top secret - 07...les sujets et articles diffusés dans le magazine top secret ne sont jamais...

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TOP SECRET # #7 ENIGMES DE LA SCIENCE Nous a avons t t ous b besoins d de v v érité Nous a avons t t ous b besoins d de v v érité 3:HIKLSF=\UZZU\:?k@a@a@h@k; M 01857 - 7 - F: 5,50 E - RD PLAN PLAN È È TE X X TE X X La f f in d d u m m onde n n ’est La f f in d d u m m onde n n ’est pas p p our m m aintenant ! ! pas p p our m m aintenant ! ! ET A A USSI : : ET A A USSI : : Les News de l’Energie Libre les news de l’ufologie Les anomalies de l’espace le chiffre de la Bête vortex temporel à Versailles

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Page 1: Top Secret - 07...Les sujets et articles diffusés dans le magazine TOP SECRET ne sont jamais vul-gaires, ni obscènes, et ils ne portent pas atteinte à la dignité humaine, au contrai-re

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SECR

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ENIGMES DE LA SCIENCE

Nous aavons ttous bbesoins dde vvéritéNous aavons ttous bbesoins dde vvérité

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les news de l’ufologieLes anomalies de l’espace

le chiffre de la Bêtevortex temporel à Versailles

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Les sujets et articles diffusés dans le magazine TOP SECRET ne sont jamais vul-gaires, ni obscènes, et ils ne portent pas atteinte à la dignité humaine, au contrai-re. Il n’en demeure pas moins que certaines informations peuvent heurter et désta-biliser le lecteur. Nous demandons donc aux personnes sensibles de bien consi-dérer le fait que la plupart de ces informations, de par leur nature, n’ont pas pu êtrevérifiées. En effet, les sujets abordés ici s’avancent bien souvent à la lisière etmême au-delà de nos connaissances. Certaines des expériences relatées dépen-dent de l’interprétation des témoins qui les ont vécues, et certaines théories sontsoumises aux limites de la compréhension des chercheurs et auteurs qui ont étu-dié les phénomènes s’y rapportant. Bref, ces informations flirtent souvent avecune frontière trouble que la science officielle et les bien pensants se sont refusésd’explorer, et que nous avons décidé d’aborder, armés de notre seule curiositésincère. Si donc, pour une raison quelconque, vous sentez que certains articlespeuvent vous perturber, notre but n’étant bien évidemment pas de nuire à autrui,

nous vous recommandons de ne pas poursuivre votre lecture et de considérer toutcela comme un jeu, purement intellectuel, qui consiste à “jouer à se faire peur”.Quant à ceux qui aiment se confronter à une autre réalité, la regardant davantagecomme une possibilité et comme un champ d’investigation, plutôt que comme unecertitude, nous espérons qu’ils prendront plaisir à lire ce magazine. Nous n’affir-mons rien, nous ne militons pas, mais nous revendiquons un droit essentiel : celuide nous poser des questions, même des questions qui effraient, ou qui fâchent,qui peuvent paraître ridicules, ou naïves, considérant que ce droit de s’interrogerest non seulement un droit de la presse, mais plus généralement un droit naturel,inaliénable et sacré de l'homme.

Top Secret est conçu comme un puzzle dont personne ne sait à l’avance ce quesera la représentation finale.L’aventure continue, le meilleur est encore à venir...

mise en gmise en g ardearde

FEDERAFEDERATION FRANCAISE D'UFOLOGTION FRANCAISE D'UFOLOGIEIEhttp://f.f.u.free.fr/http://f.f.u.free.fr/

La FédérLa Fédération Fration Française d'Ufançaise d'Ufologie poursuiologie poursuit les objectit les objecti ffs suis sui--vvants : Efants : Efffectuer des rectuer des recherecherches sur le phénomène oches sur le phénomène ovni survni surl'ensemble du terril'ensemble du terri toirtoire fe frrançais. ançais. SSensibiensibilliser la population, lesiser la population, les

instiinstitutions sur le phénomène OVNI.tutions sur le phénomène OVNI. PublPublication d'une rication d'une revue trievue tri--mestrielmestriel le "OVNI Frle "OVNI France". Cherance". Chercher des fcher des fonds pour divonds pour divers trers traavvaux de raux de recherecherches dans le domaine de l'ufches dans le domaine de l'ufologie. Crologie. Création d'uneéation d'une

banque de données sur les observbanque de données sur les observations d'oations d'ovni en Frvni en France. Crance. Création de stages d'enquêteurs pour une harmonisation nationale deéation de stages d'enquêteurs pour une harmonisation nationale decolcol lecte de données. Crlecte de données. Création de divéation de divers grers groupes de troupes de traavvaiai l ll l iés au phénomène oiés au phénomène ovni (scientivni (scientifique, analyse, photos, vidéos etc.fique, analyse, photos, vidéos etc., etc., etc.).).

DélDél ivrivrance de bourses aux divance de bourses aux diverses personnes ou associations aerses personnes ou associations ayyant un prant un projet important pour la rojet important pour la recherechercheche ufufologique.ologique.

http://www.ufocom.org/

Vous venez d'observer un ovni ? Vous n'avez pas accès à l'Internet, gardez et diffusez ce numéro de téléphone mis à disposition par legroupe Ufocom 32 (0)2 612 13 25 32 (0)2 612 13 25 Vous pouvez appeler ce numéro de téléphone situé en Belgique (appel international normal) afin de nouslaisser votre témoignage ou observation. Les appels anonymes, canulars et blagues seront effacés automatiquement. La ligne est disponible 24 h sur 24 et7 jours sur 7. Il s'agit d'une boîte vocale. N'hésitez pas à copier ce numéro et à le garder dans votre portefeuille et dans votre voiture. Passez le mot. La dif-fusion de ce numéro est vivement encouragée. En cas d'observation, appelez également le bureau local de la police. De cette manière, vous laisserez unetrace officielle de votre observation. Nous avons une radio sur le web. Notre Call Center pourra nous aider à vous donner l'opportunité de réagir et de vousexprimer en ligne. Thierry Wathelet - UFOCOM

http://ovni.science.free.fr/"Quand arrivera la solution à l'énigme des OVNI, je pense qu'elle se révélera être non pas juste un pas deplus dans l'avancement de la science, mais un saut quantique puissant et inattendu."

Joseph Allen Hynek

MARDI 3 juin 2003 - MARDI 1er juillet 2003

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Editorial

D’une nature extrêmement impressionnable, l’humanité neréunit-elle pas les conditions idéale d’une espèce destinée audressage ? Particulièrement sensible aux images, aux codes etaux symboles, l’Etre Humain est en effet un animal extraor-dinairement conditionnable. On pourrait croire en fait qu’il aété justement conçu et programmée dans cette optique pardes “Dieux” venus du ciel ; véritables entités extraterrestresqui décidèrent de se façonner des esclaves à leurs images. Lapeur innée du patron, autorité supérieure inabordable, toutcomme l’adulation irrationnelle des fans pour des vedettesqu’ils voient vivre sans pouvoir les toucher, sont peut-être desréflexes conditionnés hérités de ce lointain apprentissage. Unjour, il faudra se poser la question...

De nombreuses photographies de ce magazine proviennent dessites Internet de la NASA, et plus spécifiquement du bureau d'histoi-re de la NASA, du centre de l'espace de Kennedy et du centre del'espace de Johnson ! Ces photographies ont été rassemblées dediverses sources publiques, et sont entrées dans le domaine publicsauf indication contraire. Toutes les photographies provenant del'appareil photo Mars Orbiter Camera sont utilisées parce que leMalin Space Science Systems le permet. En conformité avec lerèglement sur l'utilisation de ces images, l'intégralité du crédit de cesimages appartient au NASA/JPL/Malin Space Science Systems. Demême qu'appartiennent à la Nasa toutes les images astronomiquesprises par les différentes sondes et engins de l'exploration spatiale.Toutes ces images peuvent être téléchargées et employées dansn'importe quel but non interdit par loi. Elles ne peuvent, cependant,servir de label ou logo, ni laisser entendre qu'elles impliquent un par-tenariat commercial quelconque entre la Nasa et une autre société,dans le but d'inciter l'approbation de toute personne sur un produitou un service.

TOP SECRET. Magazine bimestriel - Directeur de la publication-Responsable Editorial Roch Saüquere. Ont participé à la rédaction :les webmasters et auteurs des sites référencés dans le magazine.Corrections : Sophie Hartung. Imprimé par JOMAGAR. MadridEspagne -Distribution NMPP. ISSN : 1638-0142 -Dépôt légal à paru-tion. Top Secret est édité par EDEN EDITION SARL au capital de7622,45 euros - Principal actionnaire Roch Saüquere - Siège social :29 , rue St Fargeau. 75020 Par is - Te l : 06 61 42 34 16 .http://www.topsecret.fr L'éditeur décline toute responsabilité quant aux contenus et opinionsformulées par les articles contenus dans les sites Internet référencés,celles-ci n'engageant que leurs auteurs. Tous les textes ont été sou-mis à l'acceptation par l'auteur de leur libre publication dans le jour-nal. Toute reproduction, toute traduction pour tous pays et tout sup-port, intégral ou partiel, fait sans le consentement de l'auteur sont illi-cites. Toute copie autre que destinée à un usage personnel est stric-tement interdite. Tous droits réservés sur le matériel photo qui n'au-rait pas fait l'objet d'une convention antérieure à la parution en raisondes difficultés d'identification liées au réseau Internet.

La guerre des moutons

Questions : Comment peut-on être rationnel dans unmonde qui ne l'est absolument pas ? Qui a pillé le muséede Bagdad ? Pourquoi la veille du pillage, annonçait-on à

la télévision que le musée de Bagdad ne risquait rien, car lesaméricains l’avaient protégé avec des barbelés, et parce que deuxchars se tenaient en faction devant la seule entrée, maintenant lapopulation à distance ? Pourquoi ce dispositif de sécurité a-t-ilsoudain été abandonné ? Comment les pillards ont-ils pu empor-ter des vestiges de poids, et notamment 80 000 tablettes d’écri-ture sumérienne (comme cela a été dit), bref comment ont-ils puvider un musée d’une telle importance en une nuit, qui plus estsans être arrêtés ? Pourquoi le père Noël est-il sensé vivre aupôle nord ? Pourquoi est-il entouré de petits lutins ? Que s'est-ilpassé réellement au Pic de Bure ? Qu'a-t-on trouvé sous les sta-tues de Bamyan ? Qui a sauvé de la faillite la première société deGeorges Bush fils au Texas ? Pourquoi pendant tout le reportagede soir 3 du 27 décembre sur la grève de obstétriciens a-t-onplacé en bande sonore subliminale sur des images de bébés desbêlements répétitifs de moutons ? Pourquoi, deux mois avant lapremière guerre du Golf, Georges Bush père a-t-il vendu tous sesactifs dans sa société au Koweït, société qui avait fait sa fortune ?Quelle était la seule ambassade encore réellement active àBagdad pendant la guerre ? Si la théorie de l’évolution n’est -jus-qu’à preuve du contraire- qu’une théorie non prouvée devenuedogme, comment peut-on affirmer avec autant de certitude quele virus de la pneumopathie est un virus qui a muté spontané-ment ? Comment parvient-on à justifier une telle mutation ?N'est-ce pas important, comme le suggérait le Petit Prince, des'interroger sur les raisons secrètes qui font que les moutons etles roses se livrent depuis toujours une guerre sans merci… ? “Je lui dessinerais une muselière à ton mouton...” proposa l’avia-teur au Petit Prince. Mais il oublia d’ajouter la courroie de cuir àson dessin, si bien qu’à son retour sur sa planète, le Petit Princen’a pas pu attacher la muselière au mouton. Le mouton a-t-ilmangé la fleur ?... “C’est là un bien grand mystère. Regardez leciel. Demandez-vous : le mouton oui ou non a-t-il mangé la fleur? Et vous verrez comme tout change... Et aucune grande person-ne ne comprendra jamais que ça a tellement d’importance !”C’est sur cette grande question que se termine “Le Petit Prince”de Saint-Exupéry.

Roch Saüquere

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TOP SECRET # 7

SOMMAIRE

EDITORIAL 3Roch Saüquere

LES NEWS DE L’ENERGIE LIBRE 5J. et B. Soarès

LE JOURNAL DE L’UFOLOGIE 8Jean-Jacques Yvars - Marc AngeeUFOWEB-FRANCE - IPANI

CHASSEURS D’ANOMALIES 12Eclipse, Mars, Lune, Peintures...Christian C. - Rox A. - Guy Gruais

PAPOUASIE-NOUVELLE-GUINEE 221959, Rencontre du 3ème TypePatrick Gross

SURPRENANTE VIDEO FILMEE AU COL DE VENCE 26Une analyse de l'équipe ADV de l'UFOCOMAlain H, Alain DH, Bertrand P, Simone B, Yves D

COSTA RICA - 1971 30L’indiscutable preuve ?...Jérôme Beau

COMMANDE ANCIENS NUMEROS 33

COMMANDE DU cederom 34

PLANET X - Mai 2003 35La Fin du Monde n’aura pas lieuJean Sider

ABONNEZ-VOUS 39

NEWS PUBLICATION 40

JE NE SUIS PAS UN NUMERO ! 60Willmore

Hauts-Lieux 62VERSAILLES ET SES MYSTERESMarc cohen

DOSSIER 41HAARPLe Contrôle du Climat

Par Mickaël GOLAN

DOSSIER 50

Si RENNES-LE-CHÂTEAU

m'était conté…

Par Paul ROUELLE

TT OPOP SECRET SECRET - 4

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Les News del’Energie LibreLe site Quant’homme œuvre dansl’intérêt de tous et devrait être toutsimplement déclaré d’utilité publique !

http://quanthomme.com

ENERGIE - DES SOLUTIONSP O U R P R O D U I R E S A N SDETRUIRE L'ENVIRONNEMENT

"Il n'y a pas de crise de l'Energie,m a i s s i m p l e m e n t u n e c r i s ed'Ignorance" B.Fuller

1/À la quête du mouvementperpétuelUne nouvelle transmise par un de nos fidè-les lecteurs : elle est parue en Août 2001dans “Le Nouvelliste, Saint-Léonard-d'Aston”sous la plume de Brigitte TrahanRichard Harel estime que ses inventionspermettraient de fournir de l'énergie gratui-te. Il assure qu'il a découvert le moyen -etun moyen purement mécanique, précise-t-il, d'annuler complètement la friction maisrefuse malheureusement de dévoiler cetaspect plus délicat de son brevet pour nepas se faire voler son idée. C'est dommage,car c'est là le noeud du problème de tousles systèmes de ce genre.Une de ses inventions, donc, est faite d'unessieu à travers duquel passent plusieurslongues tiges. Au bout de ces tiges se trou-vent des poids (tous égaux). Cet ensembleressemble à une grande roue de vélo. On

imprime à cette roue un mouvement dedépart, dans un sens ou l'autre, pour lafaire tourner. Les poids, au bout de leurstiges, agissent alors exactement commedeux enfants jouant à la balançoire assischacun au bout d'une planche. À mesureque la roue tourne, un des poids glisse endirection de l'essieu et le mouvement dupoids suivant qui tombe à son tour crée uneffet d'entraînement sur les poids voisins,ce qui finit par créer un mouvement rotatifde l'ensemble.M. Harel a aussi créé un système semblablemais au lieu de poids, il emploie des flot-teurs et le mouvement se passe à moitiédans un bassin d'eau. Les flotteurs, atta-chés autour d'une roue, entrent dans l'eaudans le sens vertical, ce qui réduit la surfa-ce de résistance, mais une fois dans l'eau,ils se tournent à plat et remontent subite-ment à la surface à cause de leur capacitéde flottaison. Cela entraîne le flotteur sui-vant à plonger dans l'eau à la verticale àson tour et s'ensuit, en théorie, un mouve-ment perpétuel.M. Harel est en train de breveter une demi-douzaine d'inventions de ce genre et sou-haite qu'elles puissent être employées pourrégler la crise énergétique dans le monde.

2/Perendev Power DevelopmentsInc Johannesburg South AfricaDes démonstrations ont été faites sur unappareil donnant 6 kw, des appareils mobi-les délivrant 120 kw sont envisagés et il estmême question de 2MW.Cela fait un peu rêver, l’annonce est intéres-

sante…des images des démos seraient lesbienvenues mais restons ouverts : la pisteest à suivre.L’idée de départ date de 1969. Le projetconsistait à mettre au point un moteurmagnétique destiné à entraîner un alterna-teur afin de produire de l’électricité.A l’époque les aimants disponibles (ferrites)n’étaient pas assez puissants et l’appareilfonctionnait mais sans donner beaucoupd’énergie. En 1996, l’idée a été reprise grâce à l’ap-port d’aimants très puissants (terres rares).Un système à 3 rotors produisant 6 kw en220volt et 380volt a été mis au point, unbrevet est déposé. (ce qui explique le manque

de détails techniques donnés dans le site)

http://www.perentech.com/devices/give-

away/index.html

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IMPORTANTLe forum PMC-France est faitpour ceux qui veulent poser desq u e s t i o n s s u r l e s y s t è m ePantone, échanger leurs astuceset savoir-faire, n’hésitez pas à [email protected]

Le rotor principal du moteur PERENDEV

Le moteur PERENDEV

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3/PMC Pantone monté sur uneMercedes par Gérald selon le prin-cipe du tracteur no 22, en dopageà eau sans toucher au moteur d’o-rigineVoici ce que nous dit Gérald : "Si je me suispenché sur ce procédé c'est parce que j'yvois un moyen de faire évoluer notre huma-nité dans le bon sens. Malheureusement, jen'ai pas vraiment le temps de peaufiner lesréglages".Après des essais sur une tondeuse puis surun rotavator, pour se faire la main, Géraldet Michaël sont passés à une Mercedes"Nous nous sommes dépêchés car il y avaitune réunion des camarades de fac de John,tous des ingénieurs. La démonstration étaitconcluante mais j'ai été très surpris de voirle peu d'enthousiasme de ces ingénieurs entechnologies alternatives. Leur problèmec'est qu'ils ne peuvent expliquer commentça marche. Selon leur logique, ça ne devraitmême pas marcher... et pourtant !Pendant que j'étais en Angleterre, que j'a-vais un peu de temps et que j'avais à madisposition une fosse et du matos, j'aiadapté ma vieille Mercedes de 22 ans. Apartir des données trouvées sur le site surle procédé de Pantone (le site Quanthommeévidemment !) j'ai imaginé comment adap-ter cela à ma voiture. Jusqu'à maintenant,on avait les plans que pour de petitsmoteurs ou pour des tracteurs. Aux USA,au Mexique et au Brésil, il y aurait des voi-tures et des camions qui tournent avec cesystème.”Au premier essai, sans aucun réglage etavec des fuites, j'ai une économie de gasoilde 32%. On n'intervient pas du tout sur lapartie alimentation en gasoil, pompe àinjection, injecteurs... Seule l'alimentationen air est modifiée. La cocotte minute esttrop volumineuse, j'ai imaginé quelquechose de plus concentré que je testerai pro-

chainement. Sinon c'est assez marrant, enplus du procédé de base de Pantone, j'airajouté une cocotte-minute, une douchette,une chasse d'eau, un entonnoir, un bidon etun peu de tuyau."http://gerald.abt.free.fr/ecolo/moteur-a-eau.htm

Quanthomme : Gérald ne manquepas d'humour, après ce petit inventai-re à la Prévert on voit bien qu'il n'estpas nécessaire d'avoir une électro-nique poussée, compliquée, et parfoisfragile et des filtres coûteux pour éco-nomiser du carburant et moins pol-luer ! Mais ça, tous les lecteurs assi-dus de nos pages et les expérimenta-teurs du système de processeur "à laPantone” le savent déjà !Bravo à Gérald et espérons que letemps ne lui manquera pas pour peau-finer son montage et nous transmett-re ses futurs résultats.

4/ Les carburants basés sur l’eauhttp://www.remnantsaints.com/AlternativeUtilitie

s/Hydrogen/not_the_answer.htm

Le Magnegas ( AquaFuel ) : Ruggero MariaSantilli fabrique un gaz nouveau avec leréacteur hadronique qu’il a inventé. Celan’émet aucune radiation nucléaire. Il utilisedu pétrole brut, les résidus de déglaçaged’ailes d’avions, les huiles usées d’autos oubien des déchets humains ou animaux àcondition qu’ils contiennent de l’eau.La combustion de ce gaz qui peut êtrefabriqué n’importe où n’entraîne aucunrésidu cancérigène dans l’atmosphère. Elleémet 50% de moins de CO2 que la com-bustion d’essence et les autres 50% peu-vent être captés à l’aide d’éponges chi-miques dans le tuyau d’échappement. Uncadeau : la combustion de ce gaz émet del’oxygène dans l’atmosphère et l’enrichitdonc, permettant de résoudre le problèmede la combustion du pétrole. Il peut trèsbien faire fonctionner le moteur à combus-tion utilisé par les 500 millions de voitureset 100.000 camions en service sur notreplanète. Ce gaz peut aussi servir commeadditif au gaz naturel utilisé dans les cen-trales thermiques qui produisent de l’élec-tricité. Le gaz naturel, selon le docteurSantilli et l’Agence de protection de l’envi-ronnement (EPA) américaine, même s’ilbrûle plus proprement, détruit aussi l’oxy-gène, et émet plus de gaz à effet de serreet d’ingrédients cancérigènes que l’essence :l’ajout de cet additif réduirait de 50% cesémissions.

Quanthomme : Nous encourageonsla vieille Europe à faire progresser lesénergies alternatives, renouvelablesou complètement nouvelles (bien quereprenant souvent des idées ancien-nes) ou dites libres. Ces recherchesdont beaucoup sont publiées gratuite-ment sur Internet sont un espoir pouraider l’ensemble de l’humanité à sortirde l’ornière pétrolière aux conséquen-ces dramatiques, et conserver l’or noirpour des usages plus spécifiques etnobles au lieu de le faire partir bête-ment en fumée.

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Réacteur Pantone adapté sur une Mercedes

Ecrire à J. et B. Soarès [email protected]

http://membres.lycos.fr/quanthomme/Vue sur le moteur de la Mercedes

Basculer dans une autre société

http://chez.mana.pf/~oasis/News/News.htm

Voici une expérience intéressan-te aux USA qui propose dedévelopper l'énergie libre. Lasociété UCS développe desgénérateurs à énergie libre etpropose à 16 millions de foyersde s'alimenter gratuitement enélectricité... Ils comptent ainsilégitimer cette technologieavant que le gouvernement neprenne des mesures pour l'inter-dire et maintenir la dépendanceaux compagnies d'électricité.Une expérience à suivre pourbasculer dans une autre société.

De Michael Lightweaver,www.N2012.com 18 Novembre

2002 Global Village News &Resources, Issue #50

Les news de l’energie libre

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Le Lifter fonctionne sans pièce mobile,vole silencieusement, utilise seulementde l'énergie électrique et est capable desoulever son propre poids plus unecharge utile additionnelle. Le Lifter uti-lise l'Effet Biefeld-Brown découvert parThomas Townsend Brown en 1928. Leprincipe de base du Lifter a été pleine-m e n t d é c r i t d a n s l e b r e v e t d eTownsend Brown N°US2949550 du 16Août 1960 et appelé "Disposit i fElectrocinétique", vous y trouverez leprincipe de fonctionnement utilisé parles dispositifs de type Lifters.Aujourd'hui, plus de 150 reproductionsde Lifter ont déjà été effectuées avecsuccès dans le monde par de nombreuxexpérimentateurs et physiciens. Unexpérimentateur français est une réfé-rence mondiale en ce domaine, il s’agitde Jean-Louis Naudin.http://jlnlabs.imars.com/lifters/

PILOTAGE DU LIFTER-CRAFTVTOL AVEC UN PANNEAU DECOMMANDES

L'objet de ce projet est de tester un nou-veau prototype d'engin VTOL qui utilise latechnologie Lifter basée sur le système deTownsend Brown. Un aéronef équipé d'unsystème de propulsion électrocinétiquebasé sur le système de Townsend Brownpossède de nombreuses caractéristiquestrès intéressantes, comme :- une capacité de décollage et d’atterrissa-ge vertical (VTOL),- une traînée aérodynamique réduite, - une augmentation de son autonomie envol et donc de son rayon d'action,- la suppression des gouvernes mobiles(ailerons, profondeur, direction) n'offrantainsi aucune surface mobile réfléchissanteaux ondes radars, - une grande manœuvrabilité ( enveloppede vol évolutive ) grâce à une gestion intel-

ligente du contrôle du laminaire,- un vol totalement silencieux,- une signature thermique quasi nulle,- une source d’énergie électrique donc pasde carburant, - la furtivité et la dispersion des ondesradar...Le Lifter-Craft utilise 3 propulseurs électro-cinétiques indépendants placés autour ducockpit (devant, à l'arrière gauche, à l'arriè-re droite). Ces 3 propulseurs électrociné-tiques seront utilisés pour manoeuvrer levaisseau comme un hélicoptère mais sanspièces mobiles et silencieusement...

TEST #1 : VOL STATIONNAIRE avecles 3 propulseurs électrocinétiquesconnectés en parallèle.Lorsque la haute tension est mise en route,le VTOL Lifter-Craft MkIII décolle rapide-ment et se maintient en stationnaire stable,maintenu sur la table par 3 fils fins ennylon et ce, afin d'éviter qu'il ne s'échappevers le plafond...

TEST #2 : PILOTAGE DU LIFTER-CRAFT avec les propulseurs alimentésséparément.Les 3 propulseurs électrocinétiques sontalimentés séparément avec 3 alimentationsTHT (vieux moniteurs de PC).La tension THT de sortie est plus faible quela THT de puissance utilisée lors du TEST#1. pour incliner le Lifter vers la gauche, ilsuffit de couper le propulseur arrière gau-che. inversement pour incliner le lifter surla droite. Si l’on coupe le propulseur avant,le lifter effectue une translation vers l’a-vant. Il suffit de moduler la puissance de laHaute Tension pour incliner à volonté le lif-ter. Le Lifter-Craft VTOL est hautementmanoeuvrable et son pilotage est aisécomme vous pourrez le constater sur lesvidéos disponibles sur le site de J-L Naudinà la page :http://jlnlabs.imars.com/lifters/html/lftcmk3.htm

Commentaires de Jean-LouisNaudin :“Les résultats très encourageants etimpressionnants de ces tests me confir-ment aujourd'hui qu'il est possible de cons-truire un vrai Lifter-Craft VTOL entièrementpilotable. La première étape sera de cons-truire une maquette d'un Drone ou UAV detype VTOL qui utilisera cette technologie...”

Vous trouverez sur le site de Jean-LouisNaudin toutes les informations sur le lif-ter (avec photos et vidéos). Pour ceuxqui n’auraient pas encore trouvé où setrouve la «recette» de base pour alimen-ter un Lifter :http://jlnlabs.imars.com/lifters/

Du côté des Lifters

Orville à bord du Lifter-Craft “Maximus”

Spécifications du Lifter-Craft"Maximus" d'Orville :

Poids d'Orville, la souris : 24gPoids du Lifter "Maximus" (08/01/03): 140 gPoids de la nacelle d'Orville : 16 gPoids Total du Lifter avec Orville : 180 gTension d'alimentation : 35KV continuCourant : environ 10mA Puissance Haute-Tension : env. 350 Watts

Des nouvelles d’Orville !Après de nombreux vols à bord du Lifter-Craft"Maximus", Orville la souris entrée dans l’histoirele 8 Janvier 2003 comme étant le premier"Electronaute" se porte toujours à merveille !

Le Lifter-Craft MkIII VTOL de Jean-Louis Naudinavec le panneau de commandes au premier plan.

Les news de l’energie libre

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LES NNEWS DE

L’UFOLOGIE

TT OPOP SECRET SECRET - 8

Un ovni présent lorsde la catastrophe deTchernobylDes témoins oculaires déclarent qu'ilsont vu un ovni planer au-dessus duréacteur. Source : Pravda online

http://www.pravda.ru/

16 ans se sont écoulés depuis le désastrede Tchernobyl, le 26 avril 1986. L'explosiondu réacteur 4 eut lieu à 1:23 heure dumatin, propulsant des tonnes de produitsradioactifs dans l'atmosphère. Les pompiersparvinrent à éteindre l’incendie avant que lefeu ne se propage aux autres réacteurs,évitant ainsi le pire, mais beaucoup le payè-rent de leur vie. Il a beaucoup été écrit au sujet de la catas-trophe de Tchernobyl. L’enquête a établiqu’une chaîne de maladresses, doubléed’une absence de communication ont rendul’accident inévitable. Ce fut un désastremajeur dont beaucoup souffrent encoreaujourd’hui. L'explosion était très grande,mais, heureusement (s’il est possible d’utili-ser ce terme ici), c'était un souffle ther-mique. Le 4ème réacteur a été détruit parla vapeur surchauffée. Il n’y eut donc pasexplosion nucléaire. Or, 180 tonnes d'ura-nium enrichi étaient contenu dans le réac-teur. Si une explosion nucléaire s'était pro-duite, la moitié de l'Europe aurait été effa-cée de la carte. De nombreuses théories

ont été avancées pour expliquer une telle“chance”. Une de ces théories parle de l’in-tervention d'un objet non identifié aumoment de la catastrophe. Les ufologuessavent bien que les ovnis se sont toujoursintéressés de près aux centrales nucléaires ;est-il invraisemblable de penser que l’und’eux se soient trouvé présent au momentdu drame ? Certains témoins ont vu unengin planer au-dessus du 4ème réacteur.Des centaines de personnes l'ont vu et cer-tains affirment que cette présence se pro-longea durant six heures. Naturellementcette information ne fut pas prise ausérieux par les médias. Voici ce que Mikhail Varitsky a indiqué :”Certains membres de mon équipe m’ontaccompagné sur les lieux de l’explosion.C’était la nuit et nous avons vu une boulede feu qui volait lentement dans le ciel. Jepense qu’elle mesurait entre six et huitmètres de diamètre. Puis, nous avons vudeux rayons de lumière s'étirer vers le qua-trième réacteur. L'objet était à environ 300mètres du réacteur. L'événement a durépendant environ trois minutes. Les lumières

de l'objet se sont éteintes et il a volé loin endirection du nord-ouest L’Ovni a-t-il réduit le niveau de radioactivité ?Ce niveau a été diminué de presque quatrefois, et c’est certainement ça qui a permisd’empêcher une explosion nucléaire. Trois ans après (le 16 septembre 1989), leréacteur numéro 4 a de nouveau émis de laradioactivité en direction de l’atmosphère.Plusieurs heures plus tard, un médecin, ledocteur Gospina, a vu un objet dans le cielau-dessus de l'usine de Tchernobyl. En octobre de 1991, un journaliste du jour-nal l'écho de Tchernobyl , V. savran, photo-graphiait l'atelier de construction méca-nique de l'usine. “Je me rappelle très bien,raconte-t-il, je n'ai vu aucun ovni en pre-nant la photo, cependant quand j'ai déve-loppé le film, il y avait un objet qui planaitau-dessus du réacteur”. Si l’hypothèse de l’intervention se vérifiaitun jour, force est de constater que cesovnis se sont surtout inquiétés de l’environ-nement de la planète, et très peu du sortdes Etres Humains.

Le journal de l’Ufologie

http://lejournaldelufologie.free.fr

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OO VNIVNI AUAU QUebecQUebecLe groupe OVNI Science a reçu cetteimage étonnante d'un OVNI présu-mé, photographié à Longueuil(Québec), à la fin Mars 1978.Jean-Jacques Yvars raconte :“L'auteur de ce cliché nous a contac-té dans le but de déterminer l'originedu phénomène. La photo n'est pasd'une très grande qualité, et notreéquipe a commencé l’analyse. Apriori, la photographie n’est pas tru-quée, et les reflets sur l’objet sem-blent bien correspondre à la positiondu soleil.L’analyse est en cour.”OVNI SCIENCEhttp://ovni.science.free.fr

CHRYPTONouvelle empreinte fossile

C'est en février 2002 que James Snyder, unhabitant de la région de Ramona, a fait cettedécouverte étonnante lors d'une balade dansla forêt nationale de Cleveland. En sortant des sentiers battus à la recherched'or dans le massif de Gowers, Snyder esttombé sur une empreinte géante de piedfossilisée dans la roche granitique de ce quia sans doute été un cours d'eau il y a long-temps... très longtemps... Snyder, qui pense qu'il pourrait s'agir del'empreinte d'un "Bigfoot", aimerait que desscientifiques fassent l'effort de se déplacerdans ce coin perdu, à plus d'une heure etdemi de marche dans des montagnes diffi-ciles d'accès pour étudier sérieusementcette empreinte...

Source : http://marcogee.free.fr

TT OPOP SECRET - SECRET - 99

Les observations en France en 2003Observat ions à Lasgra isse ,Cadalen et Marssac (81). Février2003.Source La Dépêche du MidiOvnis : l'étrange triangle tarnais Quelque part dans le ciel du Tarn, des cho-ses étranges se passent. Des objets nonidentifiés volent, se consument, s'allument,disparaissent. Cadalen, Lasgraisse,Marssac... Un triangle mystérieux où lesobservations se multiplient depuis quelquesmois. "Cigare", "boule", "grand flash", "halolumineux" bleu, orange ou blanc... Les qua-lificatifs varient, la stupéfaction des témoinsdemeure. Le mardi 28 janvier dernier, vers18 h 40, Colette rentre chez elle. Elle circu-le entre Técou et Cadalen quand soudainsur sa gauche à 200 m environ, au-dessusd'un bosquet d'arbres, l'automobiliste voittrès nettement une boule de lumière : "Pardeux fois la boule aurait fait comme desétincelles", rapporte Didier Gomez de l'as-sociation Planète ovni qui a recueilli sontémoignage. "Le phénomène a duré troisou quatre secondes et s'est dissipé".Quinze jours plus tard, dimanche 16 février,c'est au tour de Roger Champion, 55 ans,consultant, habitant de Lasgraisse, d'êtretémoin d'un phénomène insolite similaire : "Vers 7 heures, comme tous les jours, j'allaischercher le pain à Graulhet. La D84, je laconnais par coeur. Juste après un petitpont, à ma droite, plein Nord, j'ai vu commeun feu d'artifice très brillant qui se terminaitet qui est tombé au bout de quelquessecondes." Ancien parachutiste, Roger setargue d'apprécier correctement les distan-ces: " La boule était à 500 m d'altitude envi-ron et surplombait un endroit déboisé. J'ai

UFOWEB-FRANCEBANQUE FRANCAISE DE DONNEES

UFOLOGIQUEShttp://www.ufoweb-france.fr.st/

Le but de ce site est d'offrir auxufologues et associations unebanque de données sur les cas enFrance pour des enquêtes et cor-rélations sur des observationsanciennes et récentes. Vous trou-verez dans les banques de don-nées, la date de l'observation,l'heure, le lieu, le département, letype d'observation, le nombre detémoins, le nombre d'objets, ladurée de l'observation, la formeet la couleur de l'objet, la longi-tude et latitude du lieu de l'obser-vation et la source de l'informa-tion. Progressivement les récitsd'observation anciens et nou-veaux sont mis en ligne sur lesite dans la "Banque des récitsd'observation".Pour apporter votre témoignage :

http://ufoweb.free.fr/observation.htm

Si vous possédez des témoigna-ges anciens sur des cas d'obser-vations français et inconnus de labanque de données du site ufo-web, si vous voulez aider le siteufoweb dans la collecte de cesinformations, merci de les faireparvenir en écrivant à : [email protected]

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été très surpris: il y a eu comme un grosf lash b lanc incandescent ." S i RogerChampion avoue volontiers croire "en tout",dans ce cas précis, il penche plutôt pour uncorps céleste venu se consumer à son entréedans l'atmosphère : "J'ai même pensé à desdébris de la navette américaine."

Observation au-dessus de Paris le07/03/03 à 00h15.Témoignage recuei l l i par Jean-Jacques YVARS.Lieu : Levallois-Perret - Place GEORGESPOMPIDOU. Conditions météo : ciel clair et étoilé.Nombre de témoins : Quatre. Observation :Passant en sens inverse des avions quivolent habituellement dans un couloiraérien situé à la verticale de la Place G.Pompidou, une amie et moi-même avonsobservé ce qui paraissait être à priori unavion de ligne. Ce qui a attiré notre regard n'est pas lebruit de ses moteurs mais le clignotementde nombreux feux. Pour ce qui me concer-ne, j'ai entendu un vague bruit de moteur(plutôt un léger ronflement) durant deux outrois secondes lorsque l'engin était à notreverticale, puis plus rien ; mon amie n'aentendu aucun bruit ou son, ce qui lui a faitdire qu'il "glissait en silence dans la nuit".Il volait beaucoup plus bas que les avionsqui survolent habituellement la place. J'aiobservé sous le ventre de l'engin 5 grosphares d'ou émanait une lumière blanchetrès brillante. Ils étaient disposés de lafaçon suivante : 1 phare à l'avant et quatrephares en rangée de deux derrière lui. Plusloin à l'arrière de ces phares étaient dispo-sés comme une rampe de feux clignotantsrouges et verts sur les extrémités (comme

les feux de bords des avions) et entre lesdeux feux colorés des extrémités, au moins5 feux clignotants blancs.L'engin avait l'air massif et de couleur som-bre et j'ai eu l'impression en apercevantune partie du fuselage du bord droit quipartait en pointe vers l'avant, qu'il était deforme triangulaire. Il s'est dirigé lentementen direction de CLICHY et l'on ne voyaitplus alors que la rampe des feux clignotantsqui semblait barrer son arrière.L'observation a dû durer une trentaine desecondes. Deux jeunes gens étaient à côtéde nous et semblaient étonnés par l'aspectinhabituel de cet "avion" particulièrementlumineux. Je précise qu'à cette heure lespassages d'avion sont rares. Je n'ai observéqu'un avion à hélice vingt minutes plustard, après que je sois rentrée chez moi,qui volait en sens inverse de l'engin que j'aiobservé.

TT OPOP SECRET - SECRET - 1010

A NE SURTOUT PASMANQUER !

Des émissions de radio qui concernent lephénomène Ovni sont produites parDidier de Plaige, tous les mardis soir àpartir de 23h20.Ces émissions sont rediffusées le matinentre 7h et 14h sur le Net :"Radio Ici & Maintenant!" 95.2 FM Paris-Ile de FranceStreaming 24h/24 :http://icietmaintenant.com

(Entrez : http://193.252.39.70:8000 dansvotre lecteur)

Photo de la chemi-née d’une centralenucléaire avec unétrange objet nonidentifié juste à saverticale. 17 septembre2000

Teddy ; Roswell (Nouveau Mexique) témoigne :"j’étais dehors en train de travailler sur ma voi-ture lorsque j’ai entendu le bruit d’un hélicoptè-re. J’ai regardé dans le ciel mais je ne pouvaispas le voir. Ca a duré comme ça toute l’après-midi. Le bruit revenait, disparaissait, revenaitencore, puis diminuait... Finalement vers 16:30heures, j’ai vu ce drôle d’engin qui bourdonnaitcomme un hélicoptère, et j’ai juste eu le tempsde le prendre en photo avant qu’il disparaissederrière ma maison."

UFO 1962UFO 1962

Les observations en Italie sont en augmentation

Le Centre Italien des Etudes d'OVNIS annon-ce 42 observations de phénomènes OVNI pen-dant le mois de février 2003. Il y a une augmentation de 40 % en comparai-son de l'année dernière.

Le total pendant janvier et février est plusgrand que l'année dernière et les deux ans pré-cédents à la même période.

Source : http://www.filersfiles-ufo.com

LES NEWS DE L’UFOLOGIE

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Observation le 22/02/03 à Noisyle Grand (94) vers 22h00.T é m o i g n a g e r e ç u p a r m a i l l e27/02/03. Durée de l'observation : 5,6 sec -Nombre de témoins : 2 - Nombred'objets : 2 - Forme de l'objet :Roue - Autres formes : Points lumi-neux - Bruit : Non - Couleur : blanc -Météo : nuit étoilée sans lune ni nuages.Observation :Je suis astronome amateur. J'étais en com-pagnie de 2 autres amis, nous recherchionsdes étoiles pour faire les paramètres (miseen station de nos télescopes) quand nousavons vu (vers 22h00) UTC, direction S-E,deux points lumineux de faible magnitude,éloignés d'une seconde d'arc environ, etqui se sont déplacés symétriquement audébut, lentement de la droite vers la gau-che, puis une grande accélération sur unegrande distance (environ 2 mains tenduessur l'horizon) en 1 demi-seconde, puis

ralentissement et les objets ont décrit unetrajectoire vers le bas. Ensuite ils sontremontés puis l'éclat a diminué rapidementpour disparaître. Phénomène impression-nant. Aucun scintillement visible. J'espèrequ'un autre témoin pourra confirmer ceque nous avons vu.

Observation d’un objet à Lons leSaunier, Jura, le 18 avril 2003entre 21h et 22h3OConditions : ciel clair, excellente visibilité.Mon attention a été attirée par un objettrès brillant, nettement visible depuis l'inté-rieur de la maison pourtant éclairée. Ilétait situé au Sud Ouest.Hauteur : environ 20 degrés au-dessus del'horizon. L'objet se déplaçait approximati-vement du NE vers le SW très lentement.Description (jumelles 7X50) : l'objetémettait 2 ou 3 couleurs. Je voyais dublanc , du vert et du rougeâtre ; ma com-pagne (prévenue par téléphone) située à30 km n'a vu que du vert et du rouge (elleobservait avec des jumelles 8X21). L'objet

a disparu à ma vue vers 22h3O, masquépar des arbres sur une hauteur.J'ai informé la gendarmerie de Lons leSaunier. Deux autres personnes ont vul'objet : ma compagne habitant Poligny etma belle-fille résidant à Arlay. L'absence denébulosité m'a permis d'observer de nou-veau l'objet le 22 avril. En même temps, uncorrespondant me suggère qu'il s'agit deSirius. La répétition du phénomène m'incli-ne à penser qu'il est dans le vrai.

Observation d'un OVNI présuméau-dessus de Dijon. samedi 5avril 2003. 23 h15Nombre de témoins : 2 - Durée del'observation : environs 20 secondes -Météo : nuit étoilée sans lune ni nuagesMr Patrick COMBESNous étions trois à regarder la télévision,puis une fois l’émission terminée, monfrère est sorti sur la terrasse pour fumerune cigarette. Une minute plus tard il m’ap-pela assez fort, mais je n’ai pas réagi car jepensais qu’il voulait me faire une blague. Ilme rappela juste après en me demandantde me dépêcher. Alors je suis sorti très vitepour le voir. Il m’a demandé de regarder leciel en direction du Nord, et là j’ai vu cinq(5) lumières que je considère comme cinq(5) objets identiques, car les cinq “ objets ”se déplaçaient très vite, se croisaient, semélangeaient comme un essaim d’abeilles,mais ils restaient groupés en allant vers leNord. Ils se déplaçaient par saccades, etcomme le dit mon frère : "c’était un balaide lumières".Mon observation a duré environ 5 secon-des, mais mon frère m’a raconté ce qu’il avu avant que j’arrive, durant une vingtainede secondes.Témoignage du frère, 30 ans :J'étais en train de fumer ma cigarette, puisj'ai aperçu une petite lumière dans le ciel.J'ai d'abord cru que c’était un avion, maisquand je l'ai regardé à nouveau, j'ai vu cinqlumières venant de l’Est qui se dirigeaientvers l’ouest. Elles bougeaient par saccades,puis ont formé un triangle. Elles se sontregroupées, et arrivées vers le milieu duciel (ndlr : de son point de vue), elles sesont dirigées vers le Nord (ndrl : à cetinstant, son frère (20 ans), arrive sur la ter-rasse pour observer le phénomène aveclui). Pendant cette observation, il n’y eutaucun bruit. C’était la première fois quemon frère et moi observions un tel phéno-mène.

TT OPOP SECRET - SECRET - 1111

Des RODS à Bagdadhttp://www.ipani.levillage.org/news/

Des Rods (les lecteurs qui ont lu TOP SECRETnuméro 5 savent de quel phénomène mystérieux ilest question ici) seraient apparus pendant la retrans-mission des images de la guerre en Irak !Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est un ROD, enfait beaucoup pensent qu'il s'agirait d'un organismevivant non encore identifié (extraterrestre ?), maisd'autres penchent plutôt pour un défaut des camérasnumériques étant donné qu'on n'en a jamais vu àl'oeil nu, ni avec une caméra normale...Enfin, pour la petite histoire, les images qui suiventseraient tirées de la chaîne Fox News (chaîne câbléeen Amérique) et auraient été filmées vers 16h00.En fait plusieurs RODS seraient apparus en mêmetemps à une caméra fixe en vision de nuit qui poin-tait vers une mosquée de Bagdad !

Nouveau Mexique. 1953

LES NEWS DE L’UFOLOGIE

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En visionnant un documentaire surla chaîne Odyssée intitulé « LA DER-NIERE ECLIPSE », j’ai remarquéune chose étrange qui me fit bondirde mon siège. En effet, une formese distinguait sous le cercle de l’é-clipse et qui, pour moi, semblaitbien matérielle.

Plusieurs questions se posent :1- S’agit-il d’une projection ? Certaines analyses penchent pour cettehypothèse. Dans ce cas, pourquoi ne re-trouve-t-on pas cette protubérance dansd’autres documents consacrés à cettemême éclipse ? Le fait que l’anomaliene soit visible que depuis la Turquie

r e n d d i f f i c i l e m e n tacceptable la thèse dela protubérance. Deplus, son immobilitésur le film la rendplus que suspecte.L’anomalie est trèséloignée du soleil.Des calculs, et l’aviséclairé de scientifiquesspécialistes des irruptionssolaires seraient les bienve-nus. Il me semble d’autre part quela nature exceptionnelle de cetteprojection aurait mérité une étudeet une publication dans les organesspécialisés.Or je n’ai rien trouvé.

2- S’agit-il d’un satellite ?Sa taille ne lui permettrait pas d’être visiblecomme c’est le cas ici.3- L’Hypothèse de la présence d’un OVNIest-elle envisageable ?

Dans ce cas, l’objet sesituerait au-delà

de la lune etserait donc

d ’ u n ed i m e n -s i o nphéno-ménale.E n s eb a s a n t

s u r l e simages du

documentaire,i l d e v ra i t ê t r e

possible d’effectuercertains calculs afin d’évaluer sa taille...Quatre ans après, le mystère reste entier...

Christian C.Pour contacter ce chercheur :

[email protected]

CNous sommes de plus en plusnombreux à nous passionnerpour ces images qui font appa-

raître des anomalies qui n'auraientjamais dû se trouver là ! Que cesphotographies proviennent de l'espaceou du décor le plus banalement quoti-dien, elles possèdent toutes la mêmeforce de fascination et nous projettentdans un univers mystérieux à la fron-tière du réel et de l'imaginaire. Ces anomalies visibles sur certains cli-

chés sont-elles dues à une illusiond'optique, à un défaut de pellicule, àun jeu d'ombre et de lumière ? ousont-elles la preuve de l'existenced'une autre réalité inaccessible à l'œilhumain, et que nos appareils, plussensibles ou mieux placés par la Nasa,parviennent cependant à saisir ?Les photographies suivantes ne voussont pas présentées ici comme despreuves, mais un comme un outil dequestionnements, ou tout au moins,

pour les plus sceptiques d'entre vous,comme une invitation au rêve.Certains clichés de ce numéro sonttrès discutables. D’autres en revan-che, sont particulièrement troublants.Prenez le temps de les étudier, munis-sez-vous d’une loupe au besoin. Etcroyez-moi, si vous restez ouverts àtous les possibles, bientôt, toutcomme nous à la rédaction, vous fini-rez par basculer de l’autre côté dumiroir...

CHASSEURSD'ANOMALIES

Quand la télévision filme un ovni - 1999

“ILS ONT DES YEUX ET NE VOIENT PAS”

Gros plan sur l’anomalie

L'éclipse de 1999

Projection Solaire ?OVNI ou ISS ?

?

L’ISS est placée ici àtitre de comparaison

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TT OPOP SECRET - SECRET - 1313

AnomaliesmartiennesS’il a existé une vieille civilisation sur Mars, ne soyons pas sur-pris de retrouver ici des formes pyramidales, des remparts, etautres structures monumentales que la Nasa voudrait nouscacher derrière une sorte de flou “artistique”. Dispensez-vous dejuger au premier coup d’oeil de la validité de la théorie que nousvous proposons à travers ces images. Prenez le temps d’étudierles géométries, les cubes, ou autres angles droits...et offrez-vousquelques instants la liberté d’imaginer l’impossible...

REFERENCE WEBhttp://www.msss.com/moc_gallery/m19_m23/images/M21/M2100050.html

REFERENCE WEBhttp://marsoweb.nas.nasa.gov/landingsites/mer2003/mocs/e02_and_up/Images/E02-00373/

ENCEINTE FORTIFIEE ?

?

UNE ANOMALIE N’EST JAMAIS ISOLEE...

Fortifications ?

Plate-forme carrée ?

Nombreuses structures géométriques ? ?

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D’autres anomaliesSUR MARSSUR MARS

Retour sur un clichéextraordinaire quenous vous présen-tions lors de notreprécédent numéro.http://www.msss.com/moc_gallery/m07_m12/images/M11/M1100099.html

Lorsque les anomalies par-lent d’elles-mêmes, est-ilvraiment nécessaire de lescommenter ?Que ceux qui veulent voir,prennent le temps de regar-der...

Notez la structure en forme de Hqui maintient cette plate-forme.

Etrange colonne surmontéed’une “structure” brillante ?

Peut-on parler ici d’uneouverture dans un “rem-part” ?

Immense pyramideou tour en forme decône ?

Une autre tour ?

Pyramide ?

L’entrée du site ? Structure principale aucentre de l’esplanade

OVNI ? Structure annexe

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L'équipe de la missionMars Global Surveyor apublié récemment plusde 11.000 nouvelles ima-ges de la planète Mars.Ces images sont disponi-b l e s s u r l e s i t e M a r sOrbiter Camera Gallery.Elles ont été prises parMars Global Surveyorentre février et jui l let2002. Ce nouvel ajoutporte à plus de 120.000 lenombre d'images dispo-nibles.

Tout comme les clichés des deux pages précédentes, cette image présen-te la zone de Candor Chasma, zone située dans l’immense et très caracté-ristique faille martienne. Une fois de plus l’agrandissement nous permetde découvrir un site extraordinaire composé de pyramides et de structu-res géométriques complexes. Il y a tant d’anomalies ici qu’il nous estimpossible de toutes les relever. L’image ci-dessous vous permettra devisualiser les plus évidentes. Vous retrouverez le cliché sur le cédérom.

REFERENCE WEBhttp://www.msss.com/moc_gallery/m19_m23/images/M22/M2200453.html

1/ Pyramide ?

2/ Ponts ou canalisations ?

3/ Alignement de petites pyramides ?

4/ Bâtiment cernéde murs ?

5/ Une autre pyramide ?

Agrandissement de la zone.

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TOPTOP SECRETSECRETSECONDE PARTIESECONDE PARTIE

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Anomalies Lunaires

En modifiant la luminosité du cliché on se rend compte de la transparencede cette traînée blanche qui s’apparente donc bien à de la fumée.

En agrandissant l’image, nous découvrons, à la source de cette projection,une structure en forme de H renversé.

Désireux d’étudier dans les meilleurs conditions les anomalies décrites dansle livre de Léonard : “Ils n’étaient pas seuls sur la lune”, des chercheursfrançais du groupe SENTINELLE (http://ovnis.free.fr/ovni.htm) ont réclamé etobtenu de la Nasa certains négatifs. Les quatre pages qui suivent sont unepartie infime de ces recherches. Nous remercions vivement Patrice ROGERet Guy GRUAIS d’avoir mis ce travail à la disposition de nos lecteurs.

Cliché 72-H-1113. D’où provientcette “brume” qui s’échappe dubord du cratère Lobatchevsky ?S’agit-il d’un nuage de poussièresoulevé par des travaux d’excava-tions gigantesques comme l’ima-ginait Léonard ?

Grossissement x40.La structure est évi-dente. S’agit-il ici d’unsimple caprice de lanature ? A vous dejuger.

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Cliché 72-H-1109Sur cette photo trois anomaliesretiennent l’attention.1 / une s t ructure géométr iquejuchée sur le bord d’une fosse dontle fond présente des angles droits.2/ Un cratère dont les bords sem-blent traversés par trois rainuresparfaitement symétriques. 3/ Une extraordinaire fosse rectan-g u l a i r e q u i s e m b l e a v o i r é t é“taillée” dans le sol lunaire.

Au sommet des trois rainures, on remarque la présence étrange de trois structures de mêmes tailles.

Ces “rochers” font penser à trois engins miniers ayant remonté la pente du cratère. Un cratère qu’ils

auraient forgé eux-mêmes ?

Une autre structure

identique aux trois

autres est visible au

fond du cratère.

Dans l’angle de la fosse rectangulaire, on notera la présence d’une forme

ronde lumineuse dotée de légères protubérances à sa base . Difficile de se

prononcer sur la nature de cette forme étrange...

TT OPOP SECRET - SECRET - 1717

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TT OPOP SECRET SECRET - 18

ILLUSION D’OPTIQUE ? PROJECTION MENTALE ? ouvéritable artefact extra-terrestre ?

UN VISAGESURSUR LALA LUNE !LUNE !

Aussi étrange que cela puisse paraître, c’est pourtantbien ce que les chercheurs semblent avoir découvert enexaminant un cratère étrange sur le cliché 72-H-1113.

Le cratère carré quiattira l’attention deschercheurs.

Premier agrandissement du cratère en question.

Au fond du cratère, commencealors à apparaître un visage !

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AGRANDISSEMENTS SUCCESSIFS DUCRATERE. UN VISAGE APPARAÎT.

La fameuse apparition de Crabwood (2002) avec le visa-ge extra-terrestre qui se serait formé directement sousles yeux d’un cultivateur. Etrange ressemblance n’est-ce pas ?

Gros plan sur le visage apparu sous l’effet d’un puissantgrossissement (x40). Cette découverte datant de 1996 restasemi-confidentielle jusqu’à aujourd’hui.

COMPARAISONS AVEC DES TEMOIGNAGES DERENCONTRES DU TROISIEME TYPE

RETROUVEZ TOUTESLES ANOMALIES DANSNOTRE CEDEROM SOUSFORME DE FICHIERSNUMERIQUES.

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OVNISOVNISDANS LES OEUVRES d’ART

Datée de 1600 et exposéedans l'église de San Lorenzode San Pietro, cette fresqueest s ignée BonaventuraSalimbeni. L'artiste a-t-il eul’occasion d’observer deprès ce que les pilotes de laseconde guerre mondialeappelleraient bien plus tardles “Foo Fighter”, ou bien a-t-il voyagé dans le temps ?Comparez l 'œuvre aveccette photo du spoutnik !

Bonaventura Salimbeni

Ainsi s'exprimait Erich Von Däniken dansun livre paru en 1968 intitulé "Chariotsdes Dieux" traitant de l'existence desextra-terrestres. Ce Best-seller a popularisé l'idée maî-tresse de l'auteur selon laquelle des visi-teurs venus de l'espace se seraientaccouplés avec nos lointains ancêtrespour créer une race d'une intelligencesupérieure. Pour vérifier l'hypothèse desastronautes de l'antiquité, Von Däniken et ses adeptes ont examinéles monuments, l'art et les objets dediverses cultures. Se fondant sur cesrecherches, i ls sont parvenus à la

conclusion que certains objets ou oeuv-res d’art représentaient des vaisseaux del'espace et des voyageurs descendus surTerre. Les scientifiques ont réfuté ces thèses.Pourtant, certains exemples d'art primitif,et plus proches de nous, certaines œuv-res d'art, n'ont rien perdu de leur mystè-re.Von Däniken et son école voient en cesoeuvres des preuves parfaites de leurthéorie, et les considèrent comme untémoignage de la présence extra-terrest-re sur la terre, Présence qui n’a cessé dese manifester tout au long des siècles.

“Le passé regorge de Dieux inconnusqui visitèrent la Terre aux premiers âgesde l'histoire à l'aide d'engins spatiauxhabités."

1710. Aert de GelderAert de Gelder (1645-1727) était

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Toile du Palazzo Vecchio à Florence,attribuée à l'école du 15 siècle deFilippo Lippi (1457-1504). En arrière-plan, on note laprésence incongrue d'unhomme et son ch ienobservant un objetvolant dans le ciel.Planant à l'arrière-p l a n d e c e t t eMadone à l'Enfantde la Renaissance,un objet projetteen effet des raisde lumière t rèsv is ib les sur l ’a-grand issement .C e r t a i n s c h e r -c h e u r s o n t c r ureconnaître un ovnidans l'objet en ques-tion.Qu’en pensez-vous ?

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1406-1460. "La vierge et Saint-Jean enfant"

un disciple de Rembrandt. Cetteoeuvre ci-contre est censée repré-senter le baptême de Jésus dansle Jourdain. Il a été peint en 1710e t e s t e x p o s é a u m u s é eFitzwilliam, Cambridge. Dans l’a-grandissement ci-dessus, nouspouvons constater la présenced’un objet en forme de disque quienvoie des rayons lumineux surJean-Baptiste et Jésus. L’artisteaurait-il eu accès à certains docu-ments secrets, ou plus simple-ment encore, aurait-il été témoind’une manifestation “divine” ?

Voici une peinture sur bois duchâteau Conti Dotremond enBelgique. Cette peinture repré-sente Moïse face à Dieu aumoment des Dix Commandements.L'on aperçoit plusieurs objets

dans le ciel, et qui ressemblentassez à ces “ovnis-météores”,stationnaires, rapportés par dif-férents témoins. Le dernier endate apparut au-dessus deParis, le 15 octobre 2002.

Date et artiste inconnus

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Cet a priori vis à vis du phénomène ovniallait cependant rapidement s’inverser. Eneffet, le 5 Avril 1959, le Père Gill a vu unelumière sur le Mont Pudi, une montagneinhabitée. Cette lumière se déplaçait plusrapidement que n'importe quel humainaurait pu le faire, détail qui n’a pas manquéde le laisser perplexe. Puis le 21 Juin, lePère Stephen Moi, l'aide du Père Gill, lui adéclaré qu’il avait vu comme une "soucou-pe inversée" dans le ciel au-dessus de lamission. Ce témoignage troubla suffisam-ment le Père Gill pour le décider à écrireune lettre à son ami le Révérend DavidDurie, Principal en Charge de l'Université deSaint Aidan à Dogura.Mais l’évènement qui a définitivementconvaincu le Père Gill, et qui allait rendre sapremière lettre caduque, est survenu le 26Juin vers 18:45. Ce soir-là, le Père Gill a d’abord vu unelumière blanche brillante au Nord-Ouest.La nouvelle de l'observation circula rapide-

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Co m b i e n d e f o i savons-nous entendudire que les ovnis

n'apparaissaient qu'en"Amérique?" Et bien il n'y a rien de plusfaux. Voici un de ces trèsnombreux cas qui ne s’estpas produit en "Amérique."En outre, il s’agit d’ un casqui est constitué de bienp l u s q u e d e " s i m p l e slumières vues dans le ciella nuit..."

Selon J. Allen Hynek,pendant les années1958-1959, i l y eut

d a n s l a r é g i o n d e l aP a p o u a s i e - N o u v e l l e -Guinée plus de 60 observa-tions d'ovnis.Plusieurs de ces observa-tions s'étaient produitesdans le secteur du MontPudi, près des installationsde la mission de Boianai. Al’époque, il faut savoir quel ’ î l e f a i s a i t pa r t i e d el ' A u s t r a l i e . L ' é g l i s eAnglicane Australienne yavait envoyé de nombreuxmissionnaires. L'un de cesmissionnaires était le pèreWilliam Booth Gill qui, encette année 1959, était ceque les ufologues appel-lent un “parfait sceptique”.

Papouasie-NNouvel lePapouasie-NNouvel le --195195 99

rencon tre rencon tre du 3du 3 ÈME type

LL a lettre du Père Gilla lettre du Père Gillau Révérend David Durie, Principal de l'Université de Saint Aidan à Dogura

"Je ne doute pas de l'existence de ces"choses" (en effet je ne le puis plus,maintenant que j'en ai vu une parmoi-même) mais mon esprit simpleexige toujours des preuves scienti-fiques avant que je puisse accepter lathéorie de leur origine spatiale. Jesuis enclin à penser que beaucoupd'OVNIS sont probablement ou plusvraisemblablement une certaineforme de phénomènes électriques -ou peut-être quelque chose provoquépar les explosions de bombes ato-miques, etc... Que Stephen ait fait decela une soucoupe pourrait être letravail de son esprit peu au fait deces phénomènes, car il est très proba-

Un texte de Patrick GrossUn texte de Patrick Gross

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ment aux a lentours, et en quelquesinstants, Gill a été rejoint par pas moins de38 témoins, comprenant Steven Moi,Ananias Rarata, et Mme Nessle Moi. A en croire leurs dépositions assermentées,tous ces témoins ont alors observé un objetà quatre pieds en forme de disque approxi-mativement de la taille de l'extrémité ali-gnée de 5 pleines lunes. Cet engin incroya-ble planait au-dessus de la mission ! A leur totale surprise, ils ont vu quatre per-sonnages d'aspect humain qui semblaientaffairés à une sorte de travail sur le “pont”de l’engin. Parfois un ou plusieurs de cespersonnages disparaissaient de la vue, pourréapparaître quelques minutes plus tard.A intervalles réguliers brillait vers le haut unfaisceau de lumière bleue émis depuis lecentre de l'ovni. L'objet resta en vue jus-qu'à environ 19:30, puis il est monté dansles nuages et a disparu. Mais l’étrangemanifestation n’était pas terminée pourautant. A environ 20:30, plusieurs objetsplus petits sont appa-rus dans le ciel, et à20 :50 , l e p rem ie rob j e t e s t r e venu .L'engin est resté visi-ble jusqu'à 22:50, jusqu’à ce que des nua-ges apparaissent empêchant toute visibili-té. Cette fois le Père Gill a rédigé un rapportcomplet de l’événement, rapport que 25autres observateurs ont signé sous ser-ment. Reconnaissons qu’une telle appari-tion a de quoi ébranler les convictions deplus d’un homme, et beaucoup d’ufologuesseraient prêts à remuer terre et ciel pouravoir la chance un jour de vivre la mêmeexpérience. Il n’empêche que cette premiè-re observation du Père Gill n’a pas été ladernière. D'autres manifestations ont suiviau cours des nuits suivantes, et ont été aumoins tout autant sinon plus exaltantes. Le lendemain en effet, à 18:00, l'objet leplus grand est encore apparu, avec à sonbord ses occupants, visibles comme laveille. Deux des objets plus petits étaientau-dessus de lui. Selon les propres mots deGill : "sur le plus grand, deux des passagerssemblaient occupés près du centre de laplate-forme. Ils se penchaient de temps entemps et levaient leurs bras comme pourajuster ou "installer" quelque chose. Un desoccupants semblait se tenir debout, nousregardant vers le bas." Fasciné par le spectacle auquel il assistait,Gill a levé ses bras dans un moment d'inspi-ration, et il a fait signe à la personne.

"A notre surprise le personnage a fait lamême chose. Ananias a agité ses deux brasau-dessus de sa tête ; alors les deux passa-gers à l'extérieur ont fait la même chose.Ananias et moi-même avons commencé àagiter nos bras, et chacun des quatre asemblé nous faire signe en retour. Il ne fai-sait aucun doute que nos mouvements onteu une réponse..."Gill et Ananias ont continué à faire signe detemps en temps, et on répondait à leurs

signes. Un autre témoin, Eric Kodawara, aondulé une torche, et il y a eu réponse surl'engin. Finalement, l’observation se prolon-geant, le père Gill est rentré dîner à l'inté-rieur... Quand il est revenu, l'engin étaittoujours là. Cependant il semblait avoir prisde l’altitude, car il paraissait un peu pluspetit dans le ciel.Après la messe, à 19:45, Gill est encoresorti pour rechercher l'engin, mais des nua-ges étaient apparus, et il n'y avait plusmoyen de l’apercevoir.La soirée suivante, l'engin brillant a encorefait une apparition. Le Père Gill a comptéjusqu’à huit objets à 18:45. Plus tard dans la nuit, à 23:20 alors quel’observation semblait terminée depuislongtemps, Gill a entendu un coup fort surle toit de la mission. Allant dehors voir cequi s'était produit, il a remarqué quatreovnis en cercle autour du bâtiment. Cesquatre engins étaient extrêmement hautsdans le ciel. Le lendemain matin, le toit aété examiné pour y déceler des dommages,mais aucune trace d’impact n'a été trouvée. Le Père Gill devait rentrer en Australie àcette période, ce qui lui a donné l'occasionde confier sa documentation aux autoritéscompétentes. Tous les enquêteurs qui l’ontrencontré ont trouvé en lui un individud’une intelligence impressionnante. Un des

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GGu inéeGu inée

ble qu'à un moment donné il ait vudes illustrations d'une certaine sortedans un magazine, ou bien il esttrès possible que les soucoupesexistent, mais il y a seulement unechance de 50/50 qu'elles ne pro-viennent pas de la terre et encoremoins de chance qu'elles puissenttransporter des hommes (ellesseraient plus probablement contrô-lées à distance par radio), et il n'estpas encore prouvé qu'elles soientdes objets solides. Il est beaucouptrop difficile pour moi de compren-dre ceci ; je préfère attendre qu'ungars intelligent en capture une et lamontre sur la place de Martin."

“Ananias et moi-même avons agité nosbras, et les quatre passagers ont semblé

nous faire signe en retour”

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groupes ufologiques civils les plus respec-tés, la Victorian Flying Saucer ResearchSociety a même indiqué dans un rapport :“les documents de Gill constituent le témoi-gnage le plus remarquable d'une activitéintensive d'ovnis jamais rapportée à desenquêteurs civils.” Ce cas était unique en effet, car pour lapremière fois, des témoins crédibles avaientrapporté la présence d'êtres humanoïdesassociés à des OVNIS.

Tentatives d’explicationsDepuis les événements peu communs de1959, il y a eu beaucoup de tentatives d’ex-plications de l'événement, toutes proposéespar des individus qui n'avaient pas eux-même été témoins du phénomène. La plu-part de ces explications sont, comme vouspouvez vous en douter, des placebos pour

rationaliser les rapports d'observation.Parmi ces tentatives, on trouve la thèse ducanular, celle des planètes, des étoiles, desidentifications erronées de phénomènesastronomiques, la myopie Gill, etc... Aucune de ces thèses ne correspond vrai-ment à l'événement tel qu'il s'est produit.Le Dr. J. Allen Hynek a étudié l'observationde manière approfondie, et a livré sesconclusions. Allen Hendry, investigateurrespecté du "Center for UFO Studies" de J.Allen Hynek, s'est rendu sur place. Ses conclusions étaient les suivantes :

"Bien que les OVNIS plus petits vus par Gillpourraient être attribués aux étoiles et auxplanètes lumineuses, l'objet primaire NE LEPEUT PAS. Sa taille et l'absence de mouve-ment pendant plus de trois heures ont éli-miné une explication astronomique."Ainsi donc, les "visiteurs" de Boianai sonttoujours une remarquable et impression-nante anomalie aérienne, et sont toujoursconsidérés comme un des meilleurs rap-ports d'entités en liaison avec le phénomè-ne ovni. Le Père Gill reste toujours embarrassé parce qu'il a vu et était heureux qu'une autori-té comme le Dr. Allen Hynek l'ait interviewéindépendamment, lui et certains des autrestémoins, et qu’il ait fait le voyage jusqu’ausite d’observation. Il s’est résigné à ce que les observationsdemeurent non expliquées,et il n'a pas

considéré certainesdes tentatives pourles expliquer comme"idiotes." Il a estiméque ces "expl ica-

tions" étaient des tentatives sérieuses d'ap-porter une compréhension au phénomène.De nombreux ufologues pensent que cetteattitude digne montre l'intégrité du témoinet tendent à accréditer la réalité de toutel'affaire.

L’enquête de J. Allen HynekEn 1973, J. Allen Hynek a visité l'Australieet la Papouasie-Nouvelle-Guinée et a trou-vé six des témoins des événements deBoianai. Ils ont tous soutenu la version duPère Gill sur ce qui s'était produit.

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PAPOUASIE-NOUVELLE-GUINÉE : 1959

ENTREEENTREE ENEN SCENESCENE

DESDES DEBUNKERSDEBUNKERS

A la suite de ces événements desexplications sans fondement furentélaborées. Le debunker bien connudes OVNIS, le Dr. Donald H. Menzela offert son explication, mais sesconclusions s’appuient sur plusieursaffirmations purement spéculatives : ilavance ainsi que le Père Gill, qui étaitmyope, avait "probablement" omis demettre ses lunettes. Il ajoute que lePère Gill était "probablement" égale-ment affligé d'astigmatisme (ce quil'aurait entraîné à voir une imagedéformée de Vénus qui était visibledans le ciel nocturne pendant cettepériode), et qu'en plus, des cellules desang sur la rétine de son oeil auraientproduit une illusion de mouvement. Ce n'était pas vrai ; Gill portait seslunettes, et de toute façon, il n'était deloin pas le seul témoin de l'événement.A propos des témoins justement,Menzel a également affirmé que lesPapouans étaient des indigènes igno-rants qui adoraient Gill, et croyaientchaque chose qu'il disait. C'était sa manière de rejeter plus detrente témoignages. Quant au rapprochement avec Vénus,Gill savait où Vénus était pendantcette observation, et l'avait bel et biensignalée séparément de l'engininconnu. Gill sera ensuite critiquépour avoir "abandonné une scèneaussi extraordinaire afin d’allerdîner", mais la réponse de l’intéressé estqu'il n'a pas pensé sur le moment que cetengin pouvait être extraterrestre.Il a cru que c'était un engin Américainou Australien, et que s'il atterrissait, endébarqueraient des êtres humains toutce qu’il y a de plus ordinaire.

Aspect du ciel de Boainai le 26 juin 1959 vers 18h45

Aucune des explications ne correspond vraiment à l'événement tel

qu'il s'est produit

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A la différence du gouvernement australienet de certains debunkers, le Dr. Hynek etson équipe, eux, ont réellement interviewéGill. Ils ont pris la peine de visiter le site. Ilsont entrepris de vraies recherches etconsulté les rapports météo des journéesen question. Ils se sont tenus aux pointsd'observations où Gill s'était tenu afin deconstater par eux-même si le Père Gill pou-vait avoir été ou non victime d’une illusiond’optique. Ils ont interviewé d'autres témoins des évé-nements. Ils ont continué les enquêtesinitiales avec encore des visites et des inter-views, ce qui aurait permis au passage dutemps de rendre contradictoires les témoi-gnages s'ils étaient faux.

ConclusionQuatorze ans après les événements fantas-tiques survenus en Papouasie, interviewéspar le Dr. Hynek les témoins ont tous soute-nu la véracité des rapports originaux deWilliam Gill, et ils pensaient toujours que cequ'ils avaient vu était un véritable enginengin volant habité, et d'une certaine origi-ne inconnue. Pourtant, en dépit de ces enquêtes multi-ples, et du sérieux du témoin principal, cecas n’a toujours pas pu s’imposer dans lesespr i t s comme étant un évènementauthentique. Paradoxalement ces observa-tions de la Nouvelle Papouasie de 1959,souffrent d’être trop parfaits, trop incroya-ble, irréels ! En matière d’Ufologie, c’estpeut-être LE CAS parfait par excellence,une observation tout simplement tropbonne, comparée aux photographies bru-meuses, à certains rapports d'enlèvementsfaits par des témoins peu fiables, et à ladésignation de n'importe quelle lumièrenon définie dans le ciel comme étant une"soucoupe volante." Et l’on a envie de sedire : un cas aussi parfait peut-il vraimentexister ?De fait, les sceptiques ont eu le beau rôle.Plusieurs des prétendues "explications"avancées proviennent de gens qui n'ontjamais rencontré le Père Gill, et qui n’ont

jamais mis les pieds sur le site. Ils ne sesont pas même donné la peine de lire lesrapports du Père Gill. Au lieu de ça, ils ontcompté sur des explications de tierces per-sonnes pour tirer leurs propres conclusions. Quoi qu’il en soit, cette observation dePapouasie-Nouvelle-Guinée est un desmeilleurs cas documentés d'un engin nonidentifié d'origine inconnue dans des anna-les d'OVNI. Il établi un lien fort entre lephénomène OVNI et l'hypothèse de visi-teurs extra-terrestres. Et pourtant le cas tomba dans l'oubli.

Patrick GrossEcrire à l'auteur : [email protected]

http://www.chez.com/lesovnis/

Ndlr : il existe une autre hypothèse quipourrait être envisagée, à en juger par laphysionomie et le comportement familierdes passagers de l’ovni, ainsi que par l’ab-sence de panique des témoins. C’est l’hypo-thèse d’une technologie terrestre secrète.De fait, il existe des bases secrètes un peupartout dans le monde. L’une des plusconnues se trouve en Australie. Peut-onimaginer qu’en 1959, un gouvernementayant hérité une technologie extraterrestre,par exemple à la suite d’un crash commecelui de Roswell (pour ne pas le citer), aitchoisi cette région désertique pour procé-der à des essais de prototypes ? Essais deprototypes, ou bien tests psychologiquesgrandeur nature effectués sur une popula-tion isolée en vue d’étudier ses réactions àtoutes fins utiles.

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PAPOUASIE-NOUVELLE-GUINÉE : 1959

REFERENCES"The UFO Expérience : A Scientific Inquiry", ouvrage du Dr. J. AllenHynek. "The Oz Files", Bill Chalker, Duffy & Snellgrove Sydney 1996 ISBN 1875989 04 8. pages 91 - 98 et 232. "Alien Dawn", ouvrage de Colin Wilson. "The UFO Book", ouvrage de Jerome Clark. "Saucer Concentration Over Papua", par le révérend Norman E.G. Crutwell,dans Flying Saucer Revue V/5 (Septembre - Octobre, 1959). "Late News: Saucers over Papua" par le révérend Père (later Canon) W.B.Gill. Aussi dans FSR Vol.5 (couverture de dos). "Saucer Men Seen in Flight" par le révérend Norman E.G. Crutwell. In FSRV/6 (Novembre - Décembre, 1959) With sketch of craft. "What Happened in Papua?" par le révérend Norman E.G. Crutwell. In FSRVI/6 (Novembre - Décembre, 1960). "Flying Saucers Over Papua, A Report on Papuan Unidentified FlyingObjects," par Cruttwell, N.E.G., 1960, 45 pp., imprimé pour distributionlimité; extraits reproduits dans plusieurs APRO Bulletin.

rEArEA ction du gouvernement ction du gouvernement ausaus tralientralien

L'observation de Papouasie a provoqué unealliance inédite parmi des groupes de recher-che ufologiques en Australie. Ces groupesont distribué des copies du rapport duRévérend Gill aux membres de la chambredes représentants du Parlement Australien. Le 24 Novembre 1959, E.D. Cash, qui étaitun parlementaire libéral, a demandé auministère de l'air, F.M. Osborne, s'ils avaientétudié le sujet. La réponse d'Osborne étaitqu'ils attendaient toujours plus de preuves.Selon ses propres mots: "Seulement un trèsun petit pourcentage -quelque chose comme 3%- des observations rapportées d'objetsvolants ne peut pas être expliqué." La RAAF a finalement interviewé Gill enDécembre 1959. Gill a raconté l'interviewréalisée par deux officiers qui sont venus luiparler d'étoiles et de planètes avant de repar-tir. Il n'a plus entendu parler d'eux. Après quoiLa RAAF a publié une conclusion négative. Le Chef d'escadron F.A. Lang a dit : "Bienque le Révérend Gill puisse être considérécomme un observateur digne de confiance,les incidents pourraient n'avoir été rien deplus que des phénomènes normaux exagérésà cause des influences subconscientes desadorateurs des OVNIS. Bien qu'il ne soit paspossible de tirer des conclusions fermes, uneanalyse des nuages et des angles approxima-tifs au-dessus de l'horizon suggère qu'aumoins certaines des lumières observées aientété les planètes Jupiter, Saturne et Mars. "

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Surprenante vidéoSurprenante vidéofilmée au filmée au Col DeCol De VenceVence

Une enquête Ufocom Une enquête Ufocom de l’équipe de l’équipe ADV ADV (Analyse des Documents Visuels)

Alain H, Alain H, Alain DH, Bertrand PAlain DH, Bertrand P, Simone B, , Simone B, YYves Dves D

En septembre 2001, Joël Mesnard, lefondateur du magazine ufologiquefrançais “Lumière dans la Nuit”, m'a

confié une vidéo filmée par Patrick L., le2 avril 2001, au Col de Vence (AlpesMaritimes). Dans LDLN n°362,paru en décembre,J. Mesnard relateainsi les faits :“En plein après-mid i (14h53) , l edécollage (verticale t t r è s r a p i d e )d'une boule blan-che a été filmé àl'aide d'un came-s c o p e V H S . L ep h é n o m è n e e s tv i s i b l e s u r u n ediza ine de vuessuccessives. Ladistance est connue avec une assezbonne approximation, ce qui permet d'é-valuer l'ordre de grandeur de l'accéléra-tion. Extrêmement bref, le phénomène(apparemment silencieux) n'a pas étéobservé directement. Il semble que le

diamètre de la boule ait été de l'ordre de1m.”

En octobre, j'ai fait la connaissance dePatrick L. l’auteur de la vidéo. Je vais

assez fréquemmentd a n s l a r é g i o nniçoise pour desraisons familiales.A chaque fois, je nemanque pas de ren-c o n t r e r P a t r i c k .N o u s s o m m e smontés à différen-tes reprises au Colde Vence ensem-ble. J'ai passé del o n g u e s h e u r e sa v e c l u i e t n o u savons échangé dep a s s i o n n a n t e sconversations. Je

peux affirmer que Patrick n'est pas unaffabulateur et encore moins un tricheur.

Simone, coordinatrice d'UFOCOM

Photo montage

Image extraite de la vidéo

Rappelons à l’attention deslecteurs qui seraient peu aufait du dossier ovni, que larégion du Col de Vence est unsite très connu du milieu ufolo-gique, théâtre de nombreusesmanifestations d’ovnis.

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Préambule- Viens voir une cassette que m’a prêtéeJoël Mesnard. Elle est intéressante.C’est ainsi que Simone, notre charmantecoordinatrice, m’apprit l’existence de lavidéo du Col de Vence.La soirée était pluvieuse, nous nous apprê-tions à entrer dans un automne qui s’an-nonçait froid. Des événements tragiquesvenaient de se produire à New-York… Jen’avais pas trop la tête à l’analyse de docu-ments ovnis. Et puis, quoi ? Nous avions,dans l’équipe ADV, déjà vu passer un cer-tain nombre de documents vidéos qui s’é-taient jusqu’à présent toujours révélésdécevants. Il faut préciser que les informa-tions contenues sur une bande vidéo sont,en général, pauvres en renseignements etdifficiles à analyser.Mais – à défaut d’être rapides – nous som-mes consciencieux, à Ufocom. Aussi ne tar-dais-je pas à me rendre au domicile deSimone pour visionner le fameux docu-ment. Je regardais le début de la cassetted’un œil distrait. On y voyait un paysagearide, les quelques rares arbres présentsétaient dépourvus de feuillage (la prise devue est censée dater d’avril, à en croirel’horodatage).L’analyse promettait d’être ardue.- C’est à cet endroit, continua Simone, quetu vas voir le premier objet passer devantun hélicoptère.Le plan avait changé. Nous étions toujoursau Col de Vence, au milieu d’une sorte declairière, et le vidéaste suivait l’évolutiond’un hélicoptère. Je vis brièvement passerquelque chose dans le champ de la caméra.- La trajectoire de cet objet est trop réguliè-re, fis-je, on ne va pas pouvoir en tirergrand-chose…- Attends, répondit Simone, il y a encore untruc intéressant…Le ballet de l’hélicoptère continuait à l’é-cran. Il faisait du sur-place, à très bassealtitude, derrière un petit bosquet. Onaurait dit qu’il cherchait quelque chose.Enfin, au bout d’une bonne dizaine deminutes, comme à regret, il quitta les lieux.Mais le vidéaste continuait à filmer le pay-sage. Il finit par faire un plan large du bos-quet qui, un temps, avait masqué l’hélicop-tère.- Maintenant !La séquence était terminée. Mon attentions’était un peu relâchée et je n’avais rien vu.Un retour en arrière au ralenti me permit devoir le deuxième objet : une boule lumineu-se sortait du bosquet et s’élançait vivement

vers le ciel. Du moins, c’est ce qu’il semblaità l’écran.- Fascinant…C’est tout ce que je trouvais à dire alors quemon regard n’arrivait pas à s’arracher del’écran.Contrairement à mon impression initiale,nous avions là une vidéo très riche en infor-mations. Et qui justifiait une analyse aussisérieuse et fine que possible.

Analyse de la Séquence 1La séquence 1 présente le ballet bien étran-ge d’un l’hélicoptère. La qualité moyennedes images de la copie en notre possessionne permet pas de lire l’immatriculation del’engin. (Peut-être pourrions-nous l’extrairede la cassette originale). La connaissancede cette immatriculation permettrait deretrouver le pilote et, pourquoi pas, de sim-plement lui demander la raison de sa pré-sence en ces lieux désolés…En revanche, nous pouvons tenter d’identi-fier l’appareil.

Identification de l’hélicoptère

Sans l’ombre d’un doute, et en dépit de lamauvaise qualité de l’image, nous avonsaffaire ici à un EADS "Ecureuil", probable-ment un mono turbine. L’appareil sembleposséder la livrée des hélicoptères de l’EDFcomme sur l’image ci-dessous.

Toutefois, dans le secteur se trouve unecompagnie privée, « Nice Hélicoptères ».Cette dernière dispose aussi d’appareils“Ecureuils”.

La ressemblance est frappante. De plus,cette compagnie est basée en un lieu géo-graphiquement proche du Col de Vence etdont la distance est compatible avec l’auto-nomie de ces appareils. Nous concluronsdonc que l’hélicoptère de notre vidéoappart ient t rès certa inement à NiceHélicoptère. Cette compagnie spécialiséedans les transports aériens de frets et depassagers offre de nombreux services surla région, qui vont du vol de loisirs et dedécouvertes, aux vols destinés aux travauxaériens comme l’hélitreuillage d’objetsencombrants ou le transport de charges sursites inaccessibles. Notons pour être complet, et surtout, sans entirer aucune supposition, que les pilotes deNice Hélicoptères sont d'anciens militaires, ettous des professionnels expérimentés.Mais revenons à notre vidéo. Au cours de lapremière séquence, un “objet” traverserapidement le cadre de l’écran, en quelquesimages seulement, passant devant l’héli-coptère. La trajectoire de l’objet est linéaireet sa vitesse relativement constante ce qui,en l’absence de repères, nous donne mal-heureusement peu d’éléments d’informa-tions.Passons à présent à l’analyse à proprementdite de la séquence 1.

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nature du matérielnature du matérielLe document se présente sousla forme d’une cassette VHS“Full size”, codée en SECAMfrançais. Compte tenu de laqualité réelle mais moyennede l’image, il s’agit probable-ment d’une copie de 1eregénération d’un original, pro-bablement SECAM égale-ment.

Contenu de l’enregistrementLe document semble être filméun peu au hasard. Il comporte 3séquences principales :1. Un « objet » passe rapide-ment devant un hélicoptère.b . L’hé l icoptère f a i t d e srecherches dans une clairière.2. Après le départ de l’héli-coptère, l’objet réapparaît der-rière un bosquet.Pour des raisons évidentes,nous ne traiterons ici que desséquences 1 et 2 Hélicoptère de la vidéo

Hélicoptère EDF

Hélicoptère de la compagnie Nice-hélicoptère

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La séquence réelle dure 8 images (40 ms x 8= 320 ms, soit à peine 1/3 de seconde !).Nous avons reproduit ici une image surdeux. Il n’y a malheureusement pas grand-chose à dire sur l’objet lui-même. En l’ab-sence de repère, il est impossible de dire,par exemple, s’il passe près ou loin de l’ob-jectif de prise de vue de la caméra. On peut toutefois avancer qu’il passe assezprès de l’objectif. En effet, il paraît flou surl’image vidéo, défocalisé, alors que la miseau point est visiblement calée à l’infini. Nous avons donc très probablement affaireà un insecte passant par hasard en mêmetemps que l’hélicoptère dans le champ deprise de vue.

Analysons à présent la séquence 2La séquence 2 nous montre, juste après ledépart de l’hélicoptère, une « boule lumi-neuse » qui, après un moment de sur-place, s’élève brutalement et silencieuse-ment du bosquet autour duquel l’hélicoptè-re avait tourné. L’objet sort du champ en 4images seulement !On remarque deux choses. D’abord, l’objetsort manifestement du bosquet, ce quidonne l’échelle. Ensuite, cet objet accélèred’une manière importante avant de sortirdu champ de la caméra. La séquence vidéova donc nous permettre de mesurer ledéplacement, en terme de vitesse et d’ac-célération.

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SURPRENANTE VIDÉO AU COL DE VENCE.

Analyse de la séquence 1

1

3 4

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La séquence 1 montre un “objet” qui passe rapidement devant l’hélicoptère et traverse le cadre

Conclusion concernant cette première séquence vidéoUn moustique ?

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Notes importantesNous attirons l’attention du lecteur sur lefait que c’est parce que nous pensons quel’objet surgit du bosquet que nous pouvonsnous livrer à l’étude chiffrée ci-dessous.Dans le cas contraire, nous ne pourrionsproposer aucune estimation valable. (Unappareil de prise de vues, comme l’œilhumain d’ailleurs, ne donnant que desinformations angulaires)D’autre part, lors de l’analyse, nous ignore-rons une dimension – l’axe Z orienté camé-ra/bosquet – car nous ne pouvons étudierque l’image projetée sur le plan du CCD de lacaméra. De toute façon, un déplacementimportant de l’objet selon Z ne ferait qu’aug-menter des valeurs déjà considérables…Mais observons tout d’abord le phénomèneà travers le “fil” des images.

Nous commencerons notre analyse par latrajectoire projetée sur le plan du CCD. Enmarquant, image par image, la position dubarycentre de l’objet, et en le comparant àun détail fixe de l’image afin de nous affran-chir du bougé de la caméra, on peut établirainsi la trajectoire en X et Y de l’objet.

A l’œil, la trajectoire semblait parabolique,ce qui était singulier. Sur le graphe, on areprésenté en abscisse (axe X) le numérode la séquence d’images et en ordonnée(axe Y) les coordonnées du barycentre del’objet, exprimées en pixels.On voit que l’objet bouge peu en X. Unerégression polynomiale montre que la tra-jectoire en Y est un peu plus complexequ’une simple parabole…

Dynamique de l’objetPour chiffrer vitesse et accélération, nousavons besoin d’une notion d’échelle. Nousavons considéré que l’objet sort du bosquetet, par ailleurs, nous savons que la cimedes arbres se trouve à environ 10m de hau-teurs (c’est vérifié). Nous pouvons ainsiévaluer le grandissement de l’objectif etdéterminer la taille d’un pixel projeté dansle champ image. Il vient alors la vitesse etl’accélération de l’objet, d’image en image.

Sur le tableau ainsi réalisé, il est hallucinantde constater que l’objet passe de la vitessenulle à 160 m/s, soit 590 km/h, en 160 msseulement.

Commentaires sur la séquence 2Il faut d’abord s’assurer que la boule lumi-neuse n’est pas un artefact vidéo. Parexemple un reflet spéculaire dont le dépla-cement à l’image serait produit par le mou-vement d’une lentille du zoom du camé-scope. En étudiant attentivement la vidéo,

l’on constate que la focale est stable pen-dant la séquence. De plus, la caméra estrelativement immobile à ce moment.Ce n’est pas une preuve définitive, mais onpeut donc penser que l’objet filmé est réel.Ensuite, il faut envisager un phénomène natu-rel qui aurait pu engendrer une telle manifes-tation. On pense, par exemple, à la foudre enboule ou quelque chose du même genre.Pourquoi pas ? Seulement, qu’est ce qui pour-ra expliquer l’accélération énorme –et nette-ment croissante– qui anime cette boule ?A-t-on affaire ici à un objet de fabricationhumaine ? L’accélération énorme (jusqu’à186 G) ne plaide pas en faveur de cettehypothèse. Et, surtout, l’accroissementrapide de l’accélération de cet objet dansl’air libre nous dérange car ce comporte-ment est hors de portée de nos moyenstechnologiques. Car s’il est possible de pro-duire une telle valeur d’accélération (dansle fût d’un canon, par exemple), il n’existepas –à notre connaissance– de procédéspermettant d’appliquer une “accélérationaccélérée” à un corps.Il faudra bien évoquer, pour finir, l’hypothè-se ovni. Si, et seulement si, on a valable-ment rejeté les trois hypothèses précéden-tes. Le vidéaste aurait ainsi surpris un ovni«qui met les gaz» pour décoller preste-ment. On croit distinguer que la boule voitson intensité lumineuse croître à mesureque son accélération augmente et qu’unléger panache la précède. Serait-ce l’effetd’un système propulseur ?

ConclusionL’étude de cette vidéo est extrêmement

intéressante. Cependant nousn’avons pas le droit de com-mettre d’erreurs dans l’analysede ce document. En effet, onest tenté d’affirmer que le phé-nomène filmé dans la 2èmeséquence n’a pas d’explicationrationnelle. Et ainsi d’avoir unepreuve irréfutable de l’existen-

ce d’au moins un ovni. Dans ce contexte,on peut aussi se demander la raison de laprésence d’un hélicoptère peu avant lemoment du décollage de l’objet. La proba-bilité qu’il se soit trouvé là par hasard, et cedans une contrée peu fréquentée, est déri-soirement faible.Nous vous invitons à y réfléchir…

Alain DHUFOCOM - Ecrire à l’équipe ADV : [email protected]

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SURPRENANTE VIDÉO AU COL DE VENCE.

Analyse de la séquence 2

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Le disque se trouve à un peu moins de 5 km(3,1 miles) au Nord de la ville d'Arenal et àenviron 40 km (25 miles) au Sud de la fron-tière avec le Nicaragua, par 10,583° de lati-tude Nord et 84,916 de longitude Ouest,dans la province d'Alajuela, au-dessus d'unpetit lac appelé Lago de Cote, mesurantapproximativement 1800 m sur 1600, lequelest à environ 640 m au-dessus du niveau dela mer et dans un paysage de collines doucesou escarpées s'élevant à plusieurs centainesde mètres au-dessus du fond de la vallée. Larégion est couverte de forêt dense, avec delarges étendues de prairie. Une route deterre, praticable seulement en été, court lelong de la rive Sud. Elle relie la bourgade de

Cabanga au Nord-Est à Aguacate au Sud-Ouest. En examinant la photo, on distinguequelques bâtiments le long de la route et desanimaux dans les champs. Le disque se trou-ve à quelques 800 m plein Nord de la démar-cation entre les provinces d'Alajuela et deGuanacaste. En 1980, Ricardo Vilchez, diri-geant avec son frère Eduardo un groupeprivé de recherche ufologique à San José(capitale du Costa Rica), rencontre Sergio L.V, le spécialiste de la photo aérienne, memb-re de l’équipage. Ils discutent des circonstan-ces du vol et de la prise de la photo, sans for-muler pour autant de conclusion sur la natu-re de l'objet. Puis, en 1981, le cas est signaléau GEPAN par J. P. Bergoeing.

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Costa Rica 1971Costa Rica 1971l’indiscutable preuve ?...

Un texte de Jérôme BeauUn texte de Jérôme Beau

Le 4 Septembre 1971, un avion del'Etat costaricain effectue une mis-sion de cartographie. L'équipage de

4 personnes est constitué de : Sergio L.V., spécialiste de la photographie aérien-ne ; Omar A., pilote ; Juan B. C., géogra-phe ; et Francisco R. R., topographe.Diverses photographies sont prises durantle vol, sans que personne n'observe quoique ce soit d'anormal. Et

pourtant, au développement, la photo-graphie 300 montre l'image étrange d'undisque survolant le petit lac Lago deCote. Or, les photographies 299 et 301,prises respectivement vingt secondesavant et vingt secondes après le cliché300, ne montrent rien de tel. D’une quali-té exceptionnelle, l’image fera le tour dumonde et sera l’objet d’analyses très

méticuleuses...

Le cliché original. Le disque est visible au centre à droite

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Un matériel exceptionnelD'après Vilchez, les lentilles de l'appareilétaient fixées à une distance focale de 6pouces. La vitesse de l'obturateur était de1/500ème de seconde à F-5,6. La pelliculeétait une émulsion noir et blanc avec vites-se de 80 ASA. Le grain fin donne un négatifà haute résolution, pourvu que le plan etl'appareil soient stables et la vitesse de l'ob-turateur suffisante. Le négatif a été tiré sur du Kodak Safetytype 3665 pour vues aériennes. L'imagemesure 23 sur 23 cm, et la pellicule de base25,3 sur 23,8 cm. Elle couvre une zone d'ap-proximativement 11,5 km de côté. Les informations suivantes sont inscritessur l'un des bords de la pellicule :Compte image : 909 (A la main) 300 L-11 M-13Altimètre : 10000 piedsNiveau : Approx. plan, C=152,44, Nr21186Horloge : 08:25 localNotations : ARENAL, 10000 pieds, 4-9-71,R. L. B.

1ère analyseEn 1985, lors d'une réunion au Costa Rica,Haines ou Vallée ont l'occasion d'examiner

le cliché, et récupèrent un négatif de 2ndegénération donné par Vilchez. Bien que ne disposant pas du négatif d'ori-gine, Haines et Vallée jugent que plusieursfacteurs justifient une analyse détaillée :- le cliché a été pris avec un appareil dehaute qualité : un R-M-K 15/23. - l'appareil était dirigé vers le bas, ce quifixe la distance maximale et donc la taille

de l'objet - Le disque se détache parfaitement sur lefond sombre et globalement uniforme duplan d'eau- l'image est grande, bien cadrée et détaillée.

CC ommentomment aire deaire deJJ aacques Vcques Valléeallée

"Le traitement numérique des photogra-phies est très utile. Dans mon livre“Confrontations", je mentionne la photo-graphie que j'ai rapportée du Costa Rica,qui était peu commune parce que l'objetétait au-dessus d'un lac [le Lago deCote], et qu'il y avait donc un fond som-bre uniforme. Tout est connu au sujet del'avion qui a pris la photo. Lorsque laphoto a été prise, personne dans l'avionn'avait vu l'objet. C'est seulement aprèsqu'on ait développé le film que l'objet aété découvert. L'appareil photo utiliséétait exceptionnel : il a produit un néga-tif très grand - dix pouces, très détaillé.Vous pouvez voir des vaches dans leschamps. L'heure est connue ; la latitude,la longitude et l'altitude de l'avion sontconnues. Ainsi nous avons consacré untemps énorme à l'analyse de cette photo-graphie, sans pouvoir trouver quelqueréponse normale que ce soit quant à lanature de l'objet. Il semble être unechose très grande et massive."

J. Vallée

La qualité de la prise de vue permet dedistinguer arbres et bétail...

Sur l’agrandissement, on pourrait croire quele disque sort de l’eau, non ?Cependant l’ombre du disque semble indiquerle contraire. (voir image plus haut)

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Sur l'agrandissement positif en noir et blancmoyennement contrasté, nous pouvonsvoir les détails importants suivants :- un bord sombre en haut et dans la partiesupérieure droite- une marque standard à l 'usage desmesures - un fragment du rivage, utile aussi pour lesmesures - le disque ellipsoïdal dont la face supérieu-re est orientée plein Nord

Parmi les détails à noter1. L'image du disque semble présenter lesaires sombres et claires typiques d'un objettridimensionnel éclairé par le Soleil. Au moment et lieu donné, l'azimut solaireétait de 85,4° (dans le sens des aiguillesd'une montre à partir du plein Nord) et l'é-lévation de 16,7°, ce qui explique le dépla-cement latéral de l'ombre du nuage parrapport à la localisation de celui-ci. 2. L’aire sombre, globalement triangulairesur le côté du disque ne peut pas être uneombre solaire projetée par le (supposé)disque opaque. Si le disque est une sectionconique aplatie (l'en-droit sombre seraitle sommet ducône) et si lec ô t é e s ti n c l i n év e r s l eh a u t ,a l o r st ou te l as u r f a c edu disquedevrait êtresombre. Il est plus proba-b le que les a i ressombres et claires soientmarquées à la surface. L'axe longitudinal du disque est de 7° à par-tir du Nord dans le sens des aiguilles d'unemontre (SAM) ; l'angle total inclus de l'airetriangulaire est d'environ 110° d'arc, avecle bord au Nord incliné de 38° SAM et l'axecentral approximatif de 93° par rapport auplein Nord. 3. L'épaisseur du disque est suggérée par lafine ligne courbe et sombre, arrondie etparallèle aux contours de l’objet.

2ème analyseEn 1990 Jacques Vallée obtient le négatifdu gouvernement du Costa Rica ainsi que lenégatif de la photo prise avant et de l'imagesuivante. Il apporte les négatifs à un de sesamis en France en vue de numérisationstrès fines à l'aide d'équipements de laDéfense. Ces nouvelles analyses permettent d'élimi-ner l'hypothèse d'une anomalie liée au film(star effect ou autre).Haines et Vallée procèdent à une série d'a-nalyses approfondies et d'études photomé-triques à partir du négatif noir et blanc ori-ginal de la photo du Costa Rica. Les résul-tats de leurs recherches n'ont pu qu'au-thentifier le phénomène sans pour autantl'expliquer. Un des membres fondateurs du GEPAN, lechercheur français Christian Perrin deBrichambaut, examine la photographie ennovembre 1993 et détermine que les zoneslumineuses de l'ovni ne peuvent être expli-quées que par une émission propre et nonpar les reflets du Soleil. Les zones lumineuses de l'objet pourraient

ainsi être dues à une forte ionisationde l'air faisant appel à un type

de propulsion inconnu.De plus, cette ionisa-

tion sur une parties e u l e m e n t d udisque laisse àsuppose r quecelui-ci opéraitun mouvementde basculementà l'instant de la

p r i s e d e v u e .L'ingénieur définira

non seu lement laforme générale de l'ob-

jet, mais aussi ses dimen-sions.

Jérôme BeauEcrire à l'auteur : [email protected]

http://rr0.free.fr

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COSTA RICA 1971. L’INDISCUTABLE PREUVE ?

REFERENCESPhoto Analyses of an Aerial DiscOver Costa Rica par Richard F.Haines et Jacques Vallée (1989)Etude scientifique détaillée sur labase du négatif, reconstitution sur leslieux. Réalisée pour la conférence dePocantico. [COMETA 1999] [Sturrock 2001]

L'agrandissement positif en noir et blanc OO VNISVNIS S IMILS IMIL AIRESAIRESNDLR : Pour ceux de nos lecteurs quidouteraient encore de la réalité duphénomène ovni, nous nous sommesamusés à collecter quelques photossimilaires à celle du Costa-Rica. Sansfaire office de preuve, cette accumu-lation d’éléments concordants plaidenéanmoins en faveur de cette réalité,même si l’on pourra toujours rétor-quer que les uns ont copié sur les aut-res. Voici donc quelques exemplestirés au hasard parmi tant d’autres...

Ovni photographié en Angleterre (2000)

Ovni photographié au Brésil

Ovni illustrant la couverture dul ivre de Kenneth Arnold “Thecoming of the Saucer” (1952)

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PLANETE XXPLANETE XX Mai 2003Mai 2003

La fin du monde n'aura pas lieu !La fin du monde n'aura pas lieu !Un texte de Jean SiderUn texte de Jean Sider

Une nouvelle théorie sur notre systè-me solaire vient d'être divulguée.Une dixième planète tournerait

autour de notre soleil sur une trajectoireelliptique très excentrique, ce qui laconduirait à mettre plusieurs milliersd'années pour accomplir une orbite com-plète. Voilà qui va donnerun regain d'intérêt pour l'é-crivain Zecharia Sitchin,auteur américain qui, dès1 9 7 6 , a v a i t p r é c o n i s él 'existence de ce corpscéleste supplémentaire.Pour ce faire, il s'est appuyésur des interprétations detextes vieux d'environ 6.000ans, qui figurent sur destablettes de caractères

cunéiformes exhumées sur divers sitesde l'ancienne Mésopotamie. D'après lesSumériens, premier peuple à avoir conçuun langage écrit, cette planète s'appelleNibiru et elle accomplirait une orbite tousles 3.600 ans. (Zecharia Sitchin, La 12e Planète,Souffles, Paris, 1988, p. 257).

Or, une revue scientifiquefrançaise a proposé récem-ment la théorie d'un astro-nome qui va certainementfaire des remous chez lesamateurs de 10è planète.Toutefois, nous ne devonspa s n o u s r é j o u i r p o u rautant, car ce corps célesteconstituerait une redouta-ble menace, mais qui à monsens est usurpée.

Zecharia Sitchin

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Vo i c i c e q u ’ a d é c l a r é l ' a s t r o n o m eAlessandro Morbidelli, qui oeuvre à l'obser-vatoire de la Côte d'Azur, à Nice : "La cein-ture de Kuiper semble s'arrêter brusque-ment à 50 unités astronomiques, comme sielle était tronquée. Si une planète de lataille de Mars s'était formée dans cetterégion au début du système solaire, elleaurait pu "nettoyer", à mesure qu'elle gros-sissait, l'extérieur de la ceinture de Kuiper.Puis, perturbée par son interaction avecNeptune, cette planète aurait pu êtreexpulsée sur une orbite très allongée, dontla période pourrait se compter en milliersd'années. Je m'attends à ce qu'un jour,nous découvrions une tel le planète".(Science & Vie, février 2003, pp. 86-87).Comme ajoute bien S & V: "En imaginantque cette planète est restée très loin dusoleil pendant ces dernières centaines d'an-nées, on comprendrait qu'aucun astronomene l'ait jamais observée. Après tout lalunette astronomique ne date que de quat-re cents ans !".La même revue va jusqu'à publier un sché-ma montrant l'ellipse originale de cette sup-posée planète. Or, ce qui est vraiment éton-nant, est le fait que Z. Sitchin,dans son livre édité aux Etats-Unis en 1976 et publié enfrançais en 1988, reproduit unschéma très proche pour nepas dire identique ! Et la légende quiaccompagne le dessin de S & V précise ceci: "Une planète supplémentaire, avec unetrajectoire très elliptique, pourrait existersans que les astronomes l'aient jamaisencore observée".D'ailleurs il semble que M. Morbidelli ne soitpas le seul à avoir cette opinion, car S & Vmentionne bien, page 86 "Et surtout, beau-

coup d'astronomes pensent que le systèmesolaire cache une planète supplémentairequi n'aurait pas encore été repérée !". Beaucoup ? Tiens, tiens...Pourtant, aucund'entre eux en France, à ma connaissance,ne s'était exprimé sur ce sujet jusqu'ici. Lepoint d'exclamation est de S & V, pas demoi. Certains astronomes connaîtraient-ils lathéorie de Zecharia Sitchin ? Ou encore, cetauteur a-t-il eu vent de la possible exis-tence d'une 10e planète au milieu desannées 1970, par l'entremise d'un astrono-me de ses relations ? Quoi qu'il en soit, lesastronomes et l'érudit américain, par deschemins totalement différents, parviennentau même résultat.

Une connaissance qui n'est pasnouvelleD'après certaines données que j'ai pu ras-sembler à partir de diverses sources, l'exis-tence de ce corps céleste aurait déjà étéadmise depuis au moins vingt ans. Je cite-rai les principales en employant le modeconditionnel à dessein car certaines d'entreelles semblent suspectes à plus d'un titre.

1/ En janvier 1981, plusieurs journauxaméricains auraient annoncé que l'orbite dePluton indique que la planète X existe bel etbien, se référant aux déclarations d'unastronome de l'U.S. Naval Observatory. 2/ En 1982, la NASA aurait avoué la réalitéde cette 10e planète dont l'orbite va bienau-delà des planètes les plus éloignées denotre soleil. 3/ Le 19 juin de cette année-là, le NewYork Time aurait publié un article allantdans le même sens. Le rédacteur y auraitexpliqué que des forces gravitationnellesperturbent les deux planètes géantesUranus et Neptune, ce qui provoque desirrégularités dans leur parcours orbital. Lesastronomes ayant fait ce constat estimentque ces forces suggèrent la présence loin-taine d'un "gros objet" ( la supposée planè-te X).4/ En 1983, c'est le Washington Post quiaurait repris un communiqué du JPL (JetPropulsion Laboratory, excroissance de laNASA.) en date du 30 décembre. Le texte

diffusé énoncerait ceci : "Un corps célesteaussi gros que Jupiter et faisant partie denotre système solaire a été découvert dans ladirection de la constellation d'Orion. Cet objeta été détecté grâce à notre télescope orbitalRAS (Infrared Astronomical Satellite) ". 5/ En 1985, une "théorie Némésis" auraitcommencé à circuler parmi les astronomes.

Plus récemment, elle auraitété proposée par WalterAlvarez, de l'Université deCal i fornie. E l le voudrai texpliquer l'extinction réguliè-

re de certaines espèces (y compris les dino-saures) par une "étoile tueuse", ou planètequi reviendrait périodiquement en compagnied'un essaim de météores et de petites comè-tes, et qui sèmerait la mort et la destruction àl'intérieur de notre système solaire.6/ En 1987, un diagramme serait apparudans l'ouvrage New Science and InventionEncyclopedia, publié par H. S. Stuttman,Westport, Connecticut, Etats-Unis. Il mont-re la position des sondes Pioneer 10 etPioneer 11 par rapport à deux corps céles-tes officiellement non répertoriés : un soleiléteint situé à 50 milliards de miles et la 10eplanète située à 4,7 millions de miles (denotre soleil). Un auteur à prendre avec despincettes, qui reproduit ce diagramme dansson livre, prétend que la publication qui l'arévélé est crédible et respectée. (MarkHazlewood Blindsided, Planet X passes in2003: Earthchanges ! Brekel Group Inc.,Orlando, FL, 2001, p. 17).7/ En août 1988, un rapport de l'astrono-me Richard Harrington, de l'U.S. Naval

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PLANETE X ET LA FIN DU MONDE

Nibiru

Eliptique de Nibiru

Des aastronomes aau ccourant

Cette "étoile tueuse", ou planète reviendraitpériodiquement, semant la mort et la

destruction dans notre système solaire

Le système solaire tel qu’envisagé par la théorie de la 10ePlanète. Pour les Sumériens qui intégraient le soleil et laLune dans leur compte, cette même planète était en fait ladouzième, et avait pour nom NIBIRU.

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Observatory, indiquerait que la masse de cecorps céleste devrait faire quatre fois cellede la Terre. 8/ En 1992, ce même Richard Harringtonet son collègue Thomas van Flandern,auraient affirmé qu'il existe bien une 10eplanète "intruse" dans notre système solai-re. Malheureusement le décès brutal de R.Harrington aurait mis fin à des recherchesdéjà bien engagées à l'observatoire de U.S.Navy.9/ Enfin, chose sûre cette fois-ci, en février2003, apparaît la théorie de l'astronome A.Morbidelli, citée plus haut, première dugenre en France dansune revue scientifique, dumoins pour autant que jesache. 10/ Une autre informa-tion aurait été publiée en Grande-Bretagnedans les Monthly Notices of the RoyalAstronomical Society du 11 octobre (annéenon citée). Un Dr. John Murray y auraitadmis qu'un objet 32.000 fois plus loin quela Terre, par rapport au soleil, tournaitautour de ce dernier. Il aurait ajouté quecet objet est au moins aussi massif queJupiter, et qu'il fait partie intégrante denotre système solaire depuis sa formation. Cependant, Mark Hazlewood soutient quequatre jours plus tard les censeurs de l'es-tablishment ont fait publier un second arti-cle qui dément les informations du premier,puis un troisième qui donne dans la désin-formation. Le hic, c'est qu'il ne fournitaucune référence concernant ces deux arti-cles.

Un adepte de l'apocalypseHazlewood affirme carrément que la fin dumonde surviendra en mai 2003. Cependantil associe souvent les données divulguéessur les astéroïdes de la ceinture de Kuiperavec la 10e planète, ce qui est une erreur àne pas commettre. Chose ahurissante, ilaccorde un crédit inconditionnel à deschannels (médiums) qui auraient reçu desmessages télépathiques de "guides spiri-tuels" sur une proche fin du monde. La plu-part parlent de grands bouleversementsdus à une étoile ou une comète, ce quinous éloigne d'une dixième planète. Ilreproduit dix-sept messages, dont un seulcite 2003. Il reprend aussi vingt-trois quatrains pro-phétiques calamiteux de Mother Shipton,(Ursule Southiel, en réalité) publiés en1645 par l 'astrologue W. Lil ly. Mais i l"oublie" de dire deux choses:

1) Cette anglaise a annoncé la fin dumonde pour 1991. 2) Ses prophéties ont été connues avant sanaissance (Pierre Carnac, Prophéties etprophètes de tous temps, Pygmalion, Paris,1991, pp. 234-235). Enfin, il se réfère au channel Nancy Liederqui, en 1995, a lancé le mythe Zetatalk surInternet. (Cette rumeur de “fin du monde”a fait énormément de bruit sur le web)Le problème, c'est que les entités qui liv-rent des informations aux channels ontpour habitude d'effrayer les humains avecles mensonges les plus gros. Par exemple,

j'ai l'un de mes correspondants qui reçoitdes messages sur sa machine à écriredepuis le milieu des années 1970. Il a reçuplusieurs fois des menaces de f in dumonde. La première, en 1982, donne unedate approximative se situant entre 2014 et2015. Puis en 1985, deux messages livrentdeux dates précises différentes pour 1993 !Les autres ne citent aucune date, et l'und'eux dit ceci : "Toutes nos prophéties seréalisent sauf si nous décidons de remettreà plus tard le châtiment annoncé ". Il n'y avraiment rien de solide à tirer à partir deces prédictions contradictoires.Comme déjà précisé il y a au moins 6.000ans que les Sumériens connaissaient cette10e planète sous le nom de Nibiru, selonZecharia Sitchin. Parce que leurs tablettes

admettent être des copies d'écrits anté-rieurs, cette ancienneté peut encore êtrerepoussée de plusieurs centaines d'années,peut-être même de milliers. D'autre part,les Sumériens admettaient des bouleverse-ments au périgée de Nibiru (pluies, inonda-tions), mais pas de f in du monde (Z.Sitchin, op. cit., pp. 252-253). Au sujet de Mark Hazlewood, j'ai noté unautre abus de sa part. En effet, il prétendque certains textes anciens des Indes citentun corps céleste appelé Treta Yuga, ou KaliYuga, qui aurait une orbite de 3.600 ans, cequi est exactement le temps que mettrait la

planète Nibiru des Sumérienspour faire le tour du soleil. Orc ' e s t ab so l umen t f aux ,comme nous allons le voir. D'après le spécialiste des

mythes des Indes Richard L. Thompson,Trata-Yuga n'est pas une planète mais ledeuxième cycle de 3.600 ans d'une périodedivine de temps qui comporte quatre Yugasou divisions. Elle totalise 12.000 annéesselon des textes sanskrits contenus dansles Puranas, entre autres livres. Le premiercycle, Krta-Yuga, dure 4.800 ans. Ledeuxième Trata-Yuga a pris fin il y a plus dedeux millénaires. Puis il y a eu les 2.400 ansdu troisième Dvapara Yuga, et actuellementnous sommes dans le quatrième et derniercycle appelé Kali Yuga. Celui-là dure 1.200ans et n'a commencé qu'en 1899. (RichardL. Thompson, Mysteries of the SacredUniverse, Govardhan Hil l Publ ishing,Alachua, Floride, 2000, pp. 224 et 227-228).

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PLANETE X ET LA FIN DU MONDE

Voici le tableau des douze planètes de notre système solaire vu par les sumériens. Nibiru, la dernière planètesur la droite semble aujourd’hui prendre réalité dans l’esprit de certains astronomes... A quelle source deconnaissance les sumériens avaient-ils accès à leur époque, pour se représenter si fidèlement le ciel ?

Les Sumériens admettaient des bouleverse-ments au périgée de Nibiru (pluies, inonda-

tions), mais pas de fin du monde

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Certaines concernent également un ou plu-sieurs corps célestes destructeurs pourl'humanité. J'en citerai deux :1- Chez les indiens Hopis d'Amérique duNord l'une d'elles dit ceci: "Un jour certai-nes étoiles viendront ensemble en uneseule rangée, comme cela s'est déjà pro-duit il y a des milliers d'années. C'est letemps de purification pour la Terre. Deschangements de climat et de nombreusescatastrophes peuvent se produire quandnous parviendrons à ce stade. Ce qui peutse produire alors personne ne peut le savoirréellement". Des "étoiles en une seule ran-gée" ? Voilà un élément qui évoque l'aligne-ment de toutes les planètes prévu le 21décembre 2012. D'après cette prophétie,outre d'immenses dégâts et pertes en vieshumaines, ce serait le début d'une nouvelleère glaciaire. (Thomas E. Mails, The HopiSurvival Kit, Penguin/Arcana, New York,1997, pp. 209-210 et 214-215.) Signalons que les prophéties des Hopisauraient été communiquées à leurs prophè-tes par le Créateur lui-même. Elles peuventou ne peuvent pas se concrétiser. Il s'agitdonc davantage de probabilités modifiablesselon la volonté du Créateur ou des hom-mes, d'après ce que prétendent les Hopis quiles ont faites. A noter cependant que cellesqui se sont réalisées sont tellement impres-sionnantes que le livre des prophéties desHopis (Hotevilla) a été traduit en Françaispar l'Unesco (T. E. Mails, op. cit., p. 186).2- Les prophéties des Mayas sont en grosidentiques à celles des Hopis. Elles indi-quent que nous sommes parvenus à la fin

d'un dernier cycle d'existence pournos civilisations. Les dates don-nées de ce cycle correspondentpour le début au 12 août 3114avant J. C. et au 21 décembre2012 pour la fin. A ce moment-lànotre planète est censée enregist-rer de très violents séismes terrible-ment dévastateurs (Adrian G. Gilbert & MauriceM. Cotterell, The Mayan Prophecies, ElementsBooks Ltd., Boston, Mass., 1995, p.2).

ConclusionA chaque prétendu retour de la planète Xdans l'environnement des autres planètes,des forces gravitationnelles et magnétiquess'opposeraient et provoqueraient une com-binaison de facteurs aux effets dramatiquespour la Terre. Des traces des dégâts pro-duits par ses précédents passages existe-raient: séismes, raz de marée, éruptions devolcans, basculement de l'axe des pôles,terres englouties, changements clima-tiques, disparitions de certaines espècesanimales, végétales, et communautéshumaines, etc..Toutefois, il s'agit seulement de supposi-tions, et non de certitudes formelles. Ce quidiscrédite cette affaire est le calcul qui aamené Mark Hazlewood à désigner cettedate, mai 2003, qui est en fait arbitraire. Eneffet, il se base sur deux arguments sujetsà caution, à savoir :1- Des désastres antérieurs déterminés pardes découvertes archéologiques. Il cite enexemple une catastrophe de grandeampleur qui aurait été datée en 1628 av. J. C.

à p a r t i r d e l ' é t u d e d e sanneaux de croissance d'unarbre fossi le (DiscoveringArcheology, Juillet/août1999,p. 72). L’auteur a donc suppo-sé que cet te catast rophemajeure avait été produite parla planète X à son dernier pas-sage à proximité de la Terre,ce qui n'est absolument passûr du tout. Des explicationsdifférentes peuvent être avan-cées (chute d'astéroïde, mou-vements telluriens, anomaliesc l i m a t i q u e s d e g r a n d eampleur, etc..) 2- Hazlewood a ajouté 3600ans (durée supposée de l'orbi-te de la planète X) à l'année

1628 av. J. C., ce qui nous amène à 1972.Cela ne justifie pas mai 2003. Pourquoi mai,et pourquoi 2003 à partir de ce calcul ? Deplus, l’orbite de 3.600 ans n'a pas été éta-blie sur des bases scientifiques rigoureuses.C'est un nombre qui nous vient d'une civili-sation disparue, celle de Sumer, laquelle neconnaissait même pas le télescope ! Celaimplique trois possibilités : ou bien ce nom-bre est une invention du corps sacerdotalsumérien, ou bien il lui a été donné par ses"dieux", ou encore il s'agit d'une mauvaiseinterprétation de Zecharia Sitchin. Or, dansles trois cas de figure, il y a absence totalede fiabilité.

Dès lors, spéculer sur de pareils élémentspour annoncer la fin du monde en mai 2003est aussi insensé que d'affirmer que laTerre est sur le point d'être envahie par desExtraterrestres au physique reptilien. Cen'est finalement qu'une rumeur alarmistede plus, lancée par des citoyens américainsirresponsables. Et le plus grave, c'est qu'il ya des naïfs pour la gober sans se poser dequestions.

Jean SiderPour écrire à l’auteur contacter la rédaction

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PLANETE X ET LA FIN DU MONDE

Que ddisent lles ggrandes pprédictions ??

Sur ce cylindre VA/243 exposé au musée de Berlin, comme sur beaucoup d'autres,la scène est accompagnée de symboles célestes. Ici, entre les deux personnagesde gauche, nous voyons le système solaire avec le soleil au centre et les autres pla-nètes tout autour. Nous notons la présence de deux astres supplémentaires quisont la lune, et Nibiru passant entre Mars et Jupiter.

A en croire Sitchin, Nibiru est de retour. La planète aurait même étéphotographiée en 1999 par un satellite équipé d'un système à infrarouge.

Pour les sumériens, le système solaire était composé de 12 pla-nètes. Le nombre 12 est directement lié aux Dieux de Sumer. Onle retrouve aussi chez les Dieux de l'Olympe, à travers les 12 tri-bus d'Israël, les 12 disciples de Jésus, les 12 mois de l'année, etles 12 heures d'une journée car les 24 heures sont en réalitédeux fois 12 heures. Sur ce bas-relief, on notera les 12 rayonsqui s'échappent de l'étoile. A noter également la taille de géantdu Dieu Anu par rapport à celle de ses deux serviteurs. Idempour le cylindre VA/243.

???

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VIDEOSVIDEOSPour illustrer notre dossier Haarp (page suivante) voici un florilège de vidéos detempêtes. Accrochez-vous bien !

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ENEN VRAC...VRAC...QuelquesQuelques vidéosvidéos d’ovnisd’ovnis

Voici quelques clips d’ovnis relativement classiques et qu’il serait trop fastidieuxde commenter. Comme on dit, quand on en a vu 1, on en a vu 1000 !Vous pourrez les ajouter à votre collection personnelle car certains méritent toutde même le détour. Et pour rire, découvrez le vrai faux reportage TV d’un Crashd’ovni en pleine banlieu américaine. On s’y croirait !

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Incontestablement, les catastrophesnaturel les l iées aux caprices dutemps se sont manifestées à toutes

les époques. Mais, ce qui est moinsnaturel que par le passé, c'est l'insoliteviolence de ces phénomènes dits natu-rels, souvent en totale inadéquationavec le contexte saisonnier. Ces dérè-glements climatiques sont générale-ment mis sur le compte de " l'effet deserre ". Mais y a-t-il véritablement unlien entre le changement climatiquemondial, et le très médiatique "effet deserre", fond de commerce des écologis-tes ? Car alors, pourquoi l'Europe, etprincipalement la France, dont la super-ficie représente 1/1000ème de la surfacedu globe serait-elle tout particulière-ment affectée ? Sur le plan géopolitique, la communauté

européenne indispose les Etats-Unis carelle s'organise et devient un pôle écono-mique concurrentiel indépendant, ceque ne veut absolument pas l'Amérique.Composée des pays les plus riches dela planète, l'Europe doit rester, selonl'optique américaine, un client solvableen position de demandeur vis à vis desU S A . L a s u r v i e é c o n o m i q u e d el'Amérique dépend de cette hiérarchiede rapports bien établie de part et d'aut-re de l 'At lant ique. C 'est peut -êt red'ailleurs pour cette raison que le 20èmesiècle a été le théâtre incessant de guer-res dans une Europe déchirée, incapa-ble d'atteindre l'unité. Or, alors que lerisque de guerre sur le territoire euro-péen s'éloigne enfin après un siècle deconflits barbares, une nouvelle menacesurvient : d'ordre climatique.

THEORIE FANTASTIQUE

HAARPHAARPLE ContrôleLE Contrôle

D U C L I M A TD U C L I M A TPar Mickaël GOLANPar Mickaël GOLAN

NDLR : Nous ne pouvons pas certifier lavalidité des affirmations suivantes, etnous ne les approuvons pas forcément.Cependant s’il existe ne serait-ce qu’uneseule chance sur un million pour quecette projection se vérifie, alors nous nenous sentons pas en droit de la passersous silence.

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LE SYNDROME " SOS METEORES "D'étranges perturbations météorologiquesse font tangiblement sentir depuis quelquesannées sur le vieux continent, causant degrands dommages à son agriculture et àson potentiel économique en général.A ce sujet, au parlement européen, desvoix commencent à s'élever pour désignernommément les USA comme étant lesresponsables du dérèglement climatique,conséquence de tant de désastres en toutgenre. L'Europe des quinze s'inquiète de lapolitique intransigeante des USA en matièrede prévention des pollutions industrielles.Margot Wall-Strom, commissaire européen,chargée de l'environnement, affirme : "LesEtats-Unis sont les principaux coupables duchangement climatique !”La décision de la Maison Blanche, de ne pasratifier le protocole de Kyoto, commed'ailleurs la plupart des nations industriali-sées, a relancé la polémique européenne àpropos des Etats-Unis, présentés comme lepremier pollueur de la planète. Le 20novembre dernier, le Président françaisJacques Chirac déclaraitlors du sommet climatiquede La Haye : "Si l'on nefait rien, nous pourrionsêtre accusés de non assistance à planète endanger"…Belle formule de rhétorique à laquelleGeorge Bush, son homologue américain, arépliqué moins prosaïquement par "Nousallons travailler pour réduire les gaz à effetde serre, mais nous n'acceptons aucunemesure qui nuise à notre économie"...Langage diplomatique pouvant se traduirepar : "nous restons maîtres chez nous,etn'avons de conseils à recevoir de person-ne".Et si toute cette hystérie à propos de l'effetde serre n'était qu'une gigantesque opéra-tion d'intoxication de l'opinion internationa-le, un rideau de fumée médiatique ?En réalité, les événements relatifs à cesphénomènes climatiques sont traités demanière factuelle. Aucun reportage d'inves-tigation destiné à comprendre les causes

réelles de tous ces désastres n'a jamais étévu sur aucune chaîne de télévision. Les dif-férentes mesures pour pallier au problème

ressemblent à de la poudre aux yeux ; c'estdu grand art en matière de manipulationdes foules, et les raisons évoquées à cedérèglement planétaire s'apparentent à labonne vieille technique de l'arbre qui cachela forêt. Cependant, les populations, victimes desintempéries, commencent à se réveiller et àdemander des comptes à leurs dirigeants.En France, quelque peu gêné par le chorusdes sinistrés de la Somme, le gouverne-ment a ordonné la création d'une commis-sion d'enquête, autre procédé bien connu,avec la "cellule de crise"...

“Il n’y a plus de saison !”Claque année, le continent européen, quin'a pourtant rien d'un climat tropical propi-ce aux cyclones et à la mousson, est lethéâtre de manifestations étranges. Les

régions d'Europe les plus touchées, sont laGrande Bretagne et le Portugal (précipita-tions considérables). L'Espagne, (sécheres-se endémique), la France (un mois depluies ininterrompues). La Russie, (inonda-tions spectaculaires) ayant nécessité ledéplacement de 20.000 personnes, et tem-pératures caniculaires à Moscou en 2001.Toute cette violence des caprices du tempssuggère cette réflexion : Sommes-nous enplein syndrome "SOS METEORES" (référen-ce faite à l'adresse d'Edgar Pierre Jacob,véritable "Jules Verne" de la bande dessi-née) ? Ce visionnaire a exploité tous lesthèmes, y compris celui d'une guerremétéorologique contre la France...Guerremétéorologique menée par une grandepuissance maîtrisant une terrifiante techno-logie d'émission destinée à manipuler le cli-mat, cela grâce aux travaux d'un savant fou: le Professeur Miloch. Au cinéma comme dans la bande dessinée,la science fiction fait très souvent irruptiondans notre quotidien, en l'occurrence parune météorologie chroniquement insolite

que les médias ten-tent de camouflerpar des bu l le t insmétéo rassurants. A

ces subterfuges médiatiques, répond lapréoccupation de plusieurs députés du par-lement européen. Ces sommités impartialesont suffisamment pris conscience de laréalité de ces phénomènes climatiquesbizarres, pour aller jusqu'à soupçonner l'ar-mée américaine de se livrer à des expérien-ces sur la haute atmosphère, notammentau moyen de puissants émetteurs de radiodont les ondes ultra courtes modifieraientla texture.De tels phénomènes seraient le résultatd'un projet scientifique dénommé HAARP,acronyme de : HIGHT, ATMOSPHERE,AURORAL, RESARCH PROJECT. Ce qui,dans la version officielle du programme,signifie recherches dans le domaine deshautes fréquences appliquées aux auroresboréales. Un expert en énergie : GratanHealy, conseiller auprès des parlementai-

HAARP, LE CONTRÔLE DU CLIMAT

L'EUROPE SUBIT-ELLE UNE GUERRE METEOROLOGIQUE ?

Et si toute cette hystérie à propos de l'effet de serren'était qu’un rideau de fumée médiatique ?

Le site de HAARP. GAKONA

3 juin 1902

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res, rassemble pour l'instant les piècesaccusatoires, pour instruire l'enquête surcet obscur projet scientifique.Le rapport du GRIP de Luc Manpaey estremarquable à ce propos, car il expose fortexhaustivement, les résultats de toutes lesrecherches et enquêtes, concernant le pro-gramme HAARP. Ce programme d'investiga-tions, visant à mettre en cause une grandepuissance, est orchestré par MagdaHoalvoet, une euro députée belge, prési-dente du groupe des verts.Elle oeuvre afin que le parlementeuropéen fasse pression, vial'OTAN, sur les Etats-Unis, etqu'ils répondent enfin à toutesles questions relatives au projet HAARP. Parailleurs, d'autres scientifiques, chercheurs,journalistes et militants écologistes, jouentaux détectives avec l'armée américainedans l'espoir de découvrir le véritableaspect du projet HAARP, présenté commeun inoffensif programme de recherches parl'US Air Force et la Navy.Aux États-Unis, le projet HAARP ne fait pasl'unanimité. Des citoyens américains s'in-

surgent contre l'utilisation d'un tel procédé"scientifique". C'est le cas du DocteurRosalie Bertell, personnalité scientifique dehaut niveau. Sous l'administration Reagan,elle avait été désignée pour étudier leseffets du projet d'armement "STAR WAR".Elle est actuellement consultante pour leparlement européen qui enquête sur lavéritable nature du projet HAARP.En 1995, un l ivre dénonçant le projetHAARP, publié aux USA, à plus de 25.000

exemplaires, a fait sensation. Il s'agit del'ouvrage "Angels dont'play this HAARP",co-rédigé par deux auteurs, le Docteur NickBegich, écologiste, et Jeanne Manning,spécialiste des énergies, dites "non conven-tionnelles'. Ce livre n'est malheureusementpas traduit en France où le problèmeHAARP est inconnu du grand public.Aux Etats-Unis, l'existence du HAARP a étérévélé au public par de nombreux articles

dans les journaux, ainsi que par des émis-sions de télévision. Depuis, une longue cohorte d'opposantsmanifestent leur désapprobation face auprojet. Parmi ces opposants, deux scienti-f iques ont apporté leurs préc ieusesconnaissances à la rédaction des ouvragesconsacrés au HAARP. Il s'agit du chimisteRichard William et du Professeur Zielinsky,Physicien allemand, spécialiste de l'électro-nique quantique. Or on sait aujourd'hui que

toute l'efficacité du dispositifHAARP réside dans l'utilisation decette électronique d'avant garde.Selon ces spécialistes, les énor-mes puissances d'émissions en

provenance de la station de Gakona pour-raient influencer la météorologie de n'im-porte quel pays et y provoquer des effetsb é n é f i q u e s o u c a t a s t r o p h i q u e s .Complément terrestre du projet STAR WAR(guerre des étoi les) que le nouveauPrésident BUSH a remis à l'ordre du jour, leprojet HAARP serait en réalité, de par lanature spéciale de son signal d'émission,l'arme ultime des Etats-Unis !

Le projet HAARP serait de par la naturespéciale de son signal d'émission, l'arme

ultime des Etats-Unis !

Les catastrophes et caprices du temps n’ont pasattendu le projet HAARP. Texas. 1935.

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LA GUERRE DES ONDESDerrière ce projet HAARP se cacherait doncune arme terrifiante, car, selon la bande defréquence utilisée, très haute ou très basse,le système aurait la possibilité de provoquerà distance des effets particuliers sur l'envi-ronnement tels que : scanner les entraillesde la terre, interrompre toute forme decommunication hertzienne (guerre du Golfeen 1991), influencer les comportementshumains (Guerre du Golfe, Afganistan),modifier le climat, désintégrer tout enginvolant dans l'atmosphère (STAR WAR),provoquer des tremblements de terre, desorages dévastateurs, des explosions puis-santes en altitude (guerre du Golfe). A l'origine de ce projet HAARP, se trouve lepère fondateur du système BernardEastlund, Physicien au MassachussetsInstitute Of Technology. Les recherches deBernard Eastlund se sont inspirées des tra-vaux de Nicolas Tesla, savant croate dudébut du siècle à qui l'on doit les découver-tes sur l'énergie ionosphériques. Auteur denombreuses découvertes scientifiquescomme le courant alternatif, prix Nobel dela science, Tesla avait entre autre mis aupoint un procédé permettant de transporterd'importantes quantités d'énergie élec-trique sans câbles, sur de grandes distan-ces, en se servant de l'ionosphère commesupport. Tesla n'imaginait pas à son époqueà quoi allait un jour servir son invention. Quelques décennies plus tard, en améliorantle dispositif grâce à l'apport de l'électro-nique, Eastlund réussit à s'attribuer la pater-nité du projet. Le procédé HAARP était né... Le brevet américain portant le numéro 4686 605 lui a été remis le 11 août 1987.Entre 1986 et 1994, Bernard Eastlunddéposa douze brevets, lesquels constituentla structure du projet HAARP et de sestechnologies dérivées en matière d'arme-ment. EASTLUND réussit à faire financer laréalisation de ses inventions par la compa-gnie ARCO, immédiatement séduite par lesdébouchés possibles auprès des militaires.Depuis ce jour, toute la recherche dans ledomaine de l'énergie électromagnétique àdes fins médicales est bloquée. C'est doncun vaste domaine hautement prometteurde la science qui s'est vu monopolisé pardes intérêts liés à l'armée américaine.Aujourd'hui, notons que le propriétaire etexplo i tant de ces brevets n 'est p lusEastlund, exclu pour d'obscures raisons,mais bien la société APTI ARCO, consortiumpétrolier derrière lequel se profilent l'USNavy et l'US Air Force.

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HAARP, LE CONTRÔLE DU CLIMAT

La grande aventure de HAARP débuteavec le savant croate Nicolas Tesla.Lorsque ce fondateur de l 'électricité

moderne fai t audébut du 20èmesiècle une décou-v e r t e g é n i a l e :dans l'ionosphèrede notre planèteréside une énormequantité d'énergieélectrique.L'atmosphère secomportant commeun d ié lec t r iqueisolant, Tesla en adéduit que l 'en-

semble: ionosphère, air, terre constituait ungigantesque condensateur électrostatiquenaturel. Le principe basique du HAARPréside tout simplement là : capter cetteénergie ionique pour la redistribuer d'unecertaine manière.En modifiant la densité du diélectriquenaturel de L'atmosphère terrestre, cela pro-voque une décharge électrique contrôlée.Cette opération rabat les charges élec-triques ionisées positives vers le sol négatifde la terre qui les attire. De nos jours, c'estce que font discrètement les opérateursaméricains du HAARP : transporter degrandes quantités d'électricité au moyen duvéhicule des ondes radioélectriques. Ceprocessus est réalisé, en pointant un fais-ceau d'émission radio directif, de fortepuissance, vers le bouclier ionosphérique.Celui-ci se met alors à résonner, tel un sim-ple circuit accordé self et condensateur.Les atomes ionisés de la haute atmosphèrese mettent à osciller puis s'emballent surleur fréquence de résonance. C'est alorsque le site ionosphérique visé se transfor-me en plasma et devient réfléchissant telun miroir. L'onde HAARP est ainsi ren-voyée vers le sol, affectée de nouvellespropriétés. Les dipôles d'émission duchamp d'antennes de Gakona sont assem-blés en forme de croix.Ce procédé polariserait le signal d'émis-sion HF de telle sorte qu'il se propageraiten spirale. C'est ce mouvement d'ondetournante qui "arracherait" les ions prison-niers de l'ionosphère.Les charges électriques récoltées seraientalors transportées dans l'espace au moyen

de l'électro-jet à haute densité de plasma.Ces vagues d'ondes électromagnétiques,animées d'une grande vélocité, présententune trajectoire perpendiculaire aux lignesde champ magnétique de la terre en sedéplaçant d'un pôle à un autre. Au cours deleur voyage dans la tropopause, elles pro-voqueraient crescendo, une cascade "d’ef-fets climatiques".Toutes ces explications vulgarisées à. pro-pos du HAARP sont nécessaires pour com-prendre comment les vagues d'électro-jetchargées d'énergie, auraient la faculté d'a-gir sur les anti-cyclones. Ces masses d'airfroid chassées des pôles qui agissent sur leclimat des régions tempérées.

ANALYSE DU SYSTEME D'EMISSION HAARP

Nicolas Tesla

Les antennes de Gakona en forme de croix. HAARP

Deux techniciens travaillant à la maintenance des mats.

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Classé secret défense, le principe détailléde HAARP n’est pas accessible, cependant,sur divers sites Internet américains des élé-ments d'informations sont consultables.Par analogie, le HAARP est comparable àces poupées gigognes dont l'enveloppeextérieure dissimule les autres. Ce qu'il enest officiellement connu se résumerait àbombarder l'atmosphère au moyen d'unfaisceau de micros ondes radioélectriquesmodulées. Ce, dans le but de procéder àdes mesures scientifiques sur le mouve-ment des particules de vent solaire dans lamagnétosphère de la terre.

Les militaires ont une autre version.Ils prétendent en effet que la puissance del'émission est telle que cela provoque l'ioni-sation des hautes couches de l'atmosphèrequi se transforment en miroir réflecteur.Cela leur permet de relayer l'émission inci-dente bien au delà de la courbure de laterre. Les militaires du Pentagone affirmentque ce dispositif leur sert à communiqueravec des unités de la marine ou de l'avia-tion en mission lointaine.

Ce que les militaires ne disent pas.Par la mise en place de plusieurs nuagesmiroirs, il est tout à fait possible de reculerencore plus loin la portée des émissions aumoyen d'avions militaires de type KC 135qui larguent sur les nuages des substanceschimiques.Ce procédé nommé Cloud Seading permetde modifier la texture de la vapeur d'eauqui, si elle devient réfléchissante, s'accom-pagne de fortes précipitations. L'écranréflecteur ainsi créé, va relayer les ondes dela station de Gakona qui vont "arroser" lazone déterminée d'une région. Un autreprocédé consiste à réaliser un écran réflec-

teur par le largage de microfibres d'alumi-nium que les puissantes émissions duHAARP maintiendront en altitude. (voir TOPSECRET n°5)Naturellement, les effets produits sur l'envi-ronnement seront relatifs aux fréquencesutilisées. Le choix des fréquences étantvaste, les effets peuvent être multiples. Enprincipe, le procédé doit s'en tenir à desbesoins en matière de communication.Cependant, vu le passif de l'US Air Force etde la CIA en matière d'expérimentations,malgré toutes les versions officielles desuns et des autres, il se profile au-delà detous ces discours, un autre domaine d'ap-plication du HAARP, plutôt inquiétant : celuide l'arme "Psychotronique".Dès 1952, le Docteur José Delgado,

Professeur à l'Université de Yale, avaitdécouvert que l'on pouvait affecter le com-portement émotionnel d'un individu en lesoumettant à certaines fréquences et typesd'ondes. Les scientifiques, comme Delgadoet le Docteur Robert Becker ont réussi àdémontrer que deux ondes couplées, dontl'une est modulée en fréquence, génèrentdes effets où la plupart des fonctions céré-brales profondes de l'être humain peuventêtre manipulées à distance, avec des résul-tats "très tangibles".Certaines très basses fréquences aux alen-tours de 7 HZ peuvent en effet provoquerl'apparition dans le cerveau de substancesneurochimiques qui génèrent un "vastearsenal de réponses émotionnelles ou intel-lectuelles". Tel est le discret programme de l'élite mili-taire US, consistant à utiliser une nouvelle

générat ion d'armes psychotroniquesdénommées "millimètre wave", procédéconsistant à transmettre à distance unintense champ électromagnétique moduléde façon particulière à l'aide du systèmeHAARP. Le but est de neutraliser des trou-pes adverses, ou de manipuler des popula-tions à leur insu. On notera à ce propos l'étonnement denombreux commentateurs qui se sontinterrogés sur la résistance acharnée d'unepetite ville comme Umm Qasr qui a tenu 15jours face aux forces de la coalition tandisque les défenses de Bagdad s’éffondraientau bout de quelques heures. Autre exemple, en arrivant en Afghanistan,les volontaires étrangers étaient bien déci-dés au sacrifice ultime pour défendre lerégime taliban. Or la majorité de ces hom-mes se sont finalement rendus sans com-

battre. L'étrange révolte des prisonniersétrangers de la forteresse de Qalae-Jangi,qui pourrait aller à l'encontre de cettethèse, pose au contraire bien des interroga-tions aux observateurs. En effet, commentexpliquer le farouche élan suicidaire de cescentaines d'hommes qui s'étaient pourtantrendus la veille à Kunduz.On sait, grâce aux travaux de Blackman etde Ross Adey que des ondes pulsées provo-quent des variations de la tension artérielle,et modifient les flux d'ions de calcium,potassium et sodium. Ces flux, en traver-sant la membrane cellulaire, génèrent dessignaux micro électriques qui se propagentdans le système nerveux, et informe le cer-veau de ce qui se passe autour de nous.Ainsi informé, le cerveau déclenchera à sontour une action sur un muscle, une déci-sion, une émotion, ou une maladie. De plus, ces ondes pulsées modifient le PHSanguin et affaiblissent le système immuni-taire humain.Depuis 1964, les militaires s'intéressent deprès à l'utilisation de ces ondes. C’est àcette époque que les scientifiques RossAdey et Bawin ont découvert qu'une fré-quence de 450 MHZ modulée à 16 HZ enfréquence de récurrence (nombre de foispar seconde) altérait la chimie du cerveauchez les poulets et les chats. Appliquée àl'ensemble des mammifères, il était évidentpour l’armée que l'utilisation de ces ondes,pouvait être une arme terriblement effica-ce.

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HAARP, LE CONTRÔLE DU CLIMAT

COMMENT FONCTIONNE LE HAARP ?

Nuages photographiés à Tulsa, Oklahoma

Il est possible d’affecter le comportement émotionneld’un individu ou d’une foule en utilisant certaines ondes

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Les armes neutroniquesLes armes neutroniques se classent en 3catégories : armes létales (mortelles) àrayonnement électromagnétique ; armesnon létales de neutralisation temporaire,utilisables lors de manifestations violentes ;arme d'autosuggestion mentale ou demanipulation du comportement.Les stratèges du Pentagone sont résolu-ment favorables à l'utilisation de tels procé-dés. Pour preuve, on peut lire dans unerevue à circulation interne (The revolutionin mi l i tary Affairs - Strategy StudiesInstituts - Us Army War College), laquellen'est pas censée tomber dans le domainepublic : "Nos valeurs changent et la techno-logie s'ouvre sur de nouveaux horizons. Il ya peu, pendant la guerre froide, les opéra-tion psychologiques et l'armement psycho-logique étaient encore primitifs. Alors quenous entrons de plein pied dans l'ère de l'é-lectronique et de la bioélectronique, ildevient nécessaire de réévaluer les barriè-res morales et éthiques que nous avonsposées en interdisant toute technologiepouvant manipuler l'esprit de nos ennemis,tant à l'intérieur du pays qu'à un niveauinternational... Dès que cela sera possible,nous encouragerons des entreprises pri-vées ou semi privées à développer unetechnologie appropriée. Nous pouvons agirde même avec lesn o u v e a u x t y p e sd ' a r m e m e n t scomme les armesbiologiques incapa-citantes et les armes psycho technolo-giques avancées..!" La réalité dépasse parfois les meilleurs filmsde science fiction. Depuis leurs bases implantées en diverslieux de la planète, Russes et Américainsutilisent conjointement la technologie duHAARP. Ces deux grandes puissances, anta-gonistes en apparence, se sont toujourséchangées le résultat de leurs recherchesscientifiques sensibles.Toutefois, seuls les USA donnent des infor-mations sur l'aspect du programme HAARP,dont le site le plus connu est celui deGakona, situé en Alaska. Vaste installationqui s'étend sur plusieurs hectares, le choixdu site de Gakona répond à plusieurs critè-res : surface d'implantation disponible nonrestreinte ; espace éloigné des zones habi-tées à forte densité démographique ; zoned'implantation relativement plane ; impactenvironnemental minime ; coût de cons-truction et de maintenance diminués.

Descriptif des installations de GakonaSelon le site officiel militaire, l'installationcomporte 48 antennes dipôle d'une vingtai-ne de mètres de hauteur, reliées chacune àun émetteur de puissance. Elles sont ali-gnées sur une zone plane et rectangulaire.L'installation devrait atteindre la puissancede 3,6 terawatts selon un programme établien 3 phases. Certains analystes prétendent que leHAARP n'a rien de secret, puisque tous lesrenseignements le concernant circulent surle Web. Toutes les histoires de science fic-tion qui circulent à propos des émissionsHAARP ne seraient donc que balivernes.Cependant, c'est un point de vue que nepartage pas le GRIP de Bruxelles. Lesdéfenseurs du HAARP avancent que le sitede Gakona, situé près du cercle polaire, nepeut pas provoquer les dommages qu'on luiimpute partout sur la planète. Ils avancentmême, à juste raison, que le site d'émissionn'a vraiment rien d'une base militaire, carl'on y constate une totale absence de dispo-sitif de sécurité, absence de clôtures, degardes armés, de chiens.De fait, n'importe qui peut pénétrer dans lazone des antennes. En somme, rien qui neressemble à un complexe militaire secretcomme la célèbre zone 51 dans l'Etat duNevada. Au premier abord, tout cela parait

bien transparent. Et si tout cela n'étaitqu'un leurre, une façade scientif iquepublique destinée à dissimuler le véritableaspect du HAARP. La base de Gakona a étéle lieu de naissance du HAARP, là, sondispositif a été mis au point.De nos jours, elle est devenue une vitrinede démonstration technologique, et depuis,les différents sites d'émission sont répartissur les territoires russe et américain. Parailleurs, le système d'émission HAARP peutêtre également transporté sur un camionou embarqué sur un gros avion militaire.

Subtile stratégie ou absence tota-le de secret ?L'opération "portes ouvertes" de Gakona neprouve rien, car elle ne dévoile pas l'utilisa-tion de la physique quantique. Celle-cimodifie de manière conséquente les pro-priétés du signal d'émission HAARP. Le prin-

cipe quantique bouleverse tota-lement les lois de la physiquetraditionnelle, laquelle limitenotre perception des dimensionsspatiales et temporelles. De nos

jours, il est communément admis que lavitesse de la lumière est de 300.000 kilo-mètres par seconde. Pour échapper à cettelimite, il faudrait pouvoir accélérer un corpsà une vitesse supérieure, ce qui est actuel-lement impossible avec les lois de la phy-sique traditionnelle. En théorie, il est com-munément admis que si un corps était sou-mis à une vitesse supérieure à celle de lalumière, il quitterait impérativement notrecontinuum espace temps. Il est doncimpossible d'accélérer un corps commecela. Mais si, sans déplacer physiquement

ce corps, on le soumet àdes micro ondes radio-é lec t r iques de fo r tepuissance, celles-ci vontagiter ses molécules àde très grandes vitessescomme dans un four àmicro ondes domes-tique. Ces très courteslongueurs d'ondes, et ce

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PROPRIETES DES ARMES NEUTRONIQUESLes armes neutronique ont des ondes auxeffets polyvalents. Elles pourraient neutrali-ser les missiles balistiques (programme SDI)ainsi que les systèmes électroniques et infor-matiques. Certaines de ces armes de l'ombreauraient, selon les recherches et expérimen-tations du Docteur Allen Frey, la capacité deprovoquer des ruptures d'anévrisme ou desarrêts cardiaques. Cela avec de très grandespuissances d'émission, aux fréquences extrê-mement basses. Le Docteur Rosaly Bertellaffirme que les USA expérimentent à l'insude tous et au mépris des conventions interna-tionales, les effets de ces ondes depuis plusde 40 ans.Ainsi, de nombreux projets se sont succédés :ARGUS, 1958 STARFISH, 1962 SOLAR POWER SATELLITE, 1968 à 1978 SHUTTLE EXPERIMENT, 1985 MIGHTY OAKS, 1986 DÉSERT STORM, 1991.

Le système d'émission HAARP peut être égale-ment transporté sur un camion ou embarqué sur

un gros avion militaire

Le PC-bunker de Gakona

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haut niveau de puissance haute fréquencepermettraient alors de faire tourner leschamps de Tachyons, de Quanta ou de par-ticules électromagnétiques autour de cecorps, à une vitesse supérieure à celle de lalumière, ce qui produirait le même effet quesi l'on dépassait cette vitesse ! Cette techno-logie d'avant garde est déjà utilisée dans lesmicro circuits des ordinateurs à grande vites-se de calcul. Là réside le secret de HAARP.

Histoire du HAARPL'ex URSS et les Etats-Unis se sont intéres-sés à l'atmosphère dès les années 50. Lesscientifiques de ces deux puissances s'é-taient rendus compte que de puissantesémissions d'ondes ionisantespouvaient changer le climat. Aumilieu des années 70, des ingé-nieurs soviétiques ont essayé demanipuler l'ionosphère.Peu après que les scientifiques eurent misen marche leurs gros émetteurs, le JetStream se mit à faire des détours impor-tants. Cela permit à la population del'Alaska de se prélasser dans un hiverexceptionnellement chaud. Pour la premiè-re fois, la neige tomba à Miami et auxBahamas, pratiquement au niveau de l'é-quateur. Cette expérience permit à l'URSSd'avoir un hiver exceptionnellement doux... Provoquer un type de temps dans unerégion ou un pays ne serait possible qu'endiminuant son potentiel dans un autreendroit. En 1973, le Honduras accusa lesEtats-Unis de voler sa pluie et de provoquerune grande sécheresse en détournant arti-ficiellement l'ouragan Fifi pour sauver l'in-dustrie touristique de la Floride. Cet oura-gan a causé les plus grands dégâts jamaisvus dans l 'h is to i re du Honduras. LeSalvador subissant le fléau de la sécheressea porté des accusations similaires contre lesEtats-Unis. De même le JAPON a prétenduqu'on lui avait volé le peu de pluie nécessai-re à toute vie, en déclenchant le typhon àGuam. La Rhodésie ainsi qu'Israël furentaccusés par les nations voisines de leurvoler la pluie. Le journaliste américainLowel Ponte cite dans "The Cooling" les

propos que lui auraient confiés des fonc-tionnaires de l'armée. D'après ces confiden-ces, des avions américains auraient mis finà l'aridité de terres situées aux Philippineset aux Açores, tout en refusant, au gré deleurs intérêts, de remédier à la sécheressede plusieurs pays de la zone du Sahel afri-cain. Ponte décrit également le programmesoviétique consistant à modifier de manièretangible les conditions atmosphériques au-dessus de leurs territoires afin d'augmenterleurs productions agricoles. Selon une rumeur, l'énorme bouleverse-ment météo de 1982/83 causé par El Nino,dans l'Océan Pacifique, aurait été provoquépar une action soviétique sur l'ionosphère.

Curieusement, lorsque El Nino revint en82/83, ses effets habituels n'étaient plus dutout les mêmes. Les alizés à l'équateur, quisoufflent d'Est en Ouest dans l'hémisphèreSud furent inexplicablement refoulés. Celaeut pour effet de retenir les courants d'eauchaude qui s'écoulent normalement versl'Asie. L'eau se mit alors à refluer et à s'ac-cumuler devant la côte ouest de l'Amériquedu sud. Ce revirement aurait provoqué despluies diluviennes au Pérou, de même queles tornades dans le sud de la Californie etle long de la côte est de l'Amérique du nordet de l'Alaska.En décembre 1974, Howard Benedict del'Associated Press à Washington, rédigeaitun rapport sur le thème de la guerremétéorologique intitulé : The weather as asecret weapon ? (Le climat, une armesecrète ?). L'article de Benedict expliquaitpourquoi les porte-paroles américains etrusses avaient nié l'existence de tellesarmes. S'ils avaient dit "nous possédonsdes super armes météorologiques", il estfacile d'imaginer la réaction des popula-tions. La moindre anormalité du temps leuraurait fait dire : “c'est la guerre !” Ne pas affoler les opinions des populationsest une priorité. Et les médias sous contrô-le des différents pays s'y emploient.En France, pays où la chape de plomb surles phénomènes climatiques est totale, seulun auteur, Jean Marc Filterman, a rédigé unouvrage sur la guerre climatique : "Lesarmes de l'ombre" aux Éditions Carnot.Un journaliste, Jean Moïse Braitberg dumagazine VSD a eu le courage d'écrire :"Les services secrets fantasment. Tempêtesde décembre 99, phénomène naturel ou

attaque terroriste ?" Ce journaliste a enquêté auprès de diversservices spéciaux et militaires américains àce sujet. Il révèle que dès 1970, ZbigniewBrzezinski, alors Directeur de la sécuriténationale du Président Carter, publiait unlivre : "Betwen two ages", sur la possibilitéde contrôler le climat. Dans cet ouvrage, ce directeur de la NSA atout simplement dévoilé le programme mili-taire de la nouvelle guerre secrète, uneguerre invisible totale, destinée à ruiner lesdifférents secteurs de production des paysconcurrents des USA. “Les techniques de lamodification du climat pourraient être utili-sées pour produire des périodes prolongées

de sécheresse ou d'orage".Quiet weapon for bilent war !Telle serait la très discrètes t ra tég ie des Eta ts -Un is

dévoilée par un haut fonctionnaire duPentagone.

Principe quantique du HAARPEn physique quantique, les oscillationsmoléculaires modifient la gravité desparticules et la densité des corps. Qu'ils'agisse de tout le spectre des ondesradioélectriques, du froid, du chaud, desobjets, des humains et de leur perceptionbiologique, tout est lié à la vitesse desélectrons orbitant autour des noyauxcomposant les diverses molécules. Si unsavant inventait un dispositif permettantde modifier à son gré la vitesse des parti-cules qui gravitent autour des noyauxatomiques, constituant un objet parexemple, ce dernier pourrait changer deforme, traverser un mur, changer d'é-poque ou devenir invisible.Théorie aberrante du point de vue de laphysique traditionnelle. Les scientifiquesavant-gardistes admettent cependant quel'écoulement de temps dépend de la gra-vité ou de la puissance d'un champmagnétique. Un champ intense peutcourber la lumière ou l'absorber, tels lestrous noirs de la galaxie. Du coup, l'éva-luation d'une distance est faussée, ainsique le temps nécessaire pour franchir unedistance. Cette théorie peut expliquerpourquoi une puissante émission d'unsignal radioélectrique codé génère unchamp magnétique, ou une onde de natu-re particulière, pouvant agir sur l'envi-ronnement, jusqu'à modifier le climat.

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En 1970, des ingénieurs soviétiquesauraient essayé de manipuler l'ionosphère

Le japon a toujoursconnu des typhonsspectaculaires

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Réaction de l’EuropeDepuis octobre 1998, le GRIP à Bruxellesdispose d'un observatoire appelé ForcesArmées et Environnement qui a pour objec-tif d'étudier l'impact des activités militairessur l'environnement politique, économique,juridique, scientifique et éthique. Le GRIPconsidère que le projet HAARP, en raison deson impact général sur l'environnement, estun problème d'une portée mondiale, etdemande que ses implica-tions juridiques, écologiqueset éthiques soient examinéespar un organisme internatio-nal indépendant. Cet organisme déploreque le gouvernement des Etats-Unis ait àmaintes reprises refusé d'envoyer un repré-sentant pour apporter un témoignage surles risques que comporte pour l'environne-ment et la population, le projet HAARP, etdemande que soit établi un accord interna-tional visant à interdire à l'échelle mondialetout développement et déploiement d'ar-mes qui pourraient ouvrir la porte à toute

forme de manipulation de l'homme. Malheureusement, pour l'instant, aucuneforce n'est en mesure de contrer la montéeen puissance de l’Amérique dans la réalisa-tion de son plan de domination mondiale.

L'autre menaceLe signal HAARP a été étudié par un radioamateur californien de San Jose, Mr Smith.Sa station de réception munie d'un analy-seur de spectre est située à environ 5000

railles de l'émetteur de Gakona.En observation nocturne du signal, MrSmith a relevé que la porteuse du signalétait de 3,39 MHZ, et d'une durée de 6,25secondes terminée régulièrement par uneamplitude en fréquence 0,9 à 10 Mhz. Lesignal d'émission est espacé ensuite parune pause de 15 à 30 secondes.Un dispositif spécial est nécessaire pourentendre le signal du HAARP dont le bruit

est semblable à celui d'un chalumeau àsouder. Très proche du bruit de souffle de

récepteur, ce signal de très bassefréquence est très en dessous dece que peut capter l'oreille humai-ne.

Il doit être détecté, filtré suramplifié et res-titué au moyen d'un haut parleur, typecanon de basses, tel que ceux utilisés dansla chaîne de restitution sonore du cinémaTHX. Le résultat fait penser au bruit de fond del'Océan, auquel viendrait s'ajouter une sen-sation de tremblement de terre. Les scienti-fiques officiels affirment que la capacitéd'émission du réseau HAARP dans la bande

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Dans la nuit des 25 et 27 Décembre1999, deux tempêtes d'une violenceexceptionnelle s'abattaient sur laFrance, alors que le pays s'apprêtait àcélébrer le passage à l'An 2000. Cestempêtes représentaient un phénomè-ne météo très inhabituel.Les modélisations 3D réalisées parMétéo France montrent à quel point laconfiguration météorologique avaitl'efficacité d'une machine de guerre. Rappelons que l'existence des armesclimatiques a été implicitement recon-nue dans un traité international dedésarmement. Un traité internationaladopté en 1977 sous l e nom de"convention ENMOD", interdit eneffet expressément le développementd'armes "de nature à influencer le cli-mat". Le fait que ce type d'armes soitmentionné dans cet accord indiqueque leur existence n'est pas de lascience-fiction.Ces tempêtes de décembre 1999 pour-raient donc avoir été provoquées parune arme climatique, utilisée afin desanctionner l'attitude récalcitrante dela France sur la mondialisation, lesOGM, et le traité de l'AMI. (Le prin-

cipe central de l'AMI est de créer toutun ensemble de droits nouveaux pourles multinationales, au détriment desétats et des populations, et sans aucu-ne obligation en contrepartie. Cetaccord économique international a éténégocié dans le plus grand secretdepuis 1995 sous l'égide l'OCDE)Ces " tempêtes" ont été suivies par unvirage à 180 degrés de la politique dugouvernement de Lionel Jospin ausujet de la mondialisation et desOGM. La vérité est peut-être que lepays ayant été mis à genou par cesdeux "tempêtes", la France a été vain-cue et n'a pas eu d'autre solution qu'u-ne discrète capitulation, à l'insu de lapopulation qu'il était préférable de nepas informer.Le naufrage du pétrolier Erika, le 12décembre 1999 (soit quelques jours àpeine avant les tempêtes), naufragedont les médias n'ont pas assez souli-gné les circonstances douteuses, n'é-tait-il pas une signature des événe-ments calamiteux qui allaient frapperla France quelques jours plus tard ?Le nom du navire Erika fait penser àun code symbolique d'identification :

I AM ERIKA qui se prononce : AME-RICA!Pour l'anecdote, un cyclone tropicalbaptisé ERIKA dévasta la NouvelleCalédonie le 14 Mars 2003, entraînantdes frais considérables pour la France.Rappelons qu'un mois auparavant,Dominique de Villepin avait demandéque se tienne, le 14 mars justement,une séance du Conseil de sécurité àl'ONU destinée à "évaluer la situa-tion" sur l'Irak. Inutile de dire quecette séance n'eut jamais lieu, la guer-re en Irak étant devenue inévitable àcette date.De même, faut-il interpréter commeun avertissement le tremblement deterre survenu en France le 22 février2003, et ressenti jusqu'en Allemagne,deux pays européens largement enga-gé contre la logique de guerre améri-caine. Et que dire du violent tremblement deterre survenu en Chine aussitôt aprèsune visite de Colin Powell venu cher-cher, en vain, le soutien du gouverne-ment chinois. L'histoire contemporaine regorge deces coïncidences...

Catastrophes naturelles ou attaques militaires ?

L'être humain -même à l'état inconscient-est sensible au signal infime du HAARP

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ELF est onze millions de fois plus faible quele bruit de fond naturel atmosphérique. Ces bri l lantes sommités cartésiennesdevraient s'interroger sur le but que pour-suivent dans ce cas les opérateurs du pro-gramme HAARP. Pourquoi investiraient-ilsun budget de 200 Millions de dollars ? La magnétite que recèle le cerveau de l’êtrehumain, de même que le fer contenu dansson organisme vibre aux moindres modifi-cations du champ magnétique terrestre, ouélectromagnétique généré par les lignes detransports électriques et les émissions radiode toute sorte. L'être humain -même à l'é-tat inconscient- est sensible au signal infi-me du HAARP dont les émissions se succè-dent régulièrement. Le radio amateur Smithprétend avoir capté un essai secret duHAARP le samedi 17 février 2001. A 3 heures du matin, la fréquence normalede HAARP était de 3,39 Mhz. Vers 4 heuresdu matin, le contrôle à l'analyseur de spectrea révélé un changement de synchronisationd'impulsion et d'espacement d'inter impul-sion. A 4 H 39, la puissance du signal s'estsoudainement élevée. A 6 H 45, l'émissions'est interrompue pour reprendre vers 10heures du matin à pleine puissance, à 350Megawatts. A quoi jouent les militaires ?Des chercheurs indépendants estiment quele signal HAARP agit en 2 temps. Une pre-mière salve de fréquence préchaufferaitl'ionosphère lors de cette opération, lesions des atomes azote et ozone seraientexcités. Viendrait ensuite l'impulsion de fin,comprise entre 0,9 HZ et 10 HZ qui embal-lerait ces ions dans toutes les directions.Des scientifiques américains ont observéque, lorsque le HAARP a chauffé un siteionosphérique, le miroir de plasma obtenuse transforme, non seulement en réflecteur,mais aussi en transducteur doubleur de fré-

quence. L'azote ionisé ainsi semble avoir lapropriété de transformer une fréquenced'émission de 435 Mhz en une fréquencesecondaire de 1080 Mhz. Un physiciennucléaire a observé que la fréquence de1080 Mhz est approximativement de 2,7fois celle de 435 Mhz. Or. 2,7 est la propor-tion de l'azote dans l'atmosphère. Le risqueserait que des sujets biologiques, exposés àdes fréquences de 1080 ou 435 MHZ, souf-friraient d'un empoisonnement à l'azote,assorti d'une destruction chronique des gai-nes de Myéline qui protègent les nerfs ducerveau.Une autre particularité de ces fréquencesserait leurs propriétés d'agir sur la géné-tique de l'être humain. Car la fréquence de1100 Mhz résonnerait avec l'ADN. Cettestructure en forme de double spirale est labase moléculaire de toute vie biologique, etcontient de L'azote comme ingrédient pri-maire. La fréquence de 450 Mhz serait éga-lement proche de celle de la consciencehumaine et de notre réalité spatiale et tem-porelle.Ces mystér ieuses émiss ions HAARPauraient-elles vraiment ces inquiétantespropriétés ?Si le programme HAARP dont les objectifsne sont pas clairement connus pouvait :brouiller, modifier ou détruire l'ADN humainau moyen des fréquences appropriées, ouagir sur le niveau de conscience de l'huma-nité, afin de retarder ou d'accélérer sonévolution, ce serait la pire des menaces àl'encontre de la civilisation humaine.Les USA détiendraient alors l'arme suprêmede domination mondiale. Les peuples detoute la planète seraient soumis au contrô-le d'une élite possédant un savoir technolo-gique fantastique.Le " MIND CONTROL " qui s'affirme insi-

dieusement ne semble guère être un thèmequi relève de la science fiction. La fictiond'aujourd'hui s'est souvent avérée être laréalité de demain.

Mickaël GOLANPour écrire à l’auteur contacter la rédaction

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HAARP, ARME DE L'APOCALYPSE ?Le mot "harpe" apparaît 53 fois dans 50versets sur l'ensemble des écritures.46 fois dans l'Ancien Testament et 7fois dans le nouveau, dont 5 pourl'Apocalypse uniquement.

" Et j'entendis du ciel une voix, commeun bruit de grosses eaux, comme lebruit d'un grand tonnerre, et la voixque j'entendis était comme celle dejoueurs de harpe jouant de leur harpe. "(apocalypse 14 : 2).

" Et je vis comme une mer de verre,mêlée de feu, et ceux qui avaient vaincula bête, et son image, et le nombre deson nom, debout sur la mer de verre,ayant des harpes de Dieu. " (apocalypse 15 : 2)

" (...) car nous n'avons pas à luttercontre la chair et le sang, mais contreles dominations, contre les autorités,contre les princes de ce monde de ténè-bres, contre les esprits méchants dansles lieux célestes " (EPH 6 : 12)

Cette prophétie bibliques concernantles puissances de l'air et les puissancesd'égarement semblent curieusementdésigner le projet HAARP.

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SIRENNES-LE-CHÂTEAURENNES-LE-CHÂTEAU

M'ÉTAIT CONTÉ…M'ÉTAIT CONTÉ…Un texte de Paul RouelleUn texte de Paul Rouelle

AE

En guise d'aEn guise d'a verver tissementtissement

Il n'entre pas du tout dans mes intentions d'assénerune vérité historique, irréfragable et intangible.J'estime simplement que l'analyse de certains

faits, de leur concordance dans le temps, de leursrelations plausibles sinon possibles, le tout saupou-dré d'une solide rasade d'esprit critique et d'une bonnepincée de logique, que tout cela peut amener à deshypothèses curieuses, voire intéressantes, que -à maconnaissance- rien n'a encore contredit aujourd'hui.Je n'ai pas la prétention d'avoir résolu "L'Affaire deRennes-le-Château" : je n'ai pas les moyens de m'of-frir ce ridicule. Je crois cependant avoir eu la chancede disposer de certains éléments susceptibles d'é-clairer différemment cette énigme, ou tout au moins,d'y apporter quelques compléments curieux.Dans le cadre de cette affaire, je n'ai pas eu vent, eneffet, que quiconque se soit jamais penché sur lesagissements d'un obscur écrivaillon allemand dans larégion d'Ussat, ni sur les raisons véritables qui les ontmotivés, et moins encore sur les développementsbizarres qu'impliquent alors les remarquables étudesconsacrées à ce personnage par Christian Bernadac.Dans le cadre de cette même affaire, je ne crois pasnon plus que l'on ait jamais tenté une étude conjointedes mémoires d'un autres personnage insolite, égale-

ment traité avec maestria par le même Bernadac.Je ne pense pas, enfin, que quelqu'un, se méfiantdes traduttores-traditores, se soit imposé l'étude del'occitan afin de se documenter in texto non suspectoet non pas seulement via ce que rapportent les autresdans leurs ouvrages.Je n'ai pas connaissance, enfin, que quiconque étu-diant ce sujet, avant même la moindre publication etaprès en avoir fort peu parlé aux diverses personnesrencontrées pour la recherche documentaire, se soitfait contacter depuis l'Australie et l'Estonie par desgens étrangement évanescents dès le moment oùl'on a la curiosité de s'intéresser à leur identité phy-sique. Ni que quiconque se soit fait cambrioler, mena-cer et finalement tirer dessus à trois reprises. Il y a des gens, au BND et dans quelques services dumême acabit, qui manquent drôlement d'humour !Un dernier mot.Je n'ai pas l'intention non plus de délivrer un quel-conque message, si ce n'est celui-ci : cherchez pas-sionnément, mais toujours sincèrement et honnête-ment. Vous n'imaginez pas le plaisir que vous trouve-rez à progresser dans votre quête.Et c'est là, probablement, le seul trésor de Rennes-le-Château qui soit encore vraiment accessible.

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Si vous ne le connaissez pas, imaginez-vousun petit patelin perdu au sommet d'un grosmamelon rocheux des Corbières, une qua-rantaine de maisons basses et trapues pourla plupart qui dominent une série de plainesgarnies de hautes collines, de quelques picset de quelques bourgs, le tout sur le fondmagnifique des Hautes Pyrénées.Un village qui fut jadis une ville importante-on parle de milliers d'habitants- à l'époqueoù il s'appelait encore Rheda. Une agglo-mération de la taille de Carcassonne qui futréduite en ruines et cendres par lesAragous, les routiers aragonais d'Henri deTrastamare. Autrefois, il y avait deux égli-ses, des rues corporatives, un château, desremparts. Les Wisigoths -les Goths savants-en avaient fait une de leurs capitales, avecTolède. Ce fut aussi la résidence de sei-gneurs féodaux liés aux grandes famillesnobles d'une Europe dans laquelle la Francen'était pas encore hexagonale.Aujourd'hui, il ne reste presque plus rien.Presque.Un beau jour de juin 1885, Rennes-le-Château accueil l it son nouveau Curé,Béranger Saunière, un gars du coin, solideet vigoureux, qui ne laissait pas les fillesindifférentes. Et réciproquement. Il netarde d'ailleurs pas à prendre à son serviceMarie Denarnaud, jeune et accorte chape-lière de dix-huit ans -âge bien peu cano-nique- avec laquelle il partage tout.Puis il entreprend la remise en état de sonéglise, à la limite de la ruine.Ce qui fut d'abord une opération pénible,menée chichement avec un petit héritageet un prêt de la commune, devint en 1896une entreprise fastueuse : l'Abbé remaniecarrément le bâtiment et le décore d'unefaçon qui peut -aujourd'hui- prêter à souri-re quand on n'est pas curieux, mais englou-tit quand même des sommes impression-nantes. Mieux : il achète des terrains et semet à bâtir. Une villa somptueuse pour l'é-poque, qu'il dit devoir devenir un homepour vieux prêtres nécessiteux après samort ; une tour néo-gothique juchée aubord du ravin, dont il fait ses appartements ;une orangeraie, des jardins luxueux qu'ilpeuple d'un véritable zoo miniature… Ildote certaines familles pauvres et mèneune vie de sybarite, tenant table ouvertepour ses amis et recevant des personnalitésen vue de l'époque, parmi lesquelles la can-tatrice Emma Calvé -dont il fera sa maîtres-se - e t un au then t i que A r ch i duc de

Habsbourg. Le tout à ses frais. Une estima-tion raisonnable au vu des factures connuesporte l'évaluation entre 5 et 7,5 millionsd'Euros, et alors qu'il paraissait pouvoirencore disposer du double…Sa hiérarchie, d'abord passive -voire com-plice- finit par se poser des questions. D'oùvient l'argent du Curé ?

A tous ceux qui cherchent vraiment,Et qui s'amusent tout autant.

C'est un beau roman, c'est une belle histoire…

Qu'il me soit permis d'adresser ici chaleureusement mes

remerciements à tous ceux et celles quim'ont permis d'en arriver là

Au Marquis Jacques de B., pour un tas de raisons qui n'appartiennentqu'à lui et moi,

Au Docteur Georges Hérion, avec qui j'ai fait mes premiers pas dans larégion et dans cette aventure,

Au Marquis Philippe de Chérisey (†),pour son incroyable érudition, et pour l'a-mitié dont il a bien voulu m'honorer,

A Colette, sa Compagne, pour sonextraordinaire gentillesse, parfois pourses silences, mais surtout parce que,aujourd'hui encore, elle m'accorde cetteamitié que Philippe m'avait offerte,

A Monsieur Gérard de Sède, pour avoir mis cette histoire à jour, pour yavoir levé mes hésitations, et pour avoirtoujours renvoyé l'ascenseur,

A Monsieur Christian Bernadac, pour qui j'ai le plus grand respect et, etqui sans le savoir, m'a donné de précieuxencouragements,

A Claude Nauwelaerts, pour son amitié, pour les longues heuresde discussion passionnantes, pour sonsoutien et pour son aide, notamment dansla documentation.

Et enfin, mais avant tout, à Marcelle,mon Epouse,à Serge, Marc et Marie-Claire, nosEnfants, parfois pour leur enthousias-me, mais toujours pour leur patience.

Quant à ceux que je n'ai pas cités, certainsme sauront gré de respecter leur discré-tion ; les autres ne s'en étonneront pas.

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Bien sûr, depuis presque toujours, la régionproche a eu la réputation d'abriter des tré-sors. Trésors perdus par des familles noblesfuyant la Révolution, certainement. Trésorsissus de l'exploitation de mines, c'est connu :même les Templiers s'en mêlèrent. Trésorsi s s u s d e r a p i n e s , c o m m e c e l u i d uDesdichado, c'est très probable. Trésorwisigoth, c'est vraisemblable.Trésor du Temple de Salomon…Eh oui, même celui-là est plau-sible !On dit aussi "Trésor du Diable". Là, je n'ycrois pas. Quoique… Le Diable, (diabolos)en grec, n'est-ce pas celui qui se met entravers ?…Mais voilà, notre Curé ne voulait rien expli-quer. Ce fut l'affrontement avec l'Evêque,qui n'hésita pas -le ridicule ne tuait déjàplus- à inventer un trafic de messes afin detraîner son subordonné devant le tribunalde l'Official. Qu'à cela ne tienne, l'Abbé s'of-frit sans sourciller les services d'un avocatecclésiastique en renom qui séjourna deuxans à Rome pour défendre sa cause devantles instances vaticanes. Et, de procéduresen louvoiements, de procès en appels,Rome ne put rien faire que déclarer le prêt-re suspens a divinis, c'est-à-dire privé deses fonctions sacerdotales séculières, maisen aucun cas de son état religieux. Unesanction extérieure à toute juridiction civile

-alors que l'Evêque précédent avait été traî-né devant les tribunaux de la Républiquepour une question de gestion d'héritage-comme si l'on avait redouté que l'Etat nefourrât un peu trop son nez dans cette his-toire. Il faut dire que, à part l'Evêque enfonction, il n'y avait pas de plaignant et quel'Abbé n'avait jamais rien avoué…

Une sanction, en tout cas, sans rapportautre que théorique avec le trafic qu'on luireprochait et que certains persistent assezbizarrement à soutenir encore aujourd'huicontre vents et marées.Aurait-on parlé de simonie -commerced'objets sacrés- que l'on aurait peut-êtreété plus près d'un aspect curieux de la véri-té. Encore faudrait-il s'entendre sur le sensdu mot "sacré", car, si certaines pièces ontpu avoir une valeur sacrée dans l'antiquité,elles n'auraient plus aujourd'hui qu'unesacrée valeur historique. Ceci dit, il est vraique si l'Etat semi-théocratique d'Israëlremettait la main sur la Menorah, je nedonnerais pas cher de la paix au Moyen-Orient…Par ailleurs, si les seules -et très rares- piè-ces officiellement connues et clairementissues du "trésor" de l'Abbé étaient des

objets du culte, il les a offertes, et non ven-dues, à des Confrères. On m'objectera queces quelques cadeaux ne l'empêchaient pasd'avoir écoulé le reste. Certes, et il est unfait que le Curé négocia des valeurs impor-tantes dans au moins une joaillerie et viadiverses banques françaises et étrangères.Mais cela ne veut pas dire non plus que cespièces vendues étaient sacrées.Il vaut mieux se souvenir d'un fait curieuxque bien peu ont analysé pour autant queje sache. Un beau jour de 1911, notre Curése retrouva quasiment dans la misère, aupoint d'envisager de se défaire de ses col-lections et de revendre ses biens, et mêmed'emprunter auprès du Crédit Foncier.Heureusement pour lui, cela ne dura guère,et il se mit de nouveau -malgré la guerre de14- à établir des projets faramineux, pourne pas dire pharaoniques. Lisons ce qu'endit Gérard de Sède dans "Le trésor mauditde Rennes-le-Château" (J'ai Lu, A196, page44) :“Comme il veut une automobile mais qu'iln'existe aucun chemin carrossable, il imag-ine de faire tracer une route de quatre kilo-mètres pour relier Rennes-le-Château àCouiza ; il entend faire installer l'eau cou-rante chez tous les habitants du village etceindre celui-ci de remparts comme jadis ;il envisage la construction d'une nouvellechapelle, placée au milieu du cimetière etpourvue d'une piscine baptismale commeaux temps des premiers chrétiens. Mais ilvoit plus grand : il commande la construc-

tion d'une tour de soixante-dixmètres de haut dont les mursintérieurs seront, de la base ausommet, tapissés de livres ; cette

bibliothèque de Babel, digne de l'imagina-tion d'un Borges, sera desservie par unescalier en colimaçon.”Il s'en fallut de peu pour qu'il les réalisât.Tout juste une attaque d'apoplexie le 17janvier 1917, qui l'emporta le 22 suivant.Une attaque d'apoplexie ? On glose tou-jours aujourd'hui sur la question.Quoi qu'il en soit, une constatation s'impo-se par une succession chronologique defaits indubitables :1.- Le Curé est très riche.2.- Le Curé devient pauvre.3.- Le Curé redevient immensément riche.L'hypothèse de deux trésors différents netient pas debout, pas plus que celle d'unmême trésor dans lequel il se serait abste-nu de puiser pendant quelques annéesavant de s'y remettre.Par contre, un scénario qui verrait un Curé

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Il se mit à établir des projets faramineux,pour ne pas dire pharaoniques

SI RENNES-LE-CHÂTEAU M’ÉTAIT CONTÉ...

Une part de l'énigme. Une peti-te part... Un "tombeau" peintpar Poussin dans un paysagequ'il n'a jamais vu, mais qui estle bon. Et in Arcadia ego ?

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disposant d'une pièce extraordinaire, fai-sant monter les enchères parmi desfamilles ou des institutions qui paient d'a-bord, parce qu'elles la convoitent ou la crai-gnent, puis qui renâclent, et enfin semblentcéder sous la menace de divulgation del'histoire, un tel scénario ressemblerait drô-lement à ce qui s'est passé.Un chantage, donc ?Disons plutôt, au départ, une sorte de"vente à la chandelle" : vous payez tant quela chandelle brûle, et le dernier qui a sortison porte-monnaie quand elle s'éteintgagne le gros lot.Seulement, bien quebrûlant par les deuxbouts, la chandellesemblait bien avoir lataille d'un cierge de Pâques et les enchèress'éternisaient. De plus, l'astuce faisait desenvieux. Les acquéreurs potentiels refusè-rent donc de continuer à jouer le jeu, esti-mant avoir suffisamment alimenté le denierde l'étrange Saint-Pierre qui détenait lesclefs de l'affaire. Il y eut passe d'armes etSaunière faillit bien se retrouver sur lapaille. Mais il tint bon et ce furent ses par-tenaires, devenus ses adversaires, quicédèrent.La chandelle reprit sa flamme et les pro-messes d'enchère s'envolèrent de plusbelle…L'apoplexie, c'est un peu comme un étei-

gnoir, à ceci près que celle dont fut victimel'Abbé Saunière ne résolut rien : personnene savait ce qu'il avait fait de sa trouvaille,sauf peut-être sa fidèle servante, proprié-taire légale de tous les biens, et qui gardale silence… Tous deux emportèrent le sec-ret dans la tombe qui, comme les carpes etles Cisterciens Trappistes, est une choseparfaitement muette.Mais alors, quelle pouvait être cette piècequi fit d'un pauvre Curé de campagne unesorte de Crésus ?Les astuces laissées par l'Abbé Saunière lui-

même dans le surprenant chemin de croixqu'il conçut au départ d'un modèle issu des"confiseries de St-Sulpice" ne donnent quedes indications sur le chemin suivi par luipour atteindre sa découverte. L'ouvragebizarre de son Confrère et ami, l'Abbé HenriBoudet de Rennes-les-Bains, par lequelcelui-ci prétend et démontre sans rire quel'anglais moderne est la langue-mère detoutes les autres, cet ouvrage extrêmementintelligent et malicieux n'apporte que descompléments d'information qui ne sont pro-bablement même plus d'actualité.On a écrit, et l'on écrira encore, des biblio-thèques entières sur le sujet. Tout y passe,

de l'ânerie du trafic de messes à l'absurditéde la magie noire en passant par l'Alchimie,autrement plus respectable, et le Trésor deSalomon, peut-être bien plus plausible.Certains ont peint des œuvres surprenanteset magnifiques qui font plus ou moins dis-crètement allusion à des pistes possibles :Nicolas Poussin, David Téniers, BertholetFlémalle, Gérard de Lairesse et d'autres,moins connus.Certains, et non des moindres, en ont parlédiscrètement, quoique fort complètement,et l'on serait surpris d'apprendre ce que l'onpeut trouver dans les sonnets de Gérard deNerval, principalement dans son mer-veilleux "Desdichado".Aujourd'hui encore, il s'en trouve pour lais-ser croire via leurs interprètes qu'ils fontpartie des happy few au courant de beau-coup de choses. L'important, c'est la Rose,crois-moi, n'est-ce pas, Monsieur PierreDelanoë ?Mais je n'ai pas connaissance que l'on aitjamais étudié la possibilité que cette piècefût un document.Si, bien sûr ! Ceux de la fameuse "lignéemérovingienne". Pourquoi pas ? Elle ne faitde tort à personne et amuse beaucoup demonde. Mais elle ne justifie pas la fortunede l'Abbé.Il y a autre chose, quelque chose de bienplus conséquent et autrement plus secret,susceptible d'expliquer des faits récents, denature politique, dans le contexte drama-tique de la guerre de 40.Ah, si Rennes-le-Château m'était conté !…

SI RENNES-LE-CHÂTEAU M’ÉTAIT CONTÉ...

On serait surpris d'apprendre ce que l'on peut trouver dans

les sonnets de Gérard de Nerval

Regardez bien le centre supérieur gauche de l’image... L'Abbé Saunière hanterait-il encore son église ?

S’agit-il du trésor de Salomon ? A moins que ce ne soit plutôt un secret passé par lasalle au mont ?

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“Cinc cents eretz a MontsegurSabent ço que viure vol direSegur i sètz darrièr l'azur”

Oui, ils étaient cinq cents à Montségur un triste jour de 1244, dont la moitié environ - catholiquespourtant - défendait âprement l'autre moitié : des Cathares en bute à l'Inquisition soutenue par laCroisade Albigeoise. Certains se convertirent au dernier moment, juste avant de sortir du châteaupour monter sur le bûcher...Quelques jours auparavant, certains Bonshommes s'échappèrent cependant. On dit qu'ils passèrentpar le château de Montréal de Sos, par-delà les Pyrénées, où ils auraient laissé des traces.L'histoire est connue, certes, mais est-ce la bonne histoire ? Et ce que les Cathares emportèrent, si-dans un certain sens- c'était bien le "trésor cathare" du fait que ceux-ci le détenaient, ce n'est enaucun cas un "trésor" ni un "Graal" au sens courant de ces termes. C'était infiniment plus précieux et concernait bien plus que les Cathares.Qui concerne beaucoup de monde encore aujourd'hui, d'ailleurs. D'une certaine manière, Montségurbrûle toujours...D'ailleurs, la chanson de Marti se termine par ce vers :"Montsegur, te dreiças pertot !" (Montségur,tu te dresses partout !)

Ils étaient cinq cents à Montségur,[ qui ] Savaient ce que vivre veut dire.C'est sûr, ils sont derrière l'azur

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Si, pour allumer la Lune,Il vous suffit de la plume…C'est en 1969 que je me suis laissé prendreau piège de cette histoire, par hasard etsurtout par jeu. Une lecture sur une plagedes Saintes-Marie, un coup d'enthousiasmeet une solide dose de curiosité. J'en parlai àun de mes amis, aussi jeune et cinglé quemoi, mais également de formation scienti-fique. C'était parti…Il faut dire que nous avons, dès le départ,bénéficié de quelques coups de chanceassez incroyables, aussi bien au grattagequ'au tirage. Notre première "descente" àRennes eut lieu à la Toussaint 1970 dansune tempête dont les gens du coin se sou-viennent encore et dans des circonstancesd'un rocambolesque digne d'un scénaristeallumé. A l'époque, cette histoire était encore assezneuve et Rennes était encore "authen-tique", comme il convient de dire aujourd'-hui quand on estcultivé. En tout cas,e l l e n ' a va i t p a se n c o r e s u b i l e sravalements et res-taurations (!) qui la défigurent dorénavanttout en assurant sa rentabilité commerciale.L'église était toujours libre d'accès et lechemin de croix n'avait pas été "remis enordre". Le cimetière n'avait pas été boule-ve r sé , Bé range r Saun iè re e t Ma r i eDenarnaud étaient encore à leur place, lesautres sépultures curieuses pouvaientencore être photographiées. A Rennes-les-Bains, Paul-Urbain de Fleury reposait tou-jours dans deux tombes différentes. Bref, il régnait encore sur les lieux une sortede parfum mystérieux, mais non frelaté, quien faisait le charme.Et, tout compte fait, on ne mangeait pastellement mal chez Henri Buthion.Nous prenant probablement pour d'autres,le propriétaire du domaine de Saunière,ferma son restaurant aux touristes afin des'entretenir à l'aise avec nous. Six heuresde discussion passionnante pendant les-quelles nous jouâmes le jeu à l'aveuglette,un peu comme des inspecteurs discretsd'un guide de l'insolite vérifiant sur placeque l'histoire mérite toujours ses deux étoi-les. Et pourtant, nous débarquions danscette aventure !Quand nous quittâmes notre hôte, nous enavions appris plus que Gérard de Sède endix ans de recherches.

Comme de jeunes chiens un peu fousdécouvrant un nouveau jouet, nous noussommes mis à dévorer tout ce que l'on pou-vait trouver à l'époque comme littératureconcernant ce sujet de près ou de loin. Touty est passé. Nous étions boulimiques.Histoire, légendes, analyses, thèses, hypo-thèses. Fumisteries, aussi… Je m'étais mis

avec enthousiasme à l'occitan et m'étaismême inscrit au cours d'hébreu biblique demon université.Au moins une fois par mois, mon ami et moinous retrouvions à Bouillon, où il exerçait lamédecine libérale, pour analyser les centai-nes - les milliers ! - de diapositives que j'a-vais prises lors de nos deux expéditions là-bas.En quelques mois, cette aventure nousavait fait rencontrer pas mal de monde :des fous mystiques, des détenteurs de lavérité authentique, des hallucinés sectaireset, parfois même, de véritables gangsters.De sympathiques andouilles, aussi, qui sedisaient historiens, ésotéristes, occultis-tes… Elle nous avait heureusement permisde côtoyer surtout des gens intéressants :

certains, dont le rôle dans cette histoirerestera probablement toujours la véritableénigme, comme Gérard de Sède ou PierrePlantard ; certains de grande valeur, dontl'érudition vous tient en haleine, commeA.D. Grad ; et enfin des personnagesexceptionnels, dont l'immense culture n'a-vait d'égale que l'humour, comme Philippede Chérisey, avec lequel j'ai eu la chance denouer une amitié très profonde et extérieu-re à tout ceci.

Et les ennuis commencèrent.Moins d'un an après notre première expédi-tion à Rennes, quelques jours après laseconde, je fus aimablement prié d'assisterà une conférence sur l'Alchimie donnée parla Rose+Croix A.M.O.R.C. Ayant repéré unesolide bourde dans les affirmations duconférencier, je m'apprêtais à lui poser unequestion assez vicieuse quand on me heur-ta l'épaule.Ce truc n'est pas pour vous, ce type décon-ne. Venez boire un verre dans la salle voisi-ne : nous voudrions vous parler de Rennes-le-Château…En fait, on m'invita -beaucoup moins aima-blement- à laisser tomber : ce n'était pasmon affaire et je risquais de faire du tort.Le cas échéant, on saurait m'en empêcher.Nous avons donc continué de plus belle.

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SI RENNES-LE-CHÂTEAU M’ÉTAIT CONTÉ...

Chercher la vérité n’est franchement pas toujours sans danger...

Venez boire un verre dans la salle voisine : nous voudrions vous parler de

Rennes-le-Château…

Saint-Antoine, déguisé enJoseph d'Arimathie, pourraitbien nous emmener beaucoupplus loin qu'on ne pense

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Il ne s'agissait cependant pas de menaces enl'air, même si - Dieu merci ! - les événementsn'ont jamais pris de tournure vraiment dra-matique. Jusqu'ici tout au moins.Sabotage de ma voiture pendant que nouspassions la soirée à Paris, chez Gérard deSède, cambriolages répétés de mon cabinetdentaire avec saccage des lieux,visites discrètes de notre domici-le, menaces barbouillées sur lesmurs… Entre autres. Nous noussommes même fait tirer dessusà deux reprises, sans dommage heureuse-ment -il ne s'agissait clairement que d'avertis-sements- mais il suffit d'un maladroit, et lachasse au vilain curieux est finalement moinsréprimée que celle de la bartavelle…Pendant plusieurs années, mon Epouse, monami et moi nous sommes demandés ce quenous pouvions bien détenir qui embêtait tantde monde. Honnêtement, nous n'en savionsrien et nous envisagions tout, de l'hypothèsela plus fumeuse à l'analyse acharnée dumicrofilm d'un original de l'Abbé Boudet queGérard de Sède nous avait offert et qui valut àun malheureux retraité originaire de Bouillonde se faire massacrer sur la Côte d'Azur.Là, il ne s'agissait plus d'avertissements nimême de maladroits, mais d'imbéciles : ilsavaient confondu cette personne et mon ami,qui portait le même nom à une lettre près.Et puis, j'ai lu les remarquables ouvragesde Christian Bernadac.Et nous nous sommes rendus compte queles fouilles de mon domicile et les cambrio-lages de mes locaux professionnels sui-vaient toujours les exposés durant lesquelsje parlais d'un certain personnage…Par curiosité, j'ai refait un exposé publicl'année passée. On a cambriolé quinzejours plus tard et l'on a fouillé les fichiers demon ordinateur.

On me demandera donc pourquoi, dans cesconditions, je publie cet article et ce livre.Inconscience ? Provocation ?Je signale simplement à qui de droit que, n'é-tant pas totalement manchot du téléobjectif,je dispose de quelques remarquables por-traits de ceux qui nous ont tiré dessus, que

ces photos, ainsi que certains documentsamusants, sont en sécurité, et que la PoliceFédérale belge est constituée de gens nette-ment moins balourds que ce qu'en disentleurs collègues français.

Kreuzzug nach Rennes-le-Château…Riche , a imab le e t cu l t i vée , la te r red'Occitanie a toujours été la proie deconvoitises et de luttes, dont la plus connueet la plus médiatisée est évidemment laCroisade contre les Albigeois qui, sous pré-texte d'éradiquer l'hérésie cathare, fit pure-ment et s implement la conquête desdomaines qui échappaient à la Couronne.Au jourd 'hu i encore , l e souven i r duCatharisme fait florès, parfois de façoncommerciale jusqu'à l'indécence, parfoissous forme de sectes qui font rarementhonneurs aux Bonshommes, parfois -etheureusement- par le fait de gens souventérudits, pas toujours totalement objectifsmais toujours sincèrement passionnés.Déodat Roché, Antonin Gadal, Fanita dePierrefeu, Isabelle Sandy…De brillantes études ont été publiées, aussi,toujours érudites et le plus souvent objecti-ves . Fernand N ie l , René Ne l l i , JeanDuvernoy, Michel Roquebert…Mais sait-on que l'engouement moderne

pour le Catharisme doit beau-coup à un écrivaillon allemandque bien peu de gens connais-sent encore aujourd'hui endehors de cette question ?

Christian Bernadac a publié une enquêtemagistrale à son sujet, dont il m'a permisde reproduire les photographies, et je tiensà l'en remercier vivement, ainsi que pour sasympathie.

SI RENNES-LE-CHÂTEAU M’ÉTAIT CONTÉ...

Pendant plusieurs années, nous nous sommes demandés ce que nous pouvions

bien détenir qui embêtait tant de monde

A Rennes-les-Bains,des érudits veillaientencore naguère...

...sur de fort curieuxalignements dans lecimetière.

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Une étude qui m'a ouvert de surprenantshorizons, élargis encore par quelques coupsde chance. Notamment celle de vivre à Liègeet de côtoyer beaucoup de monde. Je nesuis pas le seul à considérer que ma ville estune étape essentielle dans cette histoire :Philippe de Chérisey y vécut plus de vingtans et Gérard de Sède y habitait en 1991…Or donc, il était une fois un jeune universi-taire allemand, féru de littérature trouba-douresque, de minnesang et des légendesgrandioses du cycle du Graal, tellementpassionné qu'il vint s'installer dans la régiond e s g r o t t e s d eLombrives dans les-quelles on prétendaitq u e l e s d e r n i e r sCathares vinrent ser é fug i e r ap r è s l achute de Montségur. On disait même qu'ilsy ava ien t é té emmurés v i van t s pa rl'Inquisiteur Jacques Fournier…Ce Monsieur se lia d'amitié avec d'autresgens érudits et passionnés, qui ne s'éton-nèrent pas trop des curieuses visites qu'ilrecevait ni de ses amis étrangers et qui leprirent sous leur aile, partageant mêmeavec lui leurs recherches dans les spoulgasdu Sabarthès.Pourtant, ce Monsieur prit un jour la fuite:sa tentative d'exploitation hôtelière avaitfait faillite. Il se réfugia en Allemagne où ilpublia un livre qui connut un succès d'esti-me dans son pays, et un estimable succèsen France. Les rééditions modernes font

aujourd'hui l'objet d'une curieuse vénéra-tion dans certains milieux qui confondentCatharisme et occultisme.Puis, notre personnage s'engagea dans laS.S. et, presque aussitôt, fut incorporé à lasection Weisthor, l'état-major personnel deHimmler lui-même. Sous prétexte d'abus deboisson, il fut versé pendant quelquessemaines parmi les S.S.-Totenkopf deDachau, corps d'élite à ne pas confondreavec la Waffen-S.S.Malheureusement pour lui, il semble qu'ilne put jamais fournir son certificat de pure-

té raciale. En tout cas, on ne l'a jamaisretrouvé. On est libre de supposer que c'estpour cela qu'il démissionna de la S.S. pourdes raisons qu'il ne pouvait exposer qu'ora-lement, ce que Himmler accepta sans bron-cher.On perd sa trace en mars 1939 du côté deKitzbühel. Suicidé ? Assassiné ? Disparu, en tout cas. Si l'on se fie aux docu-ments d'état civil, il est toujours vivant.Or, il était une autre fois un autre Allemand,diplomate celui-là, qui connut une carrièrebrillante, mais dont vous ne trouverez qua-siment aucune trace. Une sorte d'aventurierremarquablement intelligent et drôlement

cultivé, pourtant parfoisb i e n p l u s p r o c he d eJ a m e s B o n d q u e d eMetternich.Un homme qui deviendral e d e r n i e r M i n i s t r ePlénipotentiaire du Reichà Rome durant la débâclefasciste, forcément encontact avec le Vaticande Pie XII, bien qu'il n'ensoit nulle part questiondans ses Mémoires.Selon toute vraisemblan-ce -en tout cas il l'affir-me- c'est lui qui pilota lespourparlers qui amenè-rent à la paix séparéeconsentie à l'Italie, négo-ciations menées secrète-ment à Bâle avec AllanDulles, futur patron de laC.I.A., notamment par leGénéral S.S. qui dirigeait

la section Weisthor.Il termina comme PDG de la filiale alleman-de d'une grande société américaine deboissons gazeuses dont l'image se confondbeaucoup avec celle des Etats-Unis…

Mais quel rapport avec Rennes ?Si je vous dis que le premier se fichait com-plètement du Catharisme, qu'il cherchaittout autre chose, ailleurs, quelque chosecomme un document qui aurait permis àses commanditaires de tenir le Vatican enrespect, par exemple ?Quelque chose qu'il identifia mais qu'il s'ab-stint de révéler à ses supérieurs, allantmême jusqu'à prévenir son dépositaire del'époque d'avoir à le mettre en sûreté d'ur-gence.Quelque chose qui pourrait encore enqui-quiner pas mal de monde aujourd'hui…Et si j'ajoute que Nüremberg ne trouva riencontre le second ?Alors, "il était une fois", une "autre fois" ouune seule fois ?Ah, si Rennes-le-Château m'était conté !…

Paul RouellePour écrire à l’auteur contactez la rédaction

[email protected]

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SI RENNES-LE-CHÂTEAU M’ÉTAIT CONTÉ...

On perd sa trace en mars 1939 du côté deKitzbühel. Suicidé ? Assassiné ?

Disparu, en tout cas. Si l'on se fie aux documents d'état civil,

il est toujours vivant

Photos reproduites avec l'aimable autorisation deChristian Bernadac.Un seul et même personnage ? Nazi ou pas nazi ?Ecrivain ou diplomate ?En tout cas, un drôle de bonhomme !

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“Il n'y a que deux erreurs que l'on puisse commettre sur le chemin de la Vérité : ne pas aller jusqu'au bout, et ne pas s'y engager” [Siddharta Gautama Shakyamuni (le Bouddha)]

ObjectifsCe site rassemble un maximum de données sur le phénomène ovni, dans les buts de :1/informer les néophytes sur le phénomène. Dissiper des idées reçues en montrant notamment que le phénomène est réel, mais non expliqué ; quel'hypothèse extraterrestre n'est pas la seule explication ; que le phénomène est de grande ampleur, mais peu connu du grand public. 2/centraliser les données pour les érudits, en leur évitant des recherches de données éparses. afin de : leur permettre d'avancer plus vite dans leursrecherches de fond et de rétablir la vérité/les faits sur certains points.

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