top secret n°10. l'assassinat de kennedy

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3:HIKLSF=\UZZU\:?k@a@b@a@k;M 01857 - 10 - F: 5,50 E - RD

TOP SECRET. Magazine bimestriel - Directeur de la publication-Responsable Editorial : Roch Saüquere. Ont participé à la rédaction : leswebmasters et auteurs des sites référencés dans le magazine.Corrections : Sophie Hartung. Imprimé par JOMAGAR. Madrid Espagne- Distribution NMPP. ISSN : 1638-0142 -Dépôt légal à parution. TopSecret est édité par EDEN EDITION SARL au capital de 7622,45 euros -Principal actionnaire : Roch Saüquere - Siège social : 8, rue Pierre etMarie Curie. 32600 L’Isle Jourdain - Tel : 06 61 42 34 16.Email : [email protected] Site web : http://www.topsecret.frL'éditeur décline toute responsabilité quant aux contenus et opinions for-mulées par les articles contenus dans les sites Internet référencés, cel-les-ci n'engageant que leurs auteurs. Tous les textes ont été soumis àl'acceptation par l'auteur de leur libre publication dans le journal. Toutereproduction, toute traduction pour tous pays et tout support, intégrale oupartielle, fait sans le consentement de l'auteur sont illicites. Toute copieautre que destinée à un usage personnel est strictement interdite. Tousdroits réservés sur le matériel photo qui n'aurait pas fait l'objet d'une

convention antérieure à la parution en raison des difficultés d'identifica-tion liées au réseau Internet. De nombreuses photographies de ce magazi-ne proviennent des sites Internet de la NASA, et plus spécifiquement dubureau d'histoire de la NASA, du centre de l'espace de Kennedy et du cent-re de l'espace de Johnson ! Ces photographies ont été rassemblées dediverses sources publiques, et sont entrées dans le domaine public sauf indi-cation contraire. Toutes les photographies provenant de l'appareil photoMars Orbiter Camera sont utilisées parce que le Malin Space ScienceSystems le permet. En conformité avec le règlement sur l'utilisation de cesimages, l'intégralité du crédit de ces images appartient au NASA/JPL/MalinSpace Science Systems. De même qu'appartiennent à la Nasa toutes lesimages astronomiques prises par les différentes sondes et engins de l'explo-ration spatiale. Toutes ces images peuvent être téléchargées et employéesdans n'importe quel but non interdit par loi. Elles ne peuvent, cependant, ser-vir de label ou logo, ni laisser entendre qu'elles impliquent un partenariatcommercial quelconque entre la Nasa et une autre société, dans le but d'in-citer l'approbation de toute personne sur un produit ou un service.

“...En page 59 de TOP Secret n°7vous faisiez la publicité pour l’ouvra-ge “Si Rennes-Le-Château m’étaitconté”. Depuis, aucune nouvelle deparution dans les n°8 et 9. Je désireme procurer ce livre...”Voici l’extrait d’un des nombreuxcourriers que nous avons reçus ausujet de l’œuvre exceptionnelle dePaul Rouelle dont nous annoncions laparution pour le mois de septembre.Devant l’importance du courrier nousavons choisi de répondre directementdans l’éditorial.Tout d’abord, sachez que nous n’a-vons pas renoncé à éditer ce livre dés-ormais intitulé : “Rennes-Le-ChâteauLe temps de la révélation”. Notrepriorité étant d’assurer la pérennité dumagazine TOP SECRET, à ce jour,nous ne pouvons malheureusementpas investir dans une collection d’ou-vrages ambitieux accompagnés d’unegrande quantité de photographies cou-leurs. Concrètement, nous nous attendions àune plus forte progression des ventes,mais ce décollage n’a pas encore eulieu en dépit de votre fidélité et dubouche à oreille. Faute de pouvoirdécrocher le “20 Heures”, ou engagerune campagne de promotion, TOPSECRET n’est pas encore assezconnu du grand public, et nous n’a-vons pas non plus la possibilité d’im-poser qu’il ait une meilleure visibilitéchez les marchands de journaux. Certains nous ont encouragés à propo-ser ce livre en souscription afin de levendre en partie avant même sa publi-cation. C’est une pratique assez cou-rante dans le monde de l’édition et quia pour avantage de limiter les risques.

Je n’ai pas souhaité utiliser ce procé-dé. Il y a cependant une aide que jepeux vous demander si vous vous sen-tez un tant soi peu concernés par ledéveloppement de notre maison d’é-dition, et si vous souhaitez nous sou-tenir dans la concrétisation de nosprojets. Chaque fois que vous consta-terez que le magazine est caché aufond du rayon, demandez à votre mar-chand de journaux s’il veut bien lechanger de place, de façon à le mettreun peu plus en évidence. Surtout ne lefaites pas de vous-même sans sonautorisation expresse. Cela pourraitavoir l’effet contraire à celui espéré.Ce soutien de votre part pourrait êtred’une très grande efficacité, et devraitpermettre la sortie du livre de PaulRouelle ainsi que de tous ceux quenous avons déjà en programmation.

Roch Saüquere

EditorialEditorial

Le livre de Paul Rouelle

“Connaître le chemin“Connaître le cheminet et Arpenter le chemin,Arpenter le chemin,sont deux choses biensont deux choses biendifférentes...”différentes...”

MatrixMatrix

PRÉCISION :Loin de nous l’idée de prétendre (comme c’est unpeu à la mode en ce moment) que les américainsn’ont jamais mis le pied sur la Lune. De notre pointde vue -à moins d’une présence hostile sur place-c’est même plutôt le contraire, à savoir qu’ils n’ontjamais cessé d’y aller. Nous pensons en revanche que la plupart desphotos des missions Apollo (et surtout celles desmission Apollo 14, et suivantes) ont été retouchées,certaines, comme celle-ci (A14), plus grossièrementque d’autres. (observez l’ombre des jambes)Le tout est de savoir pourquoi...

Crédit nasaAS14-64-9089 http://www.hq.nasa.gov/office/pao/History/alsj/a14/as14-64-9089HR.jpg

TOP SECRET # 10

SOMMAIREÉDITORIAL 3Roch Saüquere

LES NEWS DE L’ÉNERGIE LIBRE 5J. et B. Soarès

LES NEWS DE L’INSOLITE 8Jean-Jacques Yvars - Th.Van De Leur - Willmore - Const - Marcogee

CHASSEURS D’ANOMALIES 12S o h o , M a r s , Lune, Vénus. . .Christian C. - Rox A. - Guy Lazare

COMMANDE ANCIENS NUMEROS Première formule 15

COMMANDE ANCIENS NUMEROS Nouvelle formule 16

EXPÉRIENCES-TÉMOIGNAGES-RÉFLEXIONS 17Les lecteurs réagissent

IMPLANTS 20Un témoignage troublant...Fabrice Kircher

ROSWELL 22Les révélations du Colonel CorsoJean Sider

ABONNEZ-VOUS AU MAG PAPIER 27ABONNEZ-VOUS AU Cédérom 28

PHÉNOMÈNE ÉTRANGE 29Le mystère ToungouskaPhilip Mantle

HISTOIRE SECRÈTE 58Les derniers secrets de l’île de PâquesFabrice Bardeau

HISTOIRE SECRÈTE 62L’étoile des rois magesMichel Girard

COMMANDE du cédérom 65NEWS PUBLICATIONS 66

TT OPOP SECRET SECRET - 4

SCIENCE INTERDITE 52LALA VÉRITÉ SUR LAVÉRITÉ SUR LA

TRAGÉDIE DU KOURSKTRAGÉDIE DU KOURSKPar Jean-Pierre PETIT

RÉVÉLATIONS INÉDITES 42

LESLES ROSES ROUGES ROSES ROUGES DE DALLASDE DALLAS

LL’ASSASSINA’ASSASSINAT DE KENNEDYT DE KENNEDYAUTAUTOPSIE OPSIE D’UN COUPD’UN COUP D’ÉTD’ÉTAATT

Par Jean-Marc ROEDER

ZONE D’ANOMALIES 36PERMANENTES

LE COLLE COL DE VENCEDE VENCEPar Pierre Beake

Les News deLes News del’Energie Libre

Le courrier reçu chaque journous montre que l'intérêt pourle PMC Pantone est toujours

aussi vif.Nous précisons à cette occasion que nousavons l'intention (comme de nombreux cor-respondants et d'anonymes l'ont aussi) depoursuivre les expérimentations sur ce sys-tème qui gagne du terrain…chez les gensde terrain, à savoir les agriculteurs, en par-ticulier.

Nous recevons des témoignages :Bien sûr celui de M. G. qui travaille depuisplus de 2 ans avec ses tracteurs dopés àl'eau avec des réacteurs montés selon leprincipe donné par Pantone et développédans nos pages. Et ceux d'autres agricul-teurs qui économisent jusqu'à 50 % et plusde carburant en ayant reproduit son mon-tage (le n° 22) Nous recevons égalementdes témoignages indirects mais tout à faitfiables sur des voitures en cours d'équipe-ment ainsi que des bateaux. La questionqui nous est souvent posée est : pourquoiparle-t-on si souvent de tondeuses et pasplus de voitures ? Nous avons appris que, malgré notre dis-crétion, des agriculteurs ont reçu pas malde visites et ont consacré de leur temps à

des personnes intéressées sérieusement(et qui ont fait fructifier leurs observationsen modifiant leur propre matériel), maisaussi à d'autres plus indélicats, ne déclinantmême pas leur identité, promettant desnouvelles suite à leur visite, sans jamais endonner.

Pourquoi les expérimentateurssont-ils discrets ?D'abord pour éviter d'être dérangés inutile-ment. Mais surtout parce qu'ils estimentqu'ils n'ont pas besoin de raconter ce qu'ilsont fait sur leur propre moteur puisqu'ils ysont arrivés en partant tout simplement denotre dossier Pantone. Ils ont raison en cesens que, relié ou non à Internet, on arrivetoujours à se procurer les schémas et infor-mations nécessaires quand on cherche vrai-ment (des correspondants et lecteurs fidèlesparlent de notre site dans des salons ou foi-res bio par exemple).Il est possible aussi que des expérimenta-teurs aient encore en mémoire les déboires(le mot est faible) qui sont arrivés à cer-tains chercheurs non orthodoxes par exem-ple, et pour ne citer qu'un cas, et pas siancien, rappelons-nous, le car de CRSenvoyé pour chasser Beljanski, un savant,de son labo (on ne ferait pas pire pour unterroriste) sans compter les perquisitions etconfiscations aux domici les même demalades disposant de son traitement.Quels que soient les dirigeants, les cher-cheurs qui sortent des sentiers battus dansles domaines de la santé et de l'énergie,pensant apporter leur aide et leur savoir àautrui sont tracassés, voire poursuivis

comme des malfaiteurs. C'est regrettable etsurtout indigne d'un pays démocratique (etqui se dit l'être).Ceci dit, l'effet de reproductions nombreu-ses d'expérimentations est positif (voyez lesLifters, 200 déclarés à ce jour !) et joue enfaveur de la validité des systèmes étudiés.Au stade actuel, le système de PMC Pantonea déjà largement prouvé qu'il était valable,et il mérite que l'on travaille dessus pouroptimiser les résultats et arriver à mieuxcomprendre et modéliser le système. C'estpourquoi nous accueillons avec plaisir dansnotre page Réalisations de PMC les témoi-gnages de ceux qui souhaitent les donner.

J. et B. [email protected]

IMPORTANT

Le forum PMC-France est faitpour ceux qui veulent poser desq u e s t i o n s s u r l e s y s t è m ePantone, échanger leurs astuceset savoir-faire, n’hésitez pas à [email protected]

ENERGIE - DES SOLUTIONSP O U R P R O D U I R E S A N SDETRUIRE L'ENVIRONNEMENT

"Il n'y a pas de crise de l'Energie,m a i s s i m p l e m e n t u n e c r i s ed'Ignorance"

B.Fuller

Processeur Multi-Carburants de Paul Pantone

Les sujets traités par Quant'Homme, libre et indépendant,

concernent les Sciences et Technologies liées aux énergies non

polluantes et particulièrement à l'Energie Libre.

http://quanthomme.org

Montage de PMC PantoneNous avons le plaisir de vous signaler unmontage de PMC Pantone sur une voitureen Suisse. Comme l'expérimentateur a eu lab o n n e i d é e d e c r é e r u n s i t ehttp://www.pertinence.ch ses travaux surson Alfa Romeo "à eau" seront donc à suiv-re directement dans ses pages.

NDLR : la rédaction de TOP SECRETmet en garde ses lecteurs français quisouhaiteraient expérimenter le systè-me Pantone sur leur propre voiture. Ilsemble en effet que la législationfrançaise en cours interdise formelle-ment toute modification de moteursur des véhicules. Il n’en est pas demême pour une tondeuse ou un sim-ple générateur. Quel que soit le pays,de manière générale, toute personnedésirant en savoir plus sur la questionest invitée à demander conseil auprèsd’un service juridique.

Problèmes de suivi chez Pantone ?On nous a signalé des difficultés à joindrePantone pour obtenir des renseignementspersonnalisés (pour ceux qui ont acheté sesplans). Nous n'en savons guère plus sinonque Pantone a eu quelques soucis cetteannée, un déménagement cambriolé et desproblèmes de santé. L'absence de rensei-gnements techniques sur le site GEET est

évidente mais cette absence peut être com-blée puisque Pantone donne l'adresse denotre site ! Il semble tout de même que desactivités soient encore en cours chez GEETsurtout des accords de licences, des annon-ces de kits et accessoires et un montagesur deux roues, illustré ci-dessous.

Quels que so ient les problèmes quePantone rencontre dans son pays et/ouavec des clients d'Europe avec qui il est enaffaire, nous nous attachons uniquement àla partie technique de ce système deProcesseur de carburants que l'inventeur adonné à tous et que nous avons pu repro-duire, entraînant des centaines de mon-tages expérimentaux réussis après nouspar des gens de bonne volonté, et c'estbien cela qui compte…

Les deux scientifiques ont utilisé un Dewarrempl i de 800 mL d 'une so lut ion deCarbonate de Potassium ( K2CO3 ) à 0.5 M.Six tests ont été menés et une efficacité de158% a été mesurée pour une entrée decourant de 200 Watts environ et un gainnet de 118 Watts.Tous les détails et résultats sont sur :http://jlnlabs.imars.com/cfr/html/cfrppcglv.htmNous nous joignons aux félicitations queJean-Louis adresse à ces deux chercheurs.Ils ne sont pas seuls à se pencher sur leCFR puisque Jean-Louis remercie égalementle Professeur Jean-François Fauvarque et

G é r a r d L a l l e v é d u " L a b o r a t o i r ed'Electrochimie Industrielle" du CNAM deParis, pour leur soutien scientifique et leurcontribution à ce projet.Nous sommes tout à fait d'accord avec luilorsqu'il dit : “Ce projet CFR est un des plusfascinants que j'ai exploré à ce jour ; noussommes à l'aube d'une nouvelle technolo-gie qui émerge dans le domaine des sour-ces d'une énergie nouvelle et propre.”Les esprits chagrins, ou critiques, ou lesdeux diront, "Oui mais dites moi qui venddes appareils équipés avec ce procédé...".

Les expérimentations sur les CFR : Réacteurs à Fusion Froide

Les news de l’energie libre

Une bonne nouvel le dans ledomaine de la recherche sur leC.F.R. ! Après les di f férentsmodèles de CFR expérimentéspar Jean-Louis Naudin dont leCFR v4.0 (voir photo dans l’enca-dré orange), le professeur PierreClauzon et Gérard Lallevé ontreproduit l’expérience au labora-toire du CNAM (ConservatoireNational des Arts et Métiers) deParis.

CFR v4.0expérimentéspar Jean-Louis Naudin

L’Alpha Roméo à “l’eau”164 2.0 TS - 2.0 litres - 4 cylindres en ligne - doubleallumage par cylindre - 148 CV - Année 1988.

Deux étapes dans le montage du réacteur

TT OPOP SECRET SECRET - 6

L e P r o f e s s e u rL e P r o f e s s e u rJ e a n - F r a n ç o i sJ e a n - F r a n ç o i sF a u v a r q u e e tF a u v a r q u e e tGérard Lallevé duGérard Lallevé du" L a b o r a t o i r e" L a b o r a t o i r ed 'E lec t roch imied 'E lec t roch imieIndust r ie l le"Indust r ie l le" duduCNAM de ParisCNAM de Paris

Prototype v

Ovni année

ou bien, "bon, ça paraît bien votre truc.Mais vous aurez des barrages, les pétroliersne laisseront pas faire...", ou encore "vousêtes de doux rêveurs..."Alors patience, patience !Cette nouvelle est plus qu'encourageante,des scientifiques français (Biberian, Dufour,Longchampt, Vigier, et d'autres dont ceuxdu CNAM maintenant s'intéressent de prèset certains depuis longtemps à la FusionFroide. Le temps où un ministre de laDéfense Nationale a pu ordonner d'inter-rompre les expérimentations réussies sousla direct ion de Mr Vigier au CESTA àBordeaux, est révolu. Grâce à la vitesse decommunication offerte aux internautes, ilsera de plus en plus difficile, voire impossi-ble aux "étouffeurs" conscients ou non del'être, de faire stopper les études, les expé-riences sur la Fusion Froide (idem pourd'autres sujets). Quel espoir ! puisque cetteFusion Froide permettrait de résoudre lesproblèmes d'énergie du monde entier enfournissant de l'électricité pendant desmillénaires grâce à la quantité inépuisablede deutérium contenu dans l'eau de mer.

“On avance on avance...”Merci à tous ceux qui font connaître les tra-vaux sur le PMC Pantone, où qu'ils soient etpar quelque moyen que ce soit : donner l'a-dresse de notre site fait avancer les choses.Un clin d'œil à Raymond (merci) qui a dis-tribué des petits papiers pour faire connaît-re le site lors de la grande rencontre auLarzac au mois d'août. Du Canada jusqu'enInde, à Auroville par exemple...en passantpar la France, PMC Pantone, Li fters,BingoFuel et CFR commencent à être dansl'air du temps, et si vous rencontrez dessceptiques moyens (pas les sceptiquesincurables) vous vous apercevrez qu’'ilsadmettent plus facilement maintenant quedes expériences puissent donner des résul-tats encourageants et même sur unitaires.Quand de grandes firmes automobilesannoncent au public des économies possi-bles de carburant (par installation de systè-mes coûteux) économies de l'ordre de 10 à15 %, cela fait sourire les agriculteurs quiont réduit, eux leur consommation de 2 à 4fois. Et il n'y a pas que des agriculteurs quisoient aussi ravis qu'excités par les résul-tats obtenus. La société civile, c'est-à-dire,vous, nous, montre qu'elle est capable deconstruire un meilleur avenir que celui quinous est actuellement proposé. C'est bien àchacun de décider de ce qu'il doit tenter ounon.

Ecrire à J. et B. Soarès [email protected]

http://quanthomme.org

Ecrire à Jean-Louis [email protected]

http://members.aol.com/jnaudin509/

Les news de l’energie libre

TT OPOP SECRET - SECRET - 77

Le disque volant Coanda russe EKIPSous la direction du professeur L. N. Schukin,dans l'entreprise d'aviation EKIP, des spécia-listes aviation et fusées ont développé lesbases de véhicules volants d'un nouveau type.Les vaisseaux EKIP peuvent porter des char-ges de 100 tonnes et plus sur des milliers dekilomètres à une vitesse de 500 à 700 km/h àune altitude de 8 à 13 km. Ces véhicules peu-vent se déplacer près du sol ou à la surface del'eau en utilisant un coussin d'air à une vitessede 160 km/heure et glisser à une vitesse de400 km/h. La pression exercée est équivalen-te à celle d'une couche d'eau de 220 à 270mm d'épaisseur. Ce coussin d'air qui permetaux EKIP de décoller ou atterrir utilise lesrecherches qui ont été faites au Centre deRecherche Scientifique d'Etat, branche mos-covite de l'Institut Air et Hydrodynamiquecentral. Ces recherches ne peuvent pas serviraux avions classiques car ils manquent degrande zone plate. Les vaisseaux EKIP lesplus lourds n'ont besoin que 600 mètres depiste, contre 5 km exigés par le Boeing B-777et le A3-XX de Airbus Industry. En outre,décollage et atterrissage se font sur une tra-jectoire en pente rapide ce qui diminue lesnuisances sonores pour le voisinage. Ces vaisseaux EKIP peuvent embarquer degrandes quantités de carburant, gaz naturelet hydrogène sans que la forme du vaisseaun'en soit modifiée. Ces carburants gazeuxpeuvent augmenter l'autonomie de vol de 2 à3 fois par rapport à celle des avions actuels.Le méthane liquide permettrait de réduire lescoûts de 5 à 8 fois, sans compter les réduc-tions d'émissions polluantes.Le poids de la structure même de l'appareil,peut être réduit de 30 % comparativement àcelui d'un avion classique en raison de l'utili-sation de matériaux composites.La caractéristique de base des EKIP est lenouveau système de contrôle de vortex duflux d'air dans la couche frontière montée surla surface postérieure du vaisseau, c'est unsystème breveté en Russie, Europe, USA etCanada. Il permet d'avoir un flux stable d'airautour du vaisseau pendant le vol et durantles décollages et atterrissages avec angled'attaque allant jusqu'à 40° et vitesse abais-sée à 100 km/heure. EKIP atterrit comme unoiseau.Parmi les soutiens on relève le Ministère de ladéfense, le complexe de Développementscientifique des Forces aériennes, une résolu-t ion de 1999 de la Douma d'Etat de laFédération russe sur le projet de financementbudgétaire de EKIP...

Prototype d’un vaisseauEKIP. Le plus grand devraitpouvoir transporter unecharge de 100 tonnes.

vaisseau EKIP

es 60 ?

LES NEWS DE

L’INSOLITE

TT OPOP SECRET - SECRET - 88

L'OVNIPORT D'ARÈSDans les années 70, la France connut une

intense vague d'apparitions d'OVNI. C’est

dans ce contexte, qu’un collectif de personnes

de la localité française d'ARÈS, près de

Bordeaux, demanda à la mairie, la création du

1er OVNI PORT de l'histoire.

Un "comité de l' Ovniport D'arès " fut créé, puis le

projet adopté le 21 juillet 1976. Le 15 août de

cette même année, le premier aéroport pour ovni

était inauguré ; rien ne manquait : balise de

signalisation et mât pour le drapeau tricolore,

manche à air, radar et "ovni mètre à mémoire " !

Cet UFOPORT est né de l'idée de Robert COTTEN,

un ingénieur électronicien de l'aéroport de

Bordeaux-Mérignac, intéressé par la fréquence

anormalement élevée dans cette région, des

témoignages liés aux apparitions d'Objets Volants

inconnus, dans la décade 60-70.

L'ovniport d'Arès correspond aux coordonnées

géographiques 44°46 Nord et 1°8 Ouest.

Trente années plus tard, une stèle commémorant

la création de cet ovniport, le premier de sa géné-

ration en Europe fut découverte sur le lieu appelé

"Esplanade Dartiguelongue".

Pour rappel, le 1er ufoport au monde fut créé en

1958, au Canada ; Ce lieu hautement secret était

l'initiative du comité d'investigation pour la défen-

se du Canada, et construit également à la suite de

nombreuses apparitions d' ovnis signalés par les

pilotes et les atterrissages vérifiés authentiques.

Mais plusieurs années auparavant, les autorités

canadiennes et américaines avaient ciblé certains

aéroports (près desquels ils avaient noté une

grande affluence d'objets suspects), susceptibles

de servir éventuellement d'ovniport, en cas de

besoin.

Parmi les sites privilégiés, en 1952, on notera l'aé-

roport national de Washington, "fréquenté" par

de nombreux ovnis.

Notons, qu'en 1970, aux U.S.A, 1952 cas "ovni"

restaient inexpliqués !

D'autres initiatives, à l'image de l'ovniport D'Ares

furent menées. Un projet d'ufoport de 25000m2 à

Newark (U.S.A) fut abandonné ; également non

concrétisé, celui de la multimillionnaire américai-

ne Elis Van Buren qui désirait construire un ufo-

port formé de 2 gigantesques cœurs, dans la

région de…Rennes-Le-Château.

Par contre récemment, à Rauma, en Finlande,

l'artiste slovène Igor

Stormajer a réussi à

faire construire un

ufoport qui sera com-

plété par l'émission

de sons cosmiques

captés par des récep-

teurs d'ondes cour-

tes, diffusés amplifiés

durant le mo is de

mai, dans les rues de

la ville.

En tout cas,

il est à remarquer que depuis la création de l'ovni-

port D'Arès, aucun incident remarquable en rap-

port avec les ovnis n'a eu lieu dans cette région. A

croire que ce genre de structure organisée "clef

en main" les fait fuir !

Pourtant, à en croire certains chercheurs, les

ovnis ont démontré en de nombreuses occasions,

leur indéniable curiosité pour les édifices insolites

ou les installations de

techniques de pointe.

Dans le film américain

"Rencontre du 3ème

type", l'idée d'installer

une structure d'accueil

provisoire pour les "visi-

teurs" a été reprise, en

ut i l i sant un s i te t rès

remarquable comme cet

énorme monolithe à la

forme unique : la "Devil’s

Tower”.

On peut penser que les

dessins monumentaux

de Nasca avaient aussi la

destination d'attirer l'attention des ovnis vers des

plaines susceptibles de faciliter leur atterrissage .

Cet ufoport titanesque possédant de nombreuses

lignes-repères que leurs concepteurs pensaient

peut-être utiles à la navigation spatiale était peut-

être aussi une sorte d'invitation, montrant claire-

ment que les habitants désiraient vivement un

"contact" avec ces gens venus d'ailleurs. Une

démarche comparable à celle des concepteurs de

l' ovniport D'Arès ?

Th.VAN DE [email protected]

Le journal de l’Ufologiehttp://www.lejdu.com/

Pour recevoir toutes les news del'Ufologie, en français, au jour lejour, inscrivez-vous sur la liste dediffusion Ufoletter, en envoyantun mail vide à cette adresse : [email protected]

"la ville d'Arès possède un terrain d'atterrissage unique au monde depuis le 15août 1976 : il est réservé aux objets volants non identifiés. L'idée en revient àRobert Cotten, électronicien.

“Le 15 août 1976, ce site a été réservé, pardécision de Monsieur le Maire ChristianRAYMOND, approuvée par le ConseilMunicipal pour accueillir sur notre planèteles Voyageurs de l'Univers.”

Panneau indicatif à Arèse.Accès interdit aux voitures, motos,

mobylettes et ...ovnis ?

L’ovniport de “Rencontre du troisième type”. S. Spielberg

FRANCEFRANCE SOIR (27 mai 2003)SOIR (27 mai 2003)info rinfo repérée parepérée par WWillmorillmore e http://wwwhttp://www.conspiration.com/.conspiration.com/

UFOCOM : le fondateur s'en vaJ'ai eu le plaisir de fonder l'UFOCOMe n f i n 1 9 9 4 e t d ' e n a s s u m e r l e sresponsabilités jusqu'en janvier 2000.Aujourd'hui, 30 septembre 2003, j'aiprésenté ma démission off ic iel le augroupe. Pourquoi ? Je t iens simple-ment à rester fidèle à mes opinions etaux objectifs que je me suis fixés enma t i è r e d ' é t ude de s phénomènesaériens non identifiés. A ce jour, j'ini-tie un nouveau projet dont, j'espère,j'aurai l'occasion de reparler plus tard.Je ne quitte donc pas ce domaine, loinde là. Mes relat ions avec l 'UFOCOMresteront, je l 'espère de tout cœur,cordiales et constructives.

Thierry Wathelet,[email protected]

TOP SECRET continuera de soute-n i r l ' e f fo r t de res t ruc tura t iond'Ufocom www.ufocom.orge t s o u t i e n d r a é v i d e m m e n t l en o u v e a u p r o j e t d e T h i e r r yWathelet qui a tant fait et feraencore beaucoup pour l'ufologie. B o n v e n t à t o u s e t q u e v o srecherches soient constructives !

Le mystère du yéti n’est pas mort

D e s a l p i n i s t e s o n t d é c o u v e r t d a n s

l'Altaï sibérien à plus de 3000 mètres

d 'a l t i tude les res tes momif iés d 'une

jambe dont l 'origine demeure encore

i n c o n n u e . C e t t e c r é a t u r e b i p è d e

inconnue qui vivait dans les montagnes

sibér iennes i l y a plusieurs mil l iers

d’années nous fait aussitôt penser au

célèbre Yéti. Il faudra attendre d'autres

é t u d e s e t n o t a m m e n t u n e a n a l y s e

d'ADN pour en savoir davantage.

Marcogee

http://www.ldi5.net/news.php

Une planisphère desobservations d’ovnis.Il existe désormais une carte mondiale desobservations d’ovnis. Elle est disponibles u r l e w e b à c e t t e a d r e s s e :http://www.larryhatch.net/ Vous constate-rez que la France tout comme les E-U sontparticulièrement piquetés de points blancs.Ce serait une erreur de penser pour autantque les extraterrestres ont une prédilectionpour ces deux pays ? En fait, cela signifiesimplement que les populations américai-nes et françaises n’hésitent pas à faire unedéclaration auprès des autorités. (LeJDU)

TT OPOP SECRET - SECRET - 1010

UFOWEB-FRANCEBANQUE FRANCAISE DE DONNEES

UFOLOGIQUEShttp://www.ufoweb-france.fr.st/

Le but de ce site est d'offrir aux ufologueset associations une banque de données surles cas en France pour des enquêtes et cor-rélations sur des observations anciennes etrécentes. Vous trouverez dans les banquesde données, la date de l'observation, l'heu-re, le lieu, le département, le type d'obser-vation, le nombre de témoins, le nombred'objets, la durée de l'observation, laforme et la couleur de l'objet, la longitudeet latitude du lieu de l'observation et lasource de l'information. Progressivementles récits d'observation anciens et nou-veaux sont mis en ligne sur le site dans la"Banque des récits d'observation".

Pour apporter votre témoignage :http://ufoweb.free.fr/observation.htm

Si vous possédez des témoignages ancienssur des cas d'observations français etinconnus de la banque de données du siteufoweb, si vous voulez aider le site ufo-web dans la collecte de ces informations,merci de les faire parvenir en écrivant à : [email protected]

A NE SURTOUT PAS MANQUER !

Des émissionsd e r a d i o q u ic o n c e r n e n t l ephénomène Ovnisont produitesp a r D i d i e r d ePlaige, tous lesm a r d i s s o i r àpartir de 23h00. Ces émissions sont rediffusées le matinentre 7h et 14h sur le Net :"Radio Ici & Maintenant!" 95.2 FM Paris-Ile de FranceStreaming 24h/24 :http://icietmaintenant.com

(Entrez : http://193.252.39.70:8000 Si cette adresse est surchargée, rendez-vous surwww.shoutcast.com puis demander rim. Vousaurez alors la liste des relais qui vous permettrontd’écouter l’émission sur le web.

Vous y écouterez les meilleurs ufologuesdu moment !

LES NEWS DE L’UFOLOGIE

Didier De Plaige

Un ovni au-dessus de labase de RoswellCette photo à été trouvée sur le web surun site technique présentant l'intérieur etl'extérieur des anciennes bases de lance-ment de missiles nucléaires américaines. http://www.roswell-online.com/envi-rons/m_silos/silo2.htm Rien à voir avec les ovnis donc. Sur unetrentaine d'images visionnées consacrées àla base de Roswell, nous nous sommesarrêtés sur celle-ci qui présente une ano-malie sur la gauche. Défaut de pellicule ?…Après agrandissement de l'image nousavons tout de même l'impression qu'il s'a-git bel et bien d'une boule métalliquesuspendue en arrière plan dans les airs, etressemblant beaucoup à un de ces dronesde surveillance dont parlait Adamsky etqu’on a pu observer sur certaines vidéosde la Nasa… Agrandissement

LA TERRIBLE PROPHÉTIE D'HAWKINGA u c o u r s d ' u n einterview avec leDayly Télégraphe,l e s c i e n t i f i q u epopulaire StephenHawking , 61ans,entièrement paraly-s é , c o n s i d é r éc omme l ' u n d e splus grands savantsactuels, a exprimésa conviction que la race humaine estcondamnée à disparaître au cours du 3èmemillénaire, par l'action des virus.Hawking prétend que la biologie menacel'humanité beaucoup plus que le nucléaire !La technologie nucléaire nécessite de gran-des installations, très contrôlées…enrevanche, l'ingénierie génétique peut s'ef-fectuer dans un petit laboratoire : il estimpossible de contrôler tous les labos dumonde !Le danger réside dans le fait qu'accidentel-lement (ou intentionnellement) puisse secréer un virus résistant à toute tentatived'éradication, mettant ainsi en péril la racehumaine.La seule sécurité possible, la seule paradeà ce genre de catastrophe irrémédiable estl'installation de colonies humaines dans

l'espace…le plus tôt possible.Une planète est vulnérable et à la mercid'un seul virus . "le futur de l’humanité setrouve dans les étoiles !”

Stephen Hawking , le plus grand phy-sicien de notre temps est né le 8 jan-vier 1942 : étrange synchronicitéquand on sait que cette date est cellede la mort d'un des plus grands phy-siciens de tous les temps : GaliléoGalilei (Galilée), décédé exactement3 siècles auparavant, en 1642 (1564-1642) !!!

Thierry Van de Leur

ERRATUMS u r l e b o n d e c o m m a n d e d u l i v r e" D e r n i è r eRévélat ion sur lamort de Diana" deHugues Mondrian,en dos de couverturede TOP SECRETn°9, s'est glissée uneerreur que vous avezc e r t a i n e m e n t p ucorriger. Sur l 'a-dresse de l'éditeur : Editions Page après Page - 9 cité deTrévise - il fallait lire en effet : 75009 Pariset non pas 78009 Paris.

Le GEPRA a obte-nu les droits pourrééditer en numé-r i q u e l e s v i d é o sq u ' a r é a l i s é e sJimmy Guieu il y aune dizaine d'an-nées. Les sujets trai-tés sont les OVNI(les secrets améri-cains, la France)m a i s a u s s i d e ssujets plus ésoté-r i q u e s c o m m eRennes le Château,

les Cathares, les Lieux Hantés, les ViesAntérieures et aussi l'affaire Jean-Claude Pantel qui intéressera les lecteursdu livre "OVNI attention danger" deBernard Bidault. Vous trouverez tous lesdétails à cette adresse :http://www.gepra.com

Jimmy Guieu en CDromQ uQ u a n d l ’a n d l ’ aa v e n i r N o u s fv e n i r N o u s f a i t s o n c i n é m aa i t s o n c i n é m a

Je trouve amusante la corrélation StarWars - actualité.Voici l'histoire de fond des premiers films (Episodes 1, 2 et 3) :Le sénateur Palpatine, sous couvert d'un combat politique contreune nouvelle menace se fait élire 1er chancelier de la république.Pour cela, il n'hésite pas à organiser lui-même des attentas cont-re la république. Dans l'épisode 2, toujours sous couvert de cettemenace, il convainc le sénat d'adopter une nouvelle et grandearmée (les clones pour ceux qui connaissent), et déclenche uneguerre préventive (guerre des clones). Il acquiert par ce mêmesénat les pleins pouvoirs "juste" le temps d'enrayer la menacedont il parle. Bien que l'épisode 3 ne soit pas sorti, on sait cequ'il va se passer, Palpatine ne rendra jamais le pouvoir et seraplus connu ensuite comme étant l'empereur Palpatine, gouver-nant une dictature qui tente de conquérir la galaxie.C'est l'histoire de beaucoup de guerres... Pensant agir pour sonbien, un peuple ou un sénat donne les pleins pouvoirs à un diri-geant manipulateur. On se souvient par exemple de l’accessiond’Hitler au pouvoir, de l’incendie du Reichstag, et de l’agressiondes Sudettes. Il s'en suivit chez nous la seconde guerre mondia-le, et dans une galaxie lointaine l'extinction des Jedi...A présent, essayer de voir Palpatine comme Bush, beaucoup dechoses collent. Les attentats, que l’on donne crédit aux alléga-tions de Thierry Meyssan ou non, on ne peut pas nier que le gou-vernement US n'ait pas eu connaissance avant l'attaque desattentats du 11/09. C’est en se servant de ce tragique évènementque Bush a retiré certains droits aux citoyens, notamment la pré-somption d'innocence, la liberté d'action et le respect de la vieprivée... Il trompe ces alliés pour placer son armée là où il leveut, faisant croire au bien de l'humanité... que va-t-il se passerensuite ? Heureusement qu'il ne sait pas manier la force...Attendons la suite...

[email protected]

Photo montage

Phénomène Fortéen ?Le 12 septembre 2003 à 5:03, un avionavec neuf personnes à bord disparaît prèsde Madère peu après son décollage parbeau temps de l'île portugaise de Madèrepour Ma laga , en Espagne . L ' av iontransportait un pilote britannique et huitpassagers espagnols.Le Beechcraft bimoteur a perdu le contactradar après avoir décollé en fin de soiréejeudi de l'aéroport de Funchal, à Madère,a annoncé un responsable de l'aéroport.Des équipes de secours ont inspectél'Océan Atlantique au large de Funchalsans trouver trace de l'appareil ni de sespassagers.Source :http://www.edicom.ch/news/internatio-nal/030912050352.fr.shtml

ovni de type “cigare” photographié en Antarctique

TOPTOP SECRETSECRETPARTIEPARTIE 22

En regardant de plus près lesinformations que nous obtenonsdes internautes qui posent desquestions, qui apportent certai-n e s r é p o n s e s , e t q u i n o u saiguillonnent sur des hypothèsesconcernant les ovnis, j'ai pu cons-ta ter des anomal ies qu i meparaissent bien curieuses. Lors d'un article précédant, j'ai pu vousfaire voir une photographie de l'éclipse de1999, prise depuis la Turquie par une équi-pe de reporters et qui montre une anoma-lie (cerclée ci-dessous) particulièrementsaisissante. D'aucun dirons que c'est uneprotubérance solaire, mais en y regardantde plus près, cela semble plutôt être unobjet bien physique.

Je laisse le soin aux mathématiciens dedéfinir la taille minimum de cet objet enprenant en compte qu'il n'est apparu quelorsque l'éclipse était complète et que s'ilse voit si bien, c'est qu'il est éclairé par lereflet de la lune donc au-delà de celle-ci. Il se trouve qu’il y a du nouveau autour decette affaire. En effet, voilà que Soho, lasonde bien connue spécialisée dans l’étudedu soleil, vient de nous montrer une ano-malie du même type que vous pouvez voirsur cette photo (ci-contre) qui semble pla-cée à la périphérie du soleil et qui nouslaisse perplexe. Elle semble elle aussi bienmatérielle. Les ET se serviraient-ils deno t r e é t o i l e c omme c amou f l a ge ?Tellement certains de leur invisibilité qu'ilscommettraient des erreurs et que de tempsà autre ils se feraient voir. C'est peut-êtrevolontaire. En tout état de cause, nousobserverons encore notre soleil pour sur-veiller si ces protubérances ne sont pas,

“comme tous les ovnis qui passent dansnotre ciel”, des ballons-sondes.

Christian C.pour contacter ce chercheur :

[email protected]

Nous sommes de plus en plusnombreux à nous passionnerpour ces images qui font appa-

raître des anomalies qui n'auraientjamais dû se trouver là ! Que cesphotographies proviennent de l'espaceou du décor le plus banalement quoti-dien, elles possèdent toutes la mêmeforce de fascination et nous projettentdans un univers mystérieux à la fron-tière du réel et de l'imaginaire. Ces anomalies visibles sur certains cli-

chés sont-elles dues à une illusiond'optique, à un défaut de pellicule, àun jeu d'ombre et de lumière ? ousont-elles la preuve de l'existenced'une autre réalité inaccessible à l'œilhumain, et que nos appareils, plussensibles ou mieux placés par la Nasa,parviennent cependant à saisir ?Les photographies suivantes ne voussont pas présentées ici comme despreuves, mais un comme un outil dequestionnements, ou tout au moins,

pour les plus sceptiques d'entre vous,comme une invitation au rêve.Certains clichés de ce numéro sonttrès discutables. D’autres en revan-che, sont particulièrement troublants.Prenez le temps de les étudier, munis-sez-vous d’une loupe au besoin. Etcroyez-moi, si vous restez ouverts àtous les possibles, bientôt, toutcomme nous à la rédaction, vous fini-rez par basculer de l’autre côté dumiroir...

CHASSEURSD'ANOMALIES

Encore des anomalies autour du soleil

“ILS ONT DES YEUX ET NE VOIENT PAS”

Anomalie déjà présentée etétudiée dans TOP SECRET n°7

Agrandissement de la zone

La sonde Mars Global Surveyor a réuni ungrand nombre d'images couvrant toute lazone de Cydonia où fut découvert lefameux " visage " de Mars. Sur une de cesphotos référencée "SP1-25803" Mark etRichard Wells, deux chercheurs du siteanglais http://www.earthquest.co.uk/ onttrouvé une anomalie qui peut ne pas sem-bler très importante de prime abord, maisqui présente tout de même une complexitégéométrique plus que troublante.

De quoi s'agit-il ?D'un triangle pyramidal parfait, légèrementsurélevé par rapport au niveau du sol, dontles deux angles de base font exactement56,5 degrés, et au centre duquel on peut

reconnaître une forme qui ressembleà s'y méprendre à l'œil d'Horus.S'agit-il encore une fois d'uncapr ice de la nature ?Difficile d'expliquer com-ment une telle struc-ture a pu se formernaturellement. P o u r a j o u t e r ànotre trouble, quedire des trois pro-t u b é r a n c e sexternes au tri-angle (cercléesde rouge) qui for-ment elles aussiun autre triangleparfait lorsqu'on lesrelie ensemble. Deuxde ces blocs forment desangles de 70 degrés tandisque le dernier forme un anglede 40 degrés. Regardez bien les détails de cette ano-malie découverte dans la zone de Cydonia.S'agit-il simplement d'une coïncidence deplus, coïncidences dont la région est déjà sifournie, où avons-nous affaire ici à unenouvelle pièce d'un grand puzzle touchantau mystère de l'histoire de la planète Mars.

Sourcehttp://www.earthquest.co.uk

Cydonia

Les lecteurs se souviendront de l'article deBernard Bidault consacré à son ami le doc-teur X, paru dans TOP SECRET n°9. Surl'abdomen de ce contacté apparaît, tousles premiers novembre, un triangle similai-re au centre duquel, tel un œil d'Horus, setrouve le nombril…

encore l’œil d’Horus

AA nn oo mm aa ll ii eemarmar tiennetienne

L’œil d’Horus sur le site de Cydonia ?

TT OPOP SECRET - SECRET - 1313

AA nn oo mm aa ll ii ee sssur la Lunesur la Lune

Structures complexes au bord d’un cratère

Cette photo de la Nasa réfé-rencée : 69-H-25 présenteau moins deux anomaliesque nous avons encadrées

Des installations sur Vénus ?Un chercheur de “united space”, Guy Lazare, nous a fait aimablement part de sa découverte d'unsite étrange sur Vénus. Les photos de Vénus sont suffisamment rares pour nous priver de lapublier. Malheureusement, en l'état des choses, et au vu de la médiocre qualité de l'image, il nousest bien difficile de nous prononcer sur ces anomalies. Pour contacter le chercheur :

[email protected]

Sur cet agrandissement, certains chercheurs ont crureconnaître un tunnelier avec sa pointe spiralée.Quoi qu’il en soit, nous sommes ici en présence d’unestructure lunaire pour le moins singulière.

TT OPOP SECRET - SECRET - 1414

Ces différentes structures lunaires sont d’une complexité rare. Difficile mal-gré tout de se faire une idée précise de ces formes, du fait de la qualitémoyenne de l’agrandissement. À quand des images à haute définition du sollunaire ? Ne dit-on pas qu’on peut lire la marque d’un paquet de cigarettesdepuis un satellite ? Ici nous sommes très loin du compte et c’est bien dom-mage. Mais au fait pourquoi ?

Pour agrandissement, étude etPour agrandissement, étude etanalyse, retrouvez toutes cesanalyse, retrouvez toutes cesanomalies en grand format suranomalies en grand format surnotre cédérom.notre cédérom.

Merci à tous ceux qui nous écrivent et permettent à ce magazine d’être toujoursde plus en plus passionnant. Voici la sélection de quelques courriers reçus derniè-rement. Notre choix repose sur la pertinence des sujets abordés, sujets que nousespérons les plus variés possible. Si certains courriers vous font réagir, ou vousrappellent une expérience personnelle, écrivez-nous, adressez une disquette, uncédérom à : Eden Edition - 8, rue Pierre et Marie Curie - 32600 L’Isle Jourdain.

Ou un email : [email protected]

REFLEXION SUR LES OVNISAlors que la plupart des ufologues et personnalités

concernées par les ovnis, concluent à l'existence d'une

présence extra-terrestre ; je vais oser émettre une

hypothèse qui n'est pas fortuite, mais le résultat de

mes analyses personnelles.

Voilà mon histoire : j'exerçais le métier de pilote d'a-

vions de transport, lorsque je fus confronté pour la

première fois au phénomène ovni ; sous la forme

d'une boule verte luminescente, puis de lumières non

identifiées par le contrôle aérien, au-dessus de Paris

en 1991.

Mais, je ne me suis intéressé aux ovnis qu'à partir de 1999 : ma curiosité fut mise en

éveil par le récits d'un collègue pilote ; il s'agissait du célèbre cas du 05 novembre

1990…

Par chance et grâce à un emploi en relation avec un centre expérimental de naviga-

tion aérienne ; je réussis à obtenir des témoignages directs de contrôleurs aériens

civils et militaires.

Le comportement des autorités était surprenant : un ou plusieurs vaisseaux de gran-

des dimensions avaient traversé notre pays à basse altitude et à basse vitesse sans

inquiéter la défense !

Je compris que l'enjeu technologique était le but des investigations officielles ; ou plu-

tôt la compétition avec les USA. N'étant pas resté discret, je me fis remarquer, et l'on

tenta alors de m'intimider avec la visite, un soir de décembre, d'un petit ovni dans le

jardin de mon domicile !

Mais le véritable ovni était la face cachée du monde !

Un monde où le pétrole fut imposé par les grands financiers de la fin du 19° siècle ; et

cela malgré certaines découvertes de physique fondamentales (tesla, Brown).

L'application de l'antigravité et autres forces répulsives sont sûrement très élaborées à

l'heure actuelle, comme la production d'énergie non polluante par fusion nucléaire.

Pourtant, pétrole oblige, il faut continuer à épuiser les réserves !

Alors que dire de ces ovnis ; objets expérimentaux, d'abord en forme de ballons diri-

geables, puis soucoupiques (vril, avro, couzinet) des années 40-50 ; aéronefs à éner-

gie nucléaire(60-70) ; puis vaisseaux triangulaires à antigravitation (1990) ?

De même que pour la mouche cephenomya pouvant se déplacer à 1300km/h ; il exis-

te une physique interdite, dérangeante car non vénale ! D’autre part, je pense qu'une

civilisation humaine ante diluvienne est à l'origine de notre évolution technologique.

[email protected]

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LE RENDEZ-VVOUS DES LECTEURS

Avertissement : Cette rubrique présente un échantillon de témoi-

gnages, d’expériences, et de réflexions que nous

recevons de la part de nos lecteurs. Nous tenions

à réserver un espace de liberté d’expression à

tous les passionnés de mystère. Cependant, ne

perdons pas de vue que ces courriers ne sont

absolument pas représentatifs d’une quelconque

opinion de la rédaction.

expériences etranges

planète x alias“Proserpine” ?

Je vis depuis toute jeune des expériences étranges.

Cela a commencé quand j’avais deux ans et j’ai main-

tenant 39 ans. Je vois souvent des morts qui m’appa-

raissent et des fois me parlent. Un jour dans ma salle

de bain, j’ai vu un collègue. Je lui ai demandé com-

ment il était entré et ce qu’il faisait. Il m’a répondu

qu’il n’était plus de ce monde. Il faut dire que j’avais

quitté ce travail 4 ans auparavant et que je n’avais plus

du tout de nouvelles. lorsque je me suis renseignée à

son travail, j’appris qu’il venait de mourir.

Une autre fois, je devais rappeler un collègue de tra-

vail, je ne l’ai pas fait. Entre-temps, n’ayant pas le

moral, je m’en vais sans donner signe de vie à person-

ne. Puis à l’hôtel où je louais une chambre, j’entends

quelqu’un frapper à la porte. J’ouvre et je ne vois per-

sonne. Puis je m’endors. Je rêve d’un cimetière et je

me vois porter une fleur sur la tombe de ce collègue à

qui je devais téléphoner. Dans mon sommeil, je suis

réveillée par sa voix qui m’appelle. Intriguée j’appelle

au bureau et on me répond qu’il est mort il y a 3 jours.

Je me suis rendue au cimetière par la suite. Et sans

connaître l’emplacement de sa tombe, me souvenant

parfaitement du rêve, je m’y suis rendue directement.

Autre exemple : un homme au pied de mon lit en plei-

ne nuit fume. Il me dit s’appeler de telle façon et être

enterré à tel endroit. Il revient souvent. Il n’aime pas la

musique militaire, car quand j’en écoute, il se débrouille

pour arrêter l’appareil d’une façon ou d’une autre. Je fais

faire une recherche par une copine qui retrouve sa trace.

Cet homme était mort au maquis à l’âge de 20 ans....Etc.

Le lecteur qui vous a écrit à propos d’un homme qu’il a vu

disparaître dans un escalier dans le numéro 9 de TOP

SECRET est peut-être comme moi. Il voit peut-être les

morts. Les morts veulent nous faire comprendre qu’ils

existent.

Une lectrice

sa révolution autour de notre soleil en 3600 ans.

Donc nous parlons bien de la même planète. Et

depuis, chaque fois j’entendais dire à la radio ou à la

télévision :”Les neufs planètes qui tournent autour de

notre soleil, et je disais à chaque fois : “Et Proserpine

alors ?” Ce livre que je n’ai plus a dû être édité en

1920 et 1930. Je l’ai gardé longtemps et regrette de

l’avoir revendu à Marseille (aux puces) selon les aléas

des déménagements. J’aimerais bien savoir pourquoi

personne n’en parle, puisqu’elle a été re-découverte

dans les années 20, et par qui ? Je ne sais plus... Je

n’ai pas le temps de vous parler des gros “spermato-

zoïdes” lumineux que j’ai vu un soir de novembre 87

ou 88. On en a parlé à FR3 Marseille puisque tout le

monde dans la région les a observés. Ils avaient pro-

mis de nous donner une explication scientifique (sic)

mais on attend toujours...

J’ai la faculté de souvent ressentir les tremblements

de terre qui se passent aux antipodes. Cette fois, le

dernier important qui s’est passé au nord du Japon

(fin juillet ou début août, je n’ai pas noté la date

exacte), je l’ai ressenti la nuit du mardi au mercredi

alors qu’il n’a été annoncé que le jeudi matin.

Liliane H.

Enfin quelqu’un qui parle de la 10ème planète. Pendant

des années, il y a eu un ostracisme terrible sur cette pla-

nète que je connais depuis 1952 pour avoir acheté un

livre simple (Connaissance de l’astronomie) au détour

d’un marché aux puces de Montreuil où j’étais une gran-

de habituée à cette époque. J’étais jeune mariée et j’a-

vais un petit atelier à Télégraphe.

Donc dans ce livre (que je n’ai plus) on parlait déjà de la

10ème planète du soleil du nom de “Proserpine” qui faisait

L'après-midi est déjà bien avancé et l'homme

agonise sur la croix. Entouré par deux com-

pagnons de misère, il n'a pas, au grand dés-

espoir de ceux qui l 'ont accompagné,

accompli de miracles. La veille, vendu par

un ami, renié par les autres, il a facilement

été capturé dans un jardin, puis jugé et condamné à

mort. L'occupant romain a préféré s'en laver les mains.

Atrocement torturé toute la journée, il va recevoir un coup

de lance qui va l'achever. Tout est désormais accompli.

L'homme est mort, le Christianisme est né.

Voilà pour la relation des évangiles. Cette mise à mort va

engendrer la religion chrétienne qui va elle même boule-

verser l'histoire du monde et nos histoires personnelles.

Serait-il possible que des architectes aient édifié dans la

capitale un lieu où serait symboliquement mais clairement

rendu un hommage au Christ crucifié ?

À moins que des esprits malins aient tenu à garder le

Christ pendu à son bois pour qu'il perdure dans son tour-

ment ? Ah bon, mais où ?

Étudiez le plan de Paris et vous vous rendrez compte que

deux croix pourraient "faire l'affaire". Celle de l'avenue

Foch et celle de l'avenue de l'Opéra.

Rapidement et pour les raisons qui vont suivre, on peut

éliminer l'avenue Foch. La croix restante est donc dessi-

née par l'avenue de l'Opéra et les boulevards de la

Madeleine, des Capucines et des Italiens. La distance des

métros posés aux extrémités de bras de la croix et celle du

métro Opéra est la même. (Madeleine, Opéra, Richelieu)

Au sommet de la croix est posé le célèbre opéra Garnier

qui est fermé dans un hexagone formé par deux places et

4 rues. L'opéra présente des oeuvres dramatiques entière-

ment chantées, comprenant des récitatifs, des airs et des

chœurs, comme une prière. La salle de l'opéra est rouge

comme le manteau enfilé au Christ. (Notons que lors

d’une visite éclaire secrète de 4 heures à Paris, tout de

suite après la capitulation française, Hitler visita quelques

édifices dont l’opéra Garnier) En consultant le plan du

palais Garnier (l'opéra) on distingue deux rotondes oppo-

sées : de la lune et du soleil. Or, sur les représentations

peintes de la crucifixion de Jésus, la lune et le soleil sont

disposés dans le ciel à droite et à gauche de la croix.

Nous reviendrons en conclusion sur ce que peut aussi

évoquer la silhouette générale de la croix et de l'opéra.

Saint Jean nous dit dans son évangile que Christ a reçu un

coup de lance d'un soldat qui a fait jaillir de son côté droit

de l'eau et du sang. La place Vendôme et sa colonne guer-

rière évoque la lance du légionnaire Longinus. Quant aux

précieux liquides qui s'échappent de la plaie, ils sont

recueillis par deux bassins situés au pied de l'avenue de

l'Opéra. (voir le plan)

Une église parlante

L'église Saint Roch, qui forme une saillie, est située entre

la colonne Vendôme et les bassins. A l'origine, elle était

dédiée aux cinq plaies du Christ. Elle est composée d'une

nef et de trois chapelles avec à son extrémité celle du

calvaire. Avant sa démolition en1670, l'église était dirigée

vers l'orient. Elle fut reconstruite mais son orientation en

fut changée et elle plonge désormais directement en plein

cœur de la place de l'opéra. Les architectes avaient-ils

conscience de faire partie d'un plan s'étalant sur plusieurs

siècles et visant à symboliser la crucifixion ? Probablement

pas. Mais toujours est-il que les choses se mettent en

place. L'église Saint Roch était le lieu de référence jus-

qu'au début du XX siècle du chemin de croix où il était

célébré avec une ferveur et un éclat particulier… Sur la

croix le Christ marque aussi la naissance de l'église en

affirmant "voici ta mère", l'église Saint Roch matérialise

cette naissance.

Les deux Marie témoins

A l'extrémité droite du boulevard de la Madeleine est l'é-

glise de la Madeleine, qui est la sainte qui se trouvait selon

l'évangile avec Marie (Mère de Jésus) au "Golgotha".

Marie qui est matérialisée quelques dizaines de mètres

plus loin avec l'église "Notre Dame De l'Assomption"

(place M.Barrès). Remarquons encore que comme sur les

représentations peintes Marie-Madeleine et Marie sont à

gauche de la croix.

Les larrons

Des deux bassins partent des rues (Saint Honoré et

Montpensier) qui tracent aussi deux croix avec d'autres

rues. Elles peuvent être les croix des larrons. Celle posée

à droite de Jésus moins régulière, et à proximité de l'égli-

se Saint Roch peut faire penser au rachat de nos péchés

par notre mère l'église.

Celle de gauche se termine (rue des Petits Champs) par le

cercle parfait de la Place des Victoires. Or, le cercle expri-

me le paradis terrestre. Celle de droite ((rue des

Pyramides) se finit par le carré de la place des Pyramides.

Le carré manifeste lui la Terre et ce dans toutes les tradi-

tions.

La justice, le jardin, la bourse et la couron-

ne

Jésus a été jugé par l'occupant romain sous la pression de

la populace de Jérusalem. A proximité de la colonne

Vendôme , mais toujours sous le bras droit de la croix ,on

voit le ministère de la justice.

Le jardin du Palais Royal à proximité peut symboliser

"Gethsémani" et les rues au-dessus où se traitent les

échanges de monnaie avec la Bourse, peuvent symboliser

l'argent de la trahison.

Tiré par les cheveux ? Peut-être mais ma conviction est

faite, la crucifixion est là sous nos yeux, tracée par des

esprits trop heureux de nous avoir joué. La rue de l'échel-

le qui est proche de la base des deux croix et des bassins,

était autrefois le lieu ou l'on dressait les échafauds !

L'image de l'échelle mystique est fort ancienne. Dans la

bible, l'échelle de Jacob posé sur la terre atteignait le ciel

par son sommet. Elle était le lien entre le ciel et la terre.

Sous la croix et à proximité, Louis IX a fait construire la

Sainte Chapelle pour y recueillir la couronne d'épines et

deux "vrais" clous de la crucifixion.

Enfin pour conclure, l'ensemble représenté ci-dessous fait

vraiment penser au Ankh égyptien, reconnu comme un

signe de vie et d'éternité.

Elle ressemble à une clé

et a servi de modèle à la

clé d'or de Saint Pierre qui

ouvre la porte des cieux.

Le symbole astronomique

et alchimique de la planè-

te Vénus est auss i la

"crux ansata" (Ankh) Le

méta l symbo l i que de

Vénus étant le cu ivre

abondamment utilisé sur

l'opéra Garnier. On peut

donc lire les deux croix

superposées ainsi : bien

que crucif ié Jésus est

vivant et il est la voie des

cieux.

Ainsi donc…

sans le savoir, indifférents, des milliers de Parisiens circu-

lent sur les lieux symbolisés du drame. Des esprits igno-

rants et d'autres qui savaient ce qu'ils faisaient ont

reconstitué la scène dans le 1er arrondissement. Avec un

simple plan interprété de la ville nous l'avons ici montré.

Conscients ou inconscients, nous sommes le jouet de

manipulations qui nous forcent à évoluer parmi des sym-

boles dont nous ne percevons pas le sens. Avec l'étude du

plan de Paris, nous ne sommes pas au bout de nos sur-

prises.TN

Pour écrire à ce chercheur, contacter la ré[email protected]

EE X P E R I E N C E SX P E R I E N C E S . . .. . . T E M O I G N A G E ST E M O I G N A G E S . . .. . . R E F L E X I O NR E F L E X I O N SS

L a crucifix ion en plein p aris !

TT OPOP SECRET SECRET - 18

Un témoignage d ’enlèvementLes faits que je vais exposer ici sont réels. Je ne peux préciser quel jour nous étions, mais ce devait être une mati-

née de février au cours de l'année 1972. J'avais trente ans et habitais une maison de cité, construite au-dessus

d'une zone minière, pas très loin d'une propriété occupée par un P.C. d'Allemands pendant la deuxième guerre mon-

diale. Mes enfants étaient à l'école et mon mari au travail. Tout à coup, un bruit m'a encerclé en ondulant. C'était un

murmure doux semblable à un crépitement.. Puis le sol s'est dérobé sous mes pieds et j'ai commencé à me soule-

ver. Les murs, le toit, le plancher avaient disparu. Une photo prise au polaroïd à l'intérieur de la pièce permet de voir

la matérialisation d'une sorte de colonne blanche transparente du sol au plafond qui n'était pas visible à l'œil nu.

J'étais seule, suspendue dans une atmosphère de brouillard gris. Mes pieds ne reposaient sur rien, et pourtant je

tenais en l'air. Au bord de l'épouvante, j'ai alors vu un engin de couleur métallisée immobile au-dessus de moi, et

une sorte de voix intérieure m'a dit de ne pas avoir peur. L'objet était en train de me capturer. Une petite trappe car-

rée plus foncée s'ouvrit par le dessous. Un bâton de lumière presque blanc en sortit. Plus marqué et net à l'endroit

de son émission, il devenait de plus en plus diffus, comme transparent au fur et à mesure qu'il arrivait dans ma

direction jusqu'à me heurter le crâne. Je me sentais incapable de réagir. Je ne ressentais aucune douleur.

Brusquement, j'ai éprouvé un grand apaisement, mon angoisse a pris fin. Je me suis sentie soulevée comme mue

par un ascenseur invisible, et j'ai pénétré à l'intérieur de l'engin. Un moment, je suis restée indécise sur une sorte

de passerelle entourée d'un enchevêtrement d'autres passerelles identiques. Puis une puissance invisible m'a dirigé vers un

endroit plus dégagé. Arrivée dans une pièce circulaire aux parois d'aspect métallique, je me suis arrêtée. J'ai vu d'autres êtres

humains comme moi, hommes et femmes, assis sur des sièges individuels disposés sur tout le pourtour de la pièce. La même

force qui m'avait guidée jusqu'alors m'a assise sur un siège bien précis. A côté de moi, un hublot circulaire. Je pouvais voir

que nous étions en mouvement à basse altitude au-dessus d'une étendue d'eau qui paraissait être un océan. Une machine

volait de concert avec la nôtre. Il y en avait une autre identique au-dessus, comme si l'une portait l'autre, sans qu'il y ait de

lien les rattachant. Elles semblaient éclairées de mille soleils de sorte que tout semblait être en feu aux alentours.

A l'intérieur de l'engin, je vis s'approcher une trentaine de jumeaux androgynes qui me semblaient être des robots

humains, des copies de copies. D'une taille comprise entre 1,50m-1,60m, leur beauté attirait mon attention :

blonds aux yeux bleus, vêtus de blanc, ils portaient un bonnet en forme de demi coque d'œuf. Deux de ces her-

maphrodites s'approchèrent. J'entendais leur voix dans ma tête. Ils me dirent que c'était la troisième fois qu'ils

me rencontraient... L'un des androgynes plongeait ses yeux dans ma tête. "Nous sommes de tes parents, alliés

par la nature." S'approchant de moi, il m'enfonça une minuscule fiole de verre dans le coin de l'œil pour en reti-

rer du liquide. J'entendais intérieurement : "Ces contacts ont lieu avec un grand nombre de personnes dans le

but de prévenir votre destruction mutuelle et la disparition de vos races. Pour que le contact puisse s'établir

entre nous, nous avons besoin d'une substance indestructible qui se trouve naturellement en chaque individu.

Chaque être humain est un univers en miniature."

Je ne sais comment s'effectua le voyage du retour mais me suis retrouvée sur mes pieds, dans la pièce que j'a-

vais quittée, complètement épuisée.

Souffrant d'astigmatisme, j'ai été examinée à deux reprises, avant et après "mon ascension extraordinaire", par

un professeur d'ophtalmologie du service hospitalier de ma ville. Après avoir passé des examens complets, il

avait relevé ce défaut de la vision que l'on garde toute sa vie, et qui m'avait pendant un certain temps obligée

de porter des lunettes, notamment pour conduire ma voiture. Lors du second examen, je n'étais plus astigma-

te. Le même professeur qui m'avait auscultée avant et après, me remit une attestation que je transmis à la

Préfecture, en conséquence de quoi la mention : "Port de lunettes obligatoire pour conduire" qui était portée

sur mon permis de conduire fut supprimée.

Sibylle, 2003

Pour en apprendre davantage sur cet évènement, contacter le témoin : [email protected]

EE X P E R I E N C E SX P E R I E N C E S . . .. . . T E M O I G N A G E ST E M O I G N A G E S . . .. . . R E F L E X I O NR E F L E X I O N SS

Réponse au courrier “Deux évènements concomitants”Cher monsieur,je suis également lecteur de ce magazine et j'ai lu attentivement votre double expérience. En aucun cas vous ne devez vous inquiéteret ceci n'est pas lié à des troubles hallucinatoires. Les deux événements peuvent avoir des rapports conjoints, mais non certains. Danstous les cas, en ce qui concerne votre seconde expérience, je l'ai vécue à plusieurs reprises dont une avec un témoin (mon filleulVincent ), il est certain qu'il faut avoir un mental bien accroché pour éviter toute spéculation extérieure et sans fin à notre champ decompréhension. Notre réalité est une réalité parmi d'autres, la collusion de champs physiques différents est possible, d'où l'apparitionde sujets dans notre plan et qui disparaissent dans d'autres plans, je sais c'est dur à croire, mais à défaut que notre esprit crée des holo-grammes de sujets vivants ou tout au moins virtuellement vivants, je ne vois pas d'autres explications. Cette expérience ne doit enaucun cas devenir un phénomène central à votre épanouissement personnel. Je vous l'accorde ce n'est pas tous les jours que noussommes prédisposés à voir un disque à 7 m, ou des sujets qui disparaissent mais c'est ainsi. Faite un check list entre la vision de cedisque et l'apparition/disparition de cet homme, de tous les événements inexpliqués même anodins, et vous aurez peut-être uneréponse. Bien sincèrement, un [email protected]

Puzzle, puzzle...Se plonger dans votre revue est quelque chose que l’on ne

regrette pas quand on n’accepte pas tout ce que l’on nous

dit "officiellement".... J’aimerais si cela est possible quelques

éclaircissements quant à l’article sur l’aéroport de denver

(TOP SECRET n°9). En effet après lecture et analyse person-

nelle je me pose la question de savoir si tout le "mal" n’est

pas lié . Je m’explique : Les armes secrètes nazies et la

disparition de certains membres du parti, le “DIA” avec sa

forme de swastika, le discours des sectes US proches d’un

idéal blanc pur, la marque sur le front d’Harry Potter (TOP

SECRET 8). Bref ce mélange de secrets, de bizarres, le tout

mélangé donne l’impression qu’une élite US qui travaille

depuis fort longtemps à l’instauration d’un monde parfait

sauce SS américaine (avec peut-être un peu d’extraterrest-

res là-dessous...) Y a-t- il une différence entre la nation

allemande de 40 et Bush et ses amis ? (sur le fond bien

sûr) Est-ce le début du règne de la bête, comme le laissait

entendre Axel Air sur la radio Ici et Maintenant ?

Suis-je fou de penser cela ? Y a-t-il des publications sur le

sujet ? des réunions débats sur ce sujet à Paris ?

Enfin dans tous les cas j’apprécie votre revue et tous ses

sujets qui ouvrent l’esprit et ne nous enferment pas dans la

doctrine actuelle.

Continuez. Nous sommes à vos côtés.

[email protected]

TT OPOP SECRET - SECRET - 1919

"Le jour même de monenlèvement, j'ai priscette photo polaroïd

dans la pièce où je metrouvais. Dans les par-

ties gauche et inférieure,apparaissent une colon-

ne lumineuse allant dusol au plancher et une

forme angulaire striée desombre qui n'existentpas dans la réalité. A

l'arrière-plan, mon lit etun radiateur."

TOPTOP SECRETSECRETPARTIEPARTIE 33

AA l’occasion de cel’occasion de cenuméro du nouvel an,numéro du nouvel an,abonnez-vous et abonnez-vous et offrez un abonnementoffrez un abonnementà un ami !à un ami !En cadeau, pour 2En cadeau, pour 2abonnementabonnements, vouss, vousrecevrez tous deuxrecevrez tous deuxl’ancien numéro del’ancien numéro devotre choix !votre choix !

I M P L A N T SI M P L A N T S ::UN

TéMOIGNAGE TROUBLANTOn commence à le savoir, même dans les milieux extra-ufologiques : une per-

sonne abductée à bord d'un OVNI peut se révéler porteuse, par la suite, d'unimplant (les lecteurs désireux de connaître à fond ce dossier se reporteront au

N°6 de "Top Secret", qui y consacre un dossier signé Gildas Bourdais et Dr JacquesCostagliola. Après la sortie du livre du Dr Leir ("OVNIS et implant", aux éditionsMercure Dauphinois), ce chirurgien américain qui a réussi à extraire, à conserver et àfaire analyser ces implants, j'ai discuté de ce problème avec un ami travaillant enmilieu hospitalier. J'étais loin d'imaginer l'ampleur des révélations qu'il allait me faire.

Technicien en radiologie, cet ami était leplus à même d'avoir une opinion profes-sionnelle sur la question. Il examina uninstant les radiographies incluses dans l’ou-vrage, puis lança, à ma grande stupéfac-t ion : "C 'est ça, unimplant ? Dans ce cas,j 'en ai vu beaucoupdans ma carrière !".Et lui de m'expliquerque les médecins baptisaient ces corpsétrangers -selon l'endroit où ils se trou-vaient dans le corps- du terme vague decalcification vasculaire, ganglionnaire,etc... Vague, car souvent les médecins eux-

mêmes ne peuvent définir, sur une radio-graphie, l'exacte nature du corps étranger.Mais comme ces "calcifications" ne gênentnullement le patient, il ne leur vient jamaisà l'idée d'opérer, ou de faire opérer, pour

voir de quoi il en retourne exactement. Il se rappellait fort bien en avoir vu, sous laforme de "plomb de chevrotine", dans uneradio du thorax et une autre, en forme de"virgule", dans une radio de la mâchoire.

Détail qu'il avait d'ailleurs signalé au méde-cin compétent. Mais celui-ci avait préférééluder le problème, puisque, n'est-ce pas,le patient ne se plaint pas de cela !Dans ces deux cas précis, la "calcification"

se trouvait effectivement duc ô t é g a u c h e d u c o r p s ,comme l'indique le docteurLeir. Devant mon étonne-ment grandissant, cet ami

m'expliqua que ces corps étrangers sontsignalés, sans plus, et sont considéréscomme banals, en médecine, malgré leuraspect parfois déroutant. Mon étonnementn'était pas près de retomber : à ma ques-

ces corps étrangers sont signalés, sans plus, et sont considérés comme banaux, en

médecine, malgré leur aspect parfois déroutant

Un texte de Fabrice KircherUn texte de Fabrice Kircher

TT OPOP SECRET SECRET - 21

tion sur la fréquence de ces cas, il merépondit, tranquillement et avec assurance,qu'un tiers des radiographies qu'il avait fai-tes dans sa vie, comportaient de ces "calci-fications" !Je ne pus, malheureusement, obtenir plusde cet ami, qu'il témoigne en son nom pro-pre, par exemple. Il insista beaucoup pourque son anonymat soit préservé, craignantun retour de bâton professionnel, car lemilieu dans lequel il évolue voit d'un mau-vais oeil les divulgations sur les dossiersdes malades.Sur la question de fond concernant cesimplants, il me semble qu'un état des lieuxsanitaire des populations serait souhaita-ble. S'agit-il, en effet, d'un problème de

masse, ou de cas très isolés, comme on lecroyait jusqu'ici ?Le monde a besoin de savoir. Même si cettevérité est cruelle et difficile à accepter.

E.T. , DJINNS ET ABDUCTIONSJ'aimerais évoquer un second point qui m'ainterpellé, en parcourant le livre du Dr Leir.Il y est fait allusion à une fluorescence roseobservable dans la paume des mains denombreuses personnes victimes d'enlève-ments.Il y a plusieurs années de cela, j'ai relaté(dans "Sentinel News" N°16) une anecdoteinsolite, qui me semble en rapport avec cequi précède.J'avais discuté, à l'époque, avec un ami,des photos qu'avait publiées "Facteur X",montrant des taches oranges sur des vête-ments portés par des victimes de rencont-res rapprochées. Cela lui rappela une anec-

dote. L'année pré-cédente, sur sonlieu de travail, unesecrétaire médicaleavait été engagéecomme stagiaire.Cette jeune femme,Soraya, était d'origi-

ne iranienne. Un jour, cet ami remarquaune chose bizarre dans le creux des mainsde Soraya. Curieux, il s'approcha et remar-qua qu'il s'agissait d'un disque de couleurorange peint dans la paume des mains. Ilvoulut en savoir plus. Gênée, un peu réti-cente (il est difficile d'avouer en milieuhospitalier que l'on est réceptif à certaines

"superstitions" !),Soraya lui conta qu'ils'agissait d'une tra-dition de son paysd'origine. Là-bas,

dans les villages reculés des montagnesiraniennes, on se protège ainsi des djinns.Djinns qui ont toujours la réputation, àl'heure actuelle, d'enlever des personnes,notamment près des puits, qui sont sou-vent isolés du reste du village. Alors, quandune jeune fille devait puiser de l'eau, le soir,elle ne partait jamais sans cette "protec-tion", peinte, avec un mélange de henné etd'autres substances sur la paume de sesmains.Qu'il y ait un rapport entre cette coutumeet la fluorescence émanant de la paumedes mains des abductés, me parait évident.Son explication, néanmoins, n'est pasaisée. Cette marque est-elle un simulacredestiné à tromper les djinns (ou les ravis-seurs qui se dissimulent sous cette appella-tion) pour leur dire qu'ils ont déjà été enle-vés par le passé, et qu'ils n'ont plus besoinde recommencer ? Mais on me rétorquera

que beaucoup de ceux qui ont été abductésune fois, l'ont été, par la suite, parfois à denombreuses reprises. Est-ce, alors, bienutile d'attirer l'attention des kidnappeursaliens ? Une autre explication serait, à lalimite, plus logique. Si des abductions de cegenre ont déjà eu lieu dans le passé enIran, les personnes confrontées à ce pro-blème, ayant remarqué cette bizarre fluo-rescence, ont trouvé un moyen de l’annihi-ler, ou de la dissimuler, par l'intermédiairede cette peinture. Après tout, le Dr Leiravait essayé, chez l'une de ses patientes,de l'ôter avec une compresse de gaze imbi-bée d'alcool. Mais sans succès. Ce remèdepersan, par contre, doit être efficace, puis-qu'il est entré dans les mœurs, au point dedevenir une coutume prophylaxique.Cette anecdote nous montre égalementque le phénomène des enlèvements estsans doute beaucoup plus répandu qu'onne le pense généralement, et qu'il ne datepas d'hier, puisque des croyances populai-res, peut-être immémoriales, utilisent déjàdes techniques "anti-abductives".L'ufologie est une science qui a encorebeaucoup de choses à découvrir...

FABRICE KIRCHERPour contacter l'auteur écrire à la rédaction

[email protected]

un tiers des radiographies qu'il avait faites dans sa vie, comportaient de

ces "calcifications" !

Implant en forme de pépin deCantaloup extrait du corps deTim Cullen par le Dr Leir et sonéquipe.

Le Dr Leir

Photo d'un Djinn ?Parti explorer un des nombreux gouffres Parti explorer un des nombreux gouffres souterrains des Emiratsouterrains des Emirats s Arabes Unis, Arabes Unis, un jeune homme aurait été retrouvéun jeune homme aurait été retrouvémort des suites d’une crise cardiaque. mort des suites d’une crise cardiaque. Près de son cadavre, on aurait retrouvé Près de son cadavre, on aurait retrouvé un appun appareil photo. La pellicule fut areil photo. La pellicule fut développée. Sur trois photos développée. Sur trois photos appapparaissait une créature étrange…araissait une créature étrange…

Légende ? Beaucoup portent créLégende ? Beaucoup portent cré--dit à ces clichés qu'ils jugent tropdit à ces clichés qu'ils jugent tropréalistes pour avoir été trafiqués.réalistes pour avoir été trafiqués.Pour eux, c'est la preuve de l'exisPour eux, c'est la preuve de l'exis--tence d 'ê t res inconnus v ivanttence d 'ê t res inconnus v ivantdans les profondeurs de la terre... dans les profondeurs de la terre...

ROSWELL :ROSWELL :Les Révélations DULes Révélations DU

COLONEL CORSOCOLONEL CORSOUn texte de Jean Sider Un texte de Jean Sider

En 1997 un officier supérieur américain retraité, le colonel Philip Corso, a publié unlivre dans lequel il confirme le crash d'ovni de Roswell. De plus, il divulgue desinformations tellement énormes qu'une nouvelle polémique s'est développée

parmi les chercheurs. Pendant que certains pavoisent, d'autres parlent d'intoxication.Voici le détail de cette affaire qui divise encore le petit monde de l'ufologie.

Quand j'ai entendu parler du livre du colo-nel Philip Corso pour la première fois -“TheDay After Roswell”- par le biais d'une publi-cation ufologique américaine, j'ai d'abordcru qu'il s'agissait de la première grandebrèche dans le secret sur les ovnis. Le cri-tique qui présentait l'ouvrage utilisait descommentaires très positifs, à la limite deslouanges dithyrambiques. J'ai donc biennaturellement pensé que son auteur était àprendre très au sérieux, et nombreux ontété ceux qui ont réagi pareillement.Plus tard, quand j'ai pu acquérir l'ouvrageen question et surtout quand d'autres opi-nions moins élogieuses sont apparues dans

certaines revues spécialisées, mon enthou-siasme initial s'est petit à petit amenuisé.Etait-ce à cause de la diatribe qui opposaitles partisans et les adversaires de P. Corso,ou du fait que certaines assertions de l'an-cien officier avaient une aura de suspicionqui m'avait échappé de prime abord ? Jecrois en toute honnêteté que ces deux rai-sons se sont combinées.

Afin que le lecteur puisse se faire une idéeplus juste sur cette affaire, je vais m'effor-cer de la présenter dans ses grandes lignesen essayant de rester objectif.

Le véritable auteur du livreUne première mise au point est nécessaire.Le colonel Corso n'est pas le véritablerédacteur du livre qu'il a signé. Il s'agit enfait du journaliste William Birnes, dont lenom apparaît en lettres plus petites sur lacouverture, sous celui de l'ancien officier.Cela s'explique de la façon suivante. P.Corso n'avait aucunement l'envie d'écrireun livre pour révéler des secrets qu'il avait

partagés pen-dant sa présen-ce sous l'unifor-me. C 'est sonfils, mis dans la

confidence par son géniteur de ce qu'ilavait appris sous l'uniforme de l'US Army,qui a suggéré à son père de confier à unerelation, W. Birnes précisément, le soin dedivulguer ses souvenirs les plus marquants,dont ceux relatifs au secret militaire sur lesovnis. Telle est du moins la version qui acirculé après le décès du colonel en juillet1998.

TT OPOP SECRET - SECRET - 22

Jean Sider fait partie des ufologues français les plus actifset à ce titre la rédaction de TOP SECRET est très fière de lecompter parmi ses proches collaborateurs. L'auteur a écritdifférents livres consacrés au phénomène ovni : "Ultra TopSecret - Ces ovnis qui font peur", ed. Axis Mundi ; "Ovnis:Dossier Secret", Ed. Age du Verseau ; "Contacts Supra-Terrestres", Ed. AxisMundi ; "Ovnis : Le sec-r e t d e s A l i e n s " , E d .Ramue l . Ces qua t reouvrages sont désor-m a i s é p u i s é s .Cependant, ceux quisouhai tent découvr i rl'auteur peuvent se pro-curer son dernier ouvra-ge : "La vie vient d'uneintelligence supérieure -L'hypothèse extraterres-tre", auprès de son édi-teur au pr ix de 21,85euros. Editions JMG, 8r u e d e l a M a r e ,Agnières, 80290. S o n p r o c h a i n l i v r e“OVNIS : Dossiers dia-boliques” sortira très prochainement chez le même éditeur. Depuis ses débuts, TOP SECRET, a toujours souhaité sou-tenir la recherche ufologique en France, et être en mêmetemps une sorte d' "instantané" de l'état de cette recherche.C'est pourquoi nous avons toujours été très heureux d'ac-cueillir dans nos colonnes les textes de Gildas Bourdais,Guy Tarade, Jean-Pierre Petit, sans oublier bien sûr tousles autres chercheurs moins connus certes, mais dont lestravaux ont tout autant de valeur. Nous invitons d'ailleurs lesautres ufologues français à nous rejoindre et à venir s'expri-mer librement dans notre magazine.

Corso ne voulait pas écrire un livre révélant les secrets qu'il avait partagés durant sa carrière militaire

Un homme du secretAprès quelques hésitations, P. Corso, quiétait déjà très âgé, a donné son accord et aremis à W. Birnes une douzaine de feuilletssur lesquels il avait couché les faits les plussaillants de son séjour dans l'US Army. Il y relatait surtout tout ce qu'il avait apprisdurant son affectation au Pentagone dansles années 1960, comme adjoint du géné-ral Arthur Trudeau, chef du bureau de laForeign Technology au sein de l'ArmyResearch and Development. Précisons quele colonel Corso a servi une grande partiede sa carrière dans les services de rensei-gnement de l'Armée de terre américaine,ceci expliquant cela. Au passage, je signale que le colonel Corsoprétend n'avoir jamais lu de livres consa-crés aux ovnis parce qu'il ne s'est jamaisintéressé à ce genre de littérature.

Le montage éditorialW. Birnes a donc contacté un éditeur trèsconnu de New York, pour l'informer qu'ildétenait de quoi faire un livre pouvantdevenir un best-seller. Alléché, Pocket

Books, qui appartient au groupe Simon &Schuster, a accepté de produire les "mémo-ires" de Philip Corso, mais a exigé unmanuscrit pouvant représenter trois centspages d'un livre en hard cover. C'est la rai-son pour laquelle W. Birnes a été contraintde fournir un texte dans lequel, outre lesinformations données par l'ancien colonel,figuraient des éléments puisés dans la litté-rature ufologique. Or, W. Birnes ignoraittout des ovnis, ce qui explique certainesgaffes qu'il a commises. Effectivement, ontrouve par-ci par-là dans ses chapitres, deserreurs de lieu, de date, de nom, maisaussi des faits puisés dans des ouvragesmanquant visiblement de crédibilité.Deux exemples : page 23, il affirme que lesdébris retrouvés par le fermier WilliamBrazel en juillet 1947 à Roswell ont étéenvoyés à "Fort Bliss, Texas, QG de la 8èrégion aérienne". Non, c'est à Fort Worth(Army Air Field), base aérienne devenueplus tard Carswell AFB. Plus grave, page 3, il prétend que P. Corsoa lu des rapports relatifs à plusieurs cras-hes d'ovnis dont l'un à "San Agustin". Il s'a-

git probablement du cas allégué par lechercheur Stanton Friedman, dans lesplaines de San Agustin, Nouveau-Mexique.En fait, il s'agit d'un canular monté par l'u-nique témoin de cette affaire, GeraldAnderson !

Des aveux ahurissantsD'évidence, W. Birnes ignorait tout du dos-sier ovnis. C'est d'ailleurs l'excuse qu'il aavancée quand les reproches ont commen-cé à pleuvoir. Mais ce c'est pas tout.Certaines assertions qu'il assure provenirdu colonel Corso ont conduit plusieurschercheurs, y compris des gens commeJerome Clark et Kevin Randle, ufologuesbiens connus "pro-ovnis", à les rejetercatégoriquement. Voyons un peu de quoi ilretourne.- En juillet 1947, P. corso était affecté àFort Riley. Alors qu'il était officier de per-manence de nuit, il aurait vu le corps d'unpetit humanoïde dans un véhicule en tran-sit stationné dans un hangar. Il s'agissaitd'une créature d'environ 1,20 m de hautdont les mains comportaient seulement

quatre doigts.- En 1961, durantson affectation auPentagone, commedit plus haut, il auraitpu examiner dans unmeuble à tiroirs du

bureau du général Trudeau, avec la per-mission de ce dernier, divers petits objetsqu'il affirme provenir "d'un crash d'ovni auNouveau-Mexique". Certains d'entre eux,confiés à un laboratoire de l'US Army,auraient permis de mettre au point lavision nocturne.- Il affirme que la technologie des rayonslaser, des circuits intégrés, de la fibreoptique, des appareils produisant des fais-ceaux de particules accélérées, ainsi que lekevlar, cette matière qui entre notammentdans la fabrication des gilets pare-balles,proviennent de la technologie tirée de l'ob-jet inconnu tombé près de Roswell. - Le général Trudeau a demandé à Corsod'utiliser les programmes de recherche surde développement des armes commemoyen pour laisser filtrer la technologie del'engin récupéré à Roswell dans les milieuxindustriels, et ce par l'entremise des pro-jets de contrats concernant la défensenationale.- Toujours au Pentagone, le généralTrudeau lui a fait lire des rapports concer-nant l'ovni accidenté. À l'en croire, l'engin

Alors qu'il était officier de permanence de nuit, il aurait vu le corps d'un petit humanoïde

d'environ 1,20 m dont les mains comportaient seulement quatre doigts.

tectec hnolhnol ogies héritées duogies héritées ducrash de roscrash de ros well ?well ?

KEVLAR

FIBRE OPTIQUE

CIRCUIT IMPRIMÉ

LASER

VISION NOCTURNE

ROSWELL : LE CAS DU COLONEL CORSO

était dépourvu de moteurs, de système denavigation, de tableau de bord, et dedispositif quelconque de propulsion. Mêmeen 1997, le mystère de son fonctionnementn'était toujours pas résolu. Il suggère quecet appareil pourrait être l'extension de lacréature qui le pilotait, et que celle-ci leguidait par ordres donnés mentalement.

Les Aliens et leur technologie.- Les petits humanoïdes qui constituaientl'équipage de l'objet, sont vraisemblable-ment des créatures artificielles, une sortede robots biologiques conçus en laboratoirepour résister à tous les inconvénients desvoyages dans l'espace et à des champs d'é-nergie élevés. Ces êtres n'avaient pas desystème disgestif et aucune nourriture n'aété trouvée dans le vaisseau désemparé.D'autre part, à son bord il n'y avait pas de“coin-cuisine” ni de toilettes !- Il y a peut-être eu un survivant qui seraittombé entre les mains des hommes del'Armée de l'air, mais personne n'est sûr decela. - Lorsque les corps ont été autopsiés parles pathologistes del'hôpital Walter Reed,on a découvert surleurs yeux un jeu dedeux lentilles noireselliptiques. Après étude de ces pièces, il aété établi qu'elles permettaient à ceux quiles portaient de voir dans l'obscurité. Destests ont été effectués avec ces objets, etles expérimentateurs ont pu distinguer desindividus dans le noir total, sous forme desilhouettes faites d'une luminosité vert-orange.- Certains matériaux collectés dans le vais-seau alien, dont des feuilles très fines enépaisseur, avaient des propriétés extraordi-naires. On ne pouvait pas les déchirer, niles plier pour marquer un pli, ni les courber

pour modifier leur aspect, car elles repre-naient immédiatement leur forme initialequand on les lâchait, et aucune marque demanipulation ne subsistait sur leur surface. - Il y avait aussi une fibre semi-métalliquede très forte résilience que le colonel n'apas réussi à couper avec des ciseaux. Elleavait d'étonnantes propriétés physiques,dont celle de produire une lumière intérieu-re.- Tout comme se trouvait aussi un étrangeobjet muni de petits détecteurs électriquessur chaque côté, destiné semble-t-il, à être

mis sur la tête des petits humanoïdes. Lesscientifiques qui l'ont examiné n'ont pasréussi à déterminer à quoi il servait exacte-ment, ni avec quelle énergie il fonctionnait,mais le colonel suppose qu'il pourrait s'agird'un capteur d'ondes cérébrales, une sorted'encéphalogramme capable de projeterdes cartes. - Un rapport faisait état d'un objet qui, àl'examen par les experts de la base deWright Field, à Dayton, Ohio, s'est avéréêtre une arme qui projetait un rayon calori-fique sans que le faisceau ne soit vu à l'œil

nu. Il découpait très soigneusement certai-nes matières, comme un chalumeau, maisbeaucoup plus finement. Plus tard, quandles cas de bestiaux mutilés de manière chi-rurgicale ont commencé à apparaître dansla presse, le colonel a supposé que cetobjet pouvait être l'instrument avec lequelopéraient les "chirurgiens fantômes".Wr ight F ie ld -ac tue l lement Wr ight-Patterson AFB- était le Q.G. des servicestechniques et de renseignement de l'arméede l'air.- La guerre froide n'a été qu'un prétextepour permettre aux Etats-Unis et ses alliés,ainsi qu'à la Russie et ses satellites, de s'ar-mer jusqu'aux dents en prévision d'uneéventuelle guerre contre des envahisseursvenus de l'espace. (J'ai émis cette possibili-té en 1994, dans Ovnis : Dossier secret,pp. 49 à 58, donc plusieurs années avant ladivulgation de cette information).

Chacun pour soiP. Corso confirme que le secret absolu surles ovnis a été instauré par le gouverne-ment américain en 1947. Il prétend aussique chacune des branches différentes del'armée gardait jalousement ce qu'ellesavait ou avait récupéré lors du crash deRoswell. Il semble, à l'entendre, qu'il n'yavait pas de coordination pour l'étude detout ce qui avait été découvert, ne serait-ceque pour tenter d'exploiter de nouvellestechnologies en commun. Du moins c'estce qui se serait passé durant plusieursannées. Tout cela peut sembler invraisemblablepour le lecteur non averti, mais il faut qu'ilsache qu'en juillet 1947, au moment où lecrash s'est produit, c'est l'Armée de terrequi avait en charge la sécurité des bases del'Armée de l'air. Cette situation a changéseulement en 1948, selon P. Corso. Pourciter un exemple, le capitaine Sheridan

Ces êtres n'avaient pas de système dis-gestif et aucune nourriture n'a été trou-

vée dans le vaisseau

P. Corso et Arthur Trudeau de l’US Army

POUR ARCHIVE : représentationS et photos prétendues du crash de roswell

TT OPOP SECRET SECRET - 24

ROSWELL : LE CAS DU COLONEL CORSO

Cavitt, responsable de la sécurité à RoswellAAF, qui a accompagné le major JesseMarcel sur le site de débris découvert par lefermier Brazel, appartenait au CIC (CounterIntelligence Corps), organisme qui dépen-dait de l'Armée de Terre. De plus il avait un

clearance (niveau d'accès au secret) supé-rieur à celui de J. Marcel. Autre élémentintéressant à connaître, en 1947 il existaitune unité très spéciale au sein de l'Arméede Terre, appelée I.P.U., InterplanetaryPhenomenon Unit, appellation très évoca-trice qui se passe de commentaire. J'aifourni la preuve officielle écrite de l'existen-ce de l'I.P.U dans Ultra Top Secret, pages135 et 140, qui consiste en deux lettres del'US Army, dont l'une est la réponse à unedemande que j'avais adressée aux servicesde renseignement de cet organisme.D'après Philip Corso, les corps des passa-gers ont été examinés à l'hôpital militaireWalter Reed, comme déjà précisé, maisaussi à celui de Bethesda. Or celui deBethesda était à l'époque géré par la Navy(marine de guerre). Ce qui revient à direque les trois armes étaient impliquées dansl'affaire. Sans oublier les rivalités qui exis-taient entre certains services de renseigne-ment à ce moment là. Comme le crash n'é-tait pas reconnu officiellement, chaqueorganisme militaire en possession d'infor-mations, voire d'objets ou de corps récupé-rés, a travaillé indépendamment des aut-

res. C'est du moins cequi ressort du livre ducolonel Corso. Il citenotamment le fait que laMarine et l'Armée de l'airava ient en 1947 desprogrammes de recher-ches en technologiesnouvelles pour améliorerleurs propres appareilsaériens ainsi que leursa r m e m e n t s . To u tcomme la marine espé-rait obtenir des avan-cées technologiquespour ses sous-marins,en particulier la non-détection par les radarsennemis. Chacune desdeux parties, à l'en croi-re, voulait tirer la cou-verture à soi. Chaque

département militaire espérait être le pre-mier à faire une éventuelle découverteimportante tirée des artefacts aliens, etsurtout pas le second. C'est d'ailleurs ce que Philip Corso dit deson supérieur, le général Trudeau. Il cite

une de ses phrases qui peut se traduirecomme ceci en parlant des objets aliensqu'il conservait dans son bureau : " Gardezceci pour moi, Phil. Les autres n'ont pasbesoin d'en avoir connaissance".

Témoignage posthumeEn octobre 2000, le fils du colonel, PhilipCorso Jr., envoyait untémoignage concernantson père au chercheurSteven Greer, lequel l'aintégré dans l'un de seslivres. Il prétend quecertains détails avaienté té obtenus de sonpère alors que celui-cisavait qu'il allait bientôtmourir. Voici les plusnotables de ces alléga-tions :- En 1957, peu aprèsson affectation commecommandant du 552èbataillon de missiles, auNouveau-Lexique, P.Corso a vécu une bien

étrange expérience. Au cours d'une prome-nade dans le désert, il a décidé de visiterdes cavernes de Red Canyon, près de l'im-mense terrain d'essais militaire de WhiteSands. Il y a rencontré un Alien. Il portaitune sorte de casque au centre duquel untype quelconque de pierre était retenu parce qui ressemblait à un bandeau. - Quelque temps plus tard, toujours en1957, les radars de son unité ont détectéun ovni qui manoeuvrait comme s'il voulaitatterrir. P. Corso a fait décoller un avion dereconnaissance pour voir où il s'était posé,puis quand le renseignement a été obtenu,il est parti dans une jeep voir ce qu'il enétait. Il a pu approcher de l'engin et mêmele toucher, ce qui l'a convaincu qu'il étaitbien matériel. Autour de l'engin, il a aussiremarqué des traces de pas. Puis l'appareila décollé pour s'éloigner vivement en hau-teur. Par la suite, il a parlé de cette obser-vation avec Werner von Braun et HermannOberth. Il les connaissait fort bien pouravoir auparavant participé à l'opérationPaperclip, laquelle avait pour but de récu-pérer des savants allemands spécialisésdans les V.1 et V.2.

Une machine volante vivanteVoici d'autres précisions :- P. Corso a échangé des pièces métalliquesaliens avec Wilber Smith, le responsablecanadien d'un programme de recherchessur les ovnis pour son pays.- Il a été chargé de mettre plusieurs géné-raux au courant de la situation créée par lecrash de Roswell.- Il a été convoqué par Dwight Eisenhover,lequel lui a demandé des informations surles Aliens. Il a répondu : "Nous ne savons

“Gardez ceci pour moi, Phil. Les autres n'ont pas besoin d'en avoir connaissance"

TT OPOP SECRET - SECRET - 2525

L’ovni de Roswell ?

pas qui sont ces créatures, d'où elles pro-viennent, ni quelles sont leurs intentions".- Grâce à un objet retrouvé dans l'appareilrécupéré à Roswell, le laser a été mis aupoint à Fort Belvoir. (base de l'Armée del'Air, non loin de Washington, D.C. où setrouvait basée une unité aux activitéssecrètes : le 1006è, puis le 1127è AISS (AirIntelligence Special Squadron).- Le vaisseau Alien de Roswell se trouvemaintenant à la base aérienne d'Edwards,

en Californie.- Les passagers formaient des parties inté-grantes au système de propulsion, audispositif de guidage, etc. Le vaisseau lui-même était aussi une entité vivante.Quand elle est morte, sa couleur bleue aviré au brun.- Les combinaisons des passagers étaientfaites du même matériau que la coque del’appareil.- Il y a neuf niveaux de secret au-dessus dela classification top secret.- Le fameux film de l'autopsie commerciali-sé par un Anglais, est un trucage mis aupoint par une agence d'Etat américainepour ridiculiser le crash de Roswell. - Il y a eu d'autres crashes d'ovnis. Lessavants allemands ramenés aux Etats-Unislors de l'opération Paperclip ont affirméque l'Allemagne en avait récupéré undurant la Deuxième Guerre mondiale.- Un autre crash s'est produit en 1957 prèsde Corona, au Nouveau-Mexique.- L'astrophysicien Carl Sagan était rémuné-ré par la CIA pour se gausser des ovnis.(Steven Greer ajoute dans son livre qu'ilconnaît deux collègues de Sagan, eux-mêmes astronomes, qui ont confirmé cetteinformation).

Que penser de tout cela ?Nul doute que William Birnes, a introduitdans ses chapitres des données erronéespour certaines et très sujettes à cautionpour d'autres. Il l'a d'ailleurs reconnu parécrit dans la revue UFO, dont il est devenule producteur. Dès lors, ses lecteurs peu-vent se demander jusqu'où il est allé pourparvenir à produire un " tapuscrit " de 300pages. S'est-il seulement contenté de pui-ser de la matière première dans les écritssujets à caution d'une certaine frange del'ufologie américaine ? Ou a-t-il volontaire-ment attribué au colonel Corso des révéla-tions qu'il n'a jamais faites ?Et que faut-il penser de ce que Philip Corsojunior a divulgué ? A-t-il volontairementgrossi, voire inventé, de prétendus aveuxrecueillis sur le lit de mort de son père ? Cepourrait-il qu'il ait agi ainsi naïvement dansl'espoir de contrer les chercheurs qui pré-sentent l'ancien colonel comme un agentde l'intoxication gouvernementale ?Une chose est sûre : ce livre contient desbourdes et des exagérations manifestes,tous les chercheurs sont d'accord sur cepoint. Dans le même temps, il s'y trouvedes éléments plausibles mêlés à d'autresempreints de suspicion, mais faire le distin-

guo entre ce qui peut être vrai de ce quidoit être faux reste une question d'appré-ciation personnelle. Donc le lecteur estinvité à se forger sa propre opinion.Quoi qu'il en soit de cette affaire, que lelecteur de Top Secret soit bien persuadé dececi : les ufologues n'ont nul besoin ducontenu de ce livre pour se convaincre del'existence des ovnis en général, du crashde Roswell en particulier, ainsi que de lapolitique de secret imposée par les gouver-nements, à commencer par celui des Etats-Unis. En effet, ils ont collecté suffisammentde témoignages autrement plus crédiblesque ce qui figure dans le livre de W. Birnes.Ce sont ces données patiemment réunies

depuis cinquante ans par des gens sérieuxqui peuvent le convaincre que la censuresur les ovnis est bien réelle, qu'un événe-ment de grande ampleur s'est produit audébut de juillet 1947, et qu'il s'agit d'unproblème extrêmement important auquell'humanité est confrontée. D'ailleurs mesdeux articles précédents publiés dans Topsecret n° 7 et 8 vont tout à fait dans cesens.

Jean SiderPour écrire à l’auteur contacter la rédaction :

[email protected]

Le livre de P. Corso et W. Birnes.

Les passagers formaientdes parties intégrantes

du vaisseau

Débris du vaisseau de Roswell ?

TT OPOP SECRET SECRET - 26

TOPTOP SECRETSECRETPARTIEPARTIE 44

LL ee mm yy ss tt èè rr ee

ToungouskaToungouskaL'été 2003 a marqué le 95ème anniversaire de l'incident énigmatique connu sous

le nom " d'incident de la Toungouska " de 1908. Dans les dernières décennies,les caractéristiques les plus visibles de cet événement, ont été largement

publiées dans la presse populaire et scientifique. Mais en fait, ni le grand public, ni lacommunauté scientifique mondiale n'ont véritablement élucidé la nature réelle de l'é-vénement. Le problème Toungouska est généralement perçu comme résolu depuislongtemps par les spécialistes des météores. En réalité, ce n'est pas le cas !

Le 23 juin 1908, d'étranges phénomènesoptiques atmosphériques ont été observésen différents endroits d'Europe occidentale,de Russie européenne et de Sibérie occi-dentale. Ils incluaient d'actives formationsde nuages mésosphériques sans précé-dent, de brillantes lueurs d'aspect volca-niques, extrêmement intenses et de longshalos solaires…Ces anomalies gagnèrent graduellement enintensité, pendant 10 jours.Et puis, le 30 juin 1908, un corps célestelumineux survolal a S i b é r i eCentrale. Son vols'accompagnant

de bruits de tonnerre, le "bolide" fut obser-vé en différents endroits de la région. Sa forme est généralement décrite commeronde, sphérique ou cylindrique ; sa cou-leur comme rouge, jaune ou blanche. Il n'yavait pas de traînée de fumée, typique desgrands météores métalliques, mais denombreux témoins ont vu de larges bandesiridescentes, ressemblant à un arc-en-ciel,à l'arrière de l'objet.A 7h14, heure locale, alors qu'il passait au-dessus d'une zone proche de la rivière

Podkamennaya Toungouska, une régionmarécageuse isolée, à la latitude 60°53'N,et longitude 54° E, le corps céleste explo-sa. La déflagration équivalente à l'explo-sion produite par 30 à 50 Mégatonnes deTNT s'est accompagnée d'un flash lumi-neux. La déflagration a été entendue à plusde 1200 km, et les fenêtres faisant face aunord, ont été brisées jusqu'à une distancede 200 km. L'onde sismique a été enregis-trée à Irkoutsk, Tachkent, Tbilissi et Iéna.L'onde de choc de l'explosion a rasé plus de2100 km² de forêt. Sur une zone d'environ200 km², la végétation a été brûlée par leflash. Quelques six minutes après l'explo-sion, une tempête magnétique locale sedéveloppa, tout à fait similaire aux pertur-

bations électromagnétiques qui succèdentaux explosions nucléaires dans l'atmosphè-re . Ce phénomène fu t dé tec té pa rl'Observatoire Météorologique et Géo-magnétique d'Irkoutsk. Cette tempête duraquatre heures.Tôt dans la matinée du 1er juillet, lesétranges phénomènes lumineux quiavaient commencé 10 jours plus tôt, attei-gnirent leur paroxysme, puis ils commen-cèrent à décliner.

Le labyrinthedes hypothèsesMême si certainsjournaux sibériensont rappor té les

anomalies atmosphériques, et publié lestémoignages, les explications à l'époque enrevenaient toujours à la chute d'unemétéorite. En 1921, une expédition de l'Académie desSciences Russes dirigée par Léonid Kulikapporta cependant un nouvel éclairage. Lapremière surprise qui attendait les cher-cheurs fut l'absence de cratère de météore.De même, il fut établi que des arbresétaient curieusement restés debout à l'épi-centre de l'explosion. Il fut alors supposéque le terrain avait subi une pluie demétéorites due à la désintégration en voldu corps céleste initial. En fait, Kulik prit lesperforations "thermo-karstiques" pour descratères de météores. Comme il était un

La déflagration a été entendue à plus de 1200 km, et les fenêtres faisant face au nord, ont été

brisées jusqu'à une distance de 200 km

TT OPOP SECRET - SECRET - 2929

Un texte de Philip Mantle d'après une étudeUn texte de Philip Mantle d'après une étudede Vladimir Vde Vladimir V. Rubstov. Rubstov, Dr en Physique, Dr en Physique

LE MYSTÈRE TOUNGOUSKA

éminent spécialiste des météores, il secontenta d'étudier les impacts selon cetangle, et ne chercha pas autre chose.Quoi qu'il en soit, à mesure que se succé-daient les expéditions, l'hypothèse de lamétéorite devenait de plus en plus difficileà défendre. En effet, en dépit d'intensesrecherches pas même un milligramme demétéorite n'a jamais été retrouvé dans laz o n e ! A u d é b u t d e s a n n é e s 3 0 ,F.L.Whipple avança alors l'hypothèse selonlaquelle le corps céleste de la Toungouska,était en fait le cœur d'une petite comète.V.I. Vernadsky envisagea la théorie d'unnuage de poussière cosmique ; et I.S.Astapovich prétendit que le corps célesteavait pu ricocher sur les basses couches del'atmosphère.Ce fut l'ingénieur et écrivain de science-fic-tion soviétique A. Kazantzev, qui comprit en1945 la véritable importance de la "premiè-re anomalie de la Toungouska" : le caractè-re aérien de l'explosion. Il avança l'hypo-thèse d'un vais-s e a u s p a t i a lextraterrestre,v i c t ime d 'unecatastrophe. Lesspécialistes desmétéores s'élevèrent contre cette idée fan-tastique. Une équipe d'Astronomes sovié-

tiques écrivit en 1951, dans la revue popu-laire Science et Vie : "Il n'y a aucun doutequ'immédiatement après la chute dumétéore…Une dépression en forme de cra-tère s'est formée là où se trouve aujourd'-hui le Marais Sud. Elle était relativementpetite et a été rapidement inondée. Dansles années qui suivirent, elle fut recouvertede vase et de mousse, remplie par desmonticules de tourbe et partiellement boi-sée de buissons. Les arbres morts qui res-tent debout, sont visibles non pas au cent-re de la zone de catastrophe mais sur lescollines qui l'entourent…”Cependant, l'expédition de 1958 organiséepar le Comité sur les Météor i tes del'Académie des Sciences de l'URSS (KMET),établit ce constat : "le corps céleste de laToungouska avait explosé en l'air et de cefait pouvait difficilement passer pour unemétéorite ordinaire".Au cours des années qui suivirent, le nom-bre d'anomalies découvertes sur le site

devait encore affaiblir l'hypothèse d'uneexplosion de météorite à la suite de ladécélération trop rapide dans les bassescouches de l'atmosphère. Aujourd'hui, bien que les traces commen-cent à disparaître, certaines d'entre ellescontinuent d'être clairement visibles.Chargée de les étudier, l 'Expédit ionIndépendante Interdisciplinaire de laToungouska (KSE), fondée en 1958, aabattu un travail considérable, et les résul-tats obtenus ont fait l'objet de nombreusespublications scientifiques. L'équipe dirigéepar A.V. Zolotov a réussi notamment à éta-blir un point de première importance : ladestruction de la forêt a été provoquée parla déflagration et non par l'impact balis-tique. Les faits empiriques collectés par leKSE et par d'autres chercheurs durant lesdernières décennies, bien que parfoisétranges, sont bien établis, et aucunemodélisation du phénomène ne peut lesignorer. Malheureusement, de nombreuxthéoriciens (et spécialement -mais pas seu-lement- des Occidentaux) essaient deréduire cette énigme à un flash, étant seu-lement conscients de deux faits : queque lque chose a su rvo lé l a S ibé r i eOccidentale en 1908 et que ce quelquechose a explosé.

Que savons-nous à propos del'explosion et du corps céleste dela Toungouska ?Les faits peuvent être énoncés ainsi :1/ l'explosion est l'événement le plusremarquable d'un ensemble de phénomè-nes atmosphériques anormaux qui eurentlieu en cet été de 1908, et qui devaient êtrereliés les uns aux autres.2/ l'explosion principale eut lieu dans l'at-mosphère à une altitude comprise entre 5et 16 km. La zone de déforestation a descontours particuliers ressemblant à ungigantesque papillon. En règle générale, laforêt tomba radialement, mais près de l'é-picentre, on observe des déviations dumodèle radial, ce qui permet de conclurequ'il y eut au moins deux ou trois épicent-res corollaires.3/ Il n'y a pas de cratère météoritiquedans la région de l'explosion, ni aucunesubstance qui permettent d'identifier lecorps céleste. 4/ Les axes de symétrie de chute de laforêt se situent à 81° à l'Ouest du méridienvrai. Cela est interprété comme l'empreintede l'onde de choc balistique du corps céles-te de la Toungouska au stade final de sonvol. Il est essentiel de noter que cette ondeétait plutôt faible, ne rasant aucun arbre etne provoquant que des déviations mineu-res du modèle radial. Le nivelage en lui-même était entièrement dû aux effets de ladéflagration. Ceci amène à penser que lavitesse du corps céleste au stade final, étaitrelativement lente. Zolotov estime cettevitesse à 1.2 km/s. C'est pourquoi, il fautcroire que l'explosion était due à une éner-gie interne au corps céleste et non à l'éner-gie cinétique du déplacement.5/ La concentration de cette énergieapproche celle d'une explosion nucléaire,et pas moins de 10% de celle-ci fut libéréepar le flash. Cela suggère une sorte deréaction nucléaire dont on ignore le type.Aucune preuve d'une telle réaction n'a été

L'ingénieur et écrivain de science-fictionsoviétique A. Kazantzev avança le premier

l'hypothèse d'un vaisseau spatial extraterrestre, victime d'une catastrophe

Un témoignage exemplaireEn 1927, S.B. Semenov qui vivait

dans une petite colonie de commercede Vanavara, à quelques 70 km au

sud-est de l'épicentre de l'explosion,se rappelait :

"J'étais assis sur les marches de mamaison, faisant face au

nord…Soudain, le ciel du nord s'estdéchiré et un feu est apparu qui se

répandait dans tout le firmament. A cemoment, j'ai ressenti une intense cha-

leur, comme si ma chemise prenaitfeu. J'ai voulu déchirer ma chemise etla jeter au loin, mais à ce moment-là

tout s'est figé, et tout à coup, un souf-fle gigantesque m'a jeté à bas desmarches de ma maison. J'ai perduconnaissance mais ma femme s'estprécipitée hors de la maison et m'a

aidé à me relever. Après la déflagra-tion, on pouvait entendre un bruit

sourd, comme une pluie bruyante decailloux qui tombaient du ciel…"

TT OPOP SECRET SECRET - 30

Seconde expéditionde L. Kulik.1928

découverte dans les sols etla végétation dans la régionde l'explosion. Néanmoins,directement sous la trajec-

toire du CCT, la thermo-luminescence des miné-raux a substantiellementaugmenté. Cela est sansdoute dû à une émissionde radioactivité intenseau cours du vol, et pro-bablement à l'instant del'explosion. Un éventailcomplexe de conséquen-ces écologiques a étérévélé dans la région del'explosion. Une repous-se très rapide de la forêteut lieu après la catas-trophe, et il y eut unecroissance accé-lérée des arb-res, qu'ils soient

nouveaux ou qu'ils aient survécu àl'incident. On put également cons-tater une fréquence accrue des mutationsdes résineux locaux, dans un facteur 12.Ces deux effets semblent se concentrerdans le couloir de la trajectoire du corpscéleste. Dans les années 1910, une mutation rarissi-me fut observée chez les natifs de la région,dans une des colonies de peuplement prèsde l'épicentre. Selon le Dr N.V.Vassilyev, unexamen médico-écologique de l'état desanté des habitants révèle des effets géné-

tiques sur la population similaire à ceuxconstatés sur des populations exposées àdes tests d'armes nucléaires.Ces faits, ainsi que la tempête magnétiquelocale qui succéda à l'explosion renforcentle caractère nucléaire de l'explosion de laToungouska. Peut-être sommes-nous enprésence d'un type de réaction nucléaireinconnu.

6/ En dehors de l'explosion principale àune altitude relativement élevée, il y euttrois ou quatre explosions additionnelles àbasse altitude, et certainement de basseénergie. Cela se déduit par la structure finede la forêt tombée et par le témoignage dequelques témoins oculaires qui se sonttrouvés dans les environs immédiats de l'é-picentre.Chuchancha et Chekaren, deux frèresparents de Shaniaguir à Evenk, dormaient

dans leur tente de peau, située sur la rivede la rivière Avarkitta, très proche de l'épi-centre, au moment de l'explosion. Soudain,ils furent réveillés par un roulement de ton-nerre, des sifflements et un bruit sourddans le vent."Nous étions tous deux très effrayés",raconta Chuchancha à I.M.Sousslov en1926. "Nous avons d'abord appelé notrepère, notre mère et notre troisième frère,mais personne n'a répondu. Un bruit sourda été entendu au-dehors de la tente ; nousavons compris que les arbres étaient entrain de tomber. Chekaren et moi, noussommes sortis de nos sacs de couchage etnous nous apprêtions à sortir de la tente,lorsque soudain il y a eu un fort coup detonnerre. C'était la première déflagration.La terre a tremblé, un fort souffle de vent afait écrouler la tente. La peau de la tente aété emportée et j'ai vu alors quelque chosede terrible : les arbres étaient en train detomber, les aiguilles de pin brûlaient. Lesbranches mortes et la mousse brûlaientégalement. Soudain, au-dessus d'une mon-

Peut-être sommes-nous en présence d'un type de réaction

nucléaire inconnu

LA BATAILLE DE TOUNGOUSKA III. LE RETOUR DU RETOUR DE…Il y a eu Toungouska en 1908. La Sibérie a été une nouvelle fois frappée en février 1947, à Sikhoté-Alinsk par ce qui futconsidéré par certains comme la plus grande météorite du XXe siècle. Malheureusement, il existe peu de détails sur cetévénement.Et…dans la nuit du 24 au 25 septembre 2002, vers 1H47 (heure locale), une "météorite" a de nouveau ravagé 100 km2de taïga, en pleine Sibérie, provoquant une explosion équivalente à celle d'une bombe atomique de moyenne puissance.Au mois de mai 2003 une expédition d'une dizaine de personnes comprenant des scientifiques et des médecins a puatteindre l'épicentre de la zone décimée, située dans une région semi-montagneuse et boisée, extrêmement reculée, dansla région de Vitimsk et Bodaïbo au nord-est d'Irkoutsk et du lac Baïkal.“Sur une superficie d'environ 100 kilomètres carrés, les arbres sont cassés d'une manière caractéristique d'effets desouffle très puissants”, a raconté M. Tchernobrov, le chef de l'expédition.“Des centaines de personnes, parmi les habitants de villages de la région, ont été témoins de la chute de la météorite.Des chercheurs d'or qui travaillaient dans la taïga, coupés du monde et qui n'avaient ni journaux ni radio, ont cru à uneattaque nucléaire et à la fin du monde.Pendant deux mois après l'événement, les habitants se sont plaints de douleurs articulaires, de problèmes de tensionartérielle et de troubles rénaux. Les animaux ont totalement déserté la zone, et seuls des ours, exclusivement des jeunes,sont revenus en évitant toutefois soigneusement l'épicentre". M. Tchernobrov a indiqué qu'une hausse de la radioactivitéavait été enregistrée dans la zone. Selon lui, il ne s'agit d'ailleurs "probablement pas à proprement parler d'une météori-te, mais d'un corps céleste de nature pour l'instant inconnue”.

Source : http://fr.news.yahoo.com/030725/202/3bhh1.html

TT OPOP SECRET - SECRET - 3131

Leonid Kulik premièreexpédition (1921)

Anomalies génétiques des végétaux, et

autres particularités encore constatées

de nos jours...

tagne où les arbres étaient déjà tombés,est apparue une lumière brillante commeun second soleil…Au même moment, unfort coup de tonnerre a retenti. C'était laseconde déflagration. La matinée étaitensoleillée, pas de nuages, le soleil brillaitcomme à l'accoutumée et voilà qu'il y avaitun deuxième soleil !Avec difficulté, Chekaren et moi, nousavons rampé de dessous les restes de latente. Après cela, nous avons vu à nouveauun flash et un nouveau coup de tonnerredans le ciel, bien que se situant ailleurs. Il ya eu alors un nouveau souffle de vent quinous a projetés à terre contre un arbreabattu.Chekaren a crié : regarde là-haut ! en mon-trant le ciel. J'ai regardé dans la directionindiquée et j'ai vu un nouvel éclair, avecune détonation. Mais le bruit n'était plusaussi fort qu'avant. Cette quatrième défla-gration ressemblait à un tonnerre habituel.Je me rappelle à présent qu'il y a eu une

cinquième détonation mais lointaine et plu-tôt faible. Cette explosion a eu lieu quelquepart vers le Nord.”7/ La zone de brûlure radiante des arbresa la forme d'un papillon ; son axe de symé-trie coïncide approximativement avec latrajectoire de l'objet. Il semble que ce der-nier émettait une intense radiation électro-magnétique dans les 20 dernierskm avant l'explosion. Cela ne cor-respond pas avec le modèleradiale de la chute de la forêt. Enconséquence la source du flashn'éta i t probablement pas lamême que celle de la déflagra-tion. Le rayon de la végétationbrûlée est chaotique ; c'est-à-direque les zones de brûlures de lavégétation et celles n'ayant subiaucun effet thermique sont inter-mittentes. Le modèle expliquantle mieux cet état de fait, seraitune puissante radiation ther-mique et non une boule de feui s o m o r p h e . L e f a i t q u eChuchancha et Chekaren (ainsique d'autres natifs d'Evenk) sur-vécurent près de l'épicentre d'uneexplosion équivalant à 30 ou 50Mégatonnes semble privilégié soncaractère anisotropique.

8/ Des mutations dans les compositionsisotopiques du Carbone, de l'Hydrogène etdu Plomb ont été trouvées à l'épicentre del'explosion. Le sol a été enrichi d'élémentsrares (Samarium, Europium, Terbium,Ytterbium, etc…) ainsi que de Baryum, deCobalt, de Cuivre, de Titane et d'autres élé-ments. Comme le supposait le regretté DrSergueï Dozmorov d'Omsk, ces résultatsindiquent que le corps céleste contenait

d'importantes quantités de céramiquessupraconductrices à haute température,sur la base d'une combinaison entre ceséléments : Baryum (un lanthanide) etCuivre. De tels éléments céramiques main-tiennent la supraconductivité au-dessus decelle de l'Azote liquide (-196°C) et peuventservir à l'élaboration d'appareils de conser-

va t i on de l ' éne rg i e t r è s e f f i c a ces .Visiblement, cette substance ne peut êtred'origine naturelle. 9/ La combinaison de la forme en papillonde la zone et la répartition générale de lazone de chute de la forêt, suggèrent que lecorps céleste de la Toungouska était consti-tué de deux parties : l'une, explosive etune autre de forme non-uniforme quidonna naissance à des particularités dansla forme de la déflagration. Comme le notent A.N. Dmitriev et V.K.Zhuralev, la forme et la structure de la forêttombée, peut aisément s'expliquer si onaccepte le postulat suivant : l'objet possé-dait des zones symétriques composées dematériau de différentes épaisseurs etoffrant une résistance différente. Mais une autre forme est envisageable : ilpourrait en effet s'agir d'une masse explo-sive en forme de cône ayant accumulé descavités et un détonateur dans sa partieavant.

Anomalies récurrentes au niveau des pôles

Observez les images ci-contre prises en ultra violet par un satellite de la Nasa chargé d’é-tudier les aurores boréales. Nous avons déjà publié ces images dans TOP SECRET N°4consacré au “Plus grand secret dela Terre”. Il existe des dizaines d’i-mages présentant la même anoma-lie. Remarquez en effet la présen-ce répétitive d’un point jaune denature inconnue près de la terre.Difficile de confondre ce “point”avec la lune ou une étoile. En effeton remarquera sur les deux sériesci-contre que ce “point” s’appro-che des pôles au point de touchercarrément l’atmosphère. À l’é-poque nous faisions remarquerqu’à cet instant les images dusatellite se brouillaient à chaquefois. Y aurait-il un lien avec lephénomène “Toungouska” ?

LE MYSTÈRE TOUNGOUSKA

Toungouska de nos jours

Des mutations dans les compositions isotopiquesdu Carbone, de l'Hydrogène et du Plomb ont été

trouvées à l'épicentre de l'explosion.

TT OPOP SECRET SECRET - 32

TT OPOP SECRET - SECRET - 3333

10/ La trajectoire suivie par l'objet à tra-vers l 'atmosphère demeure obscure.Immédiatement avant l'explosion, l'objetse déplaçait exactement de l'Est versl'Ouest. Les témoignages recueillis en 1960l'attestent. Or des témoignages recueillisen 1920, suggèrent que le corps céleste estarrivé par le Sud ou le Sud-Est. En tentantde trouver une solution à ce casse-tête,Felix Y.Ziegel, le père de l'Ufologie sovié-t ique, suggéra en 1966, une u l t imemanœuvre du corps avant la phase finalede son vol. Cependant, la variante Est de la trajectoirea été observé jusqu'à la rivière Lena. Celajette un doute sur l'éventualité d'unemanœuvre. Faut-il en conclure qu'il y avaitplusieurs corps célestes se déplaçant dans

différentes directions, et convergeant plusou moins vers le même point final ?11/ Enfin et surtout : qu'est-il arrivé aucorps céleste de la Toungouska après l'ex-plosion ? L'hypothèse d'un "ricochet" avan-cée dans les années 30 a été rejetée, prin-cipalement parce que le corps n'avait aucu-ne chance de résister à la puissance d'une

telle explosion. Peut-être, néanmoins,comme le note G.F.Plekhanov, l'empreintebalistique sur la forêt tombée est observéeau-delà de l'épicentre. En conséquence,une partie de l'objet a vraisemblablementpoursuivi sa trajectoire après l'explosion.Parmi d'autres observateurs interrogés, il yavait un ancien d'Evenk, nommé IvanIvanovitch Aksenov, un Chaman, qui secachait des autorités Soviétiques depuis larévolution de 1917. Au moment de lacatastrophe, Aksenov, alors âgé de 24 ans,était en train de chasser près de la sourced'un affluent de la rivière Chamba, à envi-ron 40kms au sud de l'épicentre de l'explo-sion. Après l'explosion, il vit un objetdescendant en volant au-dessus de la riviè-re Chamba, dans une trajectoire générale

Nord-Sud. Il nomma l'objet un "Démon"."Lorsque je me suis remis, se rappelleAksenov en 1967, j'ai vu que ça tombaittout autour de moi, en brûlant. Non, ce n'é-tait pas Dieu qui volait là-bas. Le Démonlui-même avait l'air d'une boule, de couleurlumineuse, avec deux yeux sur le devant,et du feu derrière. J'étais effrayé, couvert

de nippes et priant non pasl e B o n D i e u d a n s s o nParadis mais Jésus et Mariela Sainte Vierge. Au boutd'un moment, j'ai reprismes esprits : tout allaitbien. Je suis retourné versla rivière Yakouta, où il yavait un camp de nomades.Le "Démon" allait plus viteque nos avions d'aujourd'-hui. Pendant qu'il volait, ild isait "Thouu-thouu...”mais pas très fort.”

Sur le Chemin de la VéritéLa complex i té du phénomène de laToungouska dépasse de loin les théories dela Science actuelle. Les résultats obtenusau cours des années d'investigation sur laToungouska tendent à privilégier la natureartificielle de l'objet et le caractère non-conventionnel de son explosion. Bienentendu, le crash de cet engin extraterres-tre n'est peut-être pas accidentel. Monhypothèse de travail, développée dès 1970,est la "théorie de la bataille". Selon ce scé-nario, il y a eu en 1908, une bataille entredeux ou plusieurs vaisseaux aliens. L'undes vaisseaux a survécu à cette confronta-tion, et a regagné l'espace.

Philip MANTLEPour écrire à l'auteur,

contactez Hervé Broca, président du CREPS :[email protected]

http://UFOlogic.free.fr

Y avait-il plusieurs corps célestes se déplaçant dans différentes directions, et convergeant

vers le même point final ?

Source :V l a d i m i r V. R u b s t o v, P h . D . ,Directeur de l'Institut de Recherchesur les Phénomènes Anormaux àKharkov en Ukraine.

L'expédition de Bologne 1999En juillet 1999, le Département dePhysique de l'Université de Bologne enItalie, qui a généreusement procuré la plu-part des photos de cet article, a organiséune expédition dans la zone. Participaient àl'aventure, l'Observatoire Astronomique deTurin et l'Institut de Géologie Marine duConseil National de Recherches deBologne. La logistique sur place fut assu-rée par l'Université de Tomsk (Russie) diri-gée par N.V.Vassiliev et G.V.Andreïev.L'objet de l'expédition consistait à étudierla zone afin d'établir la nature exacte ducorps. Le lac s'avéra être en forme de ruis-seau avec une grande accumulation d'arb-res dans le fond. Les membres de l'équipeont extrait 28 éléments du lit du lac. Ceséléments ont été confisqués par lesDouanes russes et n'ont été restitués qu'endécembre. Il fut finalement déterminé quele lac est plus ancien que l'événement de laToungounska et qu'il est probablement d'o-rigine volcanique. D'autres résultats n'ont pas encore été révé-lés mais l'expédition gère un site :http://www-th.bo.infn.it/tunguska/

Un adolescent anglais, Jon Burnett, a photographié cephénomène céleste. De quoi s’agit-il ? Les scientifiquesn’ont pas tous la même réponse...Sans doute s’agit-il du reflet du soleil sur un chemtrail. En tout cas l’illusion est parfaite !

cc oo ll dd ee vvzone d’anomalie

vv ee nn cc eees permanentes

Un texte de Pierre Beake

PRÉAMBULEPRÉAMBULEAAvant de me soumettre son dossier Pierre Beake a tenu à me rencontrer afin de m'expliquer de vive voixvant de me soumettre son dossier Pierre Beake a tenu à me rencontrer afin de m'expliquer de vive voixcertcertains détains détails de son aventure extraordinaire. J'imagine qu'il craignait qu'à la lecture de son dossierails de son aventure extraordinaire. J'imagine qu'il craignait qu'à la lecture de son dossier, je, jene le prenne pour un fou, ou pire pour un affabulateurne le prenne pour un fou, ou pire pour un affabulateur. Il voulait aussi s'assurer que je ne déformerais p. Il voulait aussi s'assurer que je ne déformerais pasasles faitles faits. Une fois arrivé sur le lieu de notre rendez-vous, le cadran de mon téléphone se mit à afficher tous. Une fois arrivé sur le lieu de notre rendez-vous, le cadran de mon téléphone se mit à afficher tou--tes les lettres la tête en bas et avec un effet miroirtes les lettres la tête en bas et avec un effet miroir. J'ai tout de suite compris que j'allais vivre une journée. J'ai tout de suite compris que j'allais vivre une journéepeu ordinaire...peu ordinaire...Que dire de Pierre Beake ? Il suffit de converser avec lui pour être convaincu de sa sincérité et de l’auQue dire de Pierre Beake ? Il suffit de converser avec lui pour être convaincu de sa sincérité et de l’au--thenticité de son expérience, aussi incroyable soit-elle. thenticité de son expérience, aussi incroyable soit-elle. AA tous ces détracteurs qui le soupçonnent detous ces détracteurs qui le soupçonnent desupercherie, je répondrais ceci : lorsqu'il mit pour la première fois les pieds au Col de Vsupercherie, je répondrais ceci : lorsqu'il mit pour la première fois les pieds au Col de Vence, il n'imaginaitence, il n'imaginaitppas que ce haut lieu de mystères, choisi pas que ce haut lieu de mystères, choisi par les templiers pour y fonder leur commanderie, allait boulear les templiers pour y fonder leur commanderie, allait boule--verser le cours de sa vie. Pierre Beake n'a retiré aucune gloire de cette expérience qui se poursuit aujourverser le cours de sa vie. Pierre Beake n'a retiré aucune gloire de cette expérience qui se poursuit aujour--d’hui encore ; il n'a pd’hui encore ; il n'a pas cherché à gagner de l'argent. Quel bénéfice a-t-il donc retiré de toute cette affaireas cherché à gagner de l'argent. Quel bénéfice a-t-il donc retiré de toute cette affairequi dure depuis 15 ans ? Mépris, incompréhension, suspicion... voilà un bien maigre salaire pour une plaiqui dure depuis 15 ans ? Mépris, incompréhension, suspicion... voilà un bien maigre salaire pour une plai--santerie qui dure depuis si longtempsanterie qui dure depuis si longtemps. Finalement qui s'est servi de qui ? N'est-il ps. Finalement qui s'est servi de qui ? N'est-il pas devenu le jouet deas devenu le jouet deces entités mystérieuses dont il étudie les manifestces entités mystérieuses dont il étudie les manifestations ? N'est-il pations ? N'est-il pas victime au bout du compte de saas victime au bout du compte de safascination, de sa pfascination, de sa passion dévorante, chercheur en quête de vérité qui ne reçoit pour toute réponse que deassion dévorante, chercheur en quête de vérité qui ne reçoit pour toute réponse que denouvelles questions toujours plus déroutnouvelles questions toujours plus déroutantes ? antes ? En accord avec l'équipe de chercheurs qui travaille avec lui, Pierre Beake a décidé de prendre enfin, d’uneEn accord avec l'équipe de chercheurs qui travaille avec lui, Pierre Beake a décidé de prendre enfin, d’unecertcertaine façon, le contrôle du phénomène, et de tout révéleraine façon, le contrôle du phénomène, et de tout révéler, progressivement, aux lecteurs de T, progressivement, aux lecteurs de TOPOPSECRETSECRET. Longtemp. Longtemps, de peur que le site ne devienne une sorte de Disney Land de l'étrange, il a gardé les, de peur que le site ne devienne une sorte de Disney Land de l'étrange, il a gardé lesecret sur les détsecret sur les détails que vous allez découvrirails que vous allez découvrir, sans savoir que ce silence ét, sans savoir que ce silence était un piège qui le rongeait etait un piège qui le rongeait etl'isolait dans sa quête obsédante. Pourtl'isolait dans sa quête obsédante. Pourtant il est des choses qui ne sont pant il est des choses qui ne sont pas si simples à révéleras si simples à révéler..Les données que vous allez découvrir ici ne sont pLes données que vous allez découvrir ici ne sont pas toutes spécifiquement liées à l'ufologie, mais commeas toutes spécifiquement liées à l'ufologie, mais commele dit Bernard Bidault l'auteur de "Ovni : attention Danger", le lien est étroit entre OVNI et phénomènesle dit Bernard Bidault l'auteur de "Ovni : attention Danger", le lien est étroit entre OVNI et phénomènespparanormaux. La somme d'informations recueillies paranormaux. La somme d'informations recueillies par Pierre Beake et son équipe est si riche que tout n'aar Pierre Beake et son équipe est si riche que tout n'appas pu tenir dans ce seul dossieras pu tenir dans ce seul dossier. Il y aura donc une ou plusieurs suites. D'aut. Il y aura donc une ou plusieurs suites. D'autant que les évènementant que les évènements quis quise déroulent au Col de Vse déroulent au Col de Vence, qu'on appelait naguère le plateau du Diable, ne semblent pence, qu'on appelait naguère le plateau du Diable, ne semblent pas vouloir s'inas vouloir s'in--terrompre au contraire. terrompre au contraire.

Attendez-vous à d'autres surprises...Attendez-vous à d'autres surprises...

Roch SaüquereRoch Saüquere

COL DE VENCE : ZONE D’ANOMALIES PERMANENTES

Qu e l l e r é g i o n e nF r a n c e , d e n o sjours , n 'a pas sa

petite histoire de fantô-mes, de dame blanche, oud'ovni, qu'on se raconte lesoir au coin du feu lorsquel'hiver est bien installé ?Le Col de Vence, dans lesAlpes maritimes, n'échap-pe pas à la règle.Situé à une trentaine de kilomètres deNice, culminant à 1000 mètres d'altitude,isolé mais facile d'accès en voiture, le Colde Vence est apparemment l'endroit idéalpour une promenade.Une fois arrivé au sommet un spectacle detoute beauté s'offre aux yeux des randon-neurs. On y voit une grande partie de lacôte d'azur, de l'Italie jusqu'à Cannes.Le Col de Vence n'en est pas moins un lieuchargé d'histoire et de mystères. Il futoccupé par les Némésis, les Romains, puispar les templiers qui érigèrent ici une cha-

pelle. Plus près de nous, en 1979, on sesouvient de la présence d'une secte résolueà prendre contact sur le plateau avec desentités extraterrestres. A l’époque, le bruita couru selon lequel les adeptes procé-daient à des rituels de sacrifices sur desanimaux. Alertés par la population du pla-teau, les gendarmes sont intervenus.Finalement la secte a débarrassé les lieux,laissant de mystérieux symboles gravés

dans la roche, et que nous avons mêmetenté de déchiffrer.Pour ajouter encore à l'ambiance, imaginezdes crashs d'avions de tourisme, souventinexpliqués, dont les carcasses calcinéesdemeurent à jamais fondues dans la pierre.Parlons des pierres justement, ces pierresdressées, perdues entre ciel et terre, avecdes reliefs étranges qui de par leurs formesdonnent au site une atmosphère particuliè-re. Quel est donc le mystère qui entoure celieu étrange, si reposant le jour, et telle-ment énigmatique la nuit ? Parsemé degaleries souterraines, de grottes et de nap-pes d'eau profondes, le paysage du Col deVence est hérissé de pierres "sculptées" quisemblent jaillir du sol, ce qui lui valaitautrefois le nom de "Plateau des Idoles".Pénétrer au cœur de ce plateau magiqueprovoque à chaque fois un choc émotion-nel. C'est comme si vous étiez soudain télé-porté sur la lune, en Égypte, au Pérou.Sans rien connaître de l'historique du lieu,vous ressentez au plus profond de vous

que la terre que vousfoulez est un domainesacré de toute éternité.Tout votre corps com-mence alors à vibrer à

l'unisson avec ces pierres aux formesincroyables que des mains de géantsparaissent avoir modelé, laissant l'emprun-te de leurs doigts, du temps où la rocheétait encore en fusion.Les géologues vous diront plus prosaïque-ment que la surface du plateau offrel'aspect d'un gigantesque Karst, c'est à dired'une sorte de plaine entièrement façonnéepar l'eau, tout le modelé des roches étantdû à l'érosion. Qu'importe qu'ils aient rai-son. La sensation subsiste en vous, et vousfinissez par douter : l'érosion est-elle laseule responsable de ce spectacle saisis-sant ? Au détour d'un chemin on aperçoiten effet un dromadaire, une tête de singe,un sphinx, ressemblant au Sphinx égyptien! Comment concevoir une telle accumula-tion de symboles dus aux caprices de lanature, et concentrée en un seul lieu ? On conçoit alors parfaitement que lespopulations "primitives" aient pu être atti-rées par ce climat envoûtant. Ce secteurfut jad is habi té, avant l 'arr ivée desRomains, par les Némesis, peuplade appar-tenant à la grande race ligure dont l'exis-tence lointaine se confond avec la légende.Pourchassés par les Romains, les Némesisse seraient réfugiés sur ce plateau. Onretrouve encore trace de cette fuite dans

Quel est donc le mystère qui entourece lieu étrange, si reposant le jour, et tellement énigmatique la nuit ?

L’érosion est àl’origine des for-mes de ces pier-res qui semblentavoir été pétriespar des doigts degéants.

Symboles gravés par la secte

Dromadaire

Singe

Sphinx

Pierres dressées

TT OPOP SECRET SECRET - 37

COL DE VENCE : ZONE D’ANOMALIES PERMANENTES

de très vieux écrits. Aujourd'hui en cher-chant bien on trouve encore des colonnesRomaines presque intactes qui jonchent lesol, à moins que ce ne soit encore une foisl'érosion ?... En entrant sur le plateau duCol de Vence, les repères s'évanouissent,et il faut se résoudre à abandonner toutecertitude.

Première visitePour moi, tout a commencé en 1979. C'estcette année-là que j'ai découvert le col deVence. Avec quelques amis, nous nousétions rendus sur place à la recherche d’uncoin sauvage où nous pouvions faire desrandonnées, des veillées et des pique-niques. Rien ne pouvait présager alors quecet endroit allait devenir quelques annéesplus tard un des sites les plus réputés dansle milieu des passionnés de l'étrange. A l’é-poque, nos visites sur les lieux étaientassez rares et espacées. Pendant 15 ans, ilne se passa pas grand chose. Avec mesamis, nous avions fait quelques observa-tions insolites dans le ciel. Tout cela étaitcurieux mais bien trop bref pour nous teniren haleine et nous permettre de tirer lamoindre conclusion sérieuse quant auxphénomènes observés.Un soir de mars 1994, tout bascula au Col,et ma vie fut transformée. C'est comme sice soir-là le "phénomène" qui habitait leslieux de tout temps avait décidé brusque-ment de se révéler à nous.Si le Col de Vence est aujourd'hui aussiréputé dans le monde, je dois bien avouerque c'est un peu ma faute car au lende-main de cette soirée de mars 1994, encompagnie d'un autre témoin je suis alléfaire une déposition à la gendarmerie,

laquelle m'a assurée de sa plus grande dis-crétion. Le lendemain, le journal local s'é-tait emparé de l'affaire, suivi par l'AFP, lesradios et les chaînes de télévision !

Le 5 mars 1994Ce soir-là, j’étais monté au Col en compa-gnie d’un ami réalisateur. Nous tournionsalors une série documentaire sur le sitedestinée à des chaînes de télévision. Deuxautres témoins étaient présentssur les lieux. Sur les coups de 23heures, apparut alors un ovnitriangulaire. L’engin se déplaçaittrès lentement à travers les étoi-les, sans faire aucun bruit. Il était éclairé àchaque angle. L’observation se prolongeapendant deux bonnes minutes puis l’ovnidisparut brusquement.Suite à cet évènement, nous avons consti-tué une équipe de copains passionnés, etnous avons commencé à faire des veilléestrès régulièrement 1 à 2 fois par semaine,parfois plus. Nous étions tous intrigués etmotivés à l’idée de découvrir la natureexacte de ce phénomène qui était passéau-dessus de nous ce 5 mars.Le battage médiatique qui suivit incitad'autres témoins qui jusqu’alors s’étaienttus par peur du ridicule, à me raconterleurs aventures. Durant plusieurs semai-nes, les témoignages affluèrent. Desemployés du journal local furent témoinsune nuit d'été du vol en formation de troisengins lumineux. En août, un nouvel articleparait dans la presse : "Des ovnis sontaperçus au dessus d'Andon, Caille et de laMoulière”, tous des villages proches du colde Vence. Des photos sont prises, mêmeen plein jour. Un objet est filmé au camé-

scope, plusieurs témoins aperçoivent unovni aux dimensions impressionnantes quisemble "stationner" à proximité des pistesdu téléski de l'audibergue.Les gendarmes eux-mêmes, venus enquê-ter sur place, sont témoins de plusieursobservations insolites. Cette mini vague vadurer deux mois avant de retomber.Cependant les manifestations étrangessont très loin d’avoir cessé. Un matin, à laMoulière, le propriétaire du restaurant "LeChantecaille", Gaston Reynaud, a la mau-vaise surprise de découvrir que toute saterrasse s'est "envolée" : les parasols sonttous tordus, les tables et les chaises sontéparpillées à plusieurs mètres de là. Unvoisin qui a assisté à une partie de la scèneconfiera au malheureux restaurateur sonincompréhension la plus complète. Eneffet, d’après lui, au moment où le désast-re s’est déclaré, la météo était d'un calmeabsolu.J’ai pour ma part pris l’habitude de cesphénomènes inexpliqués. Au Col de Vence,il n’est pas rare que les voitures tombenten panne sans raison, que les batteries descaméscopes se vident brusquement, queles appareils photos se bloquent. Autre faittroublant, des traces au sol, curieuses et

présentant des formes circulaires apparais-sent souvent durant la nuit, sur plusieursendroits, du plateau des Idoles. Ces cerclesrestent visibles pendant des mois, sans quela végétation ne repousse. Et en hiver,même la neige ne tient pas.

Mercredi 5 septembre 1996Cette nuit du mercredi 5 septembre 1996,nous étions 4 témoins montés sur le pla-teau pour une mission de veille dont nousavions désormais l’habitude. A 00:15, unnouvel évènement allait récompenser deuxannées et demie d’efforts. Un ovni triangu-laire apparut en effet dans le ciel. Cetteobservation fut filmée. Elle dura en tout etpour tout 4 minutes. L’engin était parfaite-ment silencieux. J’étais très troublé car lesconditions étaient pratiquement les mêmesque lors de la nuit du 5 mars. Les journauxNice-Matin du 9 septembre, et surtoutFrance-soir du 10 septembre ont relaté lesfaits. Nous étions si excités. Pour nous,tout le monde devait savoir qu’il se passaitdes choses au Col de Vence ! La vérité

Un soir de mars 1994, tout bascula au Col de Vence, et ma

vie fut transformée

Reconstitution de la première observation d’unovni triangulaire au Col de Vence le 5 mars 1994

devait éclater, et nous serions ceux quiallaient briser la loi du silence.Ce 5 septembre, j’étais loin, très loin d’ima-giner que j'allais être, huit jours plus tard,témoin du même phénomène pour la troi-sième fois.C’était le vendredi 13 septembre, à 23 heu-res et dix minutes. Il faut dire que déjà àcette époque, nous avions pris l’habitudede tout noter scrupuleusement de peurd’oublier un détail capital. Nous étions troiscette fois à avoir observé pendant plusieursminutes un triangle lumineux. Cette nuit-là,le village de Coursegoule vécu une pannecomplète d’électricité, et nous étionsconvaincus que les deux évènementsétaient étroitement liés. Cette observationfut sensationnelle. A un moment, l’ovnis’est arrêté complètement dans le ciel afinde laisser passer un avion. Puis il a changéde direction avant de se confondre avec lesétoiles. Une fois encore, l’observation futfilmée. Mon témoignage passa sur uneémission de radio sur R.M.C. animée parJ.C. Bourret.Je dois ajouter que les deux documentsvidéo étaient somme toute assez déce-vants. On ne distinguait pas grand-chose

de l’ovni sur les films. La caméra tenue àbout de bras était instable, l’excitation ducaméraman n’arrangeait pas les choses. Defait l’image bougeait beaucoup. Sans douteaurait-il fallu poser l’appareil contre le toitd’une voiture pour mieux se rendre comptedu déplacement de l’objet. En outre, pourune vision plus crédible du document, ilmanquait cruellement d’un arrière plan,une montagne, un arbre ou même un per-sonnage. Difficile autrement de se rendre

compte de la position du phénomène etdes distances... Malheureusement, cegenre de remarque est plus aisée à faireaprès coup. En réalité, il faisait nuit et àchaque fois nous avions été totalement prisau dépourvu devant la soudaineté de l’ap-parition.Au total, huit personnes différentes assistè-rent aux trois passages successifs de l’ovni.Le premier le 5 mars 1994, le second le 5septembre 1996, et le troisième le 13 sep-tembre de la même année. Aujourd’huiencore, nous continuons nos nuits deveille, dans l’espoir de surprendre une nou-velle fois l’ovni et aussi de le photographier.Il se trouve que l’histoire, ou le phénomè-ne, en a décidé autrement. Depuis unedernière apparition en octobre 1999, plusaucune observation de ce type n’a étéfaite. Un autre rendez-vous avec l’étrangenous attendait. En mars 1995, nous avionsen effet franchi une nouvelle étape dans lacompréhension (ou l’ incompréhensiondevrais-je dire) du phénomène, lequel allaitlittéralement nous entraîner dans la qua-trième dimension.

Les “photos surprises”En mars 1995, nousa v o n s r e m a r q u épresque par hasard,l’apparition d’un phé-

nomène troublant qui allait prendre desproportions impressionnantes, et qui sepoursuit encore aujourd’-hui. Je veux parler de cesphotos surprises que vousdécouvrez à travers cedossier. Ce j ou r - l à , au c o l d eVence, nous nous sommespris en photo (de nuit)pour essayer de nouveaux

appareils, et aussi pour avoir des souve-nirs. Lors des développements quelle ne futpas notre surprise de voir apparaître sur lesphotos une sphère blanchâtre opaque àproximité des personnes photographiées.Cette sphère apparaissait sur deux photosprises chacune avec un appareil différent età quelques secondes d'intervalle. Celaprouvait que l'objet était bien réel et qu'iln'y avait pas de défaut de pellicule ou deproblème avec les appareils. On distinguedans la sphère des sortes de stries assezrégulières et parallèles entre elles avec ausommet une surface plus claire. Tout celaavait échappé à notre perception visuelle

Le phénomène avait échappé à notre perception visuelle mais pas à

l’objectif des appareils

Type basique des premières manifesta-tions apparues sur les “photos surprises”

Sur cette “photo surprise”apparaît ce qui ressemble àune entité au crâne mons-trueux. Celle-ci donne l’im-pression de fendre dans lesens de la longueur un desmembre de l’équipe du Colde Vence.

L’agrandissement nous permet de constater que le disque est parfaitementstructuré. En outre, il réfléchit les rayons du soleil comme un objet bien réel.

COL DE VENCE : ZONE D’ANOMALIES PERMANENTES

TT OPOP SECRET SECRET - 39

mais pas à l’objectif des appa-reils photo.Depuis cette date nous comp-tons plus de cinquante "photossurprises", toutes aussi incroya-bles les unes que les autres.Avec le temps les “photos sur-prises“ ont évolué, devenanttrès complexes, parfois d'unegrande beauté. Mais qu'elle estla signification de tout ceci :avons-nous affaire à une tenta-tive de communication, à unlangage bien particulier ? ou cesphotos sont-elles juste le résul-tat probant d’une présencecontinue dans une dimensionparallèle à la nôtre.Ce phénomène se manifeste

avec toute sorte d'appareil photo (jetable,Polaroïd, les nouveaux appareils APS, sansoublier les reflex, ainsi que différentesmarques de pellicules et de sensibilitésdiverses : 100, 200, 400, 1600 iso). Il seproduit de jour comme de nuit. Toutefoisavec une prédilection certaine pour la nuit.La nuit, ce que nous photographions estsitué à une distance inférieure à une dizai-ne de mètres. Cela est très certainementdû à la faible puissance des flashs. Enrevanche, les “photos surprises” réaliséesde jours peuvent montrer des objets qui setrouvent à une distance très éloignée. En général, nous prenons les photos en

Expl iquer les “pho tos surprises”

Nous avons cherché des explications rationnelles à nos photos, et aucune n'est mal-heureusement satisfaisante à ce jour. Voici quelques pistes explorées, après avoir pris conseil auprès de plusieurs photogra-phes professionnels.

DÉFAUT DE FABRICATIONCeci est très peu probable, nous avons acheté différentes marques de pellicules, plu-sieurs de ces marques ont pour origine le même fabricant. Cependant, lorsque les pel-licules ont des défauts, ces défauts se retrouvent sur toutes les photos. De plus, aprèsavoir vu les négatifs, les responsables des laboratoires photos, nous ont assuré que lesanomalies ne provenaient pas d'un défaut de fabrication.

PROBLÈME LORS DU DÉVELOPPEMENTII est possible que des traces subsistent sur les négatifs après les différents bains. Leséchage se faisant à la verticale, des taches peuvent en effet rester sur les négatifs. Unséchage trop rapide produit aussi de telles taches. Bien que nous ayons fait tremper lesnégatifs dans des bains d'eau distillée, les traces n'ont jamais disparu.

GOUTTELETTES D'EAU SUR LA LENTILLEII ne peut s'agir de gouttes d'eau. Les gouttes seraient beaucoup trop grosses et recou-vriraient toute la lentille. De plus ce phénomène s'accompagne en général d'un haloautour de la tache.

POUSSIÈRE SUR LA LENTILLE OU DANS L'APPAREILSi une poussière était collée à l'appareil, on devrait retrouver l'anomalie sur toutes lesphotos.

PROBLÈME DU PAPIER PHOTOCe phénomène apparaît lorsqu'une poussière se trouve dans la machine qui sert à tirerles photos. Cette poussière est quasi invisible à l'oeil nu, et on ne s'en aperçoit qu'unefois les tirages effectués.

L'EFFET NEWTONC'est un effet bien connu, il est aussi souvent visible avec un caméscope.

II se produit lorsque l’on pointe l'objectif vers une source lumineuse puis-sante comme le soleil par exemple. On obtient alors une succession d'hexa-gones lumineux. Ce phénomène ne peut se produire que de façon linéaire.Ce n'est pas le cas de nos photos.

NUAGE DE PARTICULES DE POUSSIÈRE EN SUSPENSION(photos de nuit)C'est l'hypothèse la plus probable pour expliquer certaines de nos photos.Cependant nous n'avons pas réussi à faire une photo ou des particules réflé-chissent aussi nettement la lumière.

Nous avons également envisagé d'autres possibilités telles que les nuagesd’insectes et les anomalies dues à la neige. À noter qu'il n'a jamais neigé au"col" les fois où nous sommes montés pour faire ces photos. Nous avonségalement tenté plusieurs expériences. Nous avons soufflé sur l'objectif lorsde la prise de vues. II en résulte une photo très floue qui ne ressemble en rienavec nos “photos surprises”.L'hypothèse des traces de doigts sur un négatif est à exclure, car lors desretirages, nous avons pris soin de nettoyer les négatifs. De plus, une trace dedoigt sur un négatif est bien supérieure à la taille des formes en question.

II reste encore d'autres hypothèses à étudier. C'est ce que nous tentons defaire actuellement.

Cette “Photo surprise” réalisée en plein jour laisse clairementapparaître un disque structuré traversant le ciel. Là encore, nousn’avions rien remarqué à l’oeil nu.

TT OPOP SECRET SECRET - 40

double simultané avec deux appareils diffé-rents de façon à nous assurer nous-mêmede la réalité du phénomène. Pour mieux l’é-tudier, nous nous sommes équipés et orga-nisés. L'appareil numérique est de loin l'ins-trument le plus pratique puisque, directe-ment relié à un ordinateur, il nous permetde vérifier sur le champ le résultat des pri-

ses de vues. Les “photos surprises” nousmontrent une autre réalité. Un universd'une diversité incroyable, et dont lesincursions dans notre monde matériel res-tent la plupart du temps invisibles à l'oeilnu. Parfois rien n'apparaît sur les clichés, etd'autres fois nous avons la chance de saisirl'insaisissable émanation d'une dimensionqui échappe à nos perceptions. Pourquoi ?Comment cela peut-il s'expliquer ? Aprèshuit années d'observations et d'analyses,des dizaines d'images extraordinaires obte-nues, ce phénomène ne semble toujourspas décidé à nous révéler le secret de savéritable nature. Tout ce que nous pouvonsdire, c’est qu’il existe.

Autres phénomènes étrangesLe Col de Vence est donc le théâtre demanifestations très diverses. En cheminantsur le plateau, il nous arrive de constater laprésence d’un bruit entêtant de moteurélectrique qui ronronne dans le ciel, pas-sant et repassant juste au-dessus de nous.

Et puis il y a aussi ces chutes de pierresplus ou moins spectaculaires et agressivesqui tombent d’on ne sait où. La plupart dutemps, c’est sans conséquence, et nousnous en tirons avec une bonne frayeur.Ces manifestations semblent traduire unagacement, une irritation de la part duphénomène régnant au Col de Vence. Leplus souvent, elles interviennent après uneprovocat ion denotre part, et par-fois, elles visent àe f f r a y e r l e squelques invitésque nous avons fait venir sur les lieux, etqui se sont montrés par trop incrédules. Lerésultat est irrémédiablement le même : lafuite éperdue. Il arrive que les pierrescontinuent de tomber sur les voitures aprèsque nous ayons pourtant roulé pendantplusieurs kilomètres. Et puis il y a aussi cesmatérialisations et dématérialisations depierres. Sans oublier ces incendies auxcauses indéterminées qui se déclarent aucol. Certains naissent en plein hiver au

milieu de la neige. La presse en parle, puispasse à autre chose.

ConclusionJe sais combien tous ces faits relatés icipeuvent sembler invraisemblables à cer-tains esprits critiques. Mon intention n’estpas de convaincre. Ces faits existent, ilssont réels, mon équipe et moi-même le

savons. Nous avons vécu ces expériences àde nombreuses reprises et continuons deles vivre.Je demande simplement aux sceptiques dene pas juger les évènements qui survien-nent au Col de Vence d’après leur propreconception de la réalité. Et j’invite tousceux qui le souhaitent à prendre contactdirectement avec moi par l’intermédiaire dela rédaction.En 2003 cette aventure humaine continue.

Cette pierre s’est matérialisée sur lecapot de la voiture d’un des membresde l’équipe. Nous l’avons photogra-phiée. Nous avons alors constaté uneanomalie sur la photo. Que dire en effetdu reflet de la pierre sur le capot ? Cherchez l’erreur...

Technique utiliséeComme les phénomènesne sont pas visibles à l'œil nu, voici comment travaille l'équipe. Muni d'un détecteur volumétrique sensible à la chaleur et au mouvement jusqu'à cinq mètres, un membre avance en tête tandis que les autres restent en arrière prêts à photographier dès que l'alarme se déclenche. Ici le phénomène passe juste à côté de Jean-Paul qui tient le détecteur. Lorsque l'alarme sonore retentit, les autres chercheurs prennent leur photo dans sa directionsurprenant ainsi le phénomène lumineux. Cette photo quevous voyez là est la preuve que ces anomalies ont uneinteraction directe avec le monde matériel puisqu'ellessont détectées par nos capteurs.

Les trois lumières visibles sur cettephoto surprise entourent une sorte debrume ayant la forme d’un visagemonstrueux.

A titre d’expérience, lesmembres de l’équipe seprennent parfois mutuelle-ment en photo. Voyez cetteombre sombre venue s’invi-ter à figurer sur le cliché

Les “photos surprises” nous montrent une autre réalité

Le secret de cette longévité est une bonnedose de patience, de motivation, uneconfiance hors norme, et plus que tout,une amitié sans faille, si rare dans un

milieu touchant aux phénomènes paranor-maux. Il nous a fallu des mois pour instau-rer une confiance entre nous voire desannées de patience pour arriver à ce résul-tat. Je voudrais dire à tous ceux qui font dutourisme ufologique de respecter les lieux(terrains privés) et de s'adresser aux per-sonnes qui ont vécu cette histoire et nonpas à de vagues curieux qui viennent seglorifier du travail des autres.Avec le temps le commérage finit pardéformer la vérité et seules les informa-tions prises à la source garantissent l'au-thenticité d'un travail et d'une histoirevécue. Après toutes ces années de recher-

che (nous avons tout archivé), nous nesavons pas à qui nous avons affaire. Nousne savons pas non plus pourquoi cela sepasse ici au Col de Vence. Nous ne savonspas comment ces phénomènes peuvent seproduire. Ce qui est certain, c'est qu'il y aquelque chose d'intell igent au col deVence, et qui est entré, à sa manière, encontact avec nous.Nos dernières recherches nous poussentv e r s l ' é n i g m e d e s c r o p c i r c l e s e nAngleterre. De nombreuses et troublantesressemblances existent en effet avec le col. Aujourd'hui dans de nombreux ouvragessur les crop circles, on nous montre desphotos, des films vidéo sur lesquelles vire-voltent des boules lumineuses, dont certai-nes sont invisibles à l'oeil nu. Nous avonscela au col de Vence depuis au moins 8 ans(voir TOP SECRET N°7. Article Ufocom.http://www.ufocom.org).Nous partirons bientôt vérifier cette hypo-thèse...

A SUIVRE...

Pierre BeakePour écrire à l’auteur, contactez la rédaction :

[email protected] à ceux qui m’ont accompagné toutau long de ces années. Sans eux, cette aventuren’aurait pas été possible :Brice, Christophe, Denis, Fabien, Jean-Paul, Jean-Pierre, Julien, Patrick, Xavier, et une mentionspéciale à Patricia, mon épouse, qui a supportéavec tant de patience et de compréhension, tou-tes ces années de recherches.

Note de la rédaction Début octobre Pierre Beake s’envo-lait pour l’Angleterre, bien décidé àvérifier une hypothèse des crop cir-cles. Le chercheur pense en effetqu’il existe un lien étroit entre lesmanifestations observées au Col deVence et celles apparues dans larégion des crop circles. Il a constatédes similitudes entre les boules blan-ches survolant le site anglais (voir lesvidéos de TOP SECRET N°3), et cel-les que son équipe a pu saisir surphoto ou sur vidéo. Aux dernièresnouvelles, il aurait enregistré là-basun document vidéo exceptionnel.Cela fera, nous l’espérons, l’objetd’un article dans le prochain numérode TOP SECRET. Et sans doute, unextrait de cette vidéo sera-t-il dispo-nible sur le cédérom. Le meilleur est encore à venir...

TT OPOP SECRET -SECRET - 41

Découvrez ces “photos surprises”et de nombreuses autres encore

en haute def. dans notre cédérom.Et étudiez-les à loisir...

Cette “photo surprise” prise enplein jour semble montrer undisque gigantesque s’élevant dederrière les nuages

Voici une des “photos surprises” les plus extraordinaires quenous ayons faites. Elle montre une sorte de bloc immense,situé très haut, et visiblement très loin dans le ciel puisque sonsommet semble même un peu s’effacer derrière les nuages.

Les résultats obtenus sur les “photossurprises” deviennent de plus en pluscomplexes et déroutants.

Voici encore une “photo surprise” sur laquelle appa-raît un disque dans le ciel. Et une fois de plus, le phé-nomène n’était absolument pas visible à l’oeil nu.

Difficile de décrire exactement le phénomèneapparu sur ce cliché, et encore plus d’évaluersa taille et son altitude.

COL DE VENCE : ZONE D’ANOMALIES PERMANENTES

TOPTOP SECRETSECRETPARTIEPARTIE 55

TT OPOP SECRET - SECRET - 4242

LL ee ss rr oo ss ee ss rr oo uu gg

AVERTISSEMENT ET MODE D'EMPLOI DE L'ARTICLE

Attention ! Pour bien comprendre le déroulement très complexe de l'assassinatde Kennedy, il faut IMPÉRATIVEMENT que vous lisiez EN PRIORITÉ ET DANSL’ORDRE les encadrés bleus ciel intitulés "Autopsie d'un coup d'état" (com-

mençant page ci-contre et se poursuivant sur les pages suivantes). Ces encadrésvous permettront de comprendre clairement qui fait quoi et comment. Les enca-drés et l’article utilisent un code de couleurs : en rouge les assassins et leurs com-plices ; en orange les personnes ou les organismes qui, sans être impliqués dansle coup d'état, ont étouffé la vérité ; en violet les témoins et les preuves. Enfin, nousmettons en garde le lecteur à propos de certaines photos qui pourraient heurter lasensibilité d’un jeune public. Ces images sont malheureusement indispensables àla manifestation de la vérité, et c’est pourquoi nous avons choisi de les publier.

IntroductionCet article est la quintessence de 30années d'enquête de l'auteur qui s'est pas-sionné pour le mystère de l'assassinat deKennedy depuis 1968. Afin de ne pasalourdir le texte, beaucoup de faits secon-daires et largement publiés sont passéssous silence. Faute d'espace le mystèreOswald est laissé de côté (il fera l'objetd'un article ultérieur) ainsi que les motifsde l'assassinat. Il suffit de comprendre queles auteurs du coup d'état étaient des fana-tiques anticommunistes d'extrême droitepersuadés que Kennedy livrait l'Amérique

aux communistes, aux minorités raciales etqu'il dépouillait les riches pour enrichir lespauvres. En réalité, Kennedy désengageaitl'Amérique du Vietnam, taxait à 15% lesprofits pétroliers, amorçait la détente avecla Russie et oeuvrait à l'égalité de droit desminorités raciales. Dans leur fanatismeaveug le , l es assass ins de Kennedycroyaient sincèrement sauver l'Amériqueen le tuant pour prendre le pouvoir.Beaucoup de faits, probablement exacts,ne sont pas mentionnés dans l'article car ilsne sont pas encore confirmés par des preu-ves absolument irréfutables. L'auteur peut

vous promettre que tout ce qui est affirmédans cet article repose sur des preuvesmultiples et irréfutables. Les noms clés encouleurs vous permettront de vérifier cespreuves sur l'Internet en utilisant la biblio-graphie. Enfin, l'auteur vous invite à acqué-rir le CD numéro dix de "top secret" car ilcontient la totalité des images de l'assassi-nat de Kennedy filmées ce jour-là surDealey Plaza ainsi que l'enregistrementsonore original des tirs. Certains de ces films sont totalementinédits car ils n'ont été découverts qu'après1998.

"Après-demain, ces maudits Kennedy ne me gêneront plus jamais ! "Après-demain, ces maudits Kennedy ne me gêneront plus jamais ! Ce n'est pas une menace, c'est une promesse."Ce n'est pas une menace, c'est une promesse."Lyndon Johnson, 21 novembre 1963

PROLOGUE"La vérité ne meurt jamais."

John Fitzgerald Kennedy, Berlin, 26 juin 1963."Nous porterons le chagrin de sa mort jusqu'au jour de la nôtre."

Adlai Stevenson, 22 novembre 1963.

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Un texte de Jean-Marc RoederUn texte de Jean-Marc Roeder

Une centaine de personnes a partici-pé de près ou de loin au coup d'étatdu 22 novembre 1963. Si toutes cespersonnes étaient d'extrême droite ethostiles à Kennedy, beaucoup d'entreelles ignoraient l'objet final de leuraction. De même, aucune agence d'é-tat (CIA, FBI, etc.) n'a participéd i re c t e m e n t à l ' a s s a s s i n a t d eKennedy. Toutefois, plusieurs desconspirateurs appartenaient à cesagences mais agissaient pour leurpropre compte utilisant l'état à soninsu. De fait, cette opération se diviseen cinq groupes : le groupe décision,le groupe réflexion, le groupe argent,le groupe camouflage et enfin le grou-pe action. Les membres les plusimportants de ces différents groupesont été formellement identifiés aucours des quarante dernières années,même si nombre de complices moinsimportants restent à ce jour anonymes.

Groupe décisionIl comprend les hommes qui ont décidéet dirigé le coup d'état. Ces hommesavaient pour habitude de se réunir dansla suite 8-F d'un grand hôtel de Dallas,d'où leur nom de groupe 8-F.

H.L. Hunt : l'homme le plus riche dumonde, propriétaire de Texaco (TexasOil Company) et financier de la plupartdes groupes d'extrême droite des États-Unis. Actionnaire majoritaire des plusgrandes sociétés du complexe militaro-industriel et financier de la campagnedu vice-président Lyndon Johnson. Clay Shaw : officier supérieur de laCIA et président de la chambre de com-merce de la Nouvelle-Orléans. Il est levéritable cerveau de l'assassinat.Lyndon Barnes Johnson : vice-prési-dent des États-Unis et chef de l'ailedroite du parti démocrate, détesteKennedy.Edgar Hoover : fondateur et directeurdu FBI, néonazi convaincu. Sur le pointd'être renvoyé par Kennedy.Allan Dulles : directeur de la CIA etmembre de la commission d'enquêteWarren, renvoyé par Kennedy.John Connaly : gouverneur du Texaset ami du vice-prés ident LyndonJohnson. Un des principaux leaders del'aile droite du parti démocrate, détesteKennedy.Général Walker : retraité de l'armée etleader charismatique de l'extrême droiteultranationaliste texane.

Général Charles Cabell : frère dumaire de Dallas Earle Cabell, directeura d j o i n t d e l a C I A , r e n v o y é p a rKennedy.Major Mortimer Bloomfield : hommed'affaire américain, installé à Montréal,impliqué dans le trafic d'armes interna-tional et le financement de groupes ter-roristes d'extrême droite. Héberge dansses bureaux la société Permindex.Clint Murchinson et Sid Richardson :milliardaires texans du pétrole, memb-res de la Birch Society (société secrètefasciste et raciste).R . L . T h o r t o n : p r é s i d e n t d e l aMercantile Bank.John McCloy : président de la ChaseManhattan Bank et membre de la com-mission d'enquête Warren.George Brown : promoteur immobi-lier.H.D. Byrd : milliardaire, propriétairedu School Book Depository (dépôt delivres scolaires). Sam Giancana : parrain de la mafia,proche des milieux anticastristes de laNouvelle-Orléans. Quoiqu'ayant soute-nu la campagne de Kennedy il est pour-suivi par Robert Kennedy ministre de lajustice.

autopsie d'un coup d'état (1)

TT OPOP SECRET -SECRET - 43

PRÉPARATIFSEté 1962 : Kennedy suggère une tournéeélectorale au Texas pour l'automne 1963. Ilespère à cette occasion calmer la vive polé-mique qui oppose, au sein du parti démo-crate texan, le gouverneur ultra conserva-t e u r C o n n a l y a u s é n a t e u r l i b é r a lYarborough. 5 juin 1963 : le voyage présidentiel auTexas est définitivement programmé, pournovembre 1963, lors d'une réunion entre leprésident Kennedy, le vice-présidentLyndon Johnson et le gouverneur du Texas,John Connaly. 18 novembre : le secret service (servicede protection du président) approuve leparcours de l'aéroport de Love Field jus-qu'à la salle de banquet du Trade Mart(chambre de commerce) de Da l las .Kenne th O 'Donne l l , l e p lus p rocheconseiller de Kennedy, ayant réservé lasalle le 14 novembre.Jeudi 21 novembre, 9 h : après avoirembrassé sa fille Caroline, John Kennedyquitte la Maison-Blanche en hélicoptèrepour la base d'Andrews où l'attend AirForce One, le Boeing 707 présidentiel(identification militaire VC 137 Angel). À 10 h 30, il embrasse pour la dernière foisson fils John John Jr. et lui promet de reve-nir lundi pour son troisième anniversaire.L'avion se pose à 14 h 30 à San Antonio auTexas. Vendredi 22 novembre 1963, 10h05 :Kennedy préside un petit déjeuner auTrade Mart de Fort Worth où il prononceson dernier discours. En recevant un cha-peau Stetson, Kennedy s'exclame "je leporterai lundi à la Maison Blanche". A10H30 le cortège du président rejoint l'aé-roport militaire de Carswell. Air Force Onedécolle pour le vol le plus court de son his-toire: treize minutes pour parcourir les cin-quante kilomètres jusqu'à l'aéroport LoveField de Dallas. Durant la descente, le pré-sident glisse au gouverneur Connaly "lachance revient nous allons avoir du soleil".

11 h 30 : Jack Ruby accompagné deLadislas arrête son pick-up Ford vertdevant le Grassy Knoll (monticule herbeux)à la hauteur du Triple Underpass (pontferroviaire) sur Dealey Plaza. Il dépose sonpassager muni d'un fusil de tireur d'élite,qui monte vers la palissade en bois ausommet du Grassy Knoll (Lee Bowers, EdHoffman, Julia Ann Mercer). 11 h40 : John Fitzgerald Kennedy, trente-cinquième président des Etats-Unis, appa-raît sous les applaudissements à la portede l'avion, il n'a plus que cinquante minu-tes à vivre. Il se tourne vers Jackie et lui

glisse "Maintenant, nous arrivons au paysdes fous". Toutes les roses jaunes, l'emblè-me du Texas, ayant été réservées pour letrade Mart, le vice-président LyndonJohnson, accompagné du maire de DallasEarle Cabell, offre à Jackie Kennedy unbouquet de roses rouges.John et Jacqueline Kennedy s'offrent unpremier bain de foule pendant que le sec-ret service vérifie l'ordre des voitures dansle cortège : à 400 mètres en avant une voi-

ture pilote, vient ensuite la décapotable deJess Curry, chef de la police de Dallas,accompagné des agents du secret serviceLawson et Sorrels et du shérif du comté J.E. “Bill” Decker. Suit la Lincoln continentalbleue décapotable du président. Blindée,elle peut atteindre 180 km/h en quelquessecondes. Au volant, l'agent du secretservice William Greer et à sa droite, l'agentRoy Kellerman. Derrière eux, sur des stra-pontins, Nelly et John Connaly. Sur la ban-

LES ROSES ROUGES DE DALLAS

Groupe réflexionSon rôle est de concevoir et d'articulercorrectement tous les éléments com-plexes de la préparation et de l'exécu-tion du coup d'état. C'est aussi ce grou-pe qui va créer les fausses preuves quiferont de Lee Harvey Oswald l'assas-sin de Kennedy.Clay Shaw : déjà cité.David Atlee Phillips : officier supé-rieur de la CIA, chef de la station deMexico. Il est le cerveau de la toiled'araignée tissée autour de Lee HarveyOswald. Il assure aussi le convoyagedes armes et du matériel de l'assassinatà Dallas.Richard Case Nagell : membre de laCIA et informateur du FBI.John David Hurt : officier de la CIArésidant à Raleigh en Caroline duNord, à côté de la base CIA ultrasecrè-te de Nag's Head. Nag's Head a forméLee Harvey Oswald pour ses missionsd'espionnage. Hurt est l'officier trai-tant de Lee Harvey Oswald.Paul Raigorodsky : leader de la com-munauté russe blanche de Dallas etami de Lee Harvey Oswald.

autopsie d'un coup d'état (2)

Configuration duDealeyPlaza etparcourt du cortège officiel

Ultime discours de Fort Worth

L’arrivée à l'aéroportLove Field de Dallas

Jackie Kennedy portant le bouquetde roses rouges

LES ROSES ROUGES DE DALLAS

TT OPOP SECRET -SECRET - 45

quette arrière, Jackie et John Kennedy.Quatre motards, deux de chaque côté,encadrent la Lincoln. Vient ensuite laCadillac 1956 du secret service occupéepar huit hommes. Derrière, une LincolnBlanche 1964 abrite le vice-présidentJohnson, son épouse, le sénateur RalphYarborough (qui remplace, sur insistancede Kennedy, Connaly, lequel devait -selonle protocole initial- occuper cette place), unchauffeur texan et l'agent du secret serviceRufus W. Youngblood. Comme pourKennedy, elle est suivie d'un autre véhiculedu secret service. Suivent quatre voituresd'officiels, puis celle de l'amiral Burckley,médecin du président, qui ne décolère pasd'être aussi loin de Kennedy. Un autocar,abritant la presse, ferme le cortège. Uneviolente altercation oppose Connaly àKennedy qui lu i ordonne au dern iermoment de l'accompagner avec sa femmedans la Lincoln présidentielle, afin de mon-trer au public leur réconciliation politique.Connaly, d'après tous les témoins, est pâlecar il sait qu'il va se retrouver sous les tirs.

11 h 50 : le cortège quitte l'aéroport ettraverse la ville de Dallas. À la surprise deKennedy, une foule immense lui fait unaccueil enthousiaste.12 h : Oswald refuse de descendre du cin-quième étage du Depository avec ses collè-gues qui partent déjeuner. Il bloque l'as-

censeur Ouest, laissant ainsi comme seuleissue, l'escalier est. Il fait alors descendredu septième au sixième étage l'équipeaction nº 2.12 h 15 : Jack Ruby est vu à pied livrantun second fusil aux équipes action derrièrela palissade du Grassy Knoll (Lee Bowers,Ed Hoffman). Sur Elm Street, un membredu groupe camouflage simule une crised'épilepsie durant 2 minutes pour fairediversion pendant que les équipes action 1et 2 s'installent aux fenêtres des immeu-bles pour le tir.

Sur le Grassy knoll, les équipes action 3 et4 prennent place derrière la palissade enbois.12 h 20 : sur Harwood Street près duvirage de Main Street, l'agent du secretservice Dennis R. Halterman court vers lavoiture de Kennedy en criant "stop, je doisvous le dire...". Halterman est plaqué au sol par ses collè-gues avant d'avoir pu prévenir le président(les journalistes présents). Halterman a étéécarté de la protection de Kennedy ce jour-là car il refuse de participer au complot,emmené de force dans un break NashRambler blanc, il y sera froidement abattu(Inez Robertson, Joseph Forrester, AmyBritvar, Seth Kantor).

12h22 : le cortège arrive sur Main Street,l'agent Clint Hill, garde du corps de JackieKennedy, monte sur le marchepied arrière

de la Lincoln présidentielle. Emory Roberts, responsable de la voituredu secret service protégeant le président,lui ordonne de regagner sa place. Clint Hilla été rajouté à la voiture de protection à ladernière minute, à la demande de JackieKennedy.

L'EXÉCUTION12 h 25 : la fin de Main Street et le débutde Dealey Plaza approchent. La coordina-tion radio ordonne aux équipes action demettre leurs armes en condition nominalede tir.

12 h 29 : la Lincoln s'engage sur le courttronçon de Houston Street. A cet instant, lestireurs d'élite Yito del Valle, David SanchezMorales, "Max" et Roscoe White "ver-rouillent" leur zone de tir. L'écart de 20secondes entre la voiture du chef Curry et la

Groupe argentD e u x s o c i é t é s é c r a n s , C e n t r oMondiale Commerciale (CMC) enItalie et Permindex en Suisse, assu-rant les mouvements de fonds de l'ex-trême droite mondiale sont utiliséespour financer le coup d'état. Tous les fonds sont répartis par lafiliale canadienne de Permindex àMontréal. Le groupe comprend lesmilliardaires texans Sid Murchinson,H.D. Byrd, H.L. Hunt et le généralWalker. Maurice Gatlin, associé d'af-faires de Jack Ruby et membre de laligue anticommuniste des Caraïbes,assure la distribution des fonds sousle contrôle de Clay Shaw. Jack Ruby,petit chef mafieux de Dallas et anti-communiste fanatique, assure le sup-port logistique et financier du groupeaction et du groupe camouflage.

autopsie d'un coup d'état (3)

À en croire sa triste mine,Connaly n’a pas l’air ravis de setrouver dans la limousine présidentielle

L’entrepôt de livres scolaireséquipes action1 et 2

Harwood Street près duvirage de Main Street

Départ du cortège sous les acclamations dela foule, alors que Connaly ne sourit pas.

Tireurs en place à 12h25

Lincoln du président leur garantit que le pre-mier véhicule ne bouchera pas l'angle de tir.12 h 29 min. 15 secondes : la Lincolnralentit pour virer sur Elm Street. Le chauf-feur Greer est très tendu car il sait qu'ilpénètre dans la "killing zone" (zone de tir).

12 h 29 min. 20 secondes : la voiturefait un léger écart et vient presque toucherle trottoir opposé sur la droite. Les équipesaction replacent à toute vitesse Kennedydans leur ligne de mire. A droite, sur leGrassy Knoll, Zapruder filme le cortège.

Sous le panneau routier de StemmonsFreeway, le troisième coordinateur de tirouvre son parapluie. Nelly Connaly se tour-

ne vers Kennedy et dit : "Maintenant, vousne pourrez plus dire que Dallas ne vousaime pas."12 h 29 min. 25 secondes : le présidentrépond dans un sourire : "non, ça on nepourra plus le dire". La fin de sa phrasesera couverte par l'explosion du premier tir.12 h 29 min. 30 secondes : "Max" tire lepremier du Grassy Knoll, sa balle traversele pare-brise de la Lincoln puis la gorge duprésident Kennedy.

Quelques centièmes de secondes plus tard,David Sanchez Morales tire à son tour duDal-Tex Building. Il atteint Kennedy dans ledos au bas de l'omoplate droite et réarmeinstantanément. Kennedy porte ses mainsà son cou et crie : "Mon Dieu, je suis tou-ché".

Morales tire à nouveau, cette fois, la ballefrôle l'aile arrière gauche de la Lincoln ets'écrase sur un pilier du Triple Underpassen blessant James Tague à la joue. Dans lavoiture du secret service, l'agent JohnReady réagit instantanément en ouvrant saportière. Mais le chef Emory Roberts luiordonne de ne pas bouger.

LES ROSES ROUGES DE DALLAS

Groupe camouflageSon rôle est vital, car il doit assumer troismissions distinctes : la dispersion destireurs après l'attentat, l'effacement des tra-ces qu'ils auraient pu laisser, enfin la mani-pulation ou la suppression des preuvesgênantes lors de l'enquête.David Ferrie : agent de la CIA et piloted'avion. Durant la préparation de l'attentatil transporte les tueurs entre la Nouvelle-Orléans et leur camp d'entraînement auMexique, et les dépose à Dallas dans lesjours précédant l'attentat. Il assure aussileur évacuation vers la Nouvelle-Orléanset la Floride après l'assassinat.Regis Kennedy : agent du FBI du bureaude la Nouvelle-Orléans. Il est chargé, surDealey Plaza, de savoir à qui sont remis lesphotos ou les films de l'attentat à fin depouvoir "suivre" ces preuves par la suite. Ilconfisque le film de Beverly Oliver.Lieutenant Day : officier de la police deDallas (DPD ou Dallas Police Department)fait disparaître le fusil Mauser de l'équipedu Depository.Leon Rubinstein : pseudonyme JackRuby, après avoir remis un revolver àOswald à la sortie du Depository, il remetune balle intacte à un agent du SecretService à l'hôpital Parkland pour brouillerles pistes. Lee Harvey Oswald n'ayant pasété tué, comme prévu, à son arrestation,Jack Ruby l'abat le 24 novembre.Harrison et Miller : détectives du DPD,ils permettent à Jack Ruby d'abattreOswald en s'écartant de lui au moment destirs tout en l'immobilisant.Les frères Sampol : exilés cubains anti-castristes, ils amènent et évacuent les fusilsde l'équipe de tir du Grassy Knoll (dégui-sés en faux agent du Secret Service).J.D. Tippitt : policier du DPD chargé d'é-vacuer avec sa voiture de patrouille LeeHarvey Oswald, il est abattu par RoscoeWhite et Jack Ruby (qu'il connaît bien) aulieu de rendez-vous. La police de Dallasinformée par radio qu'Oswald est le meur-trier de Tippitt, les conspirateurs espèrentqu'elle abattra Oswald par vengeance lorsde son arrestation.Ce groupe comprend aussi des agents duSecret Service, des médecins de l'hôpitalWalter Reed ainsi que plusieurs membresde la commission d'enquête Warren.

autopsie d'un coup d'état (4)

TT OPOP SECRET - SECRET - 46

La limousine juste avant le virage

Blessé, Kennedy porte ses mains à sa gorge

L’instant du deuxième tir

Zapruder photographié avec la caméra qui a filmé ledocument historique le plus connu du XXe siècle

Houston Street

Cette photo prise de face au moment du premier et deuxième tir est particulièrement intéressan-te. Dans la voiture on observe Kennedy blessé (cadre vert). À l’arrière, les agents ont tourné latête en direction de l’entrepôt de livres scolaires (cadre jaune). À l’intérieur de la voiture, un desagents arbore un large sourire (cadre violet). On notera également la portière ouverte de la voi-ture d’escorte blanche en arrière plan, et le bout de jambe de John Ready qui en sort (cadreblanc). Les agents alertés par les coups de feu sont sur le point de quitter le véhicule, tandis queles agents de la seconde voiture n’ont pas encore réagi (cadre bleu). A noter enfin sous le por-che de l’entrepôt la présence d’un homme dont certains chercheurs prétendent qu’il s’agitd’Oswald (cadre rouge). Cette photo figurait dans le dossier de la commission Waren.

12 h 29 min. 32 secondes : Yito del Valletire au jugé du School Book Depository, l'é-cart de la Lincoln lors du virage fait que lacime des arbres lui cache Kennedy.

Il rate le président et touche le gouverneurConnaly dans le dos, lui éclatant le poumondroit. Roscoe White tire en même temps duGrassy Knoll, sa balle pulvérise le haut dupanneau routier de Stemmons Freeway. Aumême instant Morales manque son troisiè-me tir et touche le poignet de Connaly.Avant de s'évanouir, le gouverneur duTexas hurle, complètement terrifié : "Ohnon, non, non ! Mon Dieu, ils vont noustuer tous !" .

Frank Sturgis hurle dans son micro "B ! B !B". Sur Dealey Plaza, le coordinateurmonte et descend trois fois son parapluiepour signaler au chauffeur Greer qu'onpasse au plan de tir B, qui implique l'arrêtimmédiat de la limousine. Dans la Lincoln,Kennedy s'effondre sur l'épaule de Jackie,et Connaly sur les genoux de Nelly. 12 h 29 min. 34 secondes : les feux defreinage de la Lincoln s'allument et celle-cis'immobilise presque devant le GrassyKnoll. Le chauffeur Greer se retourne etobserve Kennedy.

12 h 29 min. 35 secondes : deux déto-nations, espacées de quelques dixièmes desecondes, résonnent sur Dealey Plaza. Lapremière est un double tir de Yito et deMorales. Leurs balles manquent Kennedy,allant percuter respectivement le gazon deDealey Plaza et le montant supérieur dupare-brise de la Lincoln. La deuxième déto-nation est un double tir venant du GrassyKnoll. Le projectile de Roscoe White touche leprésident entre la nuque et l'oreille droite,et fait littéralement exploser le sommet ducrâne. La balle de "Max" atteint la tempe droite de

Kennedy et arrache l'arrière de son crânedont un os tombe sur le coffre arrière.

À l 'arrière gauche de la limousine, lemotard Hargis est éclaboussé de matièrescervicales. 12 h 29 min. 36 secondes : JackieKennedy se lève et essaye de rattraper l'osdu crâne sur le coffre. Au même moment,l'agent Clint Hill saute à l'arrière de la

Lincoln, repousse Jackie sur son siège etprotège Kennedy de son corps. Jackie Kennedy, serrant son mari dans sesbras, crie : "Qu'est-ce qu'ils t'ont fait ?". Lechauffeur se retourne et accélère à plus de130 km/h en direction de l'hôpital Parkland.Kellerman contacte par radio la voiture det ê t e e t h u r l e " S o m m e s t o u c h é s !E m m e n e z - n o u s i m m é d i a t e m e n t àl'hôpital". La coordination radio donne l'ord-re de décrochage.

Groupe actionTous ses membres viennent du campd'entraînement paramilitaire anticas-triste de Lake Ponchartrain (à laNouvelle-Orléans), financé par laCIA. Les membres du groupe sontchoisis par Clay Shaw et recrutés parGuy Bannister, chef d'un mouvementet d'un journal anticastristes à laNouvelle-Orléans. Tout le groupe s'en-traîne en septembre 63 dans le ranchmexicain de H.L. Hunt au sud d'ElPaso, dans un décor grandeur naturede Dealey Plaza. Ce groupe comprendles faux agents du Secret Service et dela police de Dallas assurant la protec-tion des tireurs sur Dealey Plaza (à cejour anonymes), l'équipe "voiture pié-gée", l'équipe de commandement radioet de coordination des tirs, et les quat-re équipes action chargées des tirs.

autopsie d'un coup d'État (5)

TT OPOP SECRET - SECRET - 47

Géné par la cîme des arbres, Yito va rater son tir.

La trahison de Greer

Connaly s’évanouit

Le double tirvenant duGrassy Knoll.

Dans la mêmeseconde, kennedyest touché à la têtepar deux fois !

“Max”

Clint Hill seprécipite versla limousine

La fuite de Max et Ladislas

LE CHAOS ET LA MORT12 h 30 : Sur Dealey Plaza c'est la pan-ique, des gens sont allongés sur le sol, lespoliciers de l'escorte ainsi que 200 person-nes courent vers la palissade en bois d'oùproviennent les tirs.

Le coordinateur au parapluie et son compli-ce cubain sont assis sur le trottoir en atten-dant le moment propice pour s'éclipser.L'équipe action n°3 se cache dans un trainsur le départ où elle sera arrêtée vingtminutes plus tard, l'aiguilleur Bowers ayantbloqué tous les trains après l'attentat.

Les équipes action 1 et 2 seront récupé-rées, au bas de leurs immeubles respectifs,par un break Nash Rambler blanc à 12 h 43(Roger Craig, Garland Slack, Phil Willis). AuDepository, le motard Marrion Baker inter-cepte au premier étage Oswald qui boittranquillement un Coca-Cola. Il le laissera

repartir. À partir de ce moment, DealeyPlaza grouille d'agents du secret service,du FBI et de policiers qui interrogent lestémoins et confisquent toutes les caméras. 12 h 35 : l'avant du cortège présidentielstoppe à l'entrée des urgences du ParklandMemorial Hospital, où les salles Trauma 1et 2 sont prêtes. Le gouverneur Connaly, leteint jaunâtre et les cheveux couverts dusang de Kennedy, est immédiatement reti-ré du strapontin avant pour dégager lesiège du président. Pliée en deux, Jackiegémit en embrassant son mari et tente decacher l'horrible blessure à la tête. L'agentClint Hill pose une main sur l'épaule deJackie et lui murmure doucement "je vousen prie, Mme Kennedy. Je vous en prie.Nous devons montrer le président à unmédecin.” La première dame lui répond "jene vais pas le laisser partir, M. Hill.", "nousdevons l'emporter, Mme Kennedy.", "non,M. Hill. Vous savez qu'il est mort. Laissez-moi. Laissez-le moi."Les larmes aux yeux, Clint Hill retire saveste et en recouvre délicatement la têtedu président. Les gardes du corps Hill,Kellerman, Powers et Lawson ainsi que lechauffeur Greer soulèvent le président. Lesénateur Ralph Yarborough murmure :"Excalibur a sombré sous les vagues."(Excalibur est le nom de code du présidentpour le Secret Service). En Trauma 1 douzemédecins comprenant quatre chirurgiens,quatre anesthésistes, un chirurgien urolo-gue, un chirurgien stomatologue, un car-diologue et un neurologue sont prêts àrecevoir le président.12 h 38 : le chirurgien Charles J. Carricoconstate que "son teint est cendré, sarespiration lente, spasmodique, agonique,irrégulière ; qu'il ne fait aucun mouvementvolontaire ; que ses yeux sont ouverts etses pupilles dilatées, sans aucune réactionà la lumière ; que son pouls est imprenableet que quelques bruits cardiaques sont per-ceptibles". Il remarque immédiatementdeux blessures, une petite à la gorge etune large à la tête où manque 30 % de laboîte crânienne (le sommet et la partiearrière du crâne) d'où s'échappe du tissucérébral déchiqueté en un "suintement lentet considérable, suivi d'une hémorragieplus abondante". Il constate aussi dans ledos la blessure d'entrée d'une balle et l'ori-fice de sortie de la balle à la gorge. 12 h 40 : les docteurs Robert MC. Clellandet Malcolm O. Perry pratiquent une tra-chéotomie en incisant l'orifice d'entrée dela balle dans la gorge. Simultanément, les

docteurs Carrico et Ronald Jones font desincisions sur la jambe droite et le bras gau-che pour les perfusions. Le cardiologueFouad Bashour et l'anesthésiste A. H.Gieseke Jr. rétablissent la fonction respiratoi-re et la circulation sanguine périphérique, unfaible pouls fémoral est perçu sur la cuisse. 12 h 45 : en Trauma 2, le chirurgienRobert Shaw examine le gouverneurConnaly. Celui-ci présente trois blessuresprovoquées par deux balles. La premièreballe est entrée par le dos et ressortie parune large plaie béante du thorax antérieurdroit. La deuxième balle a traversé le poi-gnet droit, sectionnant le nerf de la préhen-sion, avant de finir sa course dans le fémurde la cuisse gauche, à 32 mm au dessus dugenou. Deux opérations chirurgicales serontnécessaires pour sauver le gouverneur. Ledocteur Shaw opère le thorax de 13 h 35 à15 h 20. De 16 h à 16 h 50, les docteursCharles F. Gregory, William Osborne et JohnParker opèrent les blessures du poignetdroit et de la cuisse gauche de Connaly.

Equipe "voiture piégée"En cas d'échec des tirs, une voiture bourréed'explosifs a été placée à la sortie de DealeyPlaza sur la route de l'hôpital Parkland aprèsle pont ferroviaire (Triple Underpass), à finde faire sauter le cortège présidentiel.L'équipe comprend deux hommes chargés detélécommander la bombe : un Américain nonidentifié et Étienne, hongrois en exil, anciendu premier REP en France et spécialiste desexplosifs.

autopsie d'un coup d'état (6)

TT OPOP SECRET - SECRET - 48

Max,Ladislaset leurguide

La foule se dirige vers la palissade

L’autopsie de Kennedy

LES ROSES ROUGES DE DALLAS

12 h 52 : en l'absence de toute réactionnerveuse, musculaire ou cardiaque deKennedy, l'amiral Burkley, médecin person-nel du président, constate le décès. JohnFitzgerald Kennedy, trente-cinquième prési-dent des États-Unis et chef d'état le plusaimé du XXe siècle, meurt à l'âge de 46 ans.13 h : le père Oscar Huber administre auprésident les derniers sacrements suivantle rituel catholique. Dans la chambre 13voisine des urgences, l'attaché de presseadjoint de la Maison-Blanche MalcolmKilduff annonce au vice-président LyndonJohnson la mort du président.13 h 10 : l'agent Tippitt est abattu, parRoscoe White et Jack Ruby, dans la rue oùil attendait Oswald pour le conduire au ter-rain d'aviation.13 h 20 : Jackie Kennedy est informée queson mari sera autopsié à l'hôpital militaireWalter Reed de Washington. El le s 'yoppose et exige que son mari soit autopsiéà l 'hôp i ta l de la Mar ine Bethesda àWashington. Le nouveau président LyndonJohnson, protégé par six gardes du corpset accompagné de quatre députés texans,embarque précipitamment dans un cortè-ge de voitures banalisées. Le cortègerejoint en sept minutes Air Force One àl'aéroport de Love Field. 13 h 30 : Malcolm Kilduff informe la pres-se mondiale de la mort du président. Sousle contrôle du docteur Charles Crenshaw,les employés des pompes funèbres AubreyRike et Dennis Mc Cuire procèdent à un toi-lettage rapide du corps. Les infirmièresMargaret Hencliffe et Diana Bowron embal-lent la tête du président dans deux serviet-tes-éponges avant que son corps, vêtu deson seul caleçon, ne soit placé dans un cer-cueil de bronze. La loi du Texas interdit ledépart du corps hors de l’état sans uneautopsie approfondie préalablr. Aussi sasortie est mouvementée. Durant dix minu-tes, les agents du secret service menés parRoy Kellerman s'opposent au médecinlégiste de Dallas Earl Rose. Ils menacentde leurs armes le docteur Rose et le juge

de paix Ward, qui insistent pour pratiquercette autopsie réglementaire. Kellerman necesse de répéter : "ceci est le corps du pré-sident des États-Unis et nous allons l'em-mener à Washington". 13 h 35 : Oswald est arrêté par la policede Dallas dans le cinéma Texas Theatre oùil attendait Tippitt, chargé de l'amener auterrain d'aviation où David Ferrie devait leprendre en charge.14 h 04 : le cercueil est mis dans uneambulance et rejoint l'aéroport.

14 h 18 : le cercueil, accompagné parJackie Kennedy, est monté à bord d'AirForce One puis installé à l'arrière de l'avionpar les agents du Secret Service.

14 h 33 : Lyndon Johnson prête sermentdevant la juge Hughes. 14 h 38 : la cérémonie est terminée,Johnson adresse un sourire complice audéputé Thomas qui lui répond par un clind'oeil.

LES ROSES ROUGES DE DALLAS

autopsie d'un coup d'État (7)Equipe commandement et coordination radioL'équipe se positionne en trois lieux géo-graphiques différents. Le groupe de com-mandement radio comprend Frank Sturgis(agent de la CIA et patron du camp de LakePonchartrain), Gerry Hemming (pigiste dela CIA) et l'ancien chef de l'armée de l'aircubaine Luis Diaz Lenz. Il prend positiondans le Dallas County Records Building(immeuble des archives municipales).Un deuxième coordinateur prend positiona u s i x i è m e é t a g e d u S c h o o l B o o kDepository. Il s'agit de Malcolm E. Wallace(52), ancien tireur d'élite des forces spécia-les et homme de main des campagnes deLyndon Johnson. Son rôle consiste essen-tiellement à évaluer les blessures deKennedy et à prévenir l'équipe de comman-dement si une deuxième salve de tir s'avèrenécessaire. Il est soupçonné de huit meurt-res. Le troisième groupe de coordination prendposition à l'entrée de Dealey Plaza. Il comp-rend un Américain muni d'un parapluie etun cubain équipé d'un émetteur conçu parMorrow.

13h30 : l’annon-ce de la mort duprésident parMalcolm Kilduff

13 h 35 :Arrestationd’Oswald

14 h 33 : L.Johnson prêteserment.

Départ de parkland

14 h 38 :Clin d’oil àJohnson

Pendant que tout le monde est à l'avant del'avion pour la prestation de serment, desagents du secret service retirent le corpsde Kennedy de son cercueil pour le rempla-cer par celui de l'agent du Secret ServiceDennis R. Halterman (David Lifton, VincePalamara, Mark Crouch, James Fox, RobertBouck). Le corps de Kennedy est placédans un sac mortuaire en plastique noirpuis transféré à travers une trappe dans lecercueil en aluminium de Halterman à l'ar-rière de la soute. Cette opération d'esca-motage, rendue nécessaire par la décisionde Jackie Kennedy de faire autopsier sonmari à Bethesda, prendra moins de dixminutes. Air force One quitte Dallas à 14 h47 pour Washington.16h : Abraham Zapruder remet l'original ettrois copies de son film de l'assassinat auchef du Secret Service de Dallas, ForrestSorrels. Un avion militaire décolle à 16h30de Love Field et se pose à la base Andrewsde Washington à 21h. Les films sont remisà 22h au National Photo InterpretationCenter (NPIC), géré par la CIA, dans leMaryland. Durant cinq heures, les techni-

ciens du NPIC suppriment les images mon-trant le tir dans le panneau routier, l'arrêtde la voiture pour permettre les tirs à latête et l'éclatement de l'arrière du crâne deKennedy. De plus le film est recadré plusserré afin de cacher les projections de cer-velle sur le motard d'escorte à l'arrière gau-che de la voiture (dossier CIA numéro 450,Charles Brenneman, Rod Ryan, JackieKennedy, Richard Bartholomew). A 3h15, le23 novembre, le film modifié et trois copiess'envolent pour love Field où l'avion sepose à 6h45. Les films sont remis à 7h parSorrels à Zapruder. Le magazine Life achè-te l'original et une copie, Paul Rothermel enachète une autre pour H.L. Hunt, la derniè-re étant remise au FBI par le SecretService. 17 h 38 : Air Force One atterrit à la based'Andrews à Washington. Robert Kennedy,le frère du président, monte le premierdans l'avion et tombe dans les bras deJackie. Sans lui lâcher la main, il caresse lecercueil de son frère. Devant les camérasdu monde entier, le cercueil en bronze duprésident, contenant le corps de l'agent

Halterman, est descendu par la porte avantde l'avion. Il est installé dans une ambulan-ce grise qui quitte la base d' Andvews à18h10 pour l'hôpital naval de Bethesda oùva se dérouler l'autopsie. Des agents dusecret service sortent par l'arrière d'AirForce One le cercueil en aluminium conte-nant le corps de Kennedy et le chargentdans un hélicoptère caché derrière l'avion(la plupart des journalistes présents).L'hélicoptère décolle à 18 h et atterrit sur letoit de l'hôpital Walter Reed à 18 h 05. Unepré-autopsie sommaire est effectuée dansla morgue de Walter Reed.

autopsie d'un coup d'état (8)

Équipes action

Équipe action n°1 : prend place dansle Dal-Tex Building (immeuble loca-tif de bureaux), appartenant à Hunt.Le tireur et l 'observateur sont audeuxième étage selon l'auteur, ou surle toit selon la plupart des enquêteurs.Elle comprend trois membres :David Sanchez Morales, porte flinguede David Atlee Phillips et tireur d'élite.Observateur américain, non identifié.Eugène Brading, pseudonyme JimBraden, anticastriste mafieux et amide David Ferrie. Il a un rôle de guet-teur au rez-de-chaussée du Dal-TexBuilding.

Équipe action n°2 : prend place dansle School Book Depository au sixièmeétage (cinquième étage en France).Elle comprend trois membres :"Yito" Eladio del Valle, exilé cubainet tireur d'élite. Il se place à la fenêtreopposée à celle de Diaz, à l'autreextrémité du bâtiment."Rogelio" Hermino Diaz Garcia,

exilé cubain, tireur d'élite et ami deGuy Bannister, il prend positioncomme observateur à la fenêtre "attri-buée" à Oswald. C'est aussi lui quiplacera à cet endroit le fusil Carcanode calibre 7.35 attribué à Oswald (enréalité le Carcano d'Oswald est decalibre 6,5 et se trouve dans son gara-ge à l'heure de l'assassinat).Lee Harvey Oswald, agent de la CIAet de l'ONI, informateur du FBI, ilprend position comme guetteur aurez-de-chaussée du Depository. Il serale "pigeon" que l'on fera passer pourle seul assassin de Kennedy.

Équipe action n°3 : prend place àl'extrémité gauche de la barrière debois du Grassy knoll, au niveau de lapergola en béton. Elle comprend troismembres:"Max", français, ancien capitaine aupremier REP, tireur d'élite. Arrêté peuaprès l'attentat, il sera expulsé vers leCanada une heure plus tard sur ordredu bu reau de l ' immigra t ion deWashington (INS).Ladislas, Hongrois en exil, ancien de

l'OAS et ancien maître armurier aupremier REP. Équipé d'une radioconçue par Morrow. Arrêté peu aprèsl'attentat et relâché une heure plus tard. Américain, non identifié, sert deguide et d ' interprète à "Max" etLadislas qui ne parlent pas l'anglais.Arrêté peu après l'attentat et relâchéune heure plus tard.

Équipe action n°4 : prend place à 10mètres de "Max", à l'extrémité droitede la barrière de bois du Grassy knoll.Elle comprend deux membres:Roscoe White, agent tueur de la CIAet tireur d'élite. S'est fait engagé dansla police de Dallas en septembre 1963e t l ' a q u i t t é e e n m a r s 1 9 6 4 .Physiquement, il ressemble tellementà Oswald qu'on l'a souvent confonduavec lui.Policier observateur, en (vrai oufaux?) uniforme du DPD, équipéd'une radio conçue par Morrow. Quoique l'auteur n'ait pas encore de preuveformelle, il se pourrait que ce policiersoit l'agent J.D. Tippitt.

TT OPOP SECRET SECRET - 50

L’autopsieà walterreed

LES ROSES ROUGES DE DALLAS

Les médecins militaires élar-gissent tout d'abord gros-sièrement l'incision trachéo-tomique à la gorge à fin delui donner l'apparence dutrou de sortie d'une balle.Ils réalisent ensuite unesérie de radiographies tru-quées où l'orifice d'entréede la balle dans la tempeest obturé par un triangleopacifiant noir, et le trouarrière du crâne caché parune pièce osseuse prélevéesur un autre cadavre. Puisune série de photographiesdu corps sont prises. Ellesseront retouchées les semai-nes suivantes afin d'effacertoute trace de l'éclatementde l'arrière gauche du crâne. Tous ces c l ichés serontremis à la commission d'en-

quête Warren comme étant ceux de l'au-topsie officielle de Bethesda. Ils retirentenfin 70 % du cerveau de Kennedy afind'effacer les traces du tir de face à la tête.Le corps du président quitte Walter Reeden hélicoptère à 18 h 35 et atterrit à l'arriè-re de l'hôpital Bethesda à 18 h 40. Là, septagents du secret service transfèrent lecorps dans un corbillard Cadillac qui va segarer à l'arrière de la morgue. Les docteursBoswell et Humes ainsi que les deux chefsdu département médical de l'armée de l'airet de la Marine réceptionnent le corps(Dennis David, Richard Lipsey).18h55 : l'ambulance contenant le cercueil"officiel'' du président arrive à Bethesda etle corps de l'agent Halterman est discrète-ment retiré du cercueil dans une pièce voi-sine de la salle d'autopsie. Dans la salled'autopsie le corps de Kennedy est entière-ment radiographié, photographié et filmépar le lieutenant Richard Lipsey sous la sur-veillance du général Wehle, des docteursHumes et Boswell, de Paul O. Connor,Dona ld Rebent i sh e t Je r ro l Cus to r.L'autopsie officielle commence à 20h enprésence de hauts gradés du pentagone(non identifiés à ce jour), des agents duFBI James Sibert et Françis O'Neill, d'a-gents du Secret Service commandés parRoy Kellerman, et du photographe FloydReibe sous la direction du docteur com-mander James J. Humes. L'autopsie estbâclée, les hauts gradés présents interdi-sant au docteur Humes de déterminer latrajectoire des balles dans le corps. Durant

la manipulation du corps une balle intactetombe sur la table d'autopsie (pièce àconvict ion CE 399, déjà "trouvée" àParkland). Les médecins légistes présentsne peuvent que constater la "disparition"du cerveau de Kennedy dont il ne reste que27,8% dans le crâne. Alors que leur rapportpréliminaire conclue à au moins un tir deface dans la tête, ils seront contraints derédiger un rapport final ignorant l'orificed'entrée de la balle dans le front et l'énor-me trou à l'arrière de la tête et concluant àun tir arrière. De 23h à 1h, le corps estembaumé par une équipe des pompesfunèbres Gawler, sous la direction de l'em-baumeur Tom Robinson.Samedi 23 novembre3h30 : Roy Kellerman confisque la totalitédes photos, films et radios pris durant l'au-topsie et les confie à l'agent Robert Bouck,chef de la Protective Research Section. Cematériel sera copié à huit exemplaires, septpour le FBI et le Secret Service et un pourTed Kennedy, frère du président. Ce maté-riel reste inaccessible à ce jour. 3h56 : l'agent William Greer conduit lecercueil du président à la Maison Blanche.Le cercueil est placé dans le salon Est sousgarde militaire solennelle. Il quitte la salleEst à 13 h 08 vers le Capitole pour y êtreexposé, recouvert de la bannière étoiléequi avait accueilli le cercueil du présidentAbraham Lincoln un siècle plus tôt. Jusqu'àson départ pour le cimetière d'Arlington, lecorps de Kennedy sera honoré par plu-sieurs centaines de milliers d'Américains.Dimanche 24 novembre 11h21 : dans le sous-sol du départementde la police de Dallas, Jack Ruby assassineOswald, mettant ainsi fin à toute procédurejudiciaire sur l'assassinat de Kennedy.Lundi 25 novembre11h : huit gardes de la mort placent leCercueil sur un prolonge d'artillerie. Lamajorité des chefs d'état du monde accom-pagnent Kennedy jusqu'à lacathédrale Saint-Matthew oùle cardinal Cushing commence à 12h15 lamesse solennelle. Le corps de Kennedyquitte la cathédrale à 13h15 pour le cime-tière d'Arlington.Conclusion15h13 : Le président est inhumé et sonépouse allume sur sa tombe la troisièmef l amme é t e r ne l l e du monde . J ohnFitzgerald Kennedy appartient désormais àtoute l'humanité...ÉpilogueAteliers de la General Motors, un simple

ouvrier nettoie la Lincoln présidentielle :sur le siège arrière, témoin silencieux de cejour d'infamie, un bouquet de roses... Desroses rouges de Dallas...

Jean-Marc Roederécrire à l’auteur : [email protected]

L'auteur vous invite à acquérir le CD numé-ro 10 de "top secret" car il contient, outreles photos supplémentaires grand format,la totalité des vidéos de l'assassinat deKennedy filmées ce jour-là sur Dealey Plazaainsi que l'enregistrement sonore originaldes tirs. Certains de ces films sont totale-ment inédits car ils n'ont été découvertsqu'après 1998.

autopsie d'un coup d'état (9)

LES ROSES ROUGES DE DALLAS

Les armes du crimeles équipes action 3 et 4 utilisent deuxcarabines Winchester à lunette de cali-bre 30.06 tirant des balles blindées (etnon pas explosives comme le veut lalégende). les équipes action 1 et 2 utili-sent deux fusils Mauser Gewehr 43type 98. Ses balles de calibre 7,92 quit-tent le canon à 776 mètres/seconde.Ses munitions et sa lunette de viséeincorporée permettent le tir de préci-sion dans les pires conditions. D'unelongueur de 1 m 11 et d'un poids de 4kg 400, c'est l'arme absolue pour untireur d'élite.

TT OPOP SECRET - SECRET - 51

radio truquée

photo truquée

kennedy aucapitol

Vérifiez les faits par vous-mêmeEn vous connectant sur un des sites qui suit, il vous suffirade taper n'importe quel nom propre ou lieu cité dans l'articlepour accéder immédiatement à tous les documents officielsrelatifs à ce sujet.-- JFK assassination -- 6Th floor museum -- Vince Palamara -- Kennedy assassination -- THE GRAND SUBVERSION --Larry Charbonneau's JFK Page -- jfkaudio -- JFK Place --Kennedy Assassination Records Collection -- clintbrad-ford.com -- JFK Files-- The John F. Kennedy Memorial Page

Livres français sérieux :-- William MANCHESTER, Mort d'un président, Robert Laffont-- William REYMOND, JFK autopsie d'un crime d'état,Flammarion, 1998. Et du même auteur JFK le dernier témoinchez le même éditeur

TOPTOP SECRETSECRETPARTIEPARTIE 66

La particulariLa particulari té de ce lté de ce l ivrivre est d’apporter une est d’apporter unnouvnouvel éclairel éclairage sur les phénomènes OVNI àage sur les phénomènes OVNI àpartir du fpartir du fondement des textes biblondement des textes bibl iques.iques.LL’auteur montr’auteur montre claire clairement que la comprement que la compréhenéhen--sion globale de ces manision globale de ces mani ff estat ions -entrestat ions -entrantantdans la gamme des phénomènes ocdans la gamme des phénomènes occulcultes- ftes- faiai ttnécessairnécessairement appel à la dimension spiriement appel à la dimension spiri tueltuel lelede l’êtrde l’être.e. Depuis maintenant cinquante ans queDepuis maintenant cinquante ans quele phénomène OVNI s’est actualle phénomène OVNI s’est actual isé, banalisé, banal isé,isé,comment explcomment expl iquer qu’une hiquer qu’une hypothétique prypothétique préé--sence extrsence extraterraterrestrestre chere cherche ainsi à ne pas seche ainsi à ne pas semontrmontrer ouver ouvertement ? Que cache rertement ? Que cache réeléel lement lelement lephénomène ? Signe du ciel, signes eschatolophénomène ? Signe du ciel, signes eschatolo--giques, les OVNI rgiques, les OVNI répondent, sans nul douteépondent, sans nul douted’un plan ocd’un plan occulcul te qui parvient à son terme :te qui parvient à son terme :celui de la fin d’un monde, ou “fin des temps”celui de la fin d’un monde, ou “fin des temps”,,laissant prlaissant présager de présager de profofonds boulevonds bouleversements.ersements.

ISBN : 2-9509463-1-3ISBN : 2-9509463-1-3NombrNombre de pages : 162e de pages : 162IImprimé en 1996.mprimé en 1996.

Deux cherDeux chercheurs indépendants, autodidactes,cheurs indépendants, autodidactes,Jean Michel Lesage et Jean Sider viennent deJean Michel Lesage et Jean Sider viennent demetmet trtre le point final sur ce qu’e le point final sur ce qu’ ii l conl convient devient deconnaî t rconna î t r e sur l ’ex is tence contre sur l ’ex is tence contr oo vv ersée desersée des“extr“extraterraterrestrestres et des démons”es et des démons”. P. Par des chear des che--mins dimins difffférérents, ients, i ls parviennent au même carrls parviennent au même carree--ffour de leur iour de leur i tinértinérairaire re respectiespecti f : les démons,f : les démons,les dieux d’les dieux d’hierhier, les extr, les extraterraterrestrestres d’aujoures d’aujourd’d’ --hui, sont ces mêmes entihui, sont ces mêmes enti tés capables de prtés capables de prendend--rre des fe des formes matérialormes matérial isées qui conisées qui conviennent àviennent ànos crnos crooyyances et conceptions de pensée duances et conceptions de pensée dumoment. moment. ÀÀ trtraavvers ces deux vers ces deux versions conersions convverer --geantes, Jgeantes, J.. M.M. Lesage et JLesage et J.. Sider lSider l ivrivrent l’abouent l’abou--tissement de plus de 40 années de rtissement de plus de 40 années de recherechercheschesdans ce t un i vdans ce t un i v e r s i nconnu . Leur démare rs i nconnu . Leur démar chechetémoigne de l’existence d’un monde très ditémoigne de l’existence d’un monde très difffféé--rrent du nôtrent du nôtre, sie, si tué sur un autrtué sur un autre plan de re plan de réaléal ii té.té.

ISBN : 2-9509463-4-8ISBN : 2-9509463-4-8NombrNombre de pages : 210e de pages : 210IImprimé en 2002mprimé en 2002

JE SOUHAITE COMMANDER :“Lumière sur les OVNI”“Lumière sur les OVNI”“Extraterrestres et Démons”“Extraterrestres et Démons”

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R È G L E M E N TR È G L E M E N TPar chèque de ....... EurosÀ l’ordre de EDEN EDITION

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8, rue Pier re et Mar ie Cur ie8, rue Pier re et Mar ie Cur ie32600 L32600 L’ Is le Jourdain’ Is le Jourdain

Un texte de Jean-Pierre PetitUn texte de Jean-Pierre Petit

La vérité sur laLa vérité sur la tragédietragédie dudu

KK OO UU RR SS KK

Jean-Pierre Petit est un scientifique hors norme que nous sommes fiers de compterparmi les collaborateurs de TOP SECRET. Précurseur de la MHD, auteur de nomb-reux livres, il a eu le courage de mettre sa carrière en danger pour s'engager dans

une quête de vérité sans compromis, quand tant d'autres ont préféré se taire et fermerles yeux. Après des années de combat courageux, et la sortie de son dernier livre "Ovniet armes secrètes américaines", publié chez Albin Michel, cette personnalité rare de l'u-fologie française est quelque peu désabusée de constater l'apathie dans laquelle a plon-gé la population en dépit de ses appels répétés. Acculé par une amende contractée lorsd'un procès, il s'interroge : doit-il jeter l'éponge ? Pourtant la passion est toujours là. Ilnous livre ici ses dernières réflexions concernant des faits que les médias ont cachés, etqui pourraient bien expliquer la terrible et incompréhensible tragédie du Koursk.

http://www.jp-petit.com/

NDLR : Nous ne pouvons pas confirmer la validité des révélations suivantes. CependantNDLR : Nous ne pouvons pas confirmer la validité des révélations suivantes. Cependants’il existe ne serait-ce qu’une seule chance sur un million pour que les faits’il existe ne serait-ce qu’une seule chance sur un million pour que les faits relatés icis relatés icisoient authentiques, alors nous ne nous sentons pas en droit de les passer sous silence...soient authentiques, alors nous ne nous sentons pas en droit de les passer sous silence...

TT OPOP SECRET SECRET - 52

“Ce cliché a été pris par un satellite espionrusse le 19 août 2000 à partir d'une altitudede 40 kilomètres. Il montre la base norvé-gienne de Haakonsvern, située sur la côte

du fjord de Grimstad, dans la province deHordalan, à neuf kilomètres au sud deBergen. Cette base est capable de recevoirdes navires de taille modeste, comme desfrégates, non des sous-marins. Le 19 août un sous-marin de la classe LosAngeles accosta à Haakon svern, non loind'une frégate de la classe Oslo. Le sous-marin s'amarra sur la digue et non dans ledock puisque, nous le répétons, cette basen'a pas été conçue pour accueillir des sous-marins, et a fort iori des sous-marinsnucléaires. On suppose que le nom de cesous-marinest Memphisou To ledo.Ces deux-làs o n t d e ssubmersibles de la classe Los Angeles, les-quels mesurent 109,7 mètres de long et

10,1 mètres de large et déplacent 6000tonnes. Le navire était venu pour procéderà des réparations, son étrave ayant subides dommages considérables. (...) Le revê-tement du sous-marin, mélange de caout-chouc et de céramique était arraché et"pelé comme la peau d'une banane". Laréparation s'étendit sur 8 jours. Dans l'a-près-midi du 27 le bateau quitta ce mouill-l a g e e t g a g n a l a c ô t e A n g l a i s e , àSouthampton où il bénéficia de nouveauxtravaux de réparation dans un dock fermé.(...) Le Koursk et un sous-marin de la clas-

se Los Angeles sont entrés en collision le 12août. Le choc provoqua la détonation demunitions située dans le compartiment deproue du sous-marin russe, qui coula. Noussavons, et cela a été enregistré par un denos satellites de reconnaissance que setrouvait à proximité un objet ayant l'allured'un sous-marin se déplaçant à vitesseréduite. (...) Le directeur de la CIA arriva àMoscou pour étouffer l'affaire. Les deuxparties se mirent d'accord pour cacher lavérité et ainsi prévenir tout dérapage de lasituation. Les photographies concernant labase navale de Haakonsverne furent clas-sées "Top Secret". (...)Bien sûr, ce n'est qu'une version de l'affairemais, considérant ce qui a été établi plushaut on peut considérer ceci comme impor-tant. Nous ne publions pas cette photo du"tueur du Koursk" pour déclencher unconflit. Nous pensons seulement que lepublic doit être informé, à la fois en Russieet aux USA.”

Fin de citation

Le revêtement du sous-marin, mélange decaoutchouc et de céramique était arraché et

"pelé comme la peau d'une banane"

Le 25 septembre 2003, paraissait un article signéDimitry Filmonov. Vous pourrez le récupérer dansson intégralité sur l'URL :

http://www.murman.ru/kurskmem/articles/norwaye.htmet sa traduction française sur mon site : http://www.jp-petit.com/Koursk/Koursk1.htmL’article s’intitule : “Un sous-marin de la classe LosAngeles serait-il responsable de la disparition duKoursk ? Les autorités de Russie et d'Amérique sonttombées d'accord pour cacher la vérité.” Afin de vous éclairer sur la version de DmitryFilimonov, voici quelques passages parmi les plusrévélateurs de ce texte édifiant.

À la mémoire de l'équipage du sous-marin nucléaire Koursk

Agrandissement de la zone oùse trouvent les deux bâtiments

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LA VÉRITÉ SUR LA TRAGÉDIE DU KOURSK

Fiche technique :Nom : "Koursk" (Kursk)Désignation : K 141Lancement : mai 1994Entrée en service : 1995Déplacement : 13.400 à 14.700 t. en surface- 16.400 à 24.000 t. en plongéeVitesse : 15 nœuds en surface - 28 nœuds enplongéeDimensions : 154 m de long, 18.2 m de largeet un tirant d'eau de 9 m.Propulsion : deux réacteurs nucléaires VM-5PWRAutonomie : 50 joursPerformances en plongée : 600 m (estima-tion)Armement :- 24 missiles de croisières supersoniques(Mach 1,6) Chelomey SS-N-19/P-700 Granitcapables d'emporter 750 kg d'explosif ou unetête nucléaire de 500 kt (20-55 km de portée).Deux rangées de 12 tubes de lancement incli-nés à 40°.- Missiles ASM Novator SS-N-15 Tsakrad'une portée de 45 km tirés par 4 tubes de 533rechargeables. Tête nucléaire de 200 KT(Vodopad) ou torpille Type 40 (Veder).- Missiles anti-navires SS-N-16 Stallionsd'une portée de 100 km tirés par 4 tubes de650 rechargeables. Tête nucléaire de 200 KT(Vodopad) ou torpille Type 40 (Veder).

L ’ép aVe du koursk lors deOuverture à bâbordLes dommages sur la longueurLes dommages à tribord

Collision ou affrontement ?S'agit-il simplement d'une collision ? Quiirait croire une chose pareille ? La Mer deBarentz est peu profonde (170 mètresmaximum). Elle est exempte de reliefs pou-vant fournir de faux échos. On veut bienque lorsqu'une grande puissance comme laRussie se livre à des manoeuvres près dechez elle, hors de ses eaux territoriales lesautres nations aient tendance à y envoyerleurs propres unités pour essayer de ramas-ser quelques informations. Mais de là à envi-sager une collision toute bête entre deuxmastodontes de cette taille, il y a un pas.

Rencontre avec Michel C.En 2002 un journaliste Français, Michel C.

me contacta. I l souhaitaiteffectuer une enquête

sur le Kourskdont on avaitrenfloué l'é-pave aprèsavoir sec-t i o n n ét o u t e s ap a r t i eavant. LesR u s s e sé ta ien t apriori d'ac-cord pourq u e c e t t eenquête soit

faite par unet é l é v i s i o n

é t r a n g è r e .Michel C. voulant

avo i r mon av is ,me communiqua les

informat ions dont i ldisposait.

1- Des traces de collision, de ripage,avaient été observées sur la coque duKoursk, éventrée par une explosion quiavait pris naissance à l'intérieur étantdonné la façon dont les tôles étaient tor-dues, vers l'extérieur. 2- Deux explosions avaient été ressentiesau moment de la catastrophe à deux minu-tes l'un de l'autre, la seconde étant beau-coup plus forte. Les explosions ont étéenregistrées par une station sismogra-phique norvégienne. 3- Le croiseur Amiral Pierre le Grand, unnavire à propulsion nucléaire de la classeKirov, lorsque le naufrage (rapide) duKoursk se produisit, au lieu de s'approcherdu lieu du naufrage s'en éloigna au contrai-re. 4- (Si mes souvenirs sont exacts, au lieu du

naufrage la profondeur était de 117 mèt-res. Etant donné la hauteur du submersi-ble, cela met la partie supérieure de sacoque à 90 mètres de la surface. 5- Le sous-marin ne put émettre designaux de détresse par radio (dans cescas-là une balise est automatiquement lar-guée, qui gagne la surface). On auraitretrouvé cette balise, dérivant. 6- La présence de survivants ne fit aucundoute. Des signaux correspondant à descoups donnés contre la coque par lesmarins furent perçus pendant des jours. 7- Un sous-marin de poche tenta de s'ap-procher du Koursk, apparemment sans par-venir à s'y arrimer. 8- Le Koursk était équipé de missiles"Granit". Ces missiles font dix mètres delong contre 0,85 m de diamètre et pèsent 3tonnes. Leur portée est de 550 km. Altitudede croisière : 20.000. C'est un missile anti-navires. Il est au départ propulsé par desboosters à poudre, qu'il largue ensuite.

Des signaux correspondant à des coupsdonnés contre la coque par les marins

furent perçus pendant des jours

Remontée àtrois mètrespar seconde(voyez lesillage debulles)

Rumeurs inquiétantesLes infos fournies par Michel C. présen-taient quelques pans d'étrangeté. On disaitqu'un ingénieur atomiste ayant travaillé surle Koursk (issu des chantiers Rubine) auraitété assassiné et "retrouvé découpé en mor-ceaux". On disait également qu'une mutinerie seserait produite à bord du Koursk et qu'aumoment où les enquêteurs auraient péné-tré dans la coque renflouée ils auraientretrouvé l'officier chargé de garder la salled'arme, une balle dans la tête. On se souvient lors des événements que lapresse nous rebattit les oreilles avec unthème récurrent :- Il ne semble pas que les Russes disposentdes moyens de sauvetage ad hoc pourvenir au secours de l'équipage du Koursk.

Ceci est une extraordinaire foutaise. Tousles sous-marins sont, de nos jours, dotésd'équipements individuels permettant l'éva-cuation depuis des sous-marins endomma-gés, fonctionnant jusqu'à une profondeurde 180 mètres. Classiquement ces équipements sont fabri-qués par la société Anglaise Beaufort.

Opération de sauvetageDès que la salle d'évacuation est pressuri-sée, le sang des personnes présentes com-mence à se gorger d'azote. Mais si ces genssont assez rap ides , tout se joue enquelques minutes. Dès que le marin quittel'eau profonde l'assimilation d'azote cesse.

Au pire, il y aurait quelques inci-dents de décompression. En sur-face les navires disposent decaissons où on peut immédiate-ment recomprimer les hommes.Avez-vous entendu un journalistementionner l'existence de telséquipements ? Non. Ces gens se contententde répéter comme des perroquets les dépê-ches de presse qu'on leur tend. On peutpourtant supposer que tous les marins duKoursk étaient rodés à une telle manoeuvre. Pour être précis, le Koursk était super-équi-pé en matière d'évacuation. A l'arrière deson cockpit étaient logés deux petits sous-marins capables d'accueillir l'ensemble del'équipage et de le remonter sain et sauf de600 mètres de profondeur. Ce systèmeétait-il coincé sur à l'explosion du comparti-

ment avant ? Possible, admettons. Mais jeme refuse à croire que la déflagration ait puendommagé les sas situés à l'arrière dusubmersible. Poursuivons le raisonnement. Quatre-vingt-dix mètres, c'est une profondeur que peu-vent atteindre des plongeurs plongeantsimplement à l'air. C'est limite, maisquand il s'agit de sauver des vies,c'est jouable. S'il y avait un sas coin-cé, il aurait été possible de le décoin-cer en tirant dessus, de l'extérieur.Toutes les marines disposent de sim-ples sacs qu'on peut remplir d'air etqui, grâce à la force d'Archimède peu-vent déployer des forces d'arrache-ment considérable. J'ai moi-mêmearraché des panneaux de cale sur uncargo coulé par 54 mètres de fond enutilisant de simples bidons de 200 lit-res, descendus au fond puis remplisd'air.

l ’opération de récupérationLa tour à tribord Hublot de la tour L’arrière de la tour

Système d’évacuation d’un sous-marin

En A le marin a revêtu sa combinaison denylon, qui lui donne un peu l'allure du pèreUbu. Sur l'une de ses cuisses, une bouteilled'air pour le gonflage. Sur l'autre un canotpneumatique individuel, replié. Le tout tientdans un container ayant la taille d'un attaché-case. L'officier chargé de la manoeuvre d'é-vacuation commence par pressuriser la salle(dans le cas du Koursk, sous dix bars). Lesmarins, équipés, admettent un peu d'air dansleurs combinaisons, aux chaussures légère-ment lestées. Cet air se rassemble dans lapartie supérieure en les faisant ressembler àdes spermatozoïdes. Ceci facilite leur stationdebout. Une valve leur permet, s'ils partentau plafond, de régler leur flottabilité. En Bl'officier leur indique l'orifice du sas, ouvert.Un à un ils se placent juste en dessous etouvrent l'air en grand. Celle-ci se gonfle(image C) la force d'Archimède les entraînealors à vive allure vers la surface. La vitesse

peut atteindre troismètres par secon-de (donc uneminute et demiepour évacuer leKoursk et atteind-re la surface.En surface lemarin déploie uncanot pneumatiqueautogonflable où ilpeut alors prendreplace : image D.

Les tubes lance-torpilles du Koursk auraient subi unemodification importante avant ces manoeuvres, pour

tirer un engin d'un genre tout à fait spécial

Il y avait je ne sais combien de bateaux detoutes nationalités autour du Koursk, àcommencer par les unités russes. Combiende plongeurs capables d'intervenir sur l'épa-ve, combien d'équipements, y compris dessystèmes de plongée à l'hélium permettantde descendre encore plus profond, Cent ?Qui ira me faire croire que les Russes soientaussi nuls en plongée ? Mais personne n'arien tenté, ne s'est approché. Michel C., le journaliste, continue dedéployer la suite de ses résultats d'enquête. - Les tubes lance-torpilles du Koursk auraientsubi une modification importante avant cesmanoeuvres, pour tirer un engin d'un genretout à fait spécial. Nom de code : "La Grosse". NB : Le Koursk est censé posséder huittubes lance-torpilles capables de lancerplusieurs engins à l'aide de tubes de 650mm de diamètre. Deux types d'enginspourraient alors être tirés. Des torpillesconventionnelles, légères, ayant une vites-se de 30 noeuds et une portée de 15 km etdes engins "Veder" capables de sortir del'eau, propulsés par les boosters à poudre,puis de les larguer en plongeant dans lamer, freinés par un parachute pour partiralors à la recherche de leur cible. La portéeserait alors de 50 km. - Etaient présents au moment du naufrage,à bord du sous-marin un Chinois et deuxArabes. Ceux qui ont lu mon dernier livre saventque les Américains ont développé dès lemilieu des années soixante-dix une torpilleMHD hypervéloce qui, en 1980, atteignaitla vitesse de 2000 km/h. Un tel engin revêtune importance stratégique capitale. Eneffet l'arme la plus dangereuse en cas deconflit nucléaire est le sous-marin nucléaire

qui, tapi à proximité de la côte ennemie,peut tirer des missiles qui atteindront leurscibles en quatre à cinq minutes. Détruireces plates-formes sous-marines lance-engins constituerait l'acte de guerre initialde toute puissance attaquante. Avec cestorpilles MHD les Américains (dont lessous-marins suivent constamment ceux de"l'équipe adverse") peuvent atteindre leurscibles en cinq à six secondes.

Et les Russes ? Ne furent-ils pas dès lesannées cinquante les leaders en matière deMHD ? Les Américains se sont même offertle luxe d'évoquer leur maîtrise en matièrede propulsions MHD sous-marine en pro-duisant un film "Octobre Rouge" avec SeanConnery. Savez-vous qui est le conseillerscientifique de Poutine pour toutes lesquestions militaires ? E.Vélikhov. Et savez-vous qui est Vélikhov, inventeur, en 1964,de l'instabilité MHD qui porte son nom ! Leleader russe dans ce domaine.

Pure spéculation ?A ce stade, on pouvait spéculer et c'estce que j'ai fait dans un dossier que j'aipositionné sur mon site l'espace d'unematinée, en 2002. Des lecteurs ont pro-testé, disant qu'il ne s'agissait là qued'une pure spéculation. J'avais suggéréque la présence d'un Chinois à bordpourrait s'expliquer si les Russes avaientvoulu, à l'occasion de ces manœuvres,faire devant lui la démonstration descapacités de "La Grosse", une torpille

MHD. La situation économique de l'URSSest catastrophique et les Chinois paye-raient sans doute ces torpilles au poidsde l 'or, après avoir acquis, paraît- i l ,quelques "Sqwal", déjà dépassées.

Rencontre avec les services secrets La mise en ligne de ce dossier a eu uneconséquence imprévue : un appel de laDGSE (services secrets Français). Ces gensproposaient une rencontre qui eut lieu àParis. Mon livre n'était pas encore paru etje n'avais donc pas encore lâché tout ceque j'avais appris à Brighton. Ce qui lesintéressait c'était cette torpille MHD Russe. Donnant, donnant (comme en Angleterre,d'ailleurs). Voilà ce que j'ai pu apprendre deces honorables correspondants qui préten-daient tenir leurs informations d'une bran-che du KGB hostile à Poutine. - Le Chinois embarqué à bord du Kourskavait le grade de général. Nous ne savonsrien quant à la nationalité des deux Arabeségalement présents à bord. Ils ont rejointle submersible par hélicoptère, après quecelui-ci se soit éloigné suffisamment de sabase. Il était effectivement question detirer devant ces gens une torpille MHD.Mais les services secrets américains étaient

au courant. Un sous-marin américain s'estdonc approché du Koursk et lui a intimé parsonar l'ordre de faire surface et de luiremettre ses trois VIP. Le commandantrusse n'a pas obéi à l'ordre. Les Américainsont alors coulé le Koursk, à l'aide d'unetechnique bien rodée, mais peu connue dupublic : le tir au contact. Cela se pratique depuis le début desannées soixante, entre sous-marins. Lesous-marin attaquant se porte au contactde son adversaire. Un revêtement decaoutchouc spécial, très épais, fait officed'amortisseur. L'attaquant tire alors unengin perforant, un simple obus, à détona-tion différée. Cela lui donne le temps deprendre le large avant que l'engin ne soitmis à feu. En visant la salle des torpilles l'o-bus fera un dégât considérable, maiscomme aucun signal sonar trahissant lacourse d'une torpille n'aura pu être détectéon peut imputer cela à un "simple acci-dent", à une collision. La guerre sous-marine est une réalité.Surtout lorsqu'il s'agit de transferts techno-

Les Russes ne craignent qu'une seule chose : que l'opinion internationale n'apprenne la présence de ce

général Chinois et de ces deux Arabes à Bord

L’arrière du Koursk vu depuisle trou pratiqué sur l’épave

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logiques à forte incidence stratégique. Lesous-marin américain coule le Koursk etprend le large.Et ensuite ? Les Russes ne craignent qu'une chose : quel'opinion internationale n'apprenne la pré-sence de ce général Chinois et de ces deuxArabes à Bord. Accessoirement, qu'ondécouvre l'existence de ces fameuses tor-pilles MHD, considérées comme Top Secret.Le croiseur Amiral Pierre le Grand lance doncun ordre sonar qui verrouille à distance tou-tes les issues du Koursk, met hors serviceses dispositifs d'évacuation et de communi-cation. Puis le croiseur émet un message àl'attention de tout ce qui navigue en Mer deBarentz : "le premier qui s'approche duKoursk, on le coule". Le Pierre Le Grand s'é-

loigne du lieu du naufrage. Ily a ensuite tentative de récu-pération des VIP à l'aide d'unsous-marin de poche. Pour cefaire les Russes amènent àpied d'œuvre un navire quiporte deux de ces engins surson pont. On a eu des imagespar satellites de tout cela, ycompris au moment où ilsavaient mis un des mini-sub-mersibles à l'eau. Résultat del'opération ? Ces engins nepouvaient évacuer que huit

personnes. Ce qu'on sait c'est que ça n'a paspu se faire et qu'il y a eu mutinerie. Le sous-marin de poche s'est éloigné. Quant à la récu-pération de l'épave "pour des raisons humani-taires" elle a fait sourire tout le monde. Ca n'est pas pour des raisons techniques quela partie avant a été sectionnée. Il devaitsubsister dans les restes de ce comparti-ment torpille des tubes encore chargésavec leurs torpil les MHD. Au fait, ”laGrosse”, quel diamètre ? Un mètre.

ConclusionOn trouvera à cette adresse : http://www.jp-petit.com/Koursk/Chinois_a_bord.htmune traduction d'un article paru dans leWorld Daily News du 17 septembre 2003 etqui confirme la présomption d'observateurschinois à bord du Koursk. A part ceux quifréquentent régulièrement mon site, cesinformations n'intéresseront personne.Tout cela montre simplement le caractèreextrêmement relatif de ce qu'on appelle “lavérité” et le doute qui peut planer sur toutce qui s'intitule “information”. Michel C., apparemment, n'a pas fait son film.La vie continue. Je repense au film montrant ledébut de l'enquête faite sur l'épave du Koursk.On voyait le procureur s'agenouiller et serecueillir en pensant aux victimes. Les parentsn'ont pas pu voir celles-ci tout se suite. Pourcertain corps, il a sans doute fallu dissimulerles impacts de balles. Qu'est-ce qu'on peutmentir sur cette planète, bon sang...

Jean-Pierre PetitPour écrire à l’auteur : [email protected]

POST SCRIPTUMAprès m'être informé auprès duTribunal où j'avais été condamné end i f f a m a t i o n d a n s l ’ a f f a i r ePetit/Giudicelli, j'ai pu apprendre quepuisque cette condamnation se réfé-rait à une affaire civile et non au pénalrien ne s'opposait à ce que je puissedemander à des tiers de m'aider àfaire face à cette amende, ce que jefais donc. Si vous souhaitez partageravec moi le fardeau de cette condam-nation (avec les frais de justice et d'a-vocat l'ensemble atteint les 8000euros) vous pourrez envoyer unchèque à :J e a n - P i e r r e P e t i t , c h e z J .Legalland, Lou Garagaï13770 VenellesPour en savoir plus sur l’affaire :http://www.jp-petit.com/Besoin_Aide.htm

PrécisionsUne vingtaine de collisions se seraient pro-

duites entre sous-marins russes et améri-cains depuis 1960. Par exemple le 30 octo-bre 1986 un submersible américain de clas-se Los Angeles a percuté un sous-marin K-219 russe en plein Atlantique. La collision

provoqua un incendie à bord de celui-ci,qui coula. Un "incident" similaire se produisit

en août 2000. Au moment où se déroulaient les manœuvresrusses en mer de Barentz au moins trois sub-

mersibles américains étaient présents surplace. Le Memphis, le Toledo et le Sprendid.Le Memphis, de la classe Los Angeles avait

été modifié pour "servir de banc d'essai à desarmes avancées".

L'hypothèse d'un abordage a été clairementévoquée dans un numéro de fin août 2000 dela revue Russe Zvatra, proche des milieux du

renseignement. Il y est dit que certaines unitésde sous-marins américains possédaient des

protections brise-glace, une vitesse accrue, lesrendant capables de réaliser des abordages

sous de forts angles sans subir de dommages.

La thèse officielleJ’ai été ingénieur d'essai de fusées à poudreà l'ex-SEPR en 1965-1966, quand son cent-re d'essai était à Istres, Bouches du Rhône.Les propulseurs de grande taille sontassemblés par blocs, fixés entre eux parune colle appelée "inhibuteur". Ce produit,relativement élastique, permet de gérerquelque peu les dilatations. Mais un défautdans le collage ou une fissure dans un bloc(défaut de fabrication ou "coup de froid")peut entraîner une prise de feu avecaccroissement de la surface de combustion,donc de la pression dans la chambre etfinalement explosion. Il serait donc exclude mettre à feu un missile propulsé parpoudre à l'intérieur de son tube de lance-ment. Or, quand il n'est pas mis à feu, unpropulseur à poudre est non-dangereux. Cerapide tour d'horizon incite à douter de lathèse de l'explosion accidentelle d'une tor-pille dans le compartiment de tir duKoursk. Il y a eu deux explosions, détec-tées et enregistrées par une station sismo-graphique norvégienne, distantes de deuxminutes. La thèse officielle est celle del'explosion accidentelle d'une torpille aucours d'une manipulation, suivie d'unincendie, suivi par une explosion plus forte(celle de la charge de cette torpille ou d'uneou plusieurs torpilles détenues à bord. Maison ne saura jamais ce qu'il en a été exacte-ment, les autorités russes ayant estimé queles résultats de l'enquête menée sur l'épaverelevaient du secret défense.

Le trou pratiqué à l’arrière de l’épave

LA VÉRITÉ SUR LA TRAGÉDIE DU KOURSK

L’ultime photo de l’épave duKoursk après récupération

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TOPTOP SECRETSECRETPARTIEPARTIE 77

VIDEOSVIDEOSPour illustrer notre dossier sur l’assassinat de JFK, voici l’ensemble de toutes lesvidéos tournées ce jour là.

1/ Son original des tirs 2/ Départ aéroport3/ Paschall 4/ Dorman 5/ Towner 6/ Martin7/ Bronson 8/ Hughes9/ Muchmore 10/ Muchmore211/ Film Orville Nix original 12/ Annalyse film Nix12/ Annalyse film Zapruder 14/ Film Zapruder classique13/ Zapruder classique 16/ Film Zapruder original15/ Annalyse ralenti Zapruder16/ Zapruder en version GIF (vous pouvez agrandir l’image au maximum avecla molette de votre souris)17/ Daniel 18/ Bell19/ Couch 20/ Wiegman 21/ Mentesana 22/ L’analyse du film de

Zapruder par Bill Cooper : la séduisante mais non moins erronée théorie du chauffeur

23/ Le clip de l’assassinat

Vidéo d’ovniVidéo d’ovniExceptionnellement, et compte tenu du nombre de vidéos présentées dans le dos-sier JFK, nous ne vous proposerons qu’une seule vidéo d’ovni dans ce cédérom.Pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agit d’une compillation de vidéos tournées parles caméras des hélicoptères de la police britanique. Impressionnant !

Lancez la vidéo

Vidéo KOURSKVidéo KOURSK

“ Il est au milieu du grand océan, dans une région où l’on ne passe jamais, une îlemystérieuse et isolée. Aucune terre ne gît en son voisinage et, à plus de huit

cents lieues de toutes parts, des immensités vides et mouvantes l’environnent.Elle est plantée de hautes statues monstrueuses, oeuvres d’on ne sait quellesraces aujourd’hui disparues, et son passé demeure une énigme." Pierre Loti

La découverteL'île de Pâques est l'îlot le plus oriental detoute la Polynésie, à près de 2000 millesmarins de la côte chilienne. Son isolement,à l'écart des grandes routes marines fut laraison pour laquelle elle resta si longtempsinconnue des navigateurs européens.

Le 5 avril 1722, au soir du dimanche dePâque s , l ' am i r a l h o l l a nda i s J a cobRoggereen et sa flotte aperçoivent uneterre inconnue. Il nomme alors l'île minus-cule : "Paasch Eylandt", soit l'île de Pâques.Le débarquement eut lieu le lendemainmatin, mais le premier contact avec la

population fut gâché par une tuerie. Unedizaine de Pascuans sont tués pour s'êtrelivrés au pillage sur les navires...Roggereen reprend son voyage le 10 avril,à la recherche du continent austral, butvéritable de son voyage. Sa courte visite luipermet de voir les gigantesques statuesdressées sur la côte, et son récit dévoile à

l'Europe l'existence d'une île étrange peu-plée de statues colossales.Et ce n'est que 50 ans plus tard, en décem-bre 1770, que les Pascuans distinguent denouveau des voiles à l'horizon. Il s'agitcette fois-ci de deux navires espagnolscommandés par Don Felipe Gonzalez y

Haedo. Les Espagnols prennent pos-session de l'île purement et simple-ment au nom de sa majesté le roid'Espagne, Carlos III. Elle est alorsrebaptisée Isla San Carlo.

Le 14 mars 1774, le fameux capitaine Cookfait escale à l'île de Pâques, lui aussi à larecherche du fameux continent austral. Sesd e u x n a v i r e s , l a " R é s o l u t i o n " e t"l'Adventure" mouillent alors dans la baiede Hanga roa.La rencontre avec les Pascuans est iden-tique, ils sont amicaux, mais terriblement

Son récit dévoile à l'Europe l'existence d'une île étrange peuplée de

statues colossales

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lleess ddeerrnniieerrss sseeccrreePREMIÈRE PARTIE

En 1722,JacobRoggereendécouvre l’îlede Pâques

chapardeurs et s'emparent de tout ce qu'ilstrouvent sur les navires... Aussi, JamesCook décide de repartir dès le troisièmejour pour éviter un regrettable incident.

L’expédition de La PérouseLouis XVI demande alors à La Péroused'entreprendre une grande expédition dansles mers du Sud pour "découvrir les terresayant échappé au Capitaine Cook."C'est ainsi que "l'Astrolabe" et "la Boussole"jettent l'ancre le 9 avril 1786 dans la baiede Hanga Roa. Comme avec les autresnavires, les Pascuans montent à bord et selivrent au pillage. Mais, finalement les rap-ports sont sans heurts et les femmes pas-cuanes sont une aubaine pour l'équipage,ce qui fait dire à La Pérouse : "Quant auxfemmes, je n'ose me prononcer si ellessont communes à tous... Il est certainqu'aucun indien ne parait avoir aucunefemme et, si c'est le bien de chacun, ils ensont très prodigues."Néanmoins, La Pérouse est le premier àvisiter l'île de fond en comble, à examinerle sol, les plantes, les cultures, la popula-

tion, les monuments, les statues...Durant cette exploration, Mr. de Langle,accompagné de plusieurs officiers et dujardinier des "jardins du Roi de France"sèment des graines, des choux, des carot-t e s , d e s be t t e rave s , du ma ï s , d e scitrouilles, des graines d'orangers et decitronniers, tandis que des chèvres, desmoutons et des cochons sont offertscomme présents aux habitants.Mr. de Bernizet, le géographe de l'expédi-tion, relève avec précision les plans desmonuments et des grandes habitations col-lectives.Et la flotte de La Pérouse disparaît mysté-rieusement en 1788. Ce n'est qu'une tren-taine d'années plus tard que l'on retrouve-ra les traces du naufrage aux îles de SantaCruz. Heureusement, Mr. de Lesseps, lorsd'une escale au Kamtchaka le 7 septembre,ramena le journal de Lapérouse. L'autrepartie fut envoyée, plus tard, de BotanyBay en Australie.

Fin de la civilisation pascuaneLa cohorte des expéditions suivantes,notamment celles des chasseurs d'escla-ves, déciment la population de l'île. Les"négriers" enlèvent les hommes et les fem-mes pour les revendre comme esclaves.Un millier de Pascuans sont ainsi capturés,soit plus de la moitié de la population del'île en 1862.L'évêque de Tahiti, Mgr. Tepano Janssenintervient alors auprès du gouverneur deLima pour que cesse ce trafic criminel d'es-

claves destinés aux carrières de guano duPérou, où la plupart meurent en quelquesannées!Les missionnaires arrivent alors au secoursdes Pascuans. Mais, s'ils parviennent à cal-mer l'ardeur des négriers, leur zèle évangé-lique contribue à la destruction totale des

archives du passé.En 1870, le missionnaire Hyppolite Rousseldécouvre aux mains des derniers habi-tants, des tablettes de bois recouvertes designes gravés, d'une écriture inconnue. Onles appelle "Kohau Ronqo Rongo", c'est-à-dire: Bois Parlants.Hélas, cette découverte fut fatale auxarchives de la civilisation pascuane. Lesmissionnaires donnèrent l'ordre de détruiretous les "rongo-rongo" existants sur l'île !On retrouve là encore le zèle iconoclastequi avait animé les missionnaires qui ontdétruit tous les vestiges écrits des civilisa-tions aztèque et incas.A ce jour, il n'existe plus guère dans lemonde qu'une trentaine de "Rongo-Rongo"dispersés de par le monde, entre lesmusées et les collections particulières, dontun important lot à Braine-le-Comte enBelgique.

Le mystère de l’écriture Rongo RongoLes pictogrammes gravés sur les tablettesreprésentent des personnages, des objetsutilitaires stylisés. Le nombre de caractèresest de l'ordre de 500 environ ! Il s'agit doncd'une écriture idéographique, et non d'uneécriture alphabétique ou purement sylla-bique. En dépit des contestations, cetteécriture s'apparente d'une façon frappanteavec l'écriture dite "proto-indienne" de lavallée de l'Indus.Cette écriture peut-être datée de 2600 à3000 ans avant J.C. minimum. Hélas, endépit des études entreprises, les écritures

de la civilisation harappéenne du Penjab,notamment celle de Mohenjo-Daro, n'ontpu être déchiffrées à ce jour !On ignore donc l'âge de ces tablettes"Rongo-Rongo", de ces bois parlants qui nesont pas originaires de l'île de Pâques etceci, pour la simple raison que leur bois

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Un texte de Fabrice BardeauUn texte de Fabrice Bardeau

En 1870, le missionnaire Hyppolite Roussel découvredes tablettes de bois recouvertes de signes gravés,

d'une écriture inconnue

Allignées en rang, ou éparses sur le flancs des colines dansun désordre mystérieux, l’énigme des Moai faisant face à lamer et aux étoiles, n’a pas fini de nous faire rêver...

n'existe pas sur l'île !Le seul bois dur disponible, celui dont on afait les statuettes des fameux "Hommes-oiseaux" les dieux des ancêtres sont sculp-tées dans le bois de "Toromiro" (Sophoratoromire) qui tend â disparaître définitive-ment.Les traditions locales se contredisent. L'unedit qu'elles ont été importées par les pre-miers colons venus sur les pirogues du chefHotu-Matua... L'autre affirme qu'elles ontété gravées dans l'île même, d'après desdocuments anciens aux mains des envahis-seurs polynésiens.L'écriture de ces bois gravésdécouverts sur l'île dePâques est unique enson genre . I l s ' ag i t ,comme pour l e g recancien, d'un "boustro-phédon", mais inversé,les lignes impaires étantorientées de gauche àdroite, les lignes paires dedroite à gauche, et chaquesigne étant placé la tête enbas ! Il semble que les indigènes aient su lire lesKohau rongo rongo jusque vers le milieu duXVIIIe siècle. La tradition s'est perdue à

jamais -comme toutes celles détruites de lamême manière, les hiéroglyphes égyptiensou mayas, par exemple- avec la mort dudernier grand chef en 1860 tout justeavant l'arrivée des missionnaires. Un fait est certain, c'est que l'écriture destablettes "Rongo-rongo" offre une tellesimilitude avec l'écriture proto-indienne dela vallée de l'Indus, encore indéchiffrée,qu'il n'est pas possible de douter d'unerelation évidente entre les deux.Les pictogrammes gravés sur les tablettesreprésentent des personnages, des pois-sons, des lézards ou des caïmans, des sin-ges, pagaies, oiseaux stylisés, etc... Il s'ytrouve même des éléphants !Or, les singes et les éléphants étaient tota-lement inconnus sur l'île de Pâques...Non, seulement les envahisseurs de l'île dePâques sont venus de l'Ouest, mais ils sontcertainement originaires de l'Asie Sud-Orientale : comme le laisse à penser la pré-sence de ces an imaux inconnus enPolynésie. On affirme même que cette écri-

ture est à l'origine de toutes les écritures etmême de l'une des plus anciennes, l'écritu-re chinoise !

Mata kiterani, les yeux qui regar-dent les étoiles...Depuis les débarquements des envahis-

seurs polynésiens jusqu'aux marins euro-péens ce sont les statues de l ' î le de

Pâques, les MOAI, qui ont laissé la plusforte impression à tous les visiteurs...De leurs grands yeux aux orbites vides, cesimmenses têtes regardent le ciel et don-nent l'impression de scruter les étoiles d'oùsont venus, il y a des millénaires, ces dieuxqui ont laissé tous ces témoignages...Il y a peu, on a retrouvé les yeux disparus.Sur le site d'Anakena, les yeux brisés sur lesol et reconstitués coïncidaient exactementavec les orbites vides des statues. Tous lesMOAI avaient des yeux en os, ou en vertè-bres de requins, avec incrustation d'obsi-dienne ou de corail pour la pupille.Les têtes sculptées des MOAI sont d'uneimpressionnante majesté. Leur hauteurvarie en général de 4 mètres à 6 et 8 mèt-res. La plus grande se trouve sur la côteNord sur l'ahu Te Pi to Te Kura, elle mesureplus de 10 mètres de haut et son poids estestimé à plus de 85 tonnes !Ce qui est le plus frappant, c'est que toutesces têtes sont comparables à des têtes deVikings, avec une barbe ! Elles n'ont rien àvoir avec les Polynésiens ou les Pascuanssuccesseurs...Dans ce faciès, aucune caractéristique des

Cette écriture serait à l'origine de toutes les écritures et même de l'une des plus

anciennes, l'écriture chinoise !

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DERNIERS SECRETS DE L’ÎLE DE PÂQUES

La plus grande de toutes les stLa plus grande de toutes les staa--tues de l’île est restée figée danstues de l’île est restée figée dansla pierre. Enigme entêtla pierre. Enigme entêtante, elleante, elleaurait pesé entre 130 et 150 tonaurait pesé entre 130 et 150 ton--nes.nes. Elle sert aujourd’hui de terElle sert aujourd’hui de ter--rain de jeux aux enfantrain de jeux aux enfants.s.

Une des tablette "Rongo-Rongo"

originaires polynésiens : il s'agit de nezaquilins, de lèvres fines, de fronts hauts,bref, il est bien évident qu'elles furentsculptées il y a des milliers d'années par unpeuple totalement différent et étranger auxenvahisseurs maoris.Par ailleurs, les primitifs qui s'installèrent surl'île n'étaient pas en mesure de sculpter desmonolithes aussi imposants avec les outilstrès rudimentaires en leur possession : pier-re taillée, os, bois, etc. Jusqu'au XIXe siècle,les habitants de l'île étaient des tribus guer-rières, anthropophages, qui se livraientencore aux sacrifices humains, avec desconnaissances technologiques très rédui-tes...Les têtes géantes, les MOAI, sont presquetoutes disposées au bord des falaises etelles font toutes faces à la mer. On ignoretotalement, eu égard à leur poids et à leur

taille, et malgré les hypothèses les plusdélirantes, comment elles furent déplacéesde leur carrière ?Des centaines de statues gisent, éparses,au pied des pentes herbeuses du volcanRANO RARAKU, où elles sont encore empri-sonnées dans la pierre... Il en existe enco-re une quantité qui sont couchées dans lapierre où elles ont été taillées, mais nondéplacées, et encore solidaires de la roche. Sur cet îlot de 117 km, 2900 MOAI gisentprès des ahu et dans la carrière du volcan

RANO RARAKU culminant à près de 150mètres.Toutes ces sculptures ont été abandonnéesà différents stades de leur fabrication !Certaines sont à peine ébauchées, d'autrespresque finies, d'autres achevées et fine-ment travaillées semblant prêtes à êtreenlevées...Leur taille moyenne varie entre 5 et 7 mèt-res. La plus gigantesque occupe toute l'ar-rête de la montagne sur plus de 30 mètresde long où elle est encore sertie dans laroche. Elle aurait pesé entre 135 et 150tonnes ! Mystère...

Pour seule explication, la légendeOn se demande pourquoi ces très lointainsancêtres se sont donné autant de mal poursculpter ces gigantesques têtes de pierre,pour finalement abandonner leur ouvrage,

alors inachevé.On se pose la ques-tion, d'ailleurs, pourtous les monumentscyclopéens qui ont

été édifiés par les lointains ancêtres,comme pour toutes les pyramides, parexemple ?Les légendes racontent que le fameux"MANA", cette force comparable à la lévita-tion permettait de déplacer les statuesaprès leur finition au pied du volcan RAIVORARAKU. Les géants de pierre étaient ainsiacheminés, parfois à plus de 10 Km de dis-tance ! "TUU KO IHU" ordonnait aux sta-tues de "marcher" jusqu'au lieu qui leurétait destiné.Enfin, pour donner vie à la statue, il fallaitla coiffer d'un énorme cylindre de tuf volca-nique rouge, le "pukao", sorte de chapeauterminé par un bouton conique.Beaucoup de statues furent basculées parles différents envahisseurs, et en 1834, l'a-miral Dupetit-Thouars sera le dernier euro-péen à contempler les statues complètesdressées sur leur plate-forme.Le mystère des têtes de l'île de Pâques, éri-gées par un peuple inconnu, il y a desmilliers d'années, bien avant l'arrivée desPolynésiens, reste une véritable énigme.

À SUIVRE...

Fabrice BardeauPour contacter l’auteur, écrire à la rédaction

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Les MOAI, sont presque toutes disposées au bord des falaises, et

elles font toutes faces à la mer

LL ’’ éé tt oo ii ll eeddeess RRooiiss MMaaggeess

Un texte de Michel GirardUn texte de Michel Girard

Le 7 juin 2002, Michel Girard m’écrivait un petit mot accompagné d’une disquette :“J’ai bien conscience de la profusion des thèses qui se bousculent, soit pour vili-pender Jésus-Christ, ou le ramener au rang d’imposteur, soit pour valoriser les

extraterrestres qui détiennent la Terre depuis des milliers d’années et qui se disentprêts à venir aider les hommes à parvenir à la paix et au bonheur. Il faut se demanderpourquoi ils ne s’en sont pas souciés avant. Pourquoi le fait que depuis la procréationde l’homo-sapiens (par eux) son histoire ne fut que malheur, crimes, guerres, massa-cres, souffrance et mort ? Comprenez que c’est au fruit d’un arbre que l’on reconnaîtson espèce. (...) Voici un article sur “l’étoile des rois mages et des bergers” lors de lanaissance du Christ. Un article de circonstance à l’approche de Noël... Depuis monenfance, j’ai trop entendu prononcer d’imbécillités sur le sujet...” Un article de circonstance en cette période de Noël 2003, et en même temps un articlehommage à Michel Girard qui nous a quitté le 30 janvier 2003, à la suite d’une attaquecardiaque.

Roch Saüquere

Depuis quelques décennies, la scienceastronomique, infatuée à cause de sesconnaissances mathématiques stellaires etde ses découvertes en la matière, a cru bondevoir s'impliquer à rechercher dans lepassé d'il y a 2000 ans quelle étoile oucomète avait pu être responsable des récitsdu Nouveau-Testament qui dépeignent lecontexte mettant en scène le voyage desrois mages de leurs pays orientaux àBethléem en Israël où ils vinrent honorer lanaissance de Jésus. Il est manifeste que l'intention de ces"chercheurs", en général cartésiens, fut de

décrédibiliser en le minimisant le récit del'Évangile. Bien évidemment, leurs recher-ches qui ont donné naissance à diversesthéories ne peuvent satisfaire l'épris d'é-noncés rationnels conformes à ce que rela-tent les textes de l'Évangile.

Les textesVoici reproduits ici pour mémoire les faitsrelatés par l'évangile :"Jésus étant né à Bethléem en Judée, autemps du roi Hérode, voici des magesd'Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent :Où est le roi des Juifs qui vient de naître ?

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Car nous avons vu son "étoile" en Orient,et nous sommes venus pour l'adorer...Alors Hérode fit appeler en secret lesmages, et s'enquit soigneusement auprèsd'eux depuis combien de temps "l'étoile"brillait...Après avoir entendu le roi (Hérode), ils par-tirent. Et voici, "l'étoile" qu'ils avaient vue enOrient marchait devant eux jusqu'à ce qu'étant arrivée au-dessus du lieu où était lepetit enfant, elle s'arrêta. (Mathieu 2 : 1-10. A-t-on jamais vu une étoile, qui est unsoleil, une masse incandescente gigan-tesque "suspendue" dans le cosmos, s'ani-mer à des dizaines d'années-lumière et ycheminer. Peut-on imaginer qu’une étoileou même une comète, parvenue au-dessusd'un lieu précis qu'elle connaîtrait et vou-drait désigner à ceux d'entre les humains,infinitésimales "poussières", qu'elle auraitmystérieusement engagés à tout quitterpour la suivre, puisse s'arrêter juste au-dessus du lieu en question ?... Et dire que

beaucoup croient à cette baliverne scienti-fique. Quelle inimaginable idiotie de la partdes astrophysiciens que de perdre leurtemps à chercher quel astre aurait pu êtreresponsable de cet "exploit" totalementinvraisemblable... Exploit d’autant plusirréaliste que même si l’on éliminait lesobjections précédentes, il resterait cettedernière : une étoile ou une comète, depart la distance qui les sépare de la terre,ne permettraient en aucun cas à un obser-vateur au sol, de définir un point géogra-phique précis.Des exégètes qui ont étudié ce contextepensent que les rois mages devaient venirde la Perse (l'actuel Iran). Qu'importe, ilsvenaient de l'Est par rapport à Israël.Pourquoi la notion de "roi mage" ? C'estparce qu'à cette époque, les rois étaientnon seulement des souverains, mais ausside hauts initiés à l'astrologie et à la magie.Par leur art paranormal, aujourd'hui dégra-dé, ils acquirent sans nul doute la révéla-tion que le Christ allait ou venait de naîtresur Terre. Mais où ?... Par le récit reproduit ci-dessus,et sans doute parce que ces initiés auxmystères étaient métaphysiquement ouspirituellement connus des êtres extrater-restres qui servent DIEU, ces dernierss'employèrent à se manifester à eux.Comment ? Tout simplement par leur vais-

seau aérien lumineux que la Bible désignesous le vocable "Nuées". C'est sans nuldoute possible par un vaisseau qu'ils guidè-rent ensuite d'une certaine altitude les "roismages" jusqu'en Israël. Rien de ce que le récit relate ne permet deprétendre qu'ils en furent avertis par uneauthentique étoile qui, comme chacun lesait, est un astre fixe dans le ciel à unemplacement déterminé et immuable. Ilest donc absurde d'envisager qu'un telastre se serait mis en marche dans le cos-mos à des milliards de kilomètres, et seserait déplacé lentement pendant dessemaines au point de pouvoir guider decette distance les rois mages à travers lesterritoires orientaux menant à Bethléem. Voici maintenant l'autre texte de l'Évangilequi permet d'appréhender et de comprend-re ce qui fut considéré par les rois magescomme une étoile. Il s'agit de l'annonce quifut faite aux bergers israéliens qui faisaientpaître leurs troupeaux à proximité de

Bethléem au moment où Jésus naquit :"Il y avait dans cette même contrée desbergers qui passaient dans les champs lesveilles de la nuit pour garder leurs trou-peaux. Et voici, un ange du Seigneur leur apparut,et la gloire du Seigneur (la grande lumino-sité) resplendit autour d'eux. Ils furent sai-sis d'une grande frayeur. Mais l'ange leurdit : Ne craignez point; car je vous annonceune bonne nouvelle, qui sera pour tout lepeuple le sujet d'une grande joie ; c' estqu'aujourd'hui, dans la ville de David, ilvous est né un Sauveur, qui est le Christ, leSeigneur... Lorsque les anges les eurentquittés pour retourner au ciel, les bergersse dirent les uns aux autres : Allons jusqu'àBethléem, et voyons ce qui est arrivé...etc." ( Luc 2 : 8-15)Selon tous les récits de la Bible relatifs auxêtres venant de l'espace qui furent appelés"anges" (du grec Aggelos : Messagers), ilssont décrits comme anthropomorphiquesen tous points semblables aux humains, àl’exception peut-être de leur taille. La caté-gorie que j'évoque est en quelque sortecomposée "d'hommes" extraterrestres,c'est-à-dire venant de destinations autresque de la Terre. Du reste, St.Paul qui futinitié aux mystères du monde par le Christressuscité en a parlé en ces termes, exhor-tant ses disciples à pratiquer l'hospitalité,

sous peine de la refuser éventuellement àun "ange" d'entre ceux qui peuvent venirdu Divin et qui parfois circulent sur Terreparmi les humains : "N'oubliez pas l'hospi-talité ; car en l'exerçant, quelques-uns ontlogé des anges, sans le savoir..." (Hébreux 13 : 2). Et d'attester de ces êtres appelés "anges"ou "dieux" résidant autant dans le ciel quesur la Terre : "Car, il est des “êtres” quisont appelés "dieux", soit dans le ciel, soitsur la Terre. Il existe réellement plusieurs"dieux" et plusieurs seigneurs (chefs)..." (1 Corinthiens 8 : 5)

L’étoile, un ovni ?Il se comprend aisément que ces cosmo-nautes extraterrestres à qui nous ressem-blons tant ne sont pas munis d'ailes de plu-mes émergeant d'entre les omoplates et nese déplacent pas dans le vide du cosmos àla manière des oiseaux. Ils utilisent desengins comme nous le faisons déjà nous-mêmes pour nous y déplacer, quoique lesnôtres soient encore bien archaïques auregard des leurs. Il s'agit des véhicules aériens qui furentassez récemment surnommés en France"ovni" (Objets Volants Non Identifiés). Cequi signifie tout simplement qu'ils ne sontpas classifiables selon la nomenclatureinhérente à notre technologie. Depuis le 24 juin 1947, date à laquelle seproduisit la première grande vague moder-ne d'OVNI dans notre environnementaérien, des milliers d'observations sur toutela planète ont permis de mieux comprendrece que les textes anciens relataient lesconcernant. Nous savons maintenant beau-coup de choses sur ces engins d'outreespace. Entre autres que leur systèmefonctionnel ionise leur structure externe, ce

C'est avec un vaisseau qu'ils guidèrent ensuite d'unecertaine altitude les "rois mages" jusqu'en Israël

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qui a pour effet de les rendre lumineux.Cette luminosité peut évoluer du rougesombre au blanc magnésium se consu-mant, en passant par toutes les colora-tions. C'est cette dernière luminosité citée,extrêmement blanche et puissante, jusqu'àêtre insoutenable au regard, qui fut appe-lée "gloire" par les anciens qui ne pou-vaient analyser et concevoir comme nousl'origine de ce phénomène. C'est donc un OVNI qui émit cette très viveluminosité au-dessus et autour des ber-gers, et c'est de lui que descendit "l'ange"du camp du Divin qui annonça la naissancede Jésus aux bergers de sa région. Ceci étant fait, cet "ange" et d'autres qui setrouvaient avec lui s'en retournèrent vers lecosmos. Dès lors, il devient plus aisé decomprendre quelle était la nature de cette"étoile" qui apparut aux rois mages enOrient et qui, parcourant l'atmosphère àfaible vitesse et distance du sol, à leur ryth-me de progression nocturne, les guidachaque nuit jusqu'à Bethléem, s'arrêtant

enfin juste au-dessus du lieu où Jésusvenait de naître. Cette précision impliqueen effet qu'il s'agit d'un ovni lumineux quidevait voler à faible altitude, sans quoi iln'eut pu guider les rois mages à leur ryth-me et se figer à la verticale de la crèche...Un ovni lumineux de 12 m de diamètrevolant à 300 m du sol (hauteur du 3èmeétage de la tour Eiffel) serait déjà observédu sol comme un gros point lumineux de ladimension d'un confetti...

Présences d’ovnis dans la bibleJe profite de la circonstance, m'appuyant

sur cette connaissanceacquise, pour rappeler queJésus fut également ascen-sionné du sol vers le cielpar un ovni appelé "Nuée"comme rapporté par lesnarrateurs de l 'époque.Pourquoi cette idéation ?Parce que, sous certainesconditions inhérentes àleur fonctionnement, cesengins catalysent parfoisautour de leur structureexterne une condensationvaporeuse qui leur donne alors l'aspectd'une "nuée". Lorsque cela se produisait lanuit et qu'ils étaient luminescents, lesanciens les appelaient "Nuées lumineuses".C'est encore un ovni de forme allongée (uncigare, terme utilisé par les ufologuesaujourd’hui) qui guida les Hébreux dans ledésert à leur sortie d'Égypte. Le jour, ils levoyaient à la manière d'une "colonne denuée" et la nuit comme une "colonne de

feu", sa structure externe ionisée, lumines-cente, lui donnant cet aspect surréaliste... C'est encore un ovni très lumineux ayantJésus à son bord qui intercepta St. Paul surla route de Damas où il se rendait pour per-sécuter ses disciples, étant mandaté pourcela par le Sanhédrin...

Deux types “d’Anges”A Fatima en 1917, au cours d'une manifes-tation paranormale dont chacun a entenduparler, la foule crut voir le soleil tournoyersur lui-même en émettant des étincellesmulticolores (voir notre dossier sur Fatima.TOP SECRET N°2). Il s'est simplement agid'un gros ovni tournoyant sur lui-même enémettant des étincelles qui s'interposaentre le Soleil et la foule. L'entité qui se fit observer par les visionnai-res du lieu, en provenait sans doute, ouétait de toute évidence en relation avec sesoccupants. Il n'y a rien de mystérieux entout cela. L'ignorance de cette réalité d'o-bédience extraterrestre est le résultat dusilence des autorités scientifiques et reli-gieuses qui s'entendent à cacher cette véri-té à tout prix. Il ne fait aucun doute que les "anges"demeurés fidèles à DIEU (notamment ceux

qui guidèrent les rois mages), et les rebel-les qui se sont emparés de la Terre, utili-sent les mêmes vecteurs aériens pour cir-culer dans cette réalité. Notre planète ayant été mise en quarantai-ne cosmique jusqu'au Retour en puissancede Jésus-Christ, il se déduit que la majoritédes ovnis que les hommes observent engrand nombre depuis la nuit des temps, etplus particulièrement depuis 1947, sontceux des appelés "anges déchus”, qui prati-quent entre autres expériences, les enlève-ments, les prélèvements génétiques, lesposes d’implants, les mutilations, etc... etparfois quand le besoin s’en fait sentir, tou-tes sortes de miracles qui maintiennent l’hu-manité dans une superstition infantile. Beaucoup viennent du royaume souterrainque le Boudhisme appelle Agartha (voirTOP SECRET N°4). Il n'y a rien de bon àattendre de ceux-là pour qui les humainsne sont que quantité négligeable, en dépitdes beaux discours...

ConclusionTelle est la solution du mystère de "l'étoile"qui conduisit les rois mages pendant dessemaines de leur contrée orientale àBethléem. La même sans doute, ou unesimilaire, vint prévenir les bergers de larégion de la naissance de Jésus. Il n'y arien là de "théophanique", appellation litur-gique donnée par l'Eglise Catholique romai-ne pour embrouiller les esprits et cacher lavérité qu'elle connaît fort bien...

Michel GIRARDRemerciements profonds à son épouse

et à ses enfants.Vous souhaitez réagir à ce texte,

contactez la rédaction :[email protected]

L’ÉTOILE DES ROIS MAGES

L'ignorance de cette réalité d'obédience extraterrestre est le résultat du silence des

autorités scientifiques et religieuses qui s'entendent à cacher cette vérité à tout prix