Études d’audience presse, cinÉma et plurimÉdia · 2015. 7. 22. · connaissance des médias et...

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Études d’audience PRESSE, CINÉMA et PLURIMÉDIA Centre d’Information sur les Média 01 02 MÉTHODOLOGIE juillet juin

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MÉTHODOLOGIE

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ÉTUDES D’AUDIENCEPRESSE,CINÉMA,

PLURIMÉDIA2001 - 2002

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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CIM Centre d’Information sur les Média

Chaussée de La Hulpe, 181, Bte 22 - 1170 Bruxelles

tél. : 32 2 661 31 50 - fax : 32 2 661 31 69

e-mail : [email protected]

URL : http://www.cim.be

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Les résultats tant attendus de l’étude stratégique Plurimédia CIM, cuvée 2001/2002, sont fin prêts.Premier résultat concret qui résulte de l’élan de modernisation et d’amélioration continue émanant desdifférentes Commissions Techniques impliquées dans le projet de refonte de cette étude depuis début2001.

Cette année, il a été décidé de confier le terrain à deux instituts, une option de plus en plus souvent vali-dée en Europe et dans le reste du monde. Le volet Produits quant à lui n’est plus réalisé en face à facemais au moyen d’un questionnaire auto-complété, lequel s’est vu enrichir d’une série de questions por-tant sur les attitudes. Les résultats de ce volet sont attendus pour la fin de l’année.

Autre nouveauté à ne pas négliger, l’ensemble des résultats 2001/2002 sont pour la première fois acces-sibles aux membres via le site web du CIM. N’hésitez donc pas à vous rendre sur www.cim.be.

Une fois de plus le CIM et ses partenaires auront su s’adapter et évoluer pour répondre aux besoins mul-tiples d’un marché en perpétuelle évolution lui aussi.

André de Béthune

Président

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Le mot du Président de laCommission Technique PMPM

Vous l'attendiez, elle est arrivée : la nouvelle étude Plurimédia Produits/Marques/Attitudes est terminéeet est publiée en deux parties : aujourd'hui le volet relatif aux médias, dans quelques semaines, le voletrelatif aux Produits/Marques/Attitudes.

Les modifications méthodologiques apportées par la Commission Technique sont nombreuses et vonttoutes dans le sens de l'amélioration de la qualité des résultats et de l'accroissement du potentiel de l'étu-de. Je vous conseille plus que jamais de lire attentivement cette introduction méthodologique pour vousen faire une idée précise.

A l'heure où nous écrivons ces lignes, le sort futur de l'étude PMPMA est encore incertain car il se trou-ve un certain nombre d'acteurs dans le marché à douter de son utilité. Je ne saurais donc trop vous conseillerd'exploiter au maximum les résultats présents (et ceux de l'étude qui sortira dans un an puisqu'il s'agitd'un contrat de deux ans) afin de vous forger votre propre avis sur l'usage qui peut être fait des don-nées à votre disposition. Le débat est ouvert. La Commission Technique que je remercie vivement de satrès grande implication dans le sujet, et moi-même, serions heureux de connaître les réactions de tousles utilisateurs de cette nouvelle étude.

Nous croyons fermement que nous vous présentons aujourd'hui une étude dont le contenu enrichira votreconnaissance des médias et de leurs consommateurs et sera source de progrès pour le métier que vouspratiquez.

Dominique De Ville

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Le mot du Président de la CommissionTechnique PRESSE

Cette année-ci, la récolte s’est fait désirer. L’été moins ensoleillé en serait-il la cause ?, … ou les chiffresnoyés sous les pluies abondantes ? Quoi qu’il en soit : voici les chiffres, par voie électronique de surcroît.

Certes, ce n’était chose facile ! La réalisation des interviews face-à-face demande chaque année un peuplus d’effort pour mener à bien cette enquête. Chaque fois, nous vivons dans cette attente craintive, nousdemandant si l’épée de Damoclès ne frappera pas en cours de route, décapitant ainsi fortement le nombreou portant atteinte à la qualité des interviews à réaliser. Cette année-ci, cela nous a coûté un mois deretard. Malgré les inconvénients que ce retard peut causer auprès des acteurs qui l’attendent avec impa-tience, nous pouvons en toute conscience parler de "seulement" un mois de retard !

Rédigeant ces quelques lignes dans une période où la critique négative et aisée bat son plein, je ne peuxque m’associer aux préoccupations des autres Présidents des Commissions Techniques.

Malgré sa qualité reconnue au niveau international et la nécessité pour la tripartite de disposer de résul-tats d’enquêtes lecteurs fiables, l’étude fait aujourd’hui l’objet d’une véritable discussion politico-éco-nomique.

Au sein de la Commission, nous avons récemment réalisé notre enquête élargie auprès des différents acteursdu marché. Celle-ci nous prouve une fois de plus que les fondations de l’étude sont plus qu’appréciéeset que ce ne sont finalement que quelques adaptations mineures qui devront y être apportées.

Par contre, il y a une bonne volonté d’enrichir l’étude par l’ajout de quelques nouveaux aspects bien pré-cis qui devraient surtout donner une plus grande notoriété à la presse, sans toutefois en préconiser unerépétition annuelle.

Lorsque chaque média aura accompli sa tâche, que restera-t-il de tout ce canevas, de ces pistes existanteset à explorer ? Quelle est la viabilité d’une étude réduite si l’on ne tient pas compte de la richesse duvolet plurimédia ? Quels seront les acteurs qui en souffriront le plus ? Plus fort encore, que restera-t-il des éléments de base ? Ou va-t-on également (contraint et forcé) se servir du marteau-piqueur pourminer les fondations mêmes ?

Ces moments de doute et de remises en question coïncident par hasard avec le renouvellement des man-dats de la présidence de bon nombre de commissions techniques au sein du CIM. Coïncidence malheu-reuse ou plutôt une opportunité pour un second souffle ?

Personnellement, j’ai décidé d’observer la scène avec un peu de recul et je ne soumettrai donc pas macandidature pour une prolongation du mandat.

Par cette voie, je tiens toutefois à remercier sincèrement tous les commissaires qui m’ont assisté avec per-sévérance et sans relâche durant ces 4,5 ans.

J’invite également toute personne qui prendrait à cœur l’analyse des coulisses de l’étude, d’en faire l’ex-périence.

Philippe Hombroukx

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Le mot du Président . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Le mot du Président de la Commission Technique PMPM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

Le mot du Président de la Commission Technique PRESSE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Mode de fonctionnement, maîtres d’œuvre et réalisateurs de l’étude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

I. Le CIM et ses différentes instances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

II. Les instituts d’étude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

III. Les fournisseurs de logiciels de traitement des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

IV. Maisons de production des publications CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

V. Les souscripteurs des études . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

Objet de l’étude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

Le réseau des études CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

Univers de référence et taux de sondage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

Répartition de l’échantillon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

Méthode d’échantillonnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

I. Répartition des interviews dans l’espace . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

II. Détermination des adresses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21

III Détermination des personnes à interroger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21

IV. Les adresses de remplacement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

V. Processus de sélection du répondant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

VI. Conséquences de la modification de la méthode d’échantillonnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

Redressement de l’échantillon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25

I. Critères de redressement sur base des chiffres fournis par l’INS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25

II. Critères de redressement hors INS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26

Déroulement de l’enquête . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

Sélection et formation des enquêteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

Contrôles exercés par les instituts et par le CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

I. Contrôles exercés par les instituts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

II. Les contrôles exercés par le CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

Valeurs clé du terrain écoulé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

I. Répartition des enquêtes par province et par mois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

II. Durée moyenne des enquêtes et taux de réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

III. Rang de l’adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

IV. Rang du contact . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

V. Répartition des enquêtes “Média” par jour nommé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

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L’accès aux données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

Les publications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

I. CIM Trek . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

II. Fiche CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33

L’exploitation des données par des fournisseurs de logiciels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33

Les variables socio-démographiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

Le sexe et la notion de PRA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

La notion de PRR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

Âge de la personne interrogée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

Catégorie socio-professionnelle de la personne interrogée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

Niveau d’instruction de la personne interrogée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

Âge du principal responsable des revenus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

Catégorie socio-professionnelle du principal responsable des revenus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

Niveau d’instruction du principal responsable des revenus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

Les groupes sociaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

I. Attribution des points . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

II. Valeurs des bornes de classes et répartition des effectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

III. Validation du concept de groupe social . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Taille du ménage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Présence d’enfants de moins de 15 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Âge des enfants au foyer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Existence de petits-enfants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Âge des petits-enfants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Étapes dans la vie - life stages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Régions Nielsen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

Provinces . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

Habitat CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

I. New Habitat CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

II New habitant CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

III Remarque finale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42

Langue usuelle du ménage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42

La Presse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43

Les logotypes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43

Liste des titres étudiés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44

I. Conditions de participation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44

II. Titres publiés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44

Définition des fiches techniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

I. Composition des fiches . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

II. Traitement des non-parutions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

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Le questionnaire Presse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47

I. Déroulé du questionnaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47

II. Procédure d’interview . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48

Les indicateurs CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

I. Étude Tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

II. Partie stratégique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54

Le Cinéma . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

Le questionnaire Cinéma . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

I. Audience totale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

II. Audience ville par ville . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

III. Fréquence de visite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

IV. Audience Dernière Période . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

V. Jour de la visite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

Partie Tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60

I. Liste des titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60

II. Fiche CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

Partie Densité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

I. Liste des titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

II. Mode de calcul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

III. Fiche CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

La Télévision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

Le questionnaire Télévision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

I. L’équipement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

II. Utilisation du Télétexte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

III. Télévision en général et par tranche horaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65

IV. Vision par émetteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

Partie Tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

I. Liste des titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

II. Fiche CIM tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67

Partie Densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68

I. Mode de calcul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68

II. Liste des titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71

III. Fiche CIM tv par densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71

La Radio . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

Le questionnaire Radio . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

I. Radio en général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

II. Radio par tranche horaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

III. Radio par station . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Partie Tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73

I. Liste des stations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73

II. Fiche CIM tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74

Partie Densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75

I. Mode de calcul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75

II. Liste des titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78

III. Fiche CIM Radio par densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79

Les Déplacements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

Le questionnaire Déplacements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

I. Utilisation des différents modes de déplacement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

II. Temps passé à l’extérieur du domicile pour se déplacer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

III. Déplacements dans et vers le New urbain total CIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81

Partie Tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

I. Liste des titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

II. Fiche CIM tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

Partie Densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83

I. Mode de calcul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83

II. Titres déplacements par densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83

III. La fiche CIM par densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83

Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

Le questionnaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

I. L’équipement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

II. Utilisation d’une connexion Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

III. Surfing sur les sites versus e-mail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

IV. Fréquence de consultation des sites internet et de transmission ou réception de courrier électronique . . 84

V Surfing et e-mail la veille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

VI. Durée le dernier jour . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

Partie tactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85

Partie Densité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85

Probabilisation des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87

Raison d’être de la probabilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87

Détermination de la probabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87

Applications particulières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

I. Couverture moyenne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

II. Couverture totale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

III. Couverture après n insertions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89

IV. Couverture d’une combinaison de supports . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89

V. Duplication entre deux médias . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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L’étude Produits-Marques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90

Les intervalles de confiance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91

Intervalle de confiance sur une proportion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91

Différences de proportions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92

I. Comparaison de l’audience d’un titre d’une publication à l’autre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93

II. Comparaison de deux titres pour une même publication . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94

Appréciation de l’écart statistique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95

Annexe I : New Habitat CIM : Liste Des Communes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96

Annexe II : New Habitant Cim: Liste des communes appartenant aux complexes résidentiels urbains . . . . . . . . . . . . . 101

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Préambule

Mode de fonctionnement, maîtres d’œuvre et réalisateurs de l’étude

I. Le CIM et ses différentes instances

Né en 1971 de la fusion de l’OFADI (premier organisme d’authentification de la diffusion de titres depresse en Belgique) et du CEBSP (premier organisme belge de mesure d’audience), le CIM est une asso-ciation ayant pour objectif la fourniture de chiffres de référence pour le marché publicitaire belge. Lesdonnées récoltées par le CIM sont confidentielles et uniquement accessibles aux membres co-finançantces études.

Les 249 membres du CIM se composent d’annonceurs (16), d’intermédiaires (agences de publicité et agencesmédia) (50), et de médias (183). Ces membres sont réunis en assemblée générale où les voix sont répar-ties entre les différentes associations professionnelles du secteur et les membres individuels de telle sorteque tous les intérêts en présence sur le marché publicitaire soient équitablement représentés.

Le Conseil d’administration

Tous les ans, l’Assemblée générale élit un Conseil d’administration (28 membres) à la tête duquel se trou-ve un président. Ce président est aidé dans sa tâche par trois vice-présidents choisis au sein de chacunedes trois parties composant le marché publicitaire. La composition du Conseil d’administration varie doncau fil des ans. Au moment de l’édition de ce volume, elle était la suivante :

Président : André de BÉTHUNE

Vice-présidents : Kristine VERHELST

Michel MABILLE

Philippe STOCKMAN

Secrétaire général : Wim FRISON

Trésorière générale :Rosette VAN ROSSEM

Administrateurs : Christine BRONE

Laura BUSSELOT

Fabienne CLOSE

Guy COECK

Christianne DARDENNE

Dominique DE VILLE

Wout DOCKX

Diane FAYNSTEIN

Yves Gérard

Roeland GODEFROIT

Daniel HEYNDERICKX

Philippe HOTTAT

Christian KEVERS

Thierry KEYEN

Nico NULENS

Peter QUAGHEBEUR

Freddy TACHENY

Christian ROUSSEAUX

Jo VAN CROONENBORGH

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Pierre VANDERBECK

Anne VANDORPE

Mieke VERHELST

Louis VERHEYEN.

Un Comité de direction composé du président, des trois vice-présidents, du secrétaire général et de latrésorière, assure le suivi et la préparation des dossiers discutés au sein du Conseil. Il est assisté pour cefaire par le Directeur Général.

Le CIM récolte deux grands types de données : les données d’authentification concernant la diffusionet le tirage des titres Presse constituant le premier type.

Les autres données récoltées par le CIM concernent l’audience des principaux supports belges de publi-cité. Le cahier des charges des différentes études d’audience est rédigé par des Commissions Techniquestripartites (Commissions Techniques Plurimédia, Presse, Audimétrie, Trafic-Affichage, Internet et Radio).La mise en œuvre des études est réalisée par différents instituts de terrain. Le contrôle et le suivi des étudessont assurés par les chefs de projet travaillant au sein de la structure permanente en étroite collabora-tion avec les Commissions Techniques concernées.

La présente méthodologie concerne exclusivement les études d’audience Presse, Cinéma et Plurimédia.Les études Trafic-Affichage, Audimétrie, Internet et Radio dont les méthodologies sont radicalement dif-férentes, font l’objet chacune de publications distinctes.

Différentes Commissions Techniques se sont penchées à titre divers sur les études d’audience dont nouspublions aujourd’hui les résultats. Dans l’ordre chronologique, il s’agit des commissions suivantes.

La Commission Technique Plurimédia/Produits-Marques.

Cette Commission est en charge des différents aspects méthodologiques génériques des études d’audienceet de tout ce qui a trait à l’étude stratégique centrale. Au moment d’éditer ce volume, sa compositionest la suivante :

Président : Dominique DE VILLE

Membres : Véronique BILLEMONT

Remi BOEL

Christine BRONE

Lynda CALONNE

Dominique CATRY

Brigitte GILSON

Bruno LIESSE

Marco MARINI

Linda SCHEERLINCK

Patricia TIMMERMANS

La Commission Technique Presse

La Commission Presse a été mise sur pied au début de l’année 1996. Au moment d’écrire ces lignes, sacomposition est la suivante :

Président : Philippe HOMBROUKX

Membres : Rudi BAR

Remi BOEL

Anne BORGERS

Fabienne CLOSE

Bart DE PROOST

Michèle HELLINCKX

Patrick HERMIE

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Francine KENLER

Christian KEVERS

Olivier KREMER

Isabelle ORTEGATE

Michel ROBERT

Linda SCHEERLINCK

Kris STEVENS

La Commission Technique Cinéma

Cette Commission ne se réunit qu’occasionnellement. Sa composition est la suivante :

Président : Christian KEVERS

Membres : Véronique BROTCORNE

Laura BUSSELOT

Bart DE PAUW

Marina GOULARD

Nathalie L’HOIR

Serge PLASCH

Le travail des différentes commissions est coordonné au sein du CIM par les chefs de projet Daniëlle Siegerset René Piret assistés de Manuel Lhoir.

La fonction de directeur général est assurée par Jean Pascal Robiéfroid.

Les chefs de projet et leurs adjoints assurent également la coordination du travail avec les instituts demême que les contrôles sur les terrains en cours et sur la production des résultats. Chefs de projet et pré-sidents de Commissions Techniques participent régulièrement à des réunions du Comité de direction oùsont discutés les différents points saillants des études en cours.

II. Les instituts d’étude

Le terrain des études tactiques Presse et Cinéma, et de l’étude stratégique centralePlurimédia/Produits-Marques a été confié à deux instituts, à savoir :

IPSOS Brussels, Boulevard Sylvain Dupuis 243, 1070 Bruxelles, et TNS Media, Square F. Riga 30, 1030 Bruxelles.

Chez IPSOS Brussels, les différentes études ont été confiées à :

Jean-Pierre WANQUET (Supervision Générale)

Roland DE TURCK (Direction de l’étude)

Nicky COUVREUR (Supervision du Terrain)

Pour le recueil des données sur le terrain, TNS Media a fait appel à la société N.I.D., het Nationaal Instituutvoor Dataverzameling, Square F. Riga 30, 1030 Bruxelles, et plus particulièrement à :

Martine VAN BALLAER (Supervision générale)

Piet VERMEULEN (Traitements informatiques).

TNS Media est également en charge des traitements de pondération et de probabilisation des fichiers.Ces différentes tâches ont été confiées plus particulièrement à :

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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2002

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Dominique VERCRAEYE (Supervision générale)

Jan DRIJVERS (Direction de l’étude)

Carine GALANT (Chargée d’étude)

Jacques STAS (Direction informatique)

Les résultats du terrain “Produits-Marques” seront publiés fin 2002.

La fusion des fichiers “Médias” et “Produits-Marques” (en ce compris la gestion des variables de fusionencore appelées “questions-crochets”) sera réalisée par TNS Media, Square F. Riga 30, 1030 Bruxelles.

Ces différentes missions sont confiées plus particulièrement à :

Dominique VERCRAEYE (Supervision générale)

Jan DRIJVERS (Direction de l’étude)

Carine GALANT (Chargée d’étude)

Yves LUYPAERT (Traitements statistiques)

III. Les fournisseurs de logiciels de traitement des données

Les données CIM sont intégrées dans les programmes de media-planning de différents fournisseurs delogiciels. Ces fournisseurs peuvent proposer des traitements concernant l’ensemble ou une partie seu-lement des différentes données disponibles dans le cadre des études dont ils sont fournisseurs. Ces pro-grammes peuvent être consultés en ligne ou installés dans les locaux de leurs clients. (Seuls les membresdu CIM co-finançant les études peuvent avoir accès aux données). Les obligations contractuelles des four-nisseurs de logiciels comportent des contraintes de confidentialité ainsi qu’une obligation d’unicité dessources et d’unité des résultats pour les traitements de type “tableaux croisés, rankings et évaluations”des audiences ou de plans médias. En d’autres termes, l’audience ou le profil d’un support ne peut pasvarier d’un institut à l’autre. D’autres types de traitements multidimensionnels comme les analyses fac-torielles ou typologiques, par exemple, peuvent donner lieu à des résultats différents en fonction deshypothèses et des méthodes de travail mises en œuvre.

Les instituts suivants ont marqué leur désir d’être fournisseurs des études d’audience CIM concernées parla présente publication :

TNS MEDIA : Alain COLLET, Square F. Riga, 30 à 1030 Bruxelles. Tél. : 02/240.50.00

INRA BELGIUM : Nathalie ROBIN, avenue de la Couronne 159-165 à 1050 Bruxelles. Tél. : 02/642.47.11

ANT RESEARCH : Laurent MOREAU, Rue Théophile Vander Elst 106 à 1170 Bruxelles. Tél. : 02/675.22.94.

IV. Maisons de production des publications CIM

La conception et la réalisation des publications des études (en fichiers PDF) ont été confiées à PASTA-BAL, — avenue de Woluwe-Saint-Lambert 52, 1200 Bruxelles.

La réalisation du CIM Trek, le moteur de tri (qui remplace l’ancien CD-ROM) a été assurée par DOUWE-RE, — Petit Bioleux 24, 4122 Plainevaux (Liège).

Ce sont également PASTABAL et DOUWERE qui ont assuré la mise à disposition d’informations accessiblesau grand public via le site web du CIM (www.cim.be).

V. Les souscripteurs des études

Le mode de financement actuellement en vigueur au sein du CIM prévoit la répartition des charges finan-cières liées au fonctionnement du CIM et à la réalisation des études d’audience de la manière suivante.

Toute entité ayant accès aux données CIM doit être membre. La cotisation régulièrement acquittée donneune voix à l’assemblée générale. Les différentes études tactiques (Presse, Cinéma, Trafic-Affichage,Audimétrie, Internet et Radio) sont prises en charge à hauteur de 95 % par les médias concernés. La répar-tition des coûts entre les différents représentants des médias est toujours basée sur un indicateur du chiffred’affaires publicitaire. Exemple : les médias participant à l’étude d’audience Presse paient une contribution

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calculée au prorata de leurs lecteurs (dernière période) par rapport au total des lecteurs (dernièrepériode) observé dans le terrain. Les médias peuvent également conclure des accords de répartition ausein de leur association professionnelle. Tel est le cas des émetteurs et des régies de télévision et de radioau sein de l’ABMA ou des afficheurs au sein de l’AEA.

Les coûts de l’étude stratégique centrale sont répartis moitié moitié entre les médias d’une part et entreles intermédiaires d’autre part. La quotité de chaque média est basée sur les chiffres des investissementspublicitaires réalisés au cours de l’année écoulée; la part de chaque média est calculée sur la même baseque la participation à l’étude tactique. La part des intermédiaires est calculée sur base du chiffre d’af-faires réalisé dans la sphère publicitaire. Seules les agences clients directs ou mentionnées par les cen-trales au moment de la déclaration annuelle du chiffre d’affaires, ont accès aux données CIM. Lesmêmes clés de répartition sont utilisées pour calculer la part de chacun dans les 5 % représentant la contri-bution des intermédiaires aux études tactiques.

Tous les chiffres utilisés sont contrôlés par la Structure Permanente du CIM, les budgets annuels approu-vés par des commissaires aux comptes puis soumis au vote de l’assemblée générale. Des conditions par-ticulières sont prévues pour les nouveaux intervenants (nouveaux titres ou nouvels intermédiaires).

Les annonceurs ne contribuent pas directement au financement des activités du CIM (à l’exception descotisations de ceux qui en sont menbres).

Cofinancent actuellement les études d’audience concernées par cette publication :

MEDIAS :

ACKROYD PUBLICATIONS

AUREX

AXELLE

BELGIPRESS.PUB

BELGOMEDIA

BEST OF PUBLISHING

BOERENBOND

BOND VAN GROTE EN JONGE GEZINNEN

BOOK & MEDIA PUBLISHING

CANAL+

CASCADE

CLICKX MAGAZINE

CLOSE MEDIA

CONCENTRA

CQFD

DE MORGEN

DE VLIJT

DE VRIJE PERS

DELHAIZE

DIMANCHE

DUPEDI

EDIBEL

EDITION VENTURES

EDITIONS CINE REVUE

EDITIONS DE L’AVENIR

EDITIONS RURALES

EDITIONS URBAINES

EMAP

FULL PAGE

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HALEWIJN

HARTOG UNION

INFORMATIONS ET PRODUCTIONS MULTIMEDIA

IPB

IPM

IP PLURIMEDIA

JOBAT

K.A.V.

KOOPJESKRANT

K.V.L.V.

LIGUE DES FAMILLES

MADAME FIGARO

MAGNET

MASS TRANSIT MEDIA

MEDIA OFFICE

MEDIA SELLING PLACE

MEDIA-SERVICE

MEDIASNOTDEAD

MEDIMÉDIA BELGIUM

NORD ECLAIR

OUT SOON

PERSGROEP

POINT DE VUE

PRESS NEWS

PRODUPRESS

PUBLICARTO

READER’S DIGEST

REGIE NUMBER ONE

REGIE PLUS

RGP

RMB

ROSSEL & Cie

ROULARTA MÉDIA GROUP

SANOMA MAGAZINES BELGIUM

SCRIPTA

SPARTA

SUD PRESSE

THE TICKET

TOURING

TVI EDITIONS

UITGEVERSBEDRIJF TIJD

V&V PUBLISHING

VACATURE.COM

VAKANTIEGENOEGENS

VAR

VMMa

VNU BUSINESS PUBLICATIONS

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VTB-VAB

VRT

VT4

VUM

INTERMEDIAIRES

Agences média :

CARAT CRYSTAL

CIA/MEDIALINE

INITIATIVE MEDIA

MEDIAFORCE

MINDSHARE

OMD BELGIUM

OPTIMÉDIA

SCHREINER & VAN BOKKEL

SPACE

UNIVERSAL MEDIA

ZENITH MEDIA

Agences de publicité :

7 BEAUFORT

ALTAVIA BELGIUM

DAD

DASSEL

DDB

DE KIE

DVN

EQUATOR-PALMARES

EQUINOX’COMMUNICATIONS

EURO-RSCG UNITED

FAST

G&CO

GBH ADVERTISING

GREY

GV/COMPANY

J. WALTER THOMPSON

KONCEPT

LDV BATES

LEO BURNETT BRUSSELS

LIELENS & PARTNERS

LOWE

MC CANN ERICKSON

MEDIA CONSEIL

MEDIA KNOW HOW

MP&S

OGILVY & MATHER

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PALMARES

PUBLICIS

QUATTRO D’ARCY

SAATCHI & SAATCHI

TBWA

VVL/BBDO

YOUNG & RUBICAM

Seules les sociétés mentionnées ci-dessus ont accès aux données d’audience concernées par cette publi-cation. Les fournisseurs de logiciels n’ont contractuellement pas le droit de diffuser les données à destiers. De même, les membres du CIM sont tenus au même devoir de réserve et ne peuvent utiliser les chiffresCIM que dans le cadre de leurs activités commerciales normales. Les entités désireuses de se fairemembres du CIM trouveront auprès de la Structure Permanente ou directement sur son site www.cim.betoutes les informations nécessaires à cet effet.

Le CIM confie au GRP Centre de documentation Willy CLAEYS, 91 avenue du Parc 1190 Bruxelles, les édi-tions des années anciennes de ses différentes études à destination du monde étudiant essentiellement.

Toute utilisation abusive des données lèse l’ensemble des partenaires du CIM amenés à supporter descoûts de plus en plus élevés pour compenser le manque à gagner des entités ne respectant pas leurs enga-gements. Une partie des données d’audience issues de la présente étude est également accessible surle site du CIM (www.cim.be).

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Objet de l’étude

Traditionnellement, l’étude CIM a pour objet de mesurer et décrire l’audience des principaux médias publi-citaires belges.

Cette étude se compose d’un noyau central, l’étude stratégique Plurimédia, sur lequel viennent se gref-fer les études tactiques, spécifiques chacune d’un média. L’étude stratégique Plurimédia se voit complétéed’un volet sur les produits et sur les marques.

Le réseau des études CIM

Jusqu’en 2000, l’étude Produits-Marques était réalisée une année sur deux, en face-à-face. Depuisjuin 2001, le volet Produits-Marques a pris la forme d’un questionnaire auto-complété remis parl’enquêteur à la fin de l’interview " média ". Les répondants participant à l’étude Plurimédia sontinvités par l’enquêteur (à la fin de l’interview en face-à-face) à répondre à l’étude Produits-Marques. Si le répondant accepte, l’enquêteur lui remet un questionnaire et lui demande de lecompléter personnellement quand cela lui convient pour ensuite le renvoyer à l’institut.

L’étude CIM PMPM ou Plurimédia-Produits-Marques s’articule donc autour de deux volets, dansle prolongement l’un de l’autre. Le premier, consacré au Plurimédia, comporte également l’étu-de tactique Presse et l’étude tactique Cinéma. L’enquête est réalisée au domicile des répondants,en face à face. Le second, consacré aux produits, marques et attitudes est réalisé auprès des mêmesrépondants, au moyen d’un questionnaire auto-complété. Une même personne participe donc auxdeux études. Il importe cependant de préciser que les répondants ne sont pas tous prêts à parti-ciper à ce volet supplémentaire et qu’une première acceptation ne signifie pas nécessairement unretour effectif du questionnaire complété. Sur base des résultats d’un test effectué précédemment,on estime pourvoir obtenir un taux de retour de ± 50%. Cela signifie donc que l’on dispose de don-nées " single-source " pour la moitié de l’échantillon Plurimédia puisque la totalité des informa-tions (aussi bien " Média " que " Produits ") est collectée auprès d’une même personne.

De plus, les deux questionnaires comportent une partie commune, les questions-crochets ouvariables de fusion, qui permettent de reconstruire les réponses “Produits” pour les répondants“Média” n’ayant pas répondu au questionnaire auto-complété de l’étude Produits-Marques.

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ETUDE STRATEGIQUE CENTRALE

PRODUITS,MARQUES,

(permanente)

± 5.500 interviews

PLURIMEDIA(permanente)

10.500 interviews

Fo

ETUDE TACTIQUEPRESSE

(permanente,même terrain que

PluriMédia)10.500 interviews

F1

ETUDE TACTIQUETV

Audimétrie(panel permanent)

1.500 ménages,4.500 individus

ETUDE TACTIQUECINEMA

(permanente,même terrain que

PluriMédia)10.500 interviews

ETUDE TACTIQUETRAFIC-AFFICHAGE

11.000 interviews 20.000 carnetsMetriWeb

ETUDE TACTIQUERADIO

ETUDE TACTIQUEINTERNET

F3F2 F4 F5 F6

M.D.B.(Media Data Base)

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Univers de référence et taux de sondage

L’univers de référence est constitué par l’ensemble des personnes (belges et étrangères) résidanten Belgique, âgées de 12 ans ou plus. La taille de cet univers a été déterminée par l’Institut Nationalde Statistique (I.N.S.) d’après le recensement réalisé en mars 1991, réactualisé au 1er janvier2001.

A cette date, la Belgique comptait 10 263 414 résidants dont 8 823 477 étaient âgés de 12 ans ouplus. Les interviews Média exploitables en finale sont au nombre de 10 123.

Le taux de sondage est égal à 8 823 477/ 10 123 = 871,6.

Cela signifie que chaque individu de l’échantillon représente en moyenne 872 individus de l’uni-vers de référence.

Répartition de l’échantillon

Les interviews doivent être réparties dans l’espace entre les 43 arrondissements du territoirebelge, proportionnellement à la population âgée de 12 ans et plus qui y habite. L’échantillon doitégalement être représentatif par trimestre.

Méthode d’échantillonnage

Les changements les plus importants par rapport aux publications antérieures se situent indé-niablement au niveau de la méthode d’échantillonnage. Il s’agit d’une donnée primordiale qu’ilne faut pas perdre de vue lorsque l’on souhaite réaliser des analyses évolutives. Dans ce qui suit,nous allons analyser plus en détails ce qui était d’application dans le passé et ce qui a été modi-fié dans l’étude actuelle.

Les différentes étapes de la procédure utilisée sont les suivantes :

I. Répartition des interviews dans l’espace

Cette première étape de la procédure d’échantillonnage reste inchangée par rapport à l’annéepassée.

La répartition des interviews sur l’ensemble du territoire belge répond toujours à un premier critère géo-graphique. À chaque arrondissement (il y en a 43 en Belgique), est attribué un nombre d’interviews àréaliser, proportionnel au nombre de personnes âgées de 12 ans et plus qui y habitent. Ce total est ensui-te réparti, par arrondissement, en groupes de 4 interviews, excepté pour Bruxelles, pour le Brabant wal-lon et pour le Brabant flamand où seulement 2 interviews sont réalisées par point de chute. Le nombrede points de chute nécessaires est ainsi déterminé pour chaque arrondissement.

Dans un deuxième temps, les points de chute de chacun des arrondissements sont attribués à certainsquartiers INS.

Chaque arrondissement est composé de différentes communes, lesquelles se divisent à leur tour en quar-tiers. Un fichier de l’Institut National de Statistique regroupe tous les quartiers (et donc les noms des ruesqui les composent) assortis de leur densité de population. C’est ce fichier qui permet de déterminer, parpoint de chute, le quartier où l’enquêteur doit travailler.

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II. Détermination des adresses

L’étape suivante dans la procédure d’échantillonnage reste invariablement le tirage aléatoired’adresses au sein de chacun des quartiers sélectionnés. C’est à ce niveau cependant que sont enre-gistrées les différences les plus marquantes avec les publications passées.

Auparavant, 4 adresses étaient ainsi tirées par quartier sélectionné (ou 2 pour Bruxelles, leBrabant flamand et le Brabant wallon).

Les adresses sélectionnées étaient des adresses non nominales. Il s’agissait, dans chaque ménage,d’interviewer la personne dont la date d’anniversaire était la plus proche de la date d’interview.C’est ce qu’on appelle la méthode Kish. De plus, il arrivait que ces adresses correspondent à desadresses non utilisables (logements non existants, bureaux, entrepôts…). Dans ce cas, l’enquêteurpouvait remplacer l’adresse initiale en appliquant la technique du " random walk " (en pratique,contacter la première habitation à gauche de l’adresse initiale).

Cette méthode d’échantillonnage présentait un gros désavantage : elle n’offrait pas à chaque indi-vidu une chance égale d’être sélectionné. A titre d’exemple, un individu appartenant à un ména-ge de 4 personnes avait quatre fois moins de chance d’être tiré au sort qu’un individu apparte-nant à un ménage d’une personne. Jusqu’à il y a peu, la méthode se rapprochant le plus de l’échan-tillonnage aléatoire était cependant celle-ci. Aujourd’hui, des fichiers répertoriant l’ensemble desménages belges sont disponibles sur le marché. Mention est faite de l’adresse et de la composi-tion du ménage, mais pas des noms et prénoms.

Ces fichiers présentent les avantage suivants :

- Un échantillon de personnes peut immédiatement être tiré, écartant de la sorte tout risque debiais lié à la taille du ménage.

- Le nombre d’adresses inutilisables est réduit à un minimum.

- Des adresses de remplacement peuvent également être immédiatement tirées, ce qui rend la pro-cédure de remplacement plus contrôlable.

Le CIM a demandé à TNS Média, en charge du tirage de l’échantillon, d’utiliser ce type de fichier.On est par conséquent passés d’un échantillonnage de ménages à un échantillonnage de personnes.

III Détermination des personnes à interroger

Pour chaque enquête à réaliser, l’enquêteur dispose maintenant d’une feuille de route avec 5adresses. A nouveau, ces adresses ne sont pas nominales, mais font mention du sexe et de l’âgede la personne à interroger. Ces renseignements sont en effet disponibles dans le nouveau fichierde population évoqué ci-dessus.

Les 5 adresses d’une feuille de route renvoient naturellement toutes au même quartier INS et fontmajoritairement mention d’un même sexe et d’un même groupe d’âges. Seule la personne d’âgeet de sexe correspondant peut être interrogée. Son remplacement par un autre membre duménage (âge et sexe différents), habitant lui aussi à l’adresse sélectionnée, est exclu.

La procédure de contact prévue initialement obligeait l’enquêteur à se rendre à la première adres-se de sa liste et à y établir un premier contact entre 9 heures et 22 heures, n’importe quel jour dela semaine. Si personne n’était présent à l’adresse visitée, l’enquêteur devait y retourner unautre jour, à un autre moment. La règle était alors la suivante : si la première visite avait eu lieuavant 17h, la deuxième visite devait avoir lieu après 17h. Après deux tentatives vaines ou aprèsun refus, l’enquêteur pouvait passer à la deuxième adresse. Ici aussi en cas de refus ou de visiteinfructueuse (après deux essais), l’enquêteur pouvait passer à la troisième adresse. Et ainsi de suite.

Dans la pratique, cette procédure rigoureuse s’est vite heurtée à de nombreuses limites. Lesenquêteurs perdaient énormément de temps en déplacement. Le nombre d’enquêtes exigées parjour, par semaine et par mois devenait très difficilement atteignable. Ceci explique en grande par-tie pourquoi le terrain a du être prolongé jusqu’au 15 juillet 2002. De plus, les enquêteurs se sonttrouvés de plus en plus démotivés, et cela s’est traduit par de nombreux abandons.

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Un assouplissement s’imposait donc. Début janvier 2002 l’ensemble des enquêteurs concernés ontété rebriefés avec de nouvelles instructions.

Pour réaliser leur premier contact, les enquêteurs peuvent maintenant commencer par n’impor-te quelle adresse de leur feuille de route et peuvent essayer de les contacter successivement toutesles cinq. L’ordre suivant lequel ces adresses sont visitées est laissé à leur libre choix. Ce premier contactdoit cependant être établi après 14h.

Pourquoi autoriser l’utilisation de ces 5 adresses pour un premier contact ?

Parce que l’on constate que les profils des personnes désignées sur la feuille de route sont fortssemblables : sexe identique, classe d’âges identique et quartier identique (en général).

Pourquoi ce premier contact doit-il maintenant avoir lieu après 14h, et non plus après 9h commec’était le cas auparavant ?

Parce que l’on souhaite réduire le risque de sur-représentativité des inactifs.

Si aucune enquête n’est obtenue après une première visite à ces 5 adresses, les adresses encoreutilisables (c’est-à-dire celles pour lesquelles il n’y avait personne à la maison au moment de la pre-mière visite ou lorsque la personne à interroger était absente) doivent être revisitées. Ce deuxiè-me contact doit être établi après 17 heures, soit par revisite, soit par téléphone. Un deuxième contacttéléphonique n’est possible que si l’enquêteur a pu se procurer un numéro de téléphone lors desa première visite. Le contact téléphonique n’est utilisé que pour fixer un rendez-vous.

Si la personne désignée est présente et accepte l’interview, celle-ci peut avoir lieu directement ouà un autre moment choisi par la personne à interroger. De même, si la personne désignée est absen-te (la porte a été ouverte par un autre membre du ménage), l’enquêteur doit prendre rendez-vous.Lorsque la personne sollicitée refuse l’interview, l’enquêteur passe à une autre adresse de la feuillede route.

Le terrain dans les régions " bilingues ", à savoir Bruxelles, le Brabant flamand et le Brabant wal-lon, pose un problème additionnel : celui de la réelle proportion de francophones et de néer-landophones en l’absence de toute référence officielle. Pour pallier cette difficulté et afin de pré-server le caractère aléatoire de la méthode, le CIM a décidé de n’employer que des enquêteursbilingues pour ces trois régions, de sorte que chaque adresse puisse déboucher sur une interview.Le bilinguisme des enquêteurs travaillant dans ces régions est consciencieusement contrôlé parle CIM.

IV. Les adresses de remplacement

L’enquêteur est tenu de prendre contact avec l’institut de terrain concerné à chaque fois qu’il n’apas pu réaliser d’enquête avec les 5 adresses de sa feuille de route. L’institut lui remet alors 5 adressesde remplacement, pour un même quartier INS et généralement pour le même sexe et la mêmeclasse d’âges que les adresses initiales. La procédure de sélection du répondant est la même quecelle utilisée avec les 5 adresses de départ (cfr supra).

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V. Processus de sélection du répondant

VI. Conséquences de la modification de la méthode d’échantillonnage

La modification de la méthode d’échantillonnage a sans aucun doute eu un impact important surles résultats de cette année. En passant d’une sélection de ménages à une sélection de per-sonnes, nous avons pu éliminer le biais de surreprésentation des plus petits ménages. L’impact decette modification est avant tout perceptible dans les résultats de la taille du ménage du répon-dant.

Nous comparons ici les résultats bruts de la composition du ménage de l’année passée (échantillonde ménages) avec ceux de cette année (nouvel échantillon de personnes).

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Remplacement parune autre adresse

de la feuille de route

Recontact à date & heure

convenues

Rendez-vous

REALISATION INTERVIEW

Feuille de route avec 5 adressesrue + numéro / boîte

sexe & âge

Quelqu’un présent Personne présent

Première visite à une des adresses de la liste APRES 14 h

Un membre du ménage correspond-il à la descriptionen terme d’âge et de sexe ?

Oui Non

Répondant absent Répondant présent

Répondant accepte immédiatement interview

Répondant accepteinterview différée

Répondant refuseinterview

Si aucune enquête ni rdv dans les 5 adresses deuxième

contact obligatoire APRES 17h pour toutes les adresses, sauf

refus reprise de la procédure

Si toutes possibilités épuisées demander

5 adresses de remplacement

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Composition du ménage : nombre de personnes dans le ménage (y compris le répondant)ain 2000-2001 Terrain 2001-2002

Terrain 2000-2001 Terrain 2001-20021 personne 19% 13%

2 personnes 32% 30%

3 personnes 17% 20%

4 personnes et plus 32% 36%

Le changement évoqué ci-dessus a également influencé d’autres variables.

Etant donné que cette nouvelle procédure tend à réduire le nombre d’interviews réalisées au seinde ménages d’une personne, la proportion de PRA et de PRR au sein de l’échantillon a, elle aussi,diminué. Cela paraît logique : dans les ménages d’une personne, le répondant est en effet par défi-nition le PRA et le PRR également. Dans un ménage de deux personnes cette chance n’est plusque de 1 sur 2, dans un ménage de quatre personnes de 1 sur 4.

Pour illustrer ces propos, nous reprenons ci-dessous le pourcentage de PRA et de PRR au sein del’échantillon brut de l’année dernière versus cette année.

Le répondant : Terrain 2000-2001 Terrain 2001-2002Est PRA 58% 51%

N’est pas PRA 42% 49%

Est PRR 55% 50%

N’est pas PRR 45% 50%

Il est évident que le fait d’avoir interrogé moins de ménages d’une personne a également influen-cé d’autres variables socio-démographiques déterminant le profil de ces ménages, comme l’âge,le niveau d’instruction et d’autres indices liés à ceux-ci comme les lifestages ou les groupessociaux. Ces effets ne transparaissent pas tous dans les résultats de cette étude, une pondérationde certains de ces critères ayant été réalisée sur base des chiffres officiels de l’INS (cfr infra).

L’impact de l’assouplissement de la procédure de contact (opéré en janvier 2002) a été analysé luiaussi. Durée d’interview, profil des répondants, résultats de divers paramètres clés (comme l’au-dience totale ou la LDP) sont autant d’éléments qui ont été examinés en détails. A ce niveau, lesenquêtes " avant " et " après " assouplissement ne diffèrent pas significativement.

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Redressement de l’échantillon

Théoriquement, on ne redresse pas un échantillon aléatoire supposé parfaitement représentatif de lapopulation dont il est extrait.

Dans la pratique cependant, un échantillon même quasi aléatoire est rarement parfaitement représen-tatif parce que l’enquêteur se heurte à des absences comme à des refus. Plus encore, le taux de partici-pation varie en fonction du sexe de la personne contactée, de son âge, de ses occupations, de la régionoù elle habite et de ses opinions quant aux études de marché, tout paramètre non maîtrisable dans laconstitution d’un échantillon.

D’autres facteurs plaident également en faveur d’un redressement de l’échantillon : la nécessité d’êtrereprésentatif non seulement sur l’ensemble de la population mais également sur différentes sous-caté-gories et la volonté de comparaison entre les éditions successives d’une même étude ou entre différentesétudes portant sur le même thème.

Notons cependant qu’il importe à nouveau de demeurer prudent lors d’une éventuelle compa-raison avec les résultats des études d’audience précédentes. Ne perdons en effet pas de vuequ’une autre méthode d’échantillonnage a été choisie, à savoir un échantillonnage de “personnes”et non plus de “ménages”.

I. Critères de redressement sur base des chiffres fournis par l’INS

Les critères retenus sont les suivants :

• sexe * âge * province (2 * 3 *11 modalités)

• sexe * âge * Nielsen (2 * 15 * 3 modalités)

• sexe * new habitat CIM (2 * 11 modalités)

• jour * sexe * Nielsen (6 * 2 * 2 modalités)

• jour * Nielsen III (6 * 1 modalité)

• sexe * Profession (2 * 11 modalités)

Note : les modalités représentent le nombre de valeurs que peut prendre une variable. Il y en a deuxpour le sexe, onze pour les provinces, six pour les jours de la semaine (samedi-dimanche sont confon-dus), etc. Les régions Nielsen sont regroupés en Nielsen I + Nielsen II et en Nielsen IV + Nielsen V ; ce quinous donne les deux modalités “Nielsen” pour le critère “jour * sexe * Nielsen”. Nielsen III est toujoursconsidéré à part. Le petit nombre d’observations en Nielsen III ne permet pas de redresser l’échantillonsur le critère “jour * sexe * Nielsen”, ce qui explique la présence d’un critère supplémentaire “jour * NielsenIII” distinct.

On sait que le redressement de l’échantillon est nécessaire dans la mesure où l’échantillon réalisé n’estjamais parfaitement aléatoire. Toutes les personnes interrogées n’auront donc pas la même “valeur” ;certaines d’entre elles représentent des groupes plus difficiles à atteindre (les hommes actifs, parexemple) et se verront attribués un poids plus important que la moyenne. D’autres, plus faciles à joindreou plus conciliantes (les femmes ou les inactifs, par exemple) auront un poids moindre. Comme on nemaîtrise pas l’ensemble des variables différenciant les individus, il vaut mieux cependant ne pas attri-buer un poids excessivement faible ou excessivement élevé à une personne interrogée. Le poids idéal,— si l’échantillon était parfait —, est égal au taux d’échantillonnage (soit 1 en termes relatifs). On esti-me que le redressement est acceptable lorsque aucun poids n’est inférieur à 0,4 ou supérieur à 3.

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Pour information, voici la nouvelle courbe de distribution des poids correspondant au redresse-ment de l’échantillon actuel.

Poids Effectif absolu Effectif relatif0,5 3 0,0

0.6 126 1,2

0,7 833 8,2

0,8 1 852 18,3

0,9 2 214 21,9

1,0 1 809 17,9

1,1 1 272 12,6

1,2 822 8,1

1,3 459 4,5

1,4 260 2,6

1,5 150 1,5

1,6 135 1,3

1,7 51 0,5

1,8 27 0,3

1,9 10 0,1

2,0 20 0,2

2,1 16 0,2

2,2 11 0,1

2,3 9 0,1

2,4 9 0,1

2,5 15 0,1

2,6 2 0,0

2,7 2 0,0

2,8 3 0,0

2,9 3 0,0

3,0 10 0,1

Total 10 123 100

II. Critères de redressement hors INS

Nous disposons de chiffres de référence officiels de l’INS pour les critères repris au point précédent.Cependant, des études ont démontré dans le passé l’importance des critères socioprofessionnels dansla valeur d’un échantillon. Un échantillon non représentatif sur cette dimension donne réellement unevue biaisée sur les comportements médias étudiés. La seule information disponible auprès de l’INS et com-patible avec les définitions en usage au sein du CIM, qui s’est conformé à la nomenclature prônée parEsomar, est la proportion d’actifs/non actifs par sexe. C’est pourquoi il a été décidé de redresser l’échan-tillon selon la procédure décrite au point précédant puis de redresser la proportion d’actifs/inactifs surle chiffre donné par l’INS.

A la date du 1/1/2001 (dernières références INS disponibles à ce niveau) ces valeurs, pour la popu-lation des 12 ans et plus, sont les suivantes :

Actifs Inactifs TotalHommes 26,66% 21,87% 48,53%

Femmes 19,63% 31,84% 51,47%

Total 46,29% 53,71% 100,00%

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Déroulement de l’enquête

Le terrain “Presse, Cinéma, Plurimédia” s’est déroulé du 15/06/2001 au 15/07/2002 et compte 10 123 enquêtes. TNS Media a réalisé 5 577 enquêtes, IPSOS Brussels en compte 4 546 à son actif.

Sélection et formation des enquêteurs

Le terrain de TNS Média a été réalisé par 106 enquêteurs travaillant pour NID. IPSOS Brussels ade son côté travaillé avec 76 enquêteurs. Les deux instituts ont briefé tous leurs enquêteursavant le démarrage du terrain, et ce sur base d’un briefing détaillé, élaboré en étroite collabo-ration avec la Structure Permanente du CIM. Le bilinguisme des enquêteurs travaillant à Bruxelles,ainsi qu’en Brabant flamand et wallon, a été contrôlé de manière stricte par la StructurePermanente.

Contrôles exercés par les instituts et par le CIM

I. Contrôles exercés par les instituts

Pratiquement un tiers des enquêtes Presse-Cinéma-Plurimédia, réalisées en face-à-face par les enquê-teurs, font l’objet de contrôles téléphoniques initiés par les deux instituts en charge du terrain.Tous les enquêteurs sont systématiquement contrôlés de la sorte.

A la demande de la Structure Permanente, un enquêteur douteux fera l’objet de contrôles com-plets de la part de l’institut de terrain concerné. Le contrôle téléphonique vise à vérifier que l’en-quête a bien eu lieu dans les circonstances décrites dans le briefing et que l’enquêteur a effecti-vement utilisé les logos et les cartes-réponses prévus. Certains renseignements essentiels sont col-lectés simultanément.

Composition socio-démographique des échantillons, évolution des audiences, évolution de la pos-session de certains biens sont autant de paramètres analysés mensuellement par les deux instituts.La répartition des enquêtes par jour de la semaine est un autre indice rigoureusement contrôlé.Enfin, le nombre d’enquêtes réalisées par an et par enquêteur est aussi vérifié afin de ne jamaisfranchir la limite maximale autorisée des 400 enquêtes annuelles par enquêteur.

II. Les contrôles exercés par le CIM

La Structure Permanente a poursuivi ses activités de contrôle sur base des fichiers bruts desenquêtes. Ces contrôles sont effectués en parallèle avec ceux exercés par les instituts. Des rapportssont communiqués aux Commissions Techniques concernées. La plupart des contrôles consistenten la comparaison des données concernant les enquêtes, les enquêteurs, les personnes interro-gées ou les variables étudiées par rapport aux moyennes observées et par rapport aux normes enusage. C’est ainsi que chaque nouveau fichier sert de référence pour lui-même tout en étant com-paré aux fichiers précédents (du même terrain et des terrains précédents) ou aux objectifs chif-frés (quotas imposés comme le nombre d’enquêtes à réaliser par mois ou par arrondissement ouchiffres INS). Les résultats de ces contrôles sont analysés mensuellement avec les instituts concer-nés, afin de pouvoir prendre toute mesure s’averrant utile. C’est de cette façon que la StructurePermanente a décidé de rejeter environ 400 enquêtes ne répondant pas aux critères de qualitémentionnés ci-dessus. Certains enquêteurs ont également été invités à passer une enquête test

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individuelle avec un membre de la Structure Permanente, pour ensuite recevoir un feed-back indi-vidualisé, voir un complément de briefing ciblant le(s) problème(s) constaté(s).

Il s’agit bien sûr pour la Structure Permanente d’exercer une pression réelle afin d’obtenir un ter-rain de qualité. Mais il s’agit surtout de comprendre ce qui se passe sur le terrain afin de pouvoirexpliquer les éventuelles anomalies décelées dans les chiffres. Le CIM bénéficie en l’occurrence d’unetransparence quasi absolue de la part des instituts partenaires.

La Structure Permanente est parfaitement tenue au courant par les deux instituts des différentsaléas de terrain, ce qui lui permet de réagir en conséquence et de garantir la fiabilité des don-nées publiées.

Valeurs clé du terrain écoulé

I. Répartition des enquêtes par province et par mois.

Province Objectif total Enquêtes réaliséesAnvers 1 696 1 603

Brabant flamand 1 048 974

Brabant wallon 352 320

Bruxelles (19 communes) 980 834

Fl. Occ. 1 180 1 162

Fl. Or. 1 420 1 408

Hainaut 1 316 1 316

Liège 1 048 998

Limbourg 816 769

Luxembourg 248 263

Namur 456 476

Total 10 560 10 123

Les 10 560 enquêtes ont été réparties en 4 trimestres. 2 640 enquêtes devaient donc être réali-sées par trimestre, ce qui correspond à une moyenne de 880 enquêtes par mois.

Plusieurs raisons peuvent être avancées pour expliquer le manque d’enquêtes considérable auquella Structure Permanente s’est trouvée confrontée, et ce principalement pendant la période desvacances d’été : le démarrage en retard du terrain, qui plus est à la veille des " grandes vacances",la nouvelle procédure de sélection du répondant, le nombre élevé d’enquêtes rejetées par laStructure Permanente, la difficulté de trouver des enquêteurs bilingues prêts à travailler àBruxelles, et d’autres encore. Il a donc été décidé de ne pas clôturer le terrain le 15 mai commeprévu initialement mais de le prolonger de 2 mois. Ceci afin de combler le retard en terme d’en-quêtes réalisées mais également afin de garantir une meilleure saisonnalité.

Enfin, pour être complet, signalons qu’une année CIM " classique " démarre le premier mai et setermine le 30 avril de l’année suivante. Tout est mis en œuvre pour que ces dates soient à nou-veau respectées pour l’étude 2002-2003.

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Par mois, les enquêtes “Média” se répartissent de la manière suivante :

Objectif mensuel Enquêtes réaliséesTRIM 1 : " ETE "

Juin 2001 880 117

Juillet 2001 880 521

Août 2001 880 633

TRIM 2 : " AUTOMNE "

Septembre 2001 880 640

Octobre 2001 880 794

Novembre 2001 880 688

TRIM 3 : " HIVER "

Décembre 2001 880 576

Janvier 2002 880 1 043

Février 2002 880 887

TRIM 4 : " PRINTEMPS "

Mars 2002 880 866

Avril 2002 880 795

Mai 2002 880 947

TRIM 1 : " ETE "

Juin 2002 0 1 064

Juillet 2002 0 552

Total 10 560 10 123

Les aléas de terrain que nous avons évoqués (disponibilité des enquêteurs et des personnes inter-rogées, principalement), ont pour effet que le nombre idéal d’enquêtes n’est pas toujours atteint.

Le recrutement d’enquêteurs bilingues pour la région de Bruxelles-Capitale et pour le reste duBrabant pose évidemment un problème additionnel. De plus, dans les régions urbaines, les enquê-teurs se trouvent de plus en plus confrontés à une série de problèmes peu favorables à leur moti-vation : présence de nombreux étrangers ne maîtrisant ni le français, ni le néerlandais, quartiersdécrits comme " dangereux " et/ou considérés comme tels, problèmes de parking, inaccessibilitédes immeubles à appartements,…et d’autres encore. Ne perdons pas de vue non plus que la pro-cédure de contact a considérablement alourdi la charge de travail de l’enquêteur. Là où aupara-vant chaque adresse signifiait un répondant effectif (il fallait interroger le membre du ménagede l’adresse sélectionnée ayant fêté son anniversaire le dernier), la nouvelle procédure de contacta aujourd’hui considérablement changé la donne. L’enquêteur travaille maintenant sur based’un échantillon de " personnes " et lorsqu’il arrive à une adresse, c’est un individu d’un sexe etd’un âge déterminé qu’il doit trouver. Si ce n’est pas le cas, soit parce qu’il n’y a personne qui cor-respond à la description à l’adresse sélectionnée, soit parce que le contact échoue (même aprèsplusieurs essais), l’enquêteur doit passer à une autre personne de sa feuille de route,… etreprendre la procédure depuis le début. Et ainsi de suite jusqu’au moment où il trouvera un indi-vidu repris sur sa feuille de route à l’adresse correspondante, individu qui doit encore accepter d’êtreinterrogé.

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II. Durée moyenne des enquêtes et taux de réponse

La durée moyenne des enquêtes CAPI est de 44’20’’. Pour réaliser nos 10 123 enquêtes, 35 013adresses ont été nécessaires et 47 782 contacts réalisés. Ci-dessous la répartition des contacts réa-lisés en fonction du résultat obtenu.

Terrain “Média”Nombre total de contacts réalisés 47 782

Adresse inexistante 1,1 %

Personne à la maison 31,9 %

Personne inexistante 4,5 %

Hors groupe-cible 2,3 %

PI pas à la maison 5,2 %

PI absente durant cette période 2,7 %

Refus 22,9 %

Enquête 21,2 %

Rendez-vous 8,3 %

III. Rang de l’adresse

Le CIM contrôle également le rang de l’adresse utilisée par l’enquêteur.

Pour chaque enquête à réaliser, l’enquêteur part d’une liste de 5 individus, chacun d’entre eux rési-dant à une adresse différente, définie à l’avance. Les personnes à interroger son uniquement décritesen termes de sexe et d’âge, sans aucune mention de leurs noms.

La première adresse utilisée par l’enquêteur porte le rang 1. Si l’enquêteur ne parvient pas à réa-liser une interview avec la personne souhaitée, à l’adresse indiquée, il peut sélectionner une autreadresse parmi les 5 de sa liste. Plus le rang de l’adresse utilisée est élevé, plus l’enquêteur a utili-sé d’adresses pour trouver la personne désignée.

Rang de l’adresse Terrain " Média "rang 1 28,6 %

rang 2 17,2 %

rang 3 13,3 %

rang 4 10,8 %

rang 5 15,0 %

rang 6 3,5 %

rang 7 2,3 %

rang 8 2,0 %

rang 9 1,7 %

rang 10 et + 5,5 %

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IV. Rang du contact

Nous l’avons dit, les répondants potentiels ne sont pas tous également accessibles. C’est pourquoile CIM a imposé un système de revisites. Un échantillon composé uniquement de personnes choi-sies au premier contact n’a rien d’aléatoire.

Un rang du contact égal à 1 signifie que l’enquêteur est parvenu à réaliser son enquête lors dela première visite à la première adresse. Signalons que 3 contacts sont possibles par adresse. Iciaussi plus le rang du contact est élevé plus l’enquêteur a réalisé de contacts (et probablement uti-lisé d’adresses) pour effectuer son enquête.

Rang du contact Terrain " Média "rang 1 19,3 %

rang 2 18,2 %

rang 3 13,4 %

rang 4 10,0 %

rang 5 8,9 %

rang 6 7,5 %

rang 7 4,9 %

rang 8 3,9 %

rang 9 2,6 %

rang 10 et + 11,2 %

On constate qu’il faut plus de tentatives de contacts pour toucher les hommes et les actifs.

Les personnes plus difficiles à toucher ont tendance à citer plus de titres, qu’il s’agisse de titres lusau cours des derniers mois, au cours de la période de référence ou de noms d’émetteurs TV regar-dés au cours des derniers mois. Il en va de même pour les auditeurs radio et pour les spectateurscinéma. Notre seul but ici est de souligner la nécessité des revisites pour préserver la représenta-tivité de l’échantillon

Des chiffres ci-dessus, nous pouvons déduire qu’en moyenne, pour obtenir une enquête, 3,5adresses sont visitées et 4,7 contacts réalisés.

V. Répartition des enquêtes “Média” par jour nommé

Cette variable entre dans la procédure de redressement. Rappelons qu’elle ne peut être imposéepar quotas dans la mesure où la personne à interroger est libre de fixer un rendez-vous. Si cetterépartition était parfaite, 16,67 % des enquêtes seraient réalisés chaque jour. Réaliser des inter-views le dimanche reste particulièrement difficile. La majeure partie des enquêtes effectuées leweek-end le sont donc le samedi. Il n’est cependant pas interdit de fixer un rendez-vous ledimanche. La répartition des enquêtes par jour de la semaine est la suivante :

Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Week-End16.7% 18.2% 20.0% 17.7% 14.4% 13.0%

Année après année, nous constatons qu’une répartition équilibrée entre les jours de la semainereste difficilement atteignable. Ce sujet a été longuement débattu avec les instituts en charge duterrain. Ceux-ci soulignent qu’il s’agit principalement d’un problème lié au répondant, répondantqui peut en effet fixer un rendez-vous avec l’enquêteur au moment qui lui convient le mieux. Celaexplique par exemple pourquoi certains jours ont plus de succès que d’autres.

Ne perdons pas non plus de vue que les enquêteurs travaillent maintenant sur base de feuilles deroutes qui, en plus d’une adresse, font mention d’un sexe et d’un âge. Ce dernier élémentexplique vraisemblablement en partie le succès du mercredi.

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L’accès aux données

Le CIM a voulu étendre le renouvellement et la modernisation de ses outils à la forme de la mise à dis-position de ses données.

Comme auparavant, nous pouvons distinguer trois niveaux d’accès aux données CIM. Au niveaudu contenu, celles-ci restent parfaitement comparables aux données antérieures, mais elles sontmaintenant accessibles aux membres souscripteurs via le site web du CIM et au moyen d’un motde passe.

Ces trois niveaux sont les suivants :

- Le CIM Trek, le moteur de tri, accessible aux membres souscripteurs via le site web du CIM,et comparable à l’ancien CD-ROM.

- La fiche CIM, présentée en format PDF, qui correspond aux anciennes fiches imprimées ras-semblées dans leur classeur traditionnel.

- L’exploitation via un fournisseur de logiciels.

Nous allons revenir sur chacun de ces niveaux. Pour rappel : les données CIM sont uniquement acces-sibles aux membres du CIM qui en ont assuré le cofinancement. Il leur est bien entendu permisd’utiliser ces données à des fins commerciales, mais non de les diffuser à titre gratuit ou payanten dehors de leurs clients immédiats.

Les publications

I. CIM Trek

Il ne faut pas perdre de vue qu’il s’agit là du support majeur de publication pour le CIM. Tous lesbesoins des utilisateurs ont été pris en compte pour réaliser ce CIM Trek. Que ce soit pour impri-mer des fiches préprogrammées, pour en imprimer d’autres sur des sous-univers particuliers oupour en composer de nouvelles à son gré, le programme de récupération des données vous per-met, comme avant avec le CD-ROM, d’accomplir facilement, en un minimum de manipulations,ce qui nécessitait avant de nombreuses consultations et retranscriptions de documents imprimés.De plus, le CIM Trek fourmille de liens en hyper-texte pour la plupart des critères utilisés.

Le CIM Trek est trilingue (français, néerlandais, anglais). L’utilisateur peut passer d’une langue àl’autre à tout moment et retrouver toutes les informations traditionnellement contenues dans unefiche CIM. C’est donc sur le CIM Trek que l’on trouvera également toutes les informations concer-nant le ménage de la personne interrogée. Certaines informations ont été éclatées (comme l’âge,par exemple) en unités plus petites. D’autres, comme les groupes sociaux, sont données sous laforme des différentes modalités habituelles et sous la forme des regroupements les plus fréquents.

Pour chaque titre, le CIM Trek permet de choisir entre une fiche nationale (portant sur l’ensemblede l’univers) et une fiche linguistique (filtrée sur la langue du répondant dans le ménage). Un titre(ou une combinaison de titres) unilingue pourra donc se définir par rapport à l’ensemble de laBelgique et par rapport à son lectorat potentiel naturel, à condition de disposer d’un minimumde 50 observations.

De plus, le CIM Trek comporte toute une série de fiches portant sur des combinaisons de titres répon-dant à des entités tarifaires réelles. Ces fiches sont dédupliquées et portent donc sur les lecteursnets des titres concernés.

Enfin, le CIM Trek permet de préparer des tableaux personnalisés en filtrant les informations dési-rées selon différents critères (titres ou combinaisons de titres, variables socio-démographiques, et

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sous-univers) fixés par l’utilisateur. Ces sélections peuvent alors être exportées directement dansn’importe quelle autre application informatique, tableur ou traitement de texte.

II. Fiche CIM

Pour rappel, la fiche CIM est essentiellement axée sur la personne interrogée. Les critères pris enconsidération restent inchangés par rapport à la dernière publication. Il va de soi que toutes cesinformations se trouvent in extenso sur le CIM Trek. Précisons encore que pour des raisons de ratio-nalisation, la fiche CIM publiée à présent sous format PDF est rédigée en anglais.

L’exploitation des données par des fournisseurs de logiciels

Le CIM a décidé de valider l’exploitation de ses données par trois fournisseurs de logiciels.

Les souscripteurs sont libres de choisir un ou plusieurs fournisseurs de logiciels avec l’assurance d’ob-tenir des chiffres pratiquement identiques pour ce qu’on a appelé les traitements de base(Ranking, Cross et Eval). Ce principe d’unicité des sources et d’unicité des résultats ne s’étend pasaux traitements plus complexes (croisement avec d’autres sources de données, segmentations, ana-lyses typologiques, analyses discriminantes, ...) que ces fournisseurs auraient envie de proposer àleurs clients. De même, chacun sera libre de présenter des applications sous quelque forme quece soit. Les fournisseurs sont également libres de traiter tout ou une partie seulement des don-nées.

La liste des fournisseurs est la suivante :

Fournisseurs Adresse Téléphone ContactTNS MEDIA Square F.Riga, 30 -

1030 Bruxelles 02/240 50 00 Alain COLLET

INRA BELGIUM Avenue de la Couronne, 159-165 - 1050 Bruxelles 02/642 47 11 Nathalie ROBIN

ANT RESEARCH Rue Théophile Vander Elst 106 - 1170 Bruxelles 02/675 22 94 Laurent MOREAU

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Les variables socio-démographiques

Ces variables sont de deux types : certaines sont directement issues de la collecte des données commel’âge, le sexe ou la profession de la personne interrogée. D’autres sont le résultat de calculs réalisés surbase de données élémentaires comme les groupes sociaux, les habitats ou les étapes de la vie.

Le sexe et la notion de PRA

Ce critère décliné en trois modalités (hommes, femmes, PRA) est toujours croisé avec tous les autres.

Le PRA est le Principal Responsable des Achats. Les enquêteurs expérimentés sont particulièrement bienfamiliarisés avec cette notion, qui fait généralement office de critère de sélection pour la réalisation d’en-quêtes ad hoc dans le secteur des fast moving products. Théoriquement, il ne devrait y avoir qu’un seulPRA par ménage.

La notion de PRR

Depuis la sortie de l’étude 1998-1999, la notion de PRR ou Principal Responsable des Revenus remplacecelle de chef de ménage.

Âge de la personne interrogée

L’âge est bien évidemment une donnée continue. Les fournisseurs de logiciels sont libres de proposerles regroupements qu’ils souhaitent. La fiche CIM reprendra les classes suivantes :

de 12 à 14 ansde 15 à 24 ansde 25 à 34 ansde 35 à 44 ansde 45 à 54 ansde 55 à 64 ans65 ans et plus

15 ans et plus

de 18 à 44 ans

Le CIM Trek reprendra les classes suivantes :

de 12 à 14 ansde 15 à 20 ansde 21 à 24 ansde 25 à 29 ansde 30 à 34 ansde 35 à 39 ansde 40 à 44 ansde 45 à 49 ansde 50 à 54 ansde 55 à 59 ansde 60 à 64 ans65 ans et plus

15 ans et plus

de 18 à 44 ans

de 18 à 54 ans

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Catégorie socio-professionnelle de la personne interrogée

Pour ce critère, les différentes catégories préconisées par ESOMAR ont été prises en considération. Cescatégories, pour fondées qu’elles soient, ne nous permettent cependant pas d’utiliser les normes INS quine se réfèrent malheureusement pas aux mêmes catégories. Les seules valeurs comparables sont la pro-portion d’actifs et d’inactifs. Cette proportion est également indiquée sur la fiche CIM comme sur le CIMTrek.

Disponibles chez les fournisseurs de logiciels Repris sur la fiche CIMet accessibles via le CIM Trek

A Indépendant

1 Agriculteur (- 15 ha) Agriculteur

2 Agriculteur (15 ha et +) Agriculteur

3 Artisan, commerçant avec 5 salariés ou moins Artisan, petit commerçant

4 Industriel, gros commerçant avec 6 salariés ou plus Cadre supérieur

5 Profession libérale Cadre supérieur

B Employé (secteurs public et privé)

6 Membre de la direction générale, cadre supérieur responsable de 5 salariés ou moins Cadre supérieur

7 Membre de la direction générale, cadre supérieur responsable de 6 à 10 salariés Cadre supérieur

8 Membre de la direction générale, cadre supérieur responsable de 11 salariés et plus Cadre supérieur

9 Cadre moyen ne faisant pas partie de la direction générale responsable de 5 salariés ou moins Cadre moyen

10 Cadre moyen ne faisant pas partie de la direction générale responsable de 6 salariés ou plus Cadre moyen

11 Autre employé, principalement travail de bureau Employé

12 Autre employé, pas travail de bureau Employé

C Ouvrier

13 Ouvrier qualifié Ouvrier qualifié

14 Ouvrier non qualifié Ouvrier non qualifié

D Inactifs

15 Pensionné (e) Pensionné (e)

16 Etudiant (e) Etudiant (e)

17 Ménagère Ménagère

18 Chômeur (chômeuse) Chômeur (chômeuse)

19 Rentier Autre inactif

20 Invalide Autre inactif

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Niveau d’instruction de la personne interrogée

Ces informations sont disponibles auprès des fournisseurs de logiciels et reprises in extenso sur le CIMTrek. Elles sont résumées sur la fiche CIM.

Il s’agit du diplôme de niveau le plus élevé obtenu par la personne. Un licencié en Sciences Économiquesqui aurait fait un graduat en cours du soir, serait classé dans la catégorie “supérieur universitaire” mêmesi le dernier diplôme obtenu est de niveau non universitaire.

Niveau d’instruction Regroupements utilisés sur la fiche CIMsans diplôme ou primaire primaire et secondaire inférieur

secondaire général, technique ou artistique inférieur primaire et secondaire inférieur

secondaire professionnel inférieur primaire et secondaire inférieur

secondaire général, technique ou artistique supérieur secondaire supérieur

secondaire professionnel supérieur secondaire supérieur

supérieur non universitaire et supérieur universitaire supérieur non universitaire et supérieuruniversitaire

Âge du principal responsable des revenus

Cette donnée n’est pas reprise sur la fiche CIM mais bien sur le CIM Trek selon les mêmes regroupementsque l’âge de la personne interrogée. Les fournisseurs de logiciels sont libres de proposer les regroupe-ments qu’ils souhaitent pour ce critère d’âge.

Catégorie socio-professionnelle du principal responsable des revenus

Cette donnée n’est pas reprise sur la fiche CIM. Elle est accessible chez les fournisseurs de logiciels et surle CIM Trek dans les mêmes regroupements que la catégorie socioprofessionnelle de la personne inter-rogée.

Attention : les principaux responsables des revenus au chômage sont comptabilisés en tant que chômeurset ne sont pas réaffectés à leur ancienne profession.

Niveau d’instruction du principal responsable des revenus

Cette donnée n’est pas reprise sur la fiche CIM. Elle est accessible chez les fournisseurs de logiciels et surle CIM Trek selon les mêmes regroupements que le niveau d’instruction de la personne interrogée.

Les groupes sociaux

La définition des groupes sociaux s’effectue à l’aide d’un ratio calculé sur base de la profession du prin-cipal responsable des revenus et sur son niveau d’instruction. La population est rangée par ordre de lavaleur prise par la combinaison des deux variables (voir détails ci-après) puis découpée en huit groupesd’effectifs sensiblement égaux — sensiblement, parce que l’on ne peut découper les individus en mor-ceaux. Par convention, on appelle “groupe 1”, le groupe correspondant au domaine de valeurs les plusélevées (et donc au niveau professionnel et/ou au niveau d’instruction le plus élevé) et groupe 8, celuiqui correspond aux valeurs les plus basses. Si la distribution observée de l’une ou de l’autre variable chan-ge d’un terrain à l’autre, il va de soi que la combinaison des deux variables change aussi et les différentsgroupes sociaux ne correspondront plus tout à fait aux mêmes valeurs.

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I. Attribution des points

On trouvera ci-dessous la valeur des points attribués à chacune des composantes du niveau d’instructionet du niveau professionnel du principal responsable des revenus.

Principal responsable des revenusNiveau d’instruction

Sans instruction et primaire 10

Secondaire général, technique ou artistique inférieur 25

Secondaire général, technique ou artistique supérieur 50

Secondaire professionnel inférieur 25

Secondaire professionnel supérieur 60

Supérieur non universitaire 90

Supérieur universitaire 100

Profession actuelleA. Indépendants

Agriculteur (petit) 40

Agriculteur (important) 15 ha et plus 50

Artisan, commerçant avec 5 salariés ou moins 70

Industriel, gros commerçant avec 6 salariés ou plus 90

Profession libérale ou nécessitant qualification (médecin, avocat, expert-comptable,...) 100

B. Employés (Secteur Public ou Secteur Prive)

Membre de la direction générale, cadre supérieur (directeur, administrateur,...)

• responsable de 5 salariés ou moins 80

• responsable de 6-10 salariés 90

• responsable de 11 salariés ou plus 100

Cadre moyen ne faisant pas partie de la direction générale (exécutif ou chef de département)

• responsable de 5 salariés ou moins 70

• responsable de 6 salariés ou plus 75

Autres, principalement travail de bureau (secrétaire, assistante, ...) 60

Autres, pas de travail de bureau (infirmière, instituteur, policier, ...) 60

C. Ouvriers

Ouvrier qualifié 50

Ouvrier non qualifié 25

D. Inactifs

Pensionné(e) 60 % poids ancienne profession

Invalide 10

Etudiant(e) 10

Ménagère 10

Chômeur (chômeuse) 60 % poids ancienne profession

Rentier 50

Une personne ayant acquis un diplôme d’école primaire et exerçant la profession d’employé, se verradonc attribuer la valeur de 10 x 60 = 600 points, un avocat retraité, la valeur de 100 x 100 x 0,60 = 6 000points. Tous les répondants sont rangés par ordre décroissant avant d’être répartis en 8 groupes sensi-blement égaux.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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II. Valeurs des bornes de classes et répartition des effectifs

Les valeurs des bornes sont les suivantes cette année :

Groupe Valeurs des bornes 2001-2002 %Groupe 1 6 300-10 000 12,7

Groupe 2 4 800-6 000 11,0

Groupe 3 3 240-4 500 10,6

Groupe 4 2 500-3 000 15,8

Groupe 5 1 350-2 400 11,0

Groupe 6 700-1 250 13,0

Groupe 7 300-625 12,6

Groupe 8 60-250 11,6

nsp 1,9

Signalons toutefois ici qu’un groupe de travail se penche actuellement sur l’élaboration d’une nou-velle définition de ce concept de classe sociale.

III. Validation du concept de groupe social

Différentes analyses ont été demandées à ce propos, dans le passé, par la Commission Technique PMPM.Il en ressort que si la corrélation entre la possession d’un bien et l’appartenance aux différents groupessociaux est rarement parfaitement linéaire, les définitions utilisées restent cependant suffisamment per-tinentes pour permettre une bonne segmentation entre personnes à pouvoir d’achat élevé (groupes 1à 4) et personnes à groupes d’achat plus faible (groupes 5 à 8).

Taille du ménage

Il s’agit d’une donnée continue dont l’utilisation est laissée au choix des fournisseurs de logiciels. Pourla publication (uniquement sur le CIM Trek), les catégories suivantes ont été prises en considération :

1 personne2 personnes3 personnes4 personnes et davantage.

Présence d’enfants de moins de 15 ans

Il s’agit ici de la présence éventuelle d’enfants à charge dans le ménage où vit la personne interrogée.

Les catégories suivantes ont été prises en considération :

ménages avec 1 enfant de moins de 15 ansménages avec 2 enfants de moins de 15 ansménages avec 3 enfants et plus de moins de 15 ansménages avec enfant de moins de 15 ansménages sans enfant de moins de 15 ans.

Cette information est reprise dans le CIM Trek et est accessible auprès des fournisseurs de logiciels. Surla fiche CIM, on a simplement indiqué le profil des personnes interrogées appartenant à un foyer où viventun ou plusieurs enfants de moins de 15 ans.

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Âge des enfants au foyer

Est repris dans cette rubrique, le profil des personnes appartenant à un foyer où vivent des enfants demoins de 15 ans. Ces familles ont été regroupées en fonction de l’âge des enfants présents.

Attention : ces chiffres ne sont pas sommables dans la mesure où il ne s’agit pas de classes disjointes :une même famille peut avoir des enfants appartenant à des classes d’âge différentes.

Les catégories suivantes sont accessibles auprès des fournisseurs de logiciels :

enfants de moins de 1 anenfants de 1 anenfants de 2 ansenfants de 3-4 ansenfants de 5-6 ansenfants de 7-12 ansenfants de 13-14 ans.

Le CIM Trek reprend les regroupements suivants :

enfants de moins de 2 ansenfants de moins de 3 ansenfants de 2 à 6 ansenfants de moins de 7 ansenfants de 7 à 12 ansenfants de 13 à 14 ans.

Cette information n’est pas mentionnée sur la fiche CIM.

Existence de petits-enfants

La question posée consiste à déterminer si la personne interrogée est grand-père ou grand-mère.

Cette information n’est pas mentionnée sur la fiche CIM.

Cette question a été ajoutée au questionnaire suite à une demande spécifique du marché. Il apparaît,en effet, que le marché des seniors prend de plus en plus d’importance et que cette expansion est liéeà l’existence de petits-enfants.

Âge des petits-enfants

Cette information n’est accessible que via le CIM Trek ou auprès des fournisseurs de logiciels.

Étapes dans la vie - life stages

Rappelons que la personne de référence est bien la personne interrogée.

Life Stages âge de la PI Taille Ménage Enfants 0-11 Enfants 12-17Life Stage 1 19-35 ans >1 personne Non spécifié Non spécifié

tous les 12-18 ans Non spécifié Non spécifié Non spécifié

Life Stage 2 < 35 ans 1 personne Non Non

Life Stage 3 < 35 ans 2 personnes Non Non

Life Stage 4 < 60 ans Non spécifié Oui Non

Life Stage 5 < 60 ans Non spécifié Non Oui

Life Stage 6 < 60 ans Non spécifié Oui Oui

Life Stage 7 35-49 ans Non spécifié Non Non

Life Stage 8 50-59 ans Non spécifié Non Non

Life Stage 9 60-74 ans Non spécifié Non spécifié Non spécifié

Life Stage 10 75+ Non spécifié Non spécifié Non spécifié

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Une onzième catégorie regroupe les inclassables.

Répartition 2001-2002 des répondants sur base des Life Stages

Pour information, voici la répartition de l’échantillon en fonction des Life Stages :

Life Stages Effectif relatif “Média” 2001-2002Life Stage 1 14,5 %

Life Stage 2 2,2 %

Life Stage 3 3,5 %

Life Stage 4 15,8 %

Life Stage 5 7,6 %

Life Stage 6 5,6 %

Life Stage 7 9,5 %

Life Stage 8 12,1 %

Life Stage 9 16,9 %

Life Stage 10 8,6 %

Life Stage11 3,7 %

Pour être complet, signalons enfin qu’un groupe de travail se penche actuellement sur l’élabo-ration d’une meilleure segmentation et d’une dénomination plus explicite de ces Life Stages.

Régions Nielsen

Ce critère n’a pas été modifié par rapport aux éditions précédentes.

L’agglomération bruxelloise, définition Nielsen, ne correspond pas à la définition de l’INS, mais bien àune définition couramment utilisée dans le domaine du marketing. A la demande du marché, la régionNielsen III est accessible en parties francophone et néerlandophone. Le critère utilisé est la langueusuelle du ménage ou la langue du questionnaire.

Pour rappel, les régions Nielsen recouvrent les territoires suivants :

RÉGION I Provinces de Flandre occidentale et orientale

RÉGION II Provinces d’Anvers et du Limbourg ; province du Brabant flamand à l’exclusion de l’agglo-mération bruxelloise (30 communes)

RÉGION III Agglomération bruxelloise (30 communes)

RÉGION IV Provinces du Hainaut et du Brabant wallon (arrondissement de Nivelles)

RÉGION V Provinces de Liège, de Namur et du Luxembourg

Ces informations sont reprises sur la fiche CIM, sur le CIM Trek et chez les fournisseurs de logiciels.

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Provinces

La définition de province correspond à celle utilisée par l’INS. La province du Brabant flamand englobedonc les 11 communes appartenant à Nielsen III (Bruxelles 30). Bruxelles englobe uniquement les 19 com-munes qui appartiennent à la Région de Bruxelles-Capitale.

Habitat CIM

I. New Habitat CIM

Sur les fiches CIM, et comme pour la publication précédente, les catégories suivantes ont été retenues:

New Anvers CIMNew Gand CIMNew Bruxelles CIMNew Liège CIMNew Charleroi CIMNew villes Flandre CIM (n = 30)New villes Wallonie CIM (n = 13)New urbain total CIM (n = 48)New non urbain Flandre CIMNew non urbain Wallonie CIM

De plus, on trouvera sur le CIM Trek les regroupements suivants :

New 5 grands centres CIM (la somme des New Anvers, Gand, Bruxelles, Liège et Charleroi CIM)

New 43 Villes CIM(la somme des New villes Flandre CIM (n=30) et des New villes Wallonie CIM (n=13))

New non urbain CIM (la somme des New petites localités Flandre et Wallonie CIM et des New communes ruralesFlandre et Wallonie CIM)

New petites localités Flandre CIMNew petites localités Wallonie CIMNew communes rurales Flandre CIMNew communes rurales CIM Wallonie

A la demande de la Commission Technique Affichage, deux nouvelles catégories ont été rajoutées surle CIM Trek, à savoir une ventilation des “New 43 Villes CIM” en “16 Villes Régionales” et en “27 PetitesVilles A”.

Pour être complet, signalons que le critère New Habitat CIM a été utilisé pour le redressement del’échantillon.

La liste complète des communes appartenant au New Habitat CIM se trouve dans l’annexe 1 de cetteméthodologie.

II New habitant CIM

Les subdivisions suivantes sont à nouveau retenues.

La fiche CIM et le CIM Trek reprennent les informations suivantes :

New ville centrale CIMNew périphérie CIMNew banlieue CIMNew ville dortoir CIMNew autre commune CIM.

La liste complète des communes composant le critère NEW Habitant CIM se trouve en annexe 2 à la pré-sente méthodologie.

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III Remarque finale

Pour répondre à des besoins de recherche particuliers, ces deux nouvelles typologies d’habitat sont acces-sibles auprès de la Structure Permanente du CIM avec tous les codes postaux composant les différentescatégories. Il vous suffit d’en faire la demande via E-mail à l’adresse suivante : [email protected]

La possibilité est toujours offerte de demander aux fournisseurs de logiciels des traitements pour lesquelsla sélection du groupe cible est faite sur base des codes postaux.

Langue usuelle du ménage

Il est question ici de la langue usuelle de la personne interrogée au sein du ménage.

Ce critère reprend les positions :

NéerlandaisFrançais.

Dans le cas où la langue usuelle du ménage n’est ni le néerlandais ni le français, c’est la langue du ques-tionnaire CAPI (Computer Aided Personal Interview) qui a été prise en considération.

On notera encore que ce même critère sert de filtre sur le CIM Trek si on veut filtrer les résultats par unede ces deux sous-populations.

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La Presse

Les logotypes

Les résultats Presse ont trait à deux types de données : les données en provenance de l’étude tactiquePresse d’une part (chiffres d’audience et profils de titres ou combinaisons de titres) et les indices de den-sité (heavy, medium, light) faisant partie de l’étude stratégique centrale Plurimédia d’autre part. Quellesque soient les données considérées, les informations de base sont collectées dans le terrain “Médias” titrepar titre. Chaque titre en effet est représenté par un carton de 8 cm sur 12 reprenant son logotype etun code indiquant sa périodicité.

Exemple :

Si le titre existe en deux versions comme PLAY TENNIS ou TOURING par exemple, la mention “FR” ou“VL” est également reprise sur le logo pour éviter tout risque de confusion, cela même si la langue spé-cifique est déjà connotée dans le titre comme MARIE CLAIRE et MARIE CLAIRE VLAAMSE EDITIE, parexemple.

Exemple :

On ne saurait trop souligner l’importance de ces logos. Ils agissent comme des aide-mémoire puissants:grâce à eux, la personne interrogée est plus susceptible de se rappeler avoir “lu, parcouru ou feuilleté”le support même si c’était il y a longtemps ou si le répondant est un lecteur occasionnel. De plus, les logospermettent de différencier les titres qui se ressemblent comme certains magazines de télévision ou dedécoration, par exemple. C’est pourquoi le CIM insiste pour obtenir spontanément de la part des médiasles dernières versions des logos de leurs titres. En cas de modification en cours du terrain, le carton cor-respondant au titre reprendra l’ancien logo en haut à gauche et le nouveau logo centré, cela afin d’as-surer la continuité de la mesure de l’audience du titre concerné.

Exemple :

Notons qu’un logo peut être en couleurs ou en noir et blanc. L’éditeur ou la régie a tout intérêt à four-nir au CIM des fichiers en quadrichromie si son titre est en couleurs, le titre sera alors plus facilementreconnu. Si les couleurs ne sont pas nécessairement les mêmes d’un numéro à l’autre, l’éditeur ou la régietransmet au CIM la version de son choix.

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Une procédure a été mise sur pied pour assurer un bon suivi des modifications de logos dans le terrain.Les médias concernés sont invités à transmettre leurs nouveaux logos (sous forme de fichiers au formatJPEG ou BMP accompagnés d’une épreuve papier) au CIM à quatre moments précis de l’année ; les datesexactes sont communiquées sur notre site web : www.cim.be. Le règlement de participation et depublication de l’étude Presse prévoit notamment que chaque titre doit avoir fait l’objet de neuf moisd’observation au moins pour pouvoir être publié.

Liste des titres étudiés

I. Conditions de participation

La participation à l’étude Presse se fait sur base volontaire. Nul n’est obligé de prendre part à l’études’il ne le souhaite pas lui-même. C’est pourquoi on ne trouvera aucune information sur certains titresquel que soit l’intérêt qu’ils représentent pour le marché publicitaire.

Règlement

Le cadre réglementaire de participation et de publication de l’Etude d’Audience Presse ainsi queles conditions financières s’y rapportant, sont publiés de manière exhaustive sur le site web du CIM.Le règlement complet pour également être obtenu sur simple demande à l’adresse suivante:[email protected].

Les éléments clés de ce règlement sont résumés ci-dessous.

L’Etude d’Audience Presse est accessible à tout support, moyennant les conditions suivantes :

• Etre membre et participer au financement des activités du CIM.

• Diffuser un tarif publicitaire belge officiel pour le(s) titre(s) concerné(s).

• Faire authentifier par le CIM le tirage et la diffusion du (des) titre(s) en question.

• Avoir un nombre minimal de 8 parutions par an. Pour les titres nouvellement lancés, une pério-de de non-mesure sera observée.

• Communiquer au CIM le logo du titre concerné, à la date fixée.

La publication des résultats ne pourra être effectives que moyennant certaines conditions supplémen-taires :

• Avoir fait l’objet d’un minimum de 9 mois d’observations pendant le terrain.

• Avoir connu une parution régulière et étalée pendant le terrain et avoir eu au moins 7 numé-ros parus pendant cette période.

• Avoir récolté au moins 50 observations LDP. Le titre qui a recueilli entre 40 et 49 observationsLDP obtient une fiche réduite.

II. Titres publiés

La liste des titres a été modifiée selon les desiderata des médias concernés.

La Commission Technique Presse estime en outre que lorsqu’un tarif individuel existe pour un titre,une fiche individuelle doit être publiée.

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Titres qui ne sont pas repris dans la publication 2001-2002

N’a pas obtenu 50 observations brutes LDP, mais se situe entre 40 et 49 : IMEDIAIR FR. Il bénéfi-cie donc d’une fiche réduite. Les titres AMBIANCE FR, THE BULLETIN et THE TICKET NL ont obte-nu moins de 40 observations.

Concernant les titres publiés dans une langue autre que le français ou le néerlandais, nous rap-pelons que leur audience est vraisemblablement sous-évaluée dans la mesure où la langue du sup-port n’est pas nécessairement utilisée par les enquêteurs travaillant pour le CIM. De même, on peutsupposer que la probabilité de trouver des lecteurs d’un titre à la distribution plus restreinte (quece soit sur le plan géographique ou au niveau de sa cible) est relativement moins élevée et quel’audience LDP de ces titres est également sous-évaluée.

Les titres BONANZA, LOLA, MA SEMAINE GB, MIJN WEEK GB, COMPUTER IDEES FR, LEVENDLAND et TEEK ne sont pas publiés parce qu’ils ont cessé de paraître.

Nouveaux titres

En début de terrain, de nouveaux titres ont été introduits dans l’étude, à savoir :

• METRO FR• METRO NL• KOOPJESKRANT• COMPUTER MAGAZINE FR• COMPUTER MAGAZINE NL• DE LEEUW• LE LION• ROYALS NL• SKYNET WEB MAGAZINE

Les logos des titres suivants ont été introduits dans l’étude en cours de terrain :

• NETCETERA• GROOVY FR• GROOVY NL• GRANDE

Aucun résultat ne pourra être publié pour ces titres étant donné qu’ils n’ont pas été observés pen-dant les 9 mois requis.

Changements de nom en cours de terrain

Le titre PARIS MATCH a changé de nom et est devenu LA LIBRE MATCH en cours de terrain.D-GEZONDHEID est devenu DIALOOG GEZONDHEID, D-SANTE est devenu DIALOGUE SANTE et L’EVE-NEMENT IMMOBILIER est devenu MAISON L’EVENEMENT IMMOBILIER.

CLICKX MAGAZINE a fusionné avec COMPUTER IDEE NL pour ne plus former qu’un seul titre. Du6 novembre au 18 décembre 2001, les logos des deux titres ont figuré conjointement sur la cou-verture de 4 numéros. Par la suite, le titre ne parut plus que sous le logo de CLICKX MAGAZINE.Comme prévu par le règlement, le total dédupliqué de CLICKX MAGAZINE et de COMPUTER IDEENL est pris en considération pour le calcul des audiences, et ce jusque fin février 2002 (fin du tri-mestre 3). Pour la période du 1er mars au 15 juillet 2002 inclus, les résultats de CLICKX MAGAZI-NE uniquement sont comptés. En d’autres termes, les observations non dupliquées de CLICKX MAGA-ZINE et de COMPUTER IDEE NL jusque fin février sont utilisées et additionnées aux observationsde CLICKX MAGAZINE à partir du 1er mars.

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Fin décembre 2001, EXPRES est repris par le PERSGROEP. Depuis le 4 décembre 2001 le contenud’EXPRES est identique à celui de DAG ALLEMAAL. Seule la couverture d’EXPRES est conservée,le contenu ayant été totalement modifié. Une fiche individuelle est aujourd’hui publiée pour EXPRESalors qu’un tarif individuel n’existe que pour la couverture. Elément non négligeable quand onsait que l’ensemble des softwares média de ranking et d’évaluation prennent en considérationle tarif 1/1p (pages intérieures). EXPRES n’est pas authentifié séparément non plus et seuls les chiffresde vente DAG ALLEMAAL + EXPRES sont publiés.

En cours de terrain, les titres IMEDIAIR FR et IMEDIAIR NL ont changé de périodicité, passant d’heb-domadaires à mensuels.

Signalons finalement que la fiche ROYALS fait uniquement référence à l’édition néerlando-phones du titre.

Définition des fiches techniques

I. Composition des fiches

Les titres de presse sont répartis en fonction de leur périodicité. On a cependant distingué la pres-se régionale gratuite des autres types de presse. Cette catégorie ne contient donc plus que destoutes-boîtes. Les autres titres gratuits ont été laissés dans leur catégorie de périodicité.

Une subdivision en 4 catégories est donc conservée, à savoir : presse quotidienne, presse hebdo-madaire, presse régionale gratuite et presse bimensuelle ou mensuelle.

Au sein de chacun de ces quatre groupes sont publiées en premier lieu les fiches individuelles, parordre alphabétique. Viennent ensuite les combinaisons nationales de titres (également par ordrealphabétique) et enfin les groupages ou combinaisons spécifiques.

Sont considérés comme titres individuels, les titres correspondant à la plus petite unité tarifaire.Peuvent également faire l’objet d’une fiche distincte, toutes les combinaisons de titres demandéespar un média à condition que ces combinaisons correspondent effectivement à des tarifs publi-citaires existants. Le tarif publicitaire d’une combinaison ou groupage de titres doit en outre êtreinférieur à la somme des tarifs individuels. En d’autres termes, ce tarif doit avoir un caractère dedégressif. Ces combinaisons sont dédupliquées. Le nombre de contacts bruts est cependant tou-jours mentionné.

Via le CIM Trek, les fiches peuvent être classées en fonction de la langue, de la périodicité et deleur définition tarifaire (entité simple ou entité combinée). Ces différents critères permettent deles sélectionner facilement à l’écran.

L’audience d’un titre est composée de l’ensemble de ses lecteurs, quelle que soit la région où ilshabitent. On trouvera cependant sur le CIM Trek, les audiences des titres unilingues calculées surbase de la population parlant la langue du support.

II. Traitement des non-parutions

Il est abusif d’assimiler la lecture du dernier numéro lu avec la lecture du dernier numéro paru.Cependant, un lecteur fidèle aura moins de chance de lire un certain titre si celui-ci ne paraît pasà la date prévue. L’audience LDP du titre risque donc d’être sous-évaluée. C’est pour tenir comp-te de ce phénomène que dans le passé le CIM avait mis en place une procédure particulière, appe-lée procédure de réaffectation, et visant à considérer tous les lecteurs fidèles d’un titre (c’est-à-dire ceux qui lisent systématiquement tous les numéros ou presque), s’ils étaient interrogés au coursd’une période de non-parution de leur titre, comme des lecteurs LDP même s’ils avaient déclarén’avoir pas lu le titre au cours de la période de référence.

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Cela fait maintenant trois ans qu’on est revenu à la procédure initiale, c’est à dire la seule priseen considération des non-parutions exceptionnelles par exemple pour des raisons de grève, de pannede machine, bref pour toute raison indépendante de la responsabilité de l’éditeur. En conséquent,cette année, 7 titres seulement ont été pris en considération pour la réaffectation.Sont donc concer-nés ici :

- DE STANDAARD, HET NIEUWSBLAD, DE GENTENAAR et HET VOLK qui ne sont pas parus le jeudi21/06/2001 et le vendredi 22/06/2001, pour cause de grève.

- LE SOIR, qui n’est pas paru le jeudi 14/06/2001 et le vendredi 15/06/2001, pour cause de grève.

- LE COURRIER DE L’ESCAUT et LE JOUR/LE COURRIER, qui ne sont pas paru le 01/08/2001, suite àdes problèmes d’impression.

Il va de soi que la suppression de toute forme de réaffectation pour la non-parution planifiée d’untitre (comme ce fut le cas pour METRO en juillet et août 2001) comporte un risque de sous-esti-mation des chiffres d’audience concernés.

Le questionnaire Presse

I. Déroulé du questionnaire

Rotation des logos

Les logos sont présentés aux répondants par groupes de même périodicité. Au sein de chaque périodi-cité, les titres sont présentés de manière aléatoire. L’enquêteur laisse les logos dans l’ordre mis par le répon-dant précédent. Les périodicités n’occupent pas toujours la même place dans le questionnaire. L’ordrede présentation des périodicités est déterminé par la grille suivante :

Nombre de questionnaires sur 60 Ordre des périodicités15 Mensuels - Bimensuels - Hebdomadaires - Quotidiens

15 Hebdomadaires - Mensuels - Bimensuels - Quotidiens

15 Mensuels - Bimensuels - Quotidiens - Hebdomadaires

5 Quotidiens - Mensuels - Bimensuels - Hebdomadaires

5 Hebdomadaires - Quotidiens - Mensuels - Bimensuels

5 Quotidiens - Hebdomadaires - Mensuels - Bimensuels

A titre de test, les logos de certains suppléments ont également été introduits dans le terrain cetteannée. Les logos des suppléments de quotidiens ont été présentés immédiatement après leslogos des quotidiens. Les logos des suppléments d’hebdomadaires ont eux été présentés immé-diatement après les logos des hebdomadaires.

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Ordre des questions

II. Procédure d’interview

Chaque enquêteur dispose d’un jeu de logos reproduisant le titre de chaque publication prise en consi-dération dans l’enquête. Ces logos sont répartis en cinq groupes : les quotidiens, les hebdomadaires payants,les hebdomadaires gratuits, les bimensuels et les mensuels.

Exceptionnellement et à titre de test, deux groupes supplémentaires ont été ajoutés cette année,à savoir les suppléments de quotidiens et les suppléments d’hebdomadaires. Les résultats de cetest seront analysés plus en profondeur dans les semaines à venir par la Commission TechniquePresse.

Des bimensuels et des mensuels gratuits sont bien étudiés dans le terrain, mais ils sont trop peu nom-breux pour former une catégorie à part. Tous les logos — quelle que soit la langue du support qu’ils repré-sentent — sont présentés dans toute la Belgique. Pour ce qui concerne la presse régionale gratuite, lestitres sont soit présentés sous la forme de leur logo générique s’il existe (comme “De Streekkrant”, parexemple), soit sous la forme de leur logo particulier s’il n’existe pas de logo générique (comme “Andenne-Potins” par exemple).

Comme par le passé, les titres dont le logo a été modifié en cours de terrain, ont bénéficié d’une nou-velle carte-logo reprenant l’ancien et le nouveau logo de manière à permettre la reconnaissance d’unancien comme d’un nouveau numéro.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

48

?LECTURE TOTALE

(toutes périodicités)

?FREQUENCEDE LECTURE

(toutes périodicités)

CALCUL DE LA FIDELITE:

fréquences 1 & 2(toutes périodicités)

?LECTURE PERIODE LECTURE PÉRIODE

DE REFERENCE

(toutes périodicités)

?NOMBRE DE

PRISES EN MAIN(presse quotidienne

lue la veille)

?MOMENT DE LA

JOURNEE(presse quotidienne

lue la veille)

?DUREE TOTALE

DE LECTURE(presse quotidienne

lue la veille)

?MODE

D'ACQUISITION(titres payants)

?PROPORTION LUE

(toutes périodicités - non publié)

?DEGRE

D'ATTACHEMENT(toutes périodicités)

CALCUL DE LA DENSITE:

heavy / medium / light

(toutes périodicités)

2002

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Les logos des titres de presse sont remis par catégorie (quotidiens, hebdomadaires,..) à la personneinterrogée qui est à chaque fois priée de partager les cartes en trois paquets :

• un paquet avec les cartes correspondant aux publications lues, parcourues ou feuilletées aumoins une fois au cours des derniers mois précédant l’interview ;

• un second paquet correspondant aux publications non lues ;• un troisième paquet avec les cartes pour lesquelles la personne interrogée hésite.

L’enquêteur est ensuite tenu de reprendre les cartes du troisième paquet et de demander ànouveau à la personne interrogée si elle a lu, parcouru ou feuilleté ces titres au cours des der-niers mois. C’est en fonction de la réponse de la personne interrogée que chaque carte se retrou-ve finalement dans le premier ou le deuxième paquet. Lorsque le doute subsiste pour un titre,celui-ci est relégué au deuxième paquet.

Auparavant il était demandé à la personne interrogée de former 2 paquets :

• un paquet avec les cartes correspondant aux publications lues, parcourues ou feuilletées aumoins une fois au cours des derniers mois précédant l’interview ;

• un second paquet avec les autres cartes.

Avec cette ancienne procédure (aujourd’hui conservée pour les logos des chaînes TV), les cassujets au doute atterrissaient d’office dans le paquet des titres lus.

La suite de l’interview porte exclusivement sur les titres retenus par le répondant comme lus, parcourusou feuilletés.

Une fois la lecture totale puis la lecture Dernière Période déterminée pour toutes les catégories de sup-ports, l’enquêteur pose le reste des questions catégorie par catégorie :

• la première question a trait à la fréquence de lecture,• la deuxième concerne le mode d’acquisition du dernier numéro lu (cette question n’est pas posée

pour la presse régionale gratuite),• la troisième concerne la proportion de pages lues, parcourues ou feuilletées,• la quatrième concerne le manque en cas de non-parution.

Les quotidiens lus la veille font encore l’objet de trois questions supplémentaires : le nombre de prisesen mains, le moment de lecture ainsi que la durée de lecture.

Les indicateurs CIM

Le lecteur d’un support a été défini comme “toute personne ayant personnellement lu, parcouru ou feuille-té un numéro du support considéré au cours d’une période de référence donnée”.

Le mot “lecture” est compris dans son sens le plus large, la qualification de “lecteur” étant étendue àtout individu ayant non seulement lu, mais également parcouru ou feuilleté la publication considéréedurant la période de référence. Cette définition n’a en rien été modifiée par rapport aux éditions pré-cédentes.

Aucune restriction n’est faite quant au lieu de lecture (à la maison ou ailleurs), à l’ancienneté du numé-ro lu (le dernier ou un quelconque plus ancien) ou à la manière dont le lecteur s’est procuré la publica-tion. Par ailleurs, l’enquête est strictement personnelle, en cela que les individus sont interrogés exclu-sivement sur leurs comportements propres et n’ont à fournir aucun renseignement sur les habitudes delecture des autres membres du ménage.

I. Étude Tactique

Fréquence de lecture

Il s’agit de la première question posée de manière verticale, périodicité par périodicité. Elle est donc poséepour tous les titres “lus, parcourus ou feuilletés” par le répondant au cours des derniers mois écoulés,que ces titres aient été lus ou non au cours de la période de référence. Elle est libellée comme suit :

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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2002

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“Ce (journal, hebdomadaire, bimensuel, mensuel) intitulé… voulez-vous me dire si vous le lisez, parcourezou feuilletez en général…”

Quotidiens Hebdomadaires Bimensuels Mensuelssystématiquement ... … tous les jours … toutes les …tous les …tous les

semaines 15 jours mois

presque tous les ... … 5 numéros … 3 ou 4 numéros … 10 ou 11 numéros… 10 ou 11 numéros

soit … par semaine par mois par 6 mois par an

souvent, soit … … 3 ou 4 numéros … 2 numéros … 6 à 9 numéro … 6 à 9 numéros

par semaine par mois par 6 mois par an

de temps en temps,… 1 ou 2 numéros … 1 numéro … 3 à 5 numéros … 3 à 5 numéros

soit … par semaine par mois tous les 6 mois par an

rarement, … moins d’1 numéro… moins d’1numéro … 1 ou 2 numéros … 1 ou 2 numéros

soit ... par semaine par mois par 6 mois par an

La fréquence de lecture permet de probabiliser les données : un lecteur occasionnel d’un titre n’a pasla même probabilité de lecture du titre qu’un lecteur fidèle même si le premier a lu le titre par hasardau cours de la période de référence et que le second ne l’a pas fait. Autrement dit, tous deux ont un poidsdifférent dans le profil de l’audience du titre.

La fréquence permet aussi de calculer le lectorat fidèle : il s’agit des lecteurs qui lisent tous ou pratiquementtous les numéros de leur titre.

Enfin, la fréquence intervient également dans le calcul de la densité. Un lecteur plus fréquent, à pro-portion lue égale, aura plus de poids (sera plus “heavy”) qu’un lecteur occasionnel.

Lecture Dernière Période (LDP)

La question sur la Lecture Dernière Période se trouve en deuxième position (juste après la question-filtre).Notons qu’il s’agit du dernier indicateur de lecture CIM indiqué sur la fiche, celui dont on donnera l’in-tervalle de confiance et dont le lectorat sera éclaté en fonction des différents critères socio-démogra-phiques que nous avons décrits dans l’introduction.

La période de référence choisie pour déterminer la Lecture Dernière Période, varie en fonction de la pério-dicité du titre. Il s’agit de :

• la veille pour un quotidien (le lundi, la question porte sur la lecture du samedi ou du dimanche),• la semaine écoulée pour un hebdomadaire,• la quinzaine écoulée pour un bimensuel, et• le mois écoulé pour un mensuel.

Le jour de l’interview est expressément exclu de ces périodes de référence.

Si l’interview a lieu un mardi, la question de Lecture Dernière Période est reformulée de la sortepour le FINANCIEEL-ECONOMISCHE TIJD : " Avez-vous lu ce titre hier, lundi ou durant le week-end?”

Si l’interview a lieu un lundi, la question de Lecture Dernière Période est reformulée de la sortepour METRO : " Avez-vous lu ce titre vendredi ou durant le week-end ? ".

Le FINANCIEEL-ECONOMISCHE TIJD et METRO se différencient également des autres quotidiensau niveau de la périodicité (à savoir 5 numéros par semaine, et non 6). Cet élément a été pris enconsidération lors de la formulation des questions.

Les possibilités de réponse à la question de la fréquence de lecture sont les suivantes pour ces deuxtitres:

• Systématiquement tous les jours, c’est-à-dire 5 numéros par semaine.• Presque tous les jours, c’est-à-dire 4 numéros par semaine.• Souvent, c’est-à-dire 2 ou 3 numéros par semaine.• De temps en temps, c’est-à-dire 1 numéro par semaine.• Rarement, c’est-à-dire moins d’un numéro par semaine.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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2002

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Mode d’acquisition

La question suivante porte sur la manière dont le lecteur s’est procuré le dernier numéro lu. Elle est poséeà tous les lecteurs. Le questionnaire distingue les onze modes d’acquisition suivants :

“Il s’agit d’un numéro…”(1) appartenant à l’entreprise mais acquis à mon nom

pour laquelle je travaille et à ma demande

(2) mais acquis au nom et à la demanded’une autre personne de l’entreprise

(3) acheté par moi-même pour moi-même

(4) à la demande d’un autre membre

du ménage

(5) par un autre membre du ménage pour moi-même

(6) pour lui-même ou pour un autremembre du ménage

(7) obtenu par abonnement ou à mon nom et à ma demanderégulièrement apporté à domicile par un marchand de journaux

(8) au nom et à la demande d’un autre membre du ménage

(9) obtenu autrement reçu d’une personne extérieure au ménage

(10) lu ailleurs que chez moi (salle d’attente, coiffeur, train, ...)

(11) reçu gratuitement à mon domicile ou ailleurs

On appelle

• lecteurs primaires, les répondants ayant indiqué les modes d’acquisition 1, 3, 5 ou 7 ;• lecteurs secondaires, les répondants ayant indiqué les modes 2, 4, 6 ou 8 ;• lecteurs tertiaires, ceux ayant indiqué les modes 9, 10 ou 11.

Cette subdivision permet de faire une distinction entre les lecteurs qui ont accompli une démarche per-sonnelle pour lire leur titre, ceux qui l’ont obtenu indirectement et ceux qui l’ont lu plus fortuitement.Le mode d’acquisition exprimé en lecteurs primaires, secondaires et tertiaires est repris comme indica-teur de lecture CIM à la fois sur la fiche CIM et sur le CIM Trek. Il est accessible dans ses 11 composantesauprès des fournisseurs de logiciels.

Manque en cas de non-parution

La question suivante vise à mesurer l’attachement du lecteur à son titre. Posée à tous les lecteurs, elleest formulée de la manière suivante :

“Si le titre… cessait de paraître, dans quelle mesure ce titre vous manquerait-il ?”

• il me manquerait beaucoup• il me manquerait un peu• il ne me manquerait plutôt pas• il ne me manquerait pas du tout.

Nous avons appelé “lecteurs concernés”, les lecteurs auxquels leur titre manquerait en cas de non-paru-tion. Cette information est reprise en tant qu’indicateur de lecture CIM sur la fiche CIM et donnée in exten-so sur le CIM Trek. Elle est également accessible via les fournisseurs de logiciels.

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Questions “qualitatives” sur la Presse Quotidienne

Pour tous les quotidiens “lus, parcourus ou feuilletés” la veille, sont encore posées trois questions for-mulées comme suit :

“Hier, lorsque vous avez lu, parcouru, ou feuilleté le (titre du quotidien), combien de fois l’avez-vous prisen main, ne fût-ce que pour quelques instants ?”

• 1 fois

• 2 fois

• 3 fois

• 4 fois

• 5 fois ou plus.

“Hier, lorsque vous avez lu, parcouru, ou feuilleté le (titre du quotidien), ne fût-ce que pour quelquesinstants, à quels moments de la journée était-ce ?”

• avant 9 heures• entre 9 heures et 12 heures• entre 12 heures et 14 heures• entre 14 heures et 18 heures• entre 18 heures et 20 heures• après 20 heures.

“Hier, lorsque vous avez lu, parcouru, ou feuilleté le (titre du quotidien), ne fût-ce que pour quelquesinstants, pendant combien de temps était-ce au total ?”

• plus d’une heure et demie• d’une heure à une heure et demie• de trois-quarts d’heure à une heure• d’une demi-heure à moins de trois-quarts d’heure• d’un quart d’heure à moins d’une demi-heure• moins d’un quart d’heure.

L’information concernant ces trois derniers points est également présente sur le CIM Trek. On la trou-vera juste après les informations concernant l’accumulation de l’audience. Attention : cette informationa été prélevée sur les lecteurs veille. Nous avons vu que ces lecteurs ne correspondent pas tout à fait auxlecteurs LDP qui sont, eux, probabilisés.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Fiche CIM Presse Tactique

On trouvera pour chaque titre considéré, une fiche CIM reprenant l’identification du titre. Des lignes sup-plémentaires ont été ajoutées de manière à citer tous les titres composant une combinaison tarifaire demanière à faciliter l’identification des supports.

Vient ensuite un pavé reprenant les différents indicateurs que nous avons décrits ci-dessus : le total deslecteurs, les lecteurs fidèles, les lecteurs primaires, secondaires et tertiaires (sauf pour les supports gra-tuits), les lecteurs concernés et les Lecteurs Dernière Période.

L’accumulation d’audience se calcule sur base des formules que nous avons décrites à la fin de la partiesur la probabilisation du fichier.

Le dernier indicateur d’audience, la Lecture Dernière Période, est alors éclaté en fonction des différentscritères socio-démographiques que nous avons également décrits.

Il faut cependant se rappeler que tous les chiffres publiés dans le cadre des études CIM sont issus d’uneenquête par sondage, c’est dire qu’ils sont forcément entachés d’une erreur d’échantillonnage. C’est pour-quoi le CIM indique traditionnellement la marge d’erreur ou l’intervalle de confiance de la taille de l’au-dience dont il décrit le profil. Rien n’empêche l’utilisateur de calculer cet intervalle de confiance pourles autres indicateurs d’audience fournis par le CIM. Le tableau repris au point “Appréciation de l’écartstatistique” fournit à cet effet le mode de calcul et les valeurs extrêmes de différents intervalles de confian-ce en fonction de la taille de l’échantillon.

On trouvera donc sur la fiche, la valeur minimale et la valeur maximale de l’intervalle de confiance danslequel doit se trouver la vraie valeur de l’indicateur considéré. Conventionnellement, il y a 95 % ce chan-

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Signalétique du support

Indicateurs d'audience(Audience Totale)

Accumulation d'audience(Audience Dernière Période)

Intervalle de confiance(Audience Dernière Période)

Audience(Audience Dernière Période)

couvertures et profilssuivant

• ensemble, hommes, femmes, PRA• variables sociodémographiques

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ce que la vraie valeur se trouve à l’intérieur de l’intervalle et seulement 5 %, qu’elle se trouve endehors.

Il convient de noter cependant que le calcul d’un intervalle de confiance doit se faire sur des donnéesbrutes. Il s’agit en fait d’estimer une proportion présente dans une population (quel est le pourcenta-ge de personnes lisant le titre X sur l’ensemble de la cible considérée) au départ d’une observation réa-lisée dans un certain échantillon. Il y a donc lieu de manipuler ces notions avec précautions (voir cha-pitre consacré au calcul des intervalles de confiance).

Lorsque qu’un titre a obtenu entre 40 et 49 observations, une fiche réduite est publiée.

Cette fiche reprend les informations suivantes :

- Pour Ensemble, Hommes, Femmes et PRA

le total lecteursles lecteurs dernière périodel’intervalle de confiance

- Pour Ensemble seulement

les principaux critères socio-démographiques avec des regroupements.

II. Partie stratégique

Rappelons simplement que l’objectif du volet Densité de l’étude stratégique centrale est d’offrir à l’uti-lisateur un moyen commode d’évaluer l’utilisation des différents médias en termes comparables. La notionde “Heavy, Medium, Light” a donc été développée pour répondre aux deux besoins suivants :

• quel média choisir prioritairement pour atteindre le plus efficacement telle cible ?• quel(s) média(s) complémentaire(s) choisir pour atteindre ceux que le média principal n’aura pas

touchés ?

Définition traditionnelle des “Heavy, Medium, Light” en Presse

Les titres de Presse sont classés en catégories sur base de la langue et de la périodicité.

Quotidiens Hebdomadaires (Bi-)mensuels Presse régionalegratuite

Francophones 1 3 5 7

Néerlandophones 2 4 6 8

FR + NL 9 10 11 12

Comme ces catégories ne sont pas nécessairement pertinentes en termes de media-planning et qu’au-cun accord sur un classement thématique des titres de presse n’a pu être obtenu, chaque souscripteurde l’étude a le loisir de définir librement ses propres groupes et d’obtenir auprès des fournisseurs de logi-ciels un calcul de heavy, medium, light personnalisé. Lors de la publication, chaque souscripteur pourras’adresser à un fournisseur de logiciels pour lui demander un nouveau calcul de densité basé sur ses regrou-pements personnels.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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On a finalement préféré conserver les groupages des éditions précédentes pour illustrer le concept tra-ditionnel de densité. La procédure de calcul est restée strictement la même.

Pour chacun des titres étudiés dans le terrain et pour chaque lecteur du titre, on dispose de la fréquencede lecture et de la proportion de pages lues. Les valeurs numériques réelles attribuées aux différentesmodalités de réponse à ces deux questions varient selon la périodicité et sont proches des valeurs sui-vantes :

Fréquence de lecture Proportion lueSystématiquement 1,00 toutes les pages 1,00

Presque toujours 0,80 3/4 des pages 0,75

Souvent 0,50 1/2 des pages 0,50

De temps en temps 0,25 1/4 des pages 0,25

Rarement 0,10 moins d’1/4 0,10

La densité de lecture attribuée à un lecteur pour un titre déterminé, est égale au produit de la fréquencede lecture et de la proportion lue. Un lecteur qui lit systématiquement la totalité de tous les numérosaura une valeur de 1 x 1 = 1 ; un lecteur qui lit souvent son titre et qui n’en lit que la moitié aura unevaleur de 0,50 x 0,50 = 0,25.

La densité de lecture attribuée à un lecteur pour une catégorie de titres déterminée, est égale à la sommede toutes les densités de lecture obtenues pour les titres formant cette catégorie. Imaginons quel’exemple précédent porte sur un seul lecteur lisant deux quotidiens francophones, sa densité de lectu-re des quotidiens francophones sera égale à 1 + 0,25 = 1,25.

Tous les lecteurs d’une catégorie sont ensuite rangés par ordre croissant. La distribution ainsi obtenueest alors divisée en trois tiers approximativement égaux. On ne peut pas faire d’interpolation dès lorsqu’il faut attribuer un poids déterminé à chaque répondant. L’approximation vient donc du fait que l’onne peut découper un individu en morceaux.

Exemple fictif : le tableau ci-dessous donne les valeurs pour 9 répondants et 5 titres appartenant à unemême catégorie.

Titre 1 Titre 2 Titre 3 Titre 4 Titre 5Fréq. Prop. Fréq. Prop. Fréq. Prop. Fréq. Prop. Fréq. Prop.

Rép.1 1,00 0,75 0,80 0,50 0,50 0,80 0,50 0,50 0,25 1,00

Rép.2 0,10 0,50 0,10 0,10 0,50 0,10 0,25 0,25 0,25 0,10

Rép.3 1,00 0,50 0,10 0,50 0,10 1,00 0,25 0,10 0,10 0,80

Rép.4 0,25 0,25 0,10 0,25 0,10 0,25 1,00 0,25 0,80 0,25

Rép.5 0,80 0,25 0,80 1,00 1,00 0,75 0,10 0,75 0,80 0,75

Rép.6 0,80 0,50 0,80 0,75 1,00 0,25 0,80 0,75 1,00 0,75

Rép.7 0,50 0,50 0,80 0,75 1,00 0,50 0,50 1,00 1,00 0,50

Rép.8 0,80 0,75 0,10 0,10 1,00 0,10 0,10 0,50 0,50 0,75

Rép.9 0,25 0,75 0,10 0,25 0,80 0,50 1,00 1,00 1,00 0,50

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Le calcul de la densité titre par titre donne les résultats suivants :

Dens. 1 Dens. 2 Dens. 3 Dens. 4 Dens. 5 TotalRépondant 1 0,7500 0,4000 0,4000 0,2500 0,2500 2,0500

Répondant 2 0,0500 0,0100 0,0500 0,0625 0,0250 0,1975

Répondant 3 0,5000 0,0500 0,1000 0,0250 0,0800 0,7550

Répondant 4 0,0625 0,0250 0,0250 0,2500 0,2000 0,5625

Répondant 5 0,2000 0,8000 0,7500 0,0750 0,6000 2,4250

Répondant 6 0,4000 0,6000 0,2500 0,6000 0,7500 2,6000

Répondant 7 0,2500 0,6000 0,5000 0,5000 0,5000 2,3500

Répondant 8 0,6000 0,0100 0,1000 0,0500 0,3750 1,1350

Répondant 9 0,1875 0,0250 0,4000 1,0000 0,5000 2,1125

Lorsqu’on range les répondants par ordre croissant de densité, on obtient le classement suivant :

Dens. Cat.Répondant 2 0,1975 light

Répondant 4 0,5625 light

Répondant 3 0,7550 light

Répondant 8 1,1350 medium

Répondant 1 2,0500 medium

Répondant 9 2,1125 medium

Répondant 7 2,3500 heavy

Répondant 5 2,4250 heavy

Répondant 6 2,6000 heavy

Liste des titres

On trouvera donc dans la partie Presse par densité (étude stratégique centrale), les profils des regrou-pements suivants :

Presse quotidienne francophone all heavy medium light

Presse quotidienne néerlandophone all heavy medium light

Presse quotidienne nationale all heavy medium light

Presse hebdomadaire francophone all heavy medium light

Presse hebdomadaire néerlandophone all heavy medium light

Presse hebdomadaire nationale all heavy medium light

Presse régionale gratuite francophone all heavy medium light

Presse régionale gratuite néerlandophone all heavy medium light

Presse régionale gratuite nationale all heavy medium light

Presse (bi)mensuelle francophone all heavy medium light

Presse (bi)mensuelle néerlandophone all heavy medium light

Presse (bi)mensuelle nationale all heavy medium light

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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La presse régionale gratuite comprend tous les supports de ce type (c’est-à-dire distribués dans lesboîtes aux lettres) repris dans l’étude, quelle que soit leur périodicité.

Les différentes catégories reprennent tous les titres étudiés même si certains de ceux-ci ne peuvent êtrepubliés à titre individuel.

Le CIM Trek reprend les audiences unilingues des catégories unilingues.

Rappelons une dernière fois que l’utilisateur est libre de demander d’autres regroupements.

Fiche CIM Presse par densité

Cette fiche est très similaire à la fiche tactique. Attention : les indicateurs repris sur la fiche ne concer-nent plus l’audience Dernière Période mais bien l’audience totale. De même, le profil socio-démogra-phique se rapporte bien à l’audience totale et non à l’Audience Dernière Période.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Signalétique du support

Indicateurs d'audience(Audience Totale)

Accumulation d'audience(Audience Dernière Période)

Intervalle de confiance(Audience Totale)

Audience(Audience Totale)

couvertures et profilssuivant

• ensemble, hommes, femmes, PRA• variables sociodémographiques

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Le Cinéma

Le questionnaire Cinéma

I. Audience totale

La première question permet de reconstituer l’audience des cinémas toutes salles confondues au coursde l’année écoulée.

II. Audience ville par ville

La question suivante porte sur la fréquentation des salles ville par ville. On demande au répondant deciter les différentes villes dans lesquelles il est allé au cinéma au cours de l’année écoulée. Le répondantcite spontanément les villes. Celles-ci sont encodées par l’enquêteur de la manière suivante :

AalstAarschotAmayAntwerpenArlonBastogneBouillonBraine L’AlleudBruggeBruxellesBullangeCharleroiCouvinDendermondeDiestEisdenGeelGentGeraardsbergenHasseltHerentalsHuyIeperKnokke-HeistKortrijkLa LouvièreLanakenLeuvenLibramontLiègeLommelLouvain-La-NeuveMarcheMechelenMolMonsMouscronNamurNivelles

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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OostendeRixensartRoeselareSpaSint-Pieters-LeeuwTervurenTongerenTournaiTurnhoutVerviersVirtonWaregemWaterlooZwijndrecht

Autres communes FRAutres communes NL

III. Fréquence de visite

Le répondant est ensuite interrogé sur la fréquence à laquelle il se rend au cinéma en général pour cha-cune des villes qu’il a citées.

Les fréquences retenues sont les suivantes :

une fois par semaine et plusune fois tous les quinze joursune fois toutes les 3 semainesune fois tous les moisune fois tous les deux moisune fois tous les trois moisune fois tous les six moisune fois par an (ou moins)

Notons que sur la fiche CIM, ces fréquences ont été regroupées en cinq catégories qui sont les suivantes:

Systématiquement : une fois par semaine et plusPresque systématiquement : une fois tous les quinze joursSouvent : une fois toutes les 3 semaines ou une fois par moisDe temps en temps : une fois tous les deux ou trois moisRarement : une fois tous les six mois ou moins

IV. Audience Dernière Période

On demande ensuite si le répondant s’est rendu au cinéma au cours des sept derniers jours dans cha-cune des villes qu’il a citées et pour chaque réponse positive, le nombre de visites effectuées (entre 1 et8 fois et plus).

V. Jour de la visite

La question suivante porte sur le jour de fréquentation pour toutes les visites réalisées au cours des septderniers jours. Les réponses possibles sont bien évidemment :

LundiMardiMercrediJeudiVendrediSamediDimanche

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Partie Tactique

I. Liste des titres

Les Ciné Parks, entités tarifaires définies par la régie RMB, se composent comme suit :

Titres Villes composant le Ciné Park1. Ciné Park Antwerpen Anvers

Zwijndrecht

2. Ciné Park Bruxelles Bruxelles

Sint-Pieters Leeuw

Tervuren

Waterloo

Braine-L’Alleud

Louvain-La-Neuve

Waterloo

3. Ciné Park Gent Gand

4. Ciné Park Liège Liège

5. Ciné Park Charleroi Charleroi

6. Ciné Park localités FR Amay

Arlon

Bastogne

Bouillon

Bullange

Couvin

Huy

La Louvière

Libramont

Marche

Mons

Mouscron

Namur

Nivelles

Rixensart

Spa

Tournai

Verviers

Virton

Autres communes FR

7. Ciné Park localités NL Aalst

Aarschot

Brugge

Dendermonde

Diest

Eisden

Geel

Geraardsbergen

Hasselt

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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7. Ciné Park localités NL (suite) Herentals

Ieper

Knokke-Heist

Kortrijk

Lanaken

Leuven

Lommel

Mechelen

Mol

Oostende

Roeselare

Tongeren

Turnhout

Waregem

Autres communes NL

Ciné Park Cinéma 5GC il s’agit de l’addition des 5 premiers Ciné Parks

Ciné Park localités FR + NL il s’agit de l’addition des Ciné Parks 6 et 7

Ciné Park Cinéma national il s’agit de l’addition de tous les Ciné Parks

Notons que le Ciné Park de Charleroi et celui de Gand ont obtenu moins de 40 observations DernièrePériode. Ils ne seront dès lors pas publiés. Rappelons encore que l’information ville par ville n’est pas acces-sible si ce n’est pour la régie.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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II. Fiche CIM

La fiche CIM Cinéma tactique est très similaire à la fiche CIM Presse. Ne sont évidemment pas repris lesindicateurs liés au mode d’acquisition ou au manque en cas de non-parution.

On trouvera par contre une ventilation de l’audience LDP en fonction du jour de la visite ainsi que dela localisation des salles visitées. Cette ventilation est bien évidemment surtout utile pour les Ciné Parkscomposés. Il ne faut pas confondre cette notion avec l’habitat CIM : on peut habiter à Alost par exempleet aller au cinéma à Bruxelles.

Partie Densité.

I. Liste des titres

Ont été pris en considération les titres suivants :

Total Ciné Park 5 GC + localités FR + NLTotal Ciné Park 5GCCiné Park localités FRCiné Park localités NLCiné Park localités FR + NL

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Signalétique du support

Indicateurs d'audience(Audience Totale)

Accumulation d'audience(Audience Dernière Période)

Intervalle de confiance(Audience Dernière Période)

Audience(Audience Dernière Période)

couvertures et profilssuivant

• ensemble, hommes, femmes, PRA• variables sociodémographiques

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Tous sont calculés sur la population nationale, la population francophone et la population néerlando-phone à l’exclusion des Ciné Parks unilingues qui ne sont calculés que sur la population nationale et lapopulation de même langue.

II. Mode de calcul

Seule la notion de fréquence de visite pour chaque ville visitée est prise en considération.

Les valeurs suivantes ont été attribuées aux différentes modalités de réponses :

Fréquenceune fois par semaine et plus 52

une fois tous les quinze jours 26

une fois toutes les 3 semaines 18

une fois tous les mois 12

une fois tous les deux mois 6

une fois tous les trois mois 4

une fois tous les six mois 2

une fois par an (ou moins) 1

On obtient dès lors une note pour chaque répondant pour chaque ville. On additionne ensuite les notesdes différentes villes pour un même répondant. On obtient une distribution de notes pour l’ensembledes répondants qu’on range par ordre croissant. Cette distribution est alors coupée en trois parties approxi-mativement égales : “les light, medium et heavy”.

Exemple fictif :

Bruxelles Gand CharleroiFréquence Fréquence Fréquence

Rép. 1 52 0 6

Rép. 2 26 0 0

Rép. 3 12 6 0

Rép. 4 2 1 1

Rép. 5 1 1 1

Rép. 6 26 12 0

DensitéRépondant 5 3 light

Répondant 4 4 light

Répondant 3 18 medium

Répondant 2 26 medium

Répondant 6 38 heavy

Répondant 1 58 heavy

III. Fiche CIM

La fiche CIM Cinéma par densité est très similaire à la fiche tactique à ceci près qu’elle porte sur l’audiencetotale et non plus l’Audience Dernière Période.

Enfin, elle ne comporte pas non plus de ventilation en termes de jour de visite ni en termes de Ciné Parksvisités.

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La Télévision

Avec la partie du questionnaire consacrée à la télévision, nous entrons de plain-pied dans l’étude stra-tégique centrale.

Rappelons que celle-ci vise à remplir deux objectifs : définir d’une part pour chaque catégorie de médiales différents indicateurs d’audience que nous avons déjà décrits pour la presse et pour le cinéma et seg-menter d’autre part l’audience totale de chacun de ces médias en “heavy, medium, light” afin de per-mettre un média-planning stratégique.

Pour chacun des médias concernés (Télévision, Radio, Affichage et Internet), nous envisagerons succes-sivement les données permettant de caractériser Audience Totale puis Audience Dernière Période avantde rappeler le mode de calcul traditionnel de la densité.

Le questionnaire Télévision

L’objectif de cette partie de l’étude est de caractériser l’audience totale (au cours des derniers mois) etl’audience veille de la télévision en général et par tranche horaire, des émetteurs belges ainsi que desprincipaux émetteurs étrangers. Est définie comme spectateur, la personne qui a regardé la télévisionpendant au moins dix minutes pendant la période concernée, que ce soit à son domicile ou à l’extérieurde chez elle.

I. L’équipement

La première partie du questionnaire est consacrée à l’équipement audiovisuel du ménage dans la mesu-re où celui-ci conditionne effectivement l’audience des différents émetteurs.

Bien qu’il s’agisse à proprement parler de produits, ces chiffres sont mis à jour tous les ans.

II. Utilisation du Télétexte

Fréquence d’utilisation

Les répondants susceptibles de capter des pages de télétexte ont été interrogés sur leur fréquence heb-domadaire de consultation du télétexte. Ils ont ensuite été invités à déclarer les émetteurs sur lesquelsils consultaient parfois le télétexte, et cela au moyen des mêmes logos qui leur sont présentés pour lequestionnement sur la vision de la télévision. On trouvera cette information dans les généralités don-nées pour les émetteurs belges dans le CIM Trek (à condition que le nombre d’utilisateurs observés dansle terrain soit au moins égal à 50). Elle est disponible pour chaque émetteur auprès des fournisseurs delogiciels.

Le tableau suivant reprend la distribution de fréquence d’utilisation du télétexte en général :

Fréquence ensemble 12+7 jours sur 7 12.2%

5 ou 6 jours sur 7 5.1%

3 ou 4 jours sur 7 6.7%

1 ou 2 jours sur 7 15.4%

Moins d’un jour sur 7 14.0%

Jamais 46.6%

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2002

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Rubriques consultées sur le Télétexte

Les répondants qui déclarent utiliser le télétexte sont ensuite interrogés sur la consultation des rubriquessuivantes :

Programmes TVProgrammes RADIOMétéo - Trafic - EnneigementEmploiActualité nationaleActualité régionaleÉconomieBourseVoyages ou TourismeSportsLoisirsArrivées ou départs d’avionsRésultats du Lotto ou Keno…Jeux et concoursRubrique immobilièreVentes de voituresService du Télétexte interactifAutres

Attention : cette question est posée de manière générale (audience totale) et n’est pas reliée à un émet-teur en particulier. Elle permet cependant de déterminer le profil de l’audience totale des personnes consul-tant chacune des rubriques susmentionnées et c’est pourquoi on trouvera autant de fiches techniquescorrespondantes.

III. Télévision en général et par tranche horaire

Fréquence de vision

Le questionnaire se poursuit par l’interrogation sur la fréquence de vision de la télévision en général,puis sur la vision veille et enfin sur la durée de vision veille ou la dernière fois.

Le même cheminement est suivi pour l’interrogation sur la vision par tranche horaire.

Les fréquences retenues sont les suivantes :

systématiquement tous les jours de la semaine, soit 7 jours sur 7presque tous les jours de la semaine, soit 5 ou 6 jours sur 7souvent, soit 3 ou 4 jours sur 7de temps en temps, soit 1 ou 2 jours sur 7rarement, soit moins d’1 jour sur 7jamais.

Durée de vision de la télévision en général

La durée est une question ouverte : aucune indication n’est donnée au répondant de manière à ne pasinfluencer la réponse. Il en va de même à chaque fois qu’est posée une question sur une durée.(Différentes observations ont montré, en effet, que les répondants ajustaient leurs réponses en fonctionde ce qu’ils estiment “avouable” au regard des catégories proposées. On assiste généralement dans cecas à une sous-déclaration de la durée de vision de la télévision par rapport à d’autres sources commel’Audimétrie, par exemple.) Cette réponse est ensuite codée selon les catégories suivantes :

6 heures et plusde 5 heures à moins de 6 heuresde 4 heures à moins de 5 heuresde 3 heures à moins de 4 heuresde 2 heures à moins de 3 heuresde 1 heure à moins de 2 heuresde 1/2 heure à moins de 1 heurede 10 minutes à moins de 1/2 heure.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Durée de vision de la télévision par tranche horaire

Les tranches horaires étudiées sont les suivantes :

avant 12 heuresentre 12 et 14 heuresentre 14 et 17 heuresentre 17 et 19 heuresentre 19 et 22 heuresaprès 22 heures.

Les durées à l’intérieur des tranches horaires sont codées de la manière suivante :

deux heures et plusd’une heure à moins de deux heuresd’une demi-heure à moins d’une heurede dix minutes à moins d’une demi-heure.

IV. Vision par émetteur

Détermination de l’audience totale

L’audience totale (vision parfois) des différents émetteurs est déterminée à l’aide de cartes-nominativessimilaires à celles utilisées dans l’étude tactique Presse. Ces cartes reprennent désormais le logo en cou-leurs des stations pour les émetteurs belges.

Détermination de l’Audience Dernière Période

Viennent ensuite une série de questions sur la fréquence de vision par semaine, sur la vision veille et surla durée de vision veille ou la dernière fois pour chaque émetteur regardé parfois. Les modalités de réponsessont identiques à celles utilisées pour la télévision en général et pour la télévision par tranche horaire.

Les cartes nominatives de tous les émetteurs, captables où que ce soit en Belgique, sont présentées par-tout — même en dehors de leur zone de captation proprement dite — dès lors que l’interrogation portesur toutes les visions même en dehors du domicile. Les cartes nominatives des télévisions régionales ontété présentées chacune séparément.

Partie Tactique

I. Liste des titres

Pour être publié, un émetteur ou une tranche horaire doit comporter au moins 50 observations au coursde la période de référence, soit la veille.

Ont obtenu entre 40 et 49 observations et bénéficient donc d’une fiche réduite :

LE BOUQUET (CANAL +)CANAL C

N’ont pas obtenu 40 observations les émetteurs suivants :

ANTENNE CENTRECANAL ZCANAL ZOOMTELE MONS BORINAGETELEVESDRETV COMTV LUXVIDEOSCOPEHET BOEKET (CANALDIGITAAL)CNBCDEUTSCHLAND 3

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ITVKA 3 (deutsch)RTPITCM

Pour la télévision en général et pour chacune des tranches horaires, trois fiches ont chaque fois été éta-blies : une fiche nationale, une fiche francophone et une fiche néerlandophone.

Pour les émetteurs belges, qu’ils soient nationaux, régionaux, publics, privés ou à péage, nous avons éta-bli deux fiches : l’une nationale, la seconde filtrée par la langue de l’émetteur. Une fiche “Total TV régio-nales FR” et une fiche “Total TV régionales NL” ont également été établies.

Pour les émetteurs étrangers, seule une fiche nationale a été établie.

II. Fiche CIM tactique

La fiche CIM “TV par catégorie” se présente donc comme suit :

Une ligne supplémentaire renseigne sur l’utilisation du télétexte pour autant que l’émetteur ait recueilli50 observations (parfois) pour cet item.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Signalétique du support

Indicateurs d'audience(Audience Totale)

Accumulation d'audience(Audience Dernière Période)

Intervalle de confiance(Audience Dernière Période)

Audience(Audience Dernière Période)

couvertures et profilssuivant

• ensemble, hommes, femmes, PRA• variables sociodémographiques

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Partie Densité

I. Mode de calcul

Le calcul traditionnel de la densité pour la télévision suit le même principe que celui adopté pour la pres-se. Pour chaque spectateur, nous disposons de deux types d’information : la fréquence de vision et la duréede vision la dernière fois.

Les valeurs suivantes ont été attribuées aux différentes modalités de réponse.

Pour la télévision en général et par émetteur :

Fréquence Durées7 jours/7 7,0 360 minutes et plus 360

5 ou 6 jours/7 5,5 300-359 minutes 330

3 ou 4 jours/7 3,5 240-299 minutes 270

1 ou 2 jours/7 1,5 180-239 minutes 210

moins d’un jour/7 0,5 120-179 minutes 150

60-119 minutes 90

30-59 minutes 45

10-29 minutes 20

Pour la télévision par tranche horaire :

Fréquence Durées7 jours/7 7,0 120 minutes et plus 120

5 ou 6 jours/7 5,5 60-119 minutes 90

3 ou 4 jours/7 3,5 30-59 minutes 45

1 ou 2 jours/7 1,5 10-29 minutes 20

moins d’un jour/7 0,5

Pour la télévision en général, on a réparti l’ensemble des répondants selon leur “densité devision”, soit la valeur obtenue en faisant le produit de leur fréquence de vision de la télévisionen général et de la durée de vision la dernière fois avant de découper cette distribution en troistiers approximativement égaux. Le même raisonnement a été suivi pour les tranches horaires.

par semaine par jourLight viewers 40,4 % de 10 à 630 minutes soit de 10 minutes à une heure et demie

Medium viewers 21,4 % de 631 à 1260 minutes soit de une heure et demie à 3 heures

Heavy viewers 38,1 % plus de 1260 minutes soit plus de trois heures

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2002

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Le même principe est appliqué à la TV par tranche horaire. Cela nous donne les moyennes heb-domadaires suivantes :

Tranche horaire Durée hebdomadaire Effectif relatifavant 12 heures 45 minutes et moins 32,2%

de 46 à 140 minutes 34,3 %

plus de 140 minutes 33,5 %

de 12 à 14 heures 67 minutes et moins 32,2 %

de 68 à 247 minutes 33,2 %

plus de 247 minutes 34,6 %

de 14 à 17 heures 67 minutes et moins 37,6 %

de 68 à 180 minutes 29,1 %

plus de 180 minutes 33,4 %

de 17 à 19 heures 140 minutes et moins 34,0 %

de 141 à 420 minutes 29,4 %

plus de 420 minutes 36,6 %

de 19 à 22 heures 495 minutes et moins 36,7 %

de 496 à 660 minutes 23,5 %

plus de 660 minutes 36,7 %

après 22 heures 140 minutes et moins 31,9 %

de 141 à 420 minutes 32,5 %

plus de 420 minutes 35,6 %

Pour la télévision par émetteur :

Le tableau ci-dessous reprend ces différentes valeurs hebdomadaires pour chaque émetteur.

Émetteur Durée hebdomadaire Effectif relatifLA UNE (RTBF) 135 minutes et moins 32,7 %

de 136 à 247 minutes 24,9 %

plus de 247 minutes 42,5 %

LA DEUX (RTBF) 45 minutes et moins 34,1 %

de 46 à 135 minutes 38,3 %

plus de 135 minutes 27,6 %

RTL-TVI 140 minutes et moins 36,3 %

de 141 à 315 minutes 31,1 %

plus de 315 minutes 32,6 %

CLUB RTL 105 minutes et moins 33,1 %

de 106 à 225 minutes 34,1 %

plus de 225 minutes 32,8 %

LIBERTY TV.COM FR 22 minutes et moins 35,3 %

de 23 à 67 minutes 33,4 %

plus de 67 minutes 31,3 %

CANAL+ FR/CANAL+ JAUNE FR/CANAL+ BLEU FR

75 minutes et moins 33,2 %

de 76 à 247 minutes 29,8 %

plus de 247 minutes 37,0 %

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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2002

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Total TV régionales FR 30 minutes et moins 42,4 %

de 31 à 105 minutes 21,6 %

plus de 105 minutes 36,0 %

TV1 (VRT) 140 minutes et moins 31,5 %

de 141 à 405 minutes 34,8 %

plus de 405 minutes 33,7 %

CANVAS (VRT) 67 minutes et moins 34,8 %

de 68 à 157 minutes 31,7 %

plus de 157 minutes 33,4 %

KETNET (VRT) 30 minutes et moins 37,5 %

de 31 à 135 minutes 30,6 %

Plus de 135 minutes 31,9 %

VTM 140 minutes et moins 32,3 %

de 141 à 525 minutes 34,3 %

plus de 525 minutes 33,4 %

KANAAL 2 110 minutes et moins 29,6 %

de 111 à 247 minutes 37,6 %

plus de 247 minutes 32,8 %

JIM TV 30 minutes et moins 41,2 %

de 31 à 135 minutes 26,2 %

plus de 135 minutes 32,7 %

TMF 30 minutes et moins 34,1 %

de 31 à 135 minutes 31,6 %

plus de 135 minutes 34,3 %

VT4 110 minutes et moins 32,6 %

de 111 à 225 minutes 34,5 %

plus de 225 minutes 32,9 %

VITAYA 30 minutes et moins 33,0 %

de 31 à 110 minutes 33,0 %

plus de 110 minutes 34,0 %

LIBERTY TV.COM VL 22 minutes et moins 29,5 %

de 23 à 67 minutes 39,6 %

plus de 67 minutes 30,8 %

KANAAL Z 30 minutes et moins 42,7 %

De 31 à 70 minutes 20,3 %

Plus de 70 minutes 37,0 %

CANAL+ ROOD VL/CANAL+ BLAUW VL/CANAL + 16/9 VL

110 minutes et moins 26,8 %

de 111 à 247 minutes 35,5 %

plus de 247 minutes 37,7 %

Total TV 63 minutes et moins 32,6 %

régionales NL de 64 à 136 minutes 30,7 %

plus de 136 minutes 36,8 %

Aux personnes qui s’étonneraient de ne pas voir rigoureusement respectée la répartition en trois tierségaux, rappelons que c’est l’observation qui commande la fixation des bornes de classes. On ne peut pascouper entre deux valeurs observées et c’est ce qui explique la disproportion relative de certainesclasses.

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II. Liste des titres

Ne sont repris dans le volet stratégique par densité que les émetteurs strictement belges. Les émetteursrégionaux ont été regroupés en francophones et néerlandophones.

On trouvera pour les titres génériques, une fiche nationale, une fiche FR et une fiche NL. Les émetteursbénéficient d’une fiche nationale et d’une fiche calculée sur la population parlant la même langue quela langue d’émission principale du support.

III. Fiche CIM tv par densité

Cette fiche est parfaitement similaire aux fiches par densité pour la Presse et pour le Cinéma. Nous insis-tons sur le fait que le descriptif socio-démographique s’applique à l’audience totale.

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La Radio

Le questionnaire Radio

L’objectif de cette partie de l’étude est de caractériser l’audience totale (au cours des derniers mois) etl’audience veille de la radio en général, de la radio par tranche horaire et des principales stationsbelges.

Est définie comme auditeur, la personne qui a écouté (de manière passive ou active) la radio pendantau moins dix minutes pendant la période concernée, que ce soit son à domicile ou à l’extérieur de chezelle.

Le cheminement suivi est parallèle en tous points à ce qui s’est fait en télévision : fréquence d’écouteen général, écoute veille et durée d’écoute veille ou la dernière fois.

I. Radio en général

Fréquence d’écoute

Les fréquences d’écoute utilisées sont les suivantes :

systématiquement tous les jours de la semaine, soit 7 jours sur 7presque tous les jours de la semaine, soit 5 ou 6 jours sur 7souvent, soit 3 ou 4 jours sur 7de temps en temps, soit 1 ou 2 jours sur 7rarement, soit moins d’1 jour sur 7jamais.

Durée d’écoute

La durée est codée selon les catégories suivantes :

8 heures et plusde 6 heures à moins de 8 heuresde 5 heures à moins de 6 heuresde 4 heures à moins de 5 heuresde 3 heures à moins de 4 heuresde 2 heures à moins de 3 heuresde 1 heure à moins de 2 heuresde 1/2 heure à moins de 1 heurede 10 minutes à moins de 1/2 heure.

II. Radio par tranche horaire

Les tranches horaires étudiées

avant 5 heures du matinentre 5 et 7 heuresentre 7 et 9 heuresentre 9 et 12 heuresentre 12 et 14 heuresentre 14 et 16 heuresentre 16 et 18 heuresentre 18 et 20 heuresentre 20 et 22 heuresentre 22 et 24 heures.

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Durée d’écoute

Les durées à l’intérieur des tranches horaires sont codées de la manière suivante :

deux heures et plusd’une heure à moins de deux heuresd’une demi-heure à moins d’une heurede dix minutes à moins d’une demi-heure.

III. Radio par station

Détermination de l’audience totale

L’audience totale (écoute parfois) des différentes stations est déterminée à l’aide d’une liste nominati-ve pour les stations francophones et pour les stations néerlandophones.

Détermination de l’audience dernière période

Viennent ensuite une série de questions sur la fréquence d’écoute par semaine, sur l’écoute veille et surla durée d’écoute le dernier jour à l’exception d’aujourd’hui. Les modalités de réponse sont identiquesà celles utilisées pour la radio en général et pour la radio par tranche horaire. Les listes des stations sontprésentées partout – même en dehors de leur zone de captation proprement dite – dès lors que l’in-terrogation porte sur toutes les écoutes même en dehors du domicile.

Partie Tactique

I. Liste des stations

Pour la radio en général et pour chaque tranche horaire trois fiches sont publiées : une fiche nationa-le, une fiche calculée sur la population francophone et une fiche calculée sur la population néerlando-phone. Pour les stations où sont observés au moins 50 auditeurs veille, nous avons établi deux fiches :l’une nationale et la seconde filtrée par la langue de la station.

N’ont pas obtenu les 40 observations, les stations suivantes :

FAMILY RADIO

RADIO 7 (ex-Magdalena Kabelradio)

ROXY KABELRADIO

C-DANCE

FM LIMBURG

RGR BOENKRADIO

ENERGY VLAANDEREN

RADIO LENE (RTBF)

BFM

CIEL

100.5 DAS HIT RADIO

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2002

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II. Fiche CIM tactique

La fiche CIM “Radio par catégorie” se présente donc comme suit :

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Signalétique du support

Indicateurs d'audience(Audience Totale)

Accumulation d'audience(Audience Dernière Période)

Intervalle de confiance(Audience Dernière Période)

Audience(Audience Dernière Période)

couvertures et profilssuivant

• ensemble, hommes, femmes, PRA• variables sociodémographiques

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Partie Densité

I. Mode de calcul

Le calcul de la densité pour la radio suit le même principe que celui adopté pour la télévision. Pour chaqueauditeur, nous disposons de deux informations : la fréquence d’écoute et la durée d’écoute la dernièrefois.

Les valeurs suivantes ont été attribuées aux différentes modalités de réponse :

Pour la radio en général :

Fréquence Durées7 jours/7 7,0 480 minutes et plus 480

5 ou 6 jours/7 5,5 360-479 minutes 420

3 ou 4 jours/7 3,5 300-359 minutes 330

1 ou 2 jours/7 1,5 240-299 minutes 270

moins d’un jour/7 0,5 180-239 minutes 210

120-179 minutes 150

60-119 minutes 90

30-59 minutes 45

10-29 minutes 20

Pour la radio par tranche horaire :

Fréquence Durées7 jours/7 7,0 120 minutes et plus 120

5 ou 6 jours/7 5,5 60-119 minutes 90

3 ou 4 jours/7 3,5 30-59 minutes 45

1 ou 2 jours/7 1,5 10-29 minutes 20

moins d’un jour/7 0,5

Ici encore, une note est attribuée à chaque individu en fonction de sa fréquence d’écoute et de la duréed’écoute. Les répondants sont rangés par ordre croissant puis répartis en trois catégories approximati-vement de même importance.

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Cela nous donne les répartitions suivantes :

Tranche horaire Durée hebdomadaire Effectif relatifRadio en général 315 minutes et moins 34,6 %

de 316 à 1470 minutes 34,7 %

plus de 1470 minutes 30,7 %

Radio avant 5 heures 60 minutes et moins 33,2 %

de 61 à 247 minutes 33,4 %

plus de 247 minutes 33,5 %

Radio de 5 à 7 heures 140 minutes et moins 36,6 %

de 141 à 315 minutes 30,8 %

plus de 315 minutes 32,6 %

Radio de 7 à 9 heures 247 minutes et moins 38,0 %

de 248 à 495 minutes 24,0 %

plus de 495 minutes 38,0 %

Radio de 9 à 12 heures 315 minutes et moins 32,9 %

de 316 à 660 minutes 29,0 %

plus de 660 minutes 38,1 %

Radio de 12 à 14 heures 247 minutes et moins 35,1 %

de 248 à 630 minutes 32,7 %

plus de 630 minutes 32,1 %

Radio de 14 à 16 heures 247 minutes et moins 31,3 %

de 248 à 660 minutes 39,5 %

plus de 660 minutes 29,1 %

Radio de 16 à 18 heures 180 minutes et moins 31,0 %

de 181 à 495 minutes 32,0 %

plus de 495 minutes 37,0 %

Radio de 18 à 20 heures 140 minutes et moins 33,0 %

de 141 à 420 minutes 32,2 %

plus de 420 minutes 34,8 %

Radio de 20 à 22 heures 70 minutes et moins 33,8 %

de 71 à 315 minutes 33,3 %

plus de 315 minutes 32,9 %

Radio de 22 à 24 heures 67 minutes et moins 32,2 %

de 68 à 247 minutes 30,6 %

plus de 247 minutes 37,2 %

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2002

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Pour la radio par station :

Le tableau ci-dessous reprend les différentes valeurs hebdomadaires pour chaque station.

Station Durée hebdomadaire Effectif relatifRADIO 1 (VRT) 135 minutes et moins 30,4 %

de 136 à 525 minutes 33,2 %

plus de 525 minutes 36,4 %

RADIO 2 (VRT) 247 minutes et moins 30,8 %

de 248 à 1155 minutes 35,8 %

plus de 1155 minutes 33,5 %

KLARA (VRT) 135 minutes et moins 33,2 %

de 136 à 495 minutes 33,4 %

plus de 495 minutes 33,5 %

STUDIO BRUSSEL (VRT) 110 minutes et moins 33,5 %

de 111 à 405 minutes 31,6 %

plus de 405 minutes 35,0 %

RADIO DONNA (VRT) 240 minutes et moins 32,1 %

de 241 à 945 minutes 32,2 %

plus de 945 minutes 35.7 %

RADIO CONTACT (néerlandophone)

70 minutes et moins 34,9 %

de 71 à 247 minutes 29,6 %

plus de 247 minutes 35,5 %

RADIO MANGO 45 minutes et moins 32.3 %

de 46 à 225 minutes 33.8 %

plus de 225 minutes 33.9 %

TOP RADIO 67 minutes et moins 31,8 %

de 68 à 247 minutes 35,3 %

plus de 247 minutes 32,9 %

LA PREMIERE (RTBF) 135 minutes et moins 29,6 %

de 136 à 315 minutes 40,0 %

plus de 315 minutes 30,4 %

FREQUENCE WALLONIE (RTBF) 140 minutes et moins 35,0 %

de 141 à 525 minutes 26,6 %

plus de 525 minutes 38,3 %

MUSIQUE 3 (RTBF) 110 minutes et moins 30,9 %

de 110 à 315 minutes 37,2 %

plus de 315 minutes 31,9 %

BRUXELLES CAPITALE (RTBF) 110 minutes et moins 34,0 %

de 111 à 315 minutes 33,7 %

plus de 315 minutes 32,3 %

RADIO 21 (RTBF) 70 minutes et moins 33,1 %

de 71 à 247 minutes 32,3 %

plus de 247 minutes 34,5 %

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BEL RTL 140 minutes et moins 35,7 %

de 141 à 525 minutes 29,9 %

plus de 525 minutes 34,4 %

RADIO CONTACT (francophone)

135 minutes et moins 34,3 %

de 136 à 315 minutes 29,6 %

plus de 315 minutes 36,1 %

RADIO CONTACT 2 (francophone)

75 minutes et moins 32,2 %

de 76 à 315 minutes 34,6 %

plus de 315 minutes 33,2 %

FUN RADIO 110 minutes et moins 36,8 %

de 111 à 315 minutes 35,0 %

plus de 315 minutes 28,2 %

NRJ 70 minutes et moins 34,8 %

de 71 à 247 minutes 30,8 %

plus de 247 minutes 34,5 %

NOSTALGIE 105 minutes et moins 31,8 %

de 106 à 315 minutes 39,0 %

plus de 315 minutes 29,2 %

II. Liste des titres

Ne sont repris dans le volet stratégique que des stations belges. On trouvera pour les titres génériquesune fiche nationale, une fiche FR et une fiche NL. Les stations bénéficient d’une fiche nationale et d’unefiche calculée sur la population parlant la même langue que la langue d’émission de la station.

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2002

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III. Fiche CIM Radio par densité

Cette fiche est parfaitement similaire aux fiches par densité pour la Presse, pour le Cinéma et pour laTV. Nous insistons sur le fait que le descriptif socio-démographique s’applique à l’audience totale.

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Signalétique du support

Indicateurs d'audience(Audience Totale)

Accumulation d'audience(Audience Dernière Période)

Intervalle de confiance(Audience Totale)

Audience(Audience Totale)

couvertures et profilssuivant

• ensemble, hommes, femmes, PRA• variables sociodémographiques

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Les Déplacements

Le questionnaire Déplacements

L’objectif de cette partie de l’étude est de caractériser l’ensemble des personnes se déplaçant dans lesNew villes CIM. Ces personnes soit y habitent soit s’y rendent pour quelque raison que ce soit. Le ques-tionnaire insiste sur cet aspect. Le temps passé en déplacements à l’intérieur des 48 villes (New UrbainTotal CIM) ainsi que la fréquence de déplacement permettent de définir des “heavy, medium, light” des-tinés au media-planning stratégique.

I. Utilisation des différents modes de déplacement

Modes de déplacement considérés

Sont considérés les moyens de locomotion suivants :

à piedà véloà moto, scooteren voiture, taxi, camionnette, camionen trainen métroen tram, bus.

Fréquences d’utilisation

Ainsi que les fréquences suivantes :

7 jours sur 75 à 6 jours sur 71 à 4 fois par semaineune fois par quinzaineune fois toutes les 3 semainesune fois par moismoins souvent(jamais).

Notons que les fréquences “une fois par quinzaine, une fois toutes les trois semaines et une fois par mois”ont été regroupées dans la publication. L’information éclatée reste bien évidemment disponible auprèsdes fournisseurs de logiciels.

II. Temps passé à l’extérieur du domicile pour se déplacer

Durée globale

La question suivante porte sur le temps passé la veille ou le dernier jour à l’extérieur du domicile pourse déplacer. Ces durées sont recodées de la manière suivante :

4 heures et plusde 3 heures à moins de 4 heuresde 2 heures à moins de 3 heuresde 1 heure et demie à moins de 2 heuresde 1 heure à moins d’une heure et demiede trois-quarts d’heure à moins d’une heured’une demi-heure à moins de trois-quarts d’heured’un quart d’heure à moins d’une demi-heuremoins d’un quart d’heure.

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Durée par moyen de transport

La question suivante porte sur le temps passé à se déplacer la veille ou le dernier jour par mode de trans-port utilisé :

à piedà véloà moto, scooteren voiture, taxi, camionnette, camionen trainen métroen tram, bus

III. Déplacements dans et vers le New urbain total CIM

Viennent ensuite les questions portant sur les déplacements à l’intérieur et vers les New 5 grandscentres CIM et les New 43 villes CIM, qui se basent sur le nouvel habitat CIM .

Visite au cours des derniers mois

Les New villes CIM suivantes sont prises en considération dans cette étude :

AalstAarschotAntwerpenArlonAthBruggeBruxellesCharleroiDeinzeDendermondeDiestEekloEupenGeelGentHalleHasselt-GenkHerentalsHuyIeperKnokkeKortrijkLa LouvièreLeuvenLiègeLierLokerenMarche-En-FamenneMechelenMolMonsMouscronNamurNivellesOostendeOudenaardeRoeselareRonse

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Sint-NiklaasSint-TruidenTieltTienenTongerenTournaiTurnhoutVerviersWaregemWavre

Fréquence de ces visites

On demande ensuite la fréquence des visites pour chaque New ville CIM visitée, soit :

7 jours sur 75 à 6 jours par semaine1 à 4 jours par semaineune fois par quinzaineune fois toutes les 3 semainesune fois par moismoins d’une fois par mois

Temps passé à l’extérieur lors de la dernière visite

Enfin, on demande encore au répondant combien de temps il a passé à l’extérieur dans la New ville concer-née pour se déplacer lors du dernier jour de visite.

Partie Tactique

I. Liste des titres

On trouvera dans la partie “Déplacements”, un descriptif des personnes s’étant déplacées la veille à pied,à vélo, à moto ou en scooter, en voiture, en taxi ou camionnette, en train, en métro et en tram ou bus.

On trouvera également un descriptif des personnes s’étant déplacées dans les New 5 Grands Centres CIM,dans les New 43 Villes CIM et dans le New urbain total CIM (n=48). Attention : ce descriptif porte sur l’en-semble des personnes se déplaçant au moins parfois dans le centre urbain concerné et ne porte doncpas uniquement sur les déplacements de la veille.

Toutes ces fiches sont déclinées dans les trois versions (total, FR et NL) pour autant qu’il y ait eu à chaquefois au moins 50 observations.

II. Fiche CIM tactique

La fiche CIM tactique “Déplacements” est donc différente selon qu’il s’agisse du mode de déplacement(“audience dernière période”) ou de la zone de déplacement (“audience totale”). Pour le reste, elle secompose de la même manière que les autres fiches tactiques.

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Partie Densité

I. Mode de calcul

Pour déterminer la densité des déplacements des répondants, nous disposons tant pour les modes dedéplacement que pour les 48 villes du “New urbain total CIM”, d’informations sur la fréquence et surla durée.

Les valeurs suivantes ont été attribuées aux différentes modalités de réponse :

Fréquence Durées7 jours/7 7,000 240 minutes et plus 240

5 ou 6 jours/7 5,500 180-239 minutes 210

1 à 4 fois/semaine 2,500 120-179 minutes 150

1 fois par quinzaine 0,500 90-119 minutes 105

1 fois toutes les 3 semaines 0,333 60-89 minutes 75

1 fois par mois 0,250 45-59 minutes 52

moins souvent 0,125 30-44 minutes 37

15-29 minutes 22

0-15 minutes 7

Les répondants sont ensuite rangés par ordre croissant et répartis en trois groupes approximativementégaux.

La densité est calculée pour chaque New Ville CIM et chaque moyen de locomotion séparément. Les notesde densité pour un même individu sont cumulées pour les trois ensembles de New Villes CIM envisagées: les New 5 Grands Centres CIM, les New 43 Villes CIM et le New urbain total CIM (n=48). La distributionest alors répartie en trois catégories d’effectifs plus ou moins égaux.

Pour ce qui est des modes de déplacement, ils sont considérés tous les sept séparément. Les valeurs dedensité pour les déplacements (comme pour la presse) ne s’expriment pas en unités facilement transposablesen termes de comportement. C’est pourquoi nous ne donnons pas de tableaux de valeurs.

II. Titres déplacements par densité

Les résultats sont calculés pour les New 5 Grands Centres CIM, les New 43 Villes CIM et le New urbaintotal CIM (n=48), ainsi que pour les 7 moyens de locomotion étudiés.

III. La fiche CIM par densité

Cette fiche est parfaitement similaire aux fiches par densité pour les médias précédents. Nous insistonssur le fait que le descriptif socio-démographique s’applique à l’audience totale.

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Internet

Le questionnaire

I. L’équipement

On commence par recenser le nombre d’ordinateurs PC dont le ménage dispose.

II. Utilisation d’une connexion Internet

Le questionnaire ne fait pas la distinction entre les possibilités de connexions privées, publiques ou pro-fessionnelles. Il s’agit ici de déterminer l’audience totale d’Internet.

III. Surfing sur les sites versus e-mail

Une question vise à faire la différence entre l’utilisation de la messagerie électronique et la consulta-tion des sites.

IV. Fréquence de consultation des sites internet et de transmission ou réception decourrier électronique

La fréquence est encodée de la manière suivante :

Systématiquement tous les jours de la semaine, c’est-à-dire 7 jours sur 7Presque tous les jours de la semaine, c’est-à-dire 5 à 6 jours sur 7Souvent, c’est-à-dire 3 ou 4 jours sur 7De temps en temps, c’est-à-dire 1 ou 2 jours sur 7Rarement, c’est-à-dire moins d’1 jour sur 7.

V Surfing et e-mail la veille

Une question portant sur le surf la veille et une question portant sur la transmission ou la récep-tion de courrier électronique la veille permettent de probabiliser ce média.

VI. Durée le dernier jour

Enfin, la dernière question porte sur la durée de consultation des sites internet et de transmissionou réception de courrier électronique le dernier jour. La réponse en spontanée est recodée de lamanière suivante :

3 heures et plusde 2 heures à moins de 3 heuresde 1 heure à moins de 2 heuresde 1\2 heure à moins d’1 heurede 1\4 heure à moins d’1\2 heuremoins de 1\4 heure.

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Partie tactique

Les fiches CIM " Web " et " e-mail " se présentent comme suit :

Partie Densité

Comme nous disposons d’informations sur la fréquence et sur la durée des consultations de sitesInternet, nous pouvons publier une fiche sur le profil des all, heavy, medium, light users.

Les valeurs suivantes ont été attribuées aux différentes modalités de réponse :

Fréquence Durées7 jours/7 7,0 180 minutes et plus 180

5 ou 6 jours/7 5,5 120-179 minutes 150

3 ou 4 jours/7 3,5 60-119 minutes 90

1 ou 2 jours/7 1,5 30-59 minutes 45

moins d’un jour/7 0,5 15-29 minutes 23

0-14 minutes 10

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Signalétique du support

Indicateurs d'audience(Audience Totale)

Accumulation d'audience(Audience Dernière Période)

Intervalle de confiance(Audience Dernière Période)

Audience(Audience Dernière Période)

couvertures et profilssuivant

• ensemble, hommes, femmes, PRA• variables sociodémographiques

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Cela nous donne la répartition suivante :

par semaine par jourLight surfers 36,6% de 1 à 67 minutes soit de 1 à 10 minutes

Medium surfers 28,0% de 68 à 225 minutes soit de 11 à 32 minutes

Heavy surfers 35,4% plus de 225 minutes soit plus de 32 minutes

Nous disposons cette année d’informations sur la fréquence et sur la durée de transmission et dela réception de courrier électronique. Nous pouvons donc publier une fiche sur le profil des all,heavy, medium, light users.

Les valeurs suivantes ont été attribuées aux différentes modalités de réponse :

Fréquence Durées7 jours/7 7,0 180 minutes et plus 180

5 ou 6 jours/7 5,5 120-179 minutes 150

3 ou 4 jours/7 3,5 60-119 minutes 90

1 ou 2 jours/7 1,5 30-59 minutes 45

moins d’un jour/7 0,5 15-29 minutes 23

0-14 minutes 10

Cela nous donne la répartition suivante :

par semaine par jourLight mail users 33,3% de 1 à 45 minutes soit de 1 à 6 minutes

Medium mail users 33,2% de 46 à 135 minutes soit de 7 à 19 minutes

Heavy mail users 33,5% plus de 135 minutes soit plus de 19 minutes

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Probabilisation des données

Raison d’être de la probabilisation

Les résultats d’audience observés sont le reflet de l’audience moyenne d’un numéro moyen en presseou d’un jour moyen en TV, radio et déplacements. En tant que tels, ils ne permettent pas de connaîtrel’évolution de l’audience dans le temps.

La probabilisation repose sur le principe suivant toute personne (appartenant à l’audience totale) décla-rant lire, regarder ou écouter un support à telle fréquence, a une probabilité P d’être lecteur, specta-teur ou auditeur au cours de la dernière période.

Pour calculer cette probabilité on tient compte à la fois des déclarations de fréquence et des contactsréellement observés avec le support au cours de la dernière période.

Ce traitement appliqué à l’ensemble des données vise également à restituer le profil exact de l’audien-ce d’un support. Si on ne considérait que l’audience Période de Référence, on donnerait le même poidsdans le profil d’un support, à ses utilisateurs réguliers et à ses utilisateurs occasionnels. La probabilisa-tion permet donc de nuancer les profils des supports et c’est en cela que l’audience Dernière Période dif-fère en nature (mais non en nombre) de l’audience observée au cours de la Période de Référence. C’estpour cette raison aussi qu’un lecteur (auditeur ou spectateur) veille ne vaut pas nécessairement (et mêmeplutôt rarement) un.

Détermination de la probabilité

Pour chaque support correspondant à un logo présenté séparément au cours du terrain, on déterminedonc le nombre total de lecteurs, spectateurs ou auditeurs pour chaque fréquence déclarée (soit Nij) etle nombre de lecteurs, spectateurs ou auditeurs observés au cours de la dernière période (soit nij). Laprobabilité d’être lecteur, spectateur ou auditeur de la dernière période est égale au rapport des deux(soit : Pij = nij / Nij).

Précédemment, cette probabilité était calculée séparément pour les hommes et pour les femmes et cela,pour tous les supports, si petits soient-ils. Cette façon de procéder est extrêmement précise. Elle présentel’inconvénient cependant de devoir travailler sur de très petites cellules : un individu en plus ou en moinspeut avoir un impact démesuré comme le montre le tableau ci-dessous. Nous avons pris six supports auhasard — l’exemple ci-dessous est purement fictif ! Pour chacune des fréquences, nous avons indiquéle nombre absolu de personnes au sein de l’échantillon composant l’audience totale du support concer-né.

Nij Titre 1 Titre 2 Titre 3 Titre 4 Titre 5 Titre 6H F H F H F H F H F H F

Fréq. 1 56 64 44 25 133 125 26 16 55 54 294 253

Fréq. 2 10 0 6 5 23 24 8 0 20 15 50 47

Fréq. 3 15 15 5 6 38 45 17 0 32 22 78 56

Fréq. 4 36 74 27 40 72 80 51 102 83 57 199 168

Fréq. 5 36 0 37 0 68 72 76 0 148 102 202 176

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Pour ces mêmes titres, voici le nombre absolu de personnes composant l’audience Dernière Période :

nij Titre 1 Titre 2 Titre 3 Titre 4 Titre 5 Titre 6H F H F H F H F H F H F

Fréq. 1 48 57 39 23 122 118 17 4 50 45 265 218

Fréq. 2 5 0 2 2 18 18 5 0 7 6 34 19

Fréq. 3 4 3 1 1 11 10 4 0 12 2 23 12

Fréq. 4 1 1 3 1 13 10 4 2 16 5 26 29

Fréq. 5 2 0 1 0 4 2 1 0 6 3 8 5

Si nous calculons les différentes probabilités selon la formule que nous avons décrite ci-dessus, letableau devient :

Pij Titre 1 Titre 2 Titre 3 Titre 4 Titre 5 Titre 6H F H F H F H F H F H F

Fréq. 1 0,86 0,89 0,89 0,92 0,92 0,94 0,65 0,25 0,91 0,83 0,90 0,86

Fréq. 2 0,50 0,00 0,33 0,40 0,78 0,75 0,63 0,00 0,35 0,40 0,68 0,40

Fréq. 3 0,27 0,20 0,20 0,17 0,29 0,22 0,24 0,00 0,38 0,09 0,29 0,21

Fréq. 4 0,03 0,01 0,11 0,03 0,18 0,13 0,08 0,02 0,19 0,09 0,13 0,17

Fréq. 5 0,06 0,00 0,03 0,00 0,06 0,03 0,01 0,00 0,04 0,03 0,04 0,03

On le voit, la présence ou l’absence d’une seule personne — si elle appartient à une cellule où il y a peud’observations — exerce une influence considérable sur la probabilité d’être ou non considéré commeappartenant à l’audience Dernière Période.

Prenons un exemple concret. Il aurait suffi d’avoir une seule lectrice du support 1, lisant presque systé-matiquement tous les numéros, qui ait lu ce support lors de la période de référence (et donc au coursdes derniers mois) pour faire passer le coefficient de probabilisation de cette cellule de 0 à 100 %.

Dans le but d’améliorer la fiabilité de la probabilisation des données, les Commissions Techniques ontdécidé de regrouper les hommes et les femmes pour le calcul des probabilités, et donc de ne plus tra-vailler que sur les cinq cellules de fréquence. De plus, ne sont plus considérées séparément les varianteslocales des titres regroupés pour la publication.

Exemple : alors qu’auparavant, lecteurs et lectrices de “HET NIEUWSBLAD” étaient considérés séparé-ment des lecteurs et lectrices de “DE GENTENAAR” — deux titres repris sur une seule et même fiche CIM— désormais on considère globalement tous les lecteurs (hommes et femmes) des deux titres pour déter-miner les probabilités recherchées.

Applications particulières

Ces probabilités permettent de calculer différentes valeurs caractéristiques que nous allons passer en revue.

I. Couverture moyenne

La couverture moyenne (audience Dernière Période, anciennement appelée “audience CIM”) après 1 numé-ro, soit la somme de tous les produits Pij x Nij. Cette somme est pratiquement égale au nombre d’ob-servations enregistrées pour la Dernière Période. Elle est susceptible d’être légèrement différente lors-qu’on s’intéresse à des sous-univers (cibles) restreints.

II. Couverture totale

La couverture totale (audience totale), soit la somme de tous les individus ayant une probabilité non nulled’appartenir à l’audience Dernière période. Il s’agit bien évidemment de l’ensemble des observations d’unsupport donné.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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III. Couverture après n insertions

La couverture après n insertions (audience cumulée) se calcule au moyen de la formule suivante :

∑i 1 - (1 - Pi)n

Exemple :

Soit un individu a une probabilité Pi égale à 0,60 d’appartenir à l’audience Dernière Période d’un sup-port donné. Ses probabilités d’être lecteur Dernière Période de ce support, seront

après une insertion : 0,60après 2 insertions : 1 - (1 - 0.60)2 = 0.840après 3 insertions : 1 - (1 - 0.60)3 = 0.936après 4 insertions : 1 - (1 - 0.60)4 = 0.974et ainsi de suite.

C’est toujours cette formule qui sert à calculer l’accumulation d’audience dans les fiches techniques.

IV. Couverture d’une combinaison de supports

Pour déterminer la couverture d’une combinaison de k supports (audience nette), les probabilités de lec-ture se cumulent. Ainsi, pour deux supports on aura :

1 - (1 - P1) (1 - P2)

Pour k supports, on aura :

1 - (1 - P1) (1 - P2) .... (1 - Pk)

La formule générale sera donc :

1 – p j (1 - Pj)

Exemple :

Soit un individu a une probabilité Pi égale à 0,80 d’appartenir à l’audience Dernière Période du titre 1,une probabilité Pi’ égale à 0,40 d’appartenir à l’audience Dernière Période du titre 2 et une probabili-té Pi’’ égale à 0,20 d’appartenir à l’audience Dernière Période du titre 3. Ses probabilités d’être lecteurDernière Période des deux premiers supports seront égales à 1 - (1 - 0,80) (1 - 0,40), soit 0,88 et pour lestrois titres, 1 - (1 - 0,80) (1 - 0,40) (1-0,20), soit 0,904.

La couverture brute d’une combinaison de k média (contacts bruts) s’obtient en faisant simplement l’ad-dition des couvertures brutes de chacun des médias.

V. Duplication entre deux médias

La probabilité d’être lecteur Dernière Période de deux ou plusieurs médias, est égale au produit des dif-férentes probabilités d’être lecteur Dernière Période de chacun de ces médias.

Exemple : l’individu décrit au point précédent aura une probabilité d’être lecteur Dernière Période destrois titres cités égale à 0,80 x 0,40 x 0,20, soit 0,064.

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90

L’étude Produits-Marques

Les résultats de l’étude Produits-Marques seront publiés fin 2002. Des questions concernant les atti-tudes à l’égard des différents champs de produits ont été ajoutées au questionnaire de manièreà mieux cerner les comportements d’utilisation, de possession ou d’achat des divers produits, biensou services. Nous rappelons que ces données ne sont plus collectées en face-à-face comme par lepassé mais font l’objet d’un questionnaire auto-complété laissé par l’enquêteur à la fin de l’interviewen face-à-face portant sur les médias. Si le répondant accepte de participer à ce volet particulierde l’étude, l’enquêteur lui remet un questionnaire en lui demandant de le remplir personnelle-ment quand cela lui convient et de le renvoyer ensuite à l’institut. Pour les répondants renvoyantce questionnaire, on possède donc l’information média et produits. Pour les répondants ne par-ticipant pas à ce volet de l’enquête, on leur réaffectera par fusion ou ascription les informationsobtenues auprès des répondants ayant accepté de participer. On peut estimer à quelque 50% letaux de réponse au questionnaire Produits-Marques-Attitudes.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

2002

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Les intervalles de confiance

Il est d’usage de clore les publications CIM par une annexe reprenant le calcul de l’intervalle de confian-ce pour déterminer la marge d’erreur sur la mesure de l’audience d’un titre déterminé.

Intervalle de confiance sur une proportion

L’échantillon théorique a été constitué par un sondage aléatoire à deux degrés.

Les erreurs d’échantillonnage peuvent être calculées suivant la théorie classique se rapportant auxéchantillons aléatoires ; celle-ci montre que la distribution des moyennes observées sur l’échantillon estnormale et qu’en conséquence l’erreur d’estimation, au niveau de probabilité 95 %, est donnée par larelation :

p représente la proportion de lecteurs d’un certain titre observés dans l’échantillon. Cette proportiondoit être libellée sous une forme décimale, soit 0,027 par exemple.

q = 100 – p (si p = 0,027 alors q vaut 0,973)

n est l’effectif de l’échantillon brut (dans le cas de l’échantillon 2001-2002 : n = 10 123).

Reprenant notre exemple, l’équation ci-dessus devient :

Théoriquement la vraie valeur de la proportion de lecteurs du titre X a 95 % de se situer entre 2,38 %et 3,02 % de la population.

Prenons un exemple concret : nous connaissons les valeurs suivantes :

Titre XTaille échantillon 10 123

% C (ens.12+) 2,8 %

Le pourcentage de couverture est repris dans les fiches CIM, il s’agit de P dans la formule reprise ci-des-sus. Nous utilisons P comme une approximation de p, ce qui nous permet de calculer

q = 1-p.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Le tableau suivant reprend les différentes valeurs dont nous avons besoin pour calculer les bornes infé-rieure et supérieure de l’intervalle de confiance :

p 0,028

q 0,972

p*q 0,027216

(p*q)/n 2,688-06

racine ((p*q)/n) 0,001639673

Pour trouver les bornes de l’intervalle de confiance, il suffit de multiplier cette dernière quantité par 1,96et de soustraire (borne inférieure) et d’ajouter (borne supérieure) cette dernière quantité à p, soit :

borne inférieure IC 0,0248 2,50 %

borne supérieure IC 0,0312 3,10 %

Ce qui revient à dire que la “vraie proportion” de lecteurs du titre X a 95 % de chances de se trouverentre 2,5 et 3,1 % de la population. Ce sont pratiquement ces valeurs que l’on trouve dans les lignes repre-nant l’intervalle de confiance pour l’ensemble 12+. La différence provient d’erreurs d’arrondis, le pro-gramme de calcul des audiences et des intervalles de confiance travaille sur base d’un nombre beaucoupplus grand de décimales significatives. La dernière étape consiste encore à traduire ces proportions entermes de nombres absolus via le taux de redressement.

Les tableaux suivants permettent une lecture rapide des écarts statistiques valables pour diverses taillesd’échantillon. Ces tableaux sont repris en annexe à chaque volume.

On trouvera à la fin de ce chapitre un tableau permettant d’apprécier la taille de l’intervalle de confian-ce associé aux différentes proportions entre 0 et 50 % pour différentes tailles d’échantillon.

Différences de proportions

Une autre question fréquemment posée est de savoir si la différence entre les audiences de deux titresou la progression ou le recul d’un titre d’une publication à l’autre sont statistiquement significatifs.

Il s’agit à chaque fois de déterminer si la différence observée entre deux proportions dépasse une cer-taine valeur théorique (1,96 si on veut se préserver 95 % de chances de ne pas se tromper).

Il faut souligner que l’une des conditions d’utilisation de ce test repose sur l’indépendance des échan-tillons, ce qui n’est pas rigoureusement garanti lorsqu’on compare les titres d’une publication à l’autrepuisqu’il existe une probabilité non nulle qu’un répondant ait été interrogé pour les deux publications.Les personnes interrogées au cours de deux terrains successifs ne doivent cependant pas être légion eton peut considérer que les échantillons successifs sont pratiquement indépendants.

Attention cependant : les conditions de questionnement ou d’échantillonnage peuvent varier !Une différence peut être significative parce que les conditions d’interview ont changé (ou l’échan-tillon, ou le climat social ou le titre ou…). À l’utilisateur d’être attentif à tous les effets de contex-te. Cette remarque est expressément pertinente dans le cadre de ce rapport. Le tirage d’échan-tillon a en effet fait l’objet de modifications : nous somme passé d’un tirage d’adresses deménages à un tirage d’adresses de personnes.

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2002

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Les formules à utiliser sont les suivantes :

P représente la proportion moyenne que l’on observerait dans la population, p1 et p2 les deux propor-tions observées, n1 et n2 les tailles des deux échantillons sur lesquels ont été observés p1 et p2.

L’écart-type de la distribution des proportions moyennes de la population se calcule comme suit :

Ce qui nous permet de calculer la valeur du t de Student via la formule :

Nous utilisons ici le théorème de la loi des grands nombres, ce qui nous autorise à utiliser la loi norma-le plutôt que la distribution du t de Student. Si le t calculé en valeur absolue est plus grand que 1,96 ;la différence calculée entre les deux proportions est significative (alpha = 0,05).

I. Comparaison de l’audience d’un titre d’une publication à l’autre

Nous connaissons les valeurs suivantes :

Titre XAnnée 1 p1 0,039

n1 10 453

Année 2 p2 0,042

n2 10 123

Pour calculer la valeur de “t”, nous devons faire les opérations suivantes :

p1-p2 -0,003

n1p1 407,667

n2p2 425,166

n1+n2 20576

1/n1 9,5666-05

1/n2 9,8784-05

tcalc -1,1

En valeur absolue le t calculé est plus petit que 1,96 ; la différence entre l’audience du Titre X pour l’an-née 1 et l’audience du titre X pour l’année deux n’est donc statistiquement pas significative. La proba-bilité que cette différence ne soit pas due au hasard est inférieure à 5 %.

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II. Comparaison de deux titres pour une même publication

Titres sans duplication

La formule reprise ci-dessous vise à comparer les audiences de deux titres pour une même publication(attention : les deux proportions considérées doivent être indépendantes : il faut éliminer du calcul leslecteurs communs aux deux titres). La formule se simplifie puisqu’il n’y a qu’un seul échantillon et quen1 = n2.

La formule de t calculé devient :

Nous connaissons les valeurs suivantes :

Titre X p1 0,042

Titre Y p2 0,028

n 10 123

Nous pouvons calculer t qui vaut 5,33

Le t calculé étant plus grand en valeur absolue que 1,96, nous pouvons en conclure que les audiencesdes deux titres sont statistiquement différentes. Le risque d’erreur est toujours de 5 %.

Titres avec duplication

Voici la formule à utiliser lorsque les deux titres que l’on souhaite comparer, ont une proportion non négli-geable de lecteurs communs. Dans ce cas, la formule ci-dessus devient :

p12 représente la proportion des lecteurs simultanés des deux titres.

Pour déterminer les effectifs des différentes cibles envisagées, on peut soit se rapporter aux nombresd’interviews correspondantes (indication fournie par certains logiciels de media-planning), soit deman-der aux instituts.

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Appréciation de l’écart statistique

Valeur de l’intervalle de confiance associé à des fréquences variant de 0 à 100 % pour les échantillonsvariant de 50 à 10.000 unités (niveau de probabilité : 95 %)

Taille de l’EchantillonValeur de la fréquence observée

50 100 200 300 400 500 600 700 800 900 1000 1500 2000 2500 5000 10000

1 ou 99 2,8 2,0 1,4 1,1 1,0 0,8 0,8 0,7 0,7 0,7 0,6 0,5 0,4 0,4 0,3 0,2

2 ou 98 3,9 2,7 1,9 1,6 1,4 1,2 1,1 1,0 1,0 0,9 0,9 0,7 0,6 0,5 0,4 0,3

3 ou 97 4,7 3,8 2,4 1,9 1,7 1,5 1,4 1,3 1,2 1,1 1,1 0,9 0,7 0,7 0,5 0,3

4 ou 96 5,4 3,8 2,7 2,2 1,9 1,7 1,6 1,5 1,4 1,3 1,2 1,0 0,9 0,8 0,5 0,4

5 ou 95 6,0 4,3 3,0 2,5 2,1 1,9 1,7 1,6 1,5 1,4 1,4 1,1 1,0 0,9 0,6 0,4

10 ou 90 8,3 5,9 4,2 3,4 2,9 2,6 2,4 2,2 2,1 2,0 1,9 1,6 1,3 1,2 0,8 0,6

15 ou 85 9,9 7,0 5,0 4,0 3,5 3,1 2,9 2,6 2,5 2,3 2,2 1,8 1,6 1,4 1,0 0,7

20 ou 80 11,1 7,8 5,6 4,5 3,9 3,5 3,2 3,0 2,8 2,6 2,5 2,1 1,8 1,6 1,1 0,8

25 ou 75 12,0 8,5 6,0 4,9 4,2 3,8 3,5 3,2 3,0 2,8 2,7 2,2 1,9 1,7 1,2 0,9

30 ou 70 12,7 9,0 6,4 5,2 4,5 4,0 3,7 3,4 3,2 3,0 2,8 2,4 2,1 1,8 1,3 0,9

35 ou 65 13,2 9,3 6,6 5,4 4,7 4,2 3,8 3,5 3,3 3,1 3,0 2,5 2,1 1,9 1,4 1,0

40 ou 60 13,6 9,6 6,8 5,5 4,8 4,3 3,9 3,6 3,4 3,2 3,0 2,5 2,2 2,0 1,4 1,0

45 ou 55 13,8 9,8 6,9 5,6 4,9 4,4 4,0 3,7 3,4 3,3 3,1 2,6 2,2 2,0 1,4 1,0

50 13,9 9,8 6,9 5,7 4,9 4,4 4,0 3,7 3,5 3,3 3,1 2,6 2,2 2,0 1,4 1,0

Les pourcentages de ce tableau sont applicables en plus ou en moins à la fréquence observée dans l’échan-tillon ou le sous-échantillon.

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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New ANVERS CIM

ANTWERPEN

AARTSELAAR

BOECHOUT

BORSBEEK

BRASSCHAAT

EDEGEM

HEMIKSEM

HOVE

KAPELLEN

MORTSEL

SCHELLE

SCHOTEN

WOMMELGEM

New GAND CIM

GENT

MERELBEKE

SINT-MARTENS-LATEM

New BRUXELLES CIM

BRUXELLES

ANDERLECHT

AUDERGHEM

BEERSEL

BERCHEM-SAINTE-AGATHE

BRAINE-L'ALLEUD

DILBEEK

DROGENBOS

ETTERBEEK

EVERE

FOREST

GANSHOREN

GRIMBERGEN

IXELLES

JETTE

KOEKELBERG

KRAAINEM

LINKEBEEK

MACHELEN

MOLENBEEK-SAINT-JEAN

RHODE-SAINT-GENESE

SAINT-GILLES

SAINT-JOSSE-TEN-NOODE

SCHAERBEEK

SINT-PIETERS-LEEUW

TERVUREN

UCCLE

VILVORDE

WATERLOO

WATERMAEL-BOITSFORT

WEMMEL

WEZEMBEEK-OPPEM

WOLUWE-SAINT-LAMBERT

WOLUWE-SAINT-PIERRE

ZAVENTEM

New LIEGE CIM

LIEGE

ANS

BEYNE-HEUSAY

CHAUDFONTAINE

FLEMALLE

FLERON

GRACE-HOLLOGNE

HERSTAL

OUPEYE

SAINT-NICOLAS

SERAING

New CHARLEROI CIM

CHARLEROI

CHATELET

COURCELLES

FARCIENNES

MONTIGNY-LE-TILLEUL

New Villes FlandreCIM (N = 30)

AALST

AARSCHOT

BRUGGE

DEINZE

DENDERMONDE

DIEST

EEKLO

GEEL

HALLE

HASSELT- GENK

HERENTALS

IEPER

KNOKKE-HEIST

KORTRIJK - KUURNE - HAREL-BEKE

LEUVEN

LIER

LOKEREN

MECHELEN - BONHEIDEN

MOL

OOSTENDE - BREDENE

OUDENAARDE

ROESELARE

RONSE

SINT-NIKLAAS

SINT-TRUIDEN

TIELT

TIENEN

TONGEREN

TURNHOUT

WAREGEM

New Villes WallonieCIM (N = 13)

ARLON

ATH

EUPEN

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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Annexe I

New Habitat CIM : Liste Des Communes

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HUY

LA LOUVIERE - MORLANWELZ -CHAPELLE-LEZ-HERLAIMONT -MANAGE

MARCHE-EN-FAMENNE

MONS - FRAMERIES - BOUSSU -COLFONTAINE - DOUR -QUARE-GNON

MOUSCRON

NAMUR

NIVELLES

TOURNAI

VERVIERS - DISON - PEPINSTER

WAVRE

New Petites LocalitésFlandre CIM

AALTER

ARENDONK

ASSE

AVELGEM

BERINGEN

BEVEREN

BILZEN

BLANKENBERGE

BOOM

BORNEM

BRAKEL

BRECHT

BREE

DE HAAN

DE PANNE

DENDERLEEUW

DIEPENBEEK

DIKSMUIDE

DILSEN-STOKKEM

DUFFEL

ESSEN

EVERGEM

GERAARDSBERGEN

HAACHT

HAMME

HEIST-OP-DEN-BERG

HERK-DE-STAD

HEUSDEN-ZOLDER

HOOGSTRATEN

HOUTHALEN-HELCHTEREN

IZEGEM

KALMTHOUT

KOKSIJDE

KONTICH

KORTENBERG

LANAKEN

LANDEN

LEDE

LENNIK

LEOPOLDSBURG

LIEDEKERKE

LOMMEL

LONDERZEEL

MAASEIK

MAASMECHELEN

MALDEGEM

MALLE

MEISE

MELLE

MENEN

MIDDELKERKE

NEERPELT

NIEUWPOORT

NIJLEN

NINOVE

OVERIJSE

OVERPELT

PEER

POPERINGE

PUURS

SCHERPENHEUVEL-ZICHEM

SCHILDE

SINT-GILLIS-W AAS

SINT-KATELIJNE-WAVER

TEMSE

TERNAT

TESSENDERLO

TORHOUT

VEURNE

WERVIK

WESTERLO

WETTEREN

WEVELGEM

WIJNEGEM

WILLEBROEK

WUUSTWEZEL

ZELE

ZELZATE

ZONHOVEN

ZOTTEGEM

ZWEVEGEM

ZWIJNDRECHT

New Petites LocalitesWallonie CIM

AMAY

ANDENNE

AUBANGE

AYWAILLE

BASTOGNE

BEAURAING

BELOEIL

BERTRIX

BINCHE

BOUILLON

BRAINE-LE-COMTE

CHIMAY

CINEY

COMINES-WARNETON

COUVIN

DINANT

DURBUY

ENGHIEN

ERQUELINNES

ESNEUX

FLEURUS

FLORENNES

FLORENVILLE

FONTAINE-L'EVEQUE

GEMBLOUX

HANNUT

HERVE

HOUFFALIZE

JODOIGNE

KELMIS

LESSINES

LEUZE-EN-HAINAUT

LIBRAMONT-CHEVIGNY

MALMEDY

MESSANCY

NEUFCHATEAU

OTTIGNIES-LOUVAIN-LA-NEUVE

PERUWELZ

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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PHILIPPEVILLE

RIXENSART

ROCHEFORT

SAINT-GHISLAIN

SAINT-HUBERT

SAMBREVILLE

SANKT VITH

SOIGNIES

SPA

STAVELOT

THUIN

TUBIZE

VIELSALM

VIRTON

VISE

WALCOURT

WAREMME

WELKENRAEDT

New CommunesRurales Flandre CIM

AFFLIGEM

ALKEN

ALVERINGEM

ANZEGEM

ARDOOIE

AS

ASSENEDE

BAARLE-HERTOG

BALEN

BEERNEM

BEERSE

BEGIJNENDIJK

BEKKEVOORT

BERLAAR

BERLARE

BERTEM

BEVER

BIERBEEK

BOCHOLT

BOORTMEERBEEK

BORGLOON

BOUTERSEM

BUGGENHOUT

DAMME

DE PINTE

DEERLIJK

DENTERGEM

DESSEL

DESTELBERGEN

ERPE-MERE

GALMAARDEN

GAVERE

GEETBETS

GINGELOM

GISTEL

GLABBEEK

GOOIK

GROBBENDONK

HAALTERT

HALEN

HAM

HAMONT-ACHEL

HECHTEL-EKSEL

HEERS

HERENT

HERENTHOUT

HERNE

HERSELT

HERSTAPPE

HERZELE

HEUVELLAND

HOEGAARDEN

HOEILAART

HOESELT

HOLSBEEK

HOOGLEDE

HOREBEKE

HOUTHULST

HULDENBERG

HULSHOUT

ICHTEGEM

INGELMUNSTER

JABBEKE

KAMPENHOUT

KAPELLE-OP-DEN-BOS

KAPRIJKE

KASTERLEE

KEERBERGEN

KINROOI

KLUISBERGEN

KNESSELARE

KOEKELARE

KORTEMARK

KORTENAKEN

KORTESSEM

KRUIBEKE

KRUISHOUTEM

LAAKDAL

LAARNE

LANGEMARK-POELKAPELLE

LEBBEKE

LEDEGEM

LENDELEDE

LICHTERVELDE

LIERDE

LILLE

LINT

LINTER

LOCHRISTI

LO-RENINGE

LOVENDEGEM

LUBBEEK

LUMMEN

MAARKEDAL

MEERHOUT

MEEUWEN-GRUITRODE

MERCHTEM

MERKSPLAS

MESEN

MEULEBEKE

MOERBEKE

MOORSLEDE

NAZARETH

NEVELE

NIEL

NIEUWERKERKEN

OLEN

OOSTERZELE

OOSTKAMP

OOSTROZEBEKE

OPGLABBEEK

OPWIJK

OUDENBURG

OUD-HEVERLEE

OUD-TURNHOUT

PEPINGEN

PITTEM

PUTTE

RANST

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

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RAVELS

RETIE

RIEMST

RIJKEVORSEL

ROOSDAAL

ROTSELAAR

RUISELEDE

RUMST

SINT-AMANDS

SINT-LAUREINS

SINT-LIEVENS-HOUTEM

SPIERE-HELKIJN

STABROEK

STADEN

STEENOKKERZEEL

STEKENE

TIELT-WINGE

TREMELO

VLETEREN

VOEREN

VORSELAAR

VOSSELAAR

WAARSCHOOT

WAASMUNSTER

WACHTEBEKE

WELLEN

WICHELEN

WIELSBEKE

WINGENE

WORTEGEM-PETEGEM

ZANDHOVEN

ZEDELGEM

ZEMST

ZINGEM

ZOERSEL

ZOMERGEM

ZONNEBEKE

ZOUTLEEUW

ZUIENKERKE

ZULTE

ZUTENDAAL

ZWALM

New CommunesRurales Wallonie CIM

AISEAU-PRESLES

AMEL

ANDERLUES

ANHEE

ANTHISNES

ANTOING

ASSESSE

ATTERT

AUBEL

AWANS

BAELEN

BASSENGE

BEAUMONT

BEAUVECHAIN

BERLOZ

BERNISSART

BERTOGNE

BIEVRE

BLEGNY

BRAINE-LE-CHATEAU

BRAIVES

BRUGELETTE

BRUNEHAUT

BUELLINGEN

BUETGENBACH

BURDINNE

BURG-REULAND

CELLES

CERFONTAINE

CHASTRE

CHAUMONT-GISTOUX

CHIEVRES

CHINY

CLAVIER

COMBLAIN-AU-PONT

COURT-SAINT-ETIENNE

CRISNEE

DALHEM

DAVERDISSE

DOISCHE

DONCEEL

ECAUSSINNES

EGHEZEE

ELLEZELLES

ENGIS

EREZEE

ESTAIMPUIS

ESTINNES

ETALLE

FAIMES

FAUVILLERS

FERNELMONT

FERRIERES

FEXHE-LE-HAUT-CLOCHER

FLOBECQ

FLOREFFE

FOSSES-LA-VILLE

FRASNES-LEZ-ANVAING

FROIDCHAPELLE

GEDINNE

GEER

GENAPPE

GERPINNES

GESVES

GOUVY

GREZ-DOICEAU

HABAY

HAMOIR

HAMOIS

HAM-SUR-HEURE-NALINNES

HASTIERE

HAVELANGE

HELECINE

HENSIES

HERBEUMONT

HERON

HONNELLES

HOTTON

HOUYET

INCOURT

ITTRE

JALHAY

JEMEPPE-SUR-SAMBRE

JUPRELLE

JURBISE

LA BRUYERE

LA HULPE

LA ROCHE-EN-ARDENNE

LASNE

LE ROEULX

LEGLISE

LENS

LES BONS VILLERS

LIBIN

LIERNEUX

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

99

Page 101: Études d’audience PRESSE, CINÉMA et PLURIMÉDIA · 2015. 7. 22. · connaissance des médias et de leurs consommateurs et sera source de progrès pour le métier que vous pratiquez

LIMBOURG

LINCENT

LOBBES

LONTZEN

MANHAY

MARCHIN

MARTELANGE

MEIX-DEVANT-VIRTON

MERBES-LE-CHATEAU

METTET

MODAVE

MOMIGNIES

MONT-DE-L'ENCLUS

MONT-SAINT-GUIBERT

MUSSON

NANDRIN

NASSOGNE

NEUPRE

OHEY

OLNE

ONHAYE

OREYE

ORP-JAUCHE

OUFFET

PALISEUL

PECQ

PERWEZ

PLOMBIERES

PONT-A-CELLES

PROFONDEVILLE

QUEVY

QUIEVRAIN

RAEREN

RAMILLIES

REBECQ

REMICOURT

RENDEUX

ROUVROY

RUMES

SAINTE-ODE

SAINT-GEORGES-SUR-MEUSE

SAINT-LEGER

SENEFFE

SILLY

SIVRY-RANCE

SOMBREFFE

SOMME-LEUZE

SOUMAGNE

SPRIMONT

STOUMONT

TELLIN

TENNEVILLE

THEUX

THIMISTER-CLERMONT

TINLOT

TINTIGNY

TROIS-PONTS

TROOZ

VAUX-SUR-SURE

VERLAINE

VILLERS-LA-VILLE

VILLERS-LE-BOUILLET

VIROINVAL

VRESSE-SUR-SEMOIS

WAIMES

WALHAIN

WANZE

WASSEIGES

WELLIN

YVOIR

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

100

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Complexe résidentielurbain d' ANVERS

New Ville CentraleCIM

ANTWERPEN

New Périphérie CIM

AARTSELAAR

BOECHOUT

BORSBEEK

BRASSCHAAT

EDEGEM

HEMIKSEM

HOVE

KAPELLEN

MORTSEL

SCHELLE

SCHOTEN

WOMMELGEM

New Banlieue CIM

BRECHT

ESSEN

KALMTHOUT

KONTICH

LINT

NIEL

RANST

RUMST

SCHILDE

STABROEK

WIJNEGEM

WUUSTWEZEL

ZANDHOVEN

ZOERSEL

ZWIJNDRECHT

New Ville Dortoir CIM

BERLAAR

BEVEREN

BOOM

BORNEM

DUFFEL

GROBBENDONK

HERENTHOUT

KRUIBEKE

LIER

MALLE

NIJLEN

TEMSE

VORSELAAR

WILLEBROEK

Complexe résidentielurbain de BRUGGE

New Ville CentraleCIM

BRUGGE

New Banlieue CIM

DAMME

JABBEKE

OOSTKAMP

ZUIENKERKE

New Ville Dortoir CIM

BEERNEM

BLANKENBERGE

KNOKKE-HEIST

ZEDELGEM

Complexe résidentielurbain de BRUXELLES

New Ville CentraleCIM

BRUXELLES

New Périphérie CIM

ANDERLECHT

AUDERGHEM

BEERSEL

BERCHEM-SAINTE-AGATHE

BRAINE-L'ALLEUD

DILBEEK

DROGENBOS

ETTERBEEK

EVERE

FOREST

GANSHOREN

GRIMBERGEN

HAL

IXELLES

JETTE

KOEKELBERG

KRAAINEM

LINKEBEEK

MACHELEN

MOLENBEEK-SAINT-JEAN

RHODE-SAINT-GENESE

SAINT-GILLES

SAINT-JOSSE-TEN-NOODE

SCHAERBEEK

SINT-PIETERS-LEEUW

TERVUREN

UCCLE

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

101

Annexe II

New Habitant Cim: Liste des communes appartenant aux complexes résidentiels urbains

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VILVORDE

WATERLOO

WATERMAEL-BOITSFORT

WEMMEL

WEZEMBEEK-OPPEM

WOLUWE-SAINT-LAMBERT

WOLUWE-SAINT-PIERRE

ZAVENTEM

New Banlieue CIM

ASSE

BEAUVECHAIN

BERTEM

BRAINE-LE-CHATEAU

CHAUMONT-GISTOUX

ENGHIEN

GOOIK

GREZ-DOICEAU

HOEILAART

HULDENBERG

ITTRE

KAMPENHOUT

KORTENBERG

LA HULPE

LASNE

LENNIK

MEISE

NIVELLES

OTTIGNIES-LOUVAIN-LA-NEUVE

OVERIJSE

PEPINGEN

RIXENSART

SILLY

STEENOKKERZEEL

TERNAT

TUBIZE

WAVRE

ZEMST

New Ville Dortoir CIM

AALST

AARSCHOT

AFFLIGEM

ATH

BEVER

BOORTMEERBEEK

BOUTERSEM

BRAINE-LE-COMTE

BRAKEL

BRUGELETTE

BUGGENHOUT

CHASTRE

CHIEVRES

COURT-SAINT-ETIENNE

DENDERLEEUW

DENDERMONDE

ECAUSSINNES

ELLEZELLES

ERPE-MERE

FLOBECQ

GALMAARDEN

GEMBLOUX

GENAPPE

GERAARDSBERGEN

GINGELOM

GLABBEEK

HAACHT

HAALTERT

HANNUT

HELECINE

HERNE

HERZELE

HOEGAARDEN

INCOURT

JODOIGNE

KAPELLE-OP-DEN-BOS

KEERBERGEN

LANDEN

LEBBEKE

LEDE

LESSINES

LIEDEKERKE

LIERDE

LINCENT

LINTER

LONDERZEEL

MERCHTEM

MONT-SAINT-GUIBERT

NINOVE

OPWIJK

ORP-JAUCHE

PERWEZ

RAMILLIES

REBECQ

ROOSDAAL

SCHERPENHEUVEL-ZICHEM

SENEFFE

SINT-LIEVENS-HOUTEM

TIENEN

TREMELO

VILLERS-LA-VILLE

WALHAIN

WASSEIGES

WICHELEN

ZOTTEGEM

ZWALM

Complexe résidentielurbain de GAND

New Ville CentraleCIM

GENT

New Périphérie CIM

MERELBEKE

SINT-MARTENS-LATEM

New Banlieue CIM

DE PINTE

DESTELBERGEN

EVERGEM

GAVERE

LOCHRISTI

LOVENDEGEM

MELLE

NAZARETH

WACHTEBEKE

ZELZATE

New Ville Dortoir CIM

AALTER

ASSENEDE

DEINZE

EEKLO

KAPRIJKE

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

102

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LAARNE

MOERBEKE

NEVELE

OOSTERZELE

WAARSCHOOT

WETTEREN

ZINGEM

ZOMERGEM

Complexe résidentielurbain de HASSELT-GENK

New Ville CentraleCIM

HASSELT

GENK

New Banlieue CIM

ALKEN

AS

DIEPENBEEK

HOUTHALEN-HELCHTEREN

KORTESSEM

OPGLABBEEK

ZONHOVEN

ZUTENDAAL

New Ville Dortoir CIM

BILZEN

BORGLOON

HERK-DE-STAD

HEUSDEN-ZOLDER

HOESELT

LUMMEN

MAASMECHELEN

MEEUWEN-GRUITRODE

NIEUWERKERKEN

WELLEN

Complexe résidentielurbain de COURTRAI

New Ville CentraleCIM

KORTRIJK

New Périphérie CIM

HARELBEKE

KUURNE

New Banlieue CIM

WEVELGEM

New Ville Dortoir CIM

DEERLIJK

LENDELEDE

MENEN

SPIERE-HELKIJN

ZWEVEGEM

Complexe résidentielurbain de LOUVAIN

New Ville CentraleCIM

LEUVEN

New Banlieue CIM

BIERBEEK

HERENT

HOLSBEEK

LUBBEEK

OUD-HEVERLEE

ROTSELAAR

TIELT-WINGE

New Ville Dortoir CIM

BEKKEVOORT

Complexe résidentielurbain de MALINES

New Ville CentraleCIM

MECHELEN

New Périphérie CIM

BONHEIDEN

New Banlieue CIM

SINT-KATELIJNE-WAVER

New Ville Dortoir CIM

PUTTE

Complexe résidentielurbain d' OSTENDE

New Ville CentraleCIM

OOSTENDE

New Périphérie CIM

BREDENE

New Banlieue CIM

OUDENBURG

New Ville Dortoir CIM

DE HAAN

GISTEL

MIDDELKERKE

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

103

Page 105: Études d’audience PRESSE, CINÉMA et PLURIMÉDIA · 2015. 7. 22. · connaissance des médias et de leurs consommateurs et sera source de progrès pour le métier que vous pratiquez

Complexe résidentielurbain de SAINTNICOLAS

New Ville CentraleCIM

SINT-NIKLAAS

New Banlieue CIM

STEKENE

New Ville Dortoir CIM

SINT-GILLIS-WAAS

WAASMUNSTER

Complexe résidentielurbain de CHARLEROI

New Ville CentraleCIM

CHARLEROI

New Périphérie CIM

CHATELET

COURCELLES

FARCIENNES

MONTIGNY-LE-TILLEUL

New Banlieue CIM

AISEAU-PRESLES

FLEURUS

GERPINNES

HAM-SUR-HEURE-NALINNES

LES BONS VILLERS

THUIN

WALCOURT

New Ville Dortoir CIM

ANDERLUES

BEAUMONT

CERFONTAINE

FLORENNES

FONTAINE-L'EVEQUE

FOSSES-LA-VILLE

LOBBES

MERBES-LE-CHATEAU

METTET

PONT-A-CELLES

Complexe résidentielurbain de LA LOUVIERE

New Ville CentraleCIM

LA LOUVIERE

New Périphérie CIM

CHAPELLE-LEZ-HERLAIMONT

MANAGE

MORLANWELZ

New Ville Dortoir CIM

BINCHE

LE ROEULX

Complexe résidentielurbain de LIEGE

New Ville CentraleCIM

LIEGE

New Périphérie CIM

ANS

BEYNE-HEUSAY

CHAUDFONTAINE

ENGIS

FLEMALLE

FLERON

GRACE-HOLLOGNE

HERSTAL

OUPEYE

SAINT-NICOLAS

SERAING

SOUMAGNE

New Banlieue CIM

ANTHISNES

AWANS

AYWAILLE

BASSENGE

BLEGNY

CRISNEE

DALHEM

DONCEEL

ESNEUX

FEXHE-LE-HAUT-CLOCHER

JUPRELLE

NANDRIN

NEUPRE

OLNE

REMICOURT

SAINT-GEORGES-SUR-MEUSE

SPRIMONT

TINLOT

TROOZ

VERLAINE

VISE

New Ville Dortoir CIM

AMAY

BERLOZ

CLAVIER

COMBLAIN-AU-PONT

FAIMES

FERRIERES

GEER

HAMOIR

HERSTAPPE

HERVE

MODAVE

OREYE

OUFFET

STOUMONT

VILLERS-LE-BOUILLET

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

104

Page 106: Études d’audience PRESSE, CINÉMA et PLURIMÉDIA · 2015. 7. 22. · connaissance des médias et de leurs consommateurs et sera source de progrès pour le métier que vous pratiquez

VOEREN

WANZE

WAREMME

Complexe résidentielurbain de MONS

New Ville CentraleCIM

MONS

New Périphérie CIM

BOUSSU

COLFONTAINE

DOUR

FRAMERIES

QUAREGNON

New Banlieue CIM

JURBISE

QUEVY

SAINT-GHISLAIN

New Ville Dortoir CIM

HENSIES

HONNELLES

LENS

QUIEVRAIN

Complexe résidentielurbain de NAMUR

New Ville CentraleCIM

NAMUR

New Banlieue CIM

ASSESSE

FLOREFFE

LA BRUYERE

PROFONDEVILLE

New Ville Dortoir CIM

ANDENNE

ANHEE

EGHEZEE

FERNELMONT

GESVES

Complexe résidentielurbain de TOURNAI

New Ville CentraleCIM

TOURNAI

New Banlieue CIM

ANTOING

BRUNEHAUT

RUMES

New Ville Dortoir CIM

CELLES

PECQ

Complexe résidentielurbain de VEVIERS

New Ville CentraleCIM

VERVIERS

New Périphérie CIM

DISON

PEPINSTER

New Banlieue CIM

JALHAY

THEUX

New Ville Dortoir CIM

LIMBOURG

THIMISTER-CLERMONT

Liste des autres com-munes CIM hors descomplexes résiden-tiels urbains (ordrealphabétique)

ALVERINGEM

AMEL

ANZEGEM

ARDOOIE

ARENDONK

ARLON

ATTERT

AUBANGE

AUBEL

AVELGEM

BAARLE-HERTOG

BAELEN

BALEN

BASTOGNE

BEAURAING

BEERSE

BEGIJNENDIJK

BELOEIL

BERINGEN

BERLARE

BERNISSART

BERTOGNE

BERTRIX

BIEVRE

BOCHOLT

BOUILLON

BRAIVES

BREE

BUELLINGEN

BUETGENBACH

BURDINNE

BURG-REULAND

CHIMAY

CHINY

CINEY

COMINES-WARNETON

COUVIN

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

105

Page 107: Études d’audience PRESSE, CINÉMA et PLURIMÉDIA · 2015. 7. 22. · connaissance des médias et de leurs consommateurs et sera source de progrès pour le métier que vous pratiquez

DAVERDISSE

DE PANNE

DENTERGEM

DESSEL

DIEST

DIKSMUIDE

DILSEN-STOKKEM

DINANT

DOISCHE

DURBUY

EREZEE

ERQUELINNES

ESTAIMPUIS

ESTINNES

ETALLE

EUPEN

FAUVILLERS

FLORENVILLE

FRASNES-LEZ-ANVAING

FROIDCHAPELLE

GEDINNE

GEEL

GEETBETS

GOUVY

HABAY

HALEN

HAM

HAMME

HAMOIS

HAMONT-ACHEL

HASTIERE

HAVELANGE

HECHTEL-EKSEL

HEERS

HEIST-OP-DEN-BERG

HERBEUMONT

HERENTALS

HERON

HERSELT

HEUVELLAND

HOOGLEDE

HOOGSTRATEN

HOREBEKE

HOTTON

HOUFFALIZE

HOUTHULST

HOUYET

HULSHOUT

HUY

ICHTEGEM

IEPER

INGELMUNSTER

IZEGEM

JEMEPPE-SUR-SAMBRE

KASTERLEE

KELMIS

KINROOI

KLUISBERGEN

KNESSELARE

KOEKELARE

KOKSIJDE

KORTEMARK

KORTENAKEN

KRUISHOUTEM

LA ROCHE-EN-ARDENNE

LAAKDAL

LANAKEN

LANGEMARK-POELKAPELLE

LEDEGEM

LEGLISE

LEOPOLDSBURG

LEUZE-EN-HAINAUT

LIBIN

LIBRAMONT-CHEVIGNY

LICHTERVELDE

LIERNEUX

LILLE

LOKEREN

LOMMEL

LONTZEN

LO-RENINGE

MAARKEDAL

MAASEIK

MALDEGEM

MALMEDY

MANHAY

MARCHE-EN-FAMENNE

MARCHIN

MARTELANGE

MEERHOUT

MEIX-DEVANT-VIRTON

MERKSPLAS

MESEN

MESSANCY

MEULEBEKE

MOL

MOMIGNIES

MONT-DE-L'ENCLUS

MOORSLEDE

MOUSCRON

MUSSON

NASSOGNE

NEERPELT

NEUFCHATEAU

NIEUWPOORT

OHEY

OLEN

ONHAYE

OOSTROZEBEKE

OUDENAARDE

OUD-TURNHOUT

OVERPELT

PALISEUL

PEER

PERUWELZ

PHILIPPEVILLE

PITTEM

PLOMBIERES

POPERINGE

PUURS

RAEREN

RAVELS

RENDEUX

RETIE

RIEMST

RIJKEVORSEL

ROCHEFORT

ROESELARE

RONSE

ROUVROY

RUISELEDE

SAINTE-ODE

SAINT-HUBERT

SAINT-LEGER

SAMBREVILLE

SANKT VITH

SINT-AMANDS

SINT-LAUREINS

SINT-TRUIDEN

SIVRY-RANCE

SOIGNIES

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

106

Page 108: Études d’audience PRESSE, CINÉMA et PLURIMÉDIA · 2015. 7. 22. · connaissance des médias et de leurs consommateurs et sera source de progrès pour le métier que vous pratiquez

SOMBREFFE

SOMME-LEUZE

SPA

STADEN

STAVELOT

TELLIN

TENNEVILLE

TESSENDERLO

TIELT

TINTIGNY

TONGEREN

TORHOUT

TROIS-PONTS

TURNHOUT

VAUX-SUR-SURE

VEURNE

VIELSALM

VIROINVAL

VIRTON

VLETEREN

VOSSELAAR

VRESSE-SUR-SEMOIS

WAIMES

WAREGEM

WELKENRAEDT

WELLIN

WERVIK

WESTERLO

WIELSBEKE

WINGENE

WORTEGEM-PETEGEM

YVOIR

ZELE

ZONNEBEKE

ZOUTLEEUW

ZULTE

Étude d’Audiences 2001-2002MéthodologieÉtudes d’Audience 01-02Méthodologie

107