Jeudi 26 et vendredi 27 mars 2015Bourse du Travail de Lyon,Salle Moissonnier

(Place Guichard, à une sta-tion de métro de la garePart-Dieu).

ème Université de printempsRhône-Alpes

Le SNUipp-FSU 69 et laFSU Rhône-Alpes vous

invitent à l’

LYON26 - 27 mars

2015

Nous défendons un syndicalisme depropositions et de transformations, por-teur d’un projet ambitieux pour l’école.La recherche, la réflexion et le débatsont au cœur de nos préoccupations.

Cet évènement est ouvert à tous les en-seignants de la Région Rhône-Alpes,syndiqués ou non.

Le nombre de participants augmentantchaque année et la capacité d’accueil de lasalle étant limitée, l’inscription des syndiquéssera priorisée.

4S’inscrire en ligne auprès du SNUipp-FSU du Rhône : http://69.snuipp.fr(Ne pas attendre la réponse de l'IEN quant à votre autorisation d'absencepour vous inscrire mais plutôt nous prévenir après en cas de refus).

Le nombre de participants augmentant chaque année et la capacitéd’accueil de la salle étant limitée, les inscriptions se feront selon les mo-dalités suivantes :- Pour les syndiqués : dès le 26 janvier 2015.- Pour les non syndiqués : à partir du 6 février 2015.

Inscriptions à la carte :Choisissez les thèmes qui vous intéressent à la demi-journée :

- Jeudi 26 mars - 9h à 12h :“ La géographie de nos jours : comment l’enseigner ?”

- Jeudi 26 mars - 13h30 à 16h30“Egalité filles-garçons”

- Vendredi 27 mars - 9h à 12h “ Quels professionnels pour l’école inclusive ? ”

- Vendredi 27 mars- 13h30 à 16h30“ L’enseignement de l’écriture en maternelle ”

Faire une demande d’autorisation d’absence à votre DASEN via votreIEN, au moins un mois à l’avance, soit avant le 26 février 2015.Important : Merci de nous prévenir si votre demande d’autorisation d’ab-sence est refusée.Modèle de courrier téléchargeable sur http://69.snuipp.fr

Comment participer ?

2-

1-

4ème

SNUipp-FSU 69BP 4583 - 69244 LYON cedex 04snu69@snuipp.fr /04.78.27.41.50http://69.snuipp.fr

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9h-12h : Pascal CLERCMaître de conférences en géographie à l’Université Lyon 1 ClaudeBernard – ESPE. Ses thèmes de recherche sont l’histoire et l’épis-témologie de la géographie, l’histoire de la géographie scolaire etla didactique de la géographie.

La géographie de nos jours : comment l’enseigner ?En cours de géographie, on enseigne des savoirs sur le monde. Ils ont pour la plupartété importés dans l’école il y a longtemps ; ils sont parfois détachés du « réel » et viventleur vie d’objets scolaires. Dans ces conditions, ils ne disent pas grand-chose du mondedans lequel nous vivons. Ma proposition est de réconcilier les « mondes » : celui des élèves, celui des savoirs sco-laires et le monde « réel ».Il s’agirait donc de passer d’un enseignement de la géographie à une éducation géo-graphique appuyée sur l’expérience que les élèves ont du monde.

13h30-16h30 : Isabelle COLLETMaître d’enseignement et de recherche à la Faculté des sciencesde l’éducation de l’université de Genève et à l’Institut Universi-taire de formation des enseignants.Isabelle Collet fait partie du Groupe relations interculturelles etformation des enseignants – Genre et éducation (GRIFE-GE) etest également présidente de l’ARGEF (Association de recherchesur le genre en éducation et formation)

L’égalité fille garçons : pourquoi est-ce la mission de l’école ? Lesenjeux et des pistes pratiques pour gérer les inégalités dans laclasse.Le genre est une construction sociale inégale qui est liée à une culture et une périodehistorique. C'est une naturalisation des stéréotypes sexués : l'idée qu'il y aurait une na-ture féminine et masculine qui prédestinerait les hommes et les femmes à des rôles so-ciaux distincts. C'est surtout un système de valeurs qui suppose que les rôles ditsféminins valent moins que les rôles dits masculins. Prendre en compte le genre dans l'éducation signifie que l'on prend garde à ce que lesystème de normes de sexe dans lequel nous évoluons tous et toutes ne vienne pasrendre notre enseignement injuste, discriminant ou inaccessible pour certaine-e-sélèves. Quels outils et principes pédagogiques permettent-ils de créer une dynamique de classeattentive à chacun et chacune afin de laisser le genre à la porte de la classe ?

JEUDI 26 mars LEPROGRAMME :

9h-12h : Serge THOMAZETSerge Thomazet est maître de conférences en sciences de l’éduca-tion. Il enseigne à l’Ecole Supérieure du Professorat et de l’Educa-tion Clermont-Auvergne (Université Blaise Pascal) et est membredu laboratoire ACTé.

Quels professionnels pour l’école inclusive ?La nécessité de construire une école inclusive fait l’objet d’un large consensus chezles enseignants (voir l’enquête du SNUipp-FSU de mars 2014). Cependant, beau-coup d’enseignants se questionnent sur le rôle qu’ils doivent jouer dans l’accueildes élèves handicapés. Il est même fréquent que l’injonction à accueillir des élèvesporteurs de handicap dans des écoles ordinaires soit considérée comme une mis-sion impossible, notamment dans le cas d’élèves présentant des troubles importantsdu comportement ou des apprentissages.Notre intervention permettra d’aborder plusieurs questions centrales pour laconstruction d’une école inclusive. Comment résoudre le paradoxe de faire, pourles élèves handicapés, une école à la fois adaptée à leurs besoins… et ordinaire ?Quel est alors le rôle des enseignants des classes ordinaires ? Des enseignants spé-cialisés? Des AVS/AESH ? Des dispositifs d’accompagnement ?

13h30-16h30 : Marie-Thérèse ZERBATO-POUDOUDocteur en sciences de l’éducation, maître de conférences hono-raire à l’IUFM d’Aix-Marseille. Riche d’une longue expérience d’en-seignante d’école maternelle en ZEP, Marie-ThérèseZerbato-Poudou travaille plus particulièrement sur la probléma-tique de l'apprentissage premier de l'écriture.

Où il est encore question de l’enseignement de l’écritureLe projet de programme pour l’école maternelle donne des indications assez pré-cises sur les objectifs à atteindre en ce qui concerne l’apprentissage de l’écritureet ses liens avec la lecture. Il y est judicieusement souligné que la découverte duprincipe alphabétique serait favorisée par la production d’écrits autonomes. Àl’heure où l’utilité de l’écriture manuscrite fait débat au regard de l’écriture au cla-vier, il est temps d’élaborer une réflexion sur cet enseignement afin de concevoirun dispositif stimulant et pertinent pour que l’apprentissage de la trace ne se ré-sume pas à un conditionnement moteur, mais s’inscrive dans une activité ré-flexive, sans pour autant négliger la relation graphie-phonie ni les aspectsculturels du langage écrit.

vendreDI 27 marsLE

PROGRAMME :

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