systèmes d’information
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Systèmes d’information
Isabelle Comyn-WattiauJacky Akoka
I. Wattiau / J. Akoka 2
Plan
Introduction aux Systèmes d’Information (SI)Les systèmes d’information opérationnelsLes systèmes d ’information décisionnelsLes niveaux d ’utilisation du SILes quatre dimensions du SI
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I. Wattiau / J. Akoka 3
1. Introduction aux systèmes d’information
I. Wattiau / J. Akoka 4
1. Introduction aux systèmes d’information
Une définitionEnsemble de composantes inter-reliées :
qui recueillent de l’information, la traitent, la stockent et la diffusent
afin de soutenir :la prise de décision et le contrôle au sein de l’organisation
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I. Wattiau / J. Akoka 5
1. Introduction aux systèmes d’information
Une autre définition
Ensemble des informations nécessaires au fonctionnement de l’entreprise :
internes ou externesstructurées ou nondont le traitement est automatisé ou non
I. Wattiau / J. Akoka 6
1. Introduction aux systèmes d’information
Système d’information
Système informatique ousystème d’information automatisé
Basesde
données
Programmes,Procédures,
…
Programmes,Procédures,
…
Programmes,Procédures,
…
Programmes,Procédures,
…
Informationnon structurée,procéduresnon automati-sées, …
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I. Wattiau / J. Akoka 7
Besoins ensystèmes d’information
Activité
FonctionR.H. Marketing
VenteComptaFinance
Logistiqueproduction
Activité opérationnelle
Activité tactique
Activitéstratégique
I. Wattiau / J. Akoka 8
Exemples de systèmes d’information
Suivi descommandesTraitement
descommandes
Contrôledes machines
Ordonnancementdes usines
Contrôle desflux de matériels
PaieGestion des
comptesdébiteurs
Gestion descomptes
créditeurs
AuditReporting
fiscalGestion de
la trésorerie
CompensationFormation
Gestion descarrières
Systèmesd’aide
stratégique
Systèmesd’aide à
la décision
Systèmestransac-tionnels
Ventes Production Comptabilité Finance Personnel
Gestion desventes
Analyse desventes
Contrôled ’inventaireEchéancier
de production
Budgetannuel
Analyse desinvestissements
Analyseprix/profit
Analyse deslocalisations
Analysedes coûts
Planà 5
ans
Planification de la force de travail
Prévisions budgétaires
à moyen et longterme
Prévision desventes à
moyen terme
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I. Wattiau / J. Akoka 9
Caractéristiques des SI
ENTREES TRAITEMENTS SORTIES UTILISATEURS
Systèmesd ’aide à
la décision
Systèmesstratégiques
TYPE
Systèmes d ’aide au
management
SI opéra-tionnels
Données agré-gées, internes
et externes volume de
données faible données issues
des SIO
transactions
événements
Graphiquessimulationsinteractivité Interactivité,simulation,
analyse
états simples, modèles simples,
peu d’analyse
tris, listes, fusionmise à jour
Projections,réponses à des
requêtes états de gestion,
analyse des décisions,réponse
à des requêtes états d’exception
états détaillés,listes,
états de gestion
senior managers
managers (staff)
middle managers
opérationnels
superviseurs
volume de données élevé
I. Wattiau / J. Akoka 10
Les différences
SI opérationnels SI décisionnelsUtilisateurs Nombreux Peu
Donnéesdétaillées
volumineusesinternes
agrégéesinternes et externes
Durée de vie Longue CourteTemps du passé au présent du présent au futur
Solution algorithmique heuristique
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I. Wattiau / J. Akoka 11
Les systèmes d’informationSont confrontés aux préoccupations des entreprises
Comment aligner ma stratégie SI avec ma stratégie d’entreprise ?Comment obtenir/maintenir un avantage compétitif à l’aide du SI ?Comment le SI peut-il accompagner la transformation de l’entreprise ?
I. Wattiau / J. Akoka 12
SI vs stratégie d’entrepriseQuel est mon objectif stratégique ?Quel est mon plan pour l’atteindre ?Quel rôle joue le SI dans ce plan ?Quel SI pour réaliser ce plan ?
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I. Wattiau / J. Akoka 13
Alignement stratégique du système d’information
Stratégie Processus Systèmed’information
Systèmeinformatique
Environnement
Technologies
Prise en compte de clientèles mondialesPossibilité d’ouverture à des partenaires
(distribution, échange, production)Mise en place de SI standardisés
pour les lignes métiers mondialesetc.
Impactsorganisa-tionnels
(processus)
Impactssur le SI
I. Wattiau / J. Akoka 14
Le SI au cœur de l’économie de l’information
Objets Information
Soumis à usure Peut devenir obsolète
Coût de réplication
Coût de réplication négligeable
Attaché à un lieu physique
Possession = contrôle
Se reproduit facilement
Chère à produire, facile à reproduire
L’information n’est pas un objet physique
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I. Wattiau / J. Akoka 15
Les ressources en informationQu’est ce qui donne de la valeur à l ’information ? Sa rareté, sa disponibilité via un réseauQui détient l’information ? La dépendance vis-à-vis d ’une équipe SI est un facteur de risqueQuand l ’information devient-elle obsolète ? Une base clients
I. Wattiau / J. Akoka 16
Evolutiondes SI par
décennie
Technologies de
l'information1960 1970 1980 1990 2000
Objectif Efficience Efficacité Stratégique Stratégique Création de valeur
Rôle
Automatiser les
processus papiers existants
Résoudre des
problèmes et créer des
opportunités
Augmenter l'efficacité
individuelle et collective
Transformer l'industrie ou l'organisation
Créer des partenariats
Justification des dépenses ROI
Améliorer la productivité et la qualité de la décision
position concurrentielle
position concurrentielle
ajouter de la valeur
Cible du SI Organisation Organisation/groupe
Individu/manager/groupe
Processus de gestion
client/fournisseur
Modèles d'information
spécifiques à l'application
guidé par les données
guidé par l'utilisateur
guidé par le business
guidé par la connaissance
Technologie dominante
Mainframe centralisation
miniordinateur surtout
centralisation
microordinateur décentralisation
client/serveur distribution
Internet ubiquité globale
Base Pénurie Pénurie Pénurie Plénitude Plénitude
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I. Wattiau / J. Akoka 17
Utilisation de l’informationEriger des barrières aux nouveaux entrants
offrir un réseau d ’accès à l’information (banque)Limiter la pression des clients
enregistrer les informations sur les transactions précédentes (Amazon)Limiter la pression des fournisseurs
améliorer le contrôle qualité de leurs produitsLimiter les menaces de produits de substitution
proposer des produits combinés difficiles à concurrencer (banque)Limiter la pression des concurrents
ajouter de l’information au produit et/ou service (FedeX informe sur le parcours des colis)
Créer des alliances stratégiques client-fournisseur, place de marché,…
I. Wattiau / J. Akoka 18
Les risques associésRéveiller le géant qui dortArriver trop tôt sur le marché : technologies pour lesquelles le client n’est pas prêtImplémenter un SI trop complexeOffrir une solution SI non adaptéeRencontrer des problèmes légaux...
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I. Wattiau / J. Akoka 19
2. Les systèmes d’information opérationnels
I. Wattiau / J. Akoka 20
Systèmes d’information opérationnels
Préoccupation des entreprisesautomatiser les opérations de gestionrationaliser les coûtsgérer la maintenance et l’évolutionfaciliter l’intégration des SIaméliorer la qualité des données
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I. Wattiau / J. Akoka 21
Cycle de vie du SI
ETUDE DE FAISA-BILITE
spécification des besoins et analyse
CONCEPTION
PROTOTYPE
IMPLAN-TATION
VALIDATION ET TEST UTILISATION
des données et des programmes
corriger et compléter les besoins
commence avec le chargement des donnéesinclut la maintenance
déterminer le coût et l'efficacité de différentes alternatives de conception et les priorités entre différents
composants du S. I.
comprendre la mission du SI et les
problèmes qu'il doit résoudre
implantation simplifiée pour vérifier que les
phases précédentes sont OK
I. Wattiau / J. Akoka 22
Conception du SI
Centré autour d’une base de donnéesConsensus sur le découpage en phases et sur les objectifs de chaque phaseMais les méthodes ne se sont pas diffusées très rapidementConséquences :Conséquences :
Sous-estimation du temps ou des ressources nécessaires pour le projetDéveloppement de systèmes inadéquats et inefficacesDocumentation limitéeMaintenance difficile et coûteuse
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I. Wattiau / J. Akoka 23
Cartographie de l’infrastructureQUOI QUI OU
Matérielpostes de
travail, serveurs
Individus qui utilisentIndividus qui gèrent
Localisation physique
Logicielprogrammes applications
utilitaires
Individus qui utilisentIndividus qui gèrent
Sur quel matériel
Réseau
schéma des équipements
et connexions réseaux
Individus qui utilisentIndividus qui gèrent
Prestataires qui fournissent
Localisation physique
DonnéesInformation
stockée dans le système
Individus qui utilisentIndividus qui possèdent
Individus qui gèrent
Sur quel matériel
I. Wattiau / J. Akoka 24
Les SI opérationnels - une problématique managérialeMaturité des technologies et des solutions logiciellesLe choix de ces solutions relève d ’aspects :
technologiquesmanagériales :
Quelle politique de sauvegarde ?Quels droits d’accès ?Quel périmètre inclure dans le SI ?...
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I. Wattiau / J. Akoka 25
3. Les systèmes d’information décisionnels
I. Wattiau / J. Akoka 26
3. Les systèmes d’information décisionnels
Préoccupations des entreprises :Gestion du temps des dirigeantsNécessité de disposer de la bonne informationNécessité de piloter l’activité de façon efficace
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I. Wattiau / J. Akoka 27
3. Les systèmes d’information décisionnels
De niveau tactique ou stratégiqueAident à la décision
En amplifiant le raisonnement du décideur
S’appuient sur les SI opérationnelsSystèmes individuels, orientés métierDonnées externes, agrégées
I. Wattiau / J. Akoka 28
Systèmes décisionnels Architecture-type
Basede
données
Base demodèles
mathématiques
Base deconnaissances
Interface utilisateur
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I. Wattiau / J. Akoka 29
Typologie des systèmes décisionnels
Entrepôts de donnéesOutils de pilotage ou tableaux de bordSystèmes expertsRéseaux neuronauxSystèmes de décision de groupeOutils de raisonnement à base de casOutils de « data mining »
I. Wattiau / J. Akoka 30
Basesmultidimen-sionnelles Datamarts
Outil frontalOLAP
Outilsmultidimensionnels
MOLAP
Requêteurou tableau
Outil ROLAP
Bases deproduction
ExtractionTransformation
ChargementRafraîchissement
Bases externes
Data WarehouseDictionnaire
Outils d’administration
Architecture d’un
entrepôt de données
(data warehouse)
Bases utilisateurs
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I. Wattiau / J. Akoka 31
Logiciels pour le data warehousing
Logiciels d ’ETL (Extract Transform Load)ActaWorks (BO), Sunopsis,…
SGBD pour le stockage de l ’entrepôtOracle, IBM DB2, NCR Teradata
Outils de requêtageBusiness Objects, Cognos,…
I. Wattiau / J. Akoka 32
Tableaux de bord (EIS)Pilotage d’activités, de processus, de divisions, d’entreprisesDémarche :
Partir des objectifs d’entrepriseLes traduire en butsDéfinir les facteurs-clés de succès (FCS)Leur associer des indicateursConstruire le tableau de bordAlimenter le tableau de bord
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I. Wattiau / J. Akoka 33
Problèmes sous-jacentsDifficulté de définition des informations requises par les dirigeantsDifficulté de prendre en charge le processus décisionnel du dirigeant (décision non structurée)Difficulté de définir les FCSLien entre systèmes d’aide à la décision et systèmes opérationnelsDifficulté liée aux données (qualité, homogénéité, disponibilité, etc.)
I. Wattiau / J. Akoka 34
Qu’est ce qu ’un système expert ?
Un SI qui :peut résoudre des problèmes très difficiles aussi bien ou mieux que les experts humains,raisonne à l'aide d'heuristiques,interagit de façon évoluée (langage naturel),manipule des données symboliques,peut fonctionner même si les données contiennent des erreurs,peut examiner et confronter des hypothèses multiples,explique pourquoi il pose une question,peut justifier ses conclusions.
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I. Wattiau / J. Akoka 35
Architecture sommaire d ’un système expert
Interface expert
BASEDE
REGLES
BASEDE
FAITS
MOTEURD'INFERENCE
Interfaceutilisateur
I. Wattiau / J. Akoka 36
Objectifs généraux des systèmes experts
Résoudre des problèmes non purement algorithmiques.
Automatiser la résolution de problèmes dans des domaines où la connaissance évolue rapidement.
Permettre la résolution de problèmes en présence de données incomplètes.
Combiner la puissance de calcul de l'ordinateur et les capacités de raisonnement d'experts du domaine.
Quand la solution algorithmique nécessite de considérer un nombre prohibitif de cas.
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I. Wattiau / J. Akoka 37
Domaines d ’application des systèmes experts
Finance et assuranceGestion de patrimoines et de portefeuilles de valeurs.Analyse des risques de prêts pour le banquier.Evaluation du risque industriel en vue d'aider à la tarification des assurances.
InformatiqueAnalyse des pannes des logiciels.Aide à la configuration de systèmes.
Traitement d'imagesRobotique, médecine, espace,...
I. Wattiau / J. Akoka 38
Les réseaux de neurones
DéfinitionDéfinitionun réseau neuronal (RN) est un modèleinformatique de neurones formels
TerminologieTerminologieon parle indifféremment de
réseaux neuronauxréseaux de neuronesréseaux neuromimétiquesréseaux connexionnistes
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I. Wattiau / J. Akoka 39
Réseaux de neurones
OrigineOriginegrâce à l'ordinateur, on peut simuler le comportementdes modèles théoriques de neurones (1940-50)
Neurone Neurone formelformelmodèle fortement simplifié du neurone biologique
Relations entre neuronesexcitationinhibition } caractérisent les impulsions nerveuses entre
neurones
I. Wattiau / J. Akoka 40
Applications des réseaux neuronaux
Reconnaissance des formes (ou de la parole).Classification : associer à une entrée une classe connue.
Transformation : le réseau apprend une transformation mathématiqueentre l'entrée et la sortie
ExempleExemple :: calculer des contours d'objet
Prédiction et contrôle de processusestimer un état futur à partir d'un historique et de variables environnementales
ExemplesExemples :: finance, prédiction de séries temporelles, contrôleautomatique de processus dynamiques
PsychologieLinguistique
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I. Wattiau / J. Akoka 41
Systèmes de décision de groupe
Définition :Le Groupware désigne l’ensemble des technologies et des méthodes de travail qui, par l’intermédiaire de la communication électronique, permettent le partage de l’information sur un support numérique à un groupe engagédans un travail en commun.
Objectif :Recherche d’une qualité de communication au sein de groupes de travail.En français : Collecticiel ou Synergiciel, ex : Lotus Notes
I. Wattiau / J. Akoka 42
Les outils du groupware
Communication Coordination CollaborationMessagerie électronique Agenda électronique Visio-conférence Courrier électronique Gestion de projets Vidéo-conférence Forum de discussion Réunion électronique
Edition conjointe
Mémorisation Automatisation du processus
Bases de documents Formulaires électroniquesBases d’informations partagées Bases de documents partagés
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I. Wattiau / J. Akoka 43
Raisonnement à base de casUne base de cas = problèmes déjà résolus avec la solutionRésoudre un nouveau problème = trouver le cas le plus proche dans la base de cas
fondé sur des similitudes entre cas
Adapter la solution du cas prochevaliderintégrer le nouveau cas dans la base
I. Wattiau / J. Akoka 44
Raisonnement à base de casCase-Based Reasoning (CBR)Difficultés :
décrire les casdéfinir une similitude entre cas
on a souvent plusieurs cas différemment similaires
adapter la solution du cas proche
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I. Wattiau / J. Akoka 45
Raisonnement à base de casApplications :
sélection de produits (par e-commerce)classification d’objets biologiques (éponges marines)planning de fabrication, de transportconfiguration de produits (par e-commerce)
Outils :ART*Enterprise, CASPIAN, CBR Design Explorer
I. Wattiau / J. Akoka 46
Le « data mining »Ensemble de techniques qui, en fouillant un ensemble de données structurées, permet de découvrir des informations à valeur ajoutée dans une forme interprétable facilementOutils
Alice (Isoft), Enterprise Miner (SAS), Clementine (SPSS)
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I. Wattiau / J. Akoka 47
Méthodes et algorithmes utilisés en Data Mining
• Fondés sur les Statistiques Descriptives• Nuées dynamiques et centres mobiles
• Algorithme ACP - Analyse en Composante Principale
• Algorithme ACI - Analyse en Composante Indépendante
• Fondés sur les Statistiques Décisionnelles• Théorie de la décision, arbres de décision
• Processus pour la décision • Modèles de Markov cachés, algorithme de Viterbi
I. Wattiau / J. Akoka 48
Utilisation des systèmes décisionnels
Pour piloter l’activitéPour améliorer la connaissance du client, du marchéPour imaginer de nouveaux servicesPour mettre une information à la disposition du client ou du fournisseur...
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I. Wattiau / J. Akoka 49
4. Les niveaux d ’utilisation du SI
I. Wattiau / J. Akoka 50
4. Les quatre niveaux d ’utilisation du SI
Individuel : bureautiqueGroupe : collecticielEntreprise : intra-organisationnelEntre entreprises : inter-organisationnel
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I. Wattiau / J. Akoka 51
4.1. L’intégration des systèmes d’information
Préoccupations des entreprisesCloisonnement des SIAccès partagé à l’informationIntégration des cultures, des pays, etc.Interfaçage vs intégrationERP Enterprise Resource Planning (PGI -Progiciels de Gestion Intégrée)
I. Wattiau / J. Akoka 52
Histoire de l’informatisation de l’entreprise
40% des coûts informatiques sont liés à des activités d’intégration de systèmes (Gartner)Gérer les flux inter-applicatifs (données et gestion des processus)
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
interface
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I. Wattiau / J. Akoka 53
Définition de l’intégrationEnsemble de :
méthodes, d’outils et de services qui concourent à faire communiquer des applications hétérogènes dans le cadre de l’entreprise
traditionnelle, répartie ou étendue
I. Wattiau / J. Akoka 54
Projet d’infrastructure d’intégration
??
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I. Wattiau / J. Akoka 55
Etendue de l’intégrationIntégration des applications de l’entrepriseIntégration des échanges inter-entreprisesIntégration des échanges avec le client
I. Wattiau / J. Akoka 56
Typologie des applications à intégrer
ApplicationsBatchTransactionnellesClient-serveurWebProgiciels
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I. Wattiau / J. Akoka 57
Architecture d’intégration type
EAI
Pare-feu
B2B
Clients
Partenaires
Fournisseurs
I. Wattiau / J. Akoka 58
L’infrastructure d’intégrationL’infrastructure d’intégration comprend trois niveaux :
Le transport et la connectivitéL’adaptation de l’informationL’automatisation des processus métiers
Chaque niveau peut être divisé en :ModélisationExécutionSupervision
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I. Wattiau / J. Akoka 59
Transport et connectivité
L’infrastructure d’intégration
Définitiondes
partenaires
Automatisation des processus
Exécution des processus
Adaptation de l’informationDéfinition
desrègles
Modélisationdes
processus
Transformation syntaxique et sémantique, routage et stockage
Adaptateurs applicatifs, bus de communication, SGBD, transfert
de fichiers, Internet, messagerie inter-applications
Supervisiondes
processus
Supervisiondes
échanges
SupervisionDu
transport
I. Wattiau / J. Akoka 60
ERP vs progiciels spécialisés
Recherche de l’optimum de chaque domaine et de la progressivité de mise en oeuvre
Recherche d’une couverture complète et des bénéfices de l’intégration
Ossature pérenne
SystèmeD’information
Minimiser la dépendance vis-à-vis d’un éditeur
Culture identique à l’ensemble des utilisateurs
Ergonomie uniqueCompétence et savoir-
faire unique
Ressource
Progicielsspécialisés
ERP unique
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I. Wattiau / J. Akoka 61
ERP – bénéfices de productivité administrative
Suppression des tâches de réconciliation, corrections, consolidationsOptimisation des
coûts de maintenance du SIOptimisation des
coûts de fonctionnements des services informatiques
Contrôles de cohérence renforcés à la sourceRéférentiels
harmonisés à l’intérieur d’un périmètre analytique ou organisationnelIntégration
fonctionnelle entre domaines
Utilisateur de l’information différent de celui qui la saisitRéférentiels
différentsInterfaces peu
satisfaisantes et coûteusesActivités de
réconciliation peu valorisantes et coûteuses
SI construit par domaineSI construit par
ex-société juridiqueFonctionnalités
non couvertes
Bénéfices attendusSolutions apportées par l’ERP
Leviers d’amélioration
Situation existante
I. Wattiau / J. Akoka 62
ERP – bénéfices de productivité opérationnelle
Optimisation des fonds propresAugmentation
des ventesAugmentation
des revenus et de la marge
Coûts évités dus à la non-qualitéIntroduction de
nouvelles fonctionnalitésMaîtrise de
l’ensemble des processusCentralisation et
relocalisation de fonctionModification des
processus de travail
Gestion de l’information permettant des décisions opérationnelles plus efficientesRéorganisation
permettant d’accroître l’avantage concurrentiel de l’entreprise
SI construit par domaineSI construit par
ex-société juridiqueFonctionnalités
non couvertes
Bénéfices attendus
Solutions apportées par l’ERP
Leviers d’amélioration
Situation existante
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I. Wattiau / J. Akoka 63
ERP – Valorisation des bénéfices
% d’augmentation des ventes % d’optimisation des stocksOptimisation des dépenses liées aux achats quand les
achats sont déterminants dans le coût de produitOrdre de grandeur : 0.5 à 5% du CA
Optimisation des fonctions
Réduction des coûts de personnel (services informatiques et utilisateurs)
Ordre de grandeur à niveau de service constant : 0.1 à 0.5% du CA en cas de centralisation des services informatiques, notamment dans un contexte international
Optimisation des coûts de maintenance du SI
Economie des ressources informatiques par centra-lisation, harmonisation des techniques
Réduction des coûts de personnelOrdre de grandeur : 0.5% du CA
Economie de temps de traitement sur des tâches automatisables
Suppression des tâches de réconciliation, correction, consolidation
Valorisation :CA de 1 à 2 Milliards €, 5 à 10000 persBénéfices quantifiables
I. Wattiau / J. Akoka 64
Cercle vertueux d’une information intégrée
UnicitéRéférentiel unique
Contrôles en temps réelMoins d’informations à contrôler
Visibilité et traçabilité
Harmonisation des processusNouvelles fonctionnalitésRéorganisationAptitude à évoluerRéduction du nombre de systèmes hétérogènes
Suppression des re-saisiesSuppression des réconciliations
Utilisation réduite du papierDisponibilité des informations
Tableaux de bord
Saisie des informations à la sourceMise à jour en temps réelDisponibilité immédiateRecherche multicritère
Productivité
Fiabil
ité
Développement
Réactivi
té
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Risques liés aux ERPArrêtRe-dimensionnementBalkanisationDérapage des coûts et des délais
I. Wattiau / J. Akoka 66
Domaines / sous-domaines
Comptabilité généraleComptabilité clientsComptabilité fournisseursImmobilisationTrésorerieComptabilité analytiqueContrôle de gestionBudget
FINANCEPlan industriel et commercialPlan directeur de productionPlanning des besoins matériauxCalcul des besoins netRessources humainesQualitéGestion de projet
PLANIFICATION DE LA PRODUCTION
ApprovisionnementOrdre de fabricationSuivi de fabricationContrôle de disponibilitéEntrée/sortie stockGestion de capacité
FABRICATION ACHATS/APPROSourcingEvaluationAppel d’offresContratDACDE
GESTION DES STOCKSContrôle de disponibilitéContrôle qualitéGestion des réservationsPréparationConsignationEmballageInventaire
RECEPTIONVENTESEXPEDITIONFACTURATION….
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I. Wattiau / J. Akoka 67
Familles de coûts
Support et hot-lineMaintenance applicativeMaintien en condition opérationnelleDiffusion et mise à niveau des versions
Mise en œuvre des sous-projets : jours-homme par profil et par phase et taux journalierFormation des utilisateurs et de l’équipe projet, frais de déplacement, secrétariat, logistique, traductionCoûts des intérimaires
Ressources humaines (internes et externes)
Maintenance : % du coût d’acquisition
Nombre de serveurs, de modules et d’utilisateurs
Licence ERP
Redevance (réseau externe)Amortissement, évolution
Câblages, concentrateurs, armoires de brassage, prises
Réseau LAN
Maintenance : % du coût d’acquisitionAmortissement/location
Poste de travail fixe et portableImprimantes
Equipements techniques décentralisés
Maintenance : % du coût d’acquisitionAmortissement/locationRedevances
Serveurs pour le projet ERP, pour la production et pour la bureautiqueSystèmes d’exploitation, logiciels d’exploitation, SGBD, Réseau WAN
Equipements techniques centralisés
Coût récurrentCoût initialRessources
I. Wattiau / J. Akoka 68
Le marché des ERP en France
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I. Wattiau / J. Akoka 69
Les SSII acteurs ERP en France
I. Wattiau / J. Akoka 70
4.2. La gestion des connaissances
Préoccupations des entreprisesCapitaliser sur l’expérienceRetrouver les phases de la conception d’un produitFaciliter la réutilisation des tests et simulations antérieures
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I. Wattiau / J. Akoka 71
4.2. La gestion des connaissances
Connaissance : Croyance vraie justifiéeTacite, centrée sur l’action, fondée sur des règles, individuelle et en constante évolutionCapacité cognitive individuelle et capacité d’apprentissage individuel et collectif
Évolution des SIDonnée (1960-70) -> Information (1980-90) -> Connaissance (2000-10)
I. Wattiau / J. Akoka 72
4.3. La gestion des connaissances
Gestion de la connaissance :Processus actif de gestion et d’optimisation systématique de la connaissance d’une organisation
Vers une économie fondée sur la connaissance :
Augmentation de la part des emplois en connaissanceTendance longue, facilitée par les NTICDéterminant du succès de l’entreprise : être capable de produire, utiliser et gérer sa connaissance
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I. Wattiau / J. Akoka 73
Typologie des connaissances de l’entreprise
Savoir de l’entrepriseConnaissances explicites, formalisées et spécialiséesDonnées, procédures, etc.Hétérogènes, incomplètes ou redondantes, n’expriment pas le « non dit »
Savoir-faire de l’entrepriseConnaissances tacites, explicitables ou non, adaptativesTalents, habiletés, « secrets » de métiers,Acquises par la pratique, transmises par apprentissage
I. Wattiau / J. Akoka 74
Taxonomie des connaissances
Transfert difficile Transfert facile
Tacite ExpliciteNon enseignable EnseignableNon articulée ArticuléeNon observable en action Observable en actionComplexe simpleÉlément d’un système indépendant
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I. Wattiau / J. Akoka 75
Management stratégique des connaissances
IdentifierLocaliser
CaractériserEstimer
HiérarchiserEvaluer
Mettre à jourEnrichir
AccéderDiffuserExploiterCombiner
Créer
AcquérirModéliserFormaliserConserver
CONNAISSANCESCRUCIALES
REPERER
ACTUALISER
VALORISER
PRESERVER
I. Wattiau / J. Akoka 76
Problèmes liés à la connaissance tacite
Se prête mal à :l’échange, l’apprentissage, le stockage, la diffusion et au classement
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I. Wattiau / J. Akoka 77
Codification des connaissancesConversion d’une connaissance tacite en connaissance expliciteBénéfices :
Réduit les coûts et améliore la fiabilité de stockageLa connaissance devient transférablePermet l’externalisation
I. Wattiau / J. Akoka 78
Limites de la codificationCompétences en ingénieurs de la connaissanceCodification = conversion partielleNécessite un effort de modélisationEt un support technologique (langage) adéquat
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I. Wattiau / J. Akoka 79
La gestion de la connaissanceManagement opérationnelSpécialistes fonctionnels
Gestion des R.H.
Equipes dirigeantesEquipes projet
Communautés virtuelles
Capitalisation des connaissancesGestion des compétencesFormation-apprentissage
InnovationMobilisation de l’intelligence collective et créativitéTravail collaboratif
Maîtrises d’ouvrageDSI
Nouveaux métiers« informationnels »
Applications « métiers »Gestion documentaire
PublicationInfrastructures de
communication
Intelligence économiqueOutils de représentation
et d’analyseData Mining
Manage-ment deshommes
Gestionde l’infor-
mationGestion des connais-
sances existantesCréation de connais-
sances nouvelles
I. Wattiau / J. Akoka 80
La gestion des connaissances : comportements non-naturels
dans l’organisationPartage :
Mettre ses réflexions (avantage concurrentiel personnel) à la disposition de tous
EngagementS’engager régulièrement dans l’action
AméliorationSynthétiser de nouvelles idées constamment et améliorer les idées d’hier
UsageReconnaître – tacitement- que les connaissances des autres peuvent être meilleures que les siennes
CoopérationConstruire sur les idées des autres
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I. Wattiau / J. Akoka 81
Les outils de la gestion des connaissances
Systèmes de soutien du travail de collaboration
CollecticielIntranet
Systèmes de bureautiqueTraitement de texteEditiqueImagerie et publication webCalendriers électroniquesBases de données sur micro
Systèmes d’Intelligence ArtificielleSystèmes experts
Réseaux neuronauxLogique floue
Algorithmes génétiquesAgents intelligents
Systèmes pour le travail intellectuelCAOSystèmes de visualisation(réalité virtuelle)Stations de travail pour financiers
Recueil
Et codification
Mise en
commun Diffusion
Création
I. Wattiau / J. Akoka 82
Processus de déploiement0 Objectif (accompagner le changement culturel technologique et méthodologique)1 Délimitation du public concerné, critères et priorités2 Informations, publicité, sensibilisation 3 Bonnes pratiques
Capitalisation des retours d’expérience (HowTo, whitePapers, ...)Création de communauté ou inscription à une communauté Recherche et diffusion des bonnes pratiques
4 Formations5 Ressources dédiées (KM correspondant local, support local, coordinateur, …)6 Mesures de performances (login time/hits, nombre de doc. référencés/mois…)7 Mesures incitatives (contraignantes, valorisantes, concours)8 Calendrier
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I. Wattiau / J. Akoka 83
4.3. L’ouverture du système d’information
Préoccupations des entreprisesOuverture du SI (Extranet et autre)Traçage chez le clientB2B et places de marchéEchange de Données Informatisées (EDI)
I. Wattiau / J. Akoka 84
4.3. L’ouverture du système d’information
L’ouverture du système d’informationRendue possible par :
Internet Les réseaux
Permet :Le commerce électronique :
B2B, B2C, etc.Internet ou EDI
La communication électronique (relation client, etc.)
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Commerce électronique
FinanceProduction
AdministrationAchats Ventes
Intranet
Argent
Personnes
Fournisseur
B2B
Institutions financières
Autorités publiques
ClientB2CB2B
Internet
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Structure du commerce électronique
Biens matériels Grossistes (B2B)Détaillants (B2C)
Services financiers (B2B, B2C)Banque, investissement, assurance
LoisirsJeux (B2C)Voyages (B2C, B2B)
Services d’information (B2B, B2C)Publications (livres, infos)Crédit, finances, investissements
Services personnels (B2B, B2C)
Formation, santé et soins
CommunautésAssociations, clubs sportifs, etc. (B2B, B2C)
Etat (A2B, A2C)Vote, taxes, etc.
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I. Wattiau / J. Akoka 87
EDI vs commerce électronique
FlexibleRigide
Niveau de sécurité variableHaut niveau de sécurité
Transactions de faible valeurTransactions d’une valeurimportante
Volume de transactions élevéFaible volume de transactions
Communauté d’échange ouverte
Communauté d’échange fermée
Relations de partenariat ad hocRelations de partenariat prédéterminées
Commerce électronique
EDI traditionnel
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Avantages des catalogues électroniques pour les fournisseurs
Permet une information plus riche sur le produitRenforce la relation avec les clients existantsRéduit la taille des équipes de ventesPermet l’accès à de nouveaux clientsDiminue le temps de traitement de la commandePermet une meilleure traçabilité de la commande
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Avantages des catalogues électroniques pour les acheteurs
Réduit le coût des produits achetésProcure une information plus riche sur les produitsDiminue le temps de traitement de la commandeDiminue le nombre d’erreursSimplifie le processus d’identificationMinimise les achats chez les fournisseurs non approuvésDiminue la taille des équipes d’achatPermet une meilleure traçabilité de la commandePermet un accès à un plus grand nombre de produits, de fournisseurs et facilite la comparaison
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Les générations d’Internet
Courrier électroniqueAccès distant (telnet)
Transfert de fichiers (ftp)
Recherche et publication d’information
Applications coopératives
et partage de contenu
Pionniers
Leaders
Grand publicAccès
Réseau
AccèsInternet
Commerceélectronique
1970 1980 1990 2000
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Les freins au commerce électronique
Sécurité des paiements
23%
Confidentialité des transactions
19%
Fiabilité de l'information
17%
Manque de protection légale des achats
10%
Manque de confiance en la transaction
10%
Pas de clarté sur les problèmes légaux
8%
Plateforme de régulation
8%
Manque de culture nationale appropriée
5%
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Pénétration du commerce électronique
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Modèles d’entreprises créées sur Internet
Magasin virtuelConcentrateur de marchéCourtier en informationCourtier électroniqueCentre de transaction électroniqueEnchères inverséesLivraison de produits numériquesFournisseur de contenuFournisseur de services en ligne
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Place de marché électronique
Système d’information inter-organisationnel Sécurisé,Utilisé par les acteurs pour réaliser les transactionsLieu d’échanges d’informations sur l’offre de produitsPermet de diminuer les coûts et les délaisFavorise le travail collaboratifNécessite parfois d’interconnecter les SIRationalise les processus d’optimisation de stocks, de la logistique, du design collaboratif
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2 types de places de marchéVerticales : organisées autour d’un secteur d’activité, favorisant l’échange de matières et de flux d’information destinés à la productionHorizontales : concernent les domaines transversaux, multisectoriels (fournitures de bureaux, pièces de rechange, etc.)
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3 formules de places de marché
Neutres, organisées par un tiers indépendant du secteur (eSteel, PaperExchange)Privées, initiées par un seul acteur (Wallmart, Dell)Consortium regroupant plusieurs concurrents d’un même secteur (Covisint, CPGMarket, Transora)
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I. Wattiau / J. Akoka 97
Plates-formes e-business
22%Autres
1%Sybase
3%Iona
9%Sun
31%IBM (Websphere)34%BEA (Weblogic)
Source : Dataquest mai 2002
I. Wattiau / J. Akoka 98
5. Les quatre dimensions du SI
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I. Wattiau / J. Akoka 99
Le SI est organisé autour de :Un ensemble de technologies (matériel et logiciel) insérées dans une organisation au service d’utilisateurssous contraintes budgétaires
Composantetechnologique
Composante organisationnelle
Composante humaine Composante financière
SI
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La dimension technologiqueArchitecture centralisée
mainframe / terminaux
Architecture client/serveurdeux ordinateurs se répartissent les tâches de :
gestion des donnéeslogique applicativeprésentation des résultats
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I. Wattiau / J. Akoka 101
La dimension technologiqueArchitecture 3 tiers
serveur de donnéesserveur d ’applicationsun poste client (« léger ») : navigateur web
Architecture n tiersrépartition de la logique applicative sur plusieurs serveurs
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Centralisation vs décentralisationCentralisation
Améliore contrôle et sécuritéPermet des économies d’échelleEquipes plus concentrées et plus homogènes en meilleure synergieFacilite la standardisation
DécentralisationApporte plus de flexibilitéPlus proche des besoins des utilisateursAméliore la disponibilité globale
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La dimension organisationnelleUne organisation
des règles de gestiondes procédures
Ré-ingénierie de processus Business Process Reengineering
La Direction des Systèmes d’Informationau service de l’ensemble des autres directionssous la responsabilité de la Direction Généraletendance :
séparation Maîtrise d’ouvrage / Maîtrise d’œuvre (MOA/MOE)
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La dimension humaineDes utilisateurs
expriment des besoinspartenaires, clientsformation
Des informaticienscompétence en évolution rapidecombiner des connaissances techniques et des connaissances métiersdifficultés d ’ajustement offre-demande sur le marché de l ’emploiproblèmes de G.R.H. au sein de l ’entreprise
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I. Wattiau / J. Akoka 105
La dimension financière
But d'un système d'information ::recherche et élaboration de l'information
nécessaire à l'atteinte des objectifs.
Amélioration =
résultats obtenus
moyens mis en œuvre
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La dimension financière
Les résultats obtenus peuvent être
financiersdiminution des coûts (liée à l'automatisation des traitements par exemple),accroissement d'activité (par amélioration du service client parexemple),impact sur la trésorerie par accélération de la rotation des actifs.
politiquesvariation (augmentation ou diminution) de la flexibilitéqualité du service au clientvariation de la satisfaction (augmentation ou diminution)des salariés au travail
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La dimension financière
Les moyens mis en œuvreHumains : coût des personnes X temps passé.Techniques : matériel ou services.
coût du matériel + formation.Acquisitions externes :
- études de marchés.- adhésion à des banques de données.- achat de logiciel.
…
I. Wattiau / J. Akoka 108
Les coûts informatiques
Ratio =budget informatique
chiffre d’affaires
En moyenne :1 à 2% dans le secteur industriel4 à 5% dans les services
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I. Wattiau / J. Akoka 109
Structure du budget informatique
répartition entre matériel, personnel et autres :
Budget matériel
IndustrieIndustrie
34 %
ServicesServices
31 %
Budget personnel 50 % 55 %
Fournitures, locaux et services externes 16 % 14 %
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Coûts du SIdifficiles à évaluer.pour certains ce sont les frais généraux puisque c'est l'activité des grandes fonctions de l'entreprise de traiter et échanger l'informationRatio = frais généraux / chiffre d ’affaires
Fonctions administratives 5,58 %Fonctions commerciales 3,82 %Fonctions de production 5,44 %Frais généraux divers 4,43 %
Total frais généraux 18,83 %
=> budget significatif qu'il faut maîtriser car il représente entre1 et 20% du chiffre d'affaires.
Pourcentage par rapport au CAFrais généraux des fonctions
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Quelques problématiquesRefacturation interneLocation vs achat matérielExternalisation
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Externalisation
• Outsourcing = Externalisation = Infogérance• Transfert à un tiers qui s'engage sur des objectifs et qui
re-facture à l'entreprise :• des ressources informatiques• des fonctions informatiques
• des applications informatiques• des systèmes informatiques
• des activités de l'entreprise
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I. Wattiau / J. Akoka 113
Infogérance d ’exploitationLe facilities management
Gestion externe des ressources informatiques
• Ordinateur géré sur le site du client• Ordinateur géré sur le site SSII• Ordinateur partagé sur le site SSII
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Tierce Maintenance Applicative
Maintenance corrective
Maintenance évolutive
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Optimisation financièreAmélioration du ratio performances/coûts (20 à 30%)Transformer les coûts fixes en coûts variables (personnel)Maîtrise des coûts de production qui sont fixés par contrat pour un volume d'activité donnéMaîtrise des coûts d'études : gestion formelle des demandes de développementsRevente des actifs
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Recentrage sur le métier
Consacrer toutes ses ressources internes à son métier pour être le plus compétitif possible Réduire le temps consacré par le Directeur Général à l'informatiqueReclasser le personnel informatique
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I. Wattiau / J. Akoka 117
Partenariat avec une SSIIDisponibilité de réseaux performantsConnaissance des solutions du secteurRestaurer une bonne communications utilisateurs-informatiqueConseil sur l’évolution du SIBénéficier du marché de la SSII (relations fournisseurs)
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ConclusionComplexité du SI
Lié aux 4 dimensionsTransversalLié à la stratégie de l’entrepriseNb de technologies et taux de renouvellementDifficulté à atteindre un niveau de satisfaction globale