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Le MUST pour une carrière de haut vol Septembre 2014 Supplément GRATUIT Dossier réalisé par Faire le bon choix Se tourner vers l’international 3 ème Etudes & Formations post-universitaires cycle

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Supplément IPM du 13 septembre

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Le MUSTpour une carrièrede haut vol

Septembre2014

SupplémentGRATUIT

Dossier réalisé par

Faire le bon choix

Se tourner vers l’international

3ème

Etudes & Formations post-universitairescycle

Dossier 3eme cycle 2014 (16 pages) 235x335.indd 1 11/09/2014 14:30:08

Page 2: Suprgp 20140913 suprgp1 full

� lms, concerts, theatre près de chez vous

cours de néerlandais, stages, conversation et occasions de pratique

activités pour adultes et enfants et vie associative

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‘de Rand’, Kaasmarkt 75, 1780 Wemmel T. 02 456 97 80 - [email protected]

Frans-374op274.indd 1 11/09/2014 14:01:05

Masters spécialisés, MBA, formations continues… Malgré leurs différences, tous ces diplômes s'appuient sur une même philosophie : l'adaptation des étudiants aux réalités de l'entreprise et au développement continuel des compétences professionnelles. Entamer un troisième cycle, c’est établir une cohérence entre des études et un projet professionnel. Aujourd’hui, afin de répondre à tous les besoins, les universités et instituts proposent une offre très diversifiée.

De plus en plus indispensable, le troisième cycle permet d’améliorer l’intégra-tion professionnelle des jeunes diplômés et ouvre de nombreuses portes, no-tamment vers une carrière internationale. Mais entreprendre un troisième cycle ne s’improvise pas. Pour mettre toutes les chances de son côté, le choix d’études doit être mûrement réfléchi. Vous devrez non seulement préparer votre projet professionnel mais également vous poser les bonnes questions afin de connaître vos besoins réels et vos sources de motivation.

Quelles sont vos compétences actuelles ? Que savez-vous faire ? Quels sont vos points forts et vos faiblesses ? Il est utile de dresser un bilan des compétences acquises au cours de votre parcours scolaire mais aussi de tenir compte des stages effectués et de vos éventuelles expériences professionnelles.

Cette réflexion vous permettra de mieux vous connaître, de construire une syn-thèse de votre passé afin de mieux appréhender votre avenir professionnel.

Vous envisagez d’orienter votre carrière professionnelle vers un domaine précis, vous souhaitez perfectionner l’un de vos acquis ou vous ambitionnez de déve-lopper de nouvelles compétences…. Définissez vos objectifs et vos désirs pour élaborer votre plan d’actions. Projetez-vous dans l’avenir et essayez d’identifier ce qui est important pour vous. Demandez-vous dans quel secteur vous souhaitez travailler. La conjoncture éco-nomique est-elle favorable ? Quel est le poste idéal auquel vous aspirez ? Atten-tion aux rêves les plus fous, soyez tout de même réaliste sans toutefois négliger votre ambition. N’hésitez pas à rencontrer des professionnels qui pourront témoi-gner de leur métier.

Bon vent dans vos nouvelles études et beaux succès professionnels futurs !

C.L.

AVANT-PROPOS

Formations :se lancer dans un troisième cycle

Dossier 3eme cycle 2014 (16 pages) 235x335.indd 2 11/09/2014 14:30:08

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3ème cycle

� lms, concerts, theatre près de chez vous

cours de néerlandais, stages, conversation et occasions de pratique

activités pour adultes et enfants et vie associative

RandKrant et information locale

un site web en anglais, français, allemand et néerlandaiscentres communautaires dans le Vlaamse Rand autour de Bruxelles.

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‘de Rand’, Kaasmarkt 75, 1780 Wemmel T. 02 456 97 80 - [email protected]

Frans-374op274.indd 1 11/09/2014 14:01:05

Masters spécialisés, MBA, formations continues… Malgré leurs différences, tous ces diplômes s'appuient sur une même philosophie : l'adaptation des étudiants aux réalités de l'entreprise et au développement continuel des compétences professionnelles. Entamer un troisième cycle, c’est établir une cohérence entre des études et un projet professionnel. Aujourd’hui, afi n de répondre à tous les besoins, les universités et instituts proposent une offre très diversifi ée.

De plus en plus indispensable, le troisième cycle permet d’améliorer l’intégra-tion professionnelle des jeunes diplômés et ouvre de nombreuses portes, no-tamment vers une carrière internationale. Mais entreprendre un troisième cycle ne s’improvise pas. Pour mettre toutes les chances de son côté, le choix d’études doit être mûrement réfl échi. Vous devrez non seulement préparer votre projet professionnel mais également vous poser les bonnes questions afi n de connaître vos besoins réels et vos sources de motivation.

Quelles sont vos compétences actuelles ? Que savez-vous faire ? Quels sont vos points forts et vos faiblesses ? Il est utile de dresser un bilan des compétences acquises au cours de votre parcours scolaire mais aussi de tenir compte des stages effectués et de vos éventuelles expériences professionnelles.

Cette réfl exion vous permettra de mieux vous connaître, de construire une syn-thèse de votre passé afi n de mieux appréhender votre avenir professionnel.

Vous envisagez d’orienter votre carrière professionnelle vers un domaine précis, vous souhaitez perfectionner l’un de vos acquis ou vous ambitionnez de déve-lopper de nouvelles compétences…. Défi nissez vos objectifs et vos désirs pour élaborer votre plan d’actions. Projetez-vous dans l’avenir et essayez d’identifi er ce qui est important pour vous. Demandez-vous dans quel secteur vous souhaitez travailler. La conjoncture éco-nomique est-elle favorable ? Quel est le poste idéal auquel vous aspirez ? Atten-tion aux rêves les plus fous, soyez tout de même réaliste sans toutefois négliger votre ambition. N’hésitez pas à rencontrer des professionnels qui pourront témoi-gner de leur métier.

Bon vent dans vos nouvelles études et beaux succès professionnels futurs !

C.L.

Supplément gratuit à La Libre Belgique réalisé par IPM ADVERTISING13 septembre 2014

Rue des Francs, 79 - 1040 BruxellesTél : +32 ( 2 ) 211.31.55Fax : +32 ( 2 ) 211.28.20

EDITEURS RESPONSABLES :Emmanuel Denis, Henry Visart.

RÉDACTION :Corine [email protected]

PUBLICITÉ et COORDINATION :Dominique Flamand02/211.31.55dominique.fl [email protected]

MISE EN PAGE :Fabrice LibenIPM PRINT

PHOTOS :Cover : shutterstock www.shutterstock.com

INTERNET :www.lalibre.be

Sommaire

AVANT-PROPOS

Formations :se lancer dansun troisième cycle

3ème cycle : le mustpour une carrière dehaut vol ............................ 04

3ème cycle : tentez l’aventure ! ............. 06

Masters & MBA : faire le bon choix .............. 08

MBA : qualités requises ......10

Apprendre une autre langue : véritable atout dans lemonde de l’entreprise ........ 11

Se tourner vers unecarrière internationale ........12

Formations : les atoutsd’une carrière ....................14

Formations :se lancer dans

Masters spécialisés, MBA, formations continues… Malgré leurs différences, tous ces diplômes s'appuient sur une même philosophie : l'adaptation des étudiants aux réalités de l'entreprise et au développement continuel des compétences professionnelles. Entamer un troisième cycle, c’est établir une cohérence entre des études et un projet professionnel. Aujourd’hui, afi n de répondre à tous les besoins, les universités et instituts proposent une offre très diversifi ée.

De plus en plus indispensable, le troisième cycle permet d’améliorer l’intégra-tion professionnelle des jeunes diplômés et ouvre de nombreuses portes, no-tamment vers une carrière internationale. Mais entreprendre un troisième cycle ne s’improvise pas. Pour mettre toutes les chances de son côté, le choix d’études doit être mûrement réfl échi. Vous devrez non seulement préparer votre projet professionnel mais également vous poser les bonnes questions afi n de connaître vos besoins réels et vos sources

un troisième cycle

Dossier 3eme cycle 2014 (16 pages) 235x335.indd 3 11/09/2014 14:30:09

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3ème cycle

04 Supplément réalisé par IPM Advertising

En période de crise, il est légitime de se demander quelles études favorisent un accès au monde du travail dans les meilleures conditions. Masters professionnels, masters spécialisés, MBA… Les formations de troisième cycle permettent d’entrer dans la vie active par la grande porte. Un diplôme qui vaut de l’or !

3ème cycle : le mustpour une carrière de haut vol

Haut degré de spécialisation, contacts pro-longés avec le milieu professionnel, connais-sances pointues et reconnues, maîtrise des langues étrangères... L’obtention d’un di-plôme de troisième cycle est un véritable atout pour démarrer sa carrière.

Poursuivre ses études au-delà du deuxième cycle permet d'évoluer plus facilement dans la vie professionnelle et d’avoir un meilleur statut. Pour les pessimistes qui auraient tendance à se dire " à quoi bon ?" , rappelons que toutes les enquêtes réalisées sur ce sujet confirment ce constat. D’ailleurs, une étude réalisée en France par le Centre d'études et de recherche sur les qualifications ( CEREQ ) indique que le diplôme reste le meilleur atout pour accéder à l'emploi dans de bonnes conditions. Malgré la crise, 85 % des diplômés du supérieur sont en poste trois ans après leur sortie du sys-tème éducatif, et ce taux atteint même 88 % au niveau master, en ce compris les écoles de commerce et d'ingénieurs.

Les formations de troisième cycle, notamment celles des grandes écoles très axées sur le management, permettent d'acquérir les com-pétences suffisantes pour, très rapidement, encadrer des équipes et gérer des projets de A à Z. Pour les titulaires d’autres diplômes, il faudra attendre plusieurs années avant d'oc-

cuper des postes à responsabilités. Le master fait donc gagner un temps considérable dans le plan de carrière.

Les recruteurs n’hésitent pas, quant à eux, à dire que les lauréats d’un troisième cycle sont, le plus souvent, mieux disposés à s'impliquer personnellement dans un projet d'entreprise.A noter également que les titulaires d’un mas-ter décrochent des postes plus haut placés et donc mieux rémunérés.

Gage de maturitéSi les premières années passées à l’université ou dans une Haute Ecole permettent d’acqué-rir un grand nombre de connaissances avec une certaine spécialisation au fil du temps, un troisième cycle favorise le développement de nouvelles compétences qui viennent en com-plément des savoirs acquis précédemment. Lors d’un troisième cycle, les étudiants ont gagné en maturité. Les capacités de réflexion, d’analyse et de synthèse seront d’autant plus poussées.Précisons également que l'ambiance de tra-vail n'est pas la même lors d’un troisième cycle. Elle est plus proche de celle d'un la-boratoire ou d'une entreprise. Les étudiants s'y considèrent presque plus comme des collègues de bureau que comme des cama-rades de classe.

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48 rue d’Oultremont - 1040 BXL (Metro Mérode/Cinquantenaire) - [email protected] - 02 734 31 49

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Finaliste du Young Entreprises Project Challenge 2012

PORTES OUVERTESle mercredi 17 septembrede 10h à 19h

Harmonisation européenneDepuis septembre 2004, l’enseignementsupérieur belge a été fortement modifié par la mise en place du "Processus de Bologne" :réforme européenne visant à harmoniser les diplômes entre les différents états membres et à favoriser la mobilité des étudiants sur le territoire européen.Les études s’organisent en trois cycles et chaque année d’étude est comptabilisée en "crédits" . Le "crédit" est l’unité correspondant au temps consacré par l'étudiant à une activité d'appren-tissage au sein d'un programme d'études, dans une discipline donnée. L'année d'étude reste la référence et correspond à 60 crédits.

Le premier cycle correspond à trois années d’études minimum ( 180 crédits ) et conduit au grade académique de bachelier. Les études de l’enseignement supérieur de type court anciennement sanctionnées par un graduat et les années de candidatures à l’université sont donc remplacées par le bachelier.

1er cycle : le bachelier

Après l’obtention d’un bachelier, l’étu-diant peut compléter sa formation par des études de deuxième cycle. Elles mènent au grade académique de master un an ( 60 crédits ) ou deux ans ( 120 crédits ), de médecin après quatre ans minimum ( 240 crédits ) ou médecin vétérinaire après trois ans minimum ( 180 crédits ). Enfin, dans certaines filières, le master peut être complété par un master complémentaire d'un an ( 60 crédits ) minimum.

2ème cycle : le master

Ce cycle ne concerne que l’enseigne-ment universitaire et est accessible après une formation initiale d'au moins 300 crédits. Les études de troisième cycle comprennent d'une part la forma-tion doctorale ( 60 crédits ) qui conduit à un certificat de formation à la recherche et, d'autre part, les travaux relatifs à la préparation d'une thèse de doctorat ( au moins 180 crédits ), qui conduit au grade académique de docteur après défense de la thèse.

3ème cycle : le doctorat

Source : Enseignement supérieur Portail Belgium.be

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3ème cycle

En période de crise, il est légitime de se demander quelles études favorisent un accès au monde du travail dans les meilleures conditions. Masters professionnels, masters spécialisés, MBA… Les formations de troisième cycle permettent d’entrer dans la vie active par la grande porte. Un diplôme qui vaut de l’or !

3ème cycle : le mustpour une carrière de haut vol

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Finaliste du Young Entreprises Project Challenge 2012

PORTES OUVERTESle mercredi 17 septembrede 10h à 19h

Master of Business AdministrationFormation de haut niveau en management, le Master of Business Administration ou MBA jouit d’une prestigieuse aura internationale et fait rêver de nombreux étudiants et professionnels.Tourné vers la conduite des affaires en entreprise, le MBA, dispensé en langue anglaise, s'adresse avant tout à des cadres expérimentés désirant se réorienter ou accélérer leur car-rière. Aux États-Unis, c'est la formation phare des Business Schools, le sésame pour grimper dans l'organigramme des grandes entreprises.La durée des études est variable. Certaines formations sont full-time et d’autres peuvent être suivies en part-time afin de concilier études et vie professionnelle. Durant cette période, les étudiants bénéficient d'un enseignement très concret, axé sur l'apprentissage de méthodes, souvent dans un contexte international.

Processus de BologneSoutenu par 47 pays, le ‘Processus de Bologne’ vise à rapprocher les systèmes d’enseignement supérieur européens en fixant quelques éléments communs tels que le système de crédits, la structure en trois cycles, la coopération pour l'assurance de la qualité de l'enseignement supérieur… permettant à chaque étudiant d’identifier à quoi correspond son diplôme et de pour-suivre son cursus dans un autre pays. Chaque état ou communauté reste donc libre quant à l’organisation et au contenu de son enseignement.

En avril 2012, les ministres européens en charge de l’enseignement supérieur se sont réunis à Bucarest et ont adopté le ‘Communiqué ministériel’ ainsi que la ‘Dé-claration du Forum Politique Bologne’. Les principales lignes d’action et orientations du Communiqué visent à : Garantir un enseignement supérieur de

qualité accessible et démocratique ; Renforcer l’insertion socioprofession-

nelle des diplômés pour répondre aux défis d’aujourd’hui et demain ;

Renforcer une mobilité de qualité et atteindre l’objectif de 20% d’étudiants ayant été mobiles au sein de l’Espace européen de l’enseignement supérieur d’ici 2020.

Les ministres se réuniront en 2015 en Ar-ménie afin d’évaluer l’état d’avancement du ‘Processus de Bologne’ et d’adopter de nouvelles orientations pour l’Espace euro-péen de l’enseignement supérieur.

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3ème cycle

06 Supplément réalisé par IPM Advertising

Alors que l’économie a connu un ralentissement ces dernières an-nées, les inscriptions et les inves-tissements pour les formations de troisième cycle comme les mas-ters professionnels et les masters spécialisés n’ont cessé d’augmen-ter. En attendant le rétablissement du marché de l’emploi, les jeunes diplômés et les jeunes actifs font le choix de renforcer leur profil pro-fessionnel en accrochant une nou-velle corde à leur arc.Aujourd’hui, à expérience égale, avoir un master est un atout pour trouver un emploi mieux payé et

avec plus de responsabilités. Par ailleurs, la plupart des lauréats d’un master trouvent générale-ment un emploi dans les trois mois suivant l’obtention de leur diplôme.

A noter que, grâce aux accords de Bologne, il est possible de faire un master dans n’importe quel pays de l’Union européenne ; ce qui facilite la mobilité des tra-vailleurs et apporte un véritable enrichissement culturel à celles et ceux qui tentent l’expérience.Développer ses compétences, se spécialiser, se différencier, se

réorienter, valoriser ses acquis…Plusieurs motivations très diffé-rentes peuvent pousser un indi-vidu à poursuivre des études de troisième cycle. Analyse.

Développer ses compétences Quel que soit le secteur d’activité dans lequel nous travaillons, nous sommes tous, à un moment ou à un autre, amenés à revoir nos acquis professionnels. Si les modules courts conviennent à une personne ayant juste be-soin d’un rafraîchissement ponc-tuel, une formation plus poussée s’impose lorsque l’on cherche à acquérir une véritable nouvelle compétence généralement com-plémentaire à la formation initiale. D’ailleurs, aujourd’hui, on constate que la double compétence a le vent en poupe. En effet, elle est recherchée par les entreprises qui sont, à titre d’exemple, de plus en plus demandeuses de techniciens ayant des connaissances en ges-tion et en management, ou à l'in-verse, de commerciaux ayant des compétences dans un domaine technique. Les écoles et les universités l'ont bien compris et proposent, dès lors, de très nombreux pro-grammes à ceux qui souhaitent " ajouter une nouvelle corde à leur arc" . La double compétence est

aussi une bonne arme pour assu-rer ses arrières et trouver un nou-veau souffle en cours de carrière.

Se spécialiserLes troisièmes cycles de type ‘master spécialisé’ permettent d’acquérir un savoir-faire pointu dans un domaine donné. D’ail-leurs, acquérir une spécialisa-tion est généralement la pre-mière motivation invoquée par les étudiants qui se lancent dans un troisième cycle. Après avoir développé une bonne culture générale dans leur domaine d'études, ils ont besoin de se former à un métier.Mentionnons ici l’exemple du ju-riste qui veut se spécialiser en droit européen ou encore du pharma-cien qui souhaite développer une compétence commerciale afin d’intégrer un grand laboratoire. Un cadre commercial qui souhaite créer sa propre entreprise pourra, quant à lui, approfondir ses com-pétences en gestion et en mana-gement pour mettre toutes les chances de son côté.Toutefois, il convient de faire très attention aux spécialisations trop pointues. En effet, une spéciali-sation trop poussée est à double tranchant : mal choisie, elle risque de limiter vos débouchés ou vos possibilités d'évolution en cours de carrière.

Choisissez-la donc avec minu-tie, en cohérence avec votre projet professionnel et en étu-diant à l'avance les opportunités d'embauches qu'elle offre. Dans le contexte économique actuel, mieux vaut, par exemple, choisir un master généraliste de gestion avec une option marketing, plutôt qu'un master en marketing, car cette spécialisation très forte peut ensuite réduire vos débouchés.

Se différencier En suivant une formation de troi-sième cycle, vous pourrez vous distinguer des autres lauréats de

Diplômé de l’enseignement supérieur, exerçant une activité professionnelle depuis au moins trois à cinq ans, un statut de cadre… Voici le portrait type du candidat à un troisième cycle en formation continue. Qu’il s’agisse d’un master professionnel ou d’un master spécialisé, quelles sont les motivations qui poussent une personne à se replonger dans de longues études ? Tour d’horizon des principales bonnes raisons de se lancer.

3ème cycle : tentez l’aventure !

• BA (HONS) IN BUSINESS STUDIES − 3-YEAR BACHELOR DEGREE

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• The opportunity to study Business in Brussels or Luxembourg.

• Small classes taught in English by business professionals.

• Strong academic course of study plus practical training.

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• Programmes validated by Middlesex University London. The students will be awarded a Middlesex University London degree on successful completion.

OUR VERY PRACTICAL BACHELOR WILL CHANGE YOUR FUTURE!Next intake: September 15, 2014

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UNITED BUSINESS INSTITUTES - LUXEMBOURGChâteau de WiltzL-9516 Wiltz - LuxembourgTel. 00 352 27 99 01 82

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Dossier 3eme cycle 2014 (16 pages) 235x335.indd 6 11/09/2014 14:30:18

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3ème cycle

aussi une bonne arme pour assu-rer ses arrières et trouver un nou-veau souffle en cours de carrière.

Se spécialiserLes troisièmes cycles de type ‘master spécialisé’ permettent d’acquérir un savoir-faire pointu dans un domaine donné. D’ail-leurs, acquérir une spécialisa-tion est généralement la pre-mière motivation invoquée par les étudiants qui se lancent dans un troisième cycle. Après avoir développé une bonne culture générale dans leur domaine d'études, ils ont besoin de se former à un métier.Mentionnons ici l’exemple du ju-riste qui veut se spécialiser en droit européen ou encore du pharma-cien qui souhaite développer une compétence commerciale afin d’intégrer un grand laboratoire. Un cadre commercial qui souhaite créer sa propre entreprise pourra, quant à lui, approfondir ses com-pétences en gestion et en mana-gement pour mettre toutes les chances de son côté.Toutefois, il convient de faire très attention aux spécialisations trop pointues. En effet, une spéciali-sation trop poussée est à double tranchant : mal choisie, elle risque de limiter vos débouchés ou vos possibilités d'évolution en cours de carrière.

Choisissez-la donc avec minu-tie, en cohérence avec votre projet professionnel et en étu-diant à l'avance les opportunités d'embauches qu'elle offre. Dans le contexte économique actuel, mieux vaut, par exemple, choisir un master généraliste de gestion avec une option marketing, plutôt qu'un master en marketing, car cette spécialisation très forte peut ensuite réduire vos débouchés.

Se différencier En suivant une formation de troi-sième cycle, vous pourrez vous distinguer des autres lauréats de

l’enseignement supérieur. Cette formation complémentaire vous permettra d’'individualiser votre parcours et de vous déterminer en fonction d'un projet lié à une vocation profonde ou simple-ment à la découverte, lors de vos études - cours, stages, ren-contres...-, d'un domaine profes-sionnel qui vous intéresse.

Se réorienterLes formations de troisième cycle permettent de changer d'orienta-tion à la fin des études. En effet, les étudiants en fin de cursus n'y pensent pas assez souvent mais les formations continues offrent de formidables opportunités de

s’ouvrir à de nouveaux horizons si la voie tracée dans la filière ini-tiale ne satisfait plus.Le troisième cycle permet égale-ment de rebondir en cours de car-rière. Repasser par la case ‘forma-tion’ peut être un moyen de prendre du recul par rapport à son activité professionnelle et d’acquérir de nouveaux savoirs avant de chan-ger, éventuellement, de secteur.

Valoriser ses compétencesUn troisième cycle bien ciblé, porté par un projet professionnel solide, est également un moyen de valo-riser ses compétences et donc d’augmenter ses revenus. En effet, les masters spécialisés proposent généralement des formations en parfaite adéquation avec la de-mande du marché. Les lauréats de ces diplômes très recherchés dans le monde du travail auront donc beaucoup plus de chance de valo-riser leurs acquis et d’obtenir ainsi des salaires plus attrayants.

Capitalisersur son expérienceAprès quelques années d’expé-rience professionnelle, certaines disparités, notamment dans les grandes entreprises internatio-nales, peuvent faire leur appari-tion entre les titulaires d’un bac + 5 et les autres. Les formations de troisième cycle permettent à ceux qui le souhaitent de transformer, par exemple, un bac + 2 et une expérience profes-sionnelle en bac + 5 en suivant des modules complémentaires.

3ème cycle : tentez l’aventure !

Pourquoi faire un MBA ?Les bonnes raisons pour entreprendre un Master of Business Administration ( MBA ) peuvent être multiples. Retenons-en quelques-unes :• Passer du rôle d'exécutant à celui de manager.• Changer de milieu de travail, s'orienter vers un autre secteur d'activité.• Créer sa propre entreprise.• Accéder à un poste de niveau supérieur.• Approfondir ses connaissances et les structurer.• Améliorer sa qualité de vie.• Développer sa confiance en soi.• Sortir de sa zone de confort.• Apprendre les meilleures pratiques pour aller de l’avant.

Mais il y en a aussi de mauvaises, comme : • Vouloir accrocher un nouveau diplôme à son mur. Faire un MBA est un

investissement considérable qu’il serait dommage de ne pas rentabiliser.• Jouer les touristes. Si vous ne savez pas vraiment pourquoi vous êtes là,

vous ne tiendrez pas longtemps. Vous risquez de perdre votre motivation.• Croire que le fait de porter le titre vous aidera à progresser dans la société.

Le MBA n'est pas le TGV d'une carrière. Il faudra prouver sur le terrain vos compétences et vos aptitudes.

• Faire un MBA sous prétexte que c’est la crise. Il faut résister à la tentation d’ajouter un diplôme à un autre. Il ne serait pas judicieux d’envisager cette formation comme un aboutissement, une fin en soi. Un master n’a d’inté-rêt que s’il s’inscrit dans un projet professionnel.

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Dossier 3eme cycle 2014 (16 pages) 235x335.indd 7 11/09/2014 14:30:21

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08 Supplément réalisé par IPM Advertising

3ème cycle

Un niveau d'entrée dans la vie active qui ne cesse de s'élever, des entreprises de plus en plus exigeantes vis-à-vis de leurs nouvelles recrues, une mondialisation qui demande des compétences toujours plus pointues… Décrocher un troisième cycle est devenu quasi incontournable pour occuper des fonctions à hautes responsabilités. Sans doute la meilleure arme pour intégrer le marché de l'emploi, progresser et optimiser sa carrière.

Masters & MBA : faire le bon choix

Choisir une formation postuniversitaire ne s’im-provise pas et demande de l'investissement personnel et beaucoup de temps. Un choix qui doit être l'aboutissement d'une réfl exion sur votre projet professionnel. Quelles sont vos aspirations ? Comment voyez-vous l’avenir ? Quel poste aimeriez-vous occuper dans les cinq à dix ans ? Etes-vous fait pour gérer une équipe ? L’évolution et la remise en question font-elles partie de votre personnalité ? Avant de vous lancer dans un troisième cycle, vous devrez mener une enquête minutieuse tant sur vous que sur les offres de forma-tions proposées. En effet, l'offre est tellement variée que la première étape indispensable, après avoir dressé le bilan de vos aspira-tions et de vos compétences, consistera à repérer quelques parcours qui pourraient vous convenir.

Compétences et aspirationsBien défi nir votre projet professionnel : telle est la première condition essentielle pour ne pas vous tromper et avoir des chances d'intégrer la formation que vous avez repérée. Si, depuis l’obtention de votre diplôme d’enseignement supérieur, vous vous êtes laissé vivre sans véri-tablement réfl échir à votre avenir et à votre plan de carrière, le moment est venu de prendre le temps d'y penser sérieusement. Ce préalable indispensable vous permettra de faire un choix effi cace et pertinent.

En vous posant toute une série de questions, vous effectuerez, en quelque sorte, un bilan de compétences. Dans quel secteur avez-vous envie de travailler ? Est-ce un secteur qui offre des perspectives de carrière intéressantes ? Quels sont les métiers accessibles aux débu-

tants dans ce secteur ? Quel type d'emploi avez-vous envie d'exercer ? Quelles sont les qualités qui vous permettront de réussir dans telle ou telle fonction ? Quels sont vos points forts ? Quels sont vos points faibles ? Avez-vous une prédisposition particulière pour les langues étrangères ?

Stages : atouts d’une carrière Le fait d'avoir effectué plusieurs stages tout au long de votre parcours vous aidera sûrement à opérer un choix. En effet, les stages vous per-mettent d’appréhender les spécifi cités les plus pointues d’un métier. Ils vous permettent de jauger les compétences nécessaires à l’exer-cice d’une profession mais également d’éva-luer différents aspects liés au quotidien comme la résistance au stress, le degré de communi-cation et d’échanges entre collègues, l’inves-tissement en temps nécessaire…

Qu’il soit rémunéré ou non, n'hésitez jamais à suivre un stage, même lorsque cela n'est pas obligatoire, et le plus tôt possible. Vous en reti-rerez un grand bénéfi ce car c'est sur le terrain que vous découvrirez vraiment ce qui vous plaît et ce qui vous déplaît. Ces expériences, les rencontres que vous fe-rez, vous aideront à mûrir votre projet et consti-tueront un atout de taille pour intégrer certains masters et MBA.

Valeur ajoutéeQuels que soient vos choix, vous devrez tou-jours être en mesure de les justifi er intelligem-ment. En effet, la cohérence de votre parcours est le témoin de votre maturité.Attention donc au " diplôme pour le diplôme" . Cette formation supplémentaire doit apporter une véritable valeur ajoutée à votre parcours : une spécialisation ou une nouvelle compétence qui vous permettra de réellement briguer un poste à responsabilités. Car, s'il ne fait qu'ajouter une ligne supplémen-taire à votre CV, ce diplôme risque de vous desservir et d'être perçu comme révélateur d'une peur d’entrer dans le monde du travail, et donc d'un réel manque de maturité.

Quelle formation ?Dès que vous aurez dressé le bilan de vos compétences et de vos aspirations, vous pour-rez vous lancer dans la recherche de la forma-tion qui vous convient le mieux. Pour effectuer un premier tri, tournez-vous vers Internet. Toutes les écoles et les universités dis-posent d'un site présentant leurs formations, de façon plus ou moins complète. L'intitulé du diplôme mais surtout le pro-gramme des cours et les débouchés possibles vous donneront une idée de l'adéquation de la formation à votre projet professionnel. Mais attention : Internet ne suffi t pas. Pour mûrir et peaufi ner votre projet, pour être sûr de ne pas vous tromper, vous avez tout intérêt à multiplier les rencontres avec des professeurs, des pro-fessionnels, d'anciens élèves… Pensez aussi à participer aux journées portes ouvertes organi-sées par les établissements d’enseignement. Pour chaque formation susceptible de vous intéresser, essayez de recueillir la même qua-lité d'information afi n de pouvoir dresser un tableau comparatif clair et complet. Au fi nal, le choix se révèlera plus facile.

NotoriétéIntéressez-vous également à la notoriété de l’éta-blissement et à la qualité de son enseignement. Les recruteurs ne peuvent pas se tenir au cou-rant de toutes les nouvelles formations créées chaque année. Plus la formation que vous choi-sirez sera ancienne, plus le réseau des anciens sera étoffé et plus vos interlocuteurs auront une chance de la connaître. A formation similaire, mieux vaut donc intégrer l'établissement le plus" coté" sur le marché du travail. En effet, le nom d'une école ou d'une université prestigieuse reste toujours un gage de qualité aux yeux des futurs employeurs.La notoriété d'un programme ne se mesure pas seulement à son ancienneté et à son nombre de citations dans la presse. Parlez-en aussi à des professionnels du secteur qui peuvent vous indiquer comment la formation que vous visez est perçue dans la profession. Ils pourront également vous indiquer vers quels postes vous pourrez évoluer.

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tants dans ce secteur ? Quel type d'emploi avez-vous envie d'exercer ? Quelles sont les qualités qui vous permettront de réussir dans telle ou telle fonction ? Quels sont vos points forts ? Quels sont vos points faibles ? Avez-vous une prédisposition particulière pour les langues étrangères ?

Stages : atouts d’une carrière Le fait d'avoir effectué plusieurs stages tout au long de votre parcours vous aidera sûrement à opérer un choix. En effet, les stages vous per-mettent d’appréhender les spécificités les plus pointues d’un métier. Ils vous permettent de jauger les compétences nécessaires à l’exer-cice d’une profession mais également d’éva-luer différents aspects liés au quotidien comme la résistance au stress, le degré de communi-cation et d’échanges entre collègues, l’inves-tissement en temps nécessaire…

Qu’il soit rémunéré ou non, n'hésitez jamais à suivre un stage, même lorsque cela n'est pas obligatoire, et le plus tôt possible. Vous en reti-rerez un grand bénéfice car c'est sur le terrain que vous découvrirez vraiment ce qui vous plaît et ce qui vous déplaît. Ces expériences, les rencontres que vous fe-rez, vous aideront à mûrir votre projet et consti-tueront un atout de taille pour intégrer certains masters et MBA.

Valeur ajoutéeQuels que soient vos choix, vous devrez tou-jours être en mesure de les justifier intelligem-ment. En effet, la cohérence de votre parcours est le témoin de votre maturité.Attention donc au " diplôme pour le diplôme" . Cette formation supplémentaire doit apporter une véritable valeur ajoutée à votre parcours : une spécialisation ou une nouvelle compétence qui vous permettra de réellement briguer un poste à responsabilités. Car, s'il ne fait qu'ajouter une ligne supplémen-taire à votre CV, ce diplôme risque de vous desservir et d'être perçu comme révélateur d'une peur d’entrer dans le monde du travail, et donc d'un réel manque de maturité.

Quelle formation ?Dès que vous aurez dressé le bilan de vos compétences et de vos aspirations, vous pour-rez vous lancer dans la recherche de la forma-tion qui vous convient le mieux. Pour effectuer un premier tri, tournez-vous vers Internet. Toutes les écoles et les universités dis-posent d'un site présentant leurs formations, de façon plus ou moins complète. L'intitulé du diplôme mais surtout le pro-gramme des cours et les débouchés possibles vous donneront une idée de l'adéquation de la formation à votre projet professionnel. Mais attention : Internet ne suffit pas. Pour mûrir et peaufiner votre projet, pour être sûr de ne pas vous tromper, vous avez tout intérêt à multiplier les rencontres avec des professeurs, des pro-fessionnels, d'anciens élèves… Pensez aussi à participer aux journées portes ouvertes organi-sées par les établissements d’enseignement. Pour chaque formation susceptible de vous intéresser, essayez de recueillir la même qua-lité d'information afin de pouvoir dresser un tableau comparatif clair et complet. Au final, le choix se révèlera plus facile.

NotoriétéIntéressez-vous également à la notoriété de l’éta-blissement et à la qualité de son enseignement. Les recruteurs ne peuvent pas se tenir au cou-rant de toutes les nouvelles formations créées chaque année. Plus la formation que vous choi-sirez sera ancienne, plus le réseau des anciens sera étoffé et plus vos interlocuteurs auront une chance de la connaître. A formation similaire, mieux vaut donc intégrer l'établissement le plus" coté" sur le marché du travail. En effet, le nom d'une école ou d'une université prestigieuse reste toujours un gage de qualité aux yeux des futurs employeurs.La notoriété d'un programme ne se mesure pas seulement à son ancienneté et à son nombre de citations dans la presse. Parlez-en aussi à des professionnels du secteur qui peuvent vous indiquer comment la formation que vous visez est perçue dans la profession. Ils pourront également vous indiquer vers quels postes vous pourrez évoluer.

ProgrammeLe programme des cours devra aussi retenir toute votre attention. Combien d'heures de cours sont prévues ? En dehors des cours théoriques, quels travaux personnels ou travaux de groupe sont demandés ? Le cursus peut-il répondre à vos objectifs professionnels ? Quelle est l'impor-tance accordée aux langues étrangères ?

Liens avec les entreprisesPour les formations à vocation professionnelle, vous devez être attentif à la nature des ensei-gnements pratiques et des liens tissés avec les entreprises. En effet, certaines formations sont créées en partenariat avec des entreprises qui peuvent même apporter leur soutien financier au programme. A la clé, de larges perspectives d’engagement en fin de cursus !

DébouchésLa qualité d'une formation est d'abord fonc-tion de la qualité des débouchés profession-nels qu'elle offre. Toutes les questions qui touchent de près ou de loin à l'insertion sur le marché de l'emploi sont donc de première importance. Comment les anciens s'insèrent-ils dans le monde professionnel ? À quels postes ? À quels salaires ? Quel est le temps moyen de recherche d'emploi ? Voici quelques-unes des questions que vous pourrez poser aux responsables des forma-tions et aux anciens élèves pour opérer un choix qui sera crucial pour votre avenir !

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10 Supplément réalisé par IPM Advertising

L'entreprise a besoin de développer les com-pétences linguistiques de son personnel afin de soutenir sa croissance et de gagner de nouveaux marchés. Une réalité pertinente tant pour les grands groupes que pour les petites et moyennes entreprises ( PME ) qui basent leur développement sur l'international. Le mul-tilinguisme est désormais une nécessité quasi absolue pour celles et ceux qui veulent franchir de nouveaux paliers dans leur carrière.Aujourd’hui, parler une ou plusieurs langues est l'une des compétences les plus impor-tantes dans une carrière professionnelle. Afin de multiplier vos chances de trouver un emploi, il est essentiel de parler deux voire trois langues différentes. En Belgique fran-cophone, le néerlandais est la plus deman-dée. A l’international, l’anglais, l’espagnol, l’allemand et aujourd’hui le chinois sont des langues très prisées.

Ingrédient indispensable pour entamer un Mas-ter of Business Administration ( MBA ) : avoir de l’ambition. Cela va sans dire : le succès de cette formation mènera très certainement à des postes où il faudra décider, motiver et diriger. Que ce soit pendant les études ou durant toute la carrière professionnelle, il faudra faire preuve de détermination et d’un grand désir d’investis-sement personnel. Ce n'est pas parce qu'on a un MBA qu'on peut se reposer sur ses lauriers. Le diplôme ouvre des portes mais il faut conti-nuer à travailler.

Faire un MBA implique :• Un projet professionnel solide : Pourquoi

faire ce MBA à ce moment précis de ma carrière ? Un MBA d’accord mais pour aller où ? Vers quel type de poste, d’entreprise, de pays ?

• Une première expérience professionnelle concluante et enrichissante.

• Une motivation à toute épreuve.• Le goût du travail en équipe.• Une grande capacité de travail.• La maîtrise des langues étrangères,

l’anglais en tête.• Une disponibilité totale même durant les

week-ends et les vacances scolaires.• Un entourage compréhensif et patient.

Coût ?La question financière ne doit pas être le seul critère pour choisir sa formation. Le" retour sur investissement" des MBA est très intéres-sant. Par ailleurs, avec ce précieux sésame, votre profil devient plus attrayant. N’oubliez pas qu’en intégrant une université ou un institut prestigieux, vous bénéficiez de tous ses services en termes de relations avec les entreprises, d’offres de stages et d’offres d’emploi.

Comment optimiser son diplôme ?Les personnes qui retirent le plus de leur di-plôme sont celles qui continuent à se former. Lire, assister à des congrès, participer à des colloques… sont des moyens de se tenir à jour.En outre, garder le contact avec le réseau dé-veloppé tout au long des études permet d’avoir des personnes de confiance pour échanger et éventuellement trouver des solutions aux pro-blèmes que l’on peut rencontrer dans sa vie professionnelle. S'entraider pendant les études développe la solidarité. Il ne faut pas se priver de s’en rappeler plus tard en cas de besoin.Enfin, être actif dans les associations profession-nelles et investir pour développer un réseau bien placé dans les entreprises sont également des élé-ments essentiels pour faire fructifier son diplôme.

Formation à temps plein ou à temps partiel ?Pour répondre aux impératifs de la vie moderne, les universités et instituts offrent de plus en plus de souplesse dans les horaires de leurs programmes. Mères de famille, employés à temps plein, travailleurs à temps partiel, étudiants étrangers : chacun a ses raisons pour vouloir obtenir son diplôme le plus vite possible ou au contraire l'étaler dans la durée pour concilier les études avec d'autres activités.

Le part time MBA

Là, les cours sont en règle générale dispensés le soir et le week-end. Cette formule s’adresse aux étudiants sala-riés. D’une durée allant de deux à trois ans, ce programme propose les mêmes cours fondamentaux que les autres.

L’executive MBA

Il s’adresse essentiel-lement aux personnes ayant un minimum de trois à cinq années d’expérience profes-sionnelle. Les pro-grammes de l’executive MBA sont plus courts que les autres. Leur but est de permettre aux cadres d’actualiser leurs connaissances des outils de management.

MBA à distance

Méthode britannique qui connaît une popularité croissante. Il est possible de suivre le contenu d’un programme MBA avec les moyens de communication modernes. À noter qu’une autre formule de MBA à distance commence à se développer : les cadres d’une même société suivent des cours sur un campus à l’aide d’outils mul-timédias. Une trentaine de business schools américaines dispensent un ‘Distance learning MBA’.

Les MBA spécialisés

Ils sont dédiés à un sec-teur d’activité ou à un métier précis. Les étu-diants sont des cadres de tous les âges et de tous les pays ayant une expérience dans le sec-teur concerné. Ce type de MBA se caractérise par des promotions de petite taille et permet aux écoles d’élargir leur mode de recrutement.

Le full time MBA

C’est le MBA classique qui associe cours théoriques et enseigne-ments pratiques.A noter qu’il existe deux sortes de MBA full time :le MBA en deux ans, à la mode américaine, et le MBA à temps plein correspondant au for-mat européen habituel, à savoir entre dix et seize mois environ.

Les qualités nécessaires pour entreprendre un MBA sont nombreuses, à l’instar des défis qui attendent les lauréats dans l'exercice de leurs fonctions. La curiosité intellectuelle, un grand sens du respect de l'autre et une large capacité à travailler sous pression sont des atouts essentiels. Avant de se lancer, mieux vaut donc se poser les bonnes questions. Tour d’horizon.

Maîtriser une ou plusieurs langues étrangères : un atout tant pour la vie professionnelle que pour la vie privée. Si aujourd’hui les compétences linguistiques et de communication sont très demandées par les employeurs, la maîtrise de plusieurs langues permet à tout un chacun de voyager, voire de s’expatrier et de s’ouvrir plus facilement à d’autres cultures.

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L'entreprise a besoin de développer les com-pétences linguistiques de son personnel afin de soutenir sa croissance et de gagner de nouveaux marchés. Une réalité pertinente tant pour les grands groupes que pour les petites et moyennes entreprises ( PME ) qui basent leur développement sur l'international. Le mul-tilinguisme est désormais une nécessité quasi absolue pour celles et ceux qui veulent franchir de nouveaux paliers dans leur carrière.Aujourd’hui, parler une ou plusieurs langues est l'une des compétences les plus impor-tantes dans une carrière professionnelle. Afin de multiplier vos chances de trouver un emploi, il est essentiel de parler deux voire trois langues différentes. En Belgique fran-cophone, le néerlandais est la plus deman-dée. A l’international, l’anglais, l’espagnol, l’allemand et aujourd’hui le chinois sont des langues très prisées.

Avantage concurrentielEngager du personnel multilingue améliore la compétitivité d’une entreprise. Une étude menée dans toute l’Union européenne a montré qu’un manque de compétences linguistiques peut entrainer un coût écono-mique. Ainsi, 11 % des PME interrogées ont déclaré avoir perdu des contrats car leur en-treprise était dépourvue des compétences linguistiques requises.

Comment apprendre ?Différents outils sont mis à votre disposition pour apprendre une langue étrangère. Choi-sissez l’approche qui vous convient le mieux : cours individuels ou en groupe, méthodes autodidactes, séminaires spécialisés, pro-grammes d’immersion à l’étranger ou en-core apprentissage en ligne.

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Groupe international basé sur le campus uni-versitaire de Louvain-la-Neuve, ALTISSIA est le spécialiste des formations en langues à distance. Son atout majeur : une méthodologie d’appren-tissage académique, flexible, mobile, novatrice.Principalement actif sur les marchés européens, ALTISSIA s’est fortement développé au Maghreb, au Brésil et s’installe prochainement en Indoné-sie et à Singapore. ALTISSIA propose à chaque apprenant une formation linguistique adaptée à son niveau et à ses objectifs.

L’offre de formation se décline en plusieurs pôles d’activités : les particuliers, les professions libé-rales, les PME et les grandes entreprises, le sec-teur éducatif et les institutions.

Au cœur de ses dispositifs de formation, ALTIS-SIA a mis en place une plateforme e-learning dé-diée à l’apprentissage de six langues : l’anglais, l’espagnol, le français, l’allemand, l’italien et le néerlandais. Les cours sont disponibles pour tous les niveaux, du débutant complet à l’appre-nant avancé. A ce jour, la plateforme ALTISSIA est disponible en huit langues d’interface : fran-çais, anglais, allemand, espagnol, néerlandais, russe, portugais brésilien et polonais.

Cette plateforme en ligne est combinée de façon optimale avec d’autres modes d’apprentissage ( " blended learning" ) en fonction du profil de chaque apprenant : cours par téléphone, visio-conférence, mobile learning, actions de motiva-tion, cours présentiels…

Les formations dispensées par ALTISSIA sont le fruit de l’expérience d’une équipe de linguistes professionnels actifs depuis plus de 25 ans tant dans le monde académique que dans celui de la formation professionnelle. Ces formations ont été élaborées en collaboration avec le CLL de l’Université catholique de Louvain et suivent les niveaux européens officiels du CECRL ( Cadre Européen Commun de Référence pour les Lan-gues ).

ALTISSIA est reconnu par nombre d’institutions. La création et la mise en œuvre opérationnelle et quotidienne des projets Wallangues, Brulingua ou Erasmus + sont quelques" travaux" connus par les citoyens belges.

Les qualités nécessaires pour entreprendre un MBA sont nombreuses, à l’instar des défis qui attendent les lauréats dans l'exercice de leurs fonctions. La curiosité intellectuelle, un grand sens du respect de l'autre et une large capacité à travailler sous pression sont des atouts essentiels. Avant de se lancer, mieux vaut donc se poser les bonnes questions. Tour d’horizon.

Maîtriser une ou plusieurs langues étrangères : un atout tant pour la vie professionnelle que pour la vie privée. Si aujourd’hui les compétences linguistiques et de communication sont très demandées par les employeurs, la maîtrise de plusieurs langues permet à tout un chacun de voyager, voire de s’expatrier et de s’ouvrir plus facilement à d’autres cultures.

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12 Supplément réalisé par IPM Advertising

Poursuivre - et surtout réussir - sa carrière à l’étranger exige une préparation personnelle minutieuse et sérieuse.

D’une part, vous devrez entreprendre une véri-table réfl exion sur vous-même - sur vos com-pétences et sur vos aspirations - pour partir sur de bonnes bases. Avant de vous lancer, vous aurez à vous poser toute une série de questions essentielles. Car s’expatrier vous engage vous mais également votre famille et vos enfants.Accepterez-vous de vivre loin de vos proches ? Aurez-vous le mal du pays ? Appréhender une autre culture ou une autre manière de vivre est-il envisageable pour vous ? Savez-vous facilement vous adapter à un autre milieu ? L’inconnu vous fait-il peur ? Cette expérience enrichissante correspond-elle réellement à vos attentes ? Connaissez-vous déjà le pays dans lequel vous envisagez de vous installer ? Com-bien de temps pensez-vous rester à l’étranger ? Quelques années pour vivre une merveilleuse expérience professionnelle qui vous apportera un plus indéniable à votre retour en Belgique ? Ou prévoyez-vous plutôt une installation de longue durée ? Votre conjoint est-il disposé à vous suivre ? Pourra-t-il poursuivre une carrière professionnelle dans le pays d’accueil ? Si vous avez des enfants, pourront-ils suivre une scola-rité dans les meilleures conditions ? Allez-vous acheter un logement sur place ou aurez-vous un appartement de fonction ? Retrouverez-vous votre poste et votre fonction si vous reve-nez vous installer en Belgique, voire un poste similaire ou plus qualifi é et mieux rémunéré ? Comment voyez-vous votre avenir ? Quelles sont vos perspectives d’évolution au sein de l’entreprise que vous allez intégrer ?

D’autre part, lors de vos entretiens d’embauche, vous devrez présenter à vos futurs employeurs – notamment les grands groupes internationaux - un projet professionnel concret et abouti. En effet, il faut bien garder à l’esprit que les recru-teurs sont souvent plus, voire très exigeants en matière de recrutement à l’international. L’ob-tention d’un diplôme de troisième cycle comme un MBA, par exemple, vous ouvrira beaucoup plus facilement les portes du monde du travail. Inutile de vous préciser qu’une première expé-rience professionnelle à l’étranger – même un stage d’étudiant - pèsera lourd sur la balance au moment d’analyser votre candidature. A noter également que les recruteurs re-cherchent essentiellement des personnes capables de travailler dans des équipes plu-ridisciplinaires et internationales. La maîtrise des langues étrangères est donc un atout considérable. Si l’anglais est enseigné dans le cadre d’une formation MBA, la connaissance de l’espagnol voire du chinois ou du japonais – en fonction de la région du globe dans laquelle vous envisagez de vous installer – jouera favo-rablement en votre faveur.

Partir travailler à Paris, à Londres ou encore àNew York ou à Tokyo… Qui n’en a jamais rêvé ?Faire carrière à l'international, c’est s'offrir la chancede vivre des métiers passionnants et enrichissants.Si pour décrocher un emploi à l’autre bout du monde, il faut s’armer de courage et de volonté, il faut surtout se former. Dans l’univers concurrentiel actuel, posséder un diplôme de troisième cycle ouvre de nombreuses portes. Analyse.

Se tourner vers une carrière internationale

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Se former à l’étrangerSi le choix de formation est déjà très large en Bel-gique, il est quasi-illimité quand on envisage de suivre un programme hors de nos frontières. De nom-breux candidats à un master ou à un MBA s'inter-rogent :" Pour se donner les meilleures chances de

réussir une carrière professionnelle où l'international occupe une place importante, autant aller étudier un ou deux ans dans un autre pays" . Pour les programmes MBA, l'offre est pléthorique. En effet, on recense plus de 900 MBA américains, 350 européens, 80 asiatiques, sans compter les pro-grammes sud-américains et australiens. Plusieurs destinations européennes sont deve-nues très attractives, comme la Grande-Bretagne, l'Espagne, l'Allemagne, la Suisse et l'Italie. Elles ont l'avantage de proposer des programmes d'un an, alors que les MBA américains durent généralement le double. Mais avant de vérifi er la validité de votre pas-seport et de boucler vos valises, il est utile de réfl échir aux motivations et aux aspirations qui vous guident, et surtout aux avantages et aux inconvénients de cette démarche.

Intégrer le marché local L’atout principal d’un diplôme décroché à l’étranger est de pouvoir plus facilement s’intégrer ensuite sur le marché du travail local. Non seulement, il vous sera plus facile d’obtenir un visa de travail dans certains pays, le diplôme sera davantage reconnu par les recruteurs mais vous pourrez aussi aisément dévelop-per des liens directs avec les entreprises établies sur place, si cela n’a pas déjà été fait lors de vos études dans le cadre d’un stage, par exemple.

De la même façon que des étudiants chinois viennent suivre un MBA spécialisé en Europe, des étudiants belges et européens sont de plus en plus tentés de poursuivre leurs études en Chine. C'est, en effet, un bon moyen d'intégrer le marché chinois, très demandeur en managers européens et d’apprendre la langue.

Pour autant, le fait de suivre un master ou un MBA à l'étranger ne signifi e pas qu'on sera totalement immergé dans un contexte international. Ainsi, les MBA américains, qui sont la référence mondiale, sont avant tout américains et ne sont pas forcément tournés vers la diversité et la valorisation de l'origine multiculturelle des étudiants.

Conseils : avant d’envisager des études à l’étran-ger – du moins, hors Union européenne-, gardez à l’esprit que le dépôt d’une candidature peut être complexe, que les critères d'admission peuvent être très exigeants et que suivre un programme de formation dans un pays étranger a un coût non négligeable qui doit être chiffré au préalable. Autre question fondamentale à se poser : le diplôme obtenu dans une université étrangère a-t-il une vraie valeur aux yeux des recruteurs européens ? Renseignez-vous sur la réputation de l’institut et sur le devenir de ses diplômés.

Se tourner vers une carrière internationale

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Les connaissances évoluent rapidement, les techniques et les technologies se développent à un rythme toujours plus soutenu et les car-rières ne sont plus linéaires. Aujourd’hui, la plupart des travailleurs qu’ils soient salariés, ouvriers ou indépendants exer-ceront plusieurs métiers au cours de leur vie. C'est pourquoi formation continue et capacité d'adaptation sont désormais des éléments indispensables à tout parcours professionnel.Les formations peuvent être proposées soit par l’employeur en vue d’un développement des compétences de son personnel soit souhai-tées à titre personnel. Il existe différents types de formations adaptées à chaque situation. Il peut s’agir de l’apprentissage d’une langue étrangère à des fi ns privées - passion pour une culture ou un pays - ou professionnelles, d’une remise à jour des connaissances sur les fonctions avancées d’un logiciel, de l’appren-tissage de nouvelles techniques spécifi ques liées à une profession ou encore d’une forma-tion en communication ou en management.

A titre d’exemple, les secteurs de l’informa-tique et des multimédias sont reconnus pour être en perpétuel changement et en constante évolution.

Suivre une formation offre des atouts indé-niables tant pour l’entreprise que pour le tra-vailleur. En effet, le développement de nou-velles compétences contribue à la valorisation et à la reconnaissance de l’individu. C’est un élément essentiel pour la motivation, l’évo-lution personnelle et le développement de la carrière. La formation continue permet égale-ment une prise de recul par rapport à la vie professionnelle. Elle contribue, en effet, à une meilleure vision de la façon dont on travaille et des actions à prendre pour implémenter un changement durable. Par ailleurs, du côté de l’employeur, la forma-tion améliore la productivité et accroît l’esprit d’équipe. C’est une forme d’employer bran-ding qui favorisera également la rétention du personnel.

Lifelong learningL’allongement de l’espérance de vie, les évolutions technologiques et, surtout, le désir d’épanouissement personnel rendent incontour-nable le" lifelong learning" ou apprentissage tout au long de la vie. Dynamique de développement personnel, le" lifelong learning" est très en vogue depuis une quinzaine d’années. Exit le vieux schéma études-carrière-retraite. Désormais, la formation intervient tout au long de la carrière afi n de permettre aux hommes et aux femmes de s’adapter à l’évolution conti-nuelle des métiers. Concrètement, être lauréat d’un master en marketing ne vous garantit pas d’être opérationnel dans ce domaine jusqu’à la fi n de votre carrière. Se créer de nouveaux objectifs et réactualiser ses connaissances ne peuvent que contribuer à une vie professionnelle épanouie. Aujourd’hui, les travailleurs osent se poser la question de leurs envies et de leur vocation. Ce qui aboutit parfois, autour de la quarantaine, à une nouvelle orientation professionnelle.

Formations : les atouts d’une carrière Stage intensif de néerlandais, apprentissage de techniques de vente, séminaire sur le développement du leadership personnel ou la gestion d’équipes… Les formations prennent, de nos jours, de plus en plus d'ampleur et constituent un premier pas vers de nouvelles responsabilités. Des outils qui contribuent à simplifi er le travail au quotidien, à rendre plus effi cace ou simplement plus sûr de soi.

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Bien choisir sa formationQue vous soyez demandeur d’emploi, à la re-cherche d’un nouveau défi professionnel ou dé-sireux de perfectionner vos connaissances, les formations vous permettent d’élargir le champ de vos possibilités. Afin d’éviter toute déception, posez-vous les bonnes questions avant de vous lancer dans une formation. Conseils.• Avant de choisir une formation, déterminez

sérieusement votre réelle motivation. Plus elle sera importante, plus vous vous accrocherez et aurez la volonté d’aller jusqu’au bout.

• Evaluez le temps que vous pourrez consa-crer à la formation. Pourrez-vous vous libé-rer suffisamment régulièrement ? Certaines formations peuvent, en effet, être très lon-gues et seront peut-être incompatibles dans le temps avec votre situation familiale, par exemple.

• Etudiez bien le contenu de la formation. Est-il intéressant et complet ?

• Cette formation a-t-elle déjà fait ses preuves ? Des témoignages concrets d’anciens sta-giaires peuvent s’avérer judicieux.

• Cette formation va-t-elle vous apporter un plus que vous pourrez immédiatement mettre en application dans votre ( future ) activité professionnelle ?

• Etudiez le type d’accompagnement qui vous convient le mieux. Préférez-vous travailler en individuel via l’e-learning ou avez-vous besoin d’être soutenu par un formateur ou par un groupe avec lequel vous pourrez échanger vos impressions ou difficultés ?

• Enfin, le budget. Certaines formations peuvent être onéreuses. Etudiez vos possibilités finan-cières. Déterminez si l’investissement en vaut la peine.

Proverbe chinois, Guanzi ( environ 645 avant J.C. )

Ce proverbe chinois illustre la volonté de stimuler l'apprentissage tout au long de la vie afin de permettre aux personnes de rester en phase avec la société actuelle. Que ce soit pour le travail ou le développement personnel, continuer d'apprendre et se recycler sont d'une importance primordiale de nos jours.

Source : L’apprentissage tout au long de la vie en Belgique – www.belgium.be.

Stage intensif de néerlandais, apprentissage de techniques de vente, séminaire sur le développement du leadership personnel ou la gestion d’équipes… Les formations prennent, de nos jours, de plus en plus d'ampleur et constituent un premier pas vers de nouvelles responsabilités. Des outils qui contribuent à simplifier le travail au quotidien, à rendre plus efficace ou simplement plus sûr de soi.

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Avec ma formation je renforce mes compétences

Formations : défis et enjeux Les mutations de la vie économique et les évolutions technologiques nécessitent de la part des entreprises une adaptation constante. Stage, séminaire, coaching, remise à niveau, acquisition de nouvelles compétences… : les formations font, aujourd’hui, partie intégrante de la carrière. Des investissements rentables tant pour les entreprises que pour les employés !

L’entreprise se trouve aujourd’hui confrontée à des changements multiples qu’elle doit anticiper si elle veut poursuivre son développement.

Ces évolutions concernent notamment la mondialisation, la concurrence qui s’accroît sur les marchés nationaux et internationaux, le développement des technologies et des techniques, la recherche d’une productivité toujours meilleure, la pénurie de main-d’œuvre dans certains secteurs ou encore l’allongement de la vie professionnelle.

Cet environnement, en constante compétition, nécessite un renouvellement total des pratiques classiques de gestion et de management. Il s’agit, aujourd’hui, non seulement d’être réactif mais surtout d’anticiper et d’innover, d’adopter une attitude de veille permanente pour maintenir et accroître la performance de l’entreprise.

Cet objectif ne peut s’atteindre sans une mobilisation des ressources humaines. C’est la qualité de la gestion des compétences du personnel qui créera de nouvelles sources de performance pour l’entreprise.

Une bonne gestion des ressources humaines et des programmes élaborés de formation du personnel de l’entreprise jouent donc un rôle primordial. La formation est désormais devenue un axe stratégique majeur et le savoir un outil permettant de développer un avantage compétitif certain. Pour être à la hauteur de ces enjeux et relever les défis, l’entreprise doit aujourd’hui impérativement investir davantage dans la formation de son personnel afin que celui-ci soit toujours au top des connaissances et offre ainsi un service optimal.

Par ailleurs, en cette période de crise économique difficile, il n’est pas évident pour les entreprises d’accorder des augmentations salariales. Offrir davantage de formations est donc un moyen de récompenser les collaborateurs. Un investissement intelligent qui donnera au personnel la possibilité de travailler plus efficacement, d’avoir de nouvelles responsabilités ou d’évoluer en interne.

Il s’agit également d’une alternative intéressante pour les travailleurs. En effet, les formations constituent un plus sur un CV et augmentent ainsi les chances d’obtenir un nouvel emploi en cas de réorientation de carrière.

Si tu veux une année de prospérité, cultive du riz. Si tu veux dix années de prospérité, cultive des arbres. Si tu veux cent ans de prospérité, éduque des hommes"

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