terres de foy - septembre 2011

L’Église est-elle riche ?

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septembre 2011 N°12JOURNAL DE LA COMMUNAUTÉ CATHOLIQUE DU PAYS FOYEN

RICHESSES DE L’ÉGLISE, RÉALITÉ OU FICTION ?

PAGES 2 ET 3

LE CCFD-TERRE SOLIDAIRE EN PAYS FOYEN

PAGE 4

ÉGLISE EN PAYS FOYEN

PAGES 6 ET 7

ÉVÉNEMENTSPAGE 8

Être riches ?

Ni Job l’Oriental, ni Crésus le richissime roi de Lydie ! Écrivant cela, je pense aux com-munautés catholiques en pays foyen. Je ne

parle pas de l’Église universelle car, là, les diffé-rences entre les pays ou les régions sont légions. Nous n’avons pas de richesses fi nancières parti-culières et nous ne sommes pas non plus comme ce bougre de Job, assis sur son tas de cendres, ne possédant plus qu’un tesson pour gratter sa peau malade.L’argent dont dispose nos commu-nautés locales est régi par de sains principes. Exemples. Distinguer avec rigueur le compte du prêtre et celui de la paroisse. Les paroisses ne paient pas directement leurs prêtres mais leur fournissent une indemnité pour leurs déplace-ments. Faire servir l’argent à des activités cultu-relles ou spirituelles comme les fournitures et les sorties de catéchisme des enfants. Partager des collectes entre diverses associations de solidarité,

confessionnelles ou non, comme ce fut le cas au printemps. « Catholiques » veut dire « ouverts à tous », ne l’oublions pas !Jésus a vécu pauvrement mais avec une densité de cœur et d’esprit inimitable. Quelles sont nos valeurs ? Surtout fi nancières ou matérielles ? Nous avons à vivre dignement, en respectant la beauté, la grandeur et la fragilité de l’humain en nous. De toute manière, comme me le disait l’autre jour un ami à Gardonne : « Celui qui part pour le dernier voyage, jamais le coffre-fort ne suit derrière lui. »En fait, soyons comme Job : chercheur de Dieu comme on cherche un trésor, interrogeant pied à pied le Seigneur pour parvenir à la paix et à l’émerveillement. « Je ne te connaissais que par ouï-dire, maintenant mes yeux t’ont vu. » (Job 42,5) Ceci n’est-il pas être riche ?

Père Alain Poulter

TERRES DE FOY2 SEPTEMBRE 2011

Depuis la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État,

les bâtiments religieux ap-partiennent à l’État fran-çais, pour la plupart, donc aux communes qui doi-vent en assurer l’entretien, mais les paroisses en ont la jouissance et paient tout ce qui concerne leur utili-sation : chauffage, éclai-rage, chaises, etc. En pays foyen, seuls deux presby-tères, ceux de Montcaret et de Port-Sainte-Foy et les salles paroissiales de Gensac et Pellegrue

n’appartiennent pas aux communes. Tout ce qui a été construit après 1 905 est la propriété de l’Église catholique puisque finan-cée par l’Église elle-même comme les cathédrales de Lille, Saint-Étienne et Évry. L’Église paie aussi tous les impôts sur son patrimoine (bâtiments diocésains, biens à usage pastoral) et ses salariés. L’Église catho-lique de France ne reçoit aucune subvention pour son fonctionnement, ni de l’État, ni du Vatican. Elle vit du don de ses fidèles

contrairement à d’autres pays d’Europe où existe un impôt ecclésiastique et à l’Alsace-Moselle où les prêtres sont rétribués par l’État, concordat oblige.

FINANCEMENT

DES DIOCÈSES

L’Église catholique est ré-partie en diocèses à la tête desquels est un évêque. Les dons des catholiques (le denier de l’Église) sont regroupés au sein du

DOSSIER

UNE BIEN BELLE ÉGLISE

Ce que donne à voir le Vatican à tous ses visiteurs et les images véhiculées par les médias laisse penser que c’est un État riche.

Depuis 1993, l’idée de rénover l’église de Saint-Philippe du Seignal était dans l’air. L’ampleur du projet a suscité quelques appréhensions et des discussions parfois houleuses au sein du conseil municipal. L’idée de faire appel à des paroissiens bénévoles fut finalement écartée et la commune décida d’entreprendre les travaux. Heureusement, des subventions conséquentes ont été accordées : 30 000 € par le conseil général, 25000 € par l’État via le ministère de l’Intérieur sollicité par le député Jean-Paul Garraud, et 35 000 € au titre de la DGE. Soit un total de 90 000 € de subventions pour une rénovation de 139 000 € TTC. La population est unanime pour reconnaître que la rénovation est réussie : « L’église est belle », dit-on. Certains crai-gnent une augmentation des impôts ou ne com-prennent pas que tant d’argent soit utilisé pour un lieu de culte. « C’est notre patrimoine », explique le maire, monsieur Favereau, « nous avons à cœur de faire du beau et d’entretenir les bâtiments qui nous appartiennent ». Outre les célébrations reli-gieuses, des concerts sont maintenant possibles et prévus dans ce cadre rénové : un plus pour la commune.

Richesse de l’Église, réalité ou fiction

L’ÉGLISE VIT DU DON DOù va l’argent des quêtes, des enterrements ? Qui paie l’entretien des églises, qui en est propriétaire ? Terre de Foy n’a pas la prétention d’épuiser un sujet aussi vaste. Ramené à sa dimension locale, cela mérite pourtant réflexion et explications.

Le Vatican est riche de son patrimoine et de ses œuvres artistiques. Mais côté finances, le secret, l’opacité ont longtemps prévalu. Jean-Paul II décida de publier les comptes financiers du Vatican selon trois postes différents. Le premier est le Saint-Siège qui doit rémunérer 2 663 personnes (en 2004) travaillant au sein de la Curie romaine, 118 représentations pontificales auprès des nations, neuf sièges auprès des organisations internationales.Le second concerne le bilan de l’État de la Cité du Vatican qui emploie 1 560 personnes au sein de Radio Vatican, du journal l’Osservatore Romano et la télévision CRV. Enfin, le Denier de Saint-Pierre (dons des diocèses), en baisse constante, est destiné à des interventions carita-tives (victimes de catastrophes natu-relles, orphelins victimes de conflits armés ou du sida) et une partie entre dans le budget de l’État Vatican. Le Vatican a annoncé que son budget 2 009 était en déficit de 4,1 millions d’euros. Le Saint-Siège a enregis-tré l’année dernière 250,18 millions d’euros de recettes mais a dépensé 254,28 millions d’euros – essentiel-lement pour financer les activités du pape Benoît XVI et Radio Vatican.

C’est la troisième année consécutive que la cité-État est dans le rouge : - 900 000 euros en 2008 et - 9 millions d’euros en 2007.

Le Saint-Siège désigne le gouverne-ment de l’Église catholique, c’est-à-dire le pape et ceux qui l’assistent (la Curie romaine) ; L’État de la Cité du Vatican est son territoire.

M. Gavard

LES FINANCES DU VATICAN DANS LE ROUGE

C’est un homme chaleureux et passionné qui évoque son souci du patrimoine de sa commune, école comme église. Cette notion d’entretien du patrimoine faisait partie de sa profession de foi pour les municipales et c’est pour res-pecter ses engagements qu’il a motivé son conseil pour la remise en état de l’église construite sur un cimetière. Beaucoup de tra-vaux sont déjà faits : réfection de la toiture et assainissement ex-térieur. Il reste la restauration de l’intérieur avec illumination des vitraux et l’électricité. Un appel à dons a permis de récolter presque 6 000 €. Le golf des Vigiers, dont le fondateur Lars Peterson était particulièrement attaché au charme de cette église, a fourni des aides conséquentes, aides versées à la Fondation du patrimoine, qui les reverse ensuite à la commune en doublant les dons. Marie-Cécile Collet et Marie-Paule Pétine ont eu à gérer ce dossier com-plexe pour obtenir des aides. Ce qui ferait le bonheur de René Visentini, ce serait de restaurer les murs exté-rieurs. C’est ça, l’amour du patrimoine.

M.-F. Rossignol

UN PASSIONNÉ DU PATRIMOINE

La place Saint-Pierre au Vatican.

L’église de Saint-Philippe du Seignal, restaurée.

René Visentini, maire de Razac de Saussignac.

TERRES DE FOY 3SEPTEMBRE 2011

diocèse auquel ils appar-tiennent, d’où de grandes disparités entre des dio-cèses riches comme celui de Paris et d’autres très pauvres comme ceux de Marseille ou de Saint-Denis. Rapportée au nombre d’habitants, la différence va de un à vingt ! Paris dis-pose de 20,50 euros par habitant contre 2,50 euros pour Saint-Denis. Le dio-cèse de Périgueux dis-pose de 8,10 euros par habitant contre 5,90 euros pour celui de Gironde. Les comptes des associa-tions diocésaines sont au-jourd’hui publics, publiés au journal officiel et, de-puis 2006, obligatoirement visés par un commissaire aux comptes. La transpa-rence est donc de mise.- Les quêtes de chaque messe dominicale, et à l’occasion des cérémonies (baptêmes, mariages, fu-nérailles) recueillent l’of-frande des participants. Cet argent sert au fonc-tionnement des paroisses (chauffage, électricité, en-tretien des bâtiments…). Certaines quêtes excep-tionnelles (dites impérées) sont affectées au fonction-nement des services dio-césains ou destinées à des œuvres caritatives (Missions,

Secours catholique…). - Les offrandes de messe données pour une inten-tion particulière (prier pour un défunt) sont col-lectées par les paroisses et constituent un supplé-ment de revenus pour les prêtres à raison de vingt offrandes maximum par mois. Une offrande de messe, c’est 16 euros.- Le casuel, ce sont les offrandes de cérémo-nie, soit 130 euros pour les mariages et les fu-nérailles. Pour les bap-têmes le don dépend du bon vouloir des familles.- Les dons et legs com-plètent les ressources. L’Association diocésaine (structure représentant le diocèse sur le plan juri-dique) est seule habilitée à recevoir des legs et des donations.- Le denier de l’Église ou denier du culte.C’est ainsi que les catho-liques contribuent à la vie matérielle de leurs prêtres. Le denier sert principalement à finan-cer les charges sociales et une indemnité proche du Smic aux prêtres, à ré-munérer des laïcs salariés animateurs en pastorale, à former des sémina-ristes, des prêtres et des

laïcs. Il finance les sup-ports d’information et de communication du dio-cèse : journaux, site inter-net… C’est la raison pour laquelle la participation au denier est vitale. En aucun cas, le versement d’argent ne doit être un obstacle car l’Église accueille en toute circonstance.

Le groupe de rédaction

DOSSIER

Conseils économiques

« LES FINANCES DES PAROISSES, C’EST RIC-RAC »

Terres de Foy a rencontré Évelyne Salinas de la paroisse Sainte-Marie en Périgord (24), et Marie-Lise Moneger et Roger Billoux du secteur pastoral du pays foyen Gironde, représentants des conseils économiques.

- Qu’est-ce qu’un conseil économique ?- C’est un conseil de neuf membres laïcs qui gère les questions financières et matérielles de la paroisse, sous la présidence du prêtre. Il y a deux ou trois réunions par an mais les responsables ont un travail de comptabilité dont ils doivent rendre compte au diocèse et au commissaire aux comptes. Ce n’est donc pas le prêtre qui gère les finances de sa paroisse. Des finances saines et équilibrées contribuent au financement des charges et aussi à la pastorale.

- Quels sont donc les bilans financierspour chacune des paroisses ?- Les recettes (quêtes, casuel, dons divers) équi-librent tout juste les dépenses. C’est le nombre relativement élevé d’obsèques qui permet de maintenir cet équilibre fragile. Le secteur pas-toral du pays foyen en Gironde a cinq salariés à temps partiel (égal à un temps plein), mais un seul à temps partiel côté Dordogne. Les bâtiments qui appartiennent aux paroisses génèrent des dépenses obligatoires, des mises aux normes, des réparations. Dans chaque paroisse le produit des quêtes a baissé de 10 % de 2009 à 2010. Les offrandes pour les cierges en Gironde et la kermesse et le quine côté Dordogne permettent de ne pas être dans le rouge. Un projet d’achat d’une maison paroissiale est en cours côté Gironde, suite à la vente de l’ancien bâtiment de Charrier.

DE SES FIDÈLES

> Pour tout renseignement complémentaire :http://www.diocese24.catholique.fr/http://www.bordeaux.catholique.fr/

FINANCES DES DIOCÈSESDONATEURS DENIER 2 007Bordeaux : 21 978, Périgueux : 13 043DONATEURS DENIER 2 008Bordeaux : 20 882, Périgueux : 12 639DONATEURS DENIER 2 009Bordeaux : 19 902, Périgueux : 11 209DONATEURS DENIER 2 010Bordeaux : 19 203, Périgueux : 15 200PRÊTRES RÉMUNÉRÉS PAR LE DENIER EN 2010 Bordeaux : 181, Périgueux : 101LAÏCS RÉMUNÉRÉSBordeaux : 160 (84 temps plein), Périgueux : 32

S’il y a eu davantage de donateurs en 2010 dans le diocèse de Périgueux notamment, c’est grâce à une campagne intensive qui a coûté 71% plus cher qu’en 2009 et rapporté 10% de plus.En 2010, le denier n’a pu couvrir que 66% des frais de personnes dans le diocèse de Bordeaux.

L’ARGENT : QU’EN DIT-ON DANS LA BIBLE ?L’argent est un thème récurrent dans la Bible. Dans les évangiles, l’argent était un des thèmes favoris de Jésus : sur trente-huit paraboles recensées, seize abordent de près ou de loin ce sujet. L’argent en lui-même n’a rien de mauvais ! Par contre, les motivations de celui qui le manipule peu-vent être malsaines. C’est l’amour de l’ar-gent que la Bible condamne (1 Tim 6.10). Jésus condamne-t-il l’argent comme ins-trument d’échange ? Non, puisqu’il paie l’impôt avec une pièce de monnaie. Il a, parmi ses proches, Judas pour tenir la bourse du groupe. Il bénéficie d’amis – parmi lesquels de nombreuses femmes – qui l’aident de leurs deniers. La parole de Jésus est in-transigeante : « Vous ne pouvez servir deux maîtres : Dieu et l’argent. » (Luc 16,13) L’Évangile de Luc, qui n’hésite pas

à qualifier l’argent de « trompeur » (Lc 16,9), en dénonce les pièges : l’aliéna-tion de la personne dans l’avoir. Dans la parabole du riche insensé (Lc 12, 16-21), l’homme empile les excédents de ses ré-coltes dans ses greniers et se croit tran-quille pour de nombreuses années. Mais Dieu lui dit : « Insensé ! Cette nuit même on te demandera ton âme, et ce que tu as, à qui est-ce que cela ira ? » (Luc 16, 20). Celui qui adhère à Jé-sus cesse de considérer que ce qu’il pos-sède lui appartient. Il découvre qu’il n’en est que l’intendant. Il comprend que ses biens ont en même temps une « destina-tion universelle » en ce sens qu’ils doivent contribuer à ce que personne, sur la terre, ne manque du nécessaire.

M.-F. R.

Les membres du conseil économique de la paroisse Sainte-Marie.


-Comment fonctionne-t-il ?- Dans le monde : des as-sociations des pays du Sud et de l’Est se prennent en charge pour améliorer leur vie : autonomie alimen-taire, droits des femmes, éducation… Le CCFD sou-tient financièrement et ac-compagne 500 de ces pro-jets, sans leur imposer de solutions.- En France : le CCFD in-forme, éduque, agit sur les questions relatives au développement : réparti-tion des richesses, interro-gation sur notre mode de vie, dette des pays les plus pauvres, dénonciation des paradis fiscaux…

- Pourquoi le CCFDdénonce-t-il les paradis fiscaux ?- 50 % de l’argent du com-merce mondial y transite à travers 2,4 millions de « sociétés écrans ». C’est pour les pays du Sud une perte de 125 milliards d’euros par an de recettes fiscales, alors que le quart de cette somme suffirait à éradiquer la faim dans le monde… C’est pourquoi le CCFD s’est engagé dans cette action avant le G20 de novembre.

- À quoi sert l’équipe locale CCFD du pays foyen ?- Voilà plus de trente ans, des personnes qui se

sentaient interpellées par la démarche du CCFD ont décidé de se réunir chaque mois pour réfléchir et agir ensemble en pays foyen.Elles essaient toujours :- de sensibiliser à la néces-sité d’une solidarité sans assistanat par des projec-tions, débats, stands…, enfants, jeunes, adultes de tous horizons.- d’accueillir des parte-naires du CCFD pour par-tager leurs expériences- d’animer des célébra-tions et organiser chaque année la collecte de Carême.Que vous habitiez une rive ou l’autre, rejoignez-nous !

Élisabeth Chort

RENCONTRE

Fête des 50 ans du CCFD à Bordeaux.

Le CCFD-Terre solidaire en pays foyen

50 ANS POUR DÉNONCER L’INACCEPTABLE DE LA PAUVRETÉ

Créé en 1961 par la volonté des évêques de France pour lutter contre la faim dans le monde, le Comité catholique contre la faim pour le développement est devenu la première association française au service du développement. 50 ans de lutte pour la dignité de tout être humain.

L’école Saint-Joseph du Fleix est une école ma-ternelle et primaire ca-tholique sous contrat d’association avec l’État, et depuis un an, école numérique. Elle est fon-dée sur des relations partenariales avec tous ceux qui constituent la communauté éducative : enseignants, personnel administratif et d’entre-tien, associations, mairie, paroisse, diocèse. Cette école, ouverte à tous, respecte la liberté de conscience, la personna-lité, l’origine de chacun et témoigne de la parole évangélique.Insérée dans le bourg, notre école, toute parée de blanc et bleu, accueille les enfants à partir de

deux ans. Elle rassemble aujourd’hui une quaran-taine de familles du Fleix, Saint-Pierre d’Eyraud, Port Sainte-Foy, Saussi-gnac et Saint-Méard-de-Gurçon. Les enfants sont accueillis dans une struc-ture familiale de trois classes. Au quotidien, le

multi-niveaux de chaque classe favorise l’autono-mie et l’interaction. Au cours de l’année, petits et grands participent à des actions caritatives pour grandir en solidarité, gé-nérosité et partage.

J. Mallard

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SARL ROLLANDOENOLOGIE

Contact : Élisabeth Chort, 05 57 46 28 48Site internet CCFD : http://ccfd-terresolidaire.org/

Fête de l’école.

LE PARCOURS ALPHALe parcours Alpha est ouvert à tous, chrétiens ou pas. Réunions tous les lundis du 19 septembre au 19 décembre, salle Alard au Fleix.E-Mail : [email protected] Tél. 05 53 27 92 78


Pour les catholiques, la Toussaint est la fête de tous les saints. C’est un appel qui à devenir des saints, c’est-à-dire à réaliser notre baptême en vivant pleinement l’Évangile, la sainteté n’étant pas une réalité exceptionnelle. Les catholiques pensent que les saints, et spécialement Marie, peuvent intercéder pour eux auprès de Dieu.Pour les protestants, la Bible n’enseigne pas aux croyants de prier quelqu’un d’autre que Dieu. Jésus, seul, est le médiateur entre Dieu et les hommes. Les protestants rejettent donc le culte des saints comme intercesseurs mais ne rejettent pas les saints en tant que modèles. Le culte n’est dû qu’à Dieu seul : aussi ne fêtent-ils pas la Tous-saint.Les orthodoxes célèbrent tous les saints le pre-mier dimanche après la Pentecôte qu’ils appellent Dimanche de tous les saints. La sainteté est une participation à la vie du Christ. Les saints doivent être suffisamment humbles et obéissants en la per-sonne du Christ pour représenter fidèlement son image et en être une icône. En Orient, le culte des saints s’exprime par la vénération des icônes qui est le plus souvent une prière à la mère de Dieu et aux saints. Pour les orthodoxes, il est aussi impor-tant de vénérer les icônes que d’écouter la Parole.

A. Bertoni

ŒCUMÉNISME

ZeBible

UNE NOUVELLE ÉDITION DESTINÉE AUX JEUNES

BIBLE EN TERRES FOYENNES Depuis plus de vingt ans, des catholiques et protestants de Saint-Avit Saint-Nazaire se retrouvent pendant l’Avent, Carême et après Pâques pour une veillée de prière et de lecture biblique.

6 août, office œcuménique au temple de Sainte-Foy avec la Jurade, à l’occasion de leur chapitre.

En peu de temps deux nouvelles éditions de la Bible viennent de

paraître, toutes deux œcu-méniques : l’une assez classique est la nouvelle Traduction Œcuménique de la Bible, la TOB. L’autre a un titre plus inattendu, ZeBible, inspiré de la façon de parler de certains jeunes d’aujourd’hui. Elle est en effet destinée aux adoles-cents. Cela se voit dès la

couverture et plus encore quand on observe la mise en page aérée, l’utilisation de la couleur (rouge), les titres des notes dans de larges marges, les enca-drés soulignant les versets importants.Le plus remarquable dans ZeBible est la partie intro-ductive de 140 pages qui donne des informations sur l‘histoire et le contenu de la Bible, des propositions de

programmes de lecture et des repères pour traiter une trentaine de thèmesEn quoi est-ce œcumé-nique ? Par la diversité des trente-cinq membres du co-mité d’édition et des cent dix collaborateurs, le parte-nariat de quinze Églises et mouvements d’Église d’ho-rizons très divers. Là encore c’est une nouveauté !

Olivier Pigeaud

Au cours des années, le groupe de catholiques et protestants de Saint-Avit Saint-Nazaire s’est orienté vers la lecture biblique approfondie tout en conservant un bref moment liturgique qui introduit et termine la rencontre.Actuellement, l’équipe œcuménique de préparation est composée de Claude Bouny et Michèle Dazat, « mémoires » du groupe, l’équipe prêtre-pasteur du secteur et Philippe Gross, pasteur re-traité, résidant au presbytère de Saint-Avit. Premier objectif : découvrir des textes ou des personnages bibliques peu ou mal connus. Ainsi, l’an der-nier, nous nous sommes intéressés aux femmes nommées dans la généalogie de Jésus telle que la rapporte l’évan-gile de Matthieu. Une occasion pour

beaucoup d’entre nous d’ouvrir la Bible et d’en tourner les pages pour lire des histoires souvent mal connues, surtout lorsqu’il s’agit de personnages de l’An-cien Testament. Deuxième objectif : permettre à chaque participant de lire le texte biblique choisi et de s’appro-prier cette lecture lors d’un échange avec les autres membres du groupe, comme une invitation à ouvrir sa bible personnelle pour la lire et à partager les questions que cette lecture peut faire naître. Enfin, le troisième objectif est toujours de partager en début et fin de séance un temps liturgique écou-té et chanté, avant le traditionnel verre d’amitié.

Philippe Gross

Fête de la Toussaint chez les chrétiens

DANS LES PAS DES SAINTS

• Jeudi 6 octobre, 9 h 30, rencontre pasteurs-prêtres à Bergerac.• Lundis 10 octobre et 14 novembre, 18 heures, groupe ACAT, espace protestant Gratiolet à Sainte-Foy• Jeudi 13 octobre, 20 h 30, partage biblique œcu-ménique, salle Lallier à Saint-Avit Saint-Nazaire• Dimanche 23 octobre, 10 h 30, fête consisto-riale de la Réformation, au temple du Fleix, 15 h 30, spectacle Paul et Néron d’Alain Portenseigne et Pierre-Philippe Devaux.• Vendredi 28 octobre, conférence-débat : les conditions de la foi chrétienne aujourd’hui par J.-M. Ploux, espace protestant Gratiolet à Ste Foy• Les 11, 12 et 13 novembre, synode régional à Anglet (64) sur l’Église protestante unie de France.• Vendredi 25 novembre, 20 h 30, conférence-dé-bat : Les camisards par Pierre-Jean Ruff à Sainte-Foy• Samedi 3 décembre de 8 h 30 à 17 h 30, marché de Noël, espace protestant Gratiolet à Sainte-Foy• Dimanche 4 décembre, 16 heures, concert ACAT orgue et trompette de Christopher Hainsworth et Georges Philip, au temple de Sainte-Foy (entrée libre).

AGENDA

Au mois de juin, les jeunes protestants et catholiques, du pays foyen, ont réalisé une course au trésor ludique en utilisant « ZeBible ».


Vendredi 1er juillet, un bilan des trois années de collaboration entre

la paroisse Sainte-Marie en Périgord foyen et le secteur pastoral de Sainte-Foy a été dressé en présence de Mgr Dognin, évêque auxi-liaire de Bordeaux, et du vi-caire général de Périgueux, Jean-Michel Bouygues.Au niveau de la catéchèse des actions communes aux deux rives ont été menées avec succès (Festicaté, Noël au marché, Gospel, avec comme prochain ob-jectif, l’harmonisation des âges de profession de foi et de confirmation. Pendant le temps de Carême, des actions communes ont contribué aussi à rassem-bler les deux rives autour de « temps forts ». Les sommes récupérées ont ainsi été distribuées aux associations caritatives, confessionnelles ou non, des deux rives. Le Point-rencontre sous le porche de l’église de Sainte-Foy permet à chacun de se tenir informé et de rencontrer un prêtre, le samedi matin de

10 heures à 12 heures. La préparation au mariage est l’exemple même de ce rapprochement pastoral. Quelle que soit la paroisse, les « fiancés » rencontrent un groupe de couples ma-riés sans distinction de ter-ritoire. La célébration des obsèques est de plus en plus souvent le fait de laïcs. Les personnes formées in-terviennent sur l’une ou l’autre paroisse, en fonc-tion des besoins et du sec-teur géographique. Les rencontres œcuméniques entre anglicans, protestants réformés, orthodoxes, ca-tholiques sont une « spé-cialité locale » très vivante.

Le journal Terres de Foy (diffusé à 12 000 exem-plaires) est la concrétisation de ce rapprochement et le réseau de diffuseurs béné-voles contribue à tisser les liens.Toutes ces actions com-munes ne se feraient pas sans les rencontres régu-lières entre les prêtres, le partage de la prière et l’aide précieuse des secré-taires rémunérées ou non et des bénévoles pour tous les services au quotidien : entretien des lieux, per-manences, disponibilité, fleurs, chorales…

A. Bertoni


Abbés A. Poulter, J.M. Bouygues, vicaire général, H. Walser, C. Dutreuilh, vicaire épiscopal, entourant

Mgr Dognin, évêque auxiliaire de Bordeaux.

Coopération interparoissiale

UN TERRITOIRE PASTORAL SE CONSTRUITVoici plus de trois ans que la paroisse Sainte-Marie en Périgord foyen, en Dordogne, et le secteur pastoral de Sainte-Foy, en Gironde, coopèrent au niveau pastoral.

DIMANCHE 9 OCTOBRE10 h 30 : messe de rentrée pour tout le secteur suivie du verre de l’amitié. (Faire du covoiturage)DIMANCHE 16 OCTOBREfête des familles à Bordeaux pour le diocèse de GirondeMARDI 18 OCTOBREDans le cadre de la « Semaine bleue », journée et soirée à Pellegrue (Halle) avec participation du SEM (Service évangélique des malades). Thème : « À tout âge, acteurs, proches et soli-daires ».TOUSSAINT29 OCTOBRESaint-Antoine-du-Queyret 18 h 30 30 OCTOBREMargueron 9 h 15

31 OCTOBREPellegrue 18 h 30 1ER NOVEMBREGensac 9 h 15Sainte-Foy 11 heures 2 NOVEMBRELes Lèves 18 h 30,Inauguration de l’église de Saint-Philippe-du-SeignalSAMEDI 5 NOVEMBREinauguration par les officiels 17 heuresDIMANCHE 6 NOVEMBREbénédiction et messe 10 h 30Pour la paroisse Sainte-Marie (24), les horaires seront affichés aux portes des églises et sur le site dès la mise en fonction du nouveau prêtre.

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COLLEGE : en 6e : option bilangue (Allemand-Anglais)6e/5e : cycle canoë-kayak • option Latin dès la 5e, Espagnol dès la 4e

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Alors que le père Alain Poulter s’ins-talle à Paris pour une

année, et que le père Luc Ollivier prend sa retraite, le père Jean Torcel arrive de Thiviers pour décou-vrir sa nouvelle paroisse Sainte-Marie en Périgord foyen. Jeune d’esprit et dynamique, cet homme de 70 ans, a un parcours ori-ginal. Natif du Ribéracois, ordonné en 1968, il exerce à Périgueux, Thiviers puis Tocane Saint-Apre. Au Congrès eucharistique international à Lourdes, en 1981, les délégués du diocèse sont saisis par la vitalité des jeunes Églises d’Afrique. Le diocèse de Garoua au Cameroun étant jumelé avec celui de Périgueux, le père Jean Torcel part au Cameroun, en 1987, en

pleine brousse pendant six ans. Cette expérience, il l’évoque avec émotion et un brin de nostalgie. Son retour en Périgord l’amène au Buisson de Cadouin puis à Thiviers pendant seize ans. A la demande de l’évêque, il accepte de venir dans ce coin de Périgord, tout en poursuivant le jumelage avec le Cameroun qui lui envoie un collègue, Alain Simon Adama, ordonné en 2007 par Mgr Mouïsse, installé avec lui au presby-tère du Fleix pour décou-vrir le fonctionnement de nos paroisses, notre ma-nière de vivre, de célébrer, parfois bien différente des églises camerounaises. Bienvenue Jean, bienve-nue Alain-Simon.

M.F.-R et M.F.-W.


Nos joies, nos peines

EN GIRONDE

EN DORDOGNE

Jean Torcel, nouveau prêtre de la paroisse

Sainte-Marie en Périgord Foyen.

BAPTÊMESDoulezonNathan Miramond, Elise Boin-CarayonEynesseAïnhoa JosselinFlaujaguesNolan Lafaye, Julia Garcia-Cor-dretGensacCandice Picard, Gaëtan Jaubert, Ethan Debruyn, Laly Roucheyrolle, Emma De Nadaï, Axel SamsonLes LèvesEnzo DutelPellegrueMeylie Silva, Raphaël Pochet, Philippine Fourcaud, Killian Sioulone-Duverger, Florentine de MontessonPessac-sur-DordogneBérénice ThomasPineuilhLisa Léger, Noah Siri-Stocco, Clara XhotisSaint-André-et-AppellesLola PoussevinSaint-Avit-de-SoulègeRaphaël Besnard, Elijah Guit-tounSaint-Avit Saint-NazaireNoah GoubieSainte-Foy-la-GrandeShanna Labrue, Joséphine Ribeyreix, Etienne Jozou, Eléna Latarsche, Lilas Barreau Titouan Combalie, Ugo Scotto di Cesare, Laura Tramier, Manon Touveneraud, Léa Chauveau, Maïween Quintin, Lilou Nau, Elena Mayet, Melynda Desjoux, Quentin Tessonneaud, Faustine Pietrement, Ethan Fagette, Naolya Gallart, Grégory Catherineau, Brandon Catheri-neau, Tytia Catherineau, Adrien Parade, Oryana Robert, Nathan Couturie, Nathan Bernard, Nathan d’Oliveira, Noam Bar-banson, Adhéna Ziegler-Boyer, Rihanna Ziegler-Boyer, Mélanie Ziegler-Boyer, Lucas Painvin, Evan Silotto, Romain Labaye, Kensy ZieglerSainte-RadegondeCoralie Coculat-Ortet, Victor Thierry, Pauline Thierry

MARIAGESAuriollesJérémy Mourgues et Virginie DuvergerFlaujaguesJean-Luc Descat et Nathalie BrunetGensacSamuel Hemery et Stéphanie Mauvais, Paul Gardet et Laetitia Clément, Romain Rousseau et Juliane MedinaJuillacAnthony Pastore et Nadia Gui-tierez, René Leisse et Violaine Riglet

Les LèvesYanick Ouvrard et Sophie Lorenzato, Sébastien Ducuing et Laetitiaé PeraudPellegrueOlivier Sioulone et Virginie DuvergerPineuilhEric Besse et Maria Térésa Montero, Adrien Léger et Amandine Laval, Riocaud, Christophe Laville et Jessica CouzinouSaint-Avit-de-SoulègeNicolas Guittoun et Caroline LagleyseSaint-Avit Saint-NazaireAlain Berwit et Sylvie BloisSainte-Foy-la-GrandeChristophe Bardin-Beaumont et Aurélie Bellier, Sébastien Boussard et Vanessa MillardSaint-Quentin-de-CaplongTanguy Van Den Broeck et Kirsten DeckersSainte-RadegondeJérôme Berot et Shan Shan Sun

OBSÈQUESCazaugitatPierre-Yves Roboam, 83 ans, Françoise Faure, 89 ansEynesseMaurice Maille, 83 ans, Reine Rigaux, 79 ansFlaujaguesFernande Serpin, 89 ansLes Lèves et ThoumeyraguesGiovanni Stocherro, 87 ans, Aliette Schmitt, 85 ansMassugasLuigui Cardarelli, 76 ans, Jean-Pierre Coillier, 40 ansPellegrueRené-Paul Bougues-Cayre, 47 ans, Marie-Joséphine Guennec, 89 ansSaint-André-et-AppellesRobert Siesse, 81 ansSaint-Avit-de-SoulègeBernard Agnus, 77 ansSaint-Avit Saint-NazaireJean-Claude Bermejo, 69 ans, Yverre Roire, 90 ans, Ginette Villepasttour, 84 ans, Claire-Ma-rie Bernède, 79 ans, Irma Zarat-tin, 85 ans, Gérard Lofficial, 65 ans, Tony Couturier, 21 ansSaint-Quentin-de-CaplongJeannine Merleau, 84 ans, Robert Monboucher, 95 ans, Adèle Bares, 99 ansSainte-Foy-la-GrandeBernadette Rosolin, 91 ans, Sonia Queval, 80 ans, Marie-Claire de Ruffray, 76 ans, René Rey, 83 ans, Elisabeth Deycard, 79 ans, Katarzyna Garceau, 83 ans, Jeanne Bigourd, 104 ans, Albert Mas, 84 ans, Yvan Rever-dito, 85 ans, Sylvette Issartier, 69 ans, Jenny Bigot, 83 ansSainte-RadegondeOdette Perrot, 96 ans

Jean Torcel

UN PRÊTRE PEUT EN CACHER UN AUTRE…

BAPTÊMESFraisseMaolane YonkevGageacNinon Fournier, Kyvan Dumail, Mathilde Lignac, Enzo GaignonGardonneEva de Conti, Lise de Conti, Ana Delteil, Léna Mathieu, Zoé AlbosLamothe MontravelElisa Chateau, Amandine Serre, Blandine Serre, Luka Garineau, Raphaël Garineau, Swan Garineau, Louis Bibliardi, Clémence TerrienLe FleixMaëllyne Bresil, Lucas Bournadel, Emma Mouret, Léna Canu-Mon-get, Mathéo Deamin, Marine Lecomte, Conrad Bruneau-Denis, Léna Castagna, Emilie Maïna, April Pozniak, Anaïs Fretillère, Lucas Bayle, Enora DutreuilMontcaretOrlane Belloto, Clémentine BaggioPort-Sainte-FoyCharlotte Lebourhis, Scarlett Paillard, Razac-de-Saussignac, Lukas Broughton, Margaux BrunSaint-Aulaye-de-BreuilhAmbre Piccin, Lisa Mazeau, Géna NorcretteSaint-Méard-de-GurçonLeyna Chapon-Soriano, Gabriel Seurin, Laurine BaccoSaint-Pierre-d’EyraudFrançois Dumas, Margot Trapy, Noémie Marcellas, Oliver Uppel-lini, Léila Nicolas, Tayron Lombard, Curtis Ziegler, Kenely Lombard, Samantha Ziegler

Saint-Seurin-de-PratsLuidgy DupuySaussignacAmbroise de Bazin, Gaétan TarrisseVélinesMilo Canu-MongetMARIAGESLamothe-MontravelFrédéric Terrien et Virginie Barrière Jean-Philippe Lumy et Corinne MomasJérémie Nagou et Coralie BarbieuxMontazeauJean-Paul Monnet et Verena BergerRazac-de-SaussignacOlivier Diekmann et Cheryl Pailley David Bernard et Una McCarronSaint-Michel-de-MontaigneGrégoire Mahler et Raphaëlle AdogueSaint-Pierre-d’EyraudJulien Raffier et Aurélie GenesteVélinesJacky Richard et Constance Ker-jan, Nicolas Allou et Céline Tresset, Aurélien Lamarque et Ivoha CousinOBSÈQUESBonnevilleRoger Espallier, 87 ans, Renée Her-mann, 88 ans, Marie-Madeleine Chaux, 91 ans, Camille Gravière, 91 ansLe FleixRoger Château, 84 ans,

Eloïse Lafont, 94 ans, Simon Roussillon, 33 ansFraissePaulette Teyssier, 81 ansGageacGeorges Devaux, 82 ansGardonneJosette Feytou, 74 ans, Fany Choutard, 95 ansLamothe-MontravelRaymond Bouty, 83 ans, Jacques Combe, 70 ans,Simone Regnière, 97 ansMonfauconFernand Ganzer, 80 ansMontcaretClaude Kohler, 76 ansPort-Sainte-FoyLucette Gasquet, Valentine Darras, 98 ans,René Maury, 85 ansSaint-Aulaye-de-BreuilhGuy Pauliac, 74 ans, Jean-Marie Delordt, 76 ans,Julien Estève, 90 ansSaint-Méard-de-GurçonJacques Tirard-Bois, 84 ans, Ray-mond Brignard, 77 ansVincenzo Matergia, 78 ans, Saint-Seurin-de-PratsAnnie Fauvel, 72 ansSaint-VivienPierre Jacquin, 80 ansVélinesGuy Latournerie, 91 ans, Patricia Ribeyrolle, Joseph Garcia, 90 ans

LE CATÉCHISME PAROISSIAL

a repris début septembre. Il concerne les enfants, baptisés ou non, à partir de 8 ans ou de la classe de CE2. Il n’est pas trop tard pour se présenter. Contact : presbytère de Sainte-Foy ou du Fleix.


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Aux JMJ de Madrid, Maxime, Kévin, Léa, Géraldine, Océane, Fabien, Kévin, Mélinda, Julie, Aurore, Valentin, Aurélie avec l’abbé Ollivier,

ont vécu des moments inoubliables.

TERRES DE FOY - TRIMESTRIELRÉDACTION : 42, RUE DENFERT-ROCHEREAU - 33220 SAINTE-FOY-LA-GRANDEDIRECTEURS DE LA RÉDACTION : ABBÉS ALAIN POULTER ET HUGUES WALSER

RÉDACTRICE EN CHEF : MARIE-FRANCE ROSSIGNOLÉditeur : Bayard Service Edition Grand Sud-OuestDIRECTEUR DE LA PUBLICATION : GEORGES SANEROT

Maquette : Laetitia Landois - Journaliste-Secrétaire de rédaction : Fabrice Reinle- Mise en page : Magali Siroit4, rue Jean-Amiel - 31700 Blagnac - Tél. 05 62 74 78 20 - [email protected] - www.bayard-service.com

Imprimeur : SRI - 31240 L’Union - Dépôt légal à parution

INFOS PRATIQUESINFOS PRATIQUES EN DORDOGNELes coordonnées de votre prêtreAbbé Jean TorcelPresbytère Le Bourg24130 Le FleixTél. : 05 53 57 99 51

INFOS PRATIQUES EN GIRONDELes coordonnées de votre prêtreAbbé Hugues WalserPresbytère 42, rue Denfert-Rochereau33220 Sainte-Foy-la-GrandeTél. : 05 57 46 03 38Fax : 05 57 46 24 61

« À CAUSE DE JÉSUS » DE MGR JOSEPH DORÉMgr Joseph Doré, théologien et archevêque émérite de Strasbourg, nous fait en-trevoir ce que peut être la vie d’un évêque à notre époque, il nous fait part de ses joies, mais aussi de ses difficultés rencontrées. Ce qui est intéressant, c’est aussi l’évocation de la crise institutionnelle sans précédant que traverse actuel-lement l’Église en France, les questions qui fâchent telles que la contraception, la sexualité, le divorce, l’euthanasie, la place des femmes et le bilan de Vatican II.

NOUS VOUS LE CONSEILLONS

Courriel : [email protected] : [email protected] internet : communauté catholique des deux rives du pays foyen

terres de foy - septembre 2011

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