trail des piqueurs
DESCRIPTION
Trail des piqueurs par JérémyTRANSCRIPT
Trail des Piqueurs
Ca y est ! On y est ! 1er trail de la saison
n’avais jamais couru.
Le rendez-vous est donné le samedi matin chez Fred pour un départ prévu vers 10h30, direction
Jean-des-Ollières. En arrivant Fred m’apprend qu’Eric déclare forfait car fiévreux et pas en forme du
tout, c’est bien dommage. En attendant Nico et Philippe, on jette un dernier coup d’œil à la météo car
très incertaine. Une fois Nico et Philippe ar
d’eau sur la route… Plus on se rapprochait plus il pleuvait… Aïe, mais bon
tombe aujourd’hui que demain ! Arrivé
retrouve François qui a fait le déplacement depuis la Corrèze. A l’origine il devait courir aussi mais
une blessure le contraint à y renoncer, il fera donc l’assistance des 2
Sangliers Bleusards!
Direction Clermont-Ferrand afin de prendre des forces pour la cours
avec une énorme truffade et une bonne dose de rires
notre dortoir, nous passons à la préparation des affaires pour le
lendemain. Et là, c’est le drame… Nico s’aperçoit que le mesh d’une
de ses chaussures est légèrement déchiré, ça y est
Déjà qu’il avait abusé de la truffade
aussi mais un peu jaune !
Trail des Piqueurs – 24/03/13
trail de la saison ! Quoi de mieux que de commencer par une distance que je
vous est donné le samedi matin chez Fred pour un départ prévu vers 10h30, direction
Ollières. En arrivant Fred m’apprend qu’Eric déclare forfait car fiévreux et pas en forme du
tout, c’est bien dommage. En attendant Nico et Philippe, on jette un dernier coup d’œil à la météo car
très incertaine. Une fois Nico et Philippe arrivés, nous embarquons direction le Puy
d’eau sur la route… Plus on se rapprochait plus il pleuvait… Aïe, mais bon Il vaut mieux que ça
! Arrivés à Saint-Jean-des-Ollières, on récupère nos dossards puis on
François qui a fait le déplacement depuis la Corrèze. A l’origine il devait courir aussi mais
une blessure le contraint à y renoncer, il fera donc l’assistance des 2
n de prendre des forces pour la course
avec une énorme truffade et une bonne dose de rires !! De retour dans
notre dortoir, nous passons à la préparation des affaires pour le
lendemain. Et là, c’est le drame… Nico s’aperçoit que le mesh d’une
de ses chaussures est légèrement déchiré, ça y est sa course est foutue.
Déjà qu’il avait abusé de la truffade ! Bref ça nous a bien fait rire, lui
24/03/13
! Quoi de mieux que de commencer par une distance que je
vous est donné le samedi matin chez Fred pour un départ prévu vers 10h30, direction Saint-
Ollières. En arrivant Fred m’apprend qu’Eric déclare forfait car fiévreux et pas en forme du
tout, c’est bien dommage. En attendant Nico et Philippe, on jette un dernier coup d’œil à la météo car
rivés, nous embarquons direction le Puy-de-Dôme. Que
Il vaut mieux que ça
Ollières, on récupère nos dossards puis on
François qui a fait le déplacement depuis la Corrèze. A l’origine il devait courir aussi mais
Réveil 6h30, petit dèj dans une cuisine commune où l’on retrouve de nombreux traileurs. Fred et Nico
en profitent pour faire un peu de promo pour l’Impérial, ils ne perdent pas le nord
dehors, pas de pluie et une température agréable, ouf
préparatifs (soins des pieds pour certains, préparation des ravitos et dernière lecture
filons au départ.
Petit échauffement d’environ 10min, à peine le temps de faire quelques étirements et une photo de
groupe avant le départ. Nous sommes parmi les derniers à rejoindre la ligne, cela permet à Fred et
Nico de se mettre aux avant-
Philippe, on rentre un peu dans le peloton.
Mon objectif est de ne pas partir trop vite (pas
de chance les premiers kilomètres sont
descentes…) mais en même temps de ne pas
être pris dans les bouchons car je sais que le
parcours est fait de beaucoup de hors
donc obligatoirement peu de possibilités de
doubler.
Le départ est donné, je sens que j’ai de bonnes jambes, la journée s’annonce pas m
descente, très roulant, ça me permet de finir mon échauffement. Par contr
plu toute la nuit) et j’essaie d’éviter au maximum les marres de boue, pour le moment. En bas de la
première bosse, il y avait un panneau «
bien rigoler aussi en le voyant !
et très glissantes à cause de la boue. La même chose pour les descentes. Première descente, première
gamelle ! OK, je comprends pourqu
déjà 2h de course, bien en retard sur mes prévisions, la boue y est un peu pour quelque chose. Je
mange un peu de salé et je repars.
Je ne compte plus le nombre de fois où l’on a dû traverser des ruisseaux, de l’eau jusqu’au
parfois ! Et elle n’était vraiment pas chaude
Terrain très cassant et usant jusqu’au 2
Juste un ras-le-bol de la boue qui empêche de
paysages sont magnifiques (cascades, points de vue…)
donc je « perds » beaucoup de temps car mal organisé. C’est simple quand je suis arrivé, il n’y avait
personne au ravito et au moins 20 personnes sont reparties avant moi… C’est le moral à 0 que je
reprends la route. Il ne reste plus que deux grosses difficultés et c’est la fin, mais pas les moindres
2 Chaos Basaltiques ! Au final, ça fait plus peur que mal. Je passe le premier sans aucun souci, les
roches étaient grosses et plutôt stables. Arrivé en h
Réveil 6h30, petit dèj dans une cuisine commune où l’on retrouve de nombreux traileurs. Fred et Nico
de promo pour l’Impérial, ils ne perdent pas le nord
dehors, pas de pluie et une température agréable, ouf ! Retour dans la chambre pour les derniers
préparatifs (soins des pieds pour certains, préparation des ravitos et dernière lecture
Petit échauffement d’environ 10min, à peine le temps de faire quelques étirements et une photo de
groupe avant le départ. Nous sommes parmi les derniers à rejoindre la ligne, cela permet à Fred et
-postes. Avec
dans le peloton.
Mon objectif est de ne pas partir trop vite (pas
de chance les premiers kilomètres sont
descentes…) mais en même temps de ne pas
être pris dans les bouchons car je sais que le
it de beaucoup de hors-piste
donc obligatoirement peu de possibilités de
Le départ est donné, je sens que j’ai de bonnes jambes, la journée s’annonce pas m
très roulant, ça me permet de finir mon échauffement. Par contre le terrain est très gras (il a
plu toute la nuit) et j’essaie d’éviter au maximum les marres de boue, pour le moment. En bas de la
première bosse, il y avait un panneau « Réservé aux sangliers ». Petite pensée aux copains qui ont dû
Les montées sont en hors-pistes, toutes droites (donc très très raides)
et très glissantes à cause de la boue. La même chose pour les descentes. Première descente, première
! OK, je comprends pourquoi ils ont installé des cordes… Arrivé au premier ravito (km 17) et
déjà 2h de course, bien en retard sur mes prévisions, la boue y est un peu pour quelque chose. Je
mange un peu de salé et je repars.
Je ne compte plus le nombre de fois où l’on a dû traverser des ruisseaux, de l’eau jusqu’au
! Et elle n’était vraiment pas chaude ! Mais au moins ça rinçait les chaussures de la boue
Terrain très cassant et usant jusqu’au 2ème ravito. Petit coup de moins bien, mais pas dans le rouge.
bol de la boue qui empêche de pouvoir s’employer en descente. Heureusement que les
(cascades, points de vue…) ! C’est un peu frustré que j’arrive au ravito 2 et
» beaucoup de temps car mal organisé. C’est simple quand je suis arrivé, il n’y avait
personne au ravito et au moins 20 personnes sont reparties avant moi… C’est le moral à 0 que je
reste plus que deux grosses difficultés et c’est la fin, mais pas les moindres
Au final, ça fait plus peur que mal. Je passe le premier sans aucun souci, les
roches étaient grosses et plutôt stables. Arrivé en haut du Pic de la Garde, superbe panorama à 360°
Réveil 6h30, petit dèj dans une cuisine commune où l’on retrouve de nombreux traileurs. Fred et Nico
de promo pour l’Impérial, ils ne perdent pas le nord ! Petit coup d’œil
Retour dans la chambre pour les derniers
préparatifs (soins des pieds pour certains, préparation des ravitos et dernière lecture du profil) et nous
Petit échauffement d’environ 10min, à peine le temps de faire quelques étirements et une photo de
groupe avant le départ. Nous sommes parmi les derniers à rejoindre la ligne, cela permet à Fred et
Le départ est donné, je sens que j’ai de bonnes jambes, la journée s’annonce pas mal. Donc départ en
e le terrain est très gras (il a
plu toute la nuit) et j’essaie d’éviter au maximum les marres de boue, pour le moment. En bas de la
». Petite pensée aux copains qui ont dû
pistes, toutes droites (donc très très raides)
et très glissantes à cause de la boue. La même chose pour les descentes. Première descente, première
é au premier ravito (km 17) et
déjà 2h de course, bien en retard sur mes prévisions, la boue y est un peu pour quelque chose. Je
Je ne compte plus le nombre de fois où l’on a dû traverser des ruisseaux, de l’eau jusqu’aux genoux
! Mais au moins ça rinçait les chaussures de la boue.
ravito. Petit coup de moins bien, mais pas dans le rouge.
pouvoir s’employer en descente. Heureusement que les
C’est un peu frustré que j’arrive au ravito 2 et
» beaucoup de temps car mal organisé. C’est simple quand je suis arrivé, il n’y avait
personne au ravito et au moins 20 personnes sont reparties avant moi… C’est le moral à 0 que je
reste plus que deux grosses difficultés et c’est la fin, mais pas les moindres : les
Au final, ça fait plus peur que mal. Je passe le premier sans aucun souci, les
aut du Pic de la Garde, superbe panorama à 360°
sur le Sancy et sur d’autres sommets enneigés du Massif Central
temps de trop s’attarder, il faut descendre pour monter le suivant
là, les cailloux étaient plus petits et donc
en haut, ça piquait dans les jambes
compliquée en montée dans 10cm de boue.
croise sur les 15 derniers kilomètres, cela me permet de grignoter pas mal de places (mais je n’ai pas
arrêté de me faire doubler sur les 30 premiers donc bon…).
Enfin j’aperçois mes copains de Tri
ça doit faire un bout de temps qu’ils sont arrivés
doublé j’en déduis qu’il a abandonné (suite à une chute qui l’a forcé à compenser sur l’autre jambe),
dommage… Derniers encouragements qui font du bien
jusque sur la ligne d’arrivée ! Et j’en ai fini de ce magnifique Trail des Piqueurs
Bilan : Un superbe trail très technique, très sauvage
balisage au top, des ravitos complets et une très bonne ambiance sur le parcours
sur cette distance, je suis très satisfait de ma
gestion de course (ce sur lequel j’avais le plus
d’inquiétude), je pense même en
(trop) gardé sous le pied vu que je n’ai jamais été
dans le rouge et qu’à peine deux jours m’auront
suffi pour récupérer. Je me limiterai encore un
petit moment à des courses de cette distance mais hâte de passer au niveau du dessus
Le Marcassin
sur le Sancy et sur d’autres sommets enneigés du Massif Central, belle récompense
temps de trop s’attarder, il faut descendre pour monter le suivant : le Chaos du Courdeloup.
ailloux étaient plus petits et donc plus instables. Il fallait veiller à bien poser les pieds. Arrivé
en haut, ça piquait dans les jambes ! Plus que quelques kilomètres de descente suivi d’une fin assez
en montée dans 10cm de boue. Je me sens beaucoup plus frais que les coureurs que je
croise sur les 15 derniers kilomètres, cela me permet de grignoter pas mal de places (mais je n’ai pas
arrêté de me faire doubler sur les 30 premiers donc bon…).
Enfin j’aperçois mes copains de Tri-Aventure sur le bord du chemin ! Fred et Nico sont déjà changés,
ça doit faire un bout de temps qu’ils sont arrivés ! Mince je vois Philippe aussi, comme il ne m’a pas
doublé j’en déduis qu’il a abandonné (suite à une chute qui l’a forcé à compenser sur l’autre jambe),
ommage… Derniers encouragements qui font du bien et François qui m’accompagne en courant
! Et j’en ai fini de ce magnifique Trail des Piqueurs !
Un superbe trail très technique, très sauvage et dur physiquement ! De super
balisage au top, des ravitos complets et une très bonne ambiance sur le parcours
sur cette distance, je suis très satisfait de ma
gestion de course (ce sur lequel j’avais le plus
d’inquiétude), je pense même en avoir un peu
(trop) gardé sous le pied vu que je n’ai jamais été
et qu’à peine deux jours m’auront
. Je me limiterai encore un
petit moment à des courses de cette distance mais hâte de passer au niveau du dessus
, belle récompense ! Mais pas le
: le Chaos du Courdeloup. Sur celui-
instables. Il fallait veiller à bien poser les pieds. Arrivé
! Plus que quelques kilomètres de descente suivi d’une fin assez
aucoup plus frais que les coureurs que je
croise sur les 15 derniers kilomètres, cela me permet de grignoter pas mal de places (mais je n’ai pas
! Fred et Nico sont déjà changés,
! Mince je vois Philippe aussi, comme il ne m’a pas
doublé j’en déduis qu’il a abandonné (suite à une chute qui l’a forcé à compenser sur l’autre jambe),
et François qui m’accompagne en courant
! De supers bénévoles, le
balisage au top, des ravitos complets et une très bonne ambiance sur le parcours ! Pour une première
petit moment à des courses de cette distance mais hâte de passer au niveau du dessus !