catastrophes

Réalisé par le PCA CHAMAME Boudjemâa

professeur Benouar Djillali


Le conférencier a commencé sa présentation par une définition du terme catastrophe naturelle, qui est un mouvement brutal, d’origine naturelle ou humaine, ayant pour conséquence généralement la mort et la destruction à grande échelle. Il a ajouté que le facteur humain a aussi sa part de responsabilité dans ces catastrophes, car les moyens mis en place par l’homme n’ont pas pu empêcher leur survenue.


En algérie, plusieurs catastrophes naturelles sont survenus dont les séismes de 1920 qui à fait 20.000 victimes, d’El-asnam en 1980, et de boumerdès en 2003,et les inondations de bab El-oued en 2001, ainsi que l’accident du complexe de liquéfaction de Skikda en 2004, qui est considéré comme l’un des plus graves qu’a connu l’algérie indépendante .

a cette effet, les pouvoirs publics et la population assistent avec une angoisse croissante à l’intensification des effets destructeurs des catastrophes naturelles, du fait qu’elles frappent des zones de plus en plus peuplées et construites. Pour le conférencier, il faudrait bien changer les mentalités des nouvelles générations, à travers l’enseignement de modules sur les catastrophes naturelles et la gestion des risques urbains qui présentent plusieurs défis distincts, et surtout pour atténuer les effets négatifs des catastrophes naturelles. Pour le conférencier, la catastrophe n’est pas un événement mais un processus, qui nécessite une définition claire des catastrophes afin de procéder à l’établissement et le maintien d ’a r rangements adéquats pour r é p o n d r e efficacement à tous les aspects de la menace.


les catastrophes naturelles et leur gestion


L’objectif principal de la campagne qui a pris fin le 21 du même mois, est

d’attirer l’attention de l’usager de la route sur les dangers qui le guettent s’il ne prend pas toutes les précautions nécessaires. Dans ce sens, des dépliants ont été distribués aux automobilistes.

Il faut dire que depuis le début de l’année en cours, les accidents de la route ont connu une hausse de 28% au niveau des wilayas de l’est du pays par rapport à la même

période de l’année 2010. Ce fait a été mis en exergue lors des différentes interventions de représentants de l’arme sur les ondes des radios locales ou points de presse qui ont précédé le début de la campagne.

Le déroulement de la campagne:

La première étape de la campagne s’est résumée dans un travail commun avec les autorités administratives locales sur la levée des lacunes observées dans les plaques de

réalisé par la PCA LAMRANI Leila

Campagne de sensibilisation aux Dangers de la Route

organisée par le 5éme Commandement régional de la

Gendarmerie Nationale

«Il est temps de prendre conscience et de respecter le code de la route», est le slogan choisi par le Cinquième Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale pour sa campagne de sensibilisation aux dangers de la route lancée le 15 novembre 2011 au niveau des 15 wilayas de l’Est du pays.

Activités des unités du 5éme CR/GN


le 5éme Commandement régional de la


signalisation et l’état des routes qui doivent être comblées par ces mêmes autorités.

Chaque Groupement territorial a été chargé d’animer une campagne locale en tenant compte de la spécifié de chaque territoire. Pour mieux prendre en charge l’évènement une réunion a été prévue avec les chefs d’unités pour mettre au point tous les détails relatifs à la campagne.

Concernant les moyens humains et matériels mis en œuvre pour le bon déroulement de la campagne, 115038 gendarmes ont été mobilisés ainsi que 1285 motards et 10944 auxiliaires, 1210 véhicules, 1656 motocyclistes, radars et autres équipements ont été mis à la disposition des initiateurs de la campagne à travers 78.760 barrages et 8481 patrouilles.

Les principaux objectifs de la campagne:

- Sensibiliser le citoyen aux effets des accidents de la route, ses impacts sur les victimes, l’économie du pays en insistant sur le comportement du conducteur sur la route pour préserver sa vie et celle des autres.

- Insister sur le rôle de la Gendarmerie Nationale en tant qu’institution chargée de la prévention, de l’orientation, information et de la protection des personnes et des biens.

- améliorer le niveau de compétence des éléments activant dans le domaine de la sécurité routière.

- Insister sur le principe du travail de proximité au sein de la population notamment auprès des jeunes.

- Faire de la publicité au N°vert, le 10-55.

- amener les autorités administratives à s’occuper de l’état des routes et entamer la réfection de celles qui soufrent de dégradations.

Les résultats de la campagne:

La campagne de sensibilisation aux dangers de la route a eu des résultats très positifs, d’autant plus que la période choisie a été très convenable, Novembre est le mois où se distinguent les facteurs climatiques qui influencent la sécurité routière et facilitent de contacter les différentes catégories touchées par la campagne puisque la rentrée sociale est largement entamée.

aucun accident de la route n’a eu lieu durant cette période et l’usager de la route et les citoyens de manière générale ont favorablement réagi aux orientations des gendarmes. Compte tenu de l’impact positif de la campagne, il a été convenu que cette campagne ne soit pas circonstancielle mais s’étendra dans le temps à travers des journées d’informations.

Activités des unités du 5éme CR/GN



Les accidents de la circulation ont tué 3.831 personnes et fait 44.936 blessés en 2011 contre 2.994 morts et 34.262 blessés enregistrés en 2010. Ceci constitue une hausse du nombre de morts de l’ordre de 27.96 % et du nombre de blessés de l’ordre de 31.15%.

En effet, le bilan des accidents de la route pour l’année 2011, fait état d’une hausse sensible du nombre d’accidents enregistrés avec 25.023 accidents contre 19.402 enregistrés en 2010, ce qui représente 69 accidents, 10 morts et 123 blessés par jour.

La wilaya de Sétif vient en tête de liste des wilayas les plus touchées par ce fléau, avec 1.345 accidents enregistrés en 2010 suivie des wilayas d’alger et d’Oran avec respectivement 1.160 et 1.073 accidents.

avec un taux de 89,66%, le facteur humain constitue la cause principale des accidents. L’irresponsabilité des conducteurs conjuguée au non respect du code de la route et la prise de risques inutiles tels que l’excès de vitesse et les dépassements dangereux ont fait 22,435 accidents cette année.

D’autres facteurs sont également responsables de cette recrudescence sans précédent du nombre d’accidents, à savoir l’état du véhicule avec 06,44%, l’état de réseau routier et de l’environnement avec un taux de 03,90% sans oublier les conditions météorologiques et l’utilisation quasi exclusive par les voyageurs du réseau routier par rapport aux autres modes de transport, ferroviaire, maritime et aérien.

D’analyse des données statistiques des accidents de la route relative à l’exercice 2011, fait état de 38.299 véhicules impliqués

Le phénomène des accidents de la route constitue un dangereux fléau qui menace tous les Etats du monde car il porte atteinte au droit à la vie et cause des dégâts humains considérables dont des morts, des blessés, des handicapés et des victimes de traumatismes psychiques ainsi que d’importants dégâts matériels et des répercussions très néfastes sur l’environnement.

Réalisé par la pca KHETAB Hayet

Bilan annuel des accidents de la route



dans des accidents enregistrés avec:

*27.533 véhicules légers impliqués dans 71,89% des accidents.

*5.810 véhicules de transport de marchandises impliqués dans 15,17% des accidents.

*1.584 véhicules de transport de voyageurs impliqués dans 04,14% des accidents.

Les services de la Gendarmerie Nationale déploient quotidiennement des efforts

considérables en matière de prévention et de lutte contre ce fléau. au registre des infractions relevées, les Gendarmes ont recensé en 2011, 323.484 délits contre le code de la route. 90.752 infractions et dressé 545.764 amendes forfaitaires.

aussi, 193.683 permis de conduire ont été retirés lors de cette même période et 75.852 infractions relevées pour non respect du contrôle technique.

Par ailleurs, 89735 infractions ont été rélévées grâce aux radars et 8258 autres grâce aux tété tachymètres.

Bilan des accidents de la circulation enregistrés au rouant des années 2010/2011année 2010 année 2011 Différence Taux

accidents 19.402 25.023 + 5.621 + 28.97 %Morts 2.994 3.831 + 837 + 27.96 %

blessés 34.262 44.936 + 10.674 + 31.15 %

Causes année 2011 TauxLes causes liées au facteur humain 22.435 89.66 %

Les causes liées aux véhicules 1.612 06.44 %Les causes liées au réseau routier et à

l'environnement976 03.90 %

Total 25.023 100 %



10 5510 55

10 55

10 55

10 55

10 55 10 55

10 55

10 55

10 55

10 55 10 55 10 55

10 55

10 55

10 55

10 55

10 55

Plus d’un millions d’appels reçus en une année

Une année après la mise en service de la ligne citoyenne 10-55

10 55total des appels reçus: 13368877

- jour: 875008- nuit: 461869

Nombre d’appels reçus pour essai et confirmation de la disponibilité du service (10-55) : 1298599

Nombre d’appels exploités (informations utiles) :

accidents de la route: 9278Menaces contre les personnes et les biens: 4303

Demandes d’aide (situation des routes, recrutement autres) :12547

autres domaines (contrebande, trafic de stupéfiants, terrorisme, atteinte à l’ordre public, obstruction de la voie publique) :12150

Total: 38278

Nombre d’interventions sur le terrain des unités compétentes de la Gendarmerie nationale: 8272

Nombre d’interventions avec des résultats immédiats (répression du crime et arrestations) : 347Nombre d’appels transférés à d’autres services compétents (police, protection civile et santé) : 8617



au niveau des voies de communication, les unités de la Gendarmerie Nationale ont mobilisé un grand nombre de

suite aux perturbations climatiques qu’ont connu plusieurs wilayas du pays durant la période allant du 02 au 14 février 2012, les unités de la gendarmerie nationale ont effectué plusieurs interventions

que ce soit à travers les voies de communication ou encore au niveau des zones sinistrées ou des agglomérations qui se trouvaient enclavées à cause de la neige et ce afin d’orienter les usages de la route, protéger les personnes et les biens et secourir les sinistrés de ces chutes de neige qui ont isolé un grand nombre de régions et paralysé la circulation routière.

la Gendarmerie nationale au secours des citoyens

plus de 9500 interventions sur les routes et 8400 interventions d’aide et assistance aux citoyens



formations fixes et mobiles (barrages et patrouilles) à travers les axes et les routes difficiles ainsi que les points noirs afin d’organiser et faciliter la circulation routière et orienter les usagers vers les routes ouvertes et assurer la protection des personnes et des biens.

Lors de ces intempéries, les unités de la Gendarmerie Nationale ont effectué des services continus de jour comme de nuit au niveau des zones sinistrées dans le but de faire face à cette situation et apporter de l’aide aux citoyens sinistrés en garantissant la sécurité des personnes et des biens.

Les salles opérationnelles des groupements territoriaux ainsi que les différentes brigades territoriales et unités opérationnelles ont toutes veillé à assurer une permanence continue pour recevoir

les appels des citoyens notamment ceux concernant les demandes de secours et de renseignements sur l’état des routes et plus particulièrement les appels effectuées au numéro vert de la Gendarmerie Nationale le 1055.

En outre, les différentes unités de la Gendarmerie Nationale ont escorté les convois d’aides adressés aux citoyens sinistrées et les engins servant à l’ouverture des routes et axes routiers sons oublier l’exécution des services d’ordre au niveau des points de vente du gaz butane.

Sur ce plan, le rôle qu’on joué les unités de la Gendarmerie Nationale s’est traduit par plus de 9500 interventions à travers les différents axes et voies de communication au profit des usagers de la route et plus de 8400 interventions pour la protection des personnes et des biens et le secours de sinistrés.



les services de la Gendannerie Nationale reçoivent plus de 12.000 appels téléphoniques par jour sur le numéro vert 1O-55 suite aux intempéries que connaissent ces derniers jours plusieurs régions du pays. Dans une conférence de presse consacrée à l’évaluation de l’activité de ce numéro vert une année après sa mise en service, les services de la gendarmerie ont précisé que les appels reçus par les différentes brigades territoriales de la Gendannerie Nationale à travers les wilayas concernent «les demandes d’aide, les explications sur l’état des routes et l’intervention des services de la Société nationale de gaz et d’électricité Sonelgaz)». Il a ajouté que les services de la Gendarmerie Nationale ont «intensifié la mobilisation de leurs unités au niveau des régions touchées par ces

intempéries notamment après la publication du bulletin météo spécial par l’Office national de météorologie (ONM)». Ces appels ont permis «d’orienter et d’aider les citoyens en temps réel tout en s’appuyant sur la prévention renforcée par les éléments de la Gendarmerie Nationale à travers les wilayas affectées». Plusieurs régions du nord du pays ont été affectées suite aux fortes chutes de neiges. Plusieurs axes routiers ont été fermés au trafic routier. Mis en service en février 2011 pour la prise en charge des préoccupations des citoyens à travers tout le territoire national, le numéro vert (1055) vise à prendre en charge les multiples préoccupations des citoyens qu’ils peuvent soulever depuis un téléphone fixe ou un portable.

numéro vert des services de la Gendannerie nationale

12000 appels par jour

monsieur le commandant du Groupement de la Gendarmerie nationale de Béjaia

Lettre de félicitations

monsieur le chef,

Permettez au bureau de wilaya de Bejaia de venir en toute modestie vous féliciter pour votre sens de responsabilité que vous avez démontré en date du 19.01.2012 suite à l’effondrement d’une battisse qui est située non seulement en plein centre ville de Kherrata mais aussi jouxtant la rn 09 que tout le monde connait par sa forte densité de trafic routier.

en effet monsieur le chef de Groupement, la population de Kherrata a constaté la célérité avec laquelle vous avez déployé vos troupes et ce dans le but d’éviter toute catastrophe.

en quelques secondes avec votre sens d’organisation, la zone de danger fût délimitée et la circulation sur la rn 09 réglementée conformément aux normes de sécurité.

encore une fois félicitations.

veuillez croire monsieur le chef de Groupement à notre parfaite considération.

mouvement nationale pour la continuité et le dévloppement


L’affaire vient d’être découverte par la Gendarmerie nationale de l’huile de table en guise d’huile moteur

Par : Abi Mounir

L’ enquête a démarré suite à des informations parvenues à la brigade, selon la Gendarmerie, autour de cette pratique. Sur les lieux, les gendarmes ont constaté que le commerçant, exerçait en toute légalité, et ce, depuis longtemps, puisqu’il a présenté des documents, «sauf que durant la dernière période, et profitant de la pénurie enregistrée en matière d’huile de moteur sur le marché national, et attiré par le gain facile, il a procédé à l’achat d’importantes quantités de mazout auxquelles il ajoutait de l’huile de table et vendait le tout comme étant de l’huile de moteur, au prix de 300 Da, confirmant les informations circulant parmi les conducteurs qui ont connu des pannes de moteur de leur véhicule», explique la Gendarmerie.

Les gendarmes ont saisi au total, 8020 bidons et 13 barils d’huile de 200 litres soit: 21572 litres pleins, en plus de la saisie de 500 étiquettes de différentes marques.

après l’expertise faite par l’Institut national de criminologie et l’expertise faite par Naftal, ces huiles sont totalement dépourvues de quelque produit chimique qui aiderait à l’élimination des acides qui résultent de l’opération d’oxydation

due à l’utilisation, et que, par conséquent, est inutilisable et nuit à l’état de quelques composantes internes du moteur, à moyen et long terme, selon la Gendarmerie nationale.

Le mis en cause a été présenté devant le procureur de la République près le tribunal d’El Harrach qui a ordonné son placement sous mandat de dépôt.


Les enquêteurs de la brigade de la Gendarmerie nationale de Béni Mered (Alger) ont traité une affaire d’escroquerie consistant en la vente, par un commerçant, de mazout, ajouté à l’huile de

table, qu’il présentait comme étant de l’huile de moteur.


Le phénomène de la délinquance juvénile3281 mineurs arrêtés en 2011

Par : Manal Chheikh


L’Algérie, comme bien d’autres pays dans le monde, n’échappe pas au phénomène de la délinquance des jeunes, dont certains sont même des récidivistes. Selon les spécialistes en la

matière, c’est un problème grave parce que, d’une part, les délinquants causent un tort inestimable à leurs victimes, et de l’autre, ils sont appelés à devenir les adultes criminels de demain.

Un bilan enregistré par la Gendarmerie nationale en 2011, sur la base de statistiques démontre une nette augmentation de ce phénomène. Une augmentation alarmante a été enregistrée sur le nombre des crimes commis par les mineurs des deux sexes en l’an 2011, soit 3281 mineurs arrêtés, dont 141 de sexe féminin.

Le constat est d’autant plus alarmant, selon la GN, que ces derniers sont tous âgés de moins de 18 ans, et dans la dérivation, notamment en milieu rural et en zones suburbaines. Les bilans les plus lourds qui ont été enregistrés en matière d’affaires liées aux agressions et viols par ces mineurs, qui sèment la terreur, mettent la wilaya d’Alger au premier rang avec 260 cas, suivie de Sétif avec 199 cas et de Tipasa avec 189.

351 adolescents dont 111 filles maltraités par des adultes

Concernant les 3284 affaires qui ont été traitées par la GN durant l’année 2011, elles comprennent les coups et blessures volontaires (CBV), avec 696 cas, les vols (894), l’immigration clandestine (187), l’association de malfaiteurs (102), le trafic de drogue (103), l’homicide volontaire (21), l’atteinte à la pudeur et le viol (18), le trafic de monnaie et la fraude (6) et la débauche avec 2 cas.



importantes Quantités de stupéfiants saisies... à tlemcen...

Par : Mohamed MENDACI

La connexion entre ces affaires est que ces actions de crime organisé ont toutes été pensées par une seule et même personne. Un dangereux narcotrafiquant qui a essayé d’introduire les 12 tonnes de drogue sus citées.

Le gros bonnet de la drogue originaire de l’ouest du pays, a tissé tout un réseau de trafiquants qui se scinde en deux groupes, entre algérie le Maroc d’où il se fournissait régulièrement.

a la tête d’une belle fortune, amassée grâce à la drogue, ces narcotrafiquant ne reculaient devant rien et «dépensaient sans compter pour faire transiter leurs marchandise pour ensuite inonder les marchés des autres pays, en s’appuyant sur son réseau» a affirmé le commandant du groupement de la gendarmerie nationale de Tlemcen en présentant les nouveaux éléments de son enquête sur la saisie des 5 tonnes de drogue dans la ville des Zianides.

En effet, le trafiquant de ce réseau a changé ses itinéraires routiers afin d’acheminer les grosses quantités de cannabis vers les pays voisins puis vers le Moyen-Orient, dernière étape pour les convoyeurs de drogue.

Vu l’intensité du dispositif sécuritaire mis en place par les GGF et les frappes sévères menées contre les trafiquants, le réseau a changé son itinéraire pour cibler, désormais, la ville de Tlemcen et la région du Nord.

Il achete des camions pour ensuite les acheminer dans la ville de barika (batna) pour mettre sur pied un atelier clandestin où il dissimulait «Les

camions saisis dans des plusieurs affaires ont été trafiqués à barika dans un hangar loué par le réseau incriminé.

Les recherches déclenchées pour retrouver le mis en cause n’ont rien donné les premiers temps, «impossible de l’identifier. Il ne laisse aucune trace de son implication. Il nettoie tout sur son passage avant de prendre la fuite.

C’est grâce à des informations précises et sa carte d’identité nationale qu’on a pu mettre un nom sur le dangereux narcotrafiquant». ainsi, il est impliqué, également, dans le blanchiment d’argent.

Ce qui est certain, c’est que les recherches se sont intensifiées pour mettre la main sur le tristement célèbre gros bonnet de la drogue de l’ouest. Par ailleurs, suite à la dernière opération de saisie des 5 tonnes de kif à Tlemcen, 12 personnes ont été arrêtées dont 10 ont été placées en détention préventive.

Les saisies, opérées à Tlemcen par les garde-frontières, de 5 tonnes de kif traité, au début de l’année, dont la valeur globale est de 50 milliards de centimes, à Batna 3 tonnes, à El Oued et

Saïda près de 4 tonnes, ont toutes un point commun.


En effet, un véhicule de marque Mercedes a été intercepté par les gendarmes de la compagnie d’El-amria bourré de kif traité.

Les deux narcotrafiquants, qui convoyaient la marchandise, ont pris la fuite pédestrement à la vue des services de sécurité abandonnant leur butin de guerre et le véhicule.

La fouille opérée, les gendarmes ont découvert 5 quintaux et 65 kg de cannabis dans le coffre et les garnitures de cette Mercedes, vraisemblablement volée.

Une enquête a été ouverte pour déterminer la provenance de cette drogue et l’identification du véhicule ainsi que son propriétaire.

Le même jour, une autre “moisson” a été effectuée dans la wilaya d’Ouargla, plus exactement dans la localité El-borma. Les gendarmes, qui étaient en patrouille, sur la RN53-a, reliant El-borma à Hassi-Messaoud, ont également réussi à récupérer un véhicule de marque Toyota Station, abandonné par des narcotrafiquants à la vue du dispositif de sécurité. Selon notre source, la fouille de ce tout-terrain a abouti à la découverte de 8 quintaux et 45,7 kg de kif traité. La saisie a été opérée à 35 km à l’ouest de la ville d’El-borma où les gendarmes ont ouvert une enquête.

En provenance du Maroc, cette quantité de drogue serait destinée aux pays voisins dont la Tunisie, alors qu’une autre quantité serait destinée à des relais activant pour des filières basée en Europe et au Moyen-Orient. Pour preuve, lors d’un ratissage effectué par des unités spécialisées dans la lutte contre la drogue, un dépôt souterrain a été découvert à 45 km au sud de la ville d’El-borma.

La fouille a permis de mettre la main sur près de 850 kg de cannabis entreposés dans des sacs de 20 à 25 kg.

Les éléments de la Gendarmerie nationale d’Aïn Témouchent et d’Ouargla ont opéré, une importante saisie de cannabis, estimée, selon notre source, à plus de 1,4 tonne de cannabis.

.... et à ain témouchent et ouargla

Par : Farid Belgacem

saisie de plus de 22 quintaux de cannabis




Par :S.A

100 kg de drogue et 1000 faux billets de 1000 DA

saisis

Grande opération des compagnies de l’Ouest

Une grande offensive contre les milieux

du banditisme a eu lieu, le 20 décembre dernier, dans plusieurs villes de l’ouest du pays. Ici, les gendarmes de plusieurs

compagnies ont ciblé les réseaux «dormants»

dans une opération «préventive» menée avant le réveillon, afin d’éviter toute mauvaise surprise

durant cette fête. Le bilan de cette vaste opération

est très intéressant dans la mesure où les

gendarmes sont parvenus à saisir 100 kg de drogue, prêtes à la vente durant le

réveillon.

En effet, les gendarmes de plusieurs compagnies de l’ouest du pays, notamment d’Oran, Mostaganem, Relizane, Sidi bel-abbès, Tlemcen, Tissemsilt, Saïda, Tiaret, ain Témouchent, El bayadh et Naâma ont lancé, avant-hier, une grande opération ciblant les milieux du banditisme.

Le bilan de cette vaste opération est qualifié de très important dans la mesure où plus de 100 kg de cannabis, huit ar mes blanches (couteaux et sabres), plusieurs véhicules recherchés, plusieurs centaines de quintaux de bronze et des centaines de faux billets de 1000 Da ont été saisis lors de cette grande opération.

Selon le communiqué de la Cellule de Communication de la Gendarmerie Nationale, daté d’hier, les unités de la GN avaient préparé cette vaste opération pour éradiquer les réseaux du mal qui affectent la tranquillité et la sécurité des citoyens de l’Ouest. ainsi, cette opération menée avec succès par les éléments de la GN, vu le bilan, a permis l’identification de plus de 30 000 personnes et 11 288 voitures, dans laquelle 111 personnes ont été arrêtées et ce, pour plusieurs motifs, notamment le port d’armes prohibées, possession de stupéfiants, trafic de marchandises, contrebande et fraude. Toujours, selon ce communiqué, 1642 automobilistes ont fait l’objet de retrait de leurs permis de conduire, suite à plusieurs infractions commises.

Par ailleurs, poursuit le même communiqué, 100 kg de kif traité, 470 comprimés de

psychotropes, 8 armes blanches, 16 294 bouteilles de vin, un camion bourré de sable, 286 pièces de vêtements, 5 motocyclettes (sans documents), 30 quintaux de bronze, 200 quintaux d’aliments pour animaux, 360 bouteilles de shampooing, trois véhicules de marque Renault Laguna, Renault Peugeot et Renault Express (à bord de laquelle 1000 fausses coupures de billets de 1000 Da ont été découverts) ont été saisis.

Plusieurs personnes, auteurs de ces trafics, ont été interpellées par les gendarmes, conclut le communiqué de la Cellule de Communication de la Gendarmerie nationale..



100 kg de drogue et 1000 faux billets de 1000 DA

saisis

Grande opération des compagnies de l’Ouest

Une grande offensive contre les milieux

du banditisme a eu lieu, le 20 décembre dernier, dans plusieurs villes de l’ouest du pays. Ici, les gendarmes de plusieurs

compagnies ont ciblé les réseaux «dormants»

dans une opération «préventive» menée avant le réveillon, afin d’éviter toute mauvaise surprise

durant cette fête. Le bilan de cette vaste opération

est très intéressant dans la mesure où les

gendarmes sont parvenus à saisir 100 kg de drogue, prêtes à la vente durant le

réveillon.

En effet, les gendarmes de plusieurs compagnies de l’ouest du pays, notamment d’Oran, Mostaganem, Relizane, Sidi bel-abbès, Tlemcen, Tissemsilt, Saïda, Tiaret, ain Témouchent, El bayadh et Naâma ont lancé, avant-hier, une grande opération ciblant les milieux du banditisme.

Le bilan de cette vaste opération est qualifié de très important dans la mesure où plus de 100 kg de cannabis, huit ar mes blanches (couteaux et sabres), plusieurs véhicules recherchés, plusieurs centaines de quintaux de bronze et des centaines de faux billets de 1000 Da ont été saisis lors de cette grande opération.

Selon le communiqué de la Cellule de Communication de la Gendarmerie Nationale, daté d’hier, les unités de la GN avaient préparé cette vaste opération pour éradiquer les réseaux du mal qui affectent la tranquillité et la sécurité des citoyens de l’Ouest. ainsi, cette opération menée avec succès par les éléments de la GN, vu le bilan, a permis l’identification de plus de 30 000 personnes et 11 288 voitures, dans laquelle 111 personnes ont été arrêtées et ce, pour plusieurs motifs, notamment le port d’armes prohibées, possession de stupéfiants, trafic de marchandises, contrebande et fraude. Toujours, selon ce communiqué, 1642 automobilistes ont fait l’objet de retrait de leurs permis de conduire, suite à plusieurs infractions commises.

Par ailleurs, poursuit le même communiqué, 100 kg de kif traité, 470 comprimés de

psychotropes, 8 armes blanches, 16 294 bouteilles de vin, un camion bourré de sable, 286 pièces de vêtements, 5 motocyclettes (sans documents), 30 quintaux de bronze, 200 quintaux d’aliments pour animaux, 360 bouteilles de shampooing, trois véhicules de marque Renault Laguna, Renault Peugeot et Renault Express (à bord de laquelle 1000 fausses coupures de billets de 1000 Da ont été découverts) ont été saisis.

Plusieurs personnes, auteurs de ces trafics, ont été interpellées par les gendarmes, conclut le communiqué de la Cellule de Communication de la Gendarmerie nationale..



ainsi, pas moins de 40 tonnes de ciment non conforme ont été dernièrement saisies par les éléments de la Gendarmerie nationale de Chlef. Les détails de cette affaire, solutionnée par les gendarmes de la section de recherches de la wilaya, remontent au mois de juin écoulé lorsqu’un élément de la section a constaté quelques anomalies dans l’emballage de ce ciment par rapport à celui de Chlef alors que la marque commerciale était pratiquement la même. C’est le logo en particulier qui l’attira.«ECDT» était celui du ciment en cause tandis que celui de Chlef est «ECDE». afin de confirmer son originalité, un échantillon a été envoyé au laboratoire de la cimenterie de Chlef. bilan négatif. Le ciment n’est pas celui de Chlef. Techniquement, c’est un ciment de référence 32,5 tandis que celui de Chlef est de 42,5. Pis encore, c’est le poids qui cause un sérieux problème. Chaque sac de ciment contenait 43kg alors qu’il devait contenir 50kg. «Vous pouvez imaginer les conséquences néfastes sur les chantiers de construction», met en exergue le commandant de la section de recherches de Chlef, Youcef boukalwa. Force est de constater que plusieurs constructions auraient alors un manque de tonnage dans son béton. D’autant que «plusieurs villas à l’ouest d’alger notamment à Douéra et la localité de baloutta ont été construites par ce ciment et risquent

l’effondrement suite au moindre tremblement de terre» met-il en garde. Le commandant ira même jusqu’à déclarer qu’il envisage, via son Commandement général, solliciter le Contrôle technique de construction (CTC) pour examiner l’état des villas concernées et la conformité de leur construction, une fois l’affaire sera close et toutes les villas seront

connues. Face à ce constat, ses éléments n’ont pas voulu se contenter de saisir ce ciment des points de vente mais se sont engagés à mettre la main sur le principal auteur, à savoir le fabricant. Ce n’est qu’après l’investigation d’un gendarme que cette affaire a été élucidée. Le

travail de renseignement a conduit les gendarmes vers d’autres wilayas, alger, blida et Tipaza. a bousmaill, dans la wilaya de Tipaza, une quantité de 20 tonnes de ce ciment a été saisie. Durant ce temps, un piège a été tendu, au niveau de boufarik, dans la wilaya de blida, à un convoi transportant 20 autres tonnes. Il faut dire que les conducteurs des camions transportant ce matériel étaient la pièce maitresse de ce puzzle. Leur arrestation était synonyme de localisation de l’usine en cause.En effet, l’usine située dans la localité de Meftah, à alger était installée clandestinement au milieu d’une forêt. Lors de sa perquisition, il a été saisi

60 TONNES DE CIMENT NON CONFORME SAISIES À MEFTAH

L’enquête qui a duré près de 6 mois a fini par le démantèlement du réseau qui, non seulement a porté atteinte à l’économie nationale, porté préjudice à une marque commerciale de renommée en Algérie mais a aussi nui aux habitations de plusieurs Algérois, ce qui a endeuillé des familles.

des constructions risquent l’effondrement

Par :Bouaraba.A



Connue entre autres par sa casse auto, Chlef est-elle devenue la plaque tournante du trafic de véhicules? Le démantèlement, récemment, d’un réseau national de vols et trafics de véhicules dans cette wilaya indique davantage que Chlef commence à attirer les trafiquants. Volés des quatre coins du pays, ces moyens de locomotion, toute catégorie confondue, sont directement conduits vers cette wilaya où ils sont «professionnellement» trafiqués en changeant particulièrement leurs numéros de châssis. Rien que pour cette affaire, 14 véhicules ont été saisis. Deux fourgons de marque Kia et un autre Hyundai H100, 2 semi-remorques, 2 camions Volvo, 2bus Toyota Coaster, 1 Hyundai 4X4 de type Tucson, 2 Clio campus ainsi qu’une Picanto et une Nissan Sunny ont été récupérés lors de cette affaire. Notons que c’est suite à des informations parvenues aux gendarmes de la brigade territoriale de Harchoune, daïra d’Oued Feddah, que cette affaire a été solutionnée.Le travail d’investigation a conduit à identifier le principal mis en cause. Le mis en cause ’âgé de 43 est actuellement en détention provisoire. C’est un parking, situé dans la localité de Chettia, qu’il avait transformé en atelier. Notons que les véhicules étaient volés de plusieurs wilayas du pays, à l’instar de Constantine, biskra, Oran, Mascara, Tipaza, Oued Souf et autres. Y-a-t-il une complicité de la part de

l’administration dans cette wilaya «l’enquête est en cours, mais tout ce que je peux vous dire pour le moment c’est que les complices ont été identifiés et seront incessamment arrêtés», nous dira le commandant du Groupement de Chlef.Rappelons enfin que quelques jours avant, les éléments de la Police judiciaire de la wilaya de Tipaza ont présenté devant le parquet une bande de malfaiteurs spécialisée dans le vol de véhicules et la falsification de documents administratifs. La perquisition dans un garage situé dans la commune de Chlef a permis de récupérer un minibus et trois voitures légères. Sur les mêmes lieux il a été également trouvé un lot de 50 cartes grises vierges et de nombreuses pièces détachées et accessoires de véhicules volés. Cette bande fait également partie d’un réseau national spécialisé dans le vol de véhicules, le maquillage de ces derniers et la falsification de leurs documents pour leur revente en l’état ou en pièces détachées. Les éléments de la Police judiciaire ont pu remonter la filière suite au vol d’un minibus. Les malfaiteurs ont été appréhendés en flagrant délit de changement de plaques d’immatriculation.

DEMANTELEMENT D’UN RESEAU NATIONAL

chlef, plaque tournante du trafic de véhicules

Par :Bouaraba.A

2.000 sacs vides portant les noms des cimenteries de Chlef, aïn Kebira, Sour El Ghozlane, Sig et Meftah. Outre cela, 3.000 unités de conditionnement ainsi que 200 quintaux de ciment en vrac, en provenance des camions cocottes, ont été

également récupérés lors de cette opération. Notons enfin que les mis en cause arrêtés, au nombre de 8, seront présentés devant la Justice pour notamment constitution d’association de malfaiteurs, contrefaçon de marque commerciale, atteinte à l’économie nationale et fuite fiscale.



Le séminaire était destiné au personnel du Service des Télécommunications, du Service Informatique, du Centre des Opérations, de l’Etablissement Régional de Télématique, aux officiers du Service Central de Supervision des Systèmes de la Direction Télématique, du Service Central des Télécommunications de la Direction Télématique, du Service Central Informatique de la Direction

Télématique, aux chefs d’Etat Major des Groupements Territoriaux de Tizi-Ouzou, bouira, boumerdes, ain Defla et Chlef, aux commandants d’Escadrons de Sécurité Routière de ces Groupements Territoriaux, aux chefs des Centres des Opérations des Groupements Territoriaux des wilayas suscitées, aux commandants des Compagnies Territoriales et leurs adjoints, aux chefs des sections Informatique et des

séminaire sur « la dynamisation de l’exploitation du système d’information

et de télécommunication de la Gn »

Dans le but de dynamiser l’exploitation du système d’Information et de Télécommunication dans les Groupements Territoriaux du

1erCRGN, mutualiser l’expérience acquise par les Centres des Opérations de la zone pilote, et sensibiliser les différents échelons

de responsabilité dans l’exploitation et la mise en œuvre du système, un séminaire

d’une journée ayant pour thème «La dynamisation

de l’exploitation du Système

d’Information et de Télécommunication de la GN», a été organisé

le 07/12/2011 par la Direction des Projets

au niveau du siège du Groupement Territorial

de Tizi-Ouzou.

Réalisé par la pca KHETAB Hayet



Télécommunications de ces Groupements, aux Chefs d’annexes de Soutien Multiformes des Groupements Territoriaux de Tizi-Ouzou et Chlef ainsi qu’au chef de brigade Territoriale du chef-lieu et son adjoint de chaque Groupement Territorial de Tizi-Ouzou, bouira, boumerdes, ain Defla et Chlef.

Cinq présentations riches et diversifiées ont été animées par des officiers et des gradés de l’arme ainsi que le Chef du projet d’accompagnement du changement du CENEaP.

Elles ont porté entre autre, sur la sécurité des systèmes d’information et l’importance de la sensibilisation, l’utilisation des différentes applications du système d’Information et leur exploitation au niveau des unités, à savoir: le RMS; l’application d’Identification à travers la station de travail au niveau de l’unité ou bien le Micro ordinateur embarqué MDC

sur le terrain; le WEb CaD; le Crome agent; la Messagerie Electronique; le système d’Information Géographique..etc ainsi qu’une évaluation de la mise en œuvre du Système d’Information: bilan et perspectives.

a l’issue de chaque présentation, un débat a été ouvert aux participants pour soulever leurs préoccupations et exposer les problèmes qu’ils ont rencontrés sur le terrain.

Cette rencontre a été très bénéfique et a permis à tous les participants à ce séminaire que ce soit des techniciens ou des éléments des unités l’opérationnelles d’échanger des informations sur l’exploitation et l’utilisation du système d’information ainsi que l’utilisation des équipements ou bien des applications qui le constituent. Elle leur a également permis d’avoir des connaissances sur des équipements installés dans le cadre de ce projet.


La gendarmerie nationale prévient, protège, comprend, agit, mais également porte aide et assistance quand le besoin se fait sentir. Dans ce contexte, en coordination avec l’association «TaRIK EL SaLaMa» ont organisé une visite à l’établissement hospitalier spécialisé en rééducation et réadaptation «aZUR PLaGE» dans le souci de partager les peines avec les handicapés à l’occasion de la journée mondiale des handicapés, fêtée le 03 décembre de chaque année.

Cette visite avait non seulement pour but de consolider les personnes aux besoins

LES GENDARMESPARTAGENT LES PEINES AVEC

LES PERSONNES HANDICAPEESRéalisé par le sous- lieutenant BOUDJEBIR Hanane

spécifiques et d’être à leur côté dans cette journée très spéciale mais également de sensibiliser les usagers de la route aux dangereux, risques des accidents de la circulation , les gendarmes



PARTAGENT LES PEINES AVEC LES PERSONNES HANDICAPEES


ont aussi réitéré leur appel aux automobilistes pour respecter le code de la route et éviter les causes qui engendrent ces accidents tel que l’excès de vitesse, le dépassement dangereux, l’implication des piétons, défaut de maitrise, le non respect de la distance de sécurité entre les véhicules …..etc. Ce qui engendre

d’autres victimes handicapées chaque année.

Dans ce contexte, un bilan des accidents a été présenté faisant état de 16343 accidents survenus durant les dix premiers mois de l’année 2011 qui ont fait 2525 morts et 29058 blessés.

Le nombre des handicapés blessés dans des accidents de la route augmente de plus en plus en algérie faute du comportement humain qui demeure le facteur causal prépondérant avec un taux estimé à 88%, un chiffre très inquiétant malgré les mesures préventives dissuasives et répressives prises par la gendarmerie nationale et d’autres autorités concernées par la sécurité routière.

a la fin de cette visite, des cadeaux

symboliques ont été offerts aux malades hospitalisés dans cet établissement qui étaient heureux, honorés de ce geste.


LA GENDARMERIE NATIONALE l’événement

Célébration de la journée mondiale des droits de l’enfant

Louable initiative que celle organisée par l’Administration du «SOS village d’enfants de Draria» qui, en guise de célébration de la journée mondiale des droits de

l’enfant correspondant à la date du 20 novembre de chaque année, a

Par :lieutenant Boumediene wahibaCellule Communication/CGN



LA GENDARMERIE NATIONALE l’événement


Organisé une journée de sensibilisation a été organisée pour débattre des conditions nécessaires à même de faire des enfants d’aujourd’hui, des femmes et des hommes de demain, aptes à assurer le développement de leur Patrie. Des invités ont été sollicités à prendre part à cet événement, entre autres, des représentants du Ministère de la Solidarité et du Ministère Délégué Chargé des affaires de la Femme et de l’Enfant. Figuraient également parmi l’assistance des représentants du Commandement de la Gendarmerie Nationale, des animateurs du mouvement associatif à titre du réseau Wassila.Dans leurs communication, chacun des intervenants a mis en évidence le rôle de l’institution, association dont il relève et les efforts fournis par celle-ci à même de prémunir la catégorie des enfants des dangers et autres fléaux sociaux qui influent la société. Tous les intervenants étaient en outre unanimes à dire que la personnalité de l’enfant se forme aux premières années de son existence, où l’autorité parentale assume un rôle primordial dans le choix de la discipline prodigue à son enfant, s’ensuit le rôle de l’institution éducatrice et enfin la société avec ses différentes couches et institutions collaborant en faveur de la consolidation des droits de l’enfant.

La Gendarmerie entièrement engagée à protéger l’enfantL’intervention du représentant de la Gendarmerie Nationale à l’occasion de cette journée de sensibilisation s’est axée sur le rappel, de prime abord, des missions de bases assignées à cette institution de sûreté publique à savoir assurer la protection du citoyen et de ses biens. Dans ce sens, la protection constitue l’une des missions qui revêt une importance capitale dans l’action menée par les unités de la Gendarmerie Nationale réparties à travers l’ensemble du

territoire du pays. Preuve en est, poursuit le représentant de la Gendarmerie, la création par cette Institution de trois(03) cellules de protection contre la délinquance sous ses diverses formes. actuellement opérationnelles, ces cellules ont été installées au niveau des trois mégapoles du pays, à savoir alger, Oran et annaba. Les éléments qui les composent ont fait l’objet d’une formation de perfectionnement s’articulant sur les différentes méthodes portant sur le comportement avec les mineurs, et donc des enfants. Ces trois cellules se composent également d’universitaires diplômés des filières de psychologie dont le rôle en matière de protection des enfants est d’une importance capitale. Le représentant de la Gendarmerie a aussi fait savoir à l’assistance que les cellules de protection contre la délinquance actuellement au nombre de trois seront généralisées dans un futur proche à travers les 48 wilayas du pays. Quant aux missions inscrites au programme d’action de ces cellules, elles s’articulent notamment à assurer la prise en charge des mineurs en difficulté pour d’une meilleure insertion dans leurs milieux familiaux respectifs. Il est également question de l’orientation des consommateurs de stupéfiants vers des centres hospitaliers dans le but de leur prodiguer des soins de désintoxication et ce, de concert avec l’autorité judiciaire.


Dans le souci est d’assurer le maximum de sécurité aux usagers de la route et mettre un terme à quelques agressions commises

sur des citoyens, le Commandement de la Gendarmerie nationale a créé des sections spécialisées dans la sécurisation des

LA GENDARMERIE NATIONALEcrée les

« Pelotons de l’autoroute Est-Ouest »

POUR PLUS DE SéCURITé POUR LES USAGERS DE LA ROUTE

Plus de sécurité et de quiétude pour les automobilistes sur l’autoroute Est-Ouest est l’une des missions principales et l’objectif premier de la stratégie de sécurité routière planifiée et mise en place par le Commandement de la Gendarmerie Nationale, depuis quelque temps.



LA GENDARMERIE NATIONALEcrée les

« Pelotons de l’autoroute Est-Ouest »


automobilistes de l’autoroute Est-Ouest, mais aussi pour diminuer le nombre des accidents de la route toujours en hausse.

«Plus de 45 pelotons d’une moyenne de 32 hommes et des moyens roulants sont mobilisés.

Cette mission depuis des mois de rejoindre leurs activités de routine de sécurisation des autres axes routiers que ce soit en matière de prévention contre les accidents de la route ou de lutte contre différentes formes de criminalité », a poursuivi le haut gradé.

Exprimant leur ras-le-bol quant à l’insécurité qui régnait sur l’autoroute, les citoyens ont porté plainte à maintes reprises contre ces jeunes délinquants qui ne dépassent pas les 25 ans. Les gendarmes ont pris les choses en main en créant des « pelotons de l’autoroute Est-Ouest », relevant des escadrons de sécurité routière de chaque groupement.

Ces pelotons sont opérationnels depuis le début du mois décembre et dotées de nouveaux moyens motorisés performants de dernière génération. Le matériel nouvellement acquis composé de motocyclettes, véhicules légers et SUV est visible pour les citoyens qui empruntent l’autoroute Est-Ouest.

M. M.


Réalisé par la pca KHETAB Hayet et lieutenant BOUDJEBIR Hanan

RE

PO

RTA

GE

Le Centre d’information et de coordination

routière de la


CICR/ GN CICR/ GN


Tenant compte de l’évolution socio-économique de notre pays et l’accroissement du parc automobile qui devient de plus en plus important chaque année, la gendarmerie nationale a développé de nouvelles méthodes de travail en intégrant dans ses dispositifs des moyens modernes liés à la régulation de la circulation et l’identification et la poursuite des contrevenants, des moyens qui s’avèrent désormais indispensables pour faire face aux défis de la sécurité en générale.

Devant cette situation de plus en plus complexe et un nombre d’accidents de la route qui ne cesse de s’accroitre, le commandement de la gendarmerie nationale a créé un centre d’information et de coordination routière dans le but de faire face à l’hécatombe routière.

Cet organisme a été créé en décembre 2008 puis mis sur pied en août 2010.Il s’articule autour de trois principaux bureaux à savoir le bureau Technique, le bureau analyse et Coordination Routière ainsi que la salle opérationnelle qui constitue le nerf de cet organisme.

Le centre a pour mission de recueillir, traiter et analyser les informations relatives à la sécurité routière pour en assurer une diffusion fiable de qualité en direction des usagers de la route ainsi que de Développer les circuits d’information nécessaires pour renseigner les pouvoirs publics sur l’état physique des routes et l’état

des équipements de signalisation et préconiser les mesures destinées à améliorer la circulation routière.il est également chargé d’ assurer la coordination entre les différentes unités en charge de la sécurité

routière, ainsi que concevoir, mettre en place et développer avec les organismes concernés les informations nécessaires au profit des usagers de la route pour assurer leur sécurité et permettre la fluidité

Le centre a pour mission de

recueillir, traiter et analyser les informations relatives à la

sécurité routière

CICR/ GN CICR/ GN

RE

PO

RTA

GE


du trafic à travers le réseau routier. Par ailleurs, le centre a pour mission d’informer les usagers de la route sur les difficultés liées aux conditions météorologiques, aux restrictions et aux perturbations de la circulation routière et autoroutière et finalement fournir l’aide et l’assistance nécessaires aux usagers de la route en difficultés et assurer le contrôle du trafic routier et le suivi des situations de crise sur le réseau routier et autoroutier sans oublier la notion de coordonner les actions de communication avec les différents partenaires chargés de la gestion de la sécurité routière.

Le centre recueille les informations par l’intermediaire de caméras vidéos de télésurveillance, des patrouilles et postes de la gendarmerie nationale

déployés sur le terrain, des usagers de la route et des organismes chargés de la gestion du trafic routier (Centre d’exploitation et d’entretien de l’autoroute).

Une fois l’information recueillie par le bureau information et communication, elle est transférée automatiquement au bureau analyse et réflexion qui va analyser et traiter ces données en profondeur grâce à deux sous systèmes ultra perfectionnés reliés directement au Runitel, à savoir le CaD ( système de gestion automatique des unités mobiles et le RMS ( système de gestion du renseignement). Ce dernier système qui existe, actuellement,dans toutes les brigades de la gendarmerie nationale et les véhicules de contrôle routier consiste en une grande

RE

PO

RTA

GE

CICR/ GN CICR/ GN


CICR/ GN CICR/ GN

RE

PO

RTA

GE

banque de données centralisées que les opérateurs du CICR consultent et enrichissent à chaque fois qu’une affaire est traitée. Cela permettra au chef du CICR d’être parfaitement au courant des détails du cas à traiter et l’aidera à prendre les mesures qui s’imposent.

Dans le cadre de l’accomplissement de ses missions, le CICR est doté de quatre stations CaD/RMS pour un suivi visuel effectif des unités sur le lieu de l’intervention, quatre stations de surveillance vidéo, Un grand écran mural pour affichage multiple ainsi que des moyens didactiques pour la

téléformation du personnel et la vidéo conférence entre décideurs.

Pour ce qui est des perspectives d’avenir, le CICR compte créer deux centres d’information et de coordination routière au niveau des wilayas d’Oran et de Constantine, et introduire des technologies de traitement d’images vidéo.

le RMS existe actuellement dans toutes les brigades et les véhicules de la gendarmerie nationale


Sciences Forensics & Technologies Sciences Forensics & Technologies

Lutte contre le blanchiment d’argent et lefinancement du terrorisme

Promulgation d’une nouvelle ordonnance.

À l’instar de la plupart des pays, l’Algérie s’est dotée, depuis 2002, d’une législation pour prévenir et lutter contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme LBC/FT, et a mis en place des structures

opérationnelles chargées de combattre le recyclage de l’argent sale.

Par le Commandant REMILI Ahmed



C’est ainsi que la Cellule de Traitement du Renseignement Financier (CTRF) a été créée

en 2002, par décret exécutif N° 02-127 du 07 avril 2002. Ce service administratif, relevant du Ministre des finances, constitue à la fois une centrale de renseignements financiers et une unité spécialisée de LbC/FT. a ce titre, elle est chargée de collecter et de traiter les déclarations de soupçon qui lui sont transmises par les assujettis et de transmettre, le cas échéant, le dossier correspondant au procureur de la République territorialement compétent, chaque fois que les faits sont susceptibles de poursuite pénale.

Pour mener à bien sa mission, la CTRF dispose de prérogatives spécifiques définies par Décret exécutif n°02-127 du 07 avril 2002, modifié et complété. Elle peut proposer tout texte législatif ou réglementaire ayant pour objet la LbC/FT.

Le dispositif national s’est renforcé en novembre 2004 par l’amendement du code pénal et du code de procédure pénal, puis en 2005 par l’adoption de la loi 05-01 relative à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Il a été, par la suite complété par le règlement 05-05 de la banque

d’algérie, et l’adoption de plusieurs textes règlementaires.

Toutefois, le dispositif national en matière de prévention et LbC/FT recelait quelques insuffisances liées principalement à l’évolution de la criminalité organisée transnationale et au développement de nouvelles techniques de blanchiment, notamment celles liées à la modernisation des systèmes bancaires et le recours aux technologies de l’information et de communication. aussi, nécessitait-il d’être révisé et amélioré au regard du contexte national et international et de l’évolution de la criminalité transnationale.

C’est dans ce contexte qu’intervient l’ordonnance n° 12-02 du 13/02/2012 modifiant et complétant la loi 05-01 du 06/02/2005 relative à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme .



L’ordonnance 12-02 du 13/02/2012 apporte des modifications profondes à la loi 05-01. En effet, 19 articles sont modifiés sur les 34 que compte la loi et 11 nouveaux articles sont introduits.

Les modifications apportées à la loi 05-01 touchent essentiellement les définitions du blanchiment de capitaux (article 02), la définition et l’incrimination du financement du terrorisme (article 03) et la définition des termes utilisés par la loi, notamment, les capitaux, l’infraction d’origine, les assujettis, l’institution financière, les entreprises et professions non financières, le terroriste, l’organisation terroriste, la personne politiquement exposée, l’organe spécialisé, les autorités compétentes, le gel et/ou la saisie et enfin le bénéficiaire effectif (article 04).

Le statut de l’organe spécialisé est lui aussi revu pour devenir une autorité administrative afin de bénéficier de plus d’autonomie et d’accroître ses capacités opérationnelles pour accomplir ses mission dans de meilleures conditions. Les personnels habilités à accéder aux informations confidentielles doivent, désormais, prêter serment devant la Cour. (articles 04

bis et 04 bis 1).

En matière de prévention de LbC/FT les assujettis doivent appliquer strictement les mesures de vigilance afin de s’assurer de l’objet et de la nature de l’activité ainsi que de l’identité du bénéficiaire effectif. les autorités ayant le pouvoir de régulation doivent, elles aussi, prendre les mesures nécessaires et adéquates afin de garantir un contrôle rigoureux de l’application de la loi en matière de prévention et de LbC/FT. a ce titre, les services financiers d’algérie Poste sont soumis aux règlements pris par le Conseil de la Monnaie et peuvent, légalement, être inspectés par les inspecteurs de la banque d’algérie lorsque ces derniers sont mandatés par la Commission bancaire. (articles 07, 07



bis, 09, 10, 10 bis, 10 bis 1, 10 bis 2, 10 bis 3, 10 bis 4, 11, 12 et 14)

En matière de détection, l’ordonnance donne plus de prérogatives à la CTRF en matière d’échange et de partage d’informations dans le cadre de la coopération intersectorielle (articles 15, 15 bis et 15 bis 1).

Elle donne aussi la possibilité au président du tribunal d’alger d’ordonner, sur demande de la CTRF, du procureur de la République près le tribunal d’alger ou des instances internationales habilitées, le gel et/ou la saisie pour une durée d’un mois renouvelable, de tout ou partie des capitaux ainsi que leur produits, appartenant ou destinés à des terroristes ou à une organisation terroriste (article 18 bis).

Une obligation est faite aux assujettis d’établir et de transmettre une déclaration de soupçon à la CTRF sur toute opération qui porte sur des capitaux paraissant provenir d’une infraction ou semblent destinés au bC/FT (articles 19 et 20). Par ailleurs, l’Inspection Générale des Finances, les services des impôts, des douanes et des domaines, le Trésor public et la banque d’algérie adressent un rapport confidentiel à la CTRF dès qu’ils découvrent, lors de leurs missions de vérification et de contrôle, l’existence de capitaux ou d’opérations paraissant provenir d’une infraction ou

semblant destinés au bC/FT. (article 21)

En matière de coopération internationale, plus de prérogatives sont accordées à la CTRF pour l’échange d’informations sous réserve de réciprocité et à condition de ne pas les utiliser à d’autres fins que celles prévues par la loi.(articles 25 et 30)

Dans le chapitre des dispositions pénales les amendes prévues par la loi 05-01 ont été multipliées par 10 afin de sanctionner sévèrement les assujettis (personnes physique ou morale), sans préjudice de peines plus graves. (articles 31, 32, 33 et 34).

L’ordonnance renvoie à plusieurs textes règlementaires qui devraient voir le jour dans les semaines à venir.


Dans le cadre d’une convention entre la CGN, le Groupement des Travaux Publics GESI-TP et l’UDES, un important projet a été lancé en 2009/2010. Ce projet a porté sur l’étude, la réalisation et la mise en marche au niveau de l’école des sous officiers judiciaires de ZERaLDa d’une

centrale photovoltaïque raccordée au réseau de puissance égale à 36 Kilowatts, d’un système collectif de production d’eau

chaude par énergie solaire et de 80 poteaux d’éclairages extérieurs par énergie solaire. Cette convention a porté également sur l’éclairage extérieur par énergie solaire de plusieurs stations de surveillance routières et auto routières tels que Zemmouri,

Technologies d’énergie de la Gendarmerie NationaleDans le cadre du partenariat entre le Commandement de la

Gendarmerie Nationale (CGN) et l’Unité de Développement des Equipements Solaires (UDES) sous la tutelle de Monsieur Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, plusieurs conventions et contrats ont été réalisés, entre 2006 et 2011, qui ont permis l’intégration de l’énergie solaire dans les infrastructures de la Gendarmerie Nationale (GN) et du MDN; dont certains équipements et systèmes de production d’électricité et d’eau chaude par énergie solaire sont innovants et ont été réalisés pour la première fois en Algérie à 100% par des cadres algériens.



Technologies d’énergie de la Gendarmerie Nationale


Kolea1, Kolea2, ain Lachiakh (ain Defla), Médéa,...etc.

La centrale électrique raccordée au réseau de puissance égale à 36 Kilowatts est une première en algérie et une nouveauté réalisée à 100% par une équipe de chercheurs, d’ingénieurs et de techniciens de l’UDES.

Cette centrale est constituée d’un champ de modules photovoltaïques qui converti l’énergie solaire en électricité qui est injectée dans le réseau basse tension (bT) de la salle omnisport (OMS). Pour relever ce défi, le groupe a opté pour la qualité technologique en matière de choix des équipements mettant de côté le profit et ce pour répondre aux exigences du cahier des charges de la GN: condition d’environnement sévère notamment température entre 0 et 50°, gradient de température élevé, degré d’humidité élevé, rafale de vent allant jusqu’à 150 Km à l’heure avec un minimum d’entretien et de maintenance.

Une autre importante réalisation innovante dans cette même école est celle de systèmes de production d’eau chaude sanitaire par énergie solaire pour alimenter une douzaine de douches au niveau des vestiaires de la

salle OMS et de la piscine, les cuisines du restaurant des sous officiers et la mosquée de l’école. Pour chaque infrastructure citée précédemment, le système de production d’eau chaude sanitaire par énergie solaire est constitué de plusieurs unités de chauffe eau solaire connecté entre eux en série et en parallèle par des canalisations, des clapets anti retour et des vannes choisis avec des matériaux spécifiques à très faible perte calorifique formant un champ de captation total de 42 m2. le champ de chauffe eau solaire pour chaque infrastructure est fixé au sol sur des dalles en béton avec des amorces et des tiges métalliques permettant de résister à des vents de vitesse supérieure à 150 Kilomètres à l’heure.


On appelle les acteurs du journalisme participatif «citoyen reporter». Il

s’agit d’internautes qui souhaitent témoigner sur ce qu’ils voient, sur ce qu’ils entendent ou sur ce qu’ils constatent. agoravox, Citizenside, iReport sont les principaux acteurs sur internet s’étant dotés d’une plateforme communautaire de Journalisme Participatif.

Parmi les domaines cités ci-dessus, c’est dans celui de l’information que l’on peut parler de journalisme citoyen.

abraham Zapruder, qui a filmé l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy avec sa caméra amateur, en 1963, a été présenté, dans un article de Libération paru en 2007, comme le premier (ou l’ancêtre) des «journalistes citoyens».

Le journalisme Participatif est un aspect particulier du média citoyen qui est l’utilisation des outils de communication, notamment ceux apportés par Internet (site web, blog, forum, wiki...), par des millions de particuliers dans le monde comme moyens de création, d’expression, de documentation et d’information. Il y a un certain renversement dans ce domaine, le citoyen passant du rôle de simple récepteur à celui d’émetteur, devenant lui même un média.

réalisé Par : la Pca Khetab Hayetcellule communication/cGn


LE JOURNALISME PARTICIPATIF



LE JOURNALISME PARTICIPATIFLe journalisme citoyen peut être défini comme l’action de citoyens jouant un rôle actif dans les processus de récupération, reportage, analyse et dissémination de l’actualité et de l’information, Le but de cette participation [des citoyens] est de fournir les informations indépendantes, fiables, précises, diverses et appropriées nécessaires. Le journalisme citoyen consiste généralement à fournir un moyen d’expression à des citoyens ordinaires, y compris des représentants des franges les plus marginales et sous-représentées de la société.

Face à la concentration des médias que certains considèrent comme une menace pour la liberté d’expression et la diversité des opinions, certains experts en la matière appellent à la constitution d’un Cinquième Pouvoir, portant les revendications de la société civile et utilisant les canaux de diffusion du journalisme citoyen.

Journalisme participatif, comment s’est-il développé ?Le développement du Web, et notamment de plates-formes de publication faciles d’usage, ont accéléré la tendance et permis

l’apparition de nombreux sites Web donnant la parole à des citoyens ordinaires ou des militants profitant de ce nouveau média : «en offrant des plates-formes techniques accessibles à tous, les blogs et wikis favorisent ce que nous appelons le «journalisme citoyen», par ce biais nous pouvons tous passer du statut de lecteur à celui de rédacteur, de commentateur des événements. Position éminemment satisfaisante».

Le journalisme participatif est devenu un média prisé notamment pour l’information de proximité, se concentrant sur une ville, parfois même sur un quartier, pour donner un éclairage différent à la vie d’une communauté dont certains membres s’estiment ignorés par les médias existants ou délaissés par les institutions locales.



La plupart des courants de pensée ont également recours à ces possibilités, parfois de façon organisée sous forme de tribune plus que spontanément citoyenne.

débat sur la pertinence et l’infleunceLe fait que de nombreux journalistes citoyens sont souvent des militants pour une cause ou une idéologie particulière a soulevé des critiques.

De nombreux médias traditionnels accusent nombre de partisans du journalisme citoyen de manquer de d’objectivité nécessaire à la pratique du journalisme. Le journalisme citoyen est également très critiqué pour son non respect des trois fondements de base du journalisme professionnel à savoir: l’ éthique, l’économie et l’épistémologie. Par ailleurs, des études universitaires qui ont passé en revue de nombreux sites web citoyens ont jugé sévèrement le contenu et la qualité de nombre d’entre eux.

Même les partisans les plus ardents du journalisme citoyen reconnaissent les faiblesses et les limites : «L’avantage, c’est qu’un citoyen journaliste sera capable de publier quelque chose qu’un journal aura peur d’imprimer. L’inconvénient, c’est que la vérification des faits se fait après publication»

La théorie générale du journalisme actif

remonte aux années 1920, lorsque des journalistes et écrivains américains qui travaillaient sur les manques et les problèmes de la démocratie publient des études dans lesquelles est explorée l’attitude du citoyen face à l’engagement politique où on y décrit une tendance de plus en plus forte des américains à se désengager du débat public et de la politique pour se contenter d’un simple rôle de spectateur.

Ces études tentent alors de trouver une explication, puis une alternative à ce phénomène et c’est là qu’émerge l’idée d’un journalisme médiateur : celui qui fera le lien entre la sphère civile et la sphère dirigeante, tout en intégrant le citoyen afin de le rendre plus responsable, plus impliqué dans les choix de la société.

ainsi est né le concept du journalisme participatif. L’idée originale étant d’inclure le citoyen dans le processus de production et de diffusion de l’information. Proposer des sujets, participer aux débats de l’actualité ou exprimer des besoins de couverture de faits.

Cependant, à l’heure actuelle, les supports web ne représentent pas les médias de masse. ainsi, la plupart des participants se retrouvent en marge, obligés de commenter l’actualité sur des supports alternatifs.

«Le journalisme participatif est devenu un média prisé notamment pour l’information de proximité»



Ce type de participation ne concerne pas la presse, la radio et la télévision, elle ne modifie en rien les habitudes de ces médias et ne remet aucun modèle traditionnel en question.

Le citoyen peut participer au processus d’information, mais à l’écart. En fait, les structures participatives du web réduisent la collaboration entre sphère médiatique et sphère publique à une simple expression de besoin d’information.

On est donc bien loin des pensées établies il y a plusieurs années, bien loin d’un nouveau journalisme. La plupart des sites qui se

réclament du «journalisme participatif» ne sont en fait qu’un mode parallèle de commentaire, une sorte de café du commerce où l’on discute, approuve ou désapprouve le travail des médias traditionnels.

ainsi, pour exercer pleinement le journalisme participatif, il faut que le citoyen ait un accès direct aux médias de masse, une utopie. Car internet a justement éloigné cette idée là, il a concentré le citoyen dans un «garde-fou» et il permet encore aux journalistes et aux médias traditionnels de pratiquer les mêmes modes d’information que l’on critique tant.


our votre itinéraire, privilégiez les principaux axes qui sont les premiers à être déneigés ou traités au sel contre le verglas.

Préparez votre voiture pour le trajet. Faites le plein afin d’éviter la panne sèche et de pouvoir vous chauffer. En effet, si vous êtes immobilisé dans votre véhicule par temps

La conduite en hiver est l’ensemble des règles particulières à appliquer lors de la conduite d’un véhicule automobile par un temps hivernal (froid, neige, brouillard, verglas...).

Les principales difficultés de ce mode de conduite sont dues à la diminution de l’adhérence. En effet, le verglas et la neige diminuent sensiblement les frottements entre le pneu et la route, d’où les risques de dérapage accrus

Quelques conseils de conduite Prévention:

Conseils pratiques Conseils pratiques


temps

d’intempériesen

de neige, le chauffage sera vital et il ne fonctionne que lorsque le moteur est en marche. au ralenti, un moteur consomme à peu près 2 litres de carburant par heure. aérez régulièrement l’habitacle pour renouveler l’air. Pensez à la pression de vos pneus, ne les sur/sous gonflez pas. allumez tous vos feux pour vérifier qu’ils fonctionnent bien. Si vous avez des chaînes dans votre coffre, jetez y un coup d’oeil pour vérifier qu’elles soient en bon état et bien adaptées à vos roues.

Emportez de quoi vous couvrir (couverture, plaid etc...), une bouteille d’eau et de quoi manger, surtout si vous avez des enfants à bord. Enfin, ne partez pas sans que vos vitres soient nettoyées des traces de givre et de buée, permettant par la même occasion de vérifier le bon fonctionnement de votre aération.

Sur la route, inutile de conduire comme un pilote du trophée andros, même si le décor s’y prête. adoptez une allure très raisonnable, si vous ne voyez à priori pas de verglas, une plaque peut quand même être sous vos roues. anticipez par une conduite

douce pour éviter d’avoir à freiner fortement, accélérer franchement ou donner des coups de volant. Maintenez une distance de sécurité plus importante avec le véhicule qui vous précède (trois grandes lignes minimum).

Utilisez vos clignotants à bon escient pour prévenir les autres usagers de vos directions. Corrigez la hauteur de vos phares afin de ne pas gêner les autres automobilistes. Par temps de neige ou brouillard, allumez vos phares anti-brouillard ou vos feux de croisement et votre feu de brouillard arrière, mais éteignez ce dernier en cas de pluie.

Bonne route et surtout restez vigilants.

Conseils pratiques Conseils pratiques


Championnat national inter unités de natation au niveau de l’école supérieure de la GN des Issers du 06 au 07/12/2011.

L’école supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers a eu l’honneur

d’organiser le championnat national de natation inter unités de la gendarmerie nationale le 06 et le 07 décembre 2011.

Le coup d’envoi officiel de cette manifestation a été donné par le colonel

ABDAOUI Abdelhafid, directeur des ressources humaines de la Gendarmerie

nationale.

sports

14 équipes ont participé à cette manifestation, à savoir :- L’équipe du commandement des gardes frontières.- L’équipe du 1er commandement régional de la GN de blida.- L’équipe du 4eme commandement régional de la GN de Ouargla.- L’équipe du 5eme commandement régional de la GN de Constantine.- L’équipe de la division des services communs/CGN.- L’équipe de l’école de police judiciaire /GN de Zéralda.- L’équipe de l’école des sous-officiers /GN de Sétif.- L’équipe de l’école des sous-officiers /GN de bel abbes.- L’équipe de l’école des sous-officiers /GN de Miliana.- L’équipe du Centre de formation /GN de Touggourt.- L’équipe du Détachent spécial d’intervention/GN de Mehalma.- L’équipe du GIR 2 /GN de Reghaia.- L’équipe du centre de formation /GN de Hammam Debagh.- L’équipe de l’école supérieure de la GN des Issers.

Le championnat qui a lieu au niveau de la piscine semi-olympique, est supervisé Par le service Central du sport et arbitré par un groupe d’arbitres relevant de la ligue de natation de la Wilaya de boumerdes.

Des sélections participantes se sont disputées les titres de deux disciplines de natation :

Le 50m nage libre individuelle.Le 200m nage libre par équipe.


Championnat national militaire inter écoles du volley-ball du 20 au 22/02/2012.

L’école supérieure de la Gendarmerie nationale des Issers a eu l’honneur d’organiser du 20 au 22 fevrier écoulé le championnat national inter écoles du volly-ball dont les défferentes étaps se sont déroulés à la salle omnisports sous l’encadrement d’une commission technique et arbitrés par un groupe d’arbitres faisant partie de la ligue de wilaya du volly-ball de la wilaya de Boumerdes

sports

Cette manifestation avait pour objectif de réaliser trois points essentiels qui constituent les objectifs généraux de cette compétition, à savoir :Elever le niveau de disponibilité physique

et mentale des athlètes qui aura pour résultat de promouvoir le niveau de préparation et le degré de disponibilité de combat des unités.Renforcer les liens d’amitié et de fraternité

entre les jeunes des unités de la GN.

ancrer les valeurs sportives au sein des sportifs ainsi que la bonne conduite et le fair-play qui caractérise la personnalité militaire.En fin, le sport demeure un aspect important

de la vie du militaire et ce en lui donnant la priorité à travers la généralisation et l’élargissement de la pratique sportive dans le cadre des programmes d’entrainement de l’éducation physique et sportive.les résultats obtenus étaient comme suit:

classement en individuel classement par équipe50 M 200 M

1ère place obtenue par l’EOA DIAB Younes du l’ES/GN/Issers.

2éme place obtenue par le Gendarme DEKHIL Abdelkader du l’ESO/GN/Sétif.

3éme place obtenue par le Gendarme HAMAZ Nadjib du DSC/CGN/Chéraga.

- 1er place: l’ES/GN/Issers.

- 2éme place: DSC/CGN/Chéraga.

- 3éme place: 1ère CR/GN/Blida.


sportssports

10 équipes representent les hautes écoles de l’armée nationale Populaire ont participé à ce championat, il s’agit de:

- L’équipe de l’école supérieure de la GN des Issers.- L’équipe de l’academie militaire inter-armes dev CHERCHELL.- L’équipe de l’école nationale de préparation en études d’ingéniorat de ROUIba.- L’équipe de l’école militaire poly- technique de bORDJ EL-baHRI.- L’équipe de l’école supérieure de defense aérienne du territoire de RéGaIa.- L’équipe de l’école supérieure militaire de TaMaNFOUST.- L’équipe de l’école supérieure de l’administration militaire d’ORaN.- L’équipe de l’école d’application de défense anti-aérienne de LaGHOUaT.

Cette manifestation qui s’est déroulées dans une bonne ambiance avait pour objectif la concrétisation de trois principes essentiels: élever le niveau de disponibilité physique et mentale des sportifs qui aura un impact positif sur le niveau de préparation et le degrés de disponibilité de combat, renforcer

les liens d’amitié et de la fraternité entre les jeunes des écoles de l’aNP, ancrer les valeurs sportives au sein des sportifs et la bonne conduite et le faire-play qui caractérise la personnalité militaire. Le sport demeure un aspect important de la vie du militaire, de ce fait, la généralisation et l’élargissement de la pratique sportive et sa promotion s’inscrit dans les préoccupations prioritaires de l’aNP.

La prévention routière

un socle principal pour la prevention routiere · 2 revue de la gendarmerie nationale mars 2012 n°...

Documents