tic pour la valorisation et la diffusion des résultats de la recherche programme pluri-formations...
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TIC pour la valorisation et la diffusiondes résultats de la recherche
Programme Pluri-Formations
Université de la Réunion
« La valorisation constitue une des missions de l’Université, qui doit
s ’inscrire dans la politique globale de l’établissement et tenir compte des
besoins des partenaires socio-économiques »
Orientations MENRT 2002/2005
•Une pluridisciplinarité combinant expérimentation et théorie fonctionnant en réseau d'échanges afin de satisfaire et d'anticiper les usages des contenus scientifiques par les différents acteurs socio-économiques.
•Ce programme est structuré en projets fondés sur l'approche des contenus. Il s'agit d'une démarche participative de chercheurs fortement motivés pour valoriser les résultats de leurs travaux scientifiques au travers de services et de technologies nouvelles sur Internet.
•Un exemple concret de projet sur les usages des TIC dans le domaine de l'environnement tropical insulaire ETIC3 est développé dans la suite de ce document pour illustrer la démarche. La généralisation de cette approche à d'autres contenus est tout à fait envisageable dans ce programme, en s'appuyant sur les compétences de porteurs de projets.
Démarche méthodologique
Recherche et Valorisation des connaissancesen Environnement Tropical Insulaire
ETIC3
Projet ETIC3
Environnement Tropical InsulaireIngénierie des Connaissances & Intelligence Collective
Information & Communication
But
Système d’informations pour l’aide à la gestion des milieux naturels insulaires tropicaux : application à l’île de La Réunion
Moyen
Constitution d’une équipe aux interfaces des disciplines ETI (Environnement Tropical Insulaire) et TIC (Technologies de l’Information et de la Communication)
Mots-clés
ETI : Milieux et ressources naturelles, diagnostic systématique et écologique, gestion spatiale, suivi et évaluation environnementaux,
TIC : Bases de données, Base de connaissances, Systèmes multi-agents, Système d ’information géographique, Applications coopératives/collectives, Stratégie d ’information et de communication
ETIC3 : aide à la décision, modélisation conceptuelle, couplage de modèles de représentation des connaissances, veille technologique
Définition du projet ETIC3
Programme Pluri-Formations Pôle Mer
Le bilan du PPF mer a montré :
• L’implication active de partenaires pour une recherche multidisciplinaire, ce qui est une démarche nouvelle à l ’Université de la Réunion.
• Les résultats du thème transversal « base de données » nécessitaient des données préalables qui ont maintenant été généralement obtenues. D ’ici la fin de programme (juin 2001), ce volet sera fortement développé par l’intermédiaire des formations de DESS RMI (Réseaux Multimédia Internet), SGET (Sciences en Gestion de l ’Environnement Tropical) et INFOCOM (Information et Communication).
• Le projet suivant se fonde sur l ’expérience acquise lors du thème transversal du dernier contrat quadriennal (1998-2001) pour proposer une méthodologie permettant de mieux valoriser les contenus scientifiques des thèmes déjà abordés avec de nouvelles approches et outils.
Projet ETIC3
Perspective de redéfinition de la démarche de recherche pluridisciplinaire en profitant
de la dynamique mise en oeuvre
Bilan d’une expérience de travail pluridisciplinaire
Organisation du programme Pôle Mer :
Organisation du projet ETIC3 :
BiodiversitéEspace
Outils
Base de données
Biodiversité etRessourcesmarines
Environnementlittoral
SILe projet développe et généralise certains thèmes du programme en concentrant son action sur l'intégration des contenus scientifiques au sein d'un même Système d'Informations (SI).
Du PPF mer au projet ETIC3
L'amélioration de la gestion dans le domaine de l’environnement tropical insulaire(ETI) nécessite de plus en plus de resserrer les relations qu'elle entretient avec lesusagers d’une part, les chercheurs et les gestionnaires d’autre part, ainsi qued'étendre la nature de ces relations (cf. débat sur le rôle des institutions et desusagers autour du Parc marin).
Cette évolution admet pour corollaire une meilleure intégration et coordination desdeux fonctions essentielles au sein de l’activité de recherche (production decontenus scientifiques, valorisation de ces contenus) dans un but d’aider lesadministrations et les collectivités à mieux gérer les milieux naturels, ainsi qu'uneflexibilité accrue de ses processus internes pour pouvoir s'adapter au contexted’évolution rapide des connaissances sur l’ETI.
La prise en compte de ces tendances implique une forte évolution du rôle et del'architecture des systèmes d'information qui devront s'appuyer sur Internet pourassurer de manière systématique, standardisée et à plus grande échelle, ledéploiement des nouvelles communications à mettre en place (site Web-ETI).
D’autre part l’organisation même de ces systèmes d’information en milieu insulairepourra incorporer de plus en plus l’utilisation de services opérés à distance par destiers et fournissant par exemple l’accès à des ressources étendues de traitement oud’archivage (l’analyse de données dans des bases distribuées), l’ usage de certainesapplications (le travail coopératif à l’aide de la visioconférence) ou fonctionséditoriales (accès plus ou moins sécurisé aux données en fonction du statut de lapersonne qui consulte, comme par exemple la navigation ou l’édition).
S’adressant à une demande en forte croissance de la part des acteurs souhaitantune gestion durable de l’ETI (exemple d’IFRECOR sur les récifs coralliens), etd’ampleur mondiale (exemple d’IBOY sur l’année internationale d’observation de labiodiversité), ce cadre offre de très larges opportunités de développement denouveaux logiciels favorisant la prise de décision après concertation entre acteurssouhaitant préserver un environnement qui se dégrade.
Il s’agit de prendre en compte la variété et la multitude des nouvelles fonctions àmettre en œuvre dans un contexte caractérisé par :
l'hétérogénéité des données et des connaissances, leur diversité, leur volume,leur complexité,
l'hétérogénéité des applications (BD, BC, SIG, SMA, etc..), la répartition géographique des moyens de traitement et d'archivage, la diversité et la quantité d'utilisateurs internes ou externes à l’activité, itinérants
ou sédentaires. l'hétérogénéité des équipements (serveurs, réseaux, terminaux, archivages),
Enjeux du système d’informations
Espace Biodiversité
CIRCI
CREGUR
LCF
ECOMAR
LBVPGME
IREMIA
CREGUR
Systémiciens
Système d’
Informations
CogniticiensGéomaticiens
OutilsBD - Base de DonnéesBC - Base de ConnaissancesSIG - Système d'Info. GéographiqueSMA - Système Multi-Agents
merterre
physiquesocial
Pôle Géosphère
LPA
LSTUR
Intégration de
thématiques
complémentaires
Acteurs universitaires : volet recherche
•Le Cogniticien :Celui qui traduit une réalité dans un modèle informatique.
•Le Géomaticien :Celui qui produit une modélisation de l’information géographiqueà des fins d’analyse spatiale.
•Le Systémicien :Celui intègre et harmonise des contraintes et objectifs de chercheurset de gestionnaires de l’environnement.
BUT : Devenir l’interface entre chercheurs des différents thèmes pour mettre en place des outils d’aide à la gestion des milieux naturels à La Réunion => nouveau métier nécessitant une compétence de dialogue et de modélisation d’un champs de connaissances pour la conception et la fabrication d’un Système d’Informations.
E T I C3
L’intermédiation
•Le Systémicien met en oeuvre une approche systémique en étudiant les interactions entre plusieurs domaines, par exemple « espace & biodiversité » ou encore « recherche & acteurs de l’environnement ».
•La gestion des connaissances dans le milieu de l ’environnement nécessite de s’ancrer dans la réalité du terrain (les cibles de ces connaissances) afin de bien trouver l ’adéquation entre les besoins exprimés et les outils à mettre en place, c ’est-à-dire bien mettre en phase les emetteurs d ’information et les recepteurs (usagers et décideurs). Le rôle des systémiciens est de définir les axes de réalisation du lieu de concertation virtuel (système d’informations) et physique (structure d’écoute et de rencontre).
•L’information collectée est référencée dans des bases de données (BD) pour organiser l ’information. Son objectif est de rendre exploitable ces données en les stockant de manière structurée avec l ’aide d’outils permettant de les indexer de façon intelligente. Cela nécessite la fabrication d'un schéma conceptuel rigoureux qu'il élabore avec l'aide d'un informaticien. Ensuite, il opère une saisie et mise à jour des données au fil du temps en fonction des nouvelles études de terrain.
E T I C3
Le systémicien
•L’apport du cogniticien dans l ’aide à la gestion des milieux naturels assistée par ordinateur est méthodologique : il s ’agit pour lui d’appliquer une méthode expérimentale de fabrication d’outils adaptés aux besoins des chercheurs thématiciens (biologistes, géographes, géologues, …).
•Son objectif est d’éliciter les connaissances expertes au travers de bases de connaissances (BC) et de systèmes multi-agents (SMA). Les premières mettent en œuvre des modèles descriptifs statiques, puis un apprentissage et raisonnement à partir de cas, et les seconds définissent des modèles fonctionnels dynamiques, puis simulent des comportements par modification de variables au cours du temps.
•Le cogniticien est ici un informaticien capable de dialoguer avec les spécialistes pour concevoir de nouveaux systèmes interactifs d’aide à la décision, comme par exemple des systèmes d’identification d’espèces ou de diagnostic de maladies, ou encore l’étude de la dynamique d ’une population ou d ’un polluant.
E T I C3
Le cogniticien
•80 % des informations sont localisables. L’apport du géomaticien dans les études environnementales est d’exploiter cette richesse par l’acquisition puis la gestion de données géoréférencées, ainsi que l’analyse spatiale des données (interpolation, croisement, analyse de voisinage…) au travers d ’un Système d ’Information Géographique (SIG).
•Son objectif est la production d’informations spatiales à partir des données existantes et des savoirs d ’experts. Cette production peut prendre la forme de diagnostics environnementaux sur diverses problématiques (biodiversité au sein des ZNIEFF, propagation des pestes végétales, dégradation du lagon, volcanisme et risques…).
•C ’est dans la participation à ces diagnostics que s’affirme le rôle d’intermédiation du géomaticien. Cette production constitue une plus-value par rapport aux données environnementales et contribue à la valorisation des différentes recherches des thématiciens.
E T I C3
Le géomaticien
Les bases de données (BD) sont des outils informatiques assurant les fonctions de persistance, de structuration et de gestion de l'accès à l'information :
• la persistance répond au besoin de conserver l'information de façon permanente, au-delà de son utilisation effective. Il s'agit donc du stockage des données sous une forme robuste et sécurisée, capable de survivre aux aléas de l'informatique (crash, extinction des machines, etc...).
• la structuration répond au besoin de rendre explicite la sémantique de l'information, de façon à permettre l'automatisation des processus de traitements. Il s'agit donc d'adapter la représentation informatique des données à un format compréhensible et manipulable par la machine.
• la gestion de l'accès répond au besoin d'utilisation simultanée de l'information, de façon locale et/ou distante. Il s'agit d'assurer la mise en place de droits différenciés pour les différents utilisateurs, et de maintenir l'intégrité des données soumises à des manipulations concurrentes.
Si d'autres solutions plus légères existent également, ces outils se révèlent vite indispensables dès lors que la quantité d'information concernée atteint un volume important. Un système d'informations conséquent est généralement organisé autour d'une ou plusieurs bases de données, qui occupent donc une place centrale dans l'architecture de celui-ci. La conception et la mise en œuvre de ces outils sont alors des phases cruciales pour le succès du projet, et nécessitent donc une réflexion approfondie. Dans le cadre d'utilisation pour des objectifs scientifiques, l'étape de conception dépasse souvent le stade purement technique pour toucher à des considérations de recherche : quelles sont les entités à représenter, quels sont les usages que l'on veut en faire ?
L’outil base de données
Les bases de connaissances (BC) sont des applications informatiques où sont stockées les connaissances d'un expert dans un domaine bien déterminé.
La base de connaissances intègre une partie de la “connaissance” d'un spécialiste reconnu dans le domaine. Cette connaissance possède de multiples facettes, c'est pourquoi nous parlons de base de connaissances (avec un 's'). Elle est caractérisée par un modèle descriptif du domaine et une base de cas comparables entre eux car décrits selon le même modèle.
A partir de ces connaissances observables (modèle descriptif) et observées (cas), le but est de produire d'autres connaissances (dérivées des premières) comme des classifications (partitionnement et caractérisation des descriptions) ou des identifications (nommer une nouvelle observation décrite) aussi performantes que celles de l'expert. Une base de connaissances est plus générale qu'un système expert (système d'identification). Elle fonctionne avec les éléments suivants :
• un modèle conceptuel descriptif du domaine,• des exemples, des cas, des situations validées par les experts,• des techniques d'apprentissage et de raisonnement à partir de cas pour générer des classifications (par généralisation des cas) et des identifications (par comparaison des cas),• des techniques hypertextuelles (navigation) et multimédia pour rendre accessible le contenu de la base de connaissances au plus grand nombre.
Une base de connaissances n'est pas une base de données ou un système d'informations. Les connaissances sont plus générales que les données et peuvent être exploitées à différents niveaux (connaissances observables, observées, déduites).
L’outil base de connaissances
Les systèmes multi-agents (SMA) sont des outils informatiques qui offrent la possibilité de représenter des entités (simples et autonomes), leurs comportements et leurs interactions.
L’originalité du modèle Agent repose sur sa capacité à représenter un système complexe comme le fruit des interactions des éléments qui le composent. L’utilisation de ce modèle consiste à construire des micro-mondes artificiels par simulation, afin d ’obtenir une meilleure compréhension de son fonctionnement et de ses caractéristiques dynamiques.
Objectifs • Aide à la validation d'hypothèses scientifiques par la comparaison de comportements observés sur un système réel et des résultats de simulations • Aide à la compréhension de phénomènes d'interactions dans les systèmes complexes pour lesquels des modèles analytiques sont difficilement utilisables ou pour des systèmes hautement communicants • Mise en évidence des déficiences dans un modèle théorique ; aide à la définition des priorités pour de nouvelles recherches permettant d'affiner le modèle théorique considéré• Aide à la Décision• Construction de mondes synthétiques
Systèmes adaptés aux simulations multi-agents• Système comprenant des aspects multi-niveaux : comportements de niveau micro dont les effets sont mesurés à un niveau macro• Système complexe au modèle théorique mal défini que l'on cherche à simuler avec un niveau de réalisme suffisant • Système ou les aspects spatiaux-temporels jouent un rôle important.
L’outil système multi-agents
Un Système d’Information Géographique (SIG) est un système informatique permettant de représenter et d ’analyser toutes les choses qui existent sur terre ainsi que tous les événements qui s ’y produisent. Les SIG offrent toutes les possibilités des bases de données (telles que requêtes et analyses statistiques) et ce, au travers d ’une visualisation unique et d ’analyse propre aux cartes.
Un SIG intègre deux notions essentielles :
En tant qu’outil, les SIG sont composés de matériels, de logiciels et de processus permettant :• l ’acquisition (saisie et géoréférencement des données sous une forme
numérique : fonds vecteurs, points GPS, images satellitaires, etc.)• l ’archivage (gestion des données géographiques - SGBD)• l ’analyse (fonctions de manipulation, croisement, de transformation, etc.)• l ’affichage (outils de mise en forme des résultats de l ’analyse)
En tant que système d’information (dédiés aux informations spatiales), les SIG supposent en amont une certaine modélisation de la réalité, soit un effort d’abstraction qui constitue in fine « la règle des 5A » :
Acq
uér
ir
Arc
hiv
er
An
alys
er
Aff
ich
er
ABSTRACTION •Définition du niveau géométrique(mode vecteur ou mode maillé)•Définition du niveau sémantique(types d’entités modélisées d’un
point de vue fonctionnel, structurel et temporel)
L’outil système d’information géographique
Modèle
Descriptif
Modèle
DescriptifModèle
Agent
Modèle
Agent
IKBS GEAMAS
Modèles
Autres OutilsAutres Outils
Thèmes espace et biodiversité
Modèle
Spatial
Modèle
Spatial
ARCINFOARCVIEW,...
connaissancesgéoréférencées
connaissancesstructurées comportementales
connaissancesGéomaticiens Systémicienscogniticiens
thématiciens
Coopération des outils
Outils Université RéunionOutils Université Réunion
Intégration des outils au sein d’une plate-forme
•La finalité d’un SIG est l’aide à la décision, appuyée sur une information géographique plurielle et des moyens d’analyse, de traitement, de représentation et de communication de cette information.
•Idéalement, l’outil doit savoir répondre aux cinq familles de questions qui suivent :
Objets et phénomènes du monde réelObjets et phénomènes du monde réel
SCHEMA CONCEPTUEL DE DONNEES
Vue abstraite de la réalité et des phénomènes
SCHEMA CONCEPTUEL DE DONNEES
Vue abstraite de la réalité et des phénomènes
• Où ? (localisation, répartition spatiale...)• Quoi ? (inventaire, proximité, voisinage...)• Comment ? (relations entre les objets,
analyse spatiale…)• Quand ?(analyse temporelle)• Et si…? (scénarii d ’évolution, prospective)
•Pour améliorer l’aide à la décision, les outils SIG doivent donc être couplés avec d’autres outils orientés plus directement sur la modélisation des connaissances, des processus, voire des comportements (Systèmes Multi-Agent)
Les SIG en articulation avec d’autres outils
Parcellaire foncier
Réseaux
Hydrographie
Mode d ’occupation du sol
Pédologie
Topographie
Thématique sur la protection du récif corallien à l'île de La Réunion
BC poissons
Systématique
Ecosystème
Identification des espèces
Gestion Parc marin Réunion
SMACoraux-poissons
SIGLagon
accès aux informations
BD corauxBD poissonsBD hydraires
Ecologie
Dynamique des populations
BC Hydraires
Quelle est la biodiversité du lagon de St-Gilles ?Quelle sera son évolution au bout d ’un an ?
BC Coraux
Exemple d’architecture intégrée
• En entrant dans le 3ème millénaire, la façon de travailler évolue très rapidement dans le monde grâce aux technologies liées à Internet. Le phénomène LINUX est vécu par les informaticiens au quotidien, les recherches sont mises à disposition sur le réseau, puis critiquées par d ’autres chercheurs qui font évoluer le système.
• Cette révolution va très vite modifier la manière de concevoir la recherche au niveau des autres chercheurs thématiciens et de l’évaluer sur la base de nouveaux critères de valorisation. La diffusion des connaissances auprès du grand public est un objectif que le chercheur devrait prendre en compte s ’il veut participer à cet élan qui a déjà démarré en informatique et qui n’est pas près de s’arrêter.
Quelle est l’ETIC3 pour le chercheur ?
Recherche Thématique Environnement Tropical Insulaire
Modélisation
CR
ET
IC3
BC
SMA
SIG
BD
POLE
Mer AirTerre
3ème Cycle
RMI SGET INFOCOM
CMM
Formation
Développement
Valorisation
ETIC3
COM
Stratégie organisationnelle universitaire
• Constituer un noyau de médiateurs motivés par la mise en œuvre du projet, c’est-à-dire fédérer des personnes volontaires en plus des institutions.=> chercheurs cogniticiens, géomaticiens, systémiciens...
• Impliquer des producteurs de contenus pour la constitution d’un système d’informations par rapport à des questions environnementales=> définition par les chercheurs thématiciens et les médiateurs des projets à financer...
• Donner les moyens nécessaires (fonctionnement + équipement) aux éditeurs de contenus par la création d’une Coopérative de Ressources en Environnement Tropical Insulaire, Ingénierie des Connaissances & Intelligence Collective (CRETIC3).=> financement par les administrations et les collectivités de la fonction de programmation
• Assurer la distribution des contenus aux clients utilisateurs => partenariat avec les opérateurs des réseaux
Etapes du projet
Exemples de questions
• Qu’est-ce que la biodiversité ?• Biodiversité et propagation des pestes végétales ?• Comment valoriser l’herbier de l’Université de la Réunion ?• Aide à l’identification des espèces de coraux ?• Pression anthropique et état de santé du récif corallien ?
• Quels sont les outils législatifs et réglementaires au service de la protection de l’environnement ?
• Quelle adéquation entre les réglementations et les évolutions constatées dans l’usage social de l’environnement ?
• Quels risques liés à l'activité volcanique ?
Biodiversité
Espace
Autres thématiques
• Dimension technologique de l’innovation à l’Université=> Equipe de Recherches Technologiques
• Système virtuel d’intermédiation entre acteurs de l’environnement :=> site Internet pour les scientifiques, gestionnaires, usagers
• Espace physique de travail et de concertation, véritable plate-forme de co-design pour l’aide à la conservation et à la gestion des milieux naturels :=> Lieu de rencontre et d’écoute entre chercheurs, usagers et gestionnaires des milieux naturels (CBNM, Parc Marin, Parc des Hauts).
• Parc technologique du CERF• Fonctionnement : Web Master, développeur multimédia, infographiste, secrétaire-comptable
• Statut : Association / GIP / SARL/ SAIC• Equipements informatique & télécom• Conventions Cortechs, DRT, CIFRE
Une orientation en accord avec les objectifs affichés par le MENRT
Importance d ’un centre de ressources
Finalités du projet
d'être un centre technologique où chercheurs, entreprises et collectivités locales pourront trouver les outils d'aide à la décision dont elles auraient besoin dans le domaine de la gestion de l'environnement tropical insulaire,
d'être un centre de compétences où les divers acteurs de l'environne-ment pourront trouver les experts nécessaires pour traiter l'information, la représenter grâce à des outils d'analyse de données adaptés,
d'être un centre de formation aux Systèmes d’Informations de manière à ce que les divers utilisateurs puissent être rapidement efficaces et autonomes,
d'être un centre de recherche & développement où puissent être développés de nouveaux outils d'analyse, testées de nouvelles techniques et validées des méthodes innovantes.
BUT : devenir une plate-forme de co-design pour l ’assemblage des composants permettant la fabrication du Système d’Informations.
Rôles du CRETIC3
Il s ’agit d’un plateau physique de créativité (TV-Net style) ou des applications Internet sont réalisées au sein de projets par une équipe :
de producteurs de contenus (les chercheurs) d’éditeurs de contenants (les programmeurs) de distributeurs du produit final (les opérateurs)
Ces projets sont élaborés par rapport à un objectif bien déterminé (la question posée et les sous-problèmes à résoudre), et avec l’aide des utilisateurs des nouveaux services qui correspondent le plus directement aux usages attendus des services projetés.
Plate-forme de co-design ?
CRETIC3
Recherche
Valorisation
Partenaires socio-économiques
• Ressources technologiques• Compétences• Formation• Recherche & Développement
•Collectivités locales
•Administrations
•Entreprises
•Chambres consulaires
•Associations
Université de la Réunion
« La recherche technologique a pour finalité de résoudre des problèmes posés par une demande du milieu socio-économique en exploitant des connaissances acquises pour fournir des solutions nouvelles à ces problèmes »
Orientations MENRT
ETIC3
Centre de ressources & valorisation
Espace BiodiversitéSystémiciens
SICogniticiensGéomaticiens
Outils
IRD
MHN
CIRAD
IFREMER
ARVAM
METEO
CBNM
ONF
PM
VO
Partenaires
régionaux
Audit national
IRD
INRA
INRIA
EURECOM
MNHN
CIRAD
Projets en commun
Partenaires de recherche de l’université
1
2
34
5
7
10
9
8
6
11
0. Secrétaire-comptable1. Web-Master, Infographiste, Développeur multimédia
2. Systémiciens3. Cogniticiens
4. Géomaticiens5. Chercheurs Espace
6. Chercheurs Biodiversité7. Chercheurs Outils
8. DESS RMI9. DESS SGET
10. DESS InfoCom11. IUP Technologies de l'Internet, autres filières
classiques
1
1
2
34
1111
L'architecture du (des) batiment(s) devrait refléter
l'organisation de ce plateau de production afin de promouvoir le travail
collaboratif au sein des différents projets.
0
Structure du CRETIC3
Equipe de développement - gestion et édition :
0. Secrétaire-comptable, 1. Web-Master, Infographiste, Développeur multimédia -> A recruter
Equipe des médiateurs :
2. Systémiciens : B. Bonnet [MC1], L. Valleix [PAST, SIC]3. Cogniticiens : N. Conruyt [MC1, IREMIA], R. Courdier [MC1, IREMIA]4. Géomaticiens : G. Lajoie [MC2, CREGUR], G. Pennober [MC2, CREGUR]
Les thématiciens - producteurs de contenus :
5. Chercheurs Espace : V. Cazes-Duvat [MC2, CREGUR], B. Cherubini [MC1, CIRCI], R. Robert [PR1, CREGUR], 6. Chercheurs Biodiversité : N. Gravier-Bonnet, [ING1, ECOMAR], P. Frouin [MC2, ECOMAR], C. Conand [PR2, ECOMAR], P. Chabanet [MC2, ECOMAR], M. Lecorre [MCStag, ECOMAR], O. Naim [MC1, ECOMAR], D. Strasberg [MC2, LBVPGME], T. Pailler [MC2, LBVPGME], J. Figier [PR, LBVPGME], S. Radjassegarane [ATER, LBVPGME]
Les architectes logiciels - éditeurs de contenants :
7. Chercheurs Outils : D. Grosser [ATER, IREMIA], S. Calderoni [ATER, IREMIA], H. Ralambondrainy [PR2, IREMIA], P. Marcenac [PR2, IREMIA], R. Courdier [MC1, IREMIA], G. Rousse [Moniteur, IREMIA]
8. Centre Multimédia : G. Ancel [Responsable], S. Montagnan [Réalisateur vidéo], E. Pons [Réalisateur audio]
Equipe projet du plateau de production Université de la Réunion
Liste des membres statutaires concernés