QSP N°36 Novembre ­ Décembre 20131

N°36

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www.on6nr.be

La revue des radioamateurs francophones et francophiles

Novembre ­ Décembre 2013

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 20132

EDITORIAL...........................................................................................3

NEWS ET INFOS.................................................................................4

ACTIVITES OM...................................................................................10Nouvelles d'OUFTI­1...............................................................10Bourse radioamateur de la section RST...............................10Nouvelles d'ON4UB................................................................11

UTILISATION D'UN CASQUE HI­FI POUR LE TRAFIC...................12

ANTENNE 432MHz, 7 ELEMENTS....................................................14

ALLIAGE DE BRASURE TENDRE....................................................16

IL Y A 20 ANS : ON0NRevue de novembre 1993............................20

OUFTI­1, PREMIER NANO­SATELLITE BELGE...........................18

IL Y A 20 ANS : ON0NRevue de décembre 1993............................20

SITES A CITER...................................................................................21

LES SCHEMAS de QSP.....................................................................22LLee VFO 20m Howes CFW20.............................................22

LES JEUX de QSP.............................................................................25Le composant mystère d'octobre.........................................25Le composant mystère de novembre­décembre...................27Le Radio­Quiz.......................................................................27

LES BULLETINS DX ET CONTESTS...............................................29

HI ........................................................................................................31

PETITE ANNONCE .........................................................................32

QSP­revue est un journal numériquemensuel gratuit et indépendant, rédigébénévolement par des radioamateurspour les radioamateurs et SWL.Il parait la dernière semaine de chaquemois.

Pour recevoir QSP­revue :L'annonce de parution est envoyée parE­mail. L'abonnement est gratuit. Pourvousinscrire ou vous désinscrire,envoyez un mail à ON5FM.

on5fm@dommel.beon5fm@scarlet.beon5fm@uba.be

EDITIONEditeur responsableGuy MARCHAL ON5FM73 Avenue de CampB5100 NAMURBelgiqueTél.: ++3281 307503Courriel:on5fm@uba.be

MISE EN PAGEChristian Gilson ON5CGon5cg.christian@gmail.com

ARTICLES POUR PUBLICATIONSA envoyer par E­mail, si possible àl'adresse du rédacteur. La publicationdépend de l'état d'avancement de lamise en page et des sujets à publier.Chaque auteur est responsable de sesdocuments et la rédaction décline touteresponsabilité pour le contenu et lasource des documents qui lui sontenvoyés.

PETITES ANNONCESElles sont gratuites. A envoyer par E­mail à l'adresse du rédacteur.

ARCHIVES ET ANCIENS NUMÉROSLes archives des anciens numéros sontdisponibles au format PDF sur le site duradio club de Namur :www.on6nr.be ainsi que surwww.on6ll.be

Photo de couverture :Le drapeau flotte fièrement sur l'antenne verticale de Jean ON6LF !Magnifique photo qui nous réchauffera un peu le coeur en attendantque les jardins et le ciel reprennent des couleurs...

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Elle fut fructueuse pour QSP qui a bienpris sa vitesse de croisière sous lahoulette de Christian ON5CG quiassure la mise en page et la rédactionde plusieurs rubriques. Nous avons eude beaux articles et les amis del'ARALA 44 nous ont ouvert leursarchives. Nous les en remercionschaleureusement au nom de l’équipemais aussi ­et surtout­ en votre nom carvous allez découvrir des articles depremier choix ! Et nous commençonsdéjà ce mois­ci.

Ce numéro est aussi le dernier de QSP­revue qui devient <QSP Magazine> dèsjanvier. Depuis octobre, nous offrions lapossibilité aux commerciaux d'insérerune demi­page (gratuitement) depublicité. Un seul nous a contacté... Ilest fort probable que QSP n'est pasencore connu suffisamment dans lesmilieux professionnels. A vous d'entoucher un mot ceux que vousfréquentez ­et dont vous êtes satisfaits­et qui ont pignon sur... Internet. C'estgratuit et ça leur rapporte gros !

QSP va aussi encore évoluer et devenird'aspect plus professionnel ; sans pourautant ressembler une publicité degrande surface ! Nous devons encoreen discuter et prendre une décision surla présentation à adopter.

Traditionnellement, ce que nousproduisions était basé sur laprésentation des anciennes publicationsfrançaises comme Radio­Plans. Depuis,la technique a évolué et nous offre bienplus de possibilités et d'opportunités.Mais nous n'avons d'autre but que deproduire quelque chose d'agréable lire,qui donne le désir d’être feuilleté et delaisser son regard vagabonder de pageen page.

Le dernier numéro de l'année esttraditionnellement celui où on voussouhaite de bonnes fêtes. Noël est unefête religieuse, celle de la crèche avecle "petit Jésus" mais aussi la fête laïquede la paix, de l'amitié, de la solidarité,de la fraternité et de la réconciliation.Des qualités naturellement inhérentesnotre hobby... Elle se passera aussidorénavant quelques jours après le<futur> anniversaire de la mort deNelson Mandela. Tout un symbole quinous y préparera parfaitement.

Alors, un joyeux Noël tous, de bonnesfêtes de fin d'année (sans trop d'abus,HI) et PAIX SUR LA TERRE AUX OMDE BONNE VOLONTE !

ON5FM

Editorial

Et une année de plus !

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News & Infos

Une équipe dechercheurs d'Osaka a

développé une sourisd'ordinateur contrôlée parla respiration

Une équipe de l'Université Kinki àOsaka a développé une technologiepermettant de contrôler le curseurde l'ordinateur simplement par larespiration.Le 28 octobre 2013, les chercheursdu Human Ergonomic EngineeringRobotics Research Lab dudépartement science et technologiepour la biologie de l'Université Kinkiont présenté leur projet auxjournalistes. L'appareil prend laforme d'un tube en plastique placédans la bouche de l'utilisateur. Lecapteur situé dans le tube mesurela puissance et la durée de chaquerespiration que le systèmeinterprète comme des commandes.En faisant varier ces paramètrespour les inspirations et lesexpirations, l'utilisateur peutcommander à la souris d'aller versle haut, le bas, à gauche ou àdroite. En soufflant ou inspirantd'une manière plus forte, il estpossible de cliquer ou doublecliquer.

Les chercheurs ont développé cettetechnologie pour permettre auxpersonnes handicapées desmembres supérieurs d'avoir accèsaux fonctionnalités nécessitant unesouris, notamment les journauxd'actualités en ligne et les réseauxsociaux.Source : BE Japon numéro 668(8/11/2013) ­ Ambassade de Franceau Japon / ADIT ­http://www.bulletins­electroniques.com/actualites/74284.htm

Un wobulateur avec leRaspberry Pi

Wobulateur ? Mais qu’est­ce ? C’estun appareil qui génère un signal defréquence variable. On s’en sertpour mesurer la bande passanted’équipements haute fréquence parexemple… Tom Herbison aconcocté cet appareil à base deRaspberry Pi à l’occasion duconcours organisé pour lecentenaire de la RSGB (RadioSociety of Great Britain).Il présente sur son blog les étapesde la réalisation de cet outilindispensable pour tout amateur dehautes­fréquences.Le principe du wobulateur (on peutl’écrire aussi vobulateur) est lesuivant : Un signal en forme de dentde scie fait varier la fréquence d’unVCO (Voltage controlled Oscillator =Ocsillateur contrôlé par tension). Latension en dent de scie estégalement utilisée pour commanderla déviation horizontale (X) del’oscilloscope.La fréquence produite par le VCO(à tension constante) est appliquéeau circuit à mesurer. La sortie de cecircuit attaque l’entrée verticale del’oscilloscope. Celui­ci est chargéd’afficher la courbe résultante, c’està dire l’amplitude du signal à lasortie en fonction de la fréquencedu VCO.schematicEt le Raspberry Pi là­

dedans me direz­vous ? Hop là levoici ! Il va piloter un module DDS(Direct Digital Synthesis = Synthèsede fréquence directe) qui vaattaquer le circuit à mesurer. Lasortie du circuit à mesurer estappliquée à un convertisseurAnalogique­Numérique (ADC) ADC­Pi de ABelectronics. Le module PiADC comporte un amplificateur àgain programmable intégré (PGA)pour chaque canal d’entrée avec ungain sélectionnable de 1x, 2x, 4x et8x, ce qui augmente efficacement lasensibilité des canaux d’entrée parun facteur allant jusqu’à 8. Ainsi, laplage de tension d’entrée du canal1 sera d’environ 0 à 250 mV cc si legain maximum est sélectionné, quiest du même ordre de grandeur quela tension maximum délivrée par lemodule DDS. Un détecteurd’enveloppe transforme le signal HFpour pouvoir attaquer le moduleADC. []

ConclusionAppareil de mesure indispensabledès qu’on aborde le domaine de lahaute fréquence, le wobulateurprésenté ici a tous les avantagespour séduire un (radio­)amateur :faible coût, faible encombrement,réalisation modulaire…La réalisation de Tom devrait seretrouver dans beaucoup deshacks… Il développe son projetsur Elektor Labs et le code sourceest sur Github.Source :http://www.framboise314.fr/un­wobulateur­avec­le­raspberry­pi/#Principe_du_Wobulateur

Nouvelles généralesCompilées par ON5CG

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Singapour découvre desfailles de sécurité dans

l'iOS d'Apple

Des chercheurs d'I2R (Institute forInfocomm Research) [1], l'un desinstituts d'A*STAR (Agency forScience, Technology and Research)[2], ainsi que des chercheurs deSMU (Singapore ManagementUniversity) [3], ont découvert desfailles de sécurité dans l'iOSd'Apple, qui est aujourd'huiembarqué sur plus de 500 millionsd'appareils.Ces failles permettaient auxapplications tierces de passer outrele code de sécurité, d'interférer oude prendre la main sur les fonctionsliées à la téléphonie et d'envoyerdes tweets sans l'autorisation del'utilisateur. Les chercheurs ontinformé Apple qui à corrigé cesfailles de sécurité avant lelancement mondial de l'iOS 7 enseptembre dernier. Les applicationstierces sont toutes les applicationsqui ne sont pas développées parApple, qui permettent d'étendre trèslargement la polyvalence dessmartphones, mais posentégalement des problèmes desécurité.Les chercheurs ont réaliséplusieurs attaques, comme passeroutre le code PIN, bloquer lesappels entrants et envoyer destweets non autorisés. Pourrésoudre ces problèmes, l'équipe aproposé des méthodes pouraméliorer les processus devérification et corriger les faillesrévélées. Apple a d'ailleurs reconnula contribution des équipesd'A*STAR et de SMU.

Le professeur Steven Miller, vice­président de la recherche et doyende la faculté des systèmesd'informations de SMU, a déclaré :"La sécurité des informations est undomaine clé de la recherche au seinde la faculté des systèmesd'informations de SMU. Noséquipes de chercheurs n'ont passimplement pour but d'impacter lemonde de la recherche, ils visentune communauté plus large. Je suisheureux de savoir que noschercheurs ont tiré profit de notreexpertise pour améliorer la sécuritédes espaces virtuels et de renforcerla protection des données et de lavie privée sur les plateformes iOS."Source : BE Singapour numéro 87(4/11/2013) ­ Ambassade de Franceà Singapour / ADIT ­http://www.bulletins­electroniques.com/actualites/74240.htm

Le téléphone tatoué surle larynx

Téléphoner depuis un stade enéruption ou dans une rue bruyantepourrait bientôt être aussiconfortable que depuis son salon.Motorola vient en effet de déposerun brevet de microphone doté d'unémetteur­récepteur et de sonalimentation, conçu pour être «tatoué » sur la gorge. Pour l'instant,moins qu’un tatouage, l’appareilévoque davantage une carteArduino collée au cou.L'Electronic Tattoo 110 captedirectement les vibrations du larynx,mais pas le bruit environnant. Cemicro fonctionne commeaccessoire sans fil, et peutcommuniquer non seulement avecun téléphone mais aussi tout autreappareil portable commandé par lavoix. Selon Motorola, ce dispositifpourrait être utilisé commedétecteur de mensonges. Difficilede téléphoner à son patron pourprétendre être malade afin de restercouché dans ces conditions, lessignaux envoyés par la peau d'unepersonne nerveuse ou en train dementir étant différents de ceuxd'une personne disant la vérité...L’alimentation serait assurée parl’énergie solaire ou par une batteriequi « pourrait ou pourrait ne pasêtre rechargeable ». Selon le mêmebrevet, cette technique pourrait êtreappliquée à « d’autres animaux »sans autre précision. Peut­être unpas de plus vers ces êtres

bioniques dont le bien­fondé restediscutable.Source :http://www.elektor.fr/nouvelles/le­telephone­tatoue­sur­le­larynx.2599558.lynkx

UDOO, l'ordinateur "fait­maison", voit le jour

UDOO est un mini­ordinateur quicombine Raspberry Pi et ArduinoDue dans une plate­forme qui peutfonctionner aussi bien sous Linuxque sous Android et qui se prête àune multitude d'usages. UDOOtrouve des bailleurs de fonds et dessupporters sur Kickstarter.Arduino est un circuit imprimé enmatériel libre sur lequel se trouveun microcontrôleur qui peut êtreprogrammé pour recevoir ettransmettre des signaux électriquesà des fins de commande etcontrôle, de manière à effectuer destâches très diverses comme ladomotique (le contrôle desappareils domestiques ­ éclairage,chauffage...), le pilotage d'un robot,etc. C'est une plateforme basée surune interface entrée/sortie simple. Ilétait destiné à l'origineprincipalement mais pasexclusivement à la programmationmultimédia interactive en vue despectacle ou d'animationsartistiques.

Le Raspberry Pi est un nano­ordinateur monocarte à processeurd'architecture ARM conçu par lecréateur de jeux vidéo DavidBraben, dans le cadre de safondation Raspberry Pi2. Cetordinateur qui a la taille d'une cartede crédit, permet l'exécution deplusieurs variantes du systèmed'exploitation libre GNU/Linux etdes logiciels compatibles. Il estfourni nu (carte mère seule, sansboîtier, alimentation, clavier, sourisni écran) dans l'objectif de diminuerles coûts et de permettre l'utilisationde matériel de récupération.L'idée d'UDOO est naît en 2012d'une rencontre entre Daniele Conti,Antonio Rizzo et Maurizio Caporali,

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qui s'interrogeaient sur lesdifficultés que les étudiants et leschercheurs rencontraient pourconstruire des prototypesinteractifs. Ils ont commencé àpenser à une interface quicombinerait la simplicité d'Arduinopour la gestion des détecteurs avecla flexibilité et la puissance d'unordinateur standard. UDOO est néà cette époque, puis, l'équipe s'estagrandie avec des experts répartisentre l'Amérique du Nord etl'Europe. Comme l'explique la pagedu projet, l'idée est de rendrechacun, ou le plus grand nombre,capable de réaliser ses idées,même ceux qui ont peu deconnaissances en programmationou en matériel informatique.L'objectif est de permettre à qui lesouhaite de commencer unprocessus d'alphabétisation sur lestechnologies numériques.Derrière UDOO, il n'y a passeulement l'enthousiasme pour les"jouets technologiques", mais uneréflexion profonde sur la sociétémoderne. La logique derrière lestechnologies informatiques estsouvent étrangère à ceux qui n'ontpas suivi de cours d'informatique.C'est pour cette raisonqu'apprendre à programmer, oumieux encore, apprendre à inventerest une compétence nécessaire

pour les natifs du numérique, demême qu'apprendre à lire et àécrire l'a été pour les générationsprécédentes. UDOO permet defaire un pas en avant, dans cedomaine.Source : E Italie numéro 120(2/12/2013) ­ Ambassade deFrance en Italie / ADIT ­http://www.bulletins­electroniques.com/actualites/74462.htm

Quand les régulateurschuchotent

Analog Devices, éminentfournisseur de semi­conducteurspour applications de traitement designal de hautes performances,propose deux nouveaux régulateurs

à faible chute de tension (LDO) et àniveau de bruit ultra­bas poursystèmes radiofréquences (RF).Les régulateurs ADM7150/1 sontalimentés sous une tensioncomprise entre 4,5 et 16 V, délivrentjusqu'à 800 mA de courant de sortieet supportent des tensions de sortiede 1,5 à 5,0 V. Les régulateurs LDOaffichent une densité spectrale debruit (NSD) de 1,4 nV/√Hz entre 10kHz et 1 MHz, ce qui réduit defaçon significative le bruit de phasedes oscillateurs commandés entension (VCO) dans les radioshyperfréquences point à point, lescommunications par satellite,l’électronique de défense et autresapplications large bande. Outre ceniveau de bruit extrêmement faibleentre 10 kHz et 1 MHz, l’utilisateurpeut réduire sensiblement le bruiten 1/f à faible fréquence (8 nV/√Hzà 100 Hz) par l’ajout d’uncondensateur CBYP (bypass).En plus du très faible niveau debruit, les régulateurs ADM7150/1atteignent des réponses entransitoires de ligne et de charge derespectivement 0,01 %/V et 0,4 %/Aavec une capacité céramique de 10µF en sortie. Les nouveauxrégulateurs LDO présententégalement un taux de réjection dubruit d’alimentation (PSRR) élevé, àsavoir supérieur à 90 dB entre 1 et100 kHz, et supérieur à 60 dB à 1MHz. Cette caractéristique permetde filtrer efficacement lesondulations résiduelles durégulateur à découpage, ainsi quede réduire les dimensions descomposants de filtrage discretshabituellement utilisés.Source :http://www.elektor.fr/nouvelles/quand­les­regulateurs­chuchotent.2594016.lynkx

Les nouvelles pucesd'Intel de conception

irlandaiseIntel a choisi l'Irlande pourconcevoir sa prochaine 4èmegrande gamme de processeurs àpuce connue sous le nom de Quark,

en battant la concurrenceisraélienne, malaisienne et lesEtats­Unis. C'est la première foisque le produit principal d'uneentreprise internationale de hautetechnologie est de conceptionirlandaise ; les grandes entreprisestechnologiques américaines tellesqu'Apple et Dell conçoiventgénéralement leurs produits auxEtats­Unis, la fabrication et lesupport technique étant ailleurs.Les produits incorporant la puceQuark seront conçus en Irlande etfabriqués aux Etats­Unis.Philip Moynagh, le directeur de laligne de produits Quark, travailledepuis 20 ans dans les installationsde fabrication d'Intel à Kildare dansla grande banlieue de Dublin : ilexplique que leur proposition n'avaitpas été la moins chère, que lesincitations fiscales n'avaient pas étédes facteurs déterminants maisqu'elle avait été la plusconvaincante car lui et son équipeont montré qu'ils pouvaientrassembler un personnel pouvantapprendre et s'adapter. Pour unprojet de cette importance, il fallaitêtre capable de passer rapidementde la recherche à la conception, audéveloppement et à la fabrication.

L'aspect crucial de la propositionirlandaise a été une équipe de baseavec tous les aspects nécessairessur place et un historique favorable.Environ 70 personnes en Irlandeont participé à la conception de lapuce et de son logiciel.Cette nouvelle puce est conçuepour être utilisée pour alimenter lesobjets du quotidien, de latechnologie portable (comme lesmontres et les lunettes intelligentes)aux climatiseurs et à la gestiond'une flotte de voitures. Leprocesseur sera vendu à un prixrelativement bon marché pourpermettre à d'autres entreprises dedévelopper de nouveaux systèmesautour d'elle.Source : BE Irlande numéro 50

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(18/11/2013) ­ Ambassade deFrance en Irlande / ADIT ­http://www.bulletins­electroniques.com/actualites/74349.htm

Plus de tension et moinsde pertes pour les PoE

PD

Grâce au LT4321, un circuit decommande de ponts de diodesidéales, il est possible de remplacerdeux redresseurs à ponts de diodespar des redresseurs à MOSFETcanal N, à faibles pertes, afind'accroître la tension disponible etréduire la puissance dissipée dansles composants alimentés surEthernet (PoE PD). Lesspécifications IEEE 802.3 PoEnécessitent des PD acceptant destensions continues DC de toutepolarité sur leurs entrées Ethernet.Le LT4321, double pont actif, debon rendement en puissance et defaible volume, redresse et combineen douceur la puissance provenantdes paires de données et despaires de réserve en une seuletension de sortie de polaritéadéquate. L'amelioration durendement est telle qu'on peut sepasser de radiateur. La taille et lecoût s'en ressentent.Une pompe de charges, intégrée,sert de pilote de grille pour les huitMOSFET canal N, à faiblerésistance à l'état passant, sansnécessiter de condensateursexternes. Bien que conçue pour lesPoE PD, la gamme de tensions defonctionnement du LT4321, de 20 Và 80 V, rend le composantcompatible et robuste pour lesapplications utilisant des batteriesou des alimentations réversibles.Les broches de validation à doublepolarité procurent au LT4321 lapossibilite d'une commande d'arrêt,réduisant son courant depolarisation à 32 µA à partir d'uncourant de fonctionnement de 0,5mA.Source :

http://www.elektor.fr/nouvelles/plus­de­tension­et­moins­de­pertes­pour­les­poe.2588554.lynkx

Toshiba conçoit unebatterie de 22 h

d'autonomie pour son PCNotebookToshiba mettra sur le marché le 22novembre un PC notebook de 13,3pouces possédant une batterie de22 heures d'autonomie, parmi 10modèles de PC. Tous les modèlesde la gamme "dynabook Kira" dePC notebook auront une autonomiede plus de 14 heures notammentparce qu'ils possèdent "la 5èmegénération de processeur Intel Corei5" qui consomme très peud'énergie, tout comme les écransLCD rétro éclairés dont ils sontéquipés.Origine : BE Japon numéro 670(22/11/2013) ­ Ambassade deFrance au Japon / ADIT ­http://www.bulletins­electroniques.com/actualites/74424.htSource : Journal Tech­on, article du19/11/20213 de Motoyuki Oishi,Nikkei Monozukuri,

http://techon.nikkeibp.co.jp/english/NEWS_EN/20131119/317120/

Fer à souder alimenté parUSB

Ce fer à souder, conçu pour desréparations rapides aussi bien sur leterrain qu'au labo, et plusspécialement pour les CMS, estalimenté par le port USB d'unordinateur portable ou par une pilede 9 V. Une pile de 9 V... vousfroncez le sourcil ? Le fer atteint480 °C en 20 secondes et saconsommation reste basse : 5 W aulieu de 40 W pour des outilscomparables. Son prix est modéréaussi.Spécifications en bref :­ Panne de qualité professionnelle­ Éclairage de la zone de travail parLED blanche ultra­brillante

­ Interrupteur marche/arrêt sécurisé­ Portatif ­ Capuchon protecteur­ Bon rapport qualité/prixCet outil proposé par MegaPowerconvient aussi bien pour ledépannage dans l'industrie quepour la fabrication, mais il séduiraaussi tous les passionnésd'électronique.Source :http://www.elektor.fr/nouvelles/fer­a­souder­alimente­par­usb.2552397.lynkx

Le soleil recréé dans uncoffrage de béton : ITER

Comme évoqué dans le BEPortugal N°56, Margaret Tchatcher,Mikaïl Gorbatchev, FrançoisMitterand et Ronald Reagan ontémis l'idée de produire de l'énergieà partir de la technologie de fusionnucléaire à des fins pacifiques en1985. Aujourd'hui, cette idée estconcrétisée par l'ITER, le RéacteurExpérimental ThermonucléaireInternational, situé à Cadarache enProvence, France. Aujourd'hui, ceprojet implique sept acteurs :l'Union Européenne, les Etats­Unis,la Russie, la Chine, le Japon, l'Indeet la Corée du Sud. Ensemble, ilsreprésentent 50% de la populationmondiale et 80% du PIB mondial.La fusion nucléaire est basée sur lafusion d'un atome de deutériumavec un noyau de tritium. Cettefusion se produit à 150 millions dedegrés Celsius, c'est­à­dire dix foisplus chaud qu'au coeur du soleil.Pour réaliser cette fusion, il estnécessaire de maintenir le plasmaengendré par cette températuredans un tokamak. Cette machinecrée des champs magnétiquescapables de maintenir le plasmaconfiné. Les aimants capables degénérer ces champs magnétiquescoûtent, à eux seuls, un tiers dubudget total du projet, soit 13

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millions d'euros et pourraientstopper un porte­avion en 20secondes à une distance de 500mètres.L'Institut Supérieur Technique, àtravers son Institut des Plasmas etde Fusion Nucléaire (IPFN) a déjàgagné huit contrats avec ITER pourla manipulation à distance(manipulation au coeur dutokamak), pour l'acquisition dedonnées et pour le diagnostic dutokamak. Le contrat le plus récentest de sept millions d'euros, dontdeux millions pour la participationportugaise, le contrat ayant étéremporté par un consortium avecl'Université Technique duDanemark. Il y a 25 chercheurs etingénieurs portugais qui travaillentsur ces projets. La Fondation pourla Science et la Technologie (FCT)du Portugal ne propose pas debourses spécifiques pour ITER.Cependant, l'IPFN a remportéquarante bourses de doctorat eningénierie et sciences des plasmaset en dédiera un tiers aux projetsITER.La fusion nucléaire peut fournir 500mégawatt (MW) d'énergie avec unpotentiel initial de 50 mégawatt,c'est­à­dire trois fois plus d'énergieque dans le cas de la fission. Deplus, la combustion d'un gramme

de combustible de fusion libèreautant d'énergie que la combustionde 8000 tonnes de pétrole. Avec lafin des réserves de pétrole etl'aggravation des altérationsclimatiques dues aux émissions dedioxyde de carbone issues de lacombustion des énergies fossiles,beaucoup de scientifiques croienten la fusion comme étant l'énergiedu futur. La fusion nucléaire produiteffectivement des déchetsradioactifs mais la périoderadioactive du tritium, c'est­à­dire letemps nécessaire pour que la moitiéde ces atomes se désintègrentnaturellement, est en moyenne dedouze ans, au contraire del'uranium (235U = 710 millionsd'années) et du plutonium (244Pu =80.8 millions d'années).Depuis 2013, le futur site dutokkamak est en construction et estmaintenant visibleAu jour d'aujourd'hui, deuxPortugais travaillent constammentsur le site de Cadarache. AiresSoares, chef de la section finances& budgets et Luis Cabral pour laconception des installations. Il y a1000 personnes qui travaillent sur lesite chaque jour, de 34 nationalitésdifférentes et d'ici 2015, ils seront3500 employés.Source : BE Portugal numéro 61

(18/11/2013) ­ Ambassade deFrance au Portugal / ADIT ­http://www.bulletins­electro­niques.com/actualites/74359.htm

Le chaînon manquantentre Raspberry Pi et

ArduinoAvez­vous déjà entendu parler deGertduino, une nouvelle carted'extension pour le Raspberry Pi ?Gertduino est comparable à unecarte Arduino UNO et se connecte àpratiquement n'importe quelle carteArduino existante. Elle présentegrosso modo les mêmes fonctionsque l'Arduino Uno, et même un peuplus.Elle a été développée par Gertvan Loo, l'inventeur de la carteGert.Elle est placée directement sur leRaspberry Pi, et contient les deuxcontrôleurs ATmega328 et 48,programmables tous les deux via leRaspberry Pi en utilisant l'interfacegraphique Arduino ou le compilateurGCC Atmel. Gertduino proposeaussi une horloge en temps réel(RTC), une interface IrDA, unconvertisseur de niveaux RS232 etune sauvegarde par batterie del'alimentation de l'Atmega48.Gertduino est disponible pourseulement 23,70 €. Le logiciel libre

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Crédits : Fusion for Energy

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et des tutoriels sont disponibles.Gertduino est idéal pour laformation et le développement.Cette carte réunit les avantages deRaspberry Pi et les ressources descommunautés de développeursArduino. Désormais, grâce àGertduino, il est possible deconnecter au Raspberry Pi(presque) tous les shields Arduinodisponibles, ce qui représente unpotentiel énorme.Source : http://www.elektor.fr/nou­velles/le­chainon­manquant­entre­raspberry­pi­et­arduino.2610297.­lynkx

Résonateurs augraphène,

miniaturisation extrême

Résonateurs au graphène,miniaturisation extrêmeLe plus petit

émetteur FM du monde a été testérécemment par des chercheurs del'University of Columbia (New York)pour démontrer les propriétés dugraphène comme matériaurésonateur électro­mécanique ditNEMS (NanoElectroMechanicSystem). On connaît déjà leursgrands frères, les MEMS(MicroElectroMechanic System)utilisés notamment dans lesaccéléromètres qui équipent nostablettes et nos téléphones tactiles.Le nouveau résonateur estconstitué d'un ruban de graphènede quelques micromètres delongueur, suspendu au­dessusd'une électrode de grille métallique.La résonance naturelle du ruban degraphène, liée à ses dimensions,détermine ici la fréquence d'unoscillateur RF à réaction auquel ilest incorporé. Une tension decommande appliquée à l'électrodede grille déforme la bande degraphène, ce qui modifie safréquence de résonance. L'injectiond'un signal audio a ainsi permis deproduire un signal FM de 100 MHz.Ce résonateur minuscule a toutesles chances de contribuer à uneréduction considérable del'encombrement des futursappareils mobiles deradiocommunication. En effet, lesrésonateurs à quartz discretsutilisés actuellement sontencombrants, alors que ce nouveautype de résonateur permettrait leurintégration sur une puce.Pour tester leur résonateur dansdes conditions extrêmes, sesinventeurs n'ont pas hésité àmoduler l'oscillateur FM augraphène avec la célèbre chansonGangnam Style depuis un iPhone.Même ce traitement pourtantsauvage n'a pas eu raison de la

bande de graphène. Celle­ci, contretoute attente, a continué derésonner vaillamment. Le signal apu être capté en bonne et dueforme sur un récepteur radio FM or­dinaire.Source : Elektor

World Radio TVHandbook 2014

We are delighted to announce thepublication of the 2014 edition ofWRTH.For full details and to order a copyplease visit our website atwww.wrth.com where you can alsoorder the B13 WRTH BargraphFrequency Guide on CD and as adownload.I hope you enjoy using this newedition of WRTH and the new CD.Best regardsNicholas Hardyman

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QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201310

ActivitésOM

Cher amis radio­amateurs,

Vous aurez peut­être entendu parler d'OUFTI­1 dans la presse hier ou aujourd'hui. En effet, nous avons publié hierun communiqué de presse sur l'intégration du satellite. (La section de Gembloux avait d'ailleurs eu la primeur del'information le mois dernier.)Au cas où cela vous intéresserait pour vos sites ou publications, je vous joint le communiqué de presse. Vous ytrouverez des liens vers des photos professionnelles et vers deux sympathiques vidéos. N'hésitez pas à le fairesuivre. Je l'ai déjà transmis à ON6TI pour le site de l'UBA.

Je suis bien sûr à votre disposition si vous aviez des questions.Avec tous mes 73s,

Amandine ON4EYA

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Nouvelles d'OUFTI­1

Comme d'habitude la section RST organise sa bourseradio­amateur traditionnelle.Le radio club de St­Trond tient à cette occasion de vousinviter ainsi que tous les membres de votre section.Tout le monde est le bienvenu le dimanche 1 décembre2013 de 09.00 à 15.00 heures.Notre bourse se déroule dans un vaste espace bienchauffé.Petite restauration sur place.Parking gratuit dans la proximité du cafetaria (± 500places).

Cafetaria VeemarktSpeelhoflaan 2Sint­Truiden

Fréquence d'appel: 145.275 MHzGPS 50°49'15"66N ­ 5°11'28"54E

Meilleures 73, dans l'espoir de pouvoir vous accueillirnombreux à notre bourse radio­amateur.

Bart ­ ON5ARECM ­RSTon5are@uba.bebart@on5are.beTel: +32 11 88 25 64GSM: +32 477 54 48 75

Bourse radioamateur de la section RST

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A partir de ce jour, nous allons essayer de présenter unbulletin ON4UB plus axé sur notre hobby qu'est leradioamateurisme. Beaucoup de sujets intéressantssont à développer : la propagation, les antennes, lesessais de transceiver et autres matériels radio, lescoupleurs, les essais personnels, etc, etc...

Nous savons que beaucoup d'OM sont à l'écoute dubulletin, bien plus que ceux que vous pouvez entendrelors de la ronde des QSO.

Ces OM restés dans l'ombre ont certainementbeaucoup de choses à nous relater sur leursexpériences en cours ou passées, dans les domainesqui nous préoccupent tous.

C'est pourquoi, nous demandons à toutes et tous denous faire parvenir vos diverses expériences relatives ànotre hobby, et nous faire part de vos réussite demanière à faire passer le message au monderadioamateur.

Vous pouvez nous soumettre des propositions surcertains sujets que vous auriez envie d'entendre surl'air. Vous pouvez également nous poser des questionsrelatives au hobby, nous nous efforcerons d'y répondredans nos bulletins. Ces questions peuvent être d'ordretechniques, mais aussi en relation à l'UBA ou l'IBPT, vosquestions trouverons une réponse et nous lapartagerons via notre bulletin de manière à informé unmaximum de personne.

C'est ainsi que nous voyons le bulletin de ON4UBdorénavant, axé sur les principales informationsrelatives à notre passe temps.

Vous pouvez donc dès maintenant nous faire parvenirvos réflexions sur ON4UB@UBA.BE, ou, pour lebulletin francophone, ON6GMT@UBA.BE.

N'oubliez pas que ON4UB vous permet également dediffuser vos différentes activités personnelles ou desection, de manière à motiver un maximum deradioamateur.

Nous comptons sur vous afin de rendre ce bulletin bienagréable à suivre, et vous remercions déjà pour vousnouvelles informations.

Le prochain bulletin d'ON4UB, ce dimanche 17novembre 2013, commencera un chapitre sur lapropagation des ondes électromagnétiques.

Nous espérons vous retrouver ce dimanche lors de laronde des QSO afin de connaître votre point de vue surce nouveau bulletin.

Bien à vous,

ON6GMT,Manager ON4UB,DM (a.i.) BXL capitale et BW.

Émission hebdomadaire,dimanche matin,10h00 ­ bulletin néerlandophone, suivis de la ronde desQSO néerlandophone,10h30 ­ bulletin francophone, suivis de la ronde desQSO francophone.Fréquence : 3700 kHz

Nouveau : contenu d'ON4UB

ON4UB est la station nationale de l'UBA, l'association des OMs belges mais tous les OMs sontles bienvenus !

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201312

Nos casques hi­fi le sont vraiment ; même pour les"bas de gamme". Et en plus, ils sont à très large bande! A un point tel qu'on entend très bien les résidus de50Hz de l'alimentation et le souffle produit par lachaîne de réception. Là, un filtre à quartz ou un DSP,aussi efficaces qu'ils soient, sont impuissants. Uneseule solution : un filtrage à l'entrée du casque.Voici un petit montage très simple et bon marché.Comme vous pouvez le constater, il ne comprend quedeux composants et deux prises. En plus, il assureral'adaptation entre un jack stéréo de 3,5mm et le jackmono de 6,35mm de la sortie casque de votrerécepteur (ou vice­versa).

La réalisationIl faut vous procurer un condensateur de 10µF nonpolarisé (au moins 6V). Ils sont identiques auxcondensateurs électrolytiques mais n'ont pas derepérage du pôle négatif. On en trouve principalementen série avec les tweeters des haut­parleurs devoiture. Si vous n'en avez pas, deux condensateurs de22µF peuvent être montés en tête­bêche (en sérieavec les deux pôles ­ raccordés ensembles).

Ensuite, il y a la self. Elle est basée sur une self dedéparasitage d'alimentation à découpage à bonmarché ; celles qui sont constituées d'une mincelamelle de fer doux enroulée à la manière d'un mètreruban. Elles ont une perméabilité de +/­5000 et nesont vraiment valables qu'en BF. On les reconnaît aufait que leur "enrobage" est constitué de deux coquillesemprisonnant le ruban de fer : on distingue une fentesur le pourtour et à l'intérieur de l'anneau. Ces selfssont souvent constituées de deux enroulementsséparés par une pièce transversale en carton, en fibreou en plastique. On les trouve dans lesmagnétoscopes, les TV, les lecteurs de DVD, etc. Lesselfs miniatures utilisées en électronique se saturenten général trop vite pour notre usage.Il vous faudra mesurer l'inductance d'un desenroulements à l'aide d'un inductancemètrequelconque et compter le nombre de spires (c'est àdire le nombre de fois que le fil passe dans le centre del'anneau). Elle sera de 1 à 5mH. Celle dont vous aurezbesoin sera de 1,25mH.

Utilisationd'un casquehi­fi pour le trafic

Par GUY ON5FM

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201313

La formule ci­dessous vous donnera le nombre despires à bobiner (ou, plus souvent, à conserver) :

Avec :Nx : nombre de spires de votre bobinage de 1,25mHLx : inductance désirée, 1,25mH dans notre cas.La : inductance actuellement bobinée (que vous venezde mesurer)Na : le nombre de spires que vous avez compté.Lx et La sont exprimées en mH.

Vous voyez, c'est tout simple ! Et il n'est pasnécessaire que le fil utilisé soit de gros diamètre : du3/10 suffit déjà amplement pour un casque.A vous maintenant de laisser travailler votreimagination pour la construction. Nous avons glissé lecondensateur de 10µF dans le trou du tore et inséré letout dans une minuscule boîte en plastique. Vouspouvez même faire un montage "volant" en terminantle filtre par deux bouts de câble quelconque surlesquels seront soudées les fiches nécessaires. Vousgainez alors le tout dans une gaine en PVCthermorétractable. Les tores en feuillard de fer sontindestructibles et ne craignent absolument pas leschutes.Pour notre part, nous avons muni la sortie du filtred'une prise cinch et fabriqué un câble de raccordementterminé par la fiche correspondant au RX que nousutilisons, soit un jack mono de 3,5mm ou de 6,35mmselon le cas. Ainsi, l'adaptation est rapide et simple.

Test et conclusionLe plus simple est de brancher votre casque à votrerécepteur réglé sur une bande calme : 10 ou 15m.Vous poussez le volume afin de bien entendre lesouffle puis vous intercalez le filtre : le souffle doit êtrefortement atténué.Calez­vous sur une station broadcast (au­dessus de7.200 KHz, par exemple) : le son est plus percutant etplus agréable à écouter s'il s'agit de voix humaine.En SSB, on ne le remarque pas. Mais si vous enlevezle filtre, là, vous entendrez la différence !

ConclusionUn petit "bidule" qui vous permettra de profiter nonseulement du confort des casques hi­fi mais aussi deleur faible taux de distorsion et de leur excellentrapport qualité­prix.

Faire de l'écoute dans un milieubruyant

Le trafic est pénible lors des field­days, des contestsou, tout simplement, lorsque vous faites de l'écoute oudu trafic en numérique ou en CW dans la pièce deséjour de votre appartement car les bruits de voix sontperturbants.Voici une solution simple et efficace (comme d'hab. HI!). On trouve des mini­écouteurs qui sont muni d'unembout s'introduisant dans le conduit de l'oreille. Ilssont très sensibles, riches en graves et isolent trèsbien des bruits ambiants (de 15 à 20dB environ). Maisce n'est pas suffisant. Chaussez donc, par­dessus, uncasque anti­bruit industriel dont les coquilles sontcopieusement rembourrées tant intérieurement qu'encoussinets. Ils ont un facteur d'isolation de +/­30 à35dB. Avec les écouteurs, cela fait au moins 40dB.Cela veut dire que le bruit ambiant sera réduit à ... 1%seulement !Oui, cela fonctionne aussi lors des conflits conjugaux.HI 3x

Bonne écoute dans le calme et la quiétude

ON5FM

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201314

Avant de partir en congés, il me fallait réaliser unepetite antenne directive pour la bande 70cm. Je m'étaisfixé la limite d'un mètre pour le boom et 6 ou 7éléments. Bref de quoi faire du portable sans tropm'encombrer.Je me suis dirigé d'abord vers un design DK7ZB 7éléments que j'ai modifié pour les raisons suivantes :Le boom dépassait légèrement la cote maxi du mètre.Les éléments ne traversaient pas le boom.

Après quelques simulation avec Mmana logiciel deJE3HHT) je me suis donc lancé dans la réalisation de

ce qui suit. Il faut noter que comme les élémentstraversent le boom et qu'ils y sont connectés, il y a lieud'allonger légèrement la longueur de ceux­ci parrapport à la simulation.

Pour cela j'ai utilisé encore un bout de logiciel écrit parDL6WU. Le boom est fait en profilé carré de 16 mm decoté, les éléments sont en tube de 8mm extérieur et5mm intérieur environ (y mpris le dipôle).La fixation des éléments est très simple. J'ai enfoncéen force des inserts laiton taraudés pour du diamètre 4mm. Un bout de tige fileté vissé dans un demi élément

Antenne 432MHz,7 éléments

Par F5LUZ

Article tiré du CQ 44 de septembre 2007 avec l'aimable autorisation du rédacteur

Vue de l'antenne montée

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201315

passe à travers le boom percé puis est vissé sur l'autredemi élément. Le dipôïe est monté dans une boite'plexo' dont le fond est découpé. Cette découpe permetau dipôle d'être pratiquement dans le plan des autreséléments.Pour information, j'ai comparé l'antenne boudin de monportatif et cette antenne. J'ai relevé un gain de 14 dBen faveur de l'antenne directive... Les 12 dBi donnéspar MMANA semble donc de l'ordre du possible.

L'adaptation d'impédance est simplement réalisée parun stub 75 ohms. soudé directement en parallèle. Lestub est constitué par 12cm de coaxial 75 Ohms court­circuité, soudé aux bornes du dipôle attention lalongueur peut varier suivant le coefficient de vélocitédu cable !) Avec cette adaptation d'impédance trèssimple, le ROS mesuré donne 1,3 à 430MHz, 1,2 à432 MHz et 1,5 à 435 MHz.

Les cotes sont les suivantes

J'ai agrandi le diamètre intérieur de chaque élémentperceuse et forêt de 5.5mm) afin de pouvoir rentrerles inserts en laiton.Pour le dipôle, j'ai enfoncé un bout bois dans les 2

morceaux pour garantir l'alignement. De plus il n'y apas de problème, le bout de bois peut toucher le boomsans risque. La boite plexo a été largement rempli decolle à chaud pour maintenir le tout en place. La ficheN est maintenue par 3 rivets sur le couvercle, tandisqu'une cosse est maintenue vissée dans le 4eme trou.2 cosses sont rivetées au dipôle sur lequel estraccordé le coax 50 fl vers la prise N et vers le stub.Le rapport avant arrière donnés par MMANA peutparaître monstrueux 74 dB !), il ne s'agit en fait qued'un cas particulier d'atténuation à 435 MHz. Il tomberarapidement à 23 dB à 430 ou 438.5 MHz.

Voila j'espère que cette construction vous intéressera.J'ai pu utiliser cette antenne en /TK et j'ai fait quelquesQSO avec le continent en 432 MHz dont F1AXS 59++de part et d'autre QRD 327 km avec 20W. Vous pouveztoujours réaliser 2 ou 4 de ces petites antennes puisles coupler après coup.

Bonne réalisation !

Photo du boitier Plexo et stub d'adaptation

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201316

Depuis longtemps on utilise le brasage tendre pourassembler de petites pièces, et plus fréquemment,pour l'assemblage de composants électriques ouélectroniques au moyen d'un alliage métallique à baspoint de fusion. Cette opération communémentappelée "soudure", est le plus souvent faite avec un ferà souder.

Les alliages courants sontde 30% d'étain et 70% deplomb pour la soudure ditedes plombiers. Lacomposition de 40%d'étain et 60% de plombconstitue la "soudure"courante de qualitéélectricité. En électroniquel'on préfère l'alliagecontenant 60% d'étain et40% de plomb, c'est unalliage idéal qui fond à unetempérature modérée de+190°C (a/liage en phaseliquide), la fluidité et lamouillabilite de l'alliagefondu sont bonnes. Après refroidissement l'alliageprésente un aspect brillant.Le plomb, métal lourd et nocif, est depuis longtempsutilisé dans de nombreuses applications industrielles,mais chaque fois que l'on peut, on le remplace pard'autre éléments. Par exemple, la peinture blanche àbase de carbonate de plomb appelée céruse estinterdite d'emploi depuis 1915 et est remplacée parl'oxyde de zinc ou de titane. Le remplacement duplomb dans les alliages pour brasures tendres estétudié depuis longtemps. S'il est relativement facile

d'élaborer des alliages de caractéristiques semblables,il est difficile de réaliser ceux­ci à un coût économiqueacceptable sur le plan industriel. De plus il faut tenircompte de la disponibilité de certains métaux oumétalloïdes dans la nature. En 1993 un congrès sur lebrasage en électronique s'est tenu à Lannion (Côtes

d'Armor).Il fut établi que l'alliagefutur seraitessentiellement à based'étain, métal ayant unpoint de fusion peu élevé+232°C (plomb fusion à+327°C). L'alliageclassique étain 60% etplomb 40% est en phasesolide (phase appeléesolidus) à +183°C etliquide (phase appelléeliquidus) à +190°C. Ilconvenait donc de trouverun alliage auxcaractéristiquesmécaniques et de fusionun peu semblables. Cette

année 2006 une directive proscrit l'emploi du plombdans les alliages de brasure utilisés en électroniquecourante et industrielle. Les nouveaux alliages sansplomb ont une température de fusion plus élevée (30degrés de plus), la mouillabilite est moins bonne etl'aspect plus mat. Autre élément non négligeablesurtout sur le plan industriel, le coût est beaucoup plusimportant dans un rapport de 2 à 5 fois plus élevé quele classique étain plomb.

Alliages debrasure tendre

Par Michel F1GVU

Article tiré du CQ 44 de septembre 2006 avec l'aimable autorisation du rédacteur, d'après l'article publié dansCQ22, bulletin de l'ARACA 22

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201317

Les alliages retenus ont les compositions suivantes­ Etain 96,5% + argent 3,5% (fusion +221°C) ;­ Etain 96,5% + argent 3% + cuivre 0,5% (pourmachine à souder à la vague ou au bain)­ Etain 96% +argent 4% (fusion +230°);­ Etain 99,7% + cuivre 0,3% ;­ Etain 95,5% + argent 3,7% + cuivre 0,7% (fusion+217°C) ;­ Etain 99% + cuivre 1% (fusion +230°C) ;­ Etain 97% + argent 2,5% + cuivre 0,5% ;­ Etain 99,25 % + cuivre 0,75% ;­ Etain 97% +cuivre 3% (pour plomberie) ;

Tous ces alliages sans plomb sont présents chez lesdistributeurs de matériels électriques et électroniques.

Rappel des alliages d'usage courant­ Etain 60% + plomb 40% ;­ Etain 63% + plomb 37% ;­ Etain 60% + plomb 38% + cuivre 2% (Excellentequalité "soudure" trimétal) ;­ Etain 62% + plomb 36% + argent 2%. (Utilisé pour"soudure" des composants CMS, présence d'argentconseillée).

Les crèmes à braser pour composants CMS sontdisponibles avec ou sans plomb, faire très attention aupoint de fusion. Certains composants peuvent êtreendommagés en raison de la température de fusionplus élevée des alliages courants sans plomb.

Autres alliages­ Etain 95% + antimoine 5% (fusion +240°C) ; Oétain96,5% + argent 3,5 % (fusion +221°d) ;­ Etain 99,3% + cuivre 0,7% (fusion +227°C) ;­ Etain 92% + bismuth 7,5% + cuivre 0,5% (fusion+210°C) :­ Etain 42% + bismuth 58% (équivaut à l'alliage étain60% + plomb 40%, non réalisable en raison de larareté du bismuth) ; ­ Indium + plomb (soudure sur or,

circuits hyper fréquence or sur alumine, étain­p/omb :INTERDIT) ;­ Indium + plomb + argent (soudure sur or, circuitshyperfréquence or sur alumine, étain­p/omb :INTERDIT) ;­ Or 80% + étain 20% (fusion +280°C fermeture deboîtiers de circuits intégrés avec couvercle métal) ;­ Etain 95% + antimoine 5% cadmium 95% + argent5% ;­ Alliage de Darcet (plomb + étain + bismuth) fusion +94°C­ Alliage de Wood (plomb + étain + bismuth +cadmium) fusion +70°C.

Nota : l'ajout de mercure est possible pour abaisserencore le point de fusion, amalgame très fusible.Opération à déconseiller formellement en raison ducaractère très toxique des vapeurs de mercure.L'alliage de zinc + étain est utilisé pour "souder"l'aluminium.L'eutectique gallium + indium, est liquide à latempérature ambiante. Cet alliage avec un peu d'étainsert actuellement de liquide thermométrique enremplacement du mercure pour les thermomètresmédicaux. (thermomètre au "gallium")

ConclusionLes alliages contenant du plomb sont en voie dedisparition, il va falloir utiliser des produit plus coûteux,plus difficiles à mettre en oeuvre. II est importantd'avoir un fer à souder bien chaud pour réduire aumaximum le temps de soudure de certains composantsne supportant pas bien les températures élevées. Il n'apas été mentionné l'usage du décapant indispensablepour l'opération de brasage, le plus connu est lacolophane (extraite de la térébenthine) la colophanepeut être activée avec des halogènes (chlore, etc..)mais aussi d'autres produits chimiques plus ou moinscomplexes parfois nocifs, la plupart du temps lesbrasures ("soudures") sont à âme(s) décapante (s).

Il y a 20 ans...ON0NRevue de novembre 1993

Rien de particulier à signaler ; seulement des infos qui avaientune certaine importance à l'époque mais maintenant tombées endésuétude.

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201318

OUFTI­1 (acronyme pour Orbital Utility ForTelecommunication Innovations), premier CubeSatbelge, vient d’être assemblé au Centre Spatial deLiège (CSL­ULg), le modèle de vol est maintenant prêtà passer toutes les étapes de tests de l’ESA préalablesà sa mise en orbite, en principe au début 2015.

OUFTI­1, une « première » pour laBelgique à plusieurs titres.En effet, il s’agit du premier satellite immatriculé enBelgique, entièrement conçu et construit en Belgiquesous management belge. C’est également le premiersatellite complet assemblé au sein du CSL­ULg. C’estaussi le premier satellite embarquant dans l’espace unrelais de la technologie numérique D­STAR, le nec plusultra pour la communauté mondiale des radioamateurs.OUFTI­1 est avant tout un projet pédagogique, initié ausein de la Faculté des Sciences appliquées, qui apermis à une cinquantaine d’étudiants ingénieurs del’ULg (et aussi de Hautes Ecoles*) de participerconcrètement à la conception et à toutes les étapes dedéveloppement du CubeSat, encadré par le staffacadémique et scientifique. La « matière grise »d’OUFTI­1 se trouve en grande partie dans lacinquantaine de travaux de fin d’études réalisés par lesétudiants ingénieurs et informaticiens.L’Agence Spatiale Européenne (ESA) a retenu enjuillet dernier le projet OUFTI­1 parmi les missionsCubeSat de son programme d’éducation Fly Your

OUFTI­1,premiernano­satellitebelge, prêt pourl’espaceConçu par les étudiants ingénieurs de l’ULg, le CubeSat sera également le premier relais spatial pour lestélécommunications radioamateurs D­STAR.

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201319

Satellite! (FYS). Afin de se conformer aux échéancesde l’ESA, l’équipe OUFTI­1 a tout mis en œuvre pourproduire en un temps record la documentationvolumineuse requise, y compris la procédure ultra­détaillée de toutes les phases d’asemblage du modèlede vol. « Qu’il s’agisse d’un grand satellite ou d’unpetit, comme un CubeSat, les exigences sontidentiques », explique le Pr Jacques Verly (Laboratoired’Exploitation des Signaux et des Images ­ INTELSIG),à l’origine du projet OUFTI­1 à l’ULg. Le 6 novembre,le modèle de vol OUFTI­1 a subi avec succès le TestReadiness Review (TRR) en conditions ambiantes auCSL­ULg. Cette première TRR sera suivie d’unedeuxième qui ouvrira alors la porte aux campagnesd’essais en ambiance spatiale à l’ESTEC ( EuropeanSpace Research & Technology Centre ) à Noordwijk(Pays­Bas).« Selon le calendrier de l’ESA, nous espérons unlancement d’OUFTI­1, en même temps que d’autresCubeSats européens, dans une période de six moiscentrée sur le 1 er janvier 2015, mais nous neconnaissons pas encore le lanceur qui sera retenu parl’ESA », souligne le Pr Gaëtan Kerschen (Laboratoirede Structures et Systèmes spatiaux), autreresponsable académique du projet. « Avec OUFTI­1,l’ULg épouse parfaitement la philosophie stratégiquepoursuivie par l’ESA avec le programme FYS. En effet,le but explicite de ce programme européen, lancé auprintemps dernier, est d’assurer une continuité enmatière de ressources humaines de jeunes ingénieursformés aux techniques spatiales. Dès son origine enseptembre 2007, OUFTI­1 avait bien une vocationéducative. Il était donc un candidat idéal pour lenouveau programme FYS, et ce d’autant plus qu’il étaitparvenu à stade avancé de maturation technologique», observe le Pr Jacques Verly.« Les CubeSats sont de plus de plus reconnus commepouvant jouer un rôle nouveau et décisif dans laréalisation d’expériences scientifiques et techniquesdans l’espace, et leurs capacités sontcomplémentaires à celles des gros satellitesconventionnels. OUFTI­1 étant le premier nano­satellite belge, l’ULg joue dans notre pays un rôle depionnier pour l’utilisation de cette technologie auservice des futures missions scientifiques spatiales »,ajoute le Pr Jacques Verly. « Cela conforte aussi laposition wallonne dans le secteur spatial et la qualitéde notre formation. Rappelons, à ce propos, que l’ULgest la seule université en Belgique francophone àorganiser le master ingénieur civil en Aérospatiale et lemaster en Sciences spatiales », ajoute le Pr GaëtanKerschen.

OUFTI­1 : premier relais spatial destélécommunications D­STARLe D­STAR ( Digital Smart Technologies for AmateurRadio ) est un protocole numérique (« digital ») detélécommunication radioamateur développé en 2001par l’association des radioamateurs japonais (JARL).Le D­STAR présente de nombreuses caractéristiquesintéressantes : une communication numérique via radioet/ou internet, le routage complet via internet, ouencore la possibilité de roaming à travers le monde surla base des indicatifs radioamateurs. Le système D­STAR classique est développé pour trois bandes defréquences : VHF (145 MHz), UHF (435 MHz) etUHF/bande L (1,2 GHz). Les deux bandes utilisées parOUFTI­1 sont : UHF (435 Mhz) pour le lien montant (dela Terre vers le satellite) et VHF (145 Mhz) pour le liendescendant (du satellite vers la Terre).OUFTI­1 est le premier relais D­STAR situé dansl’espace. Il complétera le réseau existant de relaisterrestres et offrira à la communauté desradioamateurs une solution complémentaire pourétablir des communications D­STAR sur de longuesdistances, y compris en utilisant le roaming et internet.En ce qui concerne les relais terrestres, le relais D­STAR de l’ULg, installé depuis 2008 au Sart Tilman, estle premier en Belgique et le 5 e en Europe connecté àl’internet.Une fois en orbite, OUFTI­1 sera contrôlé au sol depuisl’ULg. Une station de réception et émission dessignaux de satellites radioamateurs est déjàopérationnelle au sein de la Faculté des Sciencesappliquées de l’ULg. Celle­ci permettra d’envoyer lestélécommandes à OUFTI­1 et d’en recevoir la télémé­trie.

Un projet mené au pas de tirL’assemblage d’OUFTI­1 met un terme à six années degestation qui ont mobilisé une cinquantaine d’étudiantset une dizaine de professeurs et ingénieurs. LeCubeSat a bénéficié de financements consentis par laPolitique scientifique belge (Belspo, via le programmeProdex) et l’Université de Liège. Plusieurs acteursindustriels de premier plan dans le domaine spatial ontégalement soutenu le projet : Thales Alenia SpaceBelgium, Spacebel, LMS Samtech, V2i, Deltatec, etbien entendu, le CSL­ULg.OUFTI­1 est un cube de 10 cm de côté, couvert depanneaux photovoltaïques, d’une masse d’1 kg à peineet d’une puissance d’environ 1W seulement (avec despics à 2.6 W). Il intègre des cartes électroniques

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201320

Il y a 20 ans...

entièrement conçues par les étudiants ingénieurs del’ULg (et aussi de Hautes Ecoles*). Les prochains testsdevront certifier les capacités de résistance descomposants aux vibrations induits par le lancement etaux rigueurs de l’environnement spatial (vide,températures extrêmes, radiations, etc.). Il a été conçupour une durée de vie opérationnelle d’un an.Alors que diverses personnes se sont impliquées dansle projet au cours des six dernières années, lesdernières phases de la conception, ainsi quel’assemblage final du satellite, sont à l’actif d’une

équipe comprenant Amandine Denis (ingénieur civil,chercheur au département Aérospatiale & Mécaniquede l’ULg), Nicolas Crosset et Xavier Werner (ingénieursindustriels, chercheurs au Laboratoire INTELSIG del’ULg), et Valéry Broun (ingénieur civil, maître­assistantà l’ISIL – Haute Ecole de la Province de Liège).Depuis 2007, Amandine Denis a joué un rôle clé entant que Chef de projet, assurant la gestion et le suiviscientifique des étudiants, ainsi que la production de ladocumentation requise par le programme FYS del’ESA. Le rôle de Jonathan Pisane est également àsouligner. Il est un des tout premiers étudiantsingénieurs à avoir travaillé sur OUFTI­1, en particuliersur les algorithmes permettant de décoder les signauxD­STAR. Il a par la suite, au cours de sa thèse dedoctorat, conseillé les étudiants, et aujourd’hui encore,il aide à résoudre des problèmes techniques.

Sources : Communiqué de presse de l'Université deLiège du 25/11/2013

ON0NRevue de décembre 1993

­ Il y a 70 ans, première liaison transatlantiqueMaintenant, ça fait 90 ans mais c'est toujours

intéressant à lire...

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The Lost Decadehttp://www.youtube.com/watch?v=j1DH85e0AL0Une rétrospective des 10 premières années des radiosCollins préparée par la Collins Collectors AssociationSource : Youtube

Mesurez vos propres filtres à quartzhttp://www.qsl.net/7n3wvm/Fil_Meas.html

What do you do when you want to measure yourhomebrew crystal filter? If you happen to have aspectrum analyser then a possible shematic diagramcould be the following.

Manuel Funcube disponible enFrançaisL’AMSAT­UK a diffusé un manuel spécifique sur cesatellite "FUNcube Handbook", il est disponible autéléchargement ici :http://funcubetest2.files.wordpress.com/2010/11/funcube­handbook­fr.pdf

Source : http://www.amsat­f.org/site/spip.php?article73

Un site technique de Bob Burns(G3OOU) dédicacé aux équipementsde radiocommunications et demesures.Des notes techniques, des schémas, desapplications,... pour tous les goûts.Simple et bien expliqué :www.qsl.net/g3oou

Une database sur les lampes radio.Sur ce site, vous trouverez les datasheets de milliersde tubes depuis les origines de l'électronique. Il y asouvent les feuilles de caractéristiques de plusieursfabricants différents. Une mine d'or pour les amateursde lampes !"Frank's Electron tube Pages" par Frank Philipse desPays­Bas :http://www.shinjo.info/frank/sheets0.html

Des schémas OM à la tonne !Le site de Maarten Ouwehand (PG1N) est une bellecompilation de ce qu'on peut trouver sur Internet auniveau des schémas de réalisations radioamateurs.Encore un mine d'or !http://home.kpn.nl/pg1n/hambrew/index.htm

Sites àCiter

Par ON4KEN, ON5CG et ON5FM

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201322

Beaucoup d'OM possèdent un TX CW ou un RX àconversion directe Howes. La marque n'existant plus, ilest très difficile ­sinon impossible­ de trouver encoreles kits.Voici le schéma du VFO destiné à accompagner le TX

et le RX 20m. Il est bien conçu, assez stable etpossède une commande RIT, et une sortie bufferiséepour attaquer un fréquencemètre !Le CV est de 50pF pour couvrir tout le 20m

LesSchémasde QSP

Le VFO 20m Howes CFW20

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Les jeuxde QSP

Le composant mystère d'Octobre

Voici ce qu'en dit René ON7NI qui nous a envoyé cette photo : <Il s'agit d'un voyant"mécanique". Il comporte une fenêtre à 4 découpes derrière laquelle se déplace unrotor blanc dont les pales apparaissent quand on applique une tension continue àl'équipage mobile.Le bidule se trouve sur un boîtier de sélection ou de commutation dont le switch portel'inscription " CHARLES RICHEZ ­ BRUXELLES". Je pense qu'il s'agit de matérield'avant 1930.>

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Le Composant Mystère

Voyant allumé Voyant éteint

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Voici un autre central téléphonique en usage,notamment, aux chemins de fer. La notification d'appelest différente et plus sure car elle reste en place mêmeen cas de coupure de courant. Il s'agit d'une sorte depetite porte munie d'un crochet et pivotant sur unecharnière à sa base. Le crochet est tenu par le brasd'un électro­aimant servant également de sonnerie.Lorsque celle­ci retenti, la palette est libérée et"tombe". Elle restera dans cette position jusqu'à cequ'on la réarme. Il y a une palette par poste appelantauquel ce mini­central est connecté via une lignedirecte ne dépendant pas d'un central classique. Lamanivelle à droite sert à produire le courant nécessaireà actionner la sonnerie de l'autre poste. Souvent unepile ou une batterie fournissait la basse tensionnécessaire au micro à charbon. Ainsi, ces postesétaient entièrement autonomes et fonctionnaient mêmeen cas de coupure générale de courant. Ils ont sauvéde nombreuses vies humaines après unbombardement pendant les deux guerres mondiales.

En cas d'absence de l'agent (ce qui est fréquent dansune gare), celui­ci est averti à coup sûr de l'appel et nepourra le manquer car la palette abaissée attireinmanquablement l'oeil.

Pour répondre, l'agent relève la palette et lève la clé (lecommutateur) situé en dessous de celle­ci pour êtremis directement en liaison avec l'appelant

De nombreux OM ont trouvé la bonne réponse : PhilouF1PBT, F1CUI, Jacques F4EPV et Gérard F6HZO.Bravo à eux et merci d'avoir joué.Voici ce qu'en ditRené ON7NI qui nous a envoyé cette photo : <Il s'agitd'un voyant "mécanique". Il comporte une fenêtre à 4découpes derrière laquelle se déplace un rotor blancdont les pales apparaissent quand on applique unetension continue à l'équipage mobile.Le bidule se trouve sur un boîtier de sélection ou decommutation dont le switch porte l'inscription "CHARLES RICHEZ ­ BRUXELLES". Je pense qu'ils'agit de matériel d'avant 1930.>

De nombreux OM ont trouvé la bonne réponse : PhilouF1PBT, F1CUI, Jacques F4EPV et Gérard F6HZO.Bravo à eux et merci d'avoir joué.

Ancien central téléphonique

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Le Radio-Quiz

Le Radio­Quiz d'Octobre

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Ce composant est moderne et on en trouvedans bon nombre d'appareils domestiques. Lagrille métallique ne sert pas de protectionmécanique mais a une fonction et une utilitébien précises.

Mais de quoi s'agit­il ?

Réponse à l'adresse de l'éditeur :on5fm@uba.be

Le composant mystère de Novembre

RAPPEL :Qu'était le Fetron ?

Le Fetron était une substitut de lampe radio. Il étaitconstitué d'une sorte de circuit intégré ou plutôt de d'unhybride enfermé dans un boîtier métallique muni desbroches correspondantes au tube qu'il devaitremplacer. Il s'agissait donc d'une "lampe à transistor".Il comportait plusieurs transistors dont au moins un FETpour simuler la haute impédance d'entrée d'une lampe.C'est grâce à ce composant, notamment, que denombreux OM ont "transistorisé" leur multimètre (ouVTVM) Heathkit et autres. Des appareils Drake ontaussi été modifiés en leur temps par leur propriétaire.F3AV a décrit ces modifications dans un "Haut­Parleur"dans les années 60.

Documentation :http://www.philipstorr.id.au/radio/eleven/fetron.htm,http://amtelectronics.com/downloads/articles/SOLID­STATE­TRIODE­AMT.pdf et surtout celui­ci, trèsdocumenté :http://www.listenersguide.org.uk/pdf/fetron­valve­replacement.pdf.Ici, vous avez le databook du fabricant :http://www.davmar.org/misc/Fetron.pdf.

QSP N°36 Novembre ­ Décembre 201328

Le Radio­Quiz de Novembre

Bien avant le détecteur à galène, un procédé utilisantde l'acide de batterie et basé sur une observation decelles­ci permettait de détecter les fréquences allantdes très grandes ondes aux petites ondes. Commentcela fonctionnait­il ?

Réponse à on5fm@uba.be (ou toute autre E­adressedu rédacteur)

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Propagation Forecast Bulletin #51de K7RA

ZCZC AP51QST de W1AWPropagation Forecast Bulletin 51 ARLP051From Tad Cook, K7RASeattle, WA December 13, 2013To all radio amateursSB PROP ARL ARLP051ARLP051 Propagation de K7RASolar indicators rose over the past week, for both solarflux and sunspot numbers. The highest were onTuesday, December 10 when the sunspot number was169 and solar flux 175.2. In an otherwise quiet weekthe planetary A index reached 26 on Sunday,December 8, sparked by a strong solar wind surgingfrom a coronal hole. We could see a repeat thisweekend. Geomagnetic activity during the ARRL 10Meter Contest this weekend should be more activethan contesters would prefer, with predicted planetaryA index values of 20 and 15 on Saturday and Sunday.NOAA said Thursday night that the geomagnetic fieldmay be anywhere from quiet to minor storm levels thisweekend.For the past six 10­Meter Contests, geomagneticconditions have been very quiet. But in 2006 thecontest (always the second full weekend in December)fell right between two very active periods. The 2006contest was held on December 9­10, and checking therecord athttp://www.swpc.noaa.gov/ftpdir/indices/old_indices/2006_DGD.txt we see the planetary A index on thosedates was 7 and 14. But just prior on December 6 the Aindex was 28, and 25 on December 7­8.Following the contest that year the planetary A indexon December 11­15 was 15, 26, 5, 63 and 104. Thelast two figures indicate a major geomagnetic storm.Lucky it didn't hit earlier, but the contest weekend wasstill feeling the effects of the higher activity in the days

before. Reports included much trans­equatorialpropagation. North­South propagation across theequator is not enhanced during periods of high geo­activity, but rather that is often the only propagationpath available.Compared to the previous seven days, over December5­11 the average daily sunspot number rose from102.9 to 122.1, and average daily solar flux increasedfrom 132.9 to 162.4.The predicted values in the 45­day outlook for solarflux took a substantial leap on December 8. Forexample, on December 7 the predicted average solarflux for December 10­15 was 141, and on December 8the projected average for the same period was 170.The predicted values for the following 45 daysincreased across the board, but have since scaledback somewhat.The latest prediction has solar flux at 165 on December13, 160 on December 14­15, 155 on December 16­18,150 on December 19­20, 172 on December 21­22, 175on December 23­25, 172 on December 26, 170 onDecember 27­29, 165 on December 30, and 160 onDecember 31 through January 2, 2014. After dipping to150 on January 4, solar flux is expected to rise to ashort term peak of 172 on January 7­8.Predicted planetary A index is 12, 20 and 15 onDecember 13­15, then 5 on December 16­25, then 12,10 and 8 on December 26­28, 5 on December 29through January 2, 2014, then 10, 20, 15, 10 and 8 onJanuary 3­7.OK1HH believes the geomagnetic field will be quietDecember 13­14, mostly quiet December 15, quiet tounsettled December 16, quiet December 17­18, quietto unsettled December 19, quiet December 20­24,mostly quiet December 25, quiet to unsettledDecember 26, quiet to active December 27, quietDecember 28, mostly quiet December 29, and quiet onDecember 30­31.Predicted solar flux shows this weekend's 10 MeterContest should have the highest solar flux and sunspotnumbers since the 2002 contest. Conditions may be

Les BulletinsDX etContests

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similar to the 1999 contest, when solar flux andsunspot numbers were about the same as now. Thiswas before the peak of the last solar cycle, cycle 23.To test this out and see where conditions arecompared to previous ten meter contests, I averagedsunspot numbers and solar flux since 1997 for thecontest weekend including the Friday before.From 1997 through 2012, the average solar flux on thesecond full weekend in December was 90.6, 143.5,160.9, 139.9, 224.2, 185.3, 89.1, 88.4, 91.2, 92.8, 87.5,69.8, 74, 88.2, 139.3, and 100.6. For Friday throughSaturday this weekend the average of predicted fluxvalues is 161.7, very close to what it was in 1999, andas you can see, stronger than any contest weekendafter 2002.Over the same period using the same method, averagesunspot numbers were 66.7, 153.3, 120.3, 70.7, 201.3,202.3, 41.3, 27, 55.7, 22.7, 34, 4.7, 13, 27, 103 and32.7. We don't have a source for predicted dailysunspot numbers, but the average reported at the endof this bulletin was 122.1. This is also stronger thanany contest weekend since 2002.Note that in 2008 the average sunspot number on thesecond weekend in December was only 4.7. This mayseem strange, because the arcane method used fordetermining sunspot number produces no non­zerosunspot numbers below 11. But on that Friday throughSunday period, over the three days sunspot numberswere 14, 0 and 0. That produces an arithmetic averageof 4.667, or 4.7.You can find information on the ARRL 10 MeterContest at http://www.arrl.org/10­meter.I used past ARRL Propagation Bulletins from thearchive at http://arrl.org/w1aw­bulletins­archive­propagation as a source for data on past 10 Metercontests. While browsing, in ARLP050 in 2010 I foundan interesting resource that I had forgotten about athttp://www.helioviewer.org/ . With this tool you can setup a movie of recent or past solar images, and havethem continually animated at a variety of rates andrepresenting a time period of your choosing.I also ran into a bulletin by Tony, G4CJC concerning 10meter DX and propagation news from Europe athttp://www.southgatearc.org/bands/10metres/december2013/december_12.htm#.Uqls0­JC2UU.Jon Jones, N0JK writes The World Above 50 MHzcolumn in QST, and sent this note:"The Winter 6 meter Es season is underway.Tuesday Dec. 10 ­ 6 meters was open before sunrise(1230 UTC) from KS, NE to Florida, and strong Es

from W1 to Florida.Geminids meteor shower to peak this weekend."That's right, and the meteor shower should enhance 10meter propagation, because of all those ionized meteortrails. In fact, the story goes that the second weekendin December was picked for the 10 meter contestbecause it coincides, with some variation year to year,with the Geminids shower.Max White, M0VNG sent along an article about threatsfrom massive solar events. Read it at athttp://www.colorado.edu/news/releases/2013/12/09/cu­boulder­scientist­2012­solar­storm­points­need­society­prepare .Ray Soifer, W2RS of Green Valley, Arizona wrote:"Interesting to read about Larry, W0OGH's experiencewith VU7AG. Mine was very similar. I am 113 milessouth of Larry's QTH and worked VU7AG on 20 CW aminute before he did. I too noticed the auroral flutter onthe VU7's signal. Most of their times and frequenciesseemed to favor Europe and the eastern half of NorthAmerica so it was good to have this opening.On 20 CW I have 600 watts to a Hy­Gain AV620vertical mounted on a 10­foot pipe. It isn't a 4­ elementmonobander but it does pretty well on DX paths due toits fairly low radiation angle."Funny. My word processing program did not like theword "monobander" above, and suggested"mindbender" as the correct spelling.For more information concerning radio propagation,see the ARRL Technical Information Service athttp://arrl.org/propagation­of­rf­signals. For anexplanation of the numbers used in this bulletin, seehttp://arrl.org/the­sun­the­earth­the­ionosphere. Anarchive of past propagation bulletins is athttp://arrl.org/w1aw­bulletins­archive­propagation. Moregood information and tutorials on propagation are athttp://k9la.us/.Monthly propagation charts between four USA regionsand twelve overseas locations are athttp://arrl.org/propagation.Instructions for starting or ending email distribution ofARRL bulletins are at http://arrl.org/bulletins.Sunspot numbers for December 5 through 11 were103, 105, 104, 83, 125, 169, and 166, with a mean of122.1. 10.7 cm flux was 149.6, 150.5, 156.9, 165.5,168.1, 175.2, and 170.8, with a mean of 162.4.Estimated planetary A indices were 5, 4, 6, 26, 5, 5,and 4, with a mean of 7.9. Estimated mid­latitude Aindices were 4, 3, 4, 14, 2, 3, and 2, with a mean of4.6.

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january 2014 CONTEST CALENDAR by WA7BNM

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Cliquez sur l'intitulé du contest pour accéder aux détails.

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HIHIHIHIHIHIHIHIHIHI

Voici la photo d'une petite boîte de 50mm x 50mm qui nous a étéprocurée par André, ON2SA.Les Radiolettes ! A l'époque (années '30) tout était bon pour sedémarquer de la concurence. Et comme la radio était à la pointedu progrès et de la technologie (et aussi un peu "science­fiction"pour le commun des mortels) on la mettait à toutes les sauce.Quelques années plus tard (fin des années 40), ce sera le tour del'énergie atomique.

Tempus figit...

Petites annonces­ Je vends Windows 7 Edition Familiale Premium: prix à discuter.­ Je vends Nero 11: prix neuf: 66,00EUR: prix à discuter.­ Je vends une imprimante HP Hewlett Packard: prix à discuter.­ Je vends un disque dur externe Lacie en métal d'une capacité de 500GI: prix neuf: 94,99EUR: prix àdiscuter.­ Je vends un disque dur externe Lacie en métal d'une capacité de 500GI: prix neuf: 94,99EUR: prix àdiscuter.­ Je vends un disque dur externe Lacie en métal d'une capacité de 500GI: prix neuf: 94,99EUR: ­prix àdiscuter.­ Je vends un disque dur externe Lacie en métal d'une capacité de 750GI: prix neuf: 125,00EUR: prix àdiscuter.­ Je vends un SCANJET G 3110: prix neuf: 119,00EUR: prix à discuter.

Contact : Olivier Verbois olivier.verbois@gmail.com

Vous prendrez bienune Radiolette ?

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de 25 à 550 MHz. http://www.rigpix.com/aor/ar2001_manual.pdf

http://www.radiomuseum.org/r/aor_communications_receivers.html

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