synthese lesechoscapegmini drh 2013 hd

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Conférence du 11 avril 2013 Comment le digital transforme le rôle des DRH dans l’entreprise ? Management/RH/Formation La transformation RH selon Capgemini Connaître le métier Maîtriser les solutions Optimiser l’urbanisation XAVIER COTE DE SOUX CAPGEMINI PATRICK HERENG TOTAL SA VALÉRIE MELLUL NEXITY RÉMI BOYER PSA PEUGEOTCITROEN CHARLESHENRI BESSEYRE DES HORTS GROUPE OBEA NICOLAS JACQMIN ALSTOM PHILIPPE LIGER ACCOR Compterendu de la conférence animée par Reynald Fléchaux. La digitalisation accélère la mutation des RH, mais leur permet d’être plus innovantes et productives. Elle offre aussi une réponse aux besoins d’instantanéité et une personnali sation plus aiguë de sa relation avec les salariés. Cela induit tout naturellement une nouvelle gouvernance entre la DRH et la DSI.

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Synthese Lesechoscapegmini Drh 2013 Hd

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  • Confrence du 11 avril 2013

    Comment le digital transforme le rle des DRH dans lentreprise ?

    Management/RH/Formation

    La transformation RH selon Capgemini

    Connatre le mtierMatriser les solutions

    Optimiser lurbanisation

    XAVIER COTE DE SOUX

    CAPGEMINI

    PATRICK HERENG

    TOTAL SAVALRIE MELLUL

    NEXITY

    RMI BOYER

    PSA PEUGEOT-CITROEN

    CHARLES-HENRI BESSEYRE DES HORTS

    GROUPE OBEA

    NICOLAS JACQMIN

    ALSTOM

    PHILIPPE LIGER

    ACCOR

    Compte-rendu de la confrence anime par Reynald Flchaux.

    La digitalisation acclre la mutation des RH, mais leur permet dtre plus innovantes et productives. Elle offre aussi une rponse aux besoins dinstantanit et une personnali-sation plus aigu de sa relation avec les salaris. Cela induit tout naturellement une nouvelle gouvernance entre la DRH et la DSI.

  • Cependant, ces outils ont atteint une certaine maturit. Ils fonctionnent et se dmocratisent dans lentreprise. Cette digitalisation massive est en fait, pour les RH, un vritable levier stra-tgique. Elle peut tre une vritable oppor-tunit pour innover et crer de la valeur, tout en rduisant les cots. Mais elle implique bien videmment une mutation du mtier RH, nces-VLWDQWFXULRVLWHWRXYHUWXUH7RXWHODGLIoFXOWGHcette mobilit intellectuelle, gographique et rela-tionnelle rside, pour lentreprise, dans la capacit instaurer une relation base sur linstantanit rpondre vite, tout moment, avec des infor-PDWLRQVoDEOHVqHWSHUVRQQDOLVHUSOXVoQHPHQWsa relation avec les salaris pilotage prcis

    des comptences, personnalisation du parcours professionnel.

    LE DIGITAL, ACCLRATEUR DE RHMais le digital donne nanmoins des ailes la fonction RH qui, grce aux technologies, se professionnalise. La rvolution digitale donne HQoQGHVPR\HQVODIRQFWLRQDYHFXQHYROXWLRQvers plus de diffrentiation entame Charles-Henri %HVVH\UH'HV+RUWV3URIHVVHXU$VVRFL+(&3DULVHW 6HQLRU $GYLVRU *URXSH2EHD 3RXU OXL RQ HVWSDVVGXlRQH WRPDQ\ DXPDQ\WRPDQ\z GXtop-down au bottom-up, avec beaucoup plus de participation des collaborateurs, des managers, des candidats, et avec une capacit saffranchir GHVIURQWLUHV,O\DXQIRUWHQMHXGHWUDQVIRUPD-tion culturelle : les entreprises, traditionnelle-ment marques par des cultures bureaucratiques gres par des rgles, fondamentalement claniques ou de culture familiale assez fermes, sont face cette rvolution digitale qui incarne louverture complte, la culture de linnova-

    Comment le digital transforme le rle des DRH dans lentreprise ?Lensemble de la fonction RH est confronte une dferlante de technologies qui la fascine et linquite. Rseaux sociaux, BYOD, internet des objets, mobilit, golocalisation, ralit augmente sont dsormais autant de technologies auxquelles il faut sadapter, tant leurs usages deviennent courants.

    Les outils digitaux, cest de la vitamine pure pour la fonction RH qui permet dtre innovante.

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    l3RXU OHV5+ OHVFRGHVRQWFKDQJ2QHVWSDVVGXQHDXWRULWde statut une autorit de comptences, mais aussi une autorit GDQLPDWLRQzHQWDPH3KLOLSSH/LJHU'LUHFWHXU0DUNHWLQJGHV UHV-VRXUFHVKXPDLQHVFKH]$FFRU3XUHSOD\HUKWHOLHUDYHFVHVKWHOV GDQVSD\V VRLW SOXV GHFKDPEUHV OH*URXSH$FFRU D XQH JUDQGH SUREOPDWLTXH 5+ GRQQHU OHVPR\HQV ODVRFLWGHSRXUVXLYUHVRQH[SDQVLRQ/HGoPHWWUHHQSODFHXQHpolitique RH homogne dans le monde entier, tout en gardant les VSFLoFLWV FXOWXUHOOHV SURSUHV FKDTXH SD\V /D GLUHFWLRQ 5+ Ddonc mis en place une stratgie multi-canal, avec une multiplicit GRXWLOVFRPSOPHQWDLUHVTXL UHSRVHQWDXMRXUGKXLVXUGHX[SLOLHUVdigitaux : une page web vitrine expliquant les valeurs de la marque

    HPSOR\HXUXQVLWHGHUHFUXWHPHQW$FFRU-RETXLSURSRVHSUVGH20 000 offres demploi par an en douze langues, et une prsence GHSOXVHQSOXVIRUWHVXUOHVUVHDX[VRFLDX[GRQW/LQNHGLQl1RXV\VRPPHVDXMRXUGKXLPDLVQRXVQDYRQVSDVYRXOX\DOOHUWRXWGHVXLWHHQVHSUFLSLWDQW&HVWXQHHUUHXUG\DOOHUSRXU\DOOHUSRXUMXVWHWUHGDQV ODPRGHGDXWDQWTXHWRXWHVFHVQRXYHOOHV WHFK-nologies appellent une animation permanente. Il faut du contenu, XQHVWUDWJLHWUHWUVRXYHUWV3RXU\SDUYHQLUQRXVWUDYDLOORQVDXTXRWLGLHQPDLQGDQVODPDLQDYHFO,7HWDYHFOHVMHXQHVJQUDWLRQVGHPRQTXLSHzVRXOLJQH3KLOLSSH/LJHU3RXUOXLLOHVWHVVHQWLHOGHbtir une architecture prenne pour faire les bonnes choses avec les bonnes personnes et au bon moment.

    GROUPE ACCORIL FAUT METTRE EN PLACE UNE ARCHITECTURE POUR FAIRE LES BONNES CHOSES AU BON MOMENT

    Confrence du 11 avril 2013Management/RH/Formation

    /HV'5+GRLYHQWsapproprier les nouveaux outils GLJLWDX[DoQGHQHpas les subir. XAVIER COTE DE SOUX&$3*(0,1,

    VALRIE MELLUL1(;,7

  • tion, du changement et de la remise en cause. 'DQV FH FRQWH[WH OH YULWDEOH FKDOOHQJH UHVWHde savoir prserver la marque de lentreprise. l1RQ VHXOHPHQW OD PDUTXH PDLV VXUWRXW OD U-SXWDWLRQ (OOH HVW GLIoFLOH FRQVWUXLUH PDLV WUVfacile dtruire met en garde Charles-Henri %HVVH\UH 3RXU OHV 5+ OH GLJLWDO HVW DXVVL V\QR-Q\PH GDFFOUDWLRQ lMDSSHOOH FHOD GH OD YLWD-mine pure pour la fonction RH. Le digital peut nous permettre dtre aussi professionnels que dans les autres mtiers de lentreprise constate 9DOULH0HOXOO'LUHFWHXUGHVUHVVRXUFHVKXPDLQHVFKH]1H[LW\%LHQHQWHQGX OHZHE HQ IDLVDQWsortir lentreprise des sentiers battus, peut aussi DXJPHQWHUOHVULVTXHV0DLVlOH'5+GHYLHQWDXVVLun manager de risques conclut Charles-Henri %HVVH\UH'HV+RUWV

    LA RGLE DES CINQ EXIGENCESLe professeur rappelle par ailleurs que cette rvo-lution digitale impose la fonction RH cinq exi-gences : le savoir, la transparence, linstantanit, la communaut, la personnalisation. Ces cinq exigences, les collaborateurs nous les renvoient constamment. Cela devrait presque tre la colonne vertbrale de notre plan de route RH a comment 9DOULH 0HOXOO 3RXU HOOH FRQWLQXHU LPDJLQHUdes plans de formation en comptant le nombre GH SDUWLFLSDQWV HW GH MRXUV HQ SUVHQWLHO HVW XQH DEVXUGLW/HV5+GRLYHQWDXMRXUGKXLWUHFXULHX[et innovants pour aller chercher les dispositifs, pour rendre accessible le savoir, et changer le rapport lapprentissage. Le digital permet aussi aux RH de se prparer larrive des nouvelles gnrations qui vont bouleverser les pratiques danimation dquipe et de gestion du collectif. $XoQDO OH[SHUWLVH5+DXFRHXUGXPWLHU UHVWHoQDOHPHQWLGHQWLTXHPDLVVHQULFKLWGXQLPSUDWLIde temps rel, dinstantanit, et de personnalisa-tion. Quelle doit sappliquer elle-mme avant de linstaurer dans lentreprise. Les RH doivent, comme les autres mtiers, sadapter au digital. Cest une culture qui nest pas forcment inne. 'HPDQLUH JQUDOH OH VXMHW QH YD SDV SRXYRLUtre trait correctement dans lentreprise sil nest pas pris en charge par les RH, qui doivent aussi accompagner les salaris dans ce changement GHFXOWXUHzVRXOLJQH3DWULFN+HUHQJ'LUHFWHXUGHVV\VWPHV GLQIRUPDWLRQV FKH] 7RWDO 6$ &HSHQ-GDQWOHV'5+QHVRQWoQDOHPHQWSDVGHVPDXYDLVlves de la classe digitale. Sils ne sont pas tous en avance, ils ne sont pas vritablement en retard non plus.

    LE COLLABORATEUR AU CENTRE DE LA STRATGIE/HVDODULQHGRLWSDVWUHOHJUDQGRXEOLGXV\V-WPHELHQDXFRQWUDLUHl1RWUHUOHHVWGLQWJUHUde plus en plus dans les processus RH un monde qui va leur ressembler, en terme dergonomie ou GDFFVDXV\VWPH2QGRLWUHWURXYHUOHQLYHDXGHdigitalisation que les salaris ont en dehors de la YLHGHOHQWUHSULVHzVRXOLJQH5PL%R\HU'LUHFWHXUdu dveloppement des ressources humaines chez 36$3HXJHRW&LWURHQ 5HPHWWUH OHV 5+ HQ IURQWFHVW VLQWUHVVHUDXFOLHQWWUH WUDQVSDUHQWo[HUles limites entre la vie prive et la vie profession-nelle. La RH doit aussi se poser la question de son QRXYHDX UOH YLV YLV GHV FROODERUDWHXUV l&HVWXQH YUDLH TXHVWLRQ +LHU OHV '5+ WDLHQW SOXWWGHV JHVWLRQQDLUHV GH SRVWHV $XMRXUGKXL OHV 5+deviennent des dveloppeurs dindividus, des ges-tionnaires de talents. Elle doit se poser la question GHVDYDOHXUDMRXWHVXU OHVLQGLYLGXVzDVVXUH1L-FRODV-DFTPLQ'LUHFWHXUGHVUHVVRXUFHVKXPDLQHVSRXU$OVWRP)UDQFH6LOGRLWQHUHVWHUTXXQHVHXOHIRQFWLRQDX'5+FHVWEHOHWELHQ ODJHVWLRQGHVhommes.

    LE CHALLENGE DE LA GESTION DES COMMUNAUTS/XQ GHV QRXYHDX[ GoV 5+ UHVWH OH GYHORSSH-ment du collaboratif. Encore une fois, le digital GRQQHOHVPR\HQVGHURXYULU OHVSDFHDX[FROOD-borateurs, et le remettre au coeur de son entre-prise. Quand une entreprise donne la possibilit dcouter ses collaborateurs, de leur proposer de SDUWLFLSHUODFRQVWUXFWLRQGHVSURMHWVHWGHGRQ-QHU OHXUDYLV VXU OHVSODQVGDFWLRQVGSOR\V OHVcommunauts peuvent nous permettre davan-cer plus vite constate Valrie Melull. Les rseaux sociaux dentreprise font partie de ces outils ca-SDEOHVGHUHFXHLOOLURXGHPHWWUHMRXUOHVFRPS-tences, et de crer des communauts. Cependant, LQVLVWH1LFRODV-DFTPLQlLOQHIDXWSDVUHPSODFHUFHTXLH[LVWHGMFRPPHOHVUVHDX[VRFLDX[WHOVTXH /LQNHGLQ &HOD QHPDUFKHUD SDV 3DU FRQWUHmettre en place des plate-formes collaboratives

    1RWUHUOHHVWdintgrer de plus

    en plus dans les processus RH un

    monde qui va leur ressembler, et quils

    connaissent en dehors de la vie de

    lentreprise. RMI BOYER

    36$3(8*(27&,752(1

    NICOLAS JACQMIN $/6720

    +LHUOHV'5+WDLHQWSOXWWGHVJHVWLRQQDLUHVGe SRVWHV$XMRXUGKXLOHV5+GHYLHQQHQWGHV

    dveloppeurs dindividus, des gestionnaires de talents.

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  • sur des thmes est une bonne voie suivre. Mais cela suppose un investissement fort des collabo-rateurs, et bouleverse le mode de fonctionnement manageurial. Certains leaders sur les rseaux so-ciaux ne sont pas -le plus souvent -les managers H[SOLTXH3DWULFN+HUHQJ/HFROODERUDWLIERXOHYHUVHDXVVL OHV pX[ GLQIRUPDWLRQ GDQV OHQWUHSULVH /HVRH doivent donc aussi faire laccompagnement ncessaire pour aider le middle management trouver sa place dans ce nouveau monde.

    LE DSI ET LE DRH MAIN DANS LA MAINl0RQ Go HVW GH WUDYDLOOHU OH SOXV WURLWHPHQWSRVVLEOH DYHF OH'6, DoQTXLOPHGRQQH OHPHLO-leur outil pour mes besoins, et qui dure dans le WHPSVz UVXPH 5PL %R\HU GH 36$ 3HXJHRW &LWURQ &H ELQPH '5+'6, HVW HQ HIIHW LQGLV-pensable pour que les RH ne ratent pas leur virage vers le digital. Mais cela ne va pas sans un effort important. Il faut un peu de temps pour que les RH se mettent daccord avec le SI. Mais cest essentiel dans lharmonisation des processus DMRXWH3DWULFN+HUHQJ 3RXU 9DOULH0LOXOO OH SOXVdur est de savoir o lon va, et surtout de savoir OHGoQLUSRXUTXHOHVGHX[UXVVLVVHQWVHFRP-

    SUHQGUHl/HV5+QHVDYHQWSDVWRXMRXUVH[SULPHUOHXUVEHVRLQVLOVSDUOHQWHQMDUJRQ,OVGRLYHQWDXVVLavoir une curiosit sur le monde du SI, des tech-nologies et apprendre construire une architec-WXUHGHSURMHWVGHV\VWPHVGLQIRUPDWLRQTXHOOHest la cartographie fonctionnelle ? Quel est le plan ORJLTXHGHGSORLHPHQWVXUDQVDQVSRXUTXHOD'6,VRLWODLVHHWSXLVVHQRXVUSRQGUHFRUUHF-WHPHQW"l3RXUPRLSDVXQDSSHOGRIIUHQHGRLWtre fait lun sans lautre. Les deux mondes qui traditionnellement sopposaient doivent travailler ensemble et partager un schma directeur SI/RH commun conclut-elle. Faut-il crer un nouveau PWLHU"l&KH]$OVWRPFHWWHIRQFWLRQH[LVWHGMon a un SIRH, qui fait un double reporting la fois OD5+HWOD'6,zH[SOLTXH1LFRODV-DFTPLQ5PL%R\HUHVWDXVVLFRQYDLQFXTXHFHVWXQHQFHVVLW DXMRXUGKXL l,O IDXW SHUPHWWUH GHV SDVVHUHOOHVHQWUHOH6,HWOD5+HWYLFHHWYHUVDzDMRXWHWLO

    4XRLTXLOHQVRLWOD'6,HWOD5+SRXUURQWDXVVLterme trouver des leviers communs pour apporter HQFRUH SOXV GH YDOHXU OHQWUHSULVH2Q SDUOH GH%LJ'DWDRXGDQDO\WLTXHl/HV0DWKVGDQVOHV5+cela peut nous permettre de valoriser lnorme YROXPH GLQIRUPDWLRQ VWRFNHV GDQV OHQWUHSULVHHWDSSRUWHUGHQRXYHOOHV LGHVDX['5+zFRQFOXW3DWULFN+HUHQJ

    PHILIPPE LIGER $&&253RXUOHV5+OHVFRGHVRQWFKDQJ2QHVWSDVVGXQH autorit de statut, une autorit de comptences, mais aussi une autorit danimation.

    LE DIALOGUE ET LA GOUVERNANCE ENTRE DSI ET DRH EST INDISPENSABLEXAVIER COTE DE SOUX, DIRECTEUR COMMERCIAL DE LA DIVISION SERVICES DE CAPGEMINI/HVJUDQGVSULQFLSHVGXPWLHUGH'5+QRQWSDV IRQGDPHQWDOHPHQWFKDQJ0DLV OHV'5+GRLYHQWVDSSURSULHUOHVQRXYHDX[RXWLOVGLJLWDX[DoQGHQHSDVOHVVXELU1RWUHH[SULHQFHHQLQWHUQHQRXVDEHDXFRXSDSSULVFHVXMHW1RXVDYRQVWHVWSOXVLHXUVLGHVHWRQDSXYRLUDSSDUDWUHGHVGULYHV,OHVWGRQFXWLOHGH[SULPHQWHUSRXUYLWHUGHWRPEHUGDQVFHUWDLQVSLJHV'DQVFHWWHWUDQVIRUPDWLRQGLJL-WDOHOHGLDORJXHHWODJRXYHUQDQFHHQWUH'5+HW'6,HVWHQWRXVOHVFDVLQGLVSHQVDEOH2QREVHUYHGHX[W\SHVGHQWUHSULVHVFHOOHVTXLFRQGXLVHQWXQHFRQFHUWDWLRQHQDPRQWFHTXLDPQHXQGLDORJXHSRVLWLIHQWUHOD'6,HWOHV'5+HWFHOOHVTXLRQWSHXWWUHPRLQVGHPR\HQVRXVRQWGHWDLOOHSOXVIDLEOHHWROH'5+DSSURFKSDUOHV GLWHXUVHWOHVRIIUHXUVWHQWHGHVDIIUDQFKLUGHOD'6,&HW\SHGHQWUHSULVHULVTXHGHQHSDVIDLUHOHVERQVFKRL[VHXOH&DUVLODUpH[LRQQDSDVHXOLHXRQSHXWFRXULUODFDWDVWURSKH/H'5+QHSHXWSDVUDLVRQQHUGDQVOLQVWDQWHWGRLWDYRLUXQHYLVLRQGHWUDMHFWRLUH,OIDXWWURXYHUOTXLOLEUHHQWUHOH'6,HWOH'5+SRXUTXHOHVGHX[SUHQQHQWSDUWODUpH[LRQ

    Confrence du 11 avril 2013Management/RH/Formation

    La digitalisation ne va pas pouvoir tre

    traite correcte-ment dans lentre-prise, sil nest pas pris en charge par

    les RH.PATRICK HERENG

    727$/6$

    La rvolution digitale est en

    train de donner de JUDQGVPR\HQVOD

    fonction RH.CHARLES-HENRI

    BESSEYRE DES HORTS *5283(2%($